ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
Plongée dans son bain, Maritza profitait de la tranquillité de la nuit tombée pour reposer ses muscles et son esprit. Lorsqu'elle était rentrée du travail – aux environs de vingt-deux heures – elle était tombée sur Cesar qui l'attendait dans le salon. Elle avait d'abord été surprise de le trouver là mais bien vite elle avait compris. Son fils lui expliqua que Sergio n'était pas rentré, qu'il avait eu un souci à résoudre au boulot et que par conséquent il avait dû rester à la maison pour s'occuper d'Alejandro. Elle voyait bien que cet imprévu avait quelque peu agacé Cesar mais elle remercia chaleureusement ce dernier et lui souhaita de passer une bonne soirée. Elle savait que son fils allait rejoindre sa petite amie mais depuis le stage de survie qu'elle avait fait en sa compagnie, Maritza tentait de se montrer plus raisonnable et moins intrusive concernant les relations amoureuses de ses enfants. A peine Cesar fut-il parti que la matriarche se rendit dans la chambre du cadet afin de s'assurer qu'il dormait bien. Elle déposa un baiser sur son front, remonta le drap jusqu'à son cou et s'éclipsa sur la pointe des pieds.
Un rapide passage par la cuisine lui permit d'engloutir un reste de lasagne alors qu'elle n'avait qu'une hâte : se laver pour effacer toute trace de salissure accumulée durant la journée. Elle avait d'abord pensé prendre une douche en quelques minutes afin de se retrouver au lit plus vite mais finalement avait jeté son dévolu sur un bon bain. Cela faisait une éternité qu'elle n'avait pas pris le temps de se prélasser de la sorte. Les yeux clos, la brune savourait cet instant. Depuis quelques temps elle allait mieux. Bien sûr la perte de Maria la bouleversait toujours autant mais désormais elle arrivait à profiter de quelques moments de bonheur sans culpabiliser pour autant. Elle ne savait pas à quoi ce changement était dû. Diego s'était montré très prévenant et avait tout fait pour lui rendre le sourire, sans doute que cela avait aidé. Le stage de survie – bien que terrible par bien des aspects – lui avait permis de resserrer les liens avec chacun de ses enfants et cela lui avait fait un bien fou. Tout n'avait pas été simple, loin de là, mais Maritza préférait se remémorer leurs petites victoires, leurs fous rires plutôt que leurs blessures et leurs crises de nerfs. Avec du recul, elle avait vraiment passé des bons moments. Même avec Sergio. A cette pensée elle se redressa vivement dans le bain, les sourcils quelque peu froncés. « Tout ce qui se passe en forêt, reste en forêt. » voilà ce qu'elle avait eu l'intelligence – ou la bêtise – de lui dire. Heureusement pour elle, Sergio avait tenu promesse si bien qu'ils n'avaient jamais reparlé de la nuit qu'ils avaient passé ensemble dans leur cabane. L'image de leur deux corps enlacés et des lèvres de Sergio qui se posaient sur les siennes la fit rougir. Une vague de chaleur l'envahit alors que Maritza cherchait par tous les moyens à effacer tout ça de sa mémoire.
Depuis que Sergio était revenu vivre sous le même toit qu'elle, ils semblaient tous les deux jouer à un jeu dangereux. La tentation de se jeter dans ses bras était si forte que Mari en venait à remercier le seigneur lorsqu'elle constatait qu'elle était seule chez elle. Elle ignorait si ce qu'elle ressentait vis-à-vis de son ancien mari était réciproque ou non mais ce qu'elle savait c'était qu'il fallait qu'elle se protège. Retourner auprès de Sergio était une erreur qu'elle avait commise bien trop souvent par le passé. La matriarche secoua la tête pour chasser ces pensées et finit par sortir de la baignoire. Elle enroula une serviette autour d'elle, passa rapidement une main dans ses longs cheveux mouillés et constata avec dépit qu'elle n'avait pas pris son pyjama. Un soupir exaspéré lui échappa. Elle hésita quelques secondes à remettre ses vêtements de la journée mais l'idée de renfiler des fringues sales la débectait quelque peu. Finalement elle enroula la serviette au-dessus de sa poitrine puis jeta un coup d'oeil dans le miroir. Bon... On pouvait apercevoir la naissance de ses fesses mais elle était seule dans la maison. Ce serait un manque de chance flagrant si Alejandro venait à se réveiller à cet instant précis.
La mère finit par sortir de la salle de bain et se dirigea rapidement jusqu'à sa chambre. Seulement elle se figea avec une rapidité déconcertante lorsqu'elle vit débarquer Etna. Ses yeux s'écarquillèrent alors que son cerveau peinait à comprendre la situation. Le temps qu'elle fasse le lien entre la présence du chien et donc par conséquent celle de Sergio laissa le temps à ce dernier d'apparaître quelques mètres plus loin. Lorsque Mari croisa son regard elle sentit ses joues s'empourprer alors que l'une de ses mains se resserraient autour de sa serviette. « Je... » Elle ne savait même pas ce qu'elle aurait pu lui dire. Sa main libre passa nerveusement dans ses cheveux et elle marmonna, gênée : « Je croyais que j'étais seule... ». Elle tourna la tête sur la gauche et sur la droite. Sa chambre était à hauteur de Sergio, il fallait qu'elle trouve un endroit pour se cacher, au moins le temps qu'il aille se coucher.
made by black arrow
Cry me a river♛
You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be
❝Cry me a river ; Justin Timberlake❞
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I do not want to fight this anymore, I just want to lay back and watch you pin me to the bed. I used to call you my best friend, way back before you were my everything, now I'm sucking your neck. And you wrote my favorite song, now I'm fucked up and carrying on, I do not know the words to it yet, oh. And it hits me, I don't want anybody else touching you like I do, like I do, like me. Is it okay?
Dans son métier, Sergio ne connaissait pas le concept des horaires de bureau. Il était à la disposition de ses talents et organisait ses responsabilités autour de ses contraintes professionnelles. Il ne s’en était jamais plaint, mais il était vrai que depuis son déménagement il y a quelques semaines maintenant, il devenait un peu plus réticent à s’éterniser dans son bureau ou dans les rendez-vous professionnels tardifs. Les rencontres nocturnes étaient devenues des déjeuners, les sorties dans les bars huppés emmenés plutôt dans les derniers restaurants en vogue. Subtilement mais efficacement, Sergio s’arrangeait pour faire de la place pour sa vie privée. Il était donc devenu habituel qu’il soit à la maison le soir, qu’il passe un peu de temps avec Alejandro avant que le gamin n’aille au lit. Il avait des conversations polies avec Cesar qui parfait arrivait à feinter l’indifférence en le voyant, désormais. Quant à Mari, il avait de plus en plus souvent droit à ses sourires et à ses rires. Il ne pouvait pas nier faire son possible pour les provoquer, que cela soit en racontant une histoire ou en s’occupant de n’importe quelle tâche dont elle aurait parlé, des courses à l’aspirateur en passant par les accessoires pour les spectacles d’école. Cela finissait par lui venir naturellement, à force, même si dans certains moments de conscience, l’homme réalisait qu’ils s’engageaient sur une pente glissante. Mari l’avait prévenu qu’il ne se passerait rien sous ce toit. Que leurs étreintes durant le camp de survie n’avaient été qu’un moment d’égarement liés à la situation absurde dans laquelle ils étaient. Que même si elle l’acceptait dans sa maison, dans sa famille, elle ne pouvait plus se permettre de tomber dans ses bras. Il l’avait accepté sans broncher et malgré tout, s’il devait être franc, le patriarche admettrait volontiers n’attendre que de voir la résistance de son ex-femme plancher. Il la désirait, c’était indéniable. Les réminiscences de leur histoire passée étaient un supplice quand il se demandait ce que cela serait s’il franchissait les limites, s’il forçait un peu le destin. Est-ce qu’elle le repousserait si jamais il tentait de l’embrasser ? De la serrer dans ses bras ?
Ce n’était pas ce soir qu’il aurait le loisir de répondre à cette question. Il s’apprêtait à rentrer quand il avait reçu un appel de Callie, une jeune actrice avec laquelle il travaillait. Le cliché même de la blondinette australienne, jolie, agréable, idéale pour les productions qui appréciaient l’esthétique plus que les jeux d’acteurs complexes. Elle n’était pas la prochaine Margot Robbie. Malgré tout, l’accident de voiture avec de l’alcool dans le sang et l’outrage à agents avaient fait rappliquer le manager immédiatement. C’était dans l’une de ces situations où la vie professionnelle se devait de prendre le pas sur la vie privée. Après un passage au poste, Sergio avait dû gérer les conséquences de ce dérapage, préparer un communiqué pour si l’information filtrait, un script d’excuses, justifier l’absence du lendemain sur le plateau où Callie travaillait actuellement. Il était presque onze heures du soir quand enfin, agacé et éreinté, l’homme put passer le portail de la maison. Etna, qui était dans le jardin, courut vers lui pour lui faire la fête. « Salut ma fille. » Il caressa l’animal une minute avant de se diriger vers la porte de la maison. Sa première surprise fut de réaliser que les lumières étaient encore allumées. Maritza avait dû les laisser pour quand il rentrerait. Il referma derrière lui, enleva ses chaussures, puis, silencieusement, il s’avança vers le couloir. Il avait besoin d’une douche. Ce à quoi il ne s’attendait pas le moins du monde en revanche, c’était de croiser son ex-femme seulement vêtue d’une serviette qui ne couvrait pas la totalité de son corps. Il pila net dans le couloir, son regard l’admirant de la tête aux pieds avant de se reprendre. « Je viens de rentrer. Je pensais que tu dormais. » Il lui sourit doucement, puis réalisa l’ironie de la situation. Elle voulait accéder à sa chambre qui était derrière lui. Il voulait accéder à sa chambre qui était derrière elle. « J’imagine que la salle de bain est libre maintenant ? » Il désigna la porte de ladite pièce. Enfin, il se décida à franchir la distance qui les séparait. Le couloir était assez grand pour qu’ils se contournent, et c’est ce qu’il fit, bien que son pas se fit plus hésitant une fois à sa hauteur. Il pouvait sentir son parfum. Voir parfaitement ses épaules graciles, son cou délicat qu’il adorait embrasser à l’époque. Il pourrait l’étreindre. La bousculer sensuellement contre le mur pour l’embrasser. Et à la place ? « Bonne nuit. » Le baiser tomba sur sa joue alors qu’il disparaissait dans sa chambre avec cette sensation d’avoir été électrocuté.
En pilote automatique et avec précipitation pour s’empêcher de trop penser, il fit exactement ce qu’il avait prévu, attrapa son pantalon et son tee-shirt avant de se rendre dans la salle de main. La pièce était encore embuée, le parfum vanillé du gel douche de Mari embaumait l’air. Il prétendit ne pas y faire attention en ouvrant le jet d’eau, optant pour l’eau froide comme si ce n’était pas directement lié à la situation. En l’espace de quelques minutes, les traces de cette journée avaient disparu. Pas les images, cependant. Et quand l’homme retourna à sa chambre pour s’allonger sur son lit, il se retrouva instantanément à regarder le plafond. Le lit lui semblait incroyablement vide, quand bien même il l’avait été depuis son arrivée ici. La dernière fois qu’il avait dormi à proximité d’une femme avait été avec Mari au camp. Leur manière de se serrer contre l’autre. De s’embrasser comme s’ils en avaient parfaitement le droit. Il n’avait pas le droit de vouloir si cruellement sa compagnie ou pire, sa proximité. Alors pourquoi fallait-il qu’elle entretienne si bien la tension à souffler le chaud et le froid ? C’était égoïste de la part du mexicain. Peut-être un peu lâche, aussi. Pourtant, cela ne le dissuada pas de se relever et de venir légèrement toquer à la porte de sa chambre. Il ne savait même pas ce qu’il pourrait lui dire tant il ne devrait pas être ici. Elle était bien la seule femme au monde capable de lui faire perdre son éloquence de la sorte car quand elle ouvrit la porte, il n’y avait plus le moindre mot pour franchir ses lèvres. Il resta là à la regarder en espérant qu’elle trouverait une raison à sa présence, elle.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
Si Maritza s'était figée en apercevant Sergio au bout du couloir, ce dernier avait fait de même. Quelques mètres les séparaient pourtant la matriarche vit bien que le regard de son ancien amant la détaillait de la tête aux pieds. Le rouge continua alors à lui monter aux joues tandis que ses doigts se crispaient un peu plus autour de sa serviette. « Je viens de rentrer. Je pensais que tu dormais. » Ce qu'elle aurait en effet dû être en train de faire si elle avait suivi son premier plan à savoir prendre une douche et non un bain. « Je suis rentrée il y a peu aussi... » murmura-t-elle, se sentant obligée de s'expliquer. Elle se maudissait de se justifier auprès de Sergio comme si elle lui devait des comptes. Elle était tout son toit et elle avait bien le droit de faire ce qu'elle voulait. Elle ouvrit la bouche, prête à s'excuser pour sa tenue, prête à lui expliquer qu'elle avait oublié son pyjama dans sa chambre mais se ravisa à la dernière seconde. Il n'avait pas besoin de savoir tout cela. Son manque de tenue parlait pour elle. « J’imagine que la salle de bain est libre maintenant ? » Par pur réflexe elle tourna la tête en direction de la dite pièce et se contenta de hocher affirmativement la tête. Il pouvait en effet y accéder mais le problème c'était qu'elle était toujours plantée au milieu du chemin et qu'elle ne parvenait pas à faire le moindre mouvement. La situation était parfaitement ridicule. Il suffisait à Mari de poursuivre son chemin, de saluer son ancien compagnon et d'aller s'enfermer dans sa chambre pourtant elle en était incapable. Sa respiration s'accéléra lorsque Sergio prit les devants et commença à avancer dans sa direction. Le pas du cinquantenaire ralentit lorsqu'il arriva à sa hauteur et le cœur de la mexicaine loupa un battement. « Bonne nuit. » Elle ferma les yeux, retint un soupir lorsqu'elle sentit ses lèvres se poser sur sa joue et marmonna un « bonne nuit » tardif qu'il n'entendit sans doute pas puisqu'il venait de refermer la porte de sa chambre derrière lui. Maritza resta quelques secondes de plus dans le couloir, incapable de savoir ce qu'elle devait faire.
Elle finit par retrouver ses esprits et se précipita dans sa chambre. Elle laissa tomber sa serviette sur une chaise et enfila une nuisette. Elle s'assit sur son lit, fixant le miroir qui se dressait devant elle. Que s'était-il passé dans ce couloir ? Pourquoi avait-elle réagi de la sorte ? Pourquoi son ventre s'était-il ainsi noué ? Ses doigts caressèrent distraitement son visage à l'endroit même où il l'avait embrassé. Elle s'engageait sur une pente glissante, en avait parfaitement conscience mais ne parvenait plus à stopper la descente. Elle secoua la tête et se glissa sous ses draps. Les yeux clos, la femme de ménage cherchait le sommeil. Elle avait beau essayer de penser à autre chose, son esprit était parasité par le visage de Sergio. Sa nuit passée dans ses bras au camp lui revenait par flash-back. Elle se tourna dans son lit, se retourna encore et encore, enleva le drap qui semblait l'étouffer. Rien n'y faisait, elle ne parvenait pas à penser à autre chose. Elle avait beau tenté de refréner ses envies et ses sentiments, elle en était incapable. L'attirance qu'elle éprouvait – et qu'elle avait toujours éprouvé – pour Sergio semblait plus forte que jamais et la tentation de le rejoindre était désormais quasi impossible à rejeter. Elle se redressa dans son lit, hésita quant à la marche à suivre mais n'eut pas le temps de s'interroger davantage qu'elle entendit taper à sa porte.
Elle sursauta et resta pétrifiée dans son lit. C'était lui. Le doute n'était pas possible. Que devait-elle faire ? Feindre de s'être endormie ? Se lever et risquer de commettre une erreur irréparable ? Parce que cette histoire n'était qu'une erreur, qu'une bêtise qu'elle ne devait pas faire, qu'ils ne devaient pas faire. Mari se décida enfin à bouger et se dirigea jusqu'à la porte. Elle inspira profondément, puisant en elle tout le courage qu'elle avait pour dire à son ancien mari qu'il fallait qu'il retourne se coucher. Ses doigts se posèrent sur la poignée de la porte et lorsqu'elle ouvrit cette dernière, elle se retrouva nez-à-nez face à Sergio. Son regard accrocha instantanément le sien, son cœur manqua un nouveau battement et elle déglutit difficilement avant d'articuler : « Ce n'est pas bien. » Parce qu'elle savait pertinemment pourquoi il était devant sa porte, parce qu'elle savait pourquoi il débarquait en plein milieu de la nuit. Pas besoin de tourner autour du pot, de demander avec une fausse innocence les raisons qui l'avaient poussé à agir de la sorte. Il ressentait la même chose qu'elle et s'il avait réussi à contenir ses pulsions et ses désirs, force était de constater que ce soir la tentation avait été plus forte. « On ne peut pas » ajouta-t-elle sans grande conviction dans un murmure alors qu'inconsciemment son corps se rapprochait de celui du manager. Quelques centimètres seulement les séparaient, ils étaient si proches qu'elle pouvait sentir le souffle chaud de Sergio glisser le long de son cou. Les réactions physiques de Maritza étaient en totale contradiction avec ses paroles. Alors qu'elle aurait dû reculer et fermer la porte derrière elle, elle n'avait de cesse de s'approcher de lui, si bien que sa poitrine frôla le torse du bellâtre. Ce simple effleurement fit s'effondrer les barrières qu'elle avait eu temps de mal à mettre en place et sans plus réfléchir, elle se mit sur la pointe des pieds, encercla le visage de Sergio de ses mains et déposa ses lèvres sur les siennes. Tant pis s'il ne fallait pas. Elle en avait envie. Son corps tout entier s'embrasa à ce simple contact et sans arrêter ce baiser qui semblait si salvateur, elle recula un peu plus dans sa chambre, invitant sans un mot Sergio à la rejoindre. S'ils voulaient arrêter les frais il fallait que le père de famille ait la force de mettre un terme à cela dès maintenant, Mari en était définitivement incapable.
made by black arrow
Cry me a river♛
You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be
❝Cry me a river ; Justin Timberlake❞
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I do not want to fight this anymore, I just want to lay back and watch you pin me to the bed. I used to call you my best friend, way back before you were my everything, now I'm sucking your neck. And you wrote my favorite song, now I'm fucked up and carrying on, I do not know the words to it yet, oh. And it hits me, I don't want anybody else touching you like I do, like I do, like me. Is it okay?
tw galipettes
Quand il était venu habiter sous ce toit, Sergio avait fait la liste mentale de tous les risques possibles. Mais celui-ci, il ne l’avait pas vu venir. Ce serait mentir que de dire qu’il n’avait pas fait son possible pour retrouver les bonnes grâces de Maritza, qu’il n’avait pas forcé le destin à plus d’une occasion pour avoir un peu de son temps ou de son attention. Il ne se cachait pas non plus du fait que les années n’avaient rien changé à l’amour qu’il portait à cette femme. C’était une horrible torture que de devoir accepter qu’elle ne lui appartenait plus et de voir les barrières qu’elle mettait entre eux. Les règles semblaient claires initialement. Puis, il avait fallu que sa résistance chavire, rien qu’un peu, et il en avait profité sans le moindre remord. Il la voulait, et s’il y avait une chance même minime pour qu’elle accepte de l’avoir à nouveau, alors il ne reculerait devant rien. Il avait commis bien assez d’erreurs pour savoir exactement ce qu’il ne referait plus. Il ne partirait pas cette fois, ne l’abandonnerait pas si elle avait besoin de lui. Il serait à ses côtés, peu importe le statut qu’elle lui attribuerait. Cet échange de baisers durant le stage de survie n’avait pas aidé à garder les choses au clair entre eux. Le simple fait de se retrouver dans la même pièce ces derniers jours avait été électrique. Alors il fallait qu’il sache. C’était le soir idéal, Alejandro était profondément endormi, personne ne rentrerait à la maison à cette heure-ci. Ils pourraient avoir un moment d’intimité, que ce soit pour discuter de cette situation ou pour autre chose. Le fait est qu’à peine la porte ouverte, l’homme sut qu’ils n’auraient rien à se dire. Ils avaient déjà parlé, encore et encore, sans jamais avancer. Elle lui en voulait, elle ne voulait pas lui accorder sa confiance, il ne demandait qu’à essayer. Le cœur échappait à toute forme de rationalité qu’ils pourraient formuler, même avec la meilleure volonté. Cela avait toujours été leur problème, celui qui les avaient menés aux pires décisions. Ils s’aimaient au-delà de toute raison. Et non, ce n’était pas bien. « Je sais. » Il ne devrait pas être devant sa porte. Il ne devrait pas profiter de sa faiblesse. Il aurait dû rester couché dans son propre lit, à sa place. Il n’avait aucun droit de continuer de la désirer, encore moins de venir la réclamer. Pourtant, ni l’un ni l’autre ne bougeaient pour faire autre chose que se rapprocher. « Pourquoi ? » Il attendait qu’elle lui dise, lui offrait une chance de récupérer sa raison. Il ne ferait rien qu’elle ne voulait pas. Mais elle ne pourrait pas compter sur lui pour être l’adulte raisonnable car il n’en avait aucune intention. Il avait perdu pied dès la seconde où elle s’était rapprochée de tellement près qu’il pouvait sentir son parfum, la chaleur de son corps, et son souffle contre sa peau. Il lui fallut tout son self-control pour ne rien initier. Puis, ils s’effleurèrent. C’était perdu. Dès la seconde où elle l’embrassa, entourant son visage de la douceur de ses doigts, les bras masculins vinrent s’enrouler autour de sa taille pour l’empêcher de s’enfuir. Il lui rendit ce baiser avec passion. Cela n’avait rien de comparable avec ce qu’ils avaient partagé dans l’abri. C’était brûlant, fougueux, sans retenue. L’expression même de tout ce qu’ils avaient dû retenir ces derniers mois. Maladroitement, il suivit les pas de la brune, poussant la porte du pied. Il la fit reculer jusqu’à ce qu’ils heurtent le lit où il la déposa délicatement. Sur elle, entre ses cuisses, il rompit le baiser pour reprendre son souffle. Cela ne dura qu’une seconde avant qu’il ne dérive pour embrasser son menton, sa mâchoire, sa gorge, le creux de son cou. Il se laissait enivrer par son parfum, l’une de ses mains se déposant sur sa cuisse pour remonter, lentement, emportant le tissu de la nuisette avec lui. « Tu m’as tellement manqué. » Il se redressa un peu pour pouvoir l’admirer et s’imprégner du moment. Il aurait pris tout ce qu’elle accepterait de lui offrir. Mais qu’elle s’offre à lui lui rappelait qu’ils s’étaient promis à l’autre, un jour. L’alliance avait quitté son doigt depuis longtemps, mais il n’en avait jamais oublié la sensation. Avec un peu plus de délicatesse, il se repencha sur ces lèvres pour mieux les savourer. Il profiterait, des fois que cela ne soit qu’un dérapage unique.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
« Je sais. » Il savait pourtant il était là, devant sa porte, son regard plongé dans le sien. A cet instant, même si elle refusait de l'admettre, Maritza avait su qu'il ne reculerait pas, qu'il ne ferait pas demi-tour. Aucun des deux n'en avait ni la force ni l'envie. A l'inverse ils se rapprochaient l'un de l'autre, attirés tels deux aimants. Alors qu'elle tentait une dernière fois de se montrer raisonnable en lui disant qu'ils ne pouvaient pas encore agir de cette manière, il lui posa une simple question : « Pourquoi ? » Simple question à laquelle elle était incapable de répondre. Il y avait pourtant des dizaines d'arguments allant en ce sens, des dizaines d'arguments qui pouvaient justifier le fait que c'était une énorme erreur mais aucune ne franchit la barrière des lèvres de Maritza. Elle avait refréné ses envies et ses désirs depuis bien trop longtemps pour pouvoir leur résister une seconde de plus. Alors la matriarche arrêta tout simplement de réfléchir et céda à ses pulsions. Ses mains encerclèrent le visage du mexicain et alors qu'elle posait ses lèvres sur les siennes, elle le sentit enrouler ses bras autour de sa taille. Un gémissement échappa hors de ses lèvres sans qu'elle ne cesse pour autant de l'embrasser. Comme un automatisme, elle recula sans jamais le lâcher. Une vague de chaleur gagnait tout son être tandis que ses mains grimpaient jusque dans les cheveux du bellâtre. La façon dont il pressait ses lèvres contre les siennes prouvaient à Mari qu'il en avait autant envie qu'elle. Ils avaient dérapé lors de leur nuit au camp mais cela avait été chaste, pur, un moment de tendresse, d'égarement. Ce soir il ne s'agissait pas d'égarement, il s'agissait de laisser parler leurs émotions et leurs désirs. Maritza avait toujours aimé Sergio et bien qu'elle avait tenté de faire taire ses sentiments, elle devait bien admettre qu'ils n'avaient jamais disparu.
Elle sentit ses jambes toucher le lit et avec délicatesse il l'allongea dessus. Lorsqu'il décolla ses lèvres des siennes, une petite plainte mécontente échappa à Mari. Elle fronça les sourcils mais son visage se détendit dès qu'elle le sentit parcourir son visage de baisers. Chaque fois qu'il en déposait un sur son corps elle sentait des frissons la parcourir. Son bassin n'avait de cesse de se soulever, cherchant à maintenir le contact avec cet homme qui avait toujours su comment lui faire prendre du plaisir. Il était indéniable qu'ils ne s'arrêteraient pas là. Mari n'en avait pas la moindre envie. Elle avait fait taire définitivement la partie raisonnable de son cerveau et se contentait de suivre ce que lui dictait son cœur. La main de Sergio glissa le long de sa jambe et alors qu'il lui disait : « Tu m’as tellement manqué. » Elle se redressait pour l'embrasser à nouveau, sa jambe s'enroulant naturellement autour de son bassin.
La mexicaine n'avait désormais plus aucune retenue. C'était comme si tout ce qu'elle avait retenu depuis des années mais surtout depuis qu'ils vivaient à nouveau sous le même toit venait d'exploser en elle. Ses baisers étaient plus appuyés, son corps en voulait plus comme le prouvaient ses mains qui après avoir caressé ses cheveux s'attaquaient au tee-shirt de Sergio. Avec agilité elle le lui retira, le jeta dans un coin de la pièce et laissa ses doigts glisser sur son torse musclé. Un sourire ravi illumina son visage alors qu'elle murmurait : « Si tu savais le nombre de fois où j'ai rêvé de cela... » L'aveu était fait. Peut-être qu'elle le regretterait au petit matin mais pour le moment ce n'était pas le cas. Elle profita de cet instant pour basculer et pour échanger leur position. A son tour de se retrouver au-dessus de l'agent. Ses lèvres parcourir avec avidité son torse alors qu'elle sentait un feu ardent brûler en elle. Mécontente de voir qu'un pantalon la séparait encore de Sergio, Mari s'obstina à vouloir l'enlever sans jamais décoller sa bouche de son buste. Elle glissa ses mains, défit le lacet et tenta d'enlever le morceau de tissu qui commençait à la frustrer. Elle fit un mouvement, puis un deuxième, tira avec plus de force.
Elle ne comprit pas tout de suite ce qui lui était arrivé, seulement qu'elle avait réussi son objectif : le pantalon était dans ses mains. Mais elle... Elle n'était plus sur le lit, mais les fesses sur la moquette. Elle releva le visage, vit la tête de Sergio se pencher par-dessus le rebord, et avant qu'il ne se mette à rire aux éclats, lui dit avec une fausse fermeté: « Tu ris, et on arrête là... » la menace était réelle, mais elle ajouta avec un sourire provocateur : « ...Mais sache que je n'ai aucune envie d'arrêter maintenant » et joignant le geste à la parole, elle remonta lentement sa nuisette. Plus rien ne semblait la freiner.
made by black arrow
Cry me a river♛
You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be
❝Cry me a river ; Justin Timberlake❞
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I do not want to fight this anymore, I just want to lay back and watch you pin me to the bed. I used to call you my best friend, way back before you were my everything, now I'm sucking your neck. And you wrote my favorite song, now I'm fucked up and carrying on, I do not know the words to it yet, oh. And it hits me, I don't want anybody else touching you like I do, like I do, like me. Is it okay?
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Dernière édition par Sergio Gutiérrez le Lun 13 Nov 2023 - 18:30, édité 1 fois
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be
❝Cry me a river ; Justin Timberlake❞
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I do not want to fight this anymore, I just want to lay back and watch you pin me to the bed. I used to call you my best friend, way back before you were my everything, now I'm sucking your neck. And you wrote my favorite song, now I'm fucked up and carrying on, I do not know the words to it yet, oh. And it hits me, I don't want anybody else touching you like I do, like I do, like me. Is it okay?
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be
❝Cry me a river ; Justin Timberlake❞
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I do not want to fight this anymore, I just want to lay back and watch you pin me to the bed. I used to call you my best friend, way back before you were my everything, now I'm sucking your neck. And you wrote my favorite song, now I'm fucked up and carrying on, I do not know the words to it yet, oh. And it hits me, I don't want anybody else touching you like I do, like I do, like me. Is it okay?
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be
❝Cry me a river ; Justin Timberlake❞
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I do not want to fight this anymore, I just want to lay back and watch you pin me to the bed. I used to call you my best friend, way back before you were my everything, now I'm sucking your neck. And you wrote my favorite song, now I'm fucked up and carrying on, I do not know the words to it yet, oh. And it hits me, I don't want anybody else touching you like I do, like I do, like me. Is it okay?
tw y a de la visite
De là, les minutes donnèrent l’impression de ressembler à des heures. Sergio tournait en rond, seul dans cette chambre. Est-ce qu’il était supposé rester, retourner dans la sienne ? Est-ce qu’il se ferait repousser quand Mari reviendrait, ou est-ce qu’ils reprendraient là où ils s’étaient arrêtés ? Le mexicain s’imaginait difficilement passer la nuit ailleurs que dans les bras de son ex-femme. Au bout de peut-être dix minutes, il se décida finalement à sortir de la pièce pour se diriger vers les escaliers, en direction de la chambre d’Alejandro. Mari était là, à son chevet. Sergio, lui, resta contre l’encadrement de la porte. « Tout va bien bonhomme ? » Le garçon hocha juste mollement la tête en s’accrochant à l’une de ses peluches. Il n’avait pas l’air de vouloir parler, plutôt de vouloir dormir. Pour cette raison notamment, le patriarche se tint à l’écart, attendant patiemment jusqu’à ce qu’elle se relève pour sortir de la chambre. A peine la porte refermée, Sergio ne put retenir sa curiosité. « Ca va aller ? Est-ce qu’il a dit quelque chose ? » demanda-t-il dans un murmure quelque peu inquiet.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
Tremblante, Maritza tentait tant bien que mal de remettre sa nuisette dans le bon sens. Il avait fallu très peu de temps à Sergio pour le lui enlever mais l'enfiler à nouveau semblait au-dessus de ses capacités. Elle n'avait de cesse de s’emmêler les pinceaux. Elle parvint enfin à passer sa tête dans l'encolure du morceau de tissu lorsque son ancien mari tenta de la rassurer : « Non, il n’a probablement pas eu le temps. » Elle ne prit même pas la peine de lui répondre ou bien même de le regarder. Lui comme elle savaient que c'était faux. A part un miracle – et Mari ne croyait plus aux miracles depuis bien longtemps – il y avait peu de chance pour qu'Alejandro ne les ait pas vus nus. Mon dieu ! Qu'allait-elle lui dire ? Comment pourrait-elle justifier leur comportement ? Elle sentit les larmes lui monter aux yeux alors que ses jambes flageolaient. Elle n'aurait su dire si son corps réagissait au stress, à l'adrénaline ou bien au désir qu'il ressentait encore. Dans tous les cas, elle avait piètre allure lorsqu'elle se retourna en direction de Sergio pour lui dire qu'elle devait aller voir leur fils. « Je comprends » Lui aussi s'était rhabillé, bien plus habilement et rapidement qu'elle n'avait su le faire. « Attends » Il s'approcha d'elle, glissa une mèche de cheveux derrière son oreille alors qu'elle en profitait pour fermer les paupières. Il fallait qu'elle se calme. Elle ne pouvait pas arriver auprès d'Ale telle une hystérique. Lorsqu'elle sentit les lèvres de Sergio se poser sur son front, elle inspira profondément, cherchant à emmagasiner le plus de courage possible. La réalité était néanmoins tout autre : elle n'avait aucune envie de sortir de cette chambre, aucune envie d'affronter le regard de son fils. Il n'avait beau être qu'un enfant, elle craignait de découvrir ce qu'il cacherait derrière ses pupilles.
Après quelques secondes, Mari finit par contourner Sergio et se rendit dans la chambre de son fils. Il était sous les draps, les yeux grands ouverts, fixant le plafond. Elle s'approcha du lit, hésita quelques instants puis s'assit sur le bord du lit : « ¿ Qué pasa, hijo ? » Sa voix était douce tandis que sa main glissait dans ses cheveux. Elle plongea son regard dans le sien encore un peu endormi alors qu'il chuchotait : « J'ai mal au ventre... » Les doigts de la matriarche glissèrent sur son front et avec soulagement elle constata qu'il n'avait pas de fièvre. Elle lui fit un tendre sourire et murmura : « Ne bouge pas, je reviens. » Elle sortit de la chambre, se rendit dans la salle de bain. Alors qu'elle cherchait la bouillotte, elle croisa son regard dans le miroir. Elle suspendit son geste, lisant la honte dans son reflet. La honte mais aussi... Une lueur d'épanouissement. Elle était en train de retomber dans ses travers, de retomber dans les bras de cet homme qui l'avait fait tant souffrir par le passé. Elle secoua la tête. Ce n'était pas le moment de perdre du temps à penser au bien-être que Sergio lui avait procuré, au bonheur d'avoir partagé cet instant avec lui. Elle remplit la bouillotte d'eau chaude puis retourna auprès de son fils. Elle la déposa sur son haut de pyjama et lui caressa une nouvelle fois les cheveux. Les secondes s'écoulèrent avant qu'il ne lui dise en souriant : « Merci Mama. » Maritza avait coupé sa respiration, attendant la boule au ventre qu'il lui parle de ce qu'il avait vu mais il n'en fit rien. Elle resta quelques minutes de plus à ses côtés, fredonnant la berceuse qu'elle lui chantait lorsqu'il était petit. « Tout va bien bonhomme ? » Sergio était dans le dos de la mexicaine qui n'osait pas le regarder. Au lieu de ça elle observa son fils hocher la tête et serrer sa peluche contre son corps. Elle déposa un baiser sur son front, remonta le drap jusqu'à son cou et s'éclipsa alors qu'elle le voyait déjà refermer ses paupières. Elle sortit dans le couloir, referma la porte derrière elle et soupira longuement. « Ca va aller ? Est-ce qu’il a dit quelque chose ? » Maritza fixait ses pieds lorsqu'elle lui répondit : « Il a mal au ventre. » C'était tout ce qu'il lui avait dit, rien d'autre. Il n'avait fait aucune allusion à ce qu'il avait éventuellement pu voir et la mère devait admettre que cela la soulageait quelque peu. Elle finit par se décaler et par s'éloigner de la chambre de son fils. Pas question qu'elle reste là plus longtemps. Alors qu'elle s'apprêtait à retourner dans sa chambre, elle s'arrêta, se retourna pour observer Sergio qui était toujours planté devant la porte d'Alejandro. Elle accrocha son regard, hésita de longues secondes puis demanda : « Tu viens ? » Ses joues s'empourprèrent de nouveau alors qu'elle savait pertinemment qu'elle faisait une erreur. Elle murmura : « Je n'ai aucune envie de dormir seule. » Pas après ce qu'ils venaient de vivre. Pas après avoir senti le cœur de Sergio battre contre le sien. Le tendre sourire qu'elle lui adressa acheva sans doute de le convaincre parce que bientôt il était à ses côtés. Elle glissa ses doigts aux creux des siens et retourna dans sa chambre. Elle ferma la porte et cette fois-ci pensa bien à la verrouiller.
Maritza lâcha la main de Sergio et lasse se dirigea jusque vers son lit. Elle se glissa sous les draps et lui dit : « On va mettre un réveil. » Sous-entendu il allait devoir se lever plus tôt pour regagner sa chambre avant le lever du soleil, c'était la seule condition pour qu'elle accepte de dormir avec lui. Le sourire amusé qu'elle lui lança lui montrait bien qu'elle ne lui tenait pas rigueur de ce qui s'était passé. Après tout... C'était elle qui n'avait pas su résister à ses charmes, elle qui avait franchi la ligne rouge en l'embrassant, en l'entraînant dans sa chambre. Elle souleva la couette pour lui faire comprendre qu'elle lui faisait une place à ses côtés. Pour une nuit. Juste une. C'était ce dont elle essayait désespérément de se convaincre quand son cœur lui criait qu'elle l'aimait à en crever.
made by black arrow
Cry me a river♛
You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be