| (moventry #6) lights out and away we go |
| ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
(2023) greta #2 › swann #6 › swann #7 › eleonora #3 › mariage rowann › greta #3 › swann #9 › greta #4 (2016) › greta #5 › greta #6 › swann #10 › corey #3 › noor › swann #13 (2011) › greta #9 › malone #2 › london gang › emery #1 › mickey
(2022) rory #1 › murphy #2 › seth #3 › swann #3 › vivian › eleonora #2 › swann #4 › greta #1 (2013) › channing › malone #1 › swann #5
(2021) swann #1 › murphy #1 › maisie › martin › seth #2 › eleonora #1 › swann #2
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(ua gothique) greta #7 › swann #11 › ruben #1 › itziar › ruben #3 › corey #1 › greta #8 › ezra #1 › ezra #2 › ruben #4 › cesar #1 › tessa › ruben #6 › corey #2 › cesar › ruben #7 › itziar #2 › abe › corey #4
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(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Sam 23 Sep 2023 - 8:28 | |
| lights out and away we go lieu: grand prix du japon, suzuka. La décision s’était prise sous l’euphorie d’une victoire inattendue, le tout arrosé par quelques verres de Gin et une complicité qu’il pensait ne jamais pouvoir retrouver un jour. Dans l’intimité de son salon, sous les éclats de rire de Greta, il avait attrapé son ordinateur portable à la recherche de tickets pour le Grand Prix du Japon. Tout, c’était régler en quelques clics, sans arrière-pensée que celle de vouloir passer un bon moment pour partager leur passion autrement qu’au travers d’un écran. « T’avais vraiment besoin d’une valise aussi grosse pour un week-end ? » Dans les rues de Tokyo, il se trouvait à jouer les valets pour la blonde qui avait visiblement décidé d’emporter l’entièreté de son placard dans une valise plus grande qu’elle. Arthur savait, pourtant, qu’elle allait porter le même tee-shirt pour les trois prochains jours. Un haut à l’effigie de l’écurie Mercedes qui lui avait lui-même offert il y a plusieurs années de cela, alors qu’il l’avait entraîné avec lui à Silverstone. Réajustant la bretelle de son sac à dos, il releva les yeux sur la silhouette de Greta qui avançait quelques pas en avant. Il n’avait aucune idée de ce qui allait bien pouvoir se dérouler au cours des prochains jours, mais Arthur se sentait étrangement calme. Comme à sa place, dans cette ville immense, en compagnie de celle qu’il n’aurait jamais imaginé retrouver à ses côtés. Elle jeta un regard par-dessus son épaule et il lui adressa un sourire complice. Comme s’ils ne s’étaient jamais réellement séparés. Rien ne faisait de sens, mais c’est comme s’ils s’étaient fait la promesse de ne pas se poser de questions. « Avance, on va rater le train. » Et si ses yeux s’attardèrent sur les courbes de la jeune femme, personne n’était là pour en témoigner.
*** Une pluie diluvienne les avait accueillis à Suzuka, les forçant à rester à l’hôtel pour la soirée. Dans la précipitation, Arthur avait tout de même eu la présence d’esprit de réserver une suite avec deux chambres. Ils avaient passé la soirée à se gaver de room service, tout en regardant des vieux films japonais dont aucun d’entre eux n’avait compris quoi que ce soit. Tout paraissait simple, à des milliers des kilomètres de Brisbane et de tous ceux qui les connaissaient. Arthur avait l’impression de retrouver celle qui avait été son amie avant de partager sa vie d’une manière bien différente. Avec elle, il arrivait à rire sans que ses pensées ne soient affectées par la noirceur de ses addictions. Il avait eu un léger passage à vide, affecter par le décalage horaire et le manque de sommeil évident, mais Greta avait allumé la télé, le défiant de comprendre un jeu de télé-réalité japonais et juste comme ça, elle lui avait offert la distraction parfaite. Tout n’allait pas se régler en un week-end loin de tout, mais Arthur voulait à penser que Swann avait peut-être raison, qu’il allait enfin un peu mieux. C’est l’état d’esprit qu’il s’efforçait d’adopter tandis qu’il ajustait son tee-shirt Ferrari sur son torse. « Prends une casquette, il pleut encore. » Ils allaient avoir le droit à un sacré spectacle si le temps ne se calmait pas un peu. Il avait hâte de se retrouver au circuit, d’entendre à nouveau ce son immanquable. Arthur était en train de nouer ses lacets lorsqu’un employé de l’hôtel vint leur amener leur pass. Il remercia le jeune homme dans un japonais plus qu’approximatif avant de se tourner vers Greta qui avait enfilé tout l’attirail de son écurie favorite. « Tu le perds pas cette fois. » Faisant référence à la fois où elle avait égaré son pass lorsqu’il s’était rendu à Monaco ensemble. En souriant, il vint glisser la lanière autour du cou de la blonde dans un geste bien trop familier pour eux qui semblait avoir imposé une certaine distance de sécurité depuis leur arrivé au pays du soleil levant. Leurs regards se croisèrent, faisant papillonner le muscle cardiaque du brun d’une drôle de façon. Tirant sur la visière de la casquette de Greta pour lui coller devant les yeux, il finit par s’échapper de son regard hypnotisant.
Il y avait du monde sur le balcon de leur gradin, la pluie s'était à nouveau invitée dans le ciel, forçant les spectateurs à se réunir sous l’auvent affreusement petit. Arthur avait laissé Greta passer devant lui, mais un mouvement derrière lui, l’amena à coller son torse contre le dos de la jeune femme. « Désolé. » Il cherche à se redresser, mais la famille derrière lui paraissait vouloir passer par-dessus eux pour avoir une meilleure vue du circuit. « Je déteste les gens. » qu’il vint murmurer dans le creux de son oreille. « On va ailleurs ? » Il allait bien pouvoir se débrouiller pour leur trouver un endroit plus calme. Sans réfléchir, sa main vint se glisser sur la hanche de Greta pour l’aider à pivoter au travers de la foule. Les premiers résultats des essais libres venaient de tomber et autant dire que la blonde n’était pas joie. « Fait pas cette tête, le week-end fait que commencer. » Elle était du genre intense dans sa passion. Il l’avait vu plus d’une fois hurlé sur la télévision pour demander à son pilote favori d’accélérer et cela ne ratait jamais de le faire rire aux éclats. Ils s’étaient un peu éloignés de la foule, attendant le départ des prochains essais, quelque peu retarder par la pluie torrentielle. « Tu veux manger un truc ? Un café ? » Qu’il lui demanda observant déjà les stands de nourriture qui se tenait juste un peu plus loin.
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| | | ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280 TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/a GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenience DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [ 09/08]
ua (slasher) Moventry #10
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15 #16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
RPs EN ATTENTE : Riley #1
RPs TERMINÉS : (2024) Mallen #5 • Kieran #1 • Moventry #12 • Swann #8 • Swann #9 • Moventry #14 • Joseph • Marley #3 • Lena #2 • Mallen #6 • Emery #4 • Moventry #13 • Swann #10 • Moventry #15 • Izan #1 • Swann #11 • Izan #2
- ua:
AVATAR : Ashley Benson CRÉDITS : avatar : auselesslovethings / gifs : zazou (crackship); gracgifs (signature) goddamnmuses (profil), drvgonqueen - lcrnasgifs - zigglerscesaro - may0osh - cheekeyfire (profil) / ub : paindep/stairsjumper DC : Didi & LewLew & NicoPSEUDO : WisePenguin INSCRIT LE : 28/07/2022 | (#)Mer 27 Sep 2023 - 15:40 | |
| Dire qu’ils jouaient un jeu dangereux était un euphémisme et pourtant, elle ne saurait dire lequel d’entre eux était le plus impliqué dans la partie. Le chat et la souris, Arthur et Greta savaient se repousser pour mieux se retrouver et ils avaient cette fois décidé de s’accorder une escapade un peu particulière. Un moment dont eux seuls connaissaient la valeur. « T’avais vraiment besoin d’une valise aussi grosse pour un week-end ? » Le week-end commençait sur les chapeaux de roue. « Commence pas ! » avait-elle rétorqué avant de justifier la taille de sa valise. « J’ai pas pris que du Mercedes. J’ai du Aston Martin et peut-être même du Ferrari. Mais ce t-shirt là, je le mettrais que si t’es sympa ce week-end. » Ils avaient accès à tout, elle en était consciente, et Greta ne s’était donc pas privée pour acheter divers accessoires et ce week-end était l’occasion idéale de prendre de quoi afficher son soutien pour ses écuries préférées. Mercedes, évidemment, parce que le sang anglais qui coulait dans ses veines l’obligeait à soutenir Hamilton et Russell. Sa nationalité mais pas seulement, elle vouait surtout une admiration sans faille au premier pilote. Aston Martin parce que Fernando Alonso était un pilier du sport et qu’elle était une fan de longue date. Et Ferrari parce que la façon dont les yeux de ce grand gamin brillaient lors des victoires de la scuderia était un souvenir de leur vie commune qu’elle chérissait encore aujourd’hui. « Avance, on va rater le train. » Sans un mot de plus, Greta avait accéléré le pas pour s’assurer de ne rien manquer du spectacle.
Sur place, la pluie battante avait quelque chose de romantique et cette idée qui lui traversait l’esprit l’avait fait tenter de trouver le regard d’Arthur comme pour y lire quelque chose. Elle le savait, elle devait rester prudente et surtout ne rien attendre de sa part et leur dernier échange de messages avait été une piqûre de rappel. Il était libre, ils n’étaient pas ensemble, et il avait raison sur l’ensemble de ces points. Mais Greta ne pouvait s’empêcher de ressentir quelque chose de désagréable à l’idée de le voir mettre une distance entre eux quand en parallèle, il lui offrait des moments comme celui-ci. L’anglaise réfléchirait plus tard, le Japon serait une parenthèse et ils reprendraient leurs vies respectives à leur retour à Brisbane. Quand Arthur avait demandé les clés des chambres, Greta avait eu un sourire de le voir se comporter en gentleman mais n’avait pu s’empêcher d’être déçue - chose qu’elle n’admettrait jamais. Ils avaient passé une bonne soirée et il semblait bien plus facile pour eux de se chamailler au travers de leurs écrans de téléphone parce que chacune des fois où ils se voyaient se passaient étrangement bien. Le lendemain matin, elle n’avait fait aucun commentaire en voyant sa tenue de tifoso, s’était contentée d’un sourire en coin pour se moquer gentiment. La vérité était que le rouge lui allait extrêmement bien. Arthur le savait, aller assister à un grand prix avec une fan d’une écurie différente signifiait devoir subir un bon nombre de commentaires désagréables mais Greta faisait au mieux pour les contenir. Après tout, Ferrari étaient bien plus compétitifs que Mercedes ces jours-ci. « Prends une casquette, il pleut encore. » Il n’avait pas fallu qu’il la supplie pour qu’elle attrape sa casquette qu’elle avait fièrement mise sur sa tête avant de passer un temps un peu trop long à s’assurer qu’elle soit parfaitement posée sur ses cheveux blonds. « Tu le perds pas cette fois. » Arthur avait réceptionné les pass et avait trouvé là une nouvelle occasion de lui faire une remarque. « Non sérieusement tu vas m’en parler toute ma vie de Monaco ? » avait-elle demandé dans un rire avant qu’il ne vienne passer le pass autour de son cou. Elle avait légèrement incliné la tête et avait trouvé son regard en la relevant pendant un temps assez long pour qu'elle ait le temps de se demander comment allait se passer la suite de ce séjour. Heureusement, Arthur avait appuyé sur sa visière comme un enfant et était venu mettre un terme à ce moment-là. Un moment dangereux, similaire à celui du mariage, à celui qu’ils avaient eu chez lui. Un moment qui se répétait encore et encore.
Ils avaient une place de choix, Arthur ayant vu les choses en grand, pourtant, même dans la tribune gold, ils réussissaient à se faire bousculer par des invités qui n’avaient absolument rien de VIP dans leurs comportements. « Désolé. » Il s’était retrouvé collé à elle et ils n’avaient plus connu cette proximité depuis si longtemps que ses excuses paraissaient adaptées. « Je déteste les gens. » Elle connaissait la façon dont sa mâchoire se serrait sans même qu’il ne le réalise lorsqu’ils étaient dans un pub un peu trop bondé ou lorsque les journalistes se décidaient à s'intéresser à la fille des Sighbury à Londres. C’était un comportement similaire ici et elle espérait toujours réussir à venir l’apaiser. « Ah c’est sûr que devant ta télé, sur ton canapé, personne pour te déranger. » Elle était venue lui faire face. « Sauf moi. » avait-elle ajouté avec un clin d’oeil avant de le laisser attraper sa taille. « On va ailleurs ? » Il n’avait pas attendu sa réponse pour l’attirer avec lui et Greta se laissait bien volontiers guider dans l'effervescence du grand prix. Alors qu’ils se frayaient un chemin un peu plus loin des balcons déjà bondés alors qu’ils n’assistaient pour le moment qu’aux essais, ils s’étaient rapidement retrouvés dans un salon avec un petit écran et ce qu’elle y voyait ne lui plaisait pas du tout. « Fait pas cette tête, le week-end fait que commencer. » Greta avait exagéré sa moue triste, comme pour donner l’impression de ne pas réellement être déçue, mais il était clair que le week-end commençait mal pour Mercedes qui terminaient P7 et P9. « Facile à dire vu le résultat de Ferrari. » Elle était mauvaise joueuse mais le sourire d’Arthur et la façon dont il faisait apparaître ses fossettes l’avait rapidement distraite. « Tu veux manger un truc ? Un café ? » « N’importe quoi sauf une Red Bull… » Ils avaient échangé un rire avant de se diriger vers un autre salon où plusieurs stands servaient de la nourriture et pouvoir profiter de luxe n’avait jamais paru aussi bon alors que la plupart du public devait supporter une pluie qui ne semblait pas décidée à se calmer. Après avoir commandé leurs verres, ils s'étaient installés à une table avec une vue imprenable sur le circuit. Seule une vitre les en séparait mais l'endroit était plus tranquille car tout le monde préférait la tribune couverte et la meilleure vue de tout le circuit.« Je pense qu’on a un peu plus de deux heures devant nous, ça ne démarrera jamais à l’heure. » Et elle n’était pas venue sur place pour être spectatrice d’accidents alors elle aurait toute la patience nécessaire, jusqu'à retrouver une piste sèche et bien plus sûre pour les pilotes. Alors elle avait profité de ce moment de calme. « Merci, Arthur. Je crois que j’aurais pas pu retourner sur un grand prix avec quelqu’un d’autre que toi. » Il pourrait interpréter cette affirmation comme il le souhaitait : parce qu’il était le seul passionné de formule 1 qu’elle connaissait ou tout simplement parce qu’il était le seul avec qui elle souhaitait partager cette passion. just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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| lights out and away we go Il avait pris un pari risqué en lui proposant ce voyage quand tout paraissait encore tellement bancal entre eux. L’équilibre se voulait fragile, mais à des milliers de kilomètres de Brisbane, tout ce qui paraissait transparaître n’était que la complicité qui avait toujours su définir leur relation. Ils n’étaient plus question d’anciens amants qui tentaient de communiquer à nouveau, en une soirée seulement, au travers de blagues lancées sur un programme télévisé, il avait eu l’impression de retrouver celle qui avait été son amie avant toute chose. Il se sentait soudainement un peu plus à l’aise, moins sur la défensive. Près à l’embêter pour la moindre raison comme il l’avait si souvent fait par le passé. « Non sérieusement tu vas m’en parler toute ma vie de Monaco ? » Il dut se mordre la lèvre pour retenir un éclat de rire alors que Greta semblait déterminée à soutenir son regard. « Toute ta vie, G. » Une petite voix semblait crier au loin, à vouloir leur rappeler qu’ils ne devaient pas se tenir aussi proche l’un de l’autre, qu’un combat de regard intense ne devrait pas être au programme. Chacun semblait ignorer l’évidence avec ferveur. « Jusqu’à ce que t’en ai marre de moi. » Il laissait la balle dans son camp, respirant encore une minute son parfum enivrant, avant de se rappeler que plonger dans le bleu de ses prunelles ne leur amènerait que des problèmes. Il fut le premier à prendre un pas de recul, cherchant à réguler son palpitant, s’efforçant à la rendre chèvre pour mieux faire diversion. « J’ai tellement plus de souvenirs gênant en réserve te concernant. » Il eut un sourire victorieux. « Estime-toi heureuse que je ramène uniquement celui-là sur le plateau. Pour le moment. » Et en un clin d’œil plus qu’exagérer, il finit par lui tourner le dos pour enfiler sa propre paire de chaussures. Décidément, le week-end commençait sur les chapeaux de roues.
Il aurait pu se contenter de places en gradin. Ils avaient souvent choisi cette option lorsqu’ils se rendaient à Silverstone, préférant se retrouver au cœur de la véritable ambiance. Mais avec les années, Arthur se trouvait de plus en plus incapable de savoir tenir en place. Il n’avait pas su s’imaginer tout un week-end de trois jours, assis à la même place, dans le même gradin, des heures durant. Et puis Suzuka était connu pour être un grand prix se déroulant sous des trombes d’eau, alors les loges lui avait semblé être une bonne option. Ils se trouvaient à l’abri des caprices de la météo et Arthur pouvait déambuler autant qu’il le voulait sans jamais perdre la course du regard. Mais avec le luxe des loges venaient parfois les petits veinards qui avaient longuement économisé et se croyaient donc chez leur mère. « Ah, c’est sûr que devant ta télé, sur ton canapé, personne pour te déranger. » Préférant se concentrer sur l’air mutin de Greta que le dos de son voisin, Arthur vit son regard se perdre à nouveau dans les prunelles de la blonde. « Sauf moi. » - « Tu me déranges tellement que j’ai décidé de t’emmener avec moi. » Il leva les yeux face à sa conclusion. « Je dois être un peu maso. » qu’il ajouta pour la faire rire. Elle était celle qui saurait le tenir dans les rails quand il en viendrait à bout de sa patience avec les autres spectateurs. Elle avait toujours su le distraire sans qu’il n’ait besoin de demander quoi que ce soit. Cela pouvait en être effrayant même parfois. Mais aujourd’hui encore, elle comprit qu’il avait besoin de s’éloigner, d’aller se dégourdir les jambes, son attention ayant été trop focalisée ses dernières minutes.
« Facile à dire vu le résultat de Ferrari. » Il ne put retenir un certain petit air victorieux. Arthur se trouvait, effectivement, satisfait des résultats de l’écurie qui avait toujours été chère à son cœur. « Laisse-moi apprécier, ça ne dure jamais avec eux. » Les deux pilotes de la scuderia avait tous les deux un sacré don pour le sport, mais les performances de l’équipe en termes de stratégie laissaient à désirer depuis ces deux dernières années. Arthur avait appris à apprécier tout ce que l’écurie pouvait offrir d’incroyable, le temps que cela pouvait durer. « N’importe quoi sauf une Red Bull… » Ils échangèrent un air amusé, toujours les premiers à faire quelques remarques désobligeantes sur l’écurie qui raflait toutes les récompenses cette saison. « Un café italien, ce sera parfait ! » Quelque chose d’assez fort pour les aider à vaincre le jet lag et qui permettrait à Arthur de garder ses mains occupées. Une fois avoir raflé ce qui leur faisait envie, ils prirent place sur une table en hauteur, près de la baie vitrée. Arthur ne prit même pas la peine de s’asseoir sur le tabouret, préférant prendre appui sur la table afin de laisser la liberté à ses jambes de bouger dans un sens ou l’autre, faisant basculer son poids de gauche à droite. « Je pense qu’on a un peu plus de deux heures devant nous, ça ne démarrera jamais à l’heure. » La météo n’était clairement pas de leur côté depuis leur arrivé sur l’archipel. « Si ça démarre un jour. » L’orage ne semblait pas vouloir se calmer d’aussi tôt. Arthur se demandait bien pourquoi la FIA s’entêtait à programmer la course durant la saison des pluies, cela résultait toujours à des retards interminables et à des accidents qui pouvaient s’avérer dangereux. « Un jour, ils comprendront peut-être que les courses sous la pluie ça peut être amusant, mais qu’on n'a pas réellement envie de voir les pilotes mourir. » Cela était arrivé par le passé et clairement, Arthur ne souhaitait pas assister à ce genre de désastre. Alors en attendant que la pluie ce calme à l’extérieur, il reporta son attention sur sa compagne de voyage. « Merci, Arthur. Je crois que j’aurais pas pu retourner sur un grand prix avec quelqu’un d’autre que toi. » Il haussa les épaules, l’air de rien, avant de réaliser pleinement ce qu’elle venait de dire. « Attends. » Il posa son gobelet de café sur la table pour ne pas en mettre de partout. « T’es en train de me dire que t’es jamais retrouvé voir un grand prix ? » Ils en avaient fait une habitude à deux, certes, mais elle n’avait jamais pris l’initiative d’y aller sans lui ? Arthur avait continué à fréquenter le circuit de Silverstone jusqu’à son départ. « Même pas celui de Melbourne ? » Elle avait changé de pays certes, mais les grand prix voyageaient dans le monde entier, et même si Arthur était un passionné, il n’avait jamais traversé la moitié du globe pour aller voir une course. Il n’était pas certain de comprendre pourquoi elle s’était tenue éloigné des circuits. « Pourquoi ? » Il avait besoin de comprendre, son esprit agité voulait trouver une raison logique, quelque chose qui ne l’impliquait pas directement pour être pleinement honnête.
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RPs TERMINÉS : (2024) Mallen #5 • Kieran #1 • Moventry #12 • Swann #8 • Swann #9 • Moventry #14 • Joseph • Marley #3 • Lena #2 • Mallen #6 • Emery #4 • Moventry #13 • Swann #10 • Moventry #15 • Izan #1 • Swann #11 • Izan #2
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AVATAR : Ashley Benson CRÉDITS : avatar : auselesslovethings / gifs : zazou (crackship); gracgifs (signature) goddamnmuses (profil), drvgonqueen - lcrnasgifs - zigglerscesaro - may0osh - cheekeyfire (profil) / ub : paindep/stairsjumper DC : Didi & LewLew & NicoPSEUDO : WisePenguin INSCRIT LE : 28/07/2022 | (#)Mar 3 Oct 2023 - 17:07 | |
| Ils étaient adultes et Greta savait que malgré les risques qu’elle prenait, elle était absolument incapable de se comporter autrement. Si l’évidence aurait voulu qu’elle en reste à cette soirée où elle lui avait hurlé dessus, cela l’aurait aussi empêché d’entendre tout ce qu’Arthur avait sur le coeur alors elle avait maintenant choisi de vivre au jour le jour, de ne pas se poser - trop - de questions. Elle avait déjà survécu à un coeur brisé et rien de pire ne pouvait arriver. « Toute ta vie, G. » Il la faisait rire, à s’empresser de lui faire remonter toutes ces fois où elle lui avait fait lever les yeux au ciel en affichant ce sourire malicieux au coin des lèvres. Les plaisanteries se transformaient bien trop souvent en un jeu de regards qui rendait Greta beaucoup trop vulnérable et elle avait fait de son mieux pour ne pas ciller alors qu’il la fixait. Sa phrase possédait énormément de sous-entendus mais elle avait choisi de les ignorer. « Jusqu’à ce que t’en ai marre de moi. » Il avait profité de cette phrase pour briser la proximité et elle ne savait pas dire si elle était soulagée ou déçue. « J’ai tellement plus de souvenirs gênant en réserve te concernant. » Son sourcil était venu se arquer et ses bras se croiser sur sa poitrine pour le défier d’en dire plus. « Il m’en faudra plus pour me gâcher mon week-end, Coventry. J’assume tout, moi. » Et elle était sortie d’un pas décidé en sautillant presque à l’idée d’entendre vrombir les moteurs - laissant à Arthur tout le loisir de traduire sa dernière phrase. Ils avaient continué de se taquiner jusqu’à arriver dans les loges où ils s’étaient lancés un coup d'œil avant de rire, tout le monde semblait si sérieux que leurs éclats de rire leur valaient de nombreux regards désapprobateurs. Alors, oui, Arthur se faisait bousculer mais Greta préférait la ferveur de ces spectateurs là aux airs hautains de ceux qui n’étaient là que pour se montrer et non par amour du sport. « Tu me déranges tellement que j’ai décidé de t’emmener avec moi. » avait-il répondu à sa plaisanterie qui avait pour unique but de lui faire oublier la foule. « Je dois être un peu maso. » La blonde avait levé les yeux au ciel. « Eh bah voilà, ça y est, j’en ai marre de toi. Il aura pas fallu longtemps, hin ? » Et ce sentiment de régresser pour le week-end était rafraîchissant.
Greta ne pouvait s’empêcher de sourire en le voyant aussi enthousiaste à la vue d’une scuderia visiblement en forme alors sa mauvaise humeur n’était qu’une raison de plus de jouer avec lui. « Laisse-moi apprécier, ça ne dure jamais avec eux. » Elle avait levé les mains devant elle pour rendre les armes. « Bon ok. Comme tu dis, ça durera pas de toute façon... » Et après son énième provocation, ils avaient continué à avancer l’un à côté de l’autre en direction d’un endroit pour faire une pause. « Un café italien, ce sera parfait ! » Greta s’était stoppée dans sa marche pour se tourner vers lui. « Un café italien avec un scone anglais. » S’il pensait s’en tirer en proposant un produit typiquement italien pour appuyer de nouveau sur la dominance de son écurie, il pouvait savoir qu’elle était assez têtue pour ne jamais abandonner. Pas avant le podium, du moins. « Oui ils en ont probablement pas mais je vais passer le week end entier à tout ramener à la F1 sans aucune subtilité. On est là pour ça nan ? » Ils étaient là pour ça. Pour regarder ensemble un grand prix qu’ils espéraient tous deux riche en émotion, pour savourer leur passion commune alors qu’ils tentaient de reconstruire leur amitié. C’était ça et simplement ça et Greta ne cessait de se le répéter tout en s’efforçant de rester concentrée sur le grand prix alors qu’ils s’installaient avec leurs cafés. « Si ça démarre un jour. » Un coup d’oeil par la vitre pour constater que la météo s’empirait l’avait laissée se perdre un instant sur les gouttes de pluie qui coulaient le long de la vitre. « Un jour, ils comprendront peut-être que les courses sous la pluie ça peut être amusant, mais qu’on n'a pas réellement envie de voir les pilotes mourir. » Elle avait reposé son attention sur lui. « Parle pas de malheur ! Qu’est-ce que tu voudrais faire si ça reprend pas ? » Greta se disait que les éventuels moments de malaise paraîtraient insignifiants noyés dans l’enchaînement des points forts de l’évenement mais si les essais étaient annulés et que la pluie ne cessait de tomber, ils allaient devoir être inventifs.
Ils étaient en train de faire renaître leur complicité et les mots lui avaient échappé et en le voyant presque ignorer la remarque, elle avait été plus soulagée que déçue. « Attends. » avait-il fini par dire. « T’es en train de me dire que t’es jamais retrouvé voir un grand prix ? » L’écrivaine avait été prise de court. Arthur avait toujours su diriger la conversation là où il souhaitait aller et lire entre les lignes mais de cette petite affirmation, Greta n’aurait jamais pensé qu’il en tire de premières conclusions. Son regard s’était planté dans le sien et elle l’avait soutenu plutôt que de parler dans un premier temps parce que si elle décidait de répondre avec franchise alors la discussion deviendrait bien plus intense. Ils n’avaient pas envie de cela, ils avaient flotté sur un sentiment de légereté depuis leur arrivée au Japon et Greta n’avait aucune envie de tout briser. « Non, même pas Melbourne ! » avait-elle lancé sur un ton faussement enjoué avec un sourire qui contrastait avec ses yeux tristes. « Pourquoi ? » Elle avait poussé un long soupir avant d’aspirer un peu de son café comme s’il lui donnerait la solution pour échapper à cette discussion. Ne venait-elle pas déjà de lui expliquer pourquoi avant même qu’il ne le demande ? « Je me suis jamais posée la question, je sais pas, j’ai mis du temps à m’adapter à Brisbane alors j'y ai pas pensé. Et je connais personne qui aime je crois. J’aurais pas eu envie d’y aller seule… » Depuis qu’il lui avait proposé de l’accompagner, Greta ne s’était jamais posée la question de la façon dont elle se sentirait une fois coincée avec lui et à ce moment là elle aurait souhaité pouvoir s’accorder une pause mais ce n’était pas possible. Tenter de mentir à Arthur était impossible alors elle avait essayé de diluer un peu de vérité dans sa réponse toute faite parce que cela serait plus facile à lui faire avaler. « Tu sais toujours pas te contenter de dire de rien quand on te remercie ? » Une réponse qui venait à demi-mots lui demander de ne pas creuser plus, parce qu’il n’était probablement pas prêt à entendre son ex petite-amie lui refaire le récit de combien sa vie avait changé depuis qu’il en était sorti. « Et puis tu imagines bien que tout a changé depuis 2021... » Il était aisé d'utiliser le sport pour évoquer avec subtilité combien la fin de leur histoire l'avait marquée. Un parallèle entre 2018 et 2021, quand Hamilton avait vu ses rêves de huitième titres s’envoler alors que Verstappen était sacré et Greta avait eu bien du mal à avaler la pilule. Elle avait pensé à Arthur devant sa télévision parfois lorsque ferrari gagnait et elle se demandait si lui avait pensé à elle devant ce grand prix là. Il était difficile pour elle de se savoir ici et de ne pas réussir à se concentrer sur le moment présent, elle s’efforçait de ne pas tout remettre en perspective parce qu’elle était avec lui mais c’était plus fort qu’elle. Sa tasse de café dans les mains, Greta profitait de la pluie pour justifier ce regard qui fuyait le sien depuis qu’il l’avait questionnée. « Oui j'ai pleuré si c'est ce que tu te demandais. » avait-elle tenté dans un rire pour changer de sujet. just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
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(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Mer 4 Oct 2023 - 7:10 | |
| lights out and away we go « Eh bah voilà, ça y est, j’en ai marre de toi. Il aura pas fallu longtemps, hin ? » Elle aurait, presque, pu être convaincante si un sourire n’était pas venu étirer ses traits. Arthur pouvait prédire la moindre de ses réactions. Il s’amusait de ne pas avoir perdu le dictionnaire, il savait encore percevoir ses expressions et le moment où elle avait décidé de venir le chicaner. À une époque, ils ne savaient communiquer qu’en se balançant des remarques acerbes, le tout envelopper dans un sarcasme parfois douteux, mais qui avaient toujours fini par les faire rire aux éclats. Dans l’innocence du moment, Arthur eut presque le sentiment d’avoir retrouvé cette période où pour la faire taire, il pouvait enrouler ses bras autour de ses hanches et venir l’embrasser. Cela s'était démontré comme une méthode redoutable et si la réalité ne l’avait pas rattrapé, l’instinct aurait pris le dessus. Il dut se rappeler qu’elle n’était plus la femme qui partageait sa vie, mais plutôt une amie retrouvée après des années à errer sans réellement se chercher. Ses pensées trébuchaient un peu trop régulièrement dès que Greta se trouvait dans les parages, comme si les souvenirs se voulaient à rejoindre la surface pour jouer avec son esprit. Arthur ne savait trop comment gérer ce genre d’impulsion, heureusement leur week-end promettait assez d’occupation pour ne pas se laisser rattraper par des désirs enfouis.
Tout n’était que question de plaisanterie entre eux, un terrain qu’Arthur savait dangereux, mais vers lequel il ne pouvait s’empêcher de glisser dès que Greta lui adressait un sourire. La pluie qui s’était invitée sur le circuit, n’allait pas venir gâcher leur journée, ils l’avaient décidé. « Un café italien avec un scone anglais. » C’est qu’elle cherchait la petite bête pour le moindre truc et bientôt, ils seront incapables de se parler sans que cela ne se transforme en joute verbale. « Oui ils en ont probablement pas mais je vais passer le week end entier à tout ramener à la F1 sans aucune subtilité. On est là pour ça nan ? » Un rire lui échappa face à l’enthousiasme à peine dissimuler de Greta. « Si ça te fait plaisir. » Il haussa des épaules pour la forme, ses mains s’enfonçant dans les poches de son jean pour ne pas s’aventurer trop proche du bras de la blonde. Arthur avait besoin de marcher, de regarder tout ce qu’on pouvait lui proposer avant de se poser à nouveau. Ils se sont peut-être un peu laisser emporter sur la quantité de snacks ramenés à leur table, mais après tout, ils avaient les moyens de se faire plaisir. « Tu m’en laisses un, hein ?! » Il avait toute l’intention du monde de savourer son café, qui venait quand même de lui coûter une petite fortune, mais après cela, il comptait bien goûter ces fameux mochis donc tout le monde semblait parler dernièrement. « Qu’est-ce que tu voudrais faire si ça reprend pas ? » Elle savait qu’il lui serait impossible de ne rien faire pour le reste de la journée, mais sous une pluie torrentielle, tout paraissait limiter. « Aller piquer une tête dans la piscine de l’hôtel ? » Cela aurait au moins le don de lui faire brûler un peu d’énergie. « Ou tester le onsen qu’il y a sur la terrasse de la chambre ? » Encore une activité qui impliquait de ne porter qu’un maillot de bain, mais ce n’est pas comme si les possibilités se voulaient indéfinies. « On verra bien. » Qu’il ajouta en haussant de nouveau des épaules.
À moitié assis sur son siège, Arthur cherchait à se concentrer sur la conversation en cours. Ses questions s’alignant sans jamais laisser le temps à Greta de répondre. La rapidité de ses mots trahissant la véritable surprise qu’il avait d’entendre les affirmations de la jeune femme. « Non, même pas Melbourne ! » Il aurait pu comprendre une certaine pause, mais pourquoi avait-elle tout simplement arrêté de fréquenter les circuits, elle qui était pourtant aussi accroc que lui ? Cela ne faisait guère de sens dans son esprit et Arthur voulait comprendre. « Je me suis jamais posé la question, je sais pas, j’ai mis du temps à m’adapter à Brisbane alors j'y ai pas pensé. Et je connais personne qui aime je crois. J’aurais pas eu envie d’y aller seule… » En réalité, la réponse se voulait évidente. Greta est sa peur panique de faire les choses seules ? De quoi avait-elle continué à se priver parce qu’il était parti et qu’elle n’avait plus de partenaire avec qui partager une activité ? « C’est dommage. » C’est bien tout ce qu’il pouvait dire après tout. Qu’elle n’aurait pas dû se retenir, mais en même temps… Elle avait souligner ne jamais avoir eu l’idée de faire cela sans lui. Et ça, Arthur ne savait pas réellement comment le gérer. Alors il préférait ignorer. « Tu sais toujours pas te contenter de dire de rien quand on te remercie ? » Et bien sûr qu’elle l’avait relevé. Haussant les épaules pour la centième fois au moins, il lui adressa un sourire presque timide. « Y’a des choses qui ne change pas. » Il n’était pas si différent de l’homme qu’elle avait fréquenté pendant tout ce temps. Arthur ne savait gérer que les compliments vides de sens, pas ceux qui venaient avec des émotions et un sous-entendu qu’il avait parfois du mal à traiter. « Et puis tu imagines bien que tout a changé depuis 2021... » Il n’était pas certain de comprendre. Fronçant les sourcils, il releva les yeux vers Greta qui jouait avec la lanière Mercedes autour de son cou. « Oui j'ai pleuré si c'est ce que tu te demandais. » Oh. Elle parlait donc de course et pas de l’année 2021 en soi. Arthur ce senti idiot d’avoir pu imaginer autre chose. « Je m’étais pas vraiment posé la question. » Pour être honnête, il était à mille lieues de penser à elle lorsque tout cela s’est produit. « On a pas le droit à la télévision en centre de désintoxication. » Il n’avait pas pu suivre la fin de la saison, n’avait aucune idée que l’un des monstres de la Formule Un c’était fait voler son titre par un jeune arrogant. Il l’avait appris bien après, alors qu’il était déjà en chemin pour Brisbane. Une fois encore, il haussa des épaules, préférant fixer son regard dans le fond de son gobelet désormais vide de café.
Il avait réussi à faire diversion, quelques minutes, avant que la course de ne lui vienne en aide avec une reprise qui fut pourtant trop vite avorté. La piste était trempée au-delà de ce qui pouvait s’avérer être safe pour les pilotes et la journée fut écourtée sans que personne ne soit réellement surpris. Un taxi venait tout juste de les ramener à l’hôtel et Arthur se sentait déjà agité à l’idée de rester enfermer entre quatre murs pour le restant de l’après-midi. Il était difficilement envisageable de proposer une sortie à l’extérieur et le centre-commercial le plus proche était à plusieurs kilomètres de là. « Je vais peut-être aller faire un tour à la salle de sport ? » Il avait besoin de bouger, de s’occuper l’esprit pour ne pas laisser ses pensées s’en aller vers tout ce qu’il s’interdisait depuis près de trois mois désormais. « Ou tu veux qu’on fasse un truc ensemble ? » Il n’avait tout de même pas l’intention de la laisser seule.
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| | | ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280 TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/a GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenience DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [ 09/08]
ua (slasher) Moventry #10
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15 #16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
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RPs TERMINÉS : (2024) Mallen #5 • Kieran #1 • Moventry #12 • Swann #8 • Swann #9 • Moventry #14 • Joseph • Marley #3 • Lena #2 • Mallen #6 • Emery #4 • Moventry #13 • Swann #10 • Moventry #15 • Izan #1 • Swann #11 • Izan #2
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| Il fallait tout réapprendre alors qu’ils avaient déjà fait un long chemin d’apprentissage par le passé. Vivre ensemble, se connaître, un parcours long et semé d’embuches qu’il avait su suivre ensemble jusqu’à ce qu’il ne s’arrête brutalement. Se retrouver ne signfiiait pas seulement de devoir apprendre à appréhender l’ensemble des sentiments qui étaient les leurs mais aussi tenter de chasser les réflexes qui avaient été les leurs pendant un certain nombre d’années. Etre ensemble les replongeait dans le passé et il était difficile pour Greta de ne pas franchir certaines limites à cause d’habitudes qui lui revenaient comme des réflexes. « Si ça te fait plaisir. » C’était amusant de le voir baisser les armes aussi rapidement et elle avait rejoint la table avec leurs snacks - trop nombreux - en main avec un sourire satisfait sur le visage. « Tu m’en laisses un, hein ?! » « T’avais qu’à mieux choisir. » Ils ne cessaient jamais et ne semblaient pourtant pas se lasser de ces échanges-là. Greta avait finalement demandé la suite du programme, habituée à ce qu’Arthur prenne les décisions, incapable de rester en place. « Aller piquer une tête dans la piscine de l’hôtel ? Ou tester le onsen qu’il y a sur la terrasse de la chambre ? » « Le quoi ? » Elle ne s’était pas renseignée plus que cela sur une culture Japonaise qu’elle ne maîtrisait absolument pas et son sourcil arqué et son air ahuri avait une nouvelle fois réussi à les faire rire. « On verra bien. » Et elle avait acquiescé avant d’attraper un mochi et de lui tendre devant les lèvres et ce n’est que lorsqu’il l’avait attrapé qu’elle avait réalisé qu’elle avait été la première à se laisser aller à ses vieux réflexes.
C’était peut être cela qui l’avait amenée à tenter de mettre des mots sur ce qu’elle ressentait mais il ne l’avait pas entendue. « C’est dommage. » Bien sûr que ça l’était et l’entendre prononcer une évidence l’agaçait alors elle avait détourné le regard. Ce qui était dommage était la façon dont elle avait mis sa vie entre parenthèses s’étant laissée l’opportunité d’être blessée en laissant entrer Arthur dans sa vie. En le laissant approcher trop près, prendre place dans sa vie jusqu’à ce que son absence de celle-ci l’éloigne de ses objectifs. Mais elle avait choisi de le suivre parce que les arguments qu’il lui avait donnés étaient impossibles à rejeter alors elle avait forcé un sourire. « Y’a des choses qui ne changent pas. » Comme la sensation qu’elle ressentait après le contact de ses lèvres sur ses doigts ou la façon dont tout ce qu’il lui disait avait un impact sur son humeur. Cela ne devait plus être le cas, et pourtant, elle ne réussissait plus à s’empêcher de réagir ainsi. Elle avait tenté de recentrer la conversation sur la raison de leur venue ici tout en y ajoutant une touche d’humour. « Je m’étais pas vraiment posé la question. » Bien sûr que non, il n’avait pas pensé à ses états d’âme depuis son départ. « On a pas le droit à la télévision en centre de désintoxication. » Son air avait changé complètement et Greta affichait ouvertement sa contrariété, parce qu’elle l’avait amené à évoquer une période bien particulière de son passé et parce qu’elle ne savait pas comment gérer la suite de la discussion. « C’était la meilleure chose à faire. » C’était son avis et elle avait osé le dire mais n’avait pas réussi à aller jusqu’à utiliser ce même ton détaché, aussi, elle s’était empressée de poursuivre. « On en a raté des choses, hin ? » Et elle était encline à poursuivre la discussion pour lever le voile sur ces années entre leur rupture et leurs retrouvailles mais ne souhaitait pas venir gâcher cette parenthèse loin de tout. Ils avaient énormément de choses à rattraper mais restait encore à savoir si c’était sur cette lancée qu’ils souhaitaient continuer.
« Je vais peut-être aller faire un tour à la salle de sport ? » « Si je savais pas que tu tenais pas en place je me dirais que t’essaies de me fuir. »
« Ou tu veux qu’on fasse un truc ensemble ? » That’s more like it, Arthur. Simplement avouer qu’elle préférait profiter pleinement de ce séjour pour être avec lui, elle l’aurait peut-être fait s’il avait été plus réceptif avant mais ce n’était pas le cas, alors elle avait envie de s’amuser un peu. « Tu crois que je peux aller saluer un ou deux pilotes avec ça ? » La façon dont elle avait attrapé le ruban duquel pendait son pass avec le pouce tout en le fixant n’avait rien d’anodin mais elle avait fini par un éclat de rire en voyant son regard commencer à changer. Greta ne savait pas s’il était piqué à l’idée de l’imaginer avec un pilote ou par la façon dont elle était venue volontairement flirter avec lui. Haussant les épaules et brisant le regard perçant qu’elle lui lançait, elle s’était finalement levée du lit dans un bon pour disparaître dans la salle de bain avant de revenir en bikini. « Personnellement, je vais tester ce truc là » avait-elle lancé en désignant de l’index ce qu’elle aurait appelé une piscine mais qui portait un nom bien précis. « Me regarde pas comme ça, tu m’as déjà vue nue Arthur. » Elle s’efforçait de paraître bien plus à l’aise qu’elle ne l’était réellement et sans un mot de plus elle était entrée dans l’eau et la chaleur qui en émanait lui avait fait comprendre la popularité de ces bains ici. L’anglais ne s’était pas moquée d’elle en réservant l’hôtel et s’ils n’étaient pas tous deux trop prompts à céder aux addictions, elle lui aurait proposé du champagne. Greta s’était accoudée sur le rebord du bain pour observer la ville qui se dressait sous ses yeux, recouverte d’un épais nuage qui ne cessait de pleuvoir. Le contraste entre ce spectacle et la chaleur de l’eau lui procurait un sentiment d’apaisement total, le premier depuis qu’ils s’étaient retrouvés tous les deux. Un sourire s’était dessiné sur ses lèvres lorsqu’elle l’avait entendu entrer à son tour dans l’eau, lui indiquant qu’il avait choisi de rester avec elle. « J’étais sérieuse tu sais. » avait-elle commencé avant de se retourner vers lui pour l’arroser gentiment, venant contraster le poids des mots qu’elle s’apprêtait à prononcer. « Quand je disais que je voulais être là pour t’aider, je le pensais. » Et dans un monde parfait, elle aurait parcouru les quelques centimètres qui les séparaient pour passer ses mains autour de son cou mais elle s’était contentée de sourire. « La question c’est de savoir si tu me laisseras l’être. » Elle s’était éloignée pour s’adosser aux rebords et le fixer avec un air bien plus amusé que ce que ne suggérait le discours qu’elle prononçait. Elle était sérieuse mais ne désirait pas installer un moment de malaise, bien au contraire. « J’ai des arguments, Coventry. » Et ses yeux ne cessaient de le défier depuis leur retour dans la chambre communicante, le destin venant une nouvelle fois rebattre les cartes pour ces deux-là au travers d’une météo ayant compliqué le déroulé du grand prix. just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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| lights out and away we go Qu’importe où ils se retrouvaient tout en revenait toujours à ce qui les avait séparés, aux années qu’ils avaient dû passer loin l’un de l’autre. Parfois, Arthur se demandait si elle cherchait à lui faire payer son absence. Greta n’était jamais claire, jouant le chaud et le froid, s’aventurant sur un sujet sans pour autant oser aller trop loin. Elle avait distillé quelques informations sur ce qu’elle avait cessé de faire sans lui avant de tout alléger pour ramener la conversation à la Formule Un. Il en avait presque le tournis. Voulait-elle avoir une autre conversation sur ce qui avait bien pu se dérouler à cette époque ? Est-ce qu’elle lui demandait d’en dire plus, mais d’une manière déguisée ? Arthur n’a jamais été très doué pour déjouer les sous-entendus, il préférait encore mille fois qu’on lui demande brutalement. Mais il savait encore lire les expressions de la blonde. La frustration qui était venue voiler son regard quand il eut admis ne pas avoir pensé aux réactions de la jeune femme face à la défaite de son pilote favori. Il savait parfaitement ce qu’elle était en train de penser, qu’elle avait complètement quitté son esprit dès l’instant où il avait franchi la porte de leur appartement ce soir-là. Elle ne pouvait pas plus se tromper et la justification allait jeter un froid dans leur complicité du jour. « C’était la meilleure chose à faire. » Bien sûr qu’elle était de cet avis-là. Il devait se soigner. À l’époque, il n’en était pas convaincu et aujourd’hui encore, il lui arrivait de tout remettre en doute. « C’était une obligation. » On ne lui avait pas demandé son avis, il avait été envoyé en cure à la suite de son séjour à l’hôpital. Plus personne ne lui avait demandé son avis après cette fichue soirée. « On en a raté des choses, hin ? » Relevant la tête, il croisa le regard plein d’espoir de Greta. Elle avait tout un tas de questions à lui poser, il pouvait le sentir. Il n’avait aucune envie d’y répondre. Aucun désir de lui faire la liste de tous les échecs qui était venue s’accumuler après leur rupture. « On en parlera. » Il ne pouvait s’empêcher de lui promettre. « Pas maintenant. » Pas alors qu’ils étaient entourés d’étrangers, sur un circuit de courses automobile. Pour l’instant, il allait l’entraîner vers les gradins, pour voir les essais qui allaient sans doute reprendre. La distraction lui était nécessaire. Le reste pouvait attendre.
*** « Si je savais pas que tu tenais pas en place je me dirais que t’essaies de me fuir. » « On a pas beaucoup bouger aujourd’hui. »
À quoi bon se justifier quand elle savait exactement ce qui venait le démanger. Il allait devoir trouver un moyen pour brûler son énergie et Greta le savait mieux que personne. Combien de fois l’avait-elle poussé en dehors de leur appartement pour une balade quand il lui devenait impossible de rester assis sur le canapé ? Elle avait su déceler les signes au fur et à mesure. Surtout, elle avait appris les parades qui fonctionnaient. Comme celle de s’approcher de lui, fixant son regard dans le sien. Assez pour que le palpitant d’Arthur rate un battement. « Tu crois que je peux aller saluer un ou deux pilotes avec ça ? » C’est à peine s’il entendit la réponse tant Greta était proche. Il releva les notes de son parfum, toujours le même, et l’intensité dans son regard malgré son éclat de rire. Arthur dut combattre des instincts qu’il pensait oublier. Comme celui de vouloir enrouler ses bras autour des hanches de la blonde pour la ramener contre lui. Il n’avait pas le droit de faire cela, pas quand elle lui avait clairement dit être intéressée par quelqu’un d’autre. Elle ne flirtait pas, elle voulait juste l’embêter. Pas vrai ? « Tu peux essayer. » Il répondit sur un air de défi, presque impatient à l’idée de la voir aller flirter avec un pauvre mécanicien pour obtenir un quelconque accès. Greta pouvait être joueuse lorsqu’elle avait une idée en tête et Arthur n’était pas celui qui viendrait lui imposer la moindre limite.
En une seconde, elle avait disparu. Il ne restait plus que l’odeur entêtante de son parfum dans la chambre, alors que la porte de la salle de bain se fermait dans un clic discret. Se laissant retomber sur le matelas, Arthur fixa le plafond en inspirant longuement. Le week-end allait être long. Qu’est-ce qui lui avait pris de lui demander de l’accompagner ? Il n’était pas capable de résister à Greta. Et les paroles de Swann se mirent à flotter dans son esprit. Rien n’avait de finalité, tout pouvait encore changer. Passant une main sur son visage, il finit par se redresser en entendant les pas de la jeune femme sur le parquet. « Personnellement, je vais tester ce truc-là » Elle pointa le onsen du doigt, mais Arthur ne voyait que le corps, simplement recouvert d’un bikini, qui se baladait sous ses yeux. « Me regarde pas comme ça, tu m’as déjà vue nue Arthur. » Il aurait voulu rire, mais le son resta coincé dans le fond de sa gorge. « Justement. » qu’il finit par marmonner pour lui-même. Il l’avait déjà vu nue, mais ce n’est pas quelque chose qui était censé se reproduire. À en croire ses propres réactions physiques, c’était pourtant une option qu’il allait envisager s’il ne détournait pas le regard dans la seconde. Tournant le dos à la baie vitrée, il prit un instant pour souffler longuement. Calme toi Coventry.
Il aurait pu envisager de se rendre à la salle de sport, laissant Greta profiter d’un moment de solitude sur la terrasse. Cela aurait sûrement été la plus sage des décisions, mais Arthur ne savait prendre acte de la sagesse. Il avait tergiversé durant quelques minutes avant de se rendre à son tour dans la salle de bain pour changer de tenue. Sur la terrasse, l’air humide, vint le faire frissonner alors que son regard se posa sur Greta qui observait le paysage d’un air absent. La proximité était plus que réduit dans ce carré d’eau, mais tout paraissait comme apaiser, dans cette bulle hors du temps. Le bruit de la pluie eut le don d’apaiser ses nerfs, l’aidant à franchir les quelques pas qui le séparait du bain. L’eau chaude vint réchauffer sa peau, aidant Arthur à se détendre un peu pour adresser un sourire apaisé à Greta. « J’étais sérieuse, tu sais. » Surpris par le jet d’eau qu’elle envoya dans sa direction, il eut un éclat de rire, avant de poser à nouveau son regard sur le visage de la blonde. « À propos ? » Il se doutait un peu de ce qui allait suivre, mais il voulait l’entendre. « Quand je disais que je voulais être là pour t’aider, je le pensais. » Elle n’allait donc pas lâcher le sujet. Personne ne semblait vouloir lui accorder le moindre répit. Il fallait constamment parler de son addiction, de son sevrage, de ce qu’il envisageait pour le futur. Arthur était fatigué de tout cela. « Greta, s’il te plaît. » Pourquoi venir gâcher un tel moment avec ce genre de conversation ? « La question, c’est de savoir si tu me laisseras l’être. » Non. Cela ne devrait être que la seule réponse plausible. Non. Parce qu’il se devait de la tenir à l’écart de tout cela, parce que la laisser l’aider signifiait la laisser approcher de nouveau. Arthur baissa les yeux, incapable de lui amener une réponse immédiate. Tout paraissait le tirailler dans tous les sens et soudainement le bruit de la pluie ne lui paraissait plus aussi apaisant, mais plutôt comme le tic-tac incessant d’une horloge qui réclamait des réponses. « J’ai des arguments, Coventry. » Bien sûr qu’elle en avait. Il pouvait le voir dans son regard. Elle qui était si proche et en même temps si loin. À une autre époque, il se serait rapproché à son tour, aurait laisser glisser ses lèvres le long de sa nuque, jouant la parfaite distraction. Ses mains seraient venues redessiner les courbes de son corps et Greta aurait oublié tout ce qu’elle avait à dire. Il lui suffisait de tendre le bras pour que ses doigts viennent frôler la cuisse de la blonde. Tout aurait été oublié en un instant. Leur regard se défiait avec force. Qui cédera en premier ? « Je t’écoute… » Elle avait des arguments, paraît-il. Il se redressa pour venir appuyer son dos contre la paroi, face à Greta. Yeux dans les yeux. « Pourquoi je devrais te laisser m’aider ? » Quand tout semblait hurler à la mauvaise idée ? |
| | | ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280 TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/a GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenience DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [ 09/08]
ua (slasher) Moventry #10
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15 #16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
RPs EN ATTENTE : Riley #1
RPs TERMINÉS : (2024) Mallen #5 • Kieran #1 • Moventry #12 • Swann #8 • Swann #9 • Moventry #14 • Joseph • Marley #3 • Lena #2 • Mallen #6 • Emery #4 • Moventry #13 • Swann #10 • Moventry #15 • Izan #1 • Swann #11 • Izan #2
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AVATAR : Ashley Benson CRÉDITS : avatar : auselesslovethings / gifs : zazou (crackship); gracgifs (signature) goddamnmuses (profil), drvgonqueen - lcrnasgifs - zigglerscesaro - may0osh - cheekeyfire (profil) / ub : paindep/stairsjumper DC : Didi & LewLew & NicoPSEUDO : WisePenguin INSCRIT LE : 28/07/2022 | (#)Dim 8 Oct 2023 - 14:24 | |
| Ils auraient simplement dû être penchés sur le balcon à hurler à chaque passage des mercedes et des ferraris et à se frapper gentiment l’épaule lorsque l’un ou l’autre était devant. Tout aurait dû être simple, ils connaissaient ce monde et avaient des tas de choses à se dire lorsqu’ils commentaient les courses qu’ils voyaient à la télévision. Et pourtant, Greta ne voyait rien de simple à se trouver si proche de lui et en même temps si loin, à le voir rire à ses tentatives d’humour ratées et à l’observer pour être sûr de lire ce que signifiaient l’ensemble de ses expressions faciales. Arthur était là, avec elle, et pendant de courts instants elle retouchait au bonheur si relatif auquel ils avaient eu le droit pendant quelques années. Comme si ce week-end n’était pas assez difficile à gérer, la pluie n’avait de cesse de les narguer et d’empêcher le spectacle de reprendre, les laissant seuls avec des questionnements bien trop importants pour être soulevés. « C’était une obligation. » La jeune femme pouvait le sentir se fermer et faire ressortir toute la noirceur qu’il avait en lui, venant lui rappeler subtilement de ne pas approcher trop près. Elle en serait restée là, quiconque en serait resté là, mais pas elle. Parce qu’il avait été l’amour de sa vie et qu’elle n’avait plus peur de ses réactions depuis bien longtemps. « On en parlera. » Mais pas maintenant. « Pas maintenant. » Greta avait souri, anticipant encore ce qu’il allait répondre et sur quel ton il le ferait. Elle avait hoché la tête, acceptant de le voir se fermer à nouveau alors qu’il avait été celui qui était venu évoquer son passage en cure de désintoxication. Elle continuerait à avancer là où elle décidait d’aller, s’étant habituée à toujours avoir été plus à l’aise avec ses sentiments que lui, mais elle ferait de son mieux pour ne pas le brusquer, pas maintenant. A la place, ils avaient enfin pu aller assister aux qualifications avant de rentrer à l’hôtel pour faire face l’un à l’autre une nouvelle fois. « On a pas beaucoup bouger aujourd’hui. » Elle y voyait toujours une excuse pour s’éloigner d’elle, sans réussir à comprendre ce qu’il pouvait bien vouloir fuir. Greta avait haussé les épaules, prétendant se moquer de comment se déroulerait la suite de la soirée. De son côté, avant de le voir s’éclipser, elle s’était amusée un peu. « Tu peux essayer. » avait-il simplement dit avec le même détachement dont elle venait d’essayer de faire preuve et c’était avec une mine boudeuse qu’elle avait accepté sa défaite. S’engouffrant dans la salle de bain, Greta avait eu le temps de réfléchir à ce qui aurait pu lui donner envie à elle de fuir et le constat était simple, elle ne savait pas lui résister. Devant le miroir, elle avait fixé son reflet pour tenter de comprendre ce qu’elle voulait réellement et avait décidé qu’elle profiterait du week-end et prendrait de pareilles décisions plus tard. Elle était sortie en maillot de bain sans réellement penser à l’effet que cela aurait pu avoir sur lui. « Justement. » Un petit rire et la blonde s’était réfugiée dans l’eau chaude du onsen.
Plongée dans cette eau chaude, les yeux rivés sur la ville, Greta refusait de repartir d’ici avec des regrets. « À propos ? » Alors elle avait repris les mots prononcés quand il était venu chez elle pour lui apporter toutes les réponses qu’elle avait toujours désirées. « Greta, s’il te plaît. » Il restait bien trop sérieux, mais elle était convaincue qu’il prétendait seulement ne pas voir le jeu auquel elle s’était mise à jouer depuis qu’ils étaient rentrés. A l’entendre prononcer son prénom, elle mourrait encore un peu plus d’envie de démarrer la partie. « Je t’écoute… » Il s’était mis face à elle et Greta n’arrivait pas à se défaire de ce sourire en coin. Elle ne voyait plus celui qui l’avait laissée à l’époque, celui pour qui elle avait tant pleuré et qui lui avait fait renoncer au sentiment auquel elle croyait le plus fermement. Tout ce qu’elle voyait, c’était l’homme qui avait partagé sa vie et qu’elle n’avait jamais cessé de désirer. « Pourquoi je devrais te laisser m’aider ? » Elle était consciente qu’il aurait préféré évoquer tous les sujets plutôt que celui-ci et pourtant, elle refusait de faire semblant. Greta le connaissait trop bien, connaissait sa façon de fermer les yeux sur des sentiments qui le dérangeaient ou de préférer s’énerver pour éviter un sujet qui le mettait mal à l’aise. Elle n’était plus sa petite-amie, ni même son amie, elle était cette distraction qui lui permettrait de penser à autre chose mais si elle avait promis de l’aider, elle était convaincue que ce ne serait pas en faisant comme si de rien était. C’était arrivé, cela faisait partie de lui et ferait partie de ce duo qu’ils étaient en train de reformer sans réellement savoir où il irait. Alors elle avait profité de ce statut si particulier pour s’immiscer et ne pas lui laisser le choix - si elle ne lui tenait pas tête, alors qui serait en mesure de le faire ? Mais la main tendue qu’elle proposait n’avait rien de similaire à celle proposée lors de leur discussion précédente. « Dis-moi que je suis pas déjà en train de t’aider et je prends le prochain avion. » Arthur fuyait les sujets épineux et elle lui autorisait ce répit parce qu’il lui avait déjà tant dit. Et parce qu’elle avait une toute autre idée en tête, l’envie de lui faire vivre quelques instants de ce qu’elle avait vécu lorsqu’il était parti. « Tu sais, je sais que je pourrais pas te résister indéfiniment si on continue ce petit jeu alors je me dis que ce week-end serait idéal pour craquer. » Elle s’était rapprochée dangereusement de lui jusqu’à ce qu’il puisse lui indiquer de s’arrêter mais il ne l’avait pas fait alors ses lèvres avaient trouvé le creux de son oreille. « Ce qui se passe a Suzuka reste à Suzuka, tu vois » Ses yeux s’étaient plantés dans les siens et ce même sourire en coin lui indiquait à quel point elle avait envie de jouer avec le feu. Pourtant, si elle avait envie de mettre fin à ce supplice qu’elle s’infligeait en posant ses lèvres sur les siennes comme cela aurait dû être le cas au mariage de Swann, Greta avait fait un pas en arrière. Elle en avait envie, mais pas comme ça, pas avant d’en savoir plus, et pas si facilement. Arthur aurait pu se laisser tenter, elle le connaissait trop bien et avait pu sentir sa respiration saccadée lorsque son visage s’était approché du sien, mais il aurait pu réagir de cette façon avec n’importe quelle autre femme et ce n’était aps ce qu’elle souhaitait être. « Mais moi, je ne vais pas me brûler les ailes. » Elle ne prendrait aucun risque, seul celui de laisser son index effleurer sa côte pour parcourir l’ensemble de son tatouage en un geste rapide avant de regagner son côté du bassin. « Sympa, ton nouveau tatouage. Tu l’as fait quand ? » avait-elle demandé, détournant son regard d’Arthur, se prenant à son propre piège. « J’ai envie de tester les vrais sushis. Je t’invite, on sort ou on les mange ici? » La balle était dans son camp et elle ne tarderait pas à son tour à se refermer comme il savait si bien le faire et à regretter la façon dont elle s’était laissée aller. just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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| lights out and away we go La tension monta d’un cran dès l’instant où leurs regards se croisèrent à nouveau. Si elle lui avait donné l’impression de jouer la distance depuis leur arrivé sur le sol japonais, quelque chose semblait avoir subitement changé dans le comportement de Greta. Il pouvait le déceler dans l’étincelle qui venait faire briller ses pupilles azure. Leur nouvelle proximité n’aidait en rien, quand il lui était impossible de détourner le regard. Greta paraissait vibrer sous une nouvelle forme, ramenant à la surface la fille qui l’avait fait craquer toutes ces années auparavant. « Dis-moi que je suis pas déjà en train de t’aider et je prends le prochain avion. » Il ne lui manquait qu’un sourire en coin pour rendre le tout cruellement dangereux. Tout se voulait à double tranchant, parce que même si les années avaient filé entre eux, Arthur connaissait encore les réactions de la blonde. S’il avouait qu’elle était la parfaite distraction à ses ennuis, elle se mettrait à bouder jusqu’à la fin du week-end. S’il se contentait de hausser les épaules, elle serait capable de se rendre à l’aéroport pour prendre le premier avion sans se retourner. « Reste. » C’est bien tout ce qu’il pouvait lui accorder. Une demande qui pouvait s’apparenter à une supplication. Elle se devait de rester. Il avait besoin de cela. De la distraction, qui n’en était pas vraiment une. Mais surtout de la sensation apaisée que sa présence pouvait lui apporter. Enfin, jusqu’à présent.
Alors qu’Arthur désespérait à l’idée de se voir infliger une autre discussion sérieuse, Greta paraissait jubiler à l’idée de jouer avec son esprit. « Tu sais, je sais que je pourrais pas te résister indéfiniment si on continue ce petit jeu alors je me dis que ce week-end serait idéal pour craquer. » La garce. Elle s’était rapprochée. Au point de le faire loucher, s’efforçant de garder les yeux à un niveau qui ne criait pas son attirance évidente pour sa poitrine. La dernière fois qu’elle s’était retrouvée si proche de lui, il lui avait manqué un battement pour attraper ses lèvres dans un baiser. C’est qu’il pouvait presque retrouver le goût de ces dernières alors que Greta jouait de son avantage pour mieux se rapprocher encore. Il lui suffirait d’un mouvement pour emprisonner ses hanches dans une étreinte et pour céder à la tentation qui se voulait grandissante. « Ce qui se passe à Suzuka reste à Suzuka, tu vois » Un frisson parcouru son échine tandis que le souffle chaud de la blonde effleura sa peau. Il ne pouvait dissimuler ses réactions. Elle avait toujours eu cet effet sur lui. « Tu pourrais me donner un exemple. » De ce qui ne devait rester qu’un secret entre eux. Il ne manquait rien, juste quelques millimètres, pour que leurs lèvres se retrouvent à nouveau. Le jeu de regard s’en tournait en un défi qui allait leur brûler les doigts. Elle pouvait céder en un sourire en coin, il se plierait à n’importe quoi en un regard. Elle jouait avec lui. S’éloignant déjà, lui faisant ressentir le manque de sa présence en un instant. Il s’apprêtait à la rattraper, mais Greta avait une longueur d’avance sur lui. « Mais moi, je ne vais pas me brûler les ailes. » Ses mots s’accompagnèrent de quelques doigts joueurs, venant effleurer ses côtes marquées d’un symbole étrangement en adéquation. Arthur s’efforça de ne pas réagir, mais ce simple contact enflamma sa peau, réactivant un désir si longtemps enfoui. « Sympa, ton nouveau tatouage. Tu l’as fait quand ? » Il ne put s’empêcher d’éclater d’un rire las. « A ma sortie de cure. » Il jouait la carte de l’honnêteté, au moins, cela avait refroidi ses pensées. « Ça devient lassant. » De toujours en revenir à ce même moment de vie, à cette erreur qui l’avait d’abord conduit à l’hôpital, puis qui l’avait forcé à tout remettre en perspective.
La distraction qu’elle était venue lui offrir sur un plateau se voulait bien plus alléchante. Il n’allait rien dire de plus, laissant de côté les révélations impliquant son état de santé, pour mieux venir se brûler les ailes, justement. Arthur ne pouvait que tomber tête baissée dans un jeu que Greta semblait déjà ne plus vraiment assumer, alors que la main du jeune homme venait effleurer la peau de sa cuisse. « J’ai envie de tester les vrais sushis. Je t’invite, on sort ou on les mange ici? » Il souffla à nouveau de rire, se rapprochant encore de Greta. L’espace étant trop réduit pour qu’elle ne puisse s’enfuir. Son regard cherchait le sien alors que ses doigts dessinaient des arabesques le long de sa jambe encore immergé dans le bain brûlant. « T’as toujours su lancer les hostilités avant de te dérober. » Combien de fois l’avait-il vu le provoquer avant de mieux se renfermer quand, à l’époque, ils en étaient qu’à se draguer au cours de quelques fêtes extravagantes ? Elle était la première à lui lancer un défi, avant de paniquer dès qu’il acceptait de le relever. Arthur jouait sur un terrain familier. « Il n’y a que toi qui as parlé d’un petit jeu. » S’il n’allait pas jouer les purs innocents, Arthur voulait tout de même reconnaître qu’il n’avait pas décidé de l’amener ici dans le seul but de raviver une vieille flamme. Il l’avait espéré, certes, mais il n’en avait pas fait son unique but. À croire qu’ils n’étaient que deux aimants qui se devaient de se retrouver, à un moment ou un autre. Peut-être qu’ils avaient provoqué la chance, dans ce bain où il était difficile de ne pas jouer la proximité. Arthur pouvait entendre le moindre frisson émanant de Greta alors que sa main ne cessait de progresser sur sa cuisse, son torse se rapprochant d’elle à mesure qu’un sourire venait étirer ses lèvres. Arthur jouait la torture, penchant lentement son visage vers celui de Greta, avant de se détourner pour venir embrasser ce point précis, juste sous sa mâchoire. Décidément, rien n’avait changé. « T’as raison, j’ai faim. » Et sans un mot de plus, il se releva pour sortir de l’eau et attraper une des serviettes qui traînait sur la terrasse. Un jeu partout. Ou quelque chose comme ça. |
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AVATAR : Ashley Benson CRÉDITS : avatar : auselesslovethings / gifs : zazou (crackship); gracgifs (signature) goddamnmuses (profil), drvgonqueen - lcrnasgifs - zigglerscesaro - may0osh - cheekeyfire (profil) / ub : paindep/stairsjumper DC : Didi & LewLew & NicoPSEUDO : WisePenguin INSCRIT LE : 28/07/2022 | (#)Mar 10 Oct 2023 - 9:26 | |
| La tension qui régnait entre eux était bien différente de celle qu’ils avaient ressentie dans le bar lors de leurs retrouvailles. Ils étaient en train de vivre la même chose mais un peu plus intensément maintenant que les non-dits ne la hantaient plus. Il y avait encore tant à dire mais le voir face à elle, un sourire en coin alors que ses cheveux humides tombaient négligemment sur ses épaules, lui donnait envie d’agir plutôt que de parler. C’était probablement une façon de tester les nouvelles limites qu’Arthur lui autorisait à franchir, la blonde tâtonnant, cherchant à retrouver l’équilibre parfait qu’elle avait réussi à atteindre lorsqu’ils étaient encore ensemble. « Reste. » Son souffle s’était coupé et en un mot, il avait encouragé Greta sur la trajectoire qu’elle s’apprêtait à prendre. Provocatrice et joueuse, elle s’autorisait à l’être parce qu’elle possédait encore quelques souvenirs qui lui permettaient de frapper exactement là où elle le savait sensible. Arthur n’était qu’un homme parmi tant d’autres et anticiper ses réactions face à ce flirt qui frôlait l’indécence était aisé, mais sous les yeux bleus de l’écrivaine, il était bien plus que ça. « Tu pourrais me donner un exemple. » « Je ne voudrais pas que tu aies de regrets. » A son regard qui suivait chacun de ses mouvements, à sa bouche entrouvert et à son visage qui s’approchait dangereusement du sien, Greta savait qu’ils étaient incapables de résister. Mais comme pour se prouver le contraire et pour encore un peu plus s’assurer qu’il la voyait différemment des autres, elle avait décidé de le prendre de court et de ne lui laisser que la sensation de ses doigts effleurant sa peau. Son éclat de rire l’avait fait sourire instantanément, c’était ce qu’elle recherchait, un son qu’elle mourrait d’envie d’entendre depuis qu’elle lui avait confié vouloir être présente pour lui. Il était réticent, elle cherchait encore à comprendre. « A ma sortie de cure. » Ses bras agitaient l’eau autour d’elle avec nonchalance et elle lui avait accordé un sourire désolé qui ne l’avait pas apaisé. « Ça devient lassant. » Et en un instant leur apparante alchimie s’était brisée parce qu’il n’avait de cesse de penser que ceux pour qui il comptait s’entêtait à l’attaquer gratuitement. Elle avait été maladroite, le tatouage ne représentant pas la même chose pour elle que pour lui parce qu’elle ne faisait plus partie de sa vie à ce moment-là. « Tu sais bien que ce n’est pas là que je voulais en venir, Arthur. » Et ses yeux avaient trouvé les siens parce qu’une nouvelle fois, elle voulait l’empêcher de la repousser et de la voir comme pressante, désireuse de l’entendre se confier. Ce n’était pas le cas, et le petit jeu qu’elle avait initié aurait dû suffire à apaiser ses doutes.
« T’as toujours su lancer les hostilités avant de te dérober. » A cette remarque, elle lui avait lancé un air outré avant de rire. « Tu ne te plaignais pas, à l’époque. » Elle ne se déroberait pas devant la façon dont il la laissait seule coupable de ce qu’il se tramait. Il avait joué un rôle bien avant, ses lèvres ayant désiré les siennes dès qu’ils s’étaient revus au mariage. Elle ne pouvait pas le laisser tenter de la faire regretter ce qu’elle avait initié alors que l’ensemble de ses réactions lui confirmaient combien lui aussi la désirait. C’était une évidence pour tous les deux, ils étaient simplement trop conscients de l’absurdité du moment et des risques que leurs actions pourraient engendrer. « Il n’y a que toi qui as parlé d’un petit jeu. » Et bientôt il était venu confirmer ses doutes et lui donner ce dont elle avait envie, sa main parcourant sa cuisse lui rappelant des souvenirs bien plus positifs qui continuaient de lui faire perdre la raison. C’était à son tour de l’observer et de sentir sa respiration s’accélérer alors qu’il le prenait à son propre jeu, ses lèvres venant se déposer aux abords de son cou. Les yeux fermés, elle avait ravalé sa salive, avait tenté de dissimuler l’effet qu’il lui procurait mais en ouvrant les yeux, Arthur n’était plus là. « Hey, tu peux pas me battre à mon propre jeu ! » avait-elle lancé avant de rire et de baisser la tête, laissant son désir se consumer avant de la relever. Essorant ses cheveux, Greta se tenait debout au bord du onsen, prenant un temps choisi pour aller attraper sa propre serviette. « T’as raison, j’ai faim. » Ses bras s’étaient croisés sur sa poitrine et elle s’était appuyé sur l’encadrement de la baie-vitrée qui séparait la chambre de la terrasse. « Tu m’as coupé l’appétit. » Greta était boudeuse mais incapable de décider de ce qu’elle souhaitait pour la suite des événements. Si le jeu continuait, le lendemain pourrait être bien différent. S’il s’arrêtait, la frustration gâcherait également le moment. « Qu’est-ce qu’il va se passer si on craque ? » Parce qu’elle avait assez joué avec le feu, elle avait décidé d’être franche et de lui indiquer les raisons qui la poussaient à ne pas franchir les dernières limites.
Les sushis allaient arriver, Greta ayant décidé de ne pas sortir pour le garder rien que pour elle encore un peu, avant d’affronter la cohue le lendemain. « Je peux t’emprunter un t-shirt ? » Sans attendre une réponse qui aurait probablement été négative, elle avait franchi la porte qui séparait leurs deux chambres pour revêtir un des t-shirt Ferrari d’Arthur avec un sourire malicieux sur le visage. « Ta-dah. » Et elle avait fait un tour sur elle-même, ravie de la surprise qu’elle lui accordait, le côté enfantin venant faire redescendre l’ardeur qui s’était installée entre eux depuis leur baignade. Ils s’étaient installés dans son lit à elle pour déguster les sushis, prenant le temps d’effectuer un classement de chaque saveur. La bonne humeur était revenue mais les regards ne trompaient pas et devant les mêmes émissions idiotes du premier soir, la tête de Greta s’était posée sur son torse, machinalement. Elle ne savait pas si elle s’était endormie ni pendant combien de temps mais elle l’avait senti éteindre la télévision et se lever. Les yeux à moitié clôts, elle avait murmuré. « Reste. » Attrapant sa main, elle avait fait écho à ce mot qui avait eu tant de pouvoir sur elle juste avant. C’était plus fort qu’elle, depuis qu’elle l’avait retrouvé, elle avait besoin de lui, au moins jusqu’à tenter de remettre de l’ordre dans ses émotions. Ils avaient dormi ensemble et ce moment avait été tendre, en totale opposition avec ce qu’avait laissé planer le jeu de la soirée. En ouvrant les yeux, son visage avait été la première chose qu’elle avait vu et pour ne pas songer à ce bref retour dans le passé, elle s’était empressé de se mettre à genou et de se pencher vers lui. « It’s lights out and away we go ! » Et mieux valait se presser s’ils souhaitaient profiter des animations de la fan zone avant d’assister au grand prix. just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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| lights out and away we go « Tu sais bien que ce n’est pas là que je voulais en venir, Arthur. » Il l’avait compris, bien sûr. Elle n’avait fait que commenter son tatouage, rien de plus. Mais il trouvait lassant que tout finisse par revenir à graviter autour de cette période de sa vie. Arthur ne voulait pas en parler, pas aujourd’hui, pas alors qu’il tentait de profiter de l’instant présent en compagnie de celle à qui il avait longuement pensé, sans jamais espérer pouvoir la retrouver. Qu’elle est acceptée de le suivre jusqu'ici relevait encore du miracle à ses yeux, alors Arthur marchait sur des œufs.
Elle paraissait vouloir lui accorder un peu de répit, laissant sur le banc les conversations trop sérieuses, trop réelles. À la place, il eut le droit à la réapparition de celle qu’il a toujours connu. La jeune femme qui prenait un malin plaisir à user de ses charmes pour mieux lui faire tourner la tête. S’il avait longtemps prétendu être immunisé, Arthur avait cédé depuis bien trop longtemps pour prétendre à l’indifférence. Le simple murmure de sa voix dans le creux de son oreille faisait vibrer son corps d’un millier de décharges d’ocytocine. Un instant déstabilisé par ses propres réactions, Arthur repris goût au jeu. Rien n’avait jamais été interdit entre eux, mais aujourd’hui chacun de leurs mouvements semblait flirter avec le danger. Elle jurait ne pas vouloir se brûler les ailes quand lui était prêt à sauter dans le vide. Paradoxe qui mènerait à leur perte. « Tu ne te plaignais pas, à l’époque. » Son rire vint se mêler à celui de Greta. « Est-ce que je me plains même ? » Avait-il employé le moindre reproche alors que sa main flirtait avec les limites qu’ils auraient, probablement, dû se fixer ? Ils jouaient avec le feu. Ils en étaient parfaitement conscients, l’un comme l’autre. Les hésitations se transmettaient par le regard, quand les gestes et les corps cherchaient à fusionner, ardent à l’idée d’une connexion retrouvée. Arthur avait retourné la situation, se délectant des moindres réactions de Greta. Les souvenirs se rappelaient à eux, il se voyait encore goûter à sa peau, s’enivrer du moindre de ses soupirs. Arthur vivait pour ce genre d’adrénaline qui embrouille l’esprit, il pouvait s’y jeter à corps perdu, pour mieux ignorer le reste. Il serait idiot de nier leur attirance mutuelle quand leur retenue pouvait céder en un instant. Le jeu se voulait dangereux et Arthur ne voulait pas être celui qui lui forcerait la main. « Hey, tu peux pas me battre à mon propre jeu ! » Il s’était déjà éloigné, entourant ses hanches d’une serviette blanche. « Tu veux parier ?! » Il ne pouvait retenir son air de défi quand bien même il savait à quel point tout cela pouvait être risqué. Une fois encore, il ne prit pas la peine de baisser les yeux, préférant laisser son regard parcourir le corps de Greta. Sans retenue, il aurait déjà traversé la terrasse pour venir écraser ses lèvres contre les siennes. Mais Arthur ne voulait plus commettre d’erreur. « Tu m’as coupé l’appétit. » - « J’aime bien quand tu boudes. » Il éclata de rire alors qu’elle paraissait à deux doigts de pleurer de frustration. Le séjour allait être long.
Il était en train de fouiller dans sa valise pour trouver un bas de jogging quand il sentit le corps de Greta juste derrière lui. « Qu’est-ce qu’il va se passer si on craque ? » L’heure n’était plus à la plaisanterie. Il venait d’entendre l’hésitation dans sa voix, ce qu’ils n’osaient pas se dire. « Je sais pas G. » Il n’en avait aucune idée. Rien de tout cela n’était prémédité. Se tournant légèrement pour lui faire face, il chercha son regard avant d’ajouter : « Je ne t’ai pas amené ici dans l’idée que… Ce n’était pas mon intention. » Les mots s’emmêlaient autant que sa pensée, mais Arthur tenait à clarifier les choses. Lui aussi se laissait surprendre par toute cette complicité retrouvée. Il ne pouvait nier le désir ressenti, mais il n’avait jamais eu à cœur de la piéger. Si elle lui demandait de se tenir éloigné, il le ferait sans discuter. Pour elle.
La tension avait fini par redescendre. Même si Arthur s’était imaginé déshabiller Greta dès l’instant où elle avait débarqué dans la chambre avec son tee-shirt sur le dos. Une fois encore, il dut faire preuve de quelques exercices de respirations pour ne pas laisser entrevoir, physiquement, tout le film qui se déroulait dans un coin de sa tête. Elle s’était montrée hésitante et il ne voulait gâcher le moment. Alors le plateau de sushi est arrivé comme une trêve, l’autorisation de reprendre le déroulé de ce voyage comme s’il ne s’était rien passé. Arthur ne fit aucun commentaire lorsque Greta vint s’allonger contre lui alors qu’ils, tentaient de, regarder la télé. Et si quiconque lui demandait, il nierait férocement s’être senti un peu plus léger dès l’instant où elle lui avait demandé de rester à ses côtés. Il n’avait aucune idée de ce que ce voyage allait laisser, de ce qu’ils allaient en tirer, mais c’est sans aucune hésitation qu’il était venu s’allonger à côté d’elle. Retrouvant, le temps d’une nuit, des habitudes qu’il n’avait jamais répété. Et lui qui avait tant de mal à dormir depuis le début de son sevrage, ne mis que quelques minutes à sombrer, bercer par la chaleur familière à ses côtés.
« It’s lights out and away we go ! » « Non. »
Se tournant pour s’éloigner de la voix ennuyante qui venait de le tirer du sommeil, Arthur poussa un long soupire. À ses côtés, Greta semblait sautiller sur le matelas, l’agaçant au possible. Arthur n’est pas un homme matinal, il ne l’a jamais été, elle devrait le savoir. Sans arrière-pensée, dans un réflexe plus que machinale, il vint enrouler son bras autour de sa taille afin de la plaquée sur le matelas. Un instant, il se retrouva au-dessus d’elle. Juste une seconde où une fois encore, il se vit l’embrasser. « Pardon. » Avant de mieux reculer. « Il est où mon café ? » Autant jouer le goujat, plutôt que répéter les erreurs de la veille.
L’ambiance fut étrange le reste de la matinée, ils s’étaient préparés en silence, avait déjeuné en échangeant quelques banalités avant qu’une voiture ne les emmène sur les abords du circuit. Arthur avait dévoilé sa surprise, des badges qui leur donnaient un accès plus avantageux à la fan zone, qu’il avait récupéré d’un sponsor. Greta avait pu voir son pilote favori de près, trop près même. Il l’avait vu devenir rouge écarlate et riait encore des bégayements de la blonde. « Il a dû croire que t’avais un problème sérieux. » Arthur ne pouvait plus s’arrêter de rire malgré les regards courroucés jeté dans sa direction. « Eh ! La photo est pas mal. » Il avait joué les photographes. Elle en avait fait de même, lorsqu’il avait pu échanger une poignée de main avec le pilote monégasque. Deux enfants qui réalisaient un rêve, deux amis qui se chamaillaient gentiment.
La course allait commencer. Arthur avait joué des coudes pour leur obtenir une place de choix. Une fois encore, le balcon était blindés de monde. Par réflexe, il avait laissé Greta prendre place contre la rambarde, avant de venir coller son torse au dos de la jeune femme. Les pilotes entamaient le tour de formation et sans la moindre arrière-pensée, alors qu’il cherchait une position confortable, Arthur finit par enrouler l’un de ses bras autour des hanches de Greta. Dans une seconde, les pilotes allaient s’élancer, alors il vint murmurer à son oreille : « Que le meilleur gagne. » Leur proximité n’avait rien d’étrangère, Arthur n’avait pas l’impression de brûler les étapes. Il l’avait fait de manière naturelle, parce qu’elle était là, parce qu’il y avait du monde et peut être aussi parce qu’il avait besoin d’un contact pour mieux ancrer son attention. |
| | | ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280 TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/a GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenience DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [ 09/08]
ua (slasher) Moventry #10
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15 #16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
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AVATAR : Ashley Benson CRÉDITS : avatar : auselesslovethings / gifs : zazou (crackship); gracgifs (signature) goddamnmuses (profil), drvgonqueen - lcrnasgifs - zigglerscesaro - may0osh - cheekeyfire (profil) / ub : paindep/stairsjumper DC : Didi & LewLew & NicoPSEUDO : WisePenguin INSCRIT LE : 28/07/2022 | (#)Mer 11 Oct 2023 - 13:28 | |
| Greta voyait là une opportunité de saisir à nouveau la chance qu’elle avait de retrouver leurs débuts, ces moments où tout était excitant, même la chose la plus insignifiante et le fait que cela soit avec Arthur décuplait le sentiment. Une sorte de retour dans le passé qui leur permettait de revivre leur relation du début et elle était décidée à en profiter même s’il n’y avait aucune certitude quant au dénouement de ce second essai. Elle était animée par la curiosité, l’excitation et l’adrénaline et maintenant qu’elle avait osé dire tout haut son attirance toujours présente pour lui, tout pouvait arriver. Sa main ne cessait de jouer avec sa patience et elle le détestait d’appuyer sur les points qu’il savait sensibles. Il lui montrait qu’il savait encore et Greta oubliait ce statut d’ex qui lui collait encore tant à la peau il y’a quelques jours, ignorant ces longues années sans lui. Il lui avait brisé le coeur et toutes ses actions étaient illogiques mais elle savait pertinemment qu’il était également le seul à pouvoir le faire battre à tout rompre comme c’était le cas actuellement. Céder à la tentation et tirer un trait sur tout ce qui avait été fait, pardonner le pire ou y résister et prendre le risque de ne plus jamais ressentir la même chose - le dilemme qui se dessinait était bien trop complexe pour que Greta puisse le résoudre sans s’y perdre. Alors elle choisissait la spontanéité puis regrettait, se lançait corps et âmes dans la séduction pour s’éloigner l’instant suivant. Arthur s’en agaçait, mais elle pouvait deviner qu’il était lui-même en proie aux doutes. « Est-ce que je me plains même ? » Son corps était bien proche du sien pour qu’elle puisse répondre sans que sa voix ne s’éteigne dans un gémissement, c’était l’effet que l’anglais avait sur elle et elle ne pouvait pas le masquer. Mais si les défauts d’Arthur défilaient dans son esprit pour l’effrayer au point de ne pas choisir la facilité, l’une de ses qualités avait pris le dessus et c’était sa capacité à toujours frapper plus fort. « Tu veux parier ?! » A la place, elle était sortie du bain, parce qu’elle n’avait pas besoin de se lancer dans un pari dont elle sortirait perdante. « J’aime bien quand tu boudes. » « Fous-moi la paix Coventry. » Son énervement était lié à sa frustration et il le savait, alors plutôt que de continuer le jeu de la femme fâchée, elle avait regagné ses côtés. « Je sais pas G. » avait-il commencé. « Je ne t’ai pas amené ici dans l’idée que… Ce n’était pas mon intention. » « C’est pas du tout le sentiment que j’ai, je ne serai pas là si je n’avais pas choisi de te croire. » Pour ce qui était de lui faire confiance, il resterait de nombreuses étapes afin que Greta puisse le faire. Mais pour le moment, elle savourait cet aparté qui venait de terminer de panser ses plaies, les mots d’Arthur ayant débuté le processus. « Si j’en fais un jeu, c’est parce que c’est plus facile que d’être la première à baisser les armes. Et si vraiment je les baisse, je veux pas que ça te fasse fuir. » Jouer était amusant, être honnête était effrayant.
C’était peut-être sa sincérité qui avait fait pencher la balance et avait permis à Greta de le rattraper alors qu’il s’apprêtait à quitter son lit, un départ qu’elle refusait de revivre encore et encore. Son réveil avait été à l’image de cette nuit-là, simple. « Non. » Le premier mot prononcé par Arthur ce matin là ne devait pas donner le ton de la journée et ses gestes étaient heureusement venus le contredire. Ses mains contre ses hanches et son souffle s’était coupé et alors qu’il se trouvait au-dessus d’elle, la blonde n’avait pas réussi à ajouter la touche d’humour dont elle avait l’habitude. « Pardon. » Embrasse-moi. Elle en mourrait d’envie. Ses excuses n’avaient aucune valeur quand il avait obtenu toutes les autorisations à parcourir son corps la veille. Mais elle l’avait laissé s’échapper, à regret. « Tu peux pas être de mauvaise humeur techniquement c’est pas le matin pour nous. » Mais ce côté bougon lui plaisait plutôt bien, lui signifiait qu’il était lui-même et qu’il n’essayait pas d’édulcorer cette nouvelle version de lui en laquelle il lui avait proposé de croire lors de leurs explications. Ils étaient dans le vrai, et cela la faisait perdre pied toujours un peu plus. « Il est où mon café ? » Elle avait éclaté de rire et lui avait lancé son t-shirt avant de disparaître à la douche pour revenir prendre le petit-déjeuner, l’eau tiède n’ayant eu aucun effet sur ses interrogations et l’effet d’avoir eu Arthur au-dessus d’elle. Et la journée avait poursuivi son cours, Arthur la surprenant en lui permettant d’approcher Lewis Hamilton, et en d’autres termes, avait réalisé un de ses rêves. « Il a dû croire que t’avais un problème sérieux. » avait-il plaisanté en faisant référence à la façon dont elle n’avait pas réussi à se contrôler face au pilote, morte de honte, Greta avait bien du mal à trouver sa répartie. « Arrête je suis sûre qu’il est tombé amoureux. » C'était bien évidemment l'inverse qui s'était produit, mais elle se devait de garder un peu de sa dignité. « Eh ! La photo est pas mal. » S’il avait raté sa photo avec Lewis Hamilton, toute tentative de trêve aurait été vaine et le jeu aurait définitivement pris fin. « T’es presque aussi canon que Charles là-dessus. » avait-elle commencé. « Merci pour ça, tu sais combien ça me rend heureuse. »
« Que le meilleur gagne. » « Que mercedes gagne. »
Greta n’avait pas commenté lorsque ses mains avaient trouvé ses hanches, elle n’avait pas non plus tiré de conclusion de ce geste qui lui permettait uniquement de se tenir debout tranquillement. Ses yeux étaient rivés sur l’écran alors qu’Hamilton était au coude à coude avec Norris, ces deux-là se disputant la troisième place. Ce n’était rien à côté de la seconde place de Leclerc qui faisait sourire Arthur comme un enfant depuis que la course avait commencé, mais cela suffisait à garder Greta en haleine. « C’EST ÇA LEWIS ! » Et sans réfléchir aucunement, elle s’était jetée au cou d’Arthur pour célébrer ce dépassement et elle était restée là le temps de prendre conscience de ce qu’elle venait de faire et de trouver le courage de lui faire face à nouveau. « Excuse-moi. » avait-elle dit instantanément, de la même façon qu'il s'était excusé le matin même. Greta avait réajusté sa casquette et avait porté son attention sur les autres fans de l’écurie Mercedes autour d’elle - eux aussi ne mettaient aucune sobriété dans leur célébration. « Je suis pas désolée en fait. C’est ridicule, je vais pas m’excuser à chaque fois que je fais quelque chose dont j’ai envie. » avait-elle répondu après avoir reporté son attention sur la course, légèrement penchée sur la balustrade. Ce n’était aucunement un reproche envers Arthur qui n’avait jamais jugé ses faits et gestes, simplement une affirmation qu’elle destinait également à sa propre personne. Elle se bridait parce qu’il était son ex petit-ami, parce qu’il lui avait brisé le cœur et l’avait laissée persuadée qu’il était finalement tout ce que l’on disait de lui. Mais il avait également chassé ses doutes en un instant, trouvant les exacts mots qu’elle attendait et qui avait su la toucher. Depuis, il n’avait pas montré un seul instant qu’il n’était pas sincère et le fait de continuer à lui en vouloir ne faisait que la blesser davantage alors qu’elle vivait des moments hors du temps à ses côtés. « Ca va, Ferrari restent premier au championnat et c’est quand même un podium, c’est moi la boudeuse des deux, non ? » avait-elle lancé en se tournant vers lui une fois le drapeau à damier agité et après lui avoir laissé quelques minutes pour digérer. Et dans un désir de ne plus réfléchir à chacun de ses gestes, Greta avait de nouveau enroulé ses bras autour de son cou pour l’embrasser sur la joue et, gardant cette étreinte. « Est-ce que me battre au karting te rendrait le sourire ? » avait-elle demandé en le libérant et en reportant son attention sur ce qu’il se passait plus bas, les pilotes sortant de leur monoplace pour prendre la direction de la cool room pour monter sur le podium. Ses yeux brillaient et c’était peut-être cette bonne humeur que lui procurait le dénouement de la course qui l’autorisait à être un peu plus spontanée avec Arthur mais la blonde se sentait heureuse, un sentiment difficilement atteignable depuis toutes ces années. En voyant Lewis porter son trophée puis recevoir une douche de champagne de la part de Charles, elle lui avait lancé des sourires complices. La soirée se devait d’être à la hauteur de ce spectacle là.
« Depuis quand tu sais conduire toi ? » avait-elle demandé en essorant ses cheveux qui avaient pris la pluie dans la journée et qui ondulaient maintenant naturellement. Arthur avait réalisé une performance sur la petite piste de karting de la fan zone et Greta, bonne dernière, fulminait. La pluie avait maintenant cessé et leur avait permis d’assister aux concerts de clôture du grand prix et malgré son air boudeur, la blonde se balançait au rythme de la musique. « Dors avec moi encore ce soir Arthur. » avait-elle demandé sans quitter la scène des yeux, sa main effleurant doucement la sienne pour venir lui attraper l’index comme elle avait l’habitude de le faire lorsqu’il montrait des signes d’impatience. « On se posera des questions quand on rentrera mais pour l’instant j’ai juste envie d’être avec toi. » Peu importe ce que cela signifiait. just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
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(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Sam 14 Oct 2023 - 5:04 | |
| lights out and away we go Les premiers instants passés ensembles furent hésitants, leurs conversations uniquement ponctuées par la raison de leur présence sur l’île nippone. Ils avaient eu besoin de se retrouver autour de leur passion avant que le charme n’opère à nouveau. La soirée de la vieille fut le déclic nécessaire pour laisser les tensions s’envolées, remplacée par cette complicité qui leur était unique. Soudainement leur conversation n’était plus rythmée par cette retenue si étrange entre eux. Greta s’autorisait, enfin, à le charrier comme elle savait si bien le faire et Arthur se laissait aller à bien plus d’interaction en retour. La dynamique avait à nouveau changé, reprenant un équilibre que chacun pensait avoir oublié. Il était si aisé de retomber dans certains automatismes et de s’autoriser un certain lâché pris quand tout pouvait se traduire dans un éclat de rire. « Arrête je suis sûre qu’il est tombé amoureux. » La réplique se voulait innocente, mais Arthur la senti monté, cette pointe de jalousie complètement inexpliquée. Il l’avait entendu s‘extasier sur le pilote à de nombreuses reprises au fil des années, il en avait souvent ris, parfois râlé. Aujourd’hui, il se contenta de lever les yeux au ciel, ne se sentant pas légitime à exprimer une remarque plus élaborée. « T’es presque aussi canon que Charles là-dessus. » - « J’aime quand tu dis des choses comme ça. » Il lui adressa un clin d’œil complice. Arthur avait toujours aimé les compliments, ce n’était une surprise pour personne. Il les appréciait d’autant plus lorsque ceci provenait de la jeune femme, il fallait bien se l’avouer. « Merci pour ça, tu sais combien ça me rend heureuse. » Haussant les épaules, il releva les yeux vers la jeune femme. « Ça me fait plaisir. » Il a toujours dépensé sans compter, l’argent lui brûlant les doigts de la manière la plus égoïste qui soit. Mais parfois, Arthur se surprenait à réellement apprécier, l’idée même de pouvoir faire plaisir aux autres. Surtout à ceux qui ont toujours compté dans sa vie.
« C’EST ÇA LEWIS ! » Son corps tout entier ce mit à réagir, non pas à cause du hurlement qu’elle venait de pousser, mais bel et bien parce que ses bras venaient de s’enrouler autour de son cou. Sans prévenir, dans un élan naturel qui arrivait encore à le surprendre. Il n’a même pas eu le temps de lui rendre l’étreinte, de faire quoique ce soit. « Excuse moi. » Il aurait voulu la retenir, lui dire que ce n’était rien, mais elle s’était déjà éloignée et il ne se voyait pas la rattraper. Pas alors qu’il avait eu une réaction si tendue pour un geste si simple. « Je suis pas désolée en fait. C’est ridicule, je vais pas m’excuser à chaque fois que je fais quelque chose dont j’ai envie. » Il ne saurait dire si son éclat de rire était dû à la détermination qu’il pouvait lire dans son regard ou au soulagement qu’il venait de ressentir. Un probable mélange des deux, qui l’amena à passer son bras autour des épaules de Greta. « Alors ne t’excuse pas, parce que j’ai pas l’intention de le faire. » Ils avaient été clair la veille. Certes, ils n’avaient aucunes idées de ce qu’ils étaient de faire, des conséquences que leur comportement ce pourrait d’avoir, mais ce n’est plus ce qui comptait. Ils avaient besoin de cela, de lâcher prise, de se laisser l’autorisation d’être à nouveau eux-mêmes, mais à deux. Tout simplement. Alors, quand le favori de Greta obtint la première place, Arthur lui adressa un sourire complice avant de venir poser ses lèvres contre sa tempe. Sans s’excuser le moins du monde. Peut-être en exagérant la moue qui était la sienne dès que Ferrari ne sortait pas gagnant. « Ça va, Ferrari restent premier au championnat et c’est quand même un podium, c’est moi la boudeuse des deux, non ? » Pour l’embêter, il sorti son meilleur jeu d’acteur, accentuant sa mine boudeuse. « J’ai appris aux côtés des meilleurs. » Il ne parlait jamais d’elle, mais Arthur incluait sa petite sœur dans le clan des personnes lui ayant appris les meilleures moues. Charlotte obtenait la palme d’or à ce jeu, ce qui avait sous amener des ennuis à son frère aîné. « Est-ce que me battre au karting te rendrait le sourire ? » - « Ca peut être une des solutions. » Il avait secrètement espéré qu’un baiser soit la solution, mais il se garda de partager sa pensée à ce sujet. Greta lu dictait le rythme, si elle souhaitait se contenter de quelques étreintes et d’une complicité retrouver, Arthur saurait composer avec. Pour le moment.
La course de kart fut l’apogée d’une journée emplie d’adrénaline qui laissa Arthur plus vidé que jamais. Debout au milieu d’une foule en transe, ses pensées commencèrent à diverger. L’ambiance festive lui amena une slave de souvenirs, des soirées comme celle-ci dans un autre pays et un contexte entièrement différent. Pour la première fois du séjour, Arthur se mit à ressentir les prémices d’un manque qui lui collait à la peau. Dissociant de ce qui l’entourait, il se laissa aspirer dans une tempête qu’il avait appris à combattre, mais qui se levait trop souvent au moment où il s’y attendait le moins. Le contact d’une main contre la sienne, d’un doigt qui s’enroulait autour de son index, le ramena à l’instant présent. Le geste était si familier, lui provoquant une pointe dans la poitrine. Même après tout ce temps, Greta avait conservé le mode d’emploi. Elle savait le déchiffrer sans qu’il n’ait à parler. La sensation se voulait aussi rassurante que complètement flippante. Arthur n’avait jamais connu une telle connexion avec qui que ce soit. « Dors avec moi encore ce soir Arthur. » Elle ne le regardait même pas, effrayée de la réponse qu’il allait lui donner. « On se posera des questions quand on rentrera mais pour l’instant j’ai juste envie d’être avec toi. » Ses doigts tournèrent autour des siens, pour mieux venir lier leurs deux mains. « D’accord. » Ils se poseront des questions plus tard, après être tomber dans leur propre piège. Il le savait, elle en avait parfaitement conscience, mais rien ne pouvait encore les retenir.
Comme libérer d’un poids, ils ont fini par pleinement profiter du concert. Greta dansant au rythme de musiques qu’aucun d’eux ne connaissait, Arthur s’amusant à la filmer, pour la prospérité. Ou quelque chose comme ça. Plus rien n’avait d’importance que le moment présent. A plusieurs reprises, Arthur c’est demander ce qui pouvait bien arriver s’il attirait Greta contre lui pour venir lui voler un baiser. Ils eurent plusieurs occasions manquées, sans jamais sauter ce pas là. Trop important pour être voler au milieu d’une foule d’inconnus, trop précieux pour être arracher à la va-vite.
Elle marchait devant lui. Ils venaient de quitter l’ascenseur et se dirigeait vers leur chambre d’hôtel. Elle était en train de rire à l’une de ses énièmes conneries. Ouvrant la porte, il en remit une couche, juste pour l’entendre s’esclaffer à nouveau. Son rire était puissant, venant éclairer son visage d’une joie qu’il n’avait pas vu chez elle depuis si longtemps. Elle riait et Arthur à craquer. Alors qu’elle se dirigeait vers sa chambre, il attrapa son poignet pour la faire se tourner vers lui. Son cœur menaçait de battre en dehors de sa poitrine alors que le corps de Greta vint heurter le sien. Un seul regard échanger en signe d’une demande de permission, une dernière hésitation qu’elle balaya d’un sourire. Et les lèvres d’Arthur vinrent trouver les siennes dans une explosion d’émotions en tout genre. D’abord timide, presque hésitant tel le premier baiser de deux adolescents, avant de s’enflammer dans des retrouvailles tant attendues. Ses mains glissèrent sur ses hanches, ses doigts cherchant déjà à s’enfuir sous son haut, au contact de sa peau. Arthur s’abandonnait dans l’instant, brisant toutes ses barrières, pour se donner tout entier à ce que Greta voudra bien lui accorder. A bout de souffle, son front contre le sien, il vint plonger son regard dans le sien. « Tu m’avais manqué G. » Et de toute sa vie, Arthur n’avait jamais été si brutalement honnête.
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| | | ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280 TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/a GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenience DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [ 09/08]
ua (slasher) Moventry #10
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15 #16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
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RPs TERMINÉS : (2024) Mallen #5 • Kieran #1 • Moventry #12 • Swann #8 • Swann #9 • Moventry #14 • Joseph • Marley #3 • Lena #2 • Mallen #6 • Emery #4 • Moventry #13 • Swann #10 • Moventry #15 • Izan #1 • Swann #11 • Izan #2
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AVATAR : Ashley Benson CRÉDITS : avatar : auselesslovethings / gifs : zazou (crackship); gracgifs (signature) goddamnmuses (profil), drvgonqueen - lcrnasgifs - zigglerscesaro - may0osh - cheekeyfire (profil) / ub : paindep/stairsjumper DC : Didi & LewLew & NicoPSEUDO : WisePenguin INSCRIT LE : 28/07/2022 | (#)Sam 14 Oct 2023 - 10:58 | |
| Si l’idée de ne plus jamais quitter le cocon qu’était devenu la chambre d’hôtel, Greta n’avait pas laissé ce qu’il se passait avec Arthur l’empêcher de savourer la réelle raison de leur présence ici. Profiter des animations du circuit, partager la ferveur du public, se noyer dans l’effervescence de l’événement et, grâce à lui, rencontrer les pilotes. « J’aime quand tu dis des choses comme ça. » Ses yeux s’étaient levés au ciel parce que cela était devenu un réflexe à la minute où ils avaient posé les pieds sur ce sol qui semblait bien plus neutre que celui de Brisbane. Ils pouvaient être la version d’eux qu’ils souhaitaient et réussissaient avec plus ou moins de brio à être des amis complices, le flirt venant compliquer l’équation. « Ça me fait plaisir. » Greta entendait cette sincérité dans sa voix, la même que lorsqu’il lui avait dit toutes ces choses qui ne lui ressemblaient pas et qui rendait si difficile l’exercice du pardon. Ils avaient parlé avec tant de transparence, lors de leurs premiers échanges, et avaient mis un point d’honneur à ne pas sombrer dans les préjugés alors elle faisait de son mieux pour ne pas le voir uniquement comme celui qui lui avait brisé le cœur. C’était trop facile, ce serait réduire ce qu’ils avaient vécu à un mensonge. L’intensité de la course et la passion de Greta pour ce sport avait eu raison d’elle, lui permettant d’agir sans réfléchir et c’était peut-être un mal pour un bien. « Alors ne t’excuse pas, parce que j’ai pas l’intention de le faire. » avait-il dit dans un éclat de rire qui l’avait fait sourire sans pouvoir faire retomber ses lèvres alors que son bras était passé autour de ses épaules et qu’il l’avait embrassée à son tour. C’était peut-être aussi simple que ça, aussi simple que des gestes tendres non anticipés et qui ne se commandaient pas.
Il pouvait tenter de garder la tête haute, Greta savait pertinemment que la défaite de Ferrari face à Mercedes était venue piquer son esprit de compétition mais elle était également bien consciente que le scénario inverse aurait été désastreux. « J’ai appris aux côtés des meilleurs. » Et à la façon dont il avait prononcé ses mots, Greta s’imginait que ce côté de sa personnalité puisse encore le séduire alors même qu’il fronçait les sourcils aux côtés enfantins de certaines personnes. C’était ce qui l’avait toujours convaincue qu’ils étaient vrais, le voir sourire devant des défauts qu’il n’aurait normalement pas toléré. Le voir être différent avec elle, dans l’intimité de leur couple. Et le voir sourire incontrôlablement, rire aux éclats et accepter de se mettre dans des situations difficilement supportables pour lui à l’accoutumée donnait l’impression à l’écrivaine que rien n’avait changé. Une pause, plusieurs années, le temps de se retrouver eux-même avant de pouvoir à nouveau être ensemble. Plutôt que de s’aventurer sur des bribes d’espoir qui pouvaient trop facilement être brisées, Greta avait proposé de le défier, sans rien à la clé à part la satisfaction d’un autre moment privilégié ensemble.
« Ca peut être une des solutions. » « Si tu gagnes, tu auras le droit d’en proposer d’autres. »
Peu à peu, elle baissait la garde, motivée par la façon très subtile qu’il avait de faire des efforts. Il la laissait prendre les décisions sur le déroulement du week-end, il se laissait aller à la tendresse et il se contrôlait. C’était ce dernier point qui lui faisait croire qu’il en était capable parce qu’elle avait su déceler à quel point ce défi était presque impossible à réaliser ici. Ses doigts enroulés autour de son index, elle avait anticipé le déroulement de la soirée et s’était évité de devoir à nouveau le retenir s’il partait. « D’accord. » Et cette demande qu’elle lui avait faite et qui sonnait comme la promesse d’un moment hors du temps pour tous les deux avait probablement permis à Arthur de supporter la suite des événements. A chaque fois qu’il fermait les yeux et se pinçait l’arête du nez, quand sa main passait nerveusement dans ses cheveux ou quand il soupirait un peu plus intensément, elle lui attrapait la main. Greta redoublait d’effort pour qu’il garde ce sourire sur les lèvres parce que l’idée même qu’il puisse penser à autre chose qu’au moment présent n’était pas envisageable, au moins ce week-end, au moins ce soir. Ils auraient tout le temps de retrouver leurs démons une fois de retour à Brisbane mais pour le moment, ils partageaient un moment avec d’autres supporters et la jeune femme voulait profiter de la musique et l’avait fait avec bien plus d’intensité parce qu’il était à ses côtés. Il rendait les choses meilleures, malgré la difficulté qu’elle avait à l’empêcher d’être autre chose que lui-même. Le Arthur qu’elle méritait.
Ils avaient quitté le tumulte pour retrouver ce qui leur réussissait le mieux, le calme et l’apaisement. Sans autre drogue que l’adrénaline que provoquait la palpable tension entre eux depuis le début du séjour, ils riaient peut-être un peu trop bruyamment, ces deux gamins intrépides bien peu inquiets des états d’âme des autres occupants de l’hôtel. Ils étaient ensemble, ils étaient seuls. Et au moment où elle avait tenté de s’échapper pour un court instant, sa main avait saisi son poignet et elle avait compris. Elle s’était retournée et s’était retrouvée tout contre lui, le laissant mener la danse parce que si elle avait désiré que ce moment vienne, elle ne l’avait pas anticipé maintenant. Ils avaient assez joué et alors que le regard d’Arthur se perdait sur elle, elle avait souri, un mouvement empli d’appréhension et d’envie. Ses lèvres étaient telles qu’elle les avait goûtées la dernière fois et ce baiser lui rappelait tout ce à quoi il pouvait mener et s’était intensifié. Greta s’abandonnait à ses mains qui cherchaient son corps et quand il l’avait libérée, elle était à court de mots. « Tu m’avais manqué G. » Et qu’était-elle supposée faire après ces quelques mots ? Ils semblaient si simples et pourtant, ils avaient été prononcés par quelqu’un qui était incapable de mettre des mots sur ses sentiments et qui faisait toujours de son mieux pour s’éviter de devoir trop en dire. Alors Greta s’était laissée emporter par la succession des événements, par la douceur de ses lèvres sur les siennes et la façon dont ce qu’il venait de lui avouer avait laissé une étrange sensation dans son estomac. Son front était appuyé contre le sien et elle appréhendait le moment où leurs visages se relèveraient à nouveau et sûrement que c’était son cas également car ils étaient restés là un moment bien trop long. Ils réfléchissaient à comment se déroulerait la suite, elle était convaincue que son esprit était envahi par les mêmes doutes que le sien. Son souffle s’échouait sur ses lèvres et elle pouvait le sentir tenter de retrouver une respiration modérée sans réellement y parvenir. Greta tentait de ne pas se laisser distraire par la chaleur de la paume de sa main qui avait trouvé la peau de son dos parce qu’il aurait été trop simple de céder à l’ardeur en train de les gagner. Mais elle l’avait dit elle-même, ils auraient tout le temps de réfléchir lorsqu’ils rentreraient. A ce moment précis, elle n’était plus en mesure de penser ni même de contrôler ses mouvements et finalement, son front s’était décollé du sien, ses mains s’étaient posées sur sa nuque pour lui indiquer de l’embrasser encore un peu plus passionnément que précédemment. C’était tout ce qu’elle désirait, et maintenant qu’il avait osé franchir cette limite, elle savait qu’elle était condamnée à ne plus réussir à calmer le jeu comme la veille et comme le matin même. Ils continueraient constamment à se retrouver trop proches, au bord des limites, à jouer avec un désir qu’ils savaient présent chez l’un et l’autre. Arthur et Greta se connaissaient et pourtant, ils étaient sur le point de se redécouvrir et l’idée la rendait nerveuse. Elle avait quitté ses lèvres pour venir trouver ses yeux et l’avait fixée longtemps, espérant trouver une réponse dans le fond de ses pupilles. Et c’était lui qui avait su lire son regard parce qu’il avait attrapé l’arrière de ses cuisses pour la porter et la déposer sur le lit.
Greta s’était étirée et en voyant son visage au réveil, avait posé ses deux mains sur le sien pour le dissimuler, l’idée d’avoir cédé à ses pulsions étant bien plus difficile à assumer une fois le feu éteint. « Et dire qu’on ne voulait pas être des clichés... » avait-elle murmuré dans les paumes de ses mains, désireuse qu’il puisse donner le ton sur la suite des événements. C’était un sentiment étrange, elle se sentait libérée d’un poids mais un autre avait pris sa place parce qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de se demander à quoi ressemblerait la suite. Il y avait tant de risques, tant de choses qu’elle ignorait encore. Arthur devait connaître d’autres femmes et elle refusait de déjà sombrer dans la jalousie, il n’avait pas dissimulé ses faiblesses et le risque de le voir sombrer à nouveau était immense malgré la force avec laquelle elle croyait en sa capacité à résister et il y avait aussi cette dernière crainte, celle qu’il se lève d’un mouvement brusque et prétende que tout cela ne s’était jamais passé. Alors elle était restée là, appréciant encore un instant le parfum qui émanait de lui alors qu’ils étaient allongés sous un même drap fin. « Toi aussi, tu m'as manqué. » avait-elle finalement réussi à dire alors qu'elle repensait à ce moment où elle l'avait laissé sans réponse, et elle refusait de le dissuader de continuer à mettre des mots sur ses sentiments. just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
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| lights out and away we go Arthur avait décidé de vivre sa vie sans frustration, s’autorisant tous les excès, se donnant accès à tous ses désirs. Il n’obéissait qu’à un rythme répondant à l’adage qui soulignait l’idée même que pour mieux résister à la tentation, l’être humain se devait d’y céder. Il avait lutté, quelques jours, violemment durant des heures, mais le jeu avait trop duré. Au diable la raison, la logique et tout ce qui faisait que dès le lendemain, il aurait probablement le sentiment d’avoir fait une erreur. Il ne voulait plus la voir lui échapper, cherchant plutôt à garder son corps près du sien, dans une étreinte qui n’avait plus aspiration à rester innocente. Il était venu chercher ses lèvres tel un mort de faim près à tout pour retrouver une sensation perdue. Tout semblait avoir été suspendu dans le temps, ses lèvres ayant conservé la même saveur. Il se laissait porter par chaque mouvement autant nouveau qu’empreint d’une familiarité qui lui permettait de prendre la direction sans être effrayé de commettre un impair. À court de souffle, incapable de prononcer la moindre phrase qui répondrait à quelque chose de censé, Arthur se laissait guider par cet instinct qui avait tant besoin d’aspirer tout ce que Greta voudrait bien lui céder. Chaque effleurement, le moindre frisson venait avec une date d’expiration. Un moment suspendu dans le temps qui ne saurait durer éternellement. Ils avaient pleinement conscience, l’un comme l’autre, elle l’avait dit Greta. Suzuka sera leur parenthèse. Aucun discours ne se voulait nécessaire quand ils préféraient encore tout se dire au milieu de cette étreinte qui n’avait rien de nouvelle. Il attendait qu’elle lâche prise, elle lui offrit dans un soupir. L’autorisation de se laisser aller pleinement, de jeter le bon sens par la fenêtre et de s’autoriser, juste une seconde, à vivre pleinement. Il ne voulait rien gâcher de l’instant, laissant ses lèvres parcourir son corps dans une lenteur folle, à la recherche de tous ces endroits qui la ferait encore gémir de plaisir. Pour mieux la retrouver, encore un peu.
« Et dire qu’on ne voulait pas être des clichés... » Il eut un petit rire sans jamais se déloger de sa position. Allongé sur le côté, un bras encore enroulé autour du corps nu de Greta. De son œil ouvert, il pouvait la voir dissimuler son visage. Alors elle regrettait. Déjà. Encore plus rapidement que lui. Arthur ne sut comment interpréter les mouvements de Greta. Il aurait voulu retirer son bras, se lever pour mieux s’éloigner. Il resta figé à ses côtés. Incapable de pleinement laisser la réalité de leur action lui tomber dessus. Qu’est-ce qu’il allait bien pouvoir se passer maintenant ? « Toi aussi, tu m'as manqué. » Quelques mots prononcés dans la pénombre matinale. Juste quelques mots venant faire naître un frisson le long de sa colonne vertébrale. Est-ce que Swann avait finalement raison ? Il suffisait de se manquer parfois ? D’être capable d’admettre cela ? Il n’était plus sûr de rien, mais les mots de Greta ne pouvaient rester ainsi suspendus dans le silence. En douceur, ses doigts vinrent danser sur le ventre nu de la jeune femme. Ils voulaient dire qu’Arthur l’avait entendu, qu’il comprenait, qu’il avait ressenti la même chose. Ils étaient la traduction de ce qui sera passée sous silence. « Un jour, tu m’as dit que parfois je devais tout simplement arrêter de réfléchir à tout. » Après une énième soirée où il s’était angoissé pour des éventualités qu’il n’était pas sûr de voir arriver, parce qu’elle n’avait sûrement plus supporté de le voir autant s’agiter. Aujourd’hui, il retournait ses mots contre elle tant il pouvait entendre tous les rouages qui s’étaient mis en route dans un coin de son esprit. Se hissant sur son bras libre, il vint s’allonger au-dessus d’elle, plantant ses prunelles dans les siennes. « Arrête de réfléchir. » qu’il imposa, clôturant l’idée par un baiser qui ne laissait aucune place à la négociation. Il avait besoin que tout cela reste ainsi, un moment entre eux, sans conséquences. Juste encore un peu. La réalité pourra les heurter de pleins fouets une fois de retour à Brisbane. |
| | | | | | | | (moventry #6) lights out and away we go |
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