“Il faut plus de couleurs.” Tes yeux toujours fermés, tu respires son odeur, profite de sa proximité, sa présence, dans votre grande baignoire. Tu l’écoutes comme tu pourrais te satisfaire du son des vagues dans l’océan. Sa voix te fait du bien, elle est celle qui rempli la pièce de plus que sa présence, y’a aussi son écho alors que tu es pour l’instant toujours aussi silencieux. “Pas que ça sera la première pièce à retoucher… Mais j’ai fort hâte de m’y mettre.” Tes mains sur ses seins que tu chéris tendrement, tu laisses un léger « Hmmmhmmm… » Sortir de ta gorge. Toi aussi tu as hâte que ces murs soient un peu plus vous, mais pour l’instant, tu profites du moment présent. A partir du lendemain il y aura tellement à faire. Rapatrier toutes vos affaires ici. Tu apprécies d’avoir cette après midi, soirée et nuit sans réfléchir plus que ça. Juste à profiter de vous imprégner de l’endroit dans son appareil le plus simple, comme vous là. Tes mains, ton visage, et tout ton corps contre le siens, elle en fait de même, ses mains sur toi. Vous voulez une fois de plus ne faire qu’un on dirait. “Faudra que je me décide de la pièce qui sera mon espace.” Un sourire se forme sur tes lèvres à cette phrase ci. Tu déposes un baiser sur sa peau. « On peut faire ça aujourd’hui. Décider quoi sera où. » Tu trouves que c’est même une activité parfaite dont vous n’aviez pas parlé et qui fait totalement du sens. Savoir avant que toutes vos affaires ne soient là, ce sera plus efficace pour la suite, pour ne pas tout laisser au même endroit. Répartir partout, ça donnera moins l’impression d’être étouffé par les cartons.

“J’ai jamais eu à penser à tout ça avant.” Tu déposes un baiser sur sa joue avant de reprendre la parole. « Tu voudras peindre mon studio ? Me faire une belle murale. On pourra même le faire ensemble en fait. Tu me diras quoi faire si tu as besoin de mon aide mais je veux un truc qui… » Tu cherches tes mots. « Qui fait parler. Qui laisse rêveur. Qui inspire. Qui me fait penser à toi. » Tu marques une brève pause. « Tout me fera penser à toi vu que c’est toi qui l’aura peint. » Tu réalises. Eh ben dis donc Jordan, tu n’as pas dit grand chose ces dernières minutes mais faut croire que tu t’es bien rattrapé d’un seul coup là. Tu parles que de ton studio en premier lieu car avec la baignoire, c’est carrément le truc qui te manque le plus, que tu n’avais plus du tout depuis le naufrage de ta maison. Deux choses que tu aimes bien plus que bien des choses sur cette planète.

T’entends son onomatopée, signe qu’iel n’est pas en train de s’endormir sur tes mots et dans sa nouvelle baignoire. Ca te fait sourire car t’as quand même l’impression que Jordan pourrait partir chez Morphée tellement qu’iel ne dit rien depuis tout à l’heure. T’en serai pas surprise mais l’eau ne va pas rester tiède vitam aeternam. Il faudra aussi que vous réglez ça mais à cet instant précis, le plus important est de savoir quoi faire des pièces et choisir celle qui sera ton endroit. « On peut faire ça aujourd’hui. Décider quoi sera où. » Tu secoues la tête vivement en resserrant ses bras autour de toi - la chaleur corporelle, c’est important, oui oui. “Totalement. Une bonne raison de refaire le tour du propriétaire. Après tout, la visite remonte à loooooin maintenant.” Il y a plus d’un mois, ça remonte vraiment loin.

Jordan embrasse de nouveau une partie de ta personne et tu te recales un peu mieux contre lui, la tête contre son épaule et les yeux qui se ferment légèrement. « Tu voudras peindre mon studio ? Me faire une belle murale. On pourra même le faire ensemble en fait. Tu me diras quoi faire si tu as besoin de mon aide mais je veux un truc qui… » Une murale carrément ?? « Qui fait parler. Qui laisse rêveur. Qui inspire. Qui me fait penser à toi. » Okay, c’est trop adorable. « Tout me fera penser à toi vu que c’est toi qui l’aura peint. » Tes paupières se soulèvent et tes lippes aussi. “Waw. C’est beau ce que tu dis.” Pour de vrai, t’es touchée car c’est vraiment adorable. Et pour une fois, tu vas pouvoir personnaliser comme tu veux. C’est incroyable - oui, tu te le répètes mille fois. “Je suis pas une peintre, c’est un peu risqué de me laisser carte blanche. Mais tant que tu me demandes pas la tête d’Halsey ou une vue sur la mer, ça pourrait être marrant d’essayer.” Pour le local, t’as fait appel à des professionnels. Tu as beau faire des doodles dans tes carnets, des croquis pour tes modèles, t’es incapable de dessiner un paysage ou un visage comme il faut. Au pire, si c’est moche, il faudra juste repeindre par dessus. “Ca serait fun de faire ça ensemble. On a assez de murs pour nous exprimer autant qu’on veut.” Tu penses à son studio mais aussi au reste de la maison. Tu tournes la tête pour voir son beau visage. “Est-ce que tu te sens bien ? Moins stressé qu’hier ?” T’es soucieuse de son bien être et même si t’as l’impression que ça a l’air d’aller, tu préfères demander quand même.

“Totalement. Une bonne raison de refaire le tour du propriétaire. Après tout, la visite remonte à loooooin maintenant.” Tu as un doux sourire aux lèvres alors que tu visualises dans ta tête les pièces dont tu te souviens. Toutes. Elles sont incroyables et tu as hâte de voir si la nuit c’est plus effrayant que magnifique. Ca sera sûrement tout noir dehors. Tu doutes qu’il y ait des lumières visibles. Il n’y a véritablement que de la végétation tout autour, à perte de vue. Le bonheur. Vous êtes seuls au monde.

“Waw. C’est beau ce que tu dis.” Tu poses ta tête sur la sienne, appréciant qu’elle aime ton idée. Ton envie. “Je suis pas une peintre, c’est un peu risqué de me laisser carte blanche. Mais tant que tu me demandes pas la tête d’Halsey ou une vue sur la mer, ça pourrait être marrant d’essayer.” Tu déposes un baiser sur le dessus de sa tête, dans ses cheveux. « Je demande rien, tu fais ce que tu veux. On choisira ensemble quel mur sera le mieux et le reste sera unis, peut être pas tous les murs de la même couleurs, mais ça rejoindra les couleurs de ce que tu auras fait. Abstrait ou ce que tu veux. Ce qui t’inspire. » Tu veux pas qu’elle se mette la pression, tu aimeras tout. Si elle aime, tu aimes, c’est bien simple. “Ca serait fun de faire ça ensemble. On a assez de murs pour nous exprimer autant qu’on veut.” Tu hoches la tête alors qu’un sourire se forme sur ton visage. « Ce serait fun ouais. » Tu sais pas encore quelles idées elle aura, ni si toi de ton côté tu en auras également. Tu espères que vos idées vont se compléter pour le meilleur. Tu sais que vous êtes la meilleure équipe du monde, alors tu as confiance. Vraiment.

“Est-ce que tu te sens bien ? Moins stressé qu’hier ?” Ow. Ca te touche qu’elle pose cette question. Qu’elle vient aux nouvelles de tes états d’âmes. Tu fais oui de la tête. « Ca va mieux ouais… Beaucoup mieux. Là maintenant, je me sens bien. Très bien même. » Tu murmures presque ces mots. « J’essaie de profiter du moment présent. La maison encore vide et nous qui prenons nos marques… » Tu déposes un baiser sur ses cheveux alors que tes mains caressent toujours sa poitrine de tes pouces. « J’ai le coeur qui bat super vite mais c’est pas une crise d’angoisse. » Tu marques une pause. « Je crois. » Tu ajoutes avec un sourire dans la voix car c’est sûr que ça n’en est pas une. Tu plaisantes. « Nan je jure c’est pas une crise d’angoisse. J’ai pas de compression dans ma poitrine. » Tu ajoutes pour ne pas qu’elle s’inquiète à cause de ton sens de l’humour de merde. « Et toi ? Comment tu te sens ? » Tu te lèches les lèvres.

« Je demande rien, tu fais ce que tu veux. On choisira ensemble quel mur sera le mieux et le reste sera uni, peut-être pas tous les murs de la même couleur, mais ça rejoindra les couleurs de ce que tu auras fait. Abstrait ou ce que tu veux. Ce qui t’inspire. » Je ferai sûrement des croquis avant pour tester ce qui pourrait aller et les faire juger à Jordan car au final, c’est lui qui travaillera dans son studio. Et même s’iel va prétendre qu’importe ce que je fais, ça lui plaira, mieux vaut prévenir que guérir. Je connais ma capacité à être excitée par un projet puis d’être déçue aussitôt quand ça ne plaît pas. Alors je m’épargnerai quand même une éventuelle déception - et puis, de toute façon, je compte bien lui faire mettre la main à la patte. Jamais je dirai non à voir Jordan en action avec un pinceau, huhu. “Ca sera du Cadburry en tout cas.” Je formule à la voix malicieuse. J’ai aucune idée des termes artistiques, je ne me vante pas du tout d’en faire, mais abstrait est clairement celui qui s’en rapprochera le plus. “Du Cadburry-Fisher.” Je rectifie rapidement. “Car je veux que tu me donnes un coup de main. Surtout si t’es torse poil.” Est-ce que j’arrêterai un jour de lui rappeler mon envie perpétuelle de le voir cul nu ? Non, sûrement pas, encore moins ici avec autant de végétation autour de nous et les voisins étant à des lieux de nous. « Ce serait fun ouais. » Je suis confiante sur le fait que notre maison sera la plus cool et la plus personnalisée du quartier. Rien que son apparence et son histoire suffisent, ceci dit. Mais Jordan et moi étant créatifs tous les deux, j’ai foi que ça va être incroyable.

« Ça va mieux ouais… Beaucoup mieux. Là maintenant, je me sens bien. Très bien même. » J’ai un petit sourire, satisfaite d’entendre cette réponse. Le contraire m’aurait étonné vu qu’iel donnait l’impression de pouvoir s’endormir dans la minute qui suit. « J’essaie de profiter du moment présent. La maison encore vide et nous qui prenons nos marques… » Ses caresses me font des frissons - à moins que ce soit l’eau qui refroidisse déjà, je préfère ma première théorie. « J’ai le cœur qui bat super vite mais c’est pas une crise d’angoisse. » Je plisse les yeux. « Je crois. » Je tourne ma tête vers lui, suspicieuse. Il ne faut pas me dire au calme. « Nan je jure c’est pas une crise d’angoisse. J’ai pas de compression dans ma poitrine. » Mmh… Je le scrute un moment avant de me rendre compte qu’iel doit se foutre de moi - pas cool. « Et toi ? Comment tu te sens ? » “Comme quelqu’un qui vient de plonger dans la connerie de son partenaire.” Je lui dis en lui pinçant le bras qui se trouve juste sous mes doigts. Je me réinstalle le dos contre lui et les yeux qui se ferment de nouveau. “J’ai l’impression qu’on va venir me prendre tout ça. Comme si c’était pas réel.” Après tout, moi, propriétaire ? Même mes sœurs ont cru que je me foutais d’elles quand je leur ai dit. “J’ai toujours su m’adapter à mes lieux d’habitation mais là, ça a un goût différent.” J’ouvre un œil. “Et je parle pas de nos ébats.” J’ajoute avec un air malicieux. “Il va me falloir du temps pour réaliser que j’ai tout ça.” Puis je me corrige rapidement. “Enfin, qu’on ait tout ça.” J’ai répété assez de fois que sans Jordan, il n’y aurait pas eu de maison avec mon nom marqué dessus sur l’acte de vente. “Donc ça va. Evidemment que ça va.” Je conclus sereinement en me recalant une nouvelle fois, les paupières fermées. “Ca irait encore mieux si tu me caressais plus au sud, ceci dit.” Je suis vraiment dans l’abus, mon sourire s’entend mais je suis qu’à moitié en train de rire. “L’eau commence à me refroidir, j’ai besoin de chaleur.” Blablabla, ça, c’est presque du mensonge. Presque car l’eau va rapidement passer de tiède à froid. Est-ce que je suis désolée d’utiliser cette excuse ? Pas le moindre du monde.

Ca sera du Cadburry en tout cas.” Tu espères bien vu que tu veux que ce soit elle qui s’exprime sur les murs. “Du Cadburry-Fisher.” Cette petite précision tu ne t’y attendais pas et les deux noms ensemble ça te fait toujours un petit quelque chose de très positif dans ta poitrine. Vous êtes liés même si vous n’êtes que fiancées aux yeux de la loi et que ça revient à pas grand chose légalement, tu aimerais vraiment beaucoup si vous aviez vos deux noms comme ça car tu as beau détester ton père et ce qu’il ta fait subir, ça reste ton nom et qui tu es. Il serait peut être plus sain de l’accepter que de l’effacer complètement. La vie serait plus facile si tu pouvais prendre le nom de famille de ta mère mais tu es certain que ce n’est pas possible. Tu te raccroches au fait que Fisher était aussi son nom à elle. Tu portes son nom complet. Ca ça te fait beaucoup de bien. Elle vit en toi et tu en es certain depuis toujours. C’est intéressant comme tu penses fort à elle en ce moment précis Jordan. Tu t’es rapproché d’elle cette année passée grâce à Maggie et ces mois passées grâce à la Pride et ton nouvel alter ego si on peut appeler ça comme ça. Et ce grand changement dans ta vie, cette grande maison à toi, tu espères qu’elle est à tes côtés en train d’observer les lieux et de mettre toutes les bonnes vibes possibles pour toi. “Car je veux que tu me donnes un coup de main. Surtout si t’es torse poil.” Tu te reconnectes à la Terre et tu souris aux mots de ta moitié. Tu embrasses ses cheveux de nouveau. « You’ve got it. » Tu n’es pas difficile à convaincre, surtout quand il s’agit de quelque chose qui sera dans l’intimité de votre demeure.

“Comme quelqu’un qui vient de plonger dans la connerie de son partenaire.” Tu n’aurais pas cru qu’elle te croit vraiment là. Tu l’as dit juste avant que ça allait ça ne pouvait pas être une crise d’angoisse. Mais elle te pince quand même pour te montrer sa désaprobation. « Come on, tu l’aurais senti si j’étais en train de faire une crise d’angoisse. Je te promets que t’aurais pas pu le louper. » Elle sait. “J’ai l’impression qu’on va venir me prendre tout ça. Comme si c’était pas réel.” Ton tour de froncer les sourcils car est-ce que c’est elle qui est en train de faire une crise d’angoisse avec ce genre de pensée là ? “J’ai toujours su m’adapter à mes lieux d’habitation mais là, ça a un goût différent. Et je parle pas de nos ébats.” Elle a incliné la tête assez pour que tu vois son air sur son visage. Tu es positif qu’elle n’est pas en train de s’angoisser nope. “Il va me falloir du temps pour réaliser que j’ai tout ça.” Tes mains se remettent à caresser sa poitrine maintenant que tu es sûr qu’elle est ok. “Enfin, qu’on ait tout ça.” Ouais, c’est à vous deux. Toi aussi tu penses que c’est ta maison, mais tu sais que c’est la votre. C’est juste une façon de dire les choses parfois, elle sait, toi aussi tu sais. “Donc ça va. Evidemment que ça va.” Tes pouces et index sont en train de s’occuper de ses tétons. Tout va bien dans le meilleur des mondes. Tu vas embrasser le dessus de sa tête une fois de plus. « Ca va pas s’envoler, on a bien payé tout ça. Je te montrerai la différence sur le compte si tu veux être encore plus sûr que c’est réel. » Même si elle le sait.

“Ca irait encore mieux si tu me caressais plus au sud, ceci dit.” Un rire sort de tes lèvres car tu ne t’y attendais pas à celle là là tout de suite au milieu de cette conversation.  “L’eau commence à me refroidir, j’ai besoin de chaleur.” Et toi comme un con, ça t’allume complètement. Tu es absolument opérationnel pour répondre à ses envies. « C’est si joliment demandé, qui suis-je pour refuser une telle requête. » Tu dis alors qu’une de tes mains lâche son sein pour aller plus au sud. « Quelle chance tu as que mes bras soient si grand pour accéder si facilement à tes lèvres. » Celles du bas, bien entendu. Et voilà que tes deux mains s’occupent de deux zones très exquises de son corps. Bien évidemment que ton entrejambe se réveille au passage. Ta respiration est saccadée alors que tu ne t’occupes que d’appuyer sur ses boutons les plus sensible à elle de tes doigts les plus experts. Tu ne lui laisses pas de répit car tu aimes trop la voir autant perdre pied grâce à toi. Vous fonctionnez parfaitement, corps et âmes.

« You’ve got it. » Il n’en faut pas beaucoup pour la satisfaire, la Cadburn. Si elle peut sauter sur l’occasion de s’accorder le plaisir des yeux via son partenaire nu, elle le fera deux fois plutôt qu’une. Ca n’a jamais dérangé Birdie et heureusement ; certains de ses colocataires n’avaient pas non plus de pudeur élevée. Pour son plus grand plaisir. Cependant, ayant connaissance que Jordan a plus de difficultés qu’autrui à se déshabiller et, surtout, se voir, c’était d’autant plus une fierté pour la jeune femme de constater qu’elle l’aide quelque part à s’accepter de plus en plus. Iel lui avait déjà formulé des propos dans ce sens, même si Birdie n’en tient pas non plus rigueur constamment, car elle considère que ça fait tout simplement partie de son statut de copine - ahem, fiancée - unie, mariée, un peu tout ça. Voire même de son statut d’être humain qui aimerait tout bonnement que les gens s’acceptent et arrêtent de critiquer autrui.

« Come on, tu l’aurais senti si j’étais en train de faire une crise d’angoisse. Je te promets que t’aurais pas pu le louper. » “Je sais. Mais tu m’as foutu le doute quand même!” Elle réplique à sa suite directement, la moue boudeuse ne durant cependant pas très longtemps. Pas alors qu’elle enchaîne sur sa propre réponse qui la laisse un peu rêveuse. L’impression qu’on va finir par la secouer pour la sortir de là. Non pas qu’elle a rêvé d’une vie de couple avec une maison et tout le bazar allant avec mais elle comprend mieux pourquoi les gens apprécient ; c’est agréable. Même quand il n’y a rien encore, même plus d’eau chaude, mais qu’il y a l’essentiel ; eux et leurs animaux. Les perspectives sont immenses et elle est excitée de cette partie qui s’ouvre à elle. « Ca va pas s’envoler, on a bien payé tout ça. Je te montrerai la différence sur le compte si tu veux être encore plus sûr que c’est réel. » “Ssssssht, je préfère croire que c’est un rêve, okay ?” Elle agite même sa main devant eux pour faire disparaître les mots qui pourraient se perdre dans l’air. Birdie ne veut pas les entendre, elle n’a pas envie de penser aux sous et aux dépenses et toutes ces choses-là. Elle est bien dans sa petite bulle, elle n’a pas envie d’en sortir.

« C’est si joliment demandé, qui suis-je pour refuser une telle requête. » Et puis, heureusement qu’elle change de sujet. Qu’elle fait une déclaration en toute innocence et malice et qui fait mouche auprès de son partenaire ô combien serviable. « Quelle chance tu as que mes bras soient si grands pour accéder si facilement à tes lèvres. » Elle mord sa lèvre alors que sa main dérive. “Très très chanceuse je suis.” Et encore plus chanceuse que Jordan sait aussi bien se servir de ses doigts pour jouer de ses tréfonds. Pour faire monter la température corporelle, ça fonctionne à merveille. Pour baptiser la baignoire, c’est aussi parfait. Ce qui reste le plus parfait est le déferlement qu’elle ressent quand elle arrive à point nommé par les doigts parfaits de son fiancé.e. Son prénom et un juron déferlant de sa jolie bouche, elle s’affaisse contre lui, la respiration sifflante. “Damn you’re so good.” Qu’elle dit, les paupières closent. Puis, elle gigote un peu et elle sent, ce qui la fait sourire. “Do you want me to take care of you ?” Et elle gigote de nouveau, de façon consciente cette fois, ses fesses frottant là où elle sent que ça ferait du bien. Mais elle n’a visiblement pas l’intention d’être autre chose pour l’instant qu’une larve. Et une larve, ça peut onduler. Se trémousser. C’est exactement ce qu’elle compte faire. “Avec les peu de force qui me restent ?” Qu’elle ajoute d’un ton dramatique en faisant mine qu’elle est morte de fatigue - ce qui n’est pas faux mais Birdie est plus que capable de s’occuper de son membre. Y’a même une de ses mains qui dérive derrière pour le toucher un peu mieux. “En tout cas, je valide la technique si jamais on a plus d’eau chaude un moment ou un autre.” Même si elle espère pas que ce soit récurrent. Ce n’est pas Elimbah ici, c’est Brisbane quand même. A quarante minutes max mais ça reste Brisbane malgré tout.

“Je sais. Mais tu m’as foutu le doute quand même!” Tu la serres un peu plus contre toi, appréciant qu’elle ne prenne pas juste pour acquis son intuition quand le sujet est si important. Car ton bien être est sûrement son bien être également, tout comme l’inverse est vrai. Tu embrasses le dessus de sa tête comme un merci silencieux, ainsi qu’un je t’aime. Car c’est bien ça que ce simple baiser veut dire.

“Ssssssht, je préfère croire que c’est un rêve, okay ?” Ca te fait doucement rire, mais tu comprends très bien ce qu’elle veut dire. Ca reste un très beau rêve également pour toi. Cette maison est beaucoup trop belle et surtout, immense, pour ton budget habituel. Tu serais presque reconnaissant pour les crimes qui y ont été commis ici et c’est super fucked up comme pensée. Une nouvelle fois, un mal pour un bien.

“Très très chanceuse je suis.” Vous l’êtes tous les deux même si pendant que tu la masses tu te dis que tu aurais préféré la manger plutôt que de la caresser. Mais vous n’allez pas mourir ce soir. Tu pourras la goûter une fois de plus avant le levé du soleil. Tu ne seras pas en reste. Vous avez un sacré appétit tous les deux. “Damn you’re so good.” La plus belle musique à tes oreilles. Des compliments sur tes capacités à la faire jouir. Et tu sens vu la façon qu’elle gigote qu’elle va chercher à faire de même pour toi. “Do you want me to take care of you ?” Tu te lèches les lèvres en même temps que tu fais oui de la tête. Ta main n’est plus sur ses lèvres. “Avec les peu de force qui me restent ?” « Oh my Princess is tired ? » Tu dis en allant glisser deux de tes doigts entre tes lèvres, car tu as envie de la goûter oui oui, si ça n’avait pas été assez clair juste avant . Elle est déjà en train de s’occuper de ta crampe mais sans se tourner pour autant et tu trouves cette position très frustrante. “En tout cas, je valide la technique si jamais on a plus d’eau chaude un moment ou un autre.” Tu vas mordre son épaule, doucement. « Please turn around. I wanna see you while you do me. » Tu veux ses yeux, ses lèvres, ses siens sous ton nez alors qu’elle va te faire vibrer à son rythme. Tu ne resteras pas là à rien faire, je le sais, tu vas gober sa poitrine et tâter ses fesses encore et encore avant de rajouter un peu de liquide d’un autre genre dans l’eau de la baignoire.

Citation :

WIN – Y’a une porte qui claque quelque part dans la maison et vous l’entendez très bien jusque dans la salle de bain.

SO CLOSE – Y’a Milady qui a trouvé le chemin vers votre baignoire et elle grimpe sur le bord pour marcher gracieusement tel la belle gosse qu’elle est.

FAIL – Y’a un téléphone qui sonne, c’est une alarme. Celle de Jordan. Le rappel de ses médocs à prendre.

 

Une petite larve dans les bras de son partenaire qui a eu toute son énergie épuisée une nouvelle fois dans des ébats qui ne lui auront pourtant, cette fois-ci, pas demandé beaucoup d’efforts. Birdie s’est faite la joyeuse prisonnière de son fiancé.e ô combien talentueux sur beaucoup de plans, elle ne répètera jamais assez. C’est une position intéressante et elle s’est bien un peu tordue le cou pour pouvoir l’embrasser ici et là avant que les vagues ne l’en empêchent. Autant dire que cette baignoire est très bien baptisée.

Et elle va l’être de nouveau car la filoute sent bien que Jordan est loin d’avoir été indifférent de ce qu’iel vient de lui avoir fait - encore heureux! Ça serait le comble s’iel en était totalement froid et impassible! La plus grande des offenses, oui oui. Rien de plus mais surtout rien de moins. Elle veut mettre de la bonne volonté à lui rendre la pareille, à le sentir grogner contre son oreille et à frémir contre son arrière train mais c’est quand même pas pratique. « Oh my Princess is tired ? » Et elle est fatiguée, ô oui, cruellement. Une de ses mains se porte même sur son front alors qu’elle fait mine d’être évanouie de fatigue contre son épaule. “Terriblement. C’est totalement de ta faute.” As if. Tellement fAtiGuéE que ça ne l’empêche pas d’aller chercher son pieu masculin de sa main, hein. Elle est soucieuse du bien être de son fiancé.e, y’a rien de mal à ça, si ? Ouais ouais, à d’autres. « Please turn around. I wanna see you while you do me. » Un sourire s’étire sur ses lippes. “Why ? You see me right now.” Elle joue les idiotes mais c’est pour la bonne cause car peut-être que Jordan la mordra encore plus fort et toute entière ; même si elle a bien envie de profiter de sa maison avant d’être entièrement bouffée.

Puis un bruit se fait entendre. Elle relève la tête, le torse, la nuque, les oreilles, comme en alerte. Vu les histoires de cette maison, on lui pardonnera de penser à une bizarrerie avant qu’elle réalise que ce n’est qu’une sonnerie de téléphone. “Putain j’ai flippé.” Qu’elle soupire en mettant la main sur la poitrine. “C’est ton téléphone, pas vrai ? Ton alarme pour tes médocs, non ?” Ah, elle a retenu cette information. Tout bonnement parce que c’est quelque chose d’important pour Jordan et si elle ne retient pas le superficiel, elle retient l’important. Au même titre que les anniversaires par exemple. “Tu veux que j’aille te les chercher ?” Car elle est plus proche de la sortie que lui et elle n’a pas de crampe. “Et éteindre cette fichue alarme ?” Qu’elle demande en papillonnant outrageusement des paupières - elle a envie de la massacrer, ouais. Ah Birdie et la technologie.

Elle joue le rôle à fond de la Miss qui s’évanouit et ça te fait tellement kiffer de la voir comme ça. “Terriblement. C’est totalement de ta faute.” Un immense drame est en train de se dérouler sous tes yeux et puis en voilà un deuxième qui s’en suit. La Madame Cadburry qui décide de te frotter les parties mais sans te faire face. “Why ? You see me right now.” Et tu la connais la demoiselle, elle a l’air de vouloir tenir tête à rester comme ça. Tu espères que non, mais tu sauras la frustrer en retour dans un futur plus ou moins proche, tu as confiance en toi. « Pleeaaase… » Que tu demandes, suppliant alors que tes mains se sont retrouvées sur sa poitrine, même si tu ne peux pas voir ses seins, au moins tu vas les toucher ouais.

Mais vous êtes interrompu par l’alarme de ton téléphone qui vous fait sursauter tous les deux.  “Putain j’ai flippé.” Tu te lèches les lèvres parce que madame est toujours en train de t’astiquer le manche, ou du moins, elle était jusque là. Tu en as rien à faire de ton téléphone là. “C’est ton téléphone, pas vrai ? Ton alarme pour tes médocs, non ?” « Ouais c’est mon alarme. » Tu dis pour qu’elle soit rassurée et qu’elle puisse continuer son activité de la plus haute importance. Tu veux que j’aille te les chercher ?” Tu fais non de la tête. “Et éteindre cette fichue alarme ?” Tu comprends à ses mots que c’est plus pour elle que pour toi. « Si tu me laisses le choix on bouge pas et on ignore l’alarme. » Tu dis en allant lécher le lobe de son oreille, tes mains toujours sur sa poitrine. « Si tu fais genre tu me laisses le choix et tu vas de toute façon sortir pour aller éteindre… » Tu continues en s’assurant à son oreille. « … je sors aussi de la baignoire et on finit plus ou moins sec. » Car tu sais qu’elle aime que tu sois mouillés. Et puis ça t’arrange bien cette option là parce que comme ça tu pourras la voir toute entière pendant qu’elle va terminer sa prouesse sur ton milieu.

« Pleeaaase… » L’esprit de contradiction de sa dulcinée persiste, combiné à celui qui veut simplement l’emmerder en lui déniant sa demande. Sa main et ses fesses sur son manche devraient lui suffire pour le satisfaire, non ? Birdie est en mode petite conne qui veut se la jouer difficile même si, en toute honnêteté, ce n’est franchement pas pratique comme position.

Mais elle est vivement interrompue dans ses caresses et toute sa bonne volonté par un bruit externe qui se trouve être cette foutue alarme. « Ouais c’est mon alarme. » Même si c’est pratique, elle aurait bien envie de les jeter par la fenêtre, ses alarmes à son amoureux. Cependant, ce dernier ne semble pas vouloir à ce qu’ils sortent du bain, l’esprit focus sur les douceurs que lui procure sa fiancée qui finit tout de même à être tentée d’aller éteindre ce téléphone avant qu’elle ne le jette dans le graaaand jardin. « Si tu me laisses le choix on bouge pas et on ignore l’alarme. » Elle fronce du nez mais en même temps, y’a Jordan qui attaque son lobe, et sa poitrine, et sa voix en direct dans l’oreille, c’est si beau qu’elle en aurait des frissons. Elle est juste mordue, ouais. « Si tu fais genre tu me laisses le choix et tu vas de toute façon sortir pour aller éteindre… » Elle est pas encore décidée. « … je sors aussi de la baignoire et on finit plus ou moins sec. » “Okay, je suis décidée maintenant.” Qu’elle s’exclame en se levant. Plus ou moins sec signifie Jordan humide et si en plus ils sont en dehors, sa douce va pouvoir se faire pardonner en lui démontrant que sa bouche ne sert pas qu’à piailler. “Ca sera plus pratique que tu sois dehors pour ce que j’ai en tête.” Elle dit en mordillant sa lèvre tout en se baissant vers Jordan dans l’eau pour l’embrasser. “Et t’essuies pas s’te plait.” Qu’elle ajoute en relevant le buste avant de filer rapidement, elle même non essuyée afin d’aller chercher ce téléphone de malheur. Elle reprogramme l’alerte pour dans une heure - on sait jamais si Jordan oublie, ça reste important - avant de le reposer là où il était et de retourner là où Jordan se trouve. “Are you still all wet and ready for me, baby ?” Qu’elle demande en entrant dans la chambre. “J’ai pas pris tes médocs mais j’ai retardé l’alarme.” Elle précise quand même au cas où. Elle n’est pas certaine que Jordan les ai sous le coude ce soir.

Tu ne la vois pas car madame t’offre son dos encore et toujours, mais tu es certain qu’elle est en train de faire la grimace quand tu parles d’ignorer l’alarme. C’est tellement le genre de truc qu’elle supporte pas, c’est chou quand on y pense, parce qu’elle est du genre à pouvoir parler sans s’arrêter et à faire mal à la tête pour certains, pas pour toi. Peut être que c’est ça, la réalité de la situation, tu as été habitué avec tes alarmes à ne jamais avoir de problème avec le débit énergétique de ta moitié. Car c’est bien loin d’être la première fois dans ta vie qu’une de tes alarmes se lance et que tu ne puisses pas l’éteindre dans la seconde, par flemme, ou autre. Mais en attendant, tu essaies de l’amadouer avec ta voix au creux de son oreille, car tu sais comment elle fonctionne la plus jolie des blondie. “Okay, je suis décidée maintenant.” Tu allais pour mordre un peu plus son lobe mais voilà qu’elle est en train de se lever. Tu savais que ça allait être ça. Elle ne supporte pas, ça lui tape sur le système et ça te fait plutôt sourire de la voir agacé de la sorte. L’amour vache un peu Jordan ? Nah it’s not my fault she’s so cute with that face. “Ca sera plus pratique que tu sois dehors pour ce que j’ai en tête.” Là elle attire ta curiosité car, qu’est ce qu’elle a en tête ? Mais tu la connais aussi, tu ne poses pas de question car elle ne te répondra pas. Tu fais comme si cette phrase n’était pas importante, et tu prends ses lèvres quand elle te les donne. “Et t’essuies pas s’te plait.” Un léger rire sort de tes lèvres. Il faut faire tout ce qu’elle veut elle, et rien de ce que tu demandes toi. Tu verras si tu l’écoutes. Au moins t’as une cartouche dans ton fusil à toi, il n’y a pas qu’elle qui tire les ficelles du moment qui va suivre. Tu la regardes partir et y’a ta main qui est sur ton sexe alors que tu es encore dans l’eau.

Tu te décides à te lever et tu te sèches au moins les jambes car tu veux pas foutre de l’eau partout. “Are you still all wet and ready for me, baby ?” Tu es toujours dans la salle de bain, tu as vidé l’eau de la baignoire et tu es assis sur le bord de celle ci, ton sexe dans ta main, essayant de garder le moment bien en haut. Et puis voilà qu’elle arrive dans ton champ de vision, nue, ça y est, tu sens ton envie d’elle qui te parcours tout entier en deux secondes. Comment cette meuf te fait autant réagir c’est impressionnant. “J’ai pas pris tes médocs mais j’ai retardé l’alarme.” « Merci. » Car c’est important, elle le sait, tu le sais, vous le savez. « Alors ? » Tu demandes en la regardant, toujours en train de te masturber. « C’est quoi la suite ? » Car madame a l’air décidée et madame va te faire goûter à son programme à elle, tu le sais, tu la connais. Mais toi tu sais aussi que tu peux lui casser ses rêves en te finissant tout seul comme le grand garçon que tu es. Car tu ne t’arrêtes pas et tu la mates ouvertement car elle est la créature la plus attirante du monde et ça se voit dans tes yeux.

Birdie manque de se casser la figure une ou deux fois car les pieds nus mouillés au sol ne sont pas une garantie de sécurité, qu’on se le dise. Elle a affronté le danger pour cette alarme de malheur mais au moins, maintenant, le calme est revenu. Elle croise même Milady qui est encore en train de sentir chaque recoin de la maison visiblement, qu’elle flatte d’une caresse en passant avant de retourner dans la chambre qui a sa propre salle de bain où son amoureux à elle l’attend, toujours aussi nu.e, toujours aussi grand.e et toujours aussi beau. « Merci. » Et sa main autour de son membre, ce qui la fait doucement rire en le constatant. « Alors ? » Le voir faire est une très très jolie image, très attrayante alors qu’elle se rapproche. « C’est quoi la suite ? » “Je suis plus très sûre tout d’un coup.” Qu’elle avoue en mordant sa joue.

La maligne se faufile entre ses jambes et franchement, avec Jordan assis, c’est la position parfaite pour être à peu près de la même taille. “J’allais me mettre à genoux pour t’honorer comme il faut mais t’as l’air de bien t’en sortir tout seul.” Qu’elle murmure en rapprochant son visage du sien avant de passer sa langue sur sa joue qui se finit en baiser. Ses mains sur son torse le caressant, profitant de chaque courbe car damn fuck qu’iel est magnifique. Elle ne résiste pas à descendre sa bouche plus bas, dans son cou qu’elle mordille, sur son tronc qu’elle savoure. Elle est courbée, elle se casse le dos mais elle s’en fiche tellement alors que ses ongles raclent sa peau. Birdie finit malgré tout accroupie, le visage levé vers lui alors que ses doigts - et ses lippes - sont dangereusement proches de son membre. “Wanna take care it yourself or can I ?” Elle peut le regarder faire aussi, ça ne la dérange pas. Ca serait frustrant, ceci dit, car elle a faim, la Cadburn. Il lui en faut tellement peu pour avoir l’intérieur qui frétille il faut dire.

Elle a un sourire amusé aux lèvres quand elle revient alors que toi tu essaies de garder un visage sérieux. Tu échoues et vraiment ce mélange de sérieux et petit sourire qu’on essaie de retenir, ça te rend encore plus agréable à l’oeil. “Je suis plus très sûre tout d’un coup.” Toi tu n’as pas compris quelle allait être la suite du coup tu sais pas de quoi elle parle. Tant qu’elle n’est pas dos à toi, toutes les nouvelles version de la suite seront très bien pour toi.

Elle se rapproche de toi, debout, entre tes jambes, toi tu es toujours assis, une main prise. “J’allais me mettre à genoux pour t’honorer comme il faut mais t’as l’air de bien t’en sortir tout seul.” Là elle te fait marrer car tu sais à quoi elle joue. Elle veut te frustrer de nouveau. D’une autre manière mais de la frustration pour toi de toute manière. Ou pas. Tu essaies de t’ôter de la tête toutes les attentes que tu as pu avoir. Elle sort le grand jeu, sa langue sur ton visage, ses mots susurré sensuellement en même temps. Elle t’embrasse, tu la laisses faire, tu aimes le moment même si elle joue avec tes émotions. Elle n’arrive pas à arrêter de te toucher, tu doutes qu’elle puisse juste rien faire du tout alors que t’es là, tout dressé devant elle. Tu frémis aux baisers, morsures et caresses qu’elle dépose sur ton tronc, ta gorge. C’est qu’elle descend Birdie. Tu le sens bien même si tu ne t’es pas arrêté de te satisfaire seul pendant ce temps là. Tu sais que la vue lui plait autant que l’inverse aurait été pareille.

“Wanna take care it yourself or can I ?” Un sourire amusé se forme sur tes lèvres. « It’s always very cute when you let me believe I get to choose what you will do next. » Même s’il y a des fois où vous jouez sur la dominance, le moment présent n’a pas l’air d’être dans cette vibe là. C’est la vibe d’une Birdie très chipie qui n’en fait qu’à sa tête et qui peut changer d’une seconde à l’autre parce qu’elle peut le faire. Il n’empêche que tu vas tenter d’influencer son choix, car voilà que tu t’inclines en arrière, mettant tes mains sur l’autre côté de la baignoire pour te retenir et être confortable mais surtout, pour que ton sexe soit encore plus fièrement dressé, à sa merci rien qu’à elle. « Do what you want… » Y’a un sourire en coin qui vient à tes lèvres alors qu’une chanson te vient en tête. Bien sûr, tu te mets à la susurrer. « Do what you want do what you want with my body… » Tu mords ta lèvre alors que tu as apparemment envie de chanter encore un peu. « Write what you want, say what you want about me, if you’re wondering know that I’m not sorry. » Tu vas te tenir un bref moment à une seule main pour te caresser et lui donner encore plus envie.

Si Birdie est en mode chipie, Jordan est en full petit con et ça forme un cocktail aussi malicieux que pétillant. La meilleure des équipes, clairement. Lui continuant à astiquer son manche et elle maintenant à genoux devant lui parce qu’elle l’aime et lui fait confiance pour savoir que jamais, ô jamais, lui profitera d’elle comme d’autres dans le passé. Sa langue humidifie ses lippes car le voir s’occuper de lui-même avec un vent de confiance qui émane de lui, ça donne un coup de chaud à sa dulcinée. Et puis, Birdie a les yeux en cœur autant que le ventre rempli de papillons - et de chaleur car iel lui donne chaud, clairement. Elle pourrait même aller embrasser ses mollets et mordiller ses pieds à ce niveau tellement qu’elle le chérit à ce point. Et puis, iel vient de sortir du bain, c’est tout propre partout. Mais y’a plus d’eau en bas, c’est nul.

« It’s always very cute when you let me believe I get to choose what you will do next. » Le sourire se forme en même temps qu’un gloussement s’échappe, rapidement étouffée par ses crocs qu’elle va planter contre la cuisse ferme de son fiancé.e parce qu’elle peut. “Je vois pas pourquoi tu dis ça.” Elle ose affirmer ça avec toute la malice du monde, peu innocente pour un rond - et vu la position, il est clair qu’il sera difficile de la croire pieuse et immaculée. Mais elle est clairement sur le point de recevoir sa bénédiction, huhu. « Do what you want… » Les signaux sont là. Sa position, son regard, son corps tout entier l’appellent. Elle peut pas résister, pas vrai ? « Do what you want do what you want with my body… Write what you want, say what you want about me, if you’re wondering know that I’m not sorry. » “Merlin you’re hot.” Qu’elle bafouille avant de retirer la main de Jordan pour la remplacer par sa bouche.

Elle tient jusqu’au bout, elle le griffe en même temps ici et là, elle le maintient, elle est en mission. Elle attendra patiemment jusqu’à la fin du plaisir de sa belle moitié avant de finir les fesses sur le sol puis le buste entier, épuisée de tous les EfFoRtS fournis. “Damn.” Elle relève les paupières pour le regarder de là où iel est. “Me dis pas que tu voulais que je suis en face de toi autrement, je te tue.” Et le pire, c’est que Jordan pourrait le dire car ce n’est pas ça qui le dérangerait, elle en est certaine.