ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I was born smarter than most into this world of disarray. I was told to listen to all the dumb shit people say but I dig wisdom from my own well and I never had a moment of doubt. I worded a thesis at six years old that had the world all figured out, it goes : women - men, that's two kinds of trouble. Enemies - friends, just two kinds of trouble
Dire que Sergio était débordé aurait été un euphémisme. Entre la création de son agence, la maison et Paola à mi-temps, il ne se souvenait pas de la dernière soirée passée à profiter de son temps. Son emploi du temps restait idyllique d’un point de vue extérieur au vu du nombre de déjeuners extérieurs et de rencontres avec des clients. Mais chaque contact qu’il avait avec son cercle semblait soit être familial, soit professionnel. Cela faisait quelques jours (ou semaines ?) désormais qu’il avait parlé à Lara, implicitement promis de passer au club. Lui qui avait pris ses quartiers au Paradise fut un temps semblait vouloir se faire oublier. Pourtant, quand il passa enfin le pas de la porte, il eut droit au même traitement de faveur que d’habitude. Les filles l’accueillirent comme s’il était leur client préféré et il lui sembla voir un enthousiasme sincère. Sans doute parce que chaque dollar qu’il n’avait pas à payer dans ses verres finissait en pourboire. Il les avait observées, s’était demandé avec un certain amusement lesquelles d’entre elles l’appelaient ‘daddy’. Lara n’avait pas été particulièrement loquace sur le sujet et son ego devait admettre vouloir en savoir plus. Ses manières, en revanche, imposaient le silence, le sourire aimable et les politesses amicales. Comme d’habitude, il fut installé à sa table préférée, celle qui permettait une vue d’ensemble sur le club sans être trop proche du rebord de la scène, réservée au profil de clients qu’il méprisait particulièrement. Sans même qu’il n’ait à demander, le fameux whisky lui fut servi sec, sans glaçons. Les billets glissés sur la table, et il n’eut plus qu’à siroter en contemplant ce qui se passait. Rien n’avait changé dans l’ambiance du club. Que ce soit la qualité du spectacle, du service, ou le prestige qui émanait de l’atmosphère. Si l’investissement de base pour ce club pouvait paraître risqué, Sergio ne se faisait aucun souci pour sa capacité à prospérer dans le temps. D’autant plus s’il continuait d’être privilégié de la sorte. Et pourtant, seul à sa table, quelque chose semblait différent. Son regard s’attardait moins, son esprit n’envisageait pas une seule seconde de réserver une danse privée. Il ne profitait pas autant qu’il l’aurait voulu, attendant juste patiemment que Lara apparaisse dans son champ de vision. Il était après tout venu pour la voir plus que pour profiter de ce qui se tramait sur scène. C’était une curieuse sensation que de vouloir être à la maison plutôt qu’à s’amuser. Maritza lui lancerait certainement un de ses savants regards noirs si elle le savait ici. Ce n’était pas comme s’il avait des comptes à rendre ; après tout, une nuit ensemble était bien loin de vouloir signifier qu’elle était prête à lui pardonner. Mais le fait qu’il soit prêt à tout pour essayer de regagner ses bonnes grâces signifiait qu’il y aurait des concessions à faire, dont le Paradise. Elle méritait au moins cette forme de respect. Finalement, du coin de l’œil, il vit enfin la propriétaire des lieux apparaître. Elle n’était pas difficile à identifier, il suffisait de chercher la jeune femme en rose. Une des filles s’approcha d’elle pour lui susurrer quelque chose à l’oreille et il se pencha doucement du siège pour trinquer en sa direction dès que son regard se tourna vers lui. Ce ne fut qu’une question de secondes avant qu’elle ne le rejoigne, naviguant entre les sièges avec cette prestance qui ne passait jamais inaperçue. « Je commençais à me demander si tu étais là ce soir ou si tu étais occupée avec l’un de tes multiples projets. » Il avait tiqué sur la mention du centre, il ne pouvait pas le nier. Il avait un certain chic pour vouloir investir son argent dans des endroits qui ne lui demanderaient pas de travail mais assureraient des revenus. « Nouvelle recrue ? » demanda-t-il nonchalamment en pointant du menton la blonde sur la scène. Il ne ferait pas l’affront à Lara des banalités mondaines.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Si ton téléphone pouvait arrêter de sonner, cela t'arrangerait grandement. Voilà ce que tu te dis alors que tu refermes la porte du bureau que tu viens de quitter et l'appel que tu viens de terminer. La nuit est peut-être tombée sur Brisbane et pour certains, c'est le moment de ne plus décrocher leur téléphone justement, d'oublier tous leurs problèmes et de se laisser aller. Pas pour toi, il faut toujours gérer le club, le club doit tout de même tourner, il y a tous les détails à régler et il y a toujours toutes ces choses que tu as sur le feu. Peut-être que tu as vu trop grand, il y a encore des fonds à mettre dans la rénovation de ton dernier bien immobilier. Visiblement, réparer la tuyauterie va nécessiter plus de travail que prévu, et l'autre propriétaire des lieux n'est pas disponible. Il est à Bali avec sa copine du moment et il s'attend à ce que tu t'occupes de tout ça. Il attend toujours ta liste d'investisseur potentiels et la présentation que tu lui as promis car tu as retravaillé le projet et peaufiner un peu plus l'idée après ta discussion avec Evelyn. Et il y a toujours le club, la police qui commence à renifler trop près pour une histoire stupide. Et c'est tout aussi stupide qu'on vienne te voir parce qu'une des danseuses ne trouve pas sa tenue, une autre va être en retard d'une heure et... Tu pousses un soupir, tu remontes ta robe bustier rose sur ta poitrine et tu trouves des solutions. Quand tes talons claquent quelques moments plus tard, c'est quand tu diriges vers la salle principale, tu as retrouvé tes longs gants roses au passage, ils agrémentent ta tenue et te couvrent un peu plus, mais ce n'est pas comme si c'était ce que tu cherchais à faire, pas vrai ? Tu supposes que de loin, tu as l'air en contrôle et en passant près des tables, tu repères automatiquement Sergio. Seul. Tu n'as pas besoin de jouer des coudes pour le rejoindre, du tout même, on s'écarte presque sur ton passage et quand tu finis par l'atteindre, tu hausses les épaules. Seulement pour t'emparer de son verre à lui et le vider sans aucune hésitation. Pas très poli et le whisky te brûle un peu trop la bouche, tant pis, tu vas en avoir besoin. "Je suis là, je tiens à peine debout mais je suis là." C'est le plus important, tu portes ton attention toi aussi sur la scène, et tu tires la chaise à côté de lui alors que tu réponds. "Hmm ? Non, nouvelle perruque, elle est là depuis longtemps." Les hommes sont vraiment des créatures fascinantes, voilà ce que tu te dis l'instant suivant, te tournant de nouveau vers Sergio. Le temps est passé depuis votre dernière conversation de visu et il a loupé beaucoup de choses. Mais ce n'était pas comme si vous étiez particulièrement proches et que tu devais lui donner de tes nouvelles, pas vrai ? Ce n'est pas comme cela que tu le vois, c'est un partenaire d'affaires avant tout, ni plus, ni moins, pas besoin d'y voir autre chose ou de voir sa présence comme rassurante. "Mais je ne devrais pas être étonnée, pas comme si vous passiez au club pour poser des questions personnelles et envahissantes à mes danseuses pas vrai ?" Du tout, Sergio est comme toi, il n'aime pas perdre son temps, il va droit au but et si tu sais qu'il apprécie le club, son atmosphère et ses services, cela ne peut pas être la seule raison de sa venue, pas vrai ? Tant pis, tu décides de jouer les idiotes, le reste commence à devenir un peu trop fatiguant. "Comment va Paola? Ça fait depuis une éternité que je n'ai pas vu cette petite." Depuis très longtemps, tu ne peux pas mettre des séances de baby sitting dans ton emploi du temps en ce moment."Oui, c'est elle ma préférée, je le redis au cas où ce n'était pas clair par message." Il a le droit à un clin d'oeil. "Mais vous n'êtes pas là pour échanger des plaisanteries, je me trompe ?"
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I was born smarter than most into this world of disarray. I was told to listen to all the dumb shit people say but I dig wisdom from my own well and I never had a moment of doubt. I worded a thesis at six years old that had the world all figured out, it goes : women - men, that's two kinds of trouble. Enemies - friends, just two kinds of trouble
C’était bien la première fois qu’il voyait Lara aussi à bout. Elle avait fière façade, semblait aussi pimpante qu’à son habitude. Mais sa démarche et la manière dont elle attrapa le verre de whisky en disait long sur la semaine qu’elle venait probablement de traverser. Il était empathique mais chez lui, cela se traduisit par un sourire quelque peu moqueur. « On termine par s’y faire. » Les journées qui n’avaient que vingt-quatre heures, le temps libre quasiment inexistant, la moindre heure à rentabiliser, les nuits courtes, la sensation que le moindre moment d’inattention risquait de causer un désastre d’un côté ou de l’autre. Mais il n’était pas inquiet pour la brune. Elle avait de la ressource. Elle survivrait. Il reporta vaguement son regard sur la danseuse pour observer son visage et essayer de se remémorer ses traits. C’était peine perdue. Soit l’homme avait définitivement laissé son attention être happée par autre chose sur son anatomie, soit cela signifiait qu’il n’avait pas mis les pieds ici depuis bien trop longtemps. « Ah bon. » Il ne s’en embarrassa pas vraiment. C’était sans doute plus pour faire la conversation que pour marquer un réel intérêt. Il ne serait pas un client bien intéressant ce soir et Sergio savait déjà pertinemment qu’une fois la conversation et le verre terminés -Lara avait bien contribué pour ce dernier-, il prendrait congé. Les employées du club n’avaient pas à s’en faire. « Ou pour parler tout court. Même si je suis certain qu’elles sont absolument fascinantes. » Ce n’était pas par mépris mais plutôt par respect. Malgré ses accès privilégiés, il restait un client qui venait ici pour le plaisir des yeux. Il ne voyait aucun intérêt à essayer de dépasser la frontière du professionnel. Dans le meilleur des cas il connaissait des prénoms et quelques anecdotes de leur carrière. Il ne connaissait rien de qui elles étaient en dehors du club et il aimait le fait que ce soit mutuel. Il ne pouvait pas en dire de même avec Lara, le hasard d’une rencontre dans la rue les ayant menés à se voir bien plus souvent qu’il n’aurait pu l’imaginer. Ce n’était clairement pas Paola qui s’en plaindrait. « Elle va bien. Elle préfère se déplacer sur ses fesses plutôt que sur ses pieds et attrape absolument tout ce qui lui passe sous la main. » Ce qui la transformait en un adorable danger ambulant. Le moindre objet traînant sur la table pouvait potentiellement devenir une arme redoutable. Quant à ce qui se trouvait au sol, tout ce qui était sur son passage finissait soit dans ses mains, soit dans sa bouche. Un chaos quotidien dès qu’ils se retrouvaient en extérieur. « Elle serait sans doute ravie de te voir mais je me vois mal l’amener ici. » Il y aurait de légers problèmes éthiques, et de considérables problèmes avec Maddy. Personne ne voulait ça. Ceci dit, il était sincèrement prêt à organiser une rencontre dans les temps à venir pour confier sa fille à Lara. Pour être franc, elle était bien l’une des seules personnes de confiance qu’il connaissait avec la petite. Il n’était même pas fâché de s’être fait voler la vedette quand il voyait leur lien. « Le message est bien passé. » Il ne se laisserait jamais habiller en rose de la tête aux pieds. A partir de là, il était évident que Paola gagnait le cœur de Lara haut la main. Mais finalement, le sérieux reprit le dessus. Ils étaient deux personnes incroyablement occupées et même s’il était pressé de rentrer, Sergio redoutait légèrement cette discussion. « Non, en effet. Je voulais parler affaires. » Ou plutôt, le manque d’affaires. Leur arrangement était parfait à avoir sous le coude et lui avait servi bon nombre de fois désormais mais il ne pouvait plus l’assurer de front pour différentes raisons. « Cela me paraît plus poli que de disparaître sans un mot. » Ce n’était pas comme si Lara comptait sur lui pour ramener des clients, ou comme s’il y avait un contrat entre eux. Mais il avait assez de respect pour la jeune femme pour se montrer honnête sur la situation. « Sauf si tu as d’autres endroits où être. » Car sans elle, ce club ne tournerait pas rond, n’est-ce pas ?
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
À quand remonte la dernière fois que tu as pu t'asseoir ? Cela remonte certainement à quelques heures. Voilà ce que tu te dis alors que tu envahis, littéralement en plus, l'espace de Sergio. Mais cela pourrait être pire, tu pourrais être assise sur ses genoux, à l'écouter raconter sa vie et même se lamenter alors que tu déhanches au son des basses. Pas de cela pour le moment et tu n'as pas de clients à toi avant quelques heures alors... autant se détendre, pas vrai ? Ou pas, la présence de l'autre homme signifie tout et rien à la fois, ça peut autant être une opportunité qu'une visite de courtoisie. Quoi que. Tu doutes que ce soit la dernière option quand il est concerné. "Hmm... Il ne faudrait pas oublier que vous n'êtes qu'un homme, Monsieur Gutiérrez." Voilà ce que tu réponds, pour l'embêter, alors qu'il te fait remarquer que les conversations ici doivent voler bien haut. Tu ne t'offusques pas pour si peu, Sergio le sait et le remettre lui à sa place ? Pfff... ça n'aurait absolument aucun intérêt et ça serait prévisible au possible. Tu préfères prendre de ses nouvelles, véritablement intéressée pour le coup et pas du tout hypocrite. Il parle de sa petite fille avec le même air que tous les pères de famille, donc forcément, c'est une bonne chose à tes yeux et il a même le droit à un léger sourire de ta part. Léger, il disparait aussi vite qu'il est arrivé alors que tu répliques: "Ouais et puis j'ai une réputation à tenir, il ne faudrait pas que ça se sache que je fais dans le favoritisme... quand même." Quand même, et Paola n'aurait pas sa place ici. Blague ou non d'ailleurs. Sergio réoriente facilement la conversation, ça ne t'étonne pas vraiment maintenant que tu y penses et il te confirme la raison de sa venue."Hey je suis la patronne." Tu hausses les épaules, croisant déjà les bras sur ta poitrine. Il a l'air trop sérieux et quand il parle de disparaitre sans un mot... tu préfères ne pas relever. Autant jouer les idiotes et ne pas mettre des mots dans sa bouche, c'est toujours la meilleure façon de procéder. "Donc je peux faire absolument tout ce que je veux." Que ce soit au club ou dans la vie de tous les jours d'ailleurs. "En quoi je peux vous être utile ?" Tu détaches ton regard de la scène, pour te tourner vers lui, tes coudes se posent sur la table, ton regard est sur Sergio, signe plus qu'évident qu'il a toute ton attention."C'est quoi cette fois-ci ? Un acteur qui veut faire privatiser tout le club pour une soirée de débauche ?" Cela est arrivé et ça ne va pas t'étonner, ça rapporte toujours gros ce genre de contrat et ce même si ça implique une organisation monstre en amont. Mais la paye est souvent colossale et ça en vaut clairement la chandelle, tu es plus que jamais motivée par les bénéfices en ce moment, c'est tout ce que tu vois et la seule chose qui te pousse à sortir de ton lit le matin en réalité. "Un réalisateur qui a besoin d'inspiration et qui va venir la pêcher dans mon décolleté ou celui d'une de mes danseuses ?" Tu tires légèrement la langue en disant cela, parce que les hommes sont prévisibles à souhait, mais tu ne t'en plains pas, sans cela, Paradise City et tous les autres lieux comme celui-ci n'existerait pas vraiment. "On peut tout faire, ça vous le savez déjà." Je peux tout faire, voilà ce que tu veux ajouter en réalité, mais le sous-entendu est là, Sergio le sait très bien et c'est à lui de prendre la parole et de t'expliquer la raison de sa venue. Que ce soit dramatique ou non, tu es certaine que tu peux tout entendre, après tout, Sergio n'est pas juste un client et pas juste un simple collaborateur. Il a su gagner ton respect depuis tout le temps et ce n'est pas le cas de tout le monde, malheureusement pas.
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I was born smarter than most into this world of disarray. I was told to listen to all the dumb shit people say but I dig wisdom from my own well and I never had a moment of doubt. I worded a thesis at six years old that had the world all figured out, it goes : women - men, that's two kinds of trouble. Enemies - friends, just two kinds of trouble
Sergio était un homme intéressé. S’il avait commencé par fréquenter le club où travaillait Lara avant pour le plaisir des yeux, ses intérêts aujourd’hui étaient bien différents. Il ne nierait pas apprécier le traitement de faveur et cette sensation de n’avoir qu’à claquer les doigts pour avoir ce qu’il désirait. Mais le Paradise l’intéressait notamment parce que cela lui avait rapporté de l’argent… et quelques déconvenues professionnelles également, comme avec Vince. De ce fait, il n’était pas du genre à se laisser endormir par un corps aux jolies formes ou par une danse sensuelle. Homme ou non, il ne connaissait que trop bien les combines des lieux pour être le pigeon de service. « C’est incroyablement réducteur venant de toi. » Son sourire prouvait qu’il n’était en rien offusqué ou heurté. Il osait croire que la patronne des lieux avait une opinion un tantinet plus élevée de lui que cela. Il n’aurait probablement pas eu droit à son attention autrement, et ils ne parleraient pas de la vie en dehors du club. Dieu sait que Sergio n’aurait jamais discuté de sa vie privée avec une danseuse, autrement. C’était toutefois différent maintenant que Paola était définitivement attachée à la Pearson et possédait bien trop de rose dans sa garde-robe pour ignorer le passage de la jeune femme dans sa vie. « Je suis certain que c’est parfaitement imperceptible. » Il était sarcastique. Dans les faits, il n’avait rien contre le favoritisme, encore moins quand il en bénéficiait. Les privilèges se méritaient, il suffisait de travailler pour les obtenir. Cela fonctionnait dans bien des aspects de la vie. Dans le cas présent, à la manière qu’avait la brune de courir partout encore quelques minutes plus tôt, même une nouvelle recrue n’aurait pas de mal à comprendre qu’il n’était pas le client lambda, si la patronne lui accordait de l’intérêt. « Je ne vais pas me plaindre. Est-ce que je dois redemander un verre ? » Des fois qu’elle soit tentée de lui voler à nouveau. Il n’attendit pas sa réponse pour prendre le verre et le lever en direction de l’une des serveuses qui hocha la tête et fit demi-tour. Le mexicain sortit un billet de cinquante dollars qu’il déposa sur la table. La distraction lui permit de rester silencieux alors que Lara listait les cas de figure qui auraient pu amener l’agent à avoir besoin de ses services. Il n’avait pas hâte de cette discussion mais cela ne l’empêcha pas de sourire comme si la brune n’avait que des hypothèses plausibles. Le fait est que depuis le lancement de GCA, il se faisait bien plus frileux à user de stratégies moins conventionnelles pour s’attirer les faveurs et les contrats. Mais c’était loin d’être la principale raison, et il finit par le concéder. « Non, rien de tout ça. Pour être parfaitement honnête, j’ai exploré d’autres approches pour séduire mes partenaires d’affaires récemment. » Soirées huppées, restaurants et bars hors de prix, invitations à des événements select, présentations à des personnages de renom. C’était idéal pour flatter les egos et prétendre que des individus étaient plus intéressants qu’ils ne l’étaient vraiment. C’était aussi redoutable sur les femmes. « Rien ne fonctionne comme le club pour offrir une expérience mémorable, ceci dit. » Mais ces stratégies étaient d’une banalité affligeante. Il pouvait montrer qu’il avait de l’argent, des relations, mais il ne créait pas les souvenirs mémorables de la sorte. La serveuse lui déposa son verre, elle eut droit à son pourboire, et l’agent savoura une gorgée avant de se résoudre à en arriver aux faits. « Mais j’ai mes raisons pour vouloir prendre mes distances. » Avec le club, les danseuses, les activités nocturnes qu’il ne saurait pas expliquer à Maritza. « Je peux évidemment continuer de t’envoyer des clients. Je ne les accompagnerai juste plus. » Ce n’était pas idéal, ce n’était pas le moment de partage auquel il aspirait. C’était cependant le seul compromis qu’il voyait qui pourrait leur bénéficier à tous les deux. Ce n’était de toute manière pas comme s’ils avaient signé un contrat. Tout se basait sur la confiance et dès lors que les clients envoyaient se comportaient bien et que la facture était réglée à la fin de la soirée, tout le monde y gagnerait. N’est-ce pas ?
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
"Est-ce que vous voulez un autre verre ? C'est plutôt ça la question." Tu le dis alors que tu observes Sergio et tu le laisses commander son verre alors que tu lui rappelles tout ce que toi et ton club vous pouvez faire. Il le sait, tu ne sais pas pourquoi tu te sens obligée de tout lui expliquer comme s'il avait soudainement perdu la mémoire. Peut-être que c'est une manière de gagner du temps, sans doute, quelque chose te dit que tu ne vas pas aimer la suite des paroles de Sergio. Pourquoi ? Parce que tu l'as connu plus direct en fait, et s'il n'a pas encore compris que tu préférais qu'on t'insulte directement de visu, alors il lui manque des informations sur Lara Zara Pearson, c'est certain. Mais non, c'est autre chose, la raison de sa venue, la raison pour laquelle il est délibérément lent. "Okay." Le mot est murmuré alors qu'il te dit avoir exploré d'autres avenues pour lui et ses clients. Allez, accouche, que tu penses amèrement, parce qu'il tourne autour du pot et que tu as connu des hommes beaucoup plus directs. Tous les hommes de ta vie d'ailleurs, de ton père à tes clients réguliers, personne ne s'amuse à faire autant de détour que Sergio est en train d'en faire dans la présente et tu pousses un léger soupir alors qu'il se sent obligé de te complimenter. Gee, thanks dad, les mots sont sur le bout de ta langue, cependant, tu décides de ne pas l'interrompre et d'attendre la nouvelle. La mauvaise nouvelle. Tu n'accordes aucune attention à la serveuse ou même au généreux pourboire que Sergio lui donne, cela est occulté par le reste et tu hoches la tête."Je pensais qu'on formait une bonne équipe mais... vous avez vos raisons." Qu'est-ce que tu peux dire à cela en fait ? Vous pouvez continuer de faire des affaires mais quoi...? Ce soir c'est la dernière fois qu'il vient ici ? Il ne mettra plus les pieds dans son club et quoi ? Tu devras te contenter de lui envoyer des messages et ce sera juste un échange d'argent. Tu peux le faire, tu le sais, il le sait dans le fond et pourtant, il y a quelque chose qui cloche. Pourtant, la pilule est très difficile à avaler et tu décides de mettre cela sur le compte de la fatigue. Hors de question pour toi d'analyser ce que ce rejet veut dire dans le fond, tout ce qu'il représente et le semblant de confiance, d'amabilité et même de camaraderie qu'il y avait entre vous deux. "Besoin de plus de temps pour la petite ou c'est autre chose qui nécessite une visite histoire de me ménager pour que je ne saute pas aux conclusions ?" Là, tu ne peux pas vraiment arrêter la pensée, c'est plus fort que toi et tu te retrouves à froncer les sourcils alors que ton regard est toujours posé sur Sergio. Il pourrait te dire que ça ne te regarde pas, et ce serait plus que justifié, mais tu t'en fiches, s'il veut te pousser dans le rôle du problème et de la vilaine petite fille, alors tu vas jouer le rôle jusqu'au bout. Tu veux qu'il te le dise, tu veux qu'il t'explique exactement pourquoi ce sera juste une question de business et pas autre chose, vraiment, tu veux savoir pourquoi."Parce que c'est déjà trop tard en fait." Les conclusions sont là, elles sont tirées et ton expression suivante ne peut qu'être considérée mauvaise. "Non vraiment, élaborez, je pense que je mérite d'entendre un semblant de vérité après des mois et des mois de collaboration, et même de baby sitting, quoique... je suppose que c'est fini ça aussi, il ne faudrait pas corrompre la jeunesse après tout, non ?" Tu roules des yeux et ton prochain regard indique qu'il a intérêt à parler, et rapidement.
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I was born smarter than most into this world of disarray. I was told to listen to all the dumb shit people say but I dig wisdom from my own well and I never had a moment of doubt. I worded a thesis at six years old that had the world all figured out, it goes : women - men, that's two kinds of trouble. Enemies - friends, just two kinds of trouble
Sergio pouvait sentir le scepticisme et l’impatience de la propriétaire des lieux grimper inexorablement au fur et à mesure qu’il prenait des détours pour ne juste pas entrer dans le cœur du problème. Il avait accepté de commander un verre mais s’il devait être honnête, la conversation ne durerait pas assez longtemps pour qu’il ait le temps de le savourer. C’était une visite de politesse qui aurait pu se solder en trois phrases et en une minute top chrono. Il fallait croire que l’agent artistique était réellement inquiet des retombées que cela pourrait avoir. Dieu sait qu’il avait dévoué du temps et de l’énergie à construire cette relation et à obtenir la confiance de Lara. Il était sincèrement admiratif de ce qu’elle avait réussi à construire. Le fait qu’elle ait pris une place aussi inattendue qu’importante dans la vie de Paola avait rajouté une dimension à leur relation pas moins singulière. Cela expliquait pourquoi le mexicain cherchait ses mots, se montrant incroyablement précautionneux, comme si cela changerait l’issue de la discussion. Il n’y avait pas de bonne manière de tourner la chose et à force, c’en devenait presque insultant. La brune avait autre chose à faire. Alors il se jeta à l’eau, annonçant enfin qu’il se tiendrait en retrait pour les prochaines transactions -si tant est qu’il y en ait-. « Ce n’est pas personnel, Lara. » Ils faisaient effectivement une bonne équipe. Ils avaient trouvé chacun leur intérêt dans ce partenariat et Sergio appréciait franchement travailler avec la jeune femme. Cela ne pourrait juste plus continuer. Il avait des principes stricts, et pour la première fois depuis plus de vingt ans, il était enfin prêt à faire tout ce qu’il fallait pour faire passer sa famille en priorité plutôt que les profits. Mais le problème à avoir empiété la barrière du privé, c’était qu’il sentait la tension planer. Il avait des comptes à rendre. Ce n’était pas juste un contrat qu’il décidait d’enlever de la table. Pendant quelques instants, Sergio contempla l’idée de mentir et de trouver un argument foireux pour ne pas avoir à exposer des pans privés de sa vie. Paola aurait été un argument de choix. Pour autant, il ne pouvait pas se résoudre à un tel irrespect envers Lara, au point d’être pris franchement au dépourvu. Il ne parvenait pas à clairement dire ce qu’elle pensait de l’annonce mais une chose était certaine, elle n’était pas ravie, bien au contraire. Elle était en train de lui prouver que ses craintes étaient justifiées. Le problème étant que cela n’irait pas en s’arrangeant maintenant. Si seulement il avait été assez lâche pour juste envoyer un message, il se serait épargné bien des peines. « Une visite était la moindre des choses pour en parler. Et non, ça ne change rien par rapport à Paola. Si vous voulez passer du temps ensemble, ce ne sera jamais un problème pour moi. » A plusieurs occasions, il avait en effet demandé à Lara de baby-sitter la petite. Mais dans les faits, il la soupçonnait d’avoir vraiment pris goût à passer du temps avec la petite fille. « La pire chose que j’aurais à craindre, ce serait qu’elle s’inspire de ton tempérament et nous rende la vie misérable avec sa mère quand on tentera de lui imposer une quelconque forme d’autorité. » Si Paola finissait par avoir un esprit aussi fier et indépendant un jour, Sergio en serait fier. Mais il était en charge de l’éducation de sa fille, et le côté forte tête ne rendrait que l’exercice plus chaotique. « Ce n’est pas le souci. » Dans un soupir, il releva la tête pour désigner la salle du menton. « A ton avis, combien d’hommes mariés sont dans le tas ? Et surtout, combien oseraient dire à leur femme qu’ils étaient dans un club de gentlemen à glisser des billets à des femmes qui les font fantasmer ? » Il ne savait pas comment mieux le présenter. « J’ai cet aspect de ma vie à gérer, et je ne compte pas le mettre en péril en faisant quelque chose qu’elle détesterait. » C’était une question de priorités. Peu importe l’estime qu’il avait pour Lara, entre leur relation professionnelle qui impliquait des visites fréquentes au club, et la perspective de reconquérir son ex-femme, le choix du mexicain était vite fait.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
"Cela ne l'est pas ?" Que tu murmures à la suite de Sergio, alors qu'il t'assure que cela n'est pas personnel. Oh, ça, c'est un tas de conneries, il le sait, aussi bien que toi. Bien sûr que c'est personnel, on ne fait pas le métier que tu fais en laissant les sentiments de côté. Non, toi tu les emmènes sur scène, ils t'aident à te mouvoir, à faire la part des choses, ils te protègent et tu sais que la femme que tu deviens devant tes clients n'est pas réellement toi. Tu l'as toujours su, tu ne peux pas l'expliquer avec des mots maintenant que tu y penses bien, mais ça a toujours été ainsi et face à Sergio, et ses prochains mots, tu fronces les sourcils. Tu ne peux pas paraitre calme et détachée, pas après des mois et des mois de collaboration, à charmer les clients, à nettoyer derrière eux et à s'assurer que l'argent rentre. Vous êtes une bonne équipe, il ne peut pas vraiment le nier l'agent et tu adorerais dire que tu vas juste soupirer et passer à autre chose mais... Mais c'est tout à fait personnel, voilà ce que tu dis quand Sergio soupire aussi et qu'il l'ouvre. Pour probablement te dire la pire des choses possibles et expliquer pourquoi il s'éloigne de tout cela maintenant. Pourquoi ce n'est plus pour lui. "Pardon ?" Tu prononces le mot et tu bouges sans pouvoir t'arrêter. Tu es sur ta paire de talons la seconde suivante et tu t'empares du verre de Sergio, pour lui jeter le whisky à la figure. Parce qu'il t'écœure, parce qu'il t'énerve, parce qu'il se croit tellement important, avec sa fille, avec sa femme. Mieux que la moyenne, mieux que tes clients ou même ton métier qu'il n'avait jugé. Jusqu'à ce soir. Tu ne t'arrêtes même pas là, et si tu reposes le verre vide sur la table, la gifle que tu lui assènes la seconde suivante est totalement personnelle. Oui, vous êtes en public, devant certains de tes clients, mais tu t'en moques. Il voulait faire cela en personne, pas vrai ? Alors il va avoir ta réaction, en direct et de visu, et il a intérêt à l'assumer, comme un homme. "Vous êtes sérieusement venu dans mon club, vous avez commandé de l'alcool, reluqué une de mes danseuses, moi au passage, tout ça pour me faire un petit speech sur votre morale ? Et juger ma profession ?" Espèce de sale hypocrite, qu'il aille pourrir avec sa gamine et sa femme, le plus loin possible de ton club. Il est de la pire espèce et il ne mérite pas ton respect Sergio, il vient de le piétiner en quelques mots, et c'est certainement cela la chose la plus douloureuse. Tu n'as pas besoin de cela en ce moment, certainement pas, tu pensais avoir trouvé un potentiel allié, quelqu'un qui comprend la réalité du monde dans lequel vous êtes... mais non, tu n'es rien d'autre qu'une femme en décolleté pour lui. Ni plus, ni moins. "Pour qui est-ce que vous vous prenez ? La coupe de votre costume et le prix de votre whisky ne vous exclut pas de la masse, vous n'êtes qu'un homme." Juste un homme de plus, juste un client de plus qui serait prêt à tout mettre en péril pour des courbes généreuses, il ne faudrait pas qu'il l'oublie. Tu n'as pas oublié, toi, du tout, et tu refuses catégoriquement qu'il rejette la faute sur toi. Toi et ton club parce qu'il est incapable d'être un minimum honnête avec sa femme."Et plus mon partenaire d'affaires, donc vous pouvez aller réparer votre mariage et tenter de vous donner bonne conscience maintenant que moi et mon club on vous a rapporté suffisamment d'argent... Je suppose que tout allait bien sans la laisse autour du coup et sans la fausse conscience." Les gens sont prévisibles à souhait, tu le savais, tu le sais, ça ne devrait vraiment pas t'étonner en fait et maintenant tu vois le vrai visage de Sergio, pour la première fois depuis longtemps. "Je suis sérieuse, dégagez avant que je ne fasse pire qu'une gifle et que je vous rappelle votre place ou comment j'écrase les hommes qui se croient aussi supérieurs que vous."
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I was born smarter than most into this world of disarray. I was told to listen to all the dumb shit people say but I dig wisdom from my own well and I never had a moment of doubt. I worded a thesis at six years old that had the world all figured out, it goes : women - men, that's two kinds of trouble. Enemies - friends, just two kinds of trouble
Ce n’était pas une décision qu’il avait prise à la légère. Cela faisait plusieurs semaines que Sergio pesait le pour et le contre, mais les derniers événements avec Maritza avaient achevé de le décider. Il avait commis tellement d’impairs par le passé, certains dont son ex-femme était au courant, d’autres qu’elle était bien loin d’imaginer, qu’il ne pouvait tout bonnement pas se permettre de lui infliger davantage. Il essayait de devenir meilleur pour elle, et cela demandait des sacrifices. Il pousserait Lara et leur business sous les roues un million de fois avant de risquer quoique ce soit avec la mère de ses enfants. Néanmoins, il n’avait trouvé aucune solution de combiner l’honnêteté et les faits. Il était résigné, cette conversation ne pourrait tout simplement pas bien se passer. Pour autant, il était loin d’être prêt à ce qui l’attendait. Une fois la vérité déballée, l’agent se prépara au pire, sans savoir quoi attendre exactement. Tout se passa à vitesse grand V. Le whisky vint tremper son visage, piquer ses yeux et dégouliner sur son costume, un affront qu’il prit avec des lèvres pincées mais une certaine résilience. Il devrait passer chez lui avant de rentrer à la maison pour une bonne douche. Il allait s’essuyer les yeux avec sa manche, mais la claque le prit au dépourvu. Pour préserver sa fierté, il évita de lever les yeux vers les tables autour. Nul doute qu’il devait être le centre de l’attention, et il était soulagé de ne pas avoir vu de figures familières en entrant ici. Tout ceci ne fut rien comparé aux injures qui finirent par voler en sa direction. Se justifier semblait être une perte de temps totale et pourtant, il avait cet espoir naïf de pouvoir calmer le jeu avant de partir. « Je ne juge pas ta profession, Lara. J’ai toujours été respectueux. » Il respectait ces femmes et leurs choix, même si l’hypocrisie menaçait de pointer son nez. Il ne supporterait pas que l’une de ses filles fasse ce choix de carrière et aurait du mal à accepter que l’un de ses fils ait une copine avec ce métier, par exemple. Et il décidait de partir, non pas parce que lui jugeait, mais parce qu’il savait que Maritza le ferait. Sergio avait bien conscience que dans la bouche de la propriétaire des lieux, n’être qu’un homme avait une connotation insultante. Pour autant, elle avait parfaitement raison. Il se laissait facilement happer par les courbes d’une femme, et il avait exploité ces mêmes faiblesses chez tous les partenaires d’affaires qu’il avait amené ici. « J’en ai bien conscience. Mais je ne peux pas laisser cette condition humaine justifier mon comportement. » Continuer de venir au Paradise et assister à ces spectacles, mentir à la femme qu’il aimait, ce n’était ni raisonnable, ni respectable. Il aurait aimé pouvoir trouver une solution pour leur arrangement, déléguer la surveillance, se contenter de donner l’adresse. Il aurait aimé qu’ils puissent en discuter, mais la brune semblait particulièrement intransigeante. A côté de la plaque, également, et incapable de saisir sa position. D’autres choses comptaient dans la vie que la carrière et sans doute que Lara était dans l’incapacité de comprendre cela de par sa jeunesse ou son manque d’attaches, mais cela ne remettait pas en question la décision de l’agent. « Je n’ai aucune laisse autour du cou, tout comme ce n’est pas une fausse conscience. Je suis navré que tu les voies ainsi. Mais la vie ne tourne pas autour des profits. » Surtout que, s’ils étaient honnêtes, les rentrées d’argent étaient le dernier de leurs problèmes ici. Le mexicain devenait de moins en moins déterminé à calmer le jeu. Il darda son regard sur la propriétaire des lieux après sa menace, comme s’il était en train de découvrir un nouveau visage de cette personne qu’il ne reconnaissait pas. Il ne mettrait pas son intégrité physique en jeu pour elle. Dans un soupir plus exaspéré que las, il se leva, réajusta sa veste comme si elle ne suintait pas de whisky. « J’imagine que trouver une alternative pour perpétuer notre arrangement n’est plus d’aucune utilité. Je te souhaite une bonne continuation. Ne t’en fais pas, je t’épargnerai la facture du pressing. » Quoiqu’il le ferait peut-être par provocation. Mais pour l’heure, il opta pour ne pas s’éterniser, prenant congé en ignorant superbement les regards qui pesaient sur lui.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.