ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Le regard de Marley n'avait de cesse d'accrocher l'horloge qui était fixée dans son salon. Cela faisait déjà bien trente minutes qu'elle faisait les cent pas dans cette pièce, répétant à demi-mots le discours qu'elle allait devoir tenir dans quelques instants. La nervosité qu'elle ressentait était telle qu'elle avait commencé à se ronger les ongles – chose qu'elle n'avait plus faite depuis qu'elle n'était plus une adolescente – et qu'elle avait changé déjà trois fois de tenue. Elle était parvenue à se raisonner en se disant que ce qu'elle portait n'aurait pas grande importance comparer à ce qu'elle allait devoir annoncer.
Jackson rentrait. Enfin. Après toutes ces semaines passées loin de l'Australie et donc d'elle, le jeune homme revenait du Botswana. Marley était ravie de le retrouver, il lui avait terriblement manqué et une journée de plus passée loin de lui lui aurait semblé insurmontable. Elle avait si hâte de pouvoir se blottir contre lui, de pouvoir sentir son parfum, toucher son corps athlétique, entendre le son de sa voix au creux de son oreille, sentir sa mâchoire frotter la sienne... La maquilleuse cessa sa marche rapide et s'installa sur le canapé. Elle prit la pile de lettres qui était posée sur la table basse et relut avec délectation les courriers qu'il lui avait envoyés. Lui aussi semblait avoir envie de la revoir. Ses mots parlaient pour lui. Il lui avait même dit au téléphone qu'il l'aimait. Tout était réuni pour que leurs retrouvailles soient parfaites néanmoins une ombre s'était glissée sur le tableau. Marley passa ses doigts sur son ventre et grimaça. Il n'était plus aussi plat qu'il avait pu l'être durant des années, au contraire il commençait sérieusement à s'arrondir. C'était ça qui la rendait si nerveuse. Elle ne savait toujours pas comment elle allait pouvoir dire à Jackson qu'elle était enceinte de lui. Elle ignorait totalement de quelle manière il allait réagir et cela la terrifiait. Sentant une boule d'angoisse grossir dans sa gorge, elle se dirigea sur son balcon et respira un bon bol d'air frais. Il fallait qu'il se ressaisisse, il n'allait pas tarder à arriver.
La métisse avait tout mis en œuvre pour que leurs retrouvailles soient parfaites. Elle savait que l'agent avait laissé sa voiture à l'aéroport et qu'il allait donc repartir avec. Elle avait dans un premier temps envisagé de débarquer sur le quai mais s'était ravisée. A la place elle avait engagé un homme pour attendre Jackson avec une pancarte sur laquelle était inscrite son nom. Lorsque Mills irait dans sa direction, l'inconnu lui tendrait une boîte ainsi qu'une lettre. Marley faisait rarement preuve de romantisme, elle n'était pas douée pour les grandes déclarations et ne savait pas s'y prendre pour surprendre les gens. Elle espérait que Jackson apprécierait et serait touché par son initiative. A moins qu'il ne trouve cela parfaitement ridicule ? Quoiqu'il en soit, dans la lettre Jackson pourrait découvrir ces quelques mots : « Mon amour, je suis au travail mais j'ai laissé la clé de mon appartement sous le paillasson. J'espère qu'en rentrant je te trouverai dans mon salon. Je t'aime. Mal' ». Dans la boîte Jackson découvrirait ensuite de nombreuses petites choses : une boîte de leurs cookies préférés, deux places pour aller voir un match de basket qui aurait lieu quelques jours après, un rasoir – pour la blague et sa barbe qui avait dû pousser – une photo d'eux deux qui datait du mariage de Louisa, et... l'un de ses strings en dentelle noire. Tout était réuni pour que l'agent n'ait qu'une seule envie en descendant de l'avion : foncer chez elle.
Un rapide coup d'oeil à sa montre indiqua qu'il risquait à tout moment d'arriver. La jeune femme retourna dans la salle de bain, s'assura que son maquillage et sa coiffure étaient en place et réajusta sa robe. Elle avait choisi un tissu ample et voluptueux qui ne lui collait pas le corps, ainsi ses nouvelles rondeurs étaient dissimulées. La couleur noire l'affinait et l'échancrure dans son dos détournerait peut-être l'attention de Jackson assez longtemps pour qu'elle puisse tout lui avouer. Elle retourna dans son salon, jeta un coup d'oeil à la table qu'elle avait dressé et en profita pour allumer les bougies. Alors qu'elle venait d'enflammer la dernière, elle entendit une clé tourner dans sa serrure. Son cœur se mit à battre la chamade alors qu'elle fixait la porte. Lorsque celle-ci s'ouvrit, Marley se retint pour ne pas se jeter dans les bras de Jackson. Elle lui dit juste avec enthousiasme : « Bienvenue à la maison. » Ils ne vivaient plus ensemble mais pourtant il serait toujours chez elle comme s'il était chez lui. Elle s'approcha calmement de lui, glissa ses bras autour de sa nuque et – tout en veillant à ne pas coller son corps au sien – l'embrassa avec passion. Dieu qu'il lui avait manqué.
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'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
À dos de chameau, Jax avait quitté le delta de l'Okavango afin de rejoindre Gaborone. Il avait survécu aux crocodiles sans croiser la route des braconniers ni celle des macaques connus pour leur agressivité envers les étrangers. En périphérie de la capitale, l'agent s'était séparé de Moundi avec regrets. Il avait demandé à ce que l'on prenne une photo de lui aux côtés de l'animal, en guise de souvenir. L'australien s'était ensuite rendu chez son oncle ou il avait aussi rencontré sa cousine. La surprise et la joie étaient au rendez-vous. Lorsqu'il leur avait demandé l'adresse d'un barbier ou s'arranger la face avant de rentrer à Brisbane, sa cousine avait proposé de lui tresser les cheveux. Il était repassé à l'hôtel afin de récupérer son courrier, ses affaires et, enfin, était monté dans l'avion. Au décollage, Jax avait le cœur lourd, tiraillé entre l'envie de retrouver ses proches et l'incertitude de ne jamais revenir sur cette terre à laquelle ses racines étaient attachées. Il se l'était toutefois promis tandis que l'avion s'élevait au-dessus du Botswana. La prochaine fois que Mills poserait le pied ici, il serait accompagné de son enfant ...
* * *
Il repère les majuscules de son matricule sur le panneau d'un inconnu et fronce les sourcils d'incompréhension. En une fraction de seconde, Jax s'imagine que l'ASIO est sur le point de l'intercepter, qu'on a besoin de lui pour une mission quelconque, et que cette indication visuelle n'est qu'une façon de le lui faire comprendre sans avoir à griller sa couverture. Par chance, l'agent se trompe. Ses déductions professionnelles n'ont rien à voir là-dedans. Il le comprend lorsqu'il ouvre la lettre transmise par Marley. Instantanément, l'expression revêche de ses traits se lisse au profit d'un sourire tendre. Le visage de Jackson ressemble désormais beaucoup plus à celui d'un homme sur le point de retrouver sa femme. Ses doigts farfouillent à travers les bricoles que contient la boîte. Il rit face au rasoir, ressent une vague d'affection en identifiant les billets pour le match de basketball et cale sans plus attendre un cookie entre ses dents tandis qu'il observe la photo d'eux au mariage de Louisa. Cette robe rouge ... Mills ferme les yeux afin de mieux s'en remémorer les détails. Quand il les rouvre, son regard est attiré par le dernier objet reposant dans le fond de la boîte. Il comprend de quoi il s'agit avant même de l'avoir entre les mains et porte la dentelle à son nez sans hésiter. Le string est propre. Quelle frustration de ne sentir que la lessive. Lynch joue avec sa libido, mais l'agent est loin de lui en vouloir. Amusé, il ajuste la bandoulière de son sac de voyage et quitte l'aéroport. Sa Jeep l'attend sur le parking. Remonter dedans lui donne l'impression qu'une page se tourne, que son voyage au Botswana est bel et bien terminé. Avant de mettre le contact, Batho ba Metsi rassemble l'intégralité de ses souvenirs d'Afrique et les stocke précieusement dans un coin de sa mémoire. Il y reviendra quand l'heure sera venue de raconter à sa fille les histoires de leur pays d'origine. En attendant, son futur l'attend et Jax compte bien se montrer 100% présent pour Marley après sa si longue absence ...
Il se fait la remarque de prévenir Lynch que laisser une clé sous le paillasson est vraiment la pire des idées en terme de sécurité. Mais pas ce soir. Ce soir, Jax préfère remercier sa douce de l'avoir attendu tout ce temps en la traitant comme il se doit. À sa main, un bouquet de roses accompagne le sachet dans lequel se trouve le souvenir qu'il lui rapporte de son voyage. Conformément à ses écrits, l'agent ne s'attend pas à ce que la métisse soit présente et se fige à l'entente de sa voix qui le raidit tel un chien aux aguets. « Bienvenue à la maison. » Un sourire immense fend le visage de Mills tandis qu'il laisse tomber fleurs et cadeaux afin de mieux accueillir Marley entre ses bras. L'instant où leurs lèvres se touchent lui arrache un grognement de soulagement mêlé à une satisfaction certaine. Son rythme cardiaque s'accélère. Il réalise le point auquel la brune lui a manqué maintenant qu'il peut à nouveau la toucher, la sentir contre lui. Son corps, insatisfait de la retenue de Lynch, les entraîne sur le côté. Jax l'immobilise contre le mur, pose ses mains sur ses hanches et laisse sa fougue contrôler les mouvements de sa langue contre celle de la jeune femme. Il ne pense à rien d'autre qu'aux explosions de joie derrière ses paupières closes ; qu'à la chaleur émanant de cette autre à laquelle il pensait toutes les nuits lorsqu'il se caillait le cul au beau milieu du désert. « Tu sens bon. » Constate-t-il. Sa bouche quitte celle de la métisse, part à l'exploration de son cou qu'il dévore et lèche avec gourmandise. Moundi était peut-être un bon compagnon de voyage, mais l'odeur du chameau ne lui manque pas. Jax préfère celle de Lynch.
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Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
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A peine avait-il franchi le seuil de son appartement que Marley avait déjà tout oublié de ce qu'elle avait prévu de lui dire. Ni les fleurs ni le sac de présents que Jackson tenait dans ses mains n'avaient d'importance. Elle ne fit même pas attention au fait qu'il les avait faits tomber sur le sol. Seule sa présence comptait. Lorsque leurs lèvres entrèrent en contact, la maquilleuse eut l'impression qu'un volcan en éruption explosait en elle. Elle l'embrassait à en perdre haleine comme si elle avait manqué d'oxygène durant toute son absence et comme s'il n'y avait que cela qui pouvait la réanimer. Elle avait tenté de garder ses distances physiques, mais vite avait oublié pour quelles raisons. Son semblant de pudeur et de retenue ne sembla pas convenir à l'agent qui sans prévenir l'attrapa par les hanches et la fit basculer. Prisonnière entre le mur et la muraille qu'était Jackson, Marley sentit son rythme cardiaque augmenter. Etait-ce l'excitation ? L'envie ? L'angoisse qu'il remarque son ventre quelque peu arrondi ? Elle n'eut pas l'occasion de tergiverser davantage puisque les lèvres du bellâtre quittèrent sa bouche pour venir se nicher dans son cou. Elle pencha la tête en arrière, gémissant face aux assauts de son compagnon. L'une de ses mains glissèrent dans les cheveux de Jackson et ce fut à ce moment-là qu'elle remarqua il avait désormais des tresses. « Tu sens bon. » Nouveau gémissement de la part de Lynch dont la respiration commençait à devenir de plus en plus saccadée. « Attends... » murmura-t-elle, désirant l'observer tout à loisir. Sa requête n'eut pas l'effet escompté, Jackson continuait de la dévorer. La métisse posa l'une de ses mains sur le torse du garçon, le repoussa doucement. Devant son air incrédule et sans doute un peu frustré elle lui offrit un large sourire et murmura une nouvelle fois : « Attends, je veux juste t'admirer. » Elle l'obligea à reculer de quelques pas et le détailla de la tête aux pieds. A pas de loups, elle finit par s'approcher à nouveau. Ses doigts glissèrent d'abord sur sa mâchoire carrée qui lui avait montré tant de fois qu'il l'aimait et où aucun poil n'était visible. « Je vois que le rasoir a servi... » ils remontèrent jusqu'à la naissance de ses cheveux, touchèrent une à une les tresses qui avaient pris place sur son crâne. « J'aime beaucoup... » confia-t-elle avec concupiscence. Son autre main libre glissa le long de son épaule, toucha ses biceps, ses avant-bras. Le sourcil levé indiquait qu'elle aimait ce qu'elle découvrait sous le tissu. Sa main bifurqua sur le torse du garçon, cherchant à deviner ce qui se cachait sous le vêtement. Des muscles, toujours plus de muscles. Instinctivement – et comme ils en avaient si souvent l'habitude – ses ongles se plantèrent dans le torse de Jackson. Mal se mordit la lèvre inférieure et murmura : « On peut peut-être passer au dessert tout de suite... ». Son regard joueur accrocha celui de Jackson, elle se remit sur la pointe des pieds, lui vola un nouveau baiser tout en croquant un bout de sa lèvre, et finit par se reculer.
Elle lui attrapa la main et sans lui demander son avis, l'entraîna à sa suite jusqu'au salon. Elle l'obligea à s'installer sur le canapé. « Ne bouge pas. » Les lettres qu'il lui avaient écrites étaient posées sur la table basse, indiquant qu'elle avait passé beaucoup de temps à les lire et à les relire. Marley se rendit en toute hâte dans sa cuisine, et sortit deux flûtes à champagne. Nerveuse, elle ouvrit une bouteille, en versa dans un verre tandis que dans l'autre prenait place un pétillant à la même couleur mais sans l'alcool. Elle revint avec les deux verres, tendit le bon à Jackson et s'assit à ses côtés. Ses dents blanches illuminèrent l'espace qui les séparait tandis qu'elle faisait tinter son verre contre le sien : « A nous, à nos retrouvailles. » Elle trempa ses lèvres dans les bulles puis demanda, excitée et impatiente : « Je veux tout savoir ! » Tout, le moindre détail, la moindre aventure, la moindre rencontre, le moindre sentiment, tout ce qu'il avait vécu et ressenti.
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« Attends... » Jax n'entend pas, il est trop occupé à embrasser tout ce qui peut l'être, le moindre centimètre carré de peau passant à portée de bouche. Il faut que Marley le repousse pour que l'agent comprenne la situation. « Attends, je veux juste t'admirer. » Mills lui rend son sourire. Lynch sait comment caresser son ego, comment le caresser tout court en réalité. Aussi l'agent se laisse-t-il faire, trop heureux de sentir les doigts de la métisse sur son corps pour se plaindre de ne pas en avoir davantage. Certains regards ne trompent pas. Jax sait d'ores et déjà que la nuit sera bonne. Les étoiles dans les yeux de Marley vendent la mèche. « Je vois que le rasoir a servi... » Il pousse de sa mâchoire contre la paume de la brune tout en laissant échapper un petit rire amusé. Durant de nombreuses années, Lynch l'a habitué à ne penser qu'à elle. Trouver ce rasoir dans la boîte l'a agréablement surpris, en plus de lui être utile. « J'aime beaucoup... »« Home made. » Répondit-il. Quatre heures de travail pour un résultat au top de ce qui se fait en termes de coiffure pour son type de cheveux. Mills ne connait pas sa cousine depuis longtemps, mais il l'adore déjà. Pas autant que la façon dont Mal plante ses griffes dans son t-shirt, cela dit. Prétentieux et m'as-tu vu, Jax contracte les pecs. À l'instar de l'ancienne stripteaseuse, l'agent aime son corps et en joue sans demander son reste. Ce dernier est un outil de travail autant qu'une arme de séduction, il en a parfaitement conscience. Un allié précieux en cas de situations dangereuses, mais également un générateur infini de plaisir quand les circonstances s'y prêtent ... Rouler des mécaniques pour mouiller les culottes, c'est peu cher payé et totalement payant. La preuve :« On peut peut-être passer au dessert tout de suite... » L'ogre se rapproche, prêt à la prendre au mot. À la prendre tout court à vrai dire, mais Marley se joue encore un peu de lui et il laisse faire parce qu'au fond, ça lui plait bien de se sentir monter en pression. La libération n'en est que meilleure si l'élastique est préalablement tendu. Jackson relâchera tout ce qu'il a gardé pour lui plus tard car, pour l'instant, rien ne lui ferait lâcher la main de la brune qui l'entraîne vers le salon.
Docile, l'agent s'assied sur le canapé. Tandis que Mal disparait, il jette un œil autour de lui. La vision de ses lettres sur la table basse lui arrache un sourire. Celles de la métisse tapissent le fond de son sac. Il les a lues et relues durant le vol. Sa mémoire est pleine des mots tendres et des déclarations de Lynch. Difficile de faire plus romantique et pourtant à aucun moment Jackson ne se sent niais. Léger serait le mot pour définir la sensation prédominante, malgré la fatigue du voyage. Au Botswana, il est quelque chose comme avant-hier sur l'échelle du temps complètement déréglée par le décalage horaire ... Marley revient de la cuisine et le coupe dans sa contemplation de la table dressée pour l'occasion. Mills affiche un air impressionné. Il ne reconnait pas sa compagne, se demande ce qu'elle lui réserve comme autres surprises et oublie que les siennes ont été abandonnées dans le hall. Tout du moins jusqu'à ce que la brune ne l'invite à trinquer avant de s'enquérir des détails de son périple. « À nous. À notre avenir. » Répond-il. Puis il repose sa coupe et lève le doigt comme pour la dissuader de râler lorsqu'il se redresse. Il n'en aura pas pour longtemps. Quelques secondes plus tard, Jax revient avec les roses ainsi que le sac qu'il a ramassés dans l'entrée. « Pour la plus belle. » Dit-il de sa voix de loveur tout en lui tendant le bouquet. Il reprend ensuite place aux côtés de Marley et s'installe de manière à ce que cette dernière puisse se coller à lui tandis pendant qu'il raconte toute l'histoire ...
Mills prend son temps, tâche de n'oublier aucun détail. D'abord le vol aller, puis les quelques jours passés à Gaborone. Les tombes de ses grands-parents, évidemment, mais aussi les morceaux d'histoire apprise sur place concernant la création du pays et les différentes dates clés de sa chronologie (celles que la littérature blanche ne juge pas nécessaire de référencer). « Regarde ça. » Dit-il au moment d'évoquer son départ de la capitale, direction le désert. Du sac de présents, Jax extirpe la photo de Moundi prise au retour du delta de l'Okavango. « Tu vois bien qu'il aurait pas pu me manger. » Avec sa tête posée sur l'épaule de l'agent, l'animal montre son affection autant que son caractère joueur. Les cheveux de Mills, pas encore tressés sur le cliché, sont plein de bave et de poussière fourrée là par les reniflements du chameau. Une belle histoire d'amitié.
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Gayle Danbury
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ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
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Étrangement Jackson n'opposa aucune résistance lorsqu'elle l'entraîna dans le salon. Ses doigts entrelacés aux siens resserraient leur prise tandis qu'il la suivait sans mot dire. C'était tout nouveau pour lui, pour elle et pour eux. Qu'elle prenne les devants ainsi, qu'elle parvienne à ne pas lui sauter dessus, et lui à ne pas lui arracher ses vêtements alors qu'ils ne s'étaient pas vus depuis des semaines. L'attente avait été terrible pour ne pas dire interminable et maintenant qu'elle pouvait tout à loisir sentir sa peau contre la sienne, embrasser ses lèvres, se blottir dans ses bras, Marley choisissait de prendre son temps. Il s'installa sur le canapé alors qu'elle s'éclipsait déjà. Elle avait profité de son passage éclair dans la cuisine pour inspirer un bon coup et calmer ses ardeurs. Elle avait cherché à remettre de l'ordre dans ses pensées, à apaiser la tension qui saisissait son cœur. La suite de la soirée s'annonçait mouvementée. Elle espérait qu'elle se finirait dans les bras l'un de l'autre que ce soit dans le lit, sur la table de la cuisine ou bien sur le tapis du salon mais au fond d'elle la métisse doutait. Aurait-il toujours envie d'elle lorsqu'il apprendrait qu'elle était enceinte ? Le doute et la peur la rongeaient mais pour ne pas s'effondrer sur le champ, la jeune femme était vite retournée auprès de l'homme qu'elle aimait plus que de raison.
Le sourire qu'affichait l'agent et la tendresse avec laquelle il la regardait indiquaient qu'il appréciait ce qu'elle avait concocté pour son retour. Ce n'était pas grand chose, mais venant de Marley c'était déjà beaucoup. Par le passé, elle n'avait que trop peu souvent pris ce genre d'initiatives, se laissant simplement porter par les surprises et les attentions de Jackson. Si ce soir elle avait fait en sorte que tout soit parfait c'était en partie parce qu'elle savait que ce qu'elle allait lui annoncer risquait de tout bouleverser dans leur vie mais aussi et surtout pour lui prouver qu'elle l'aimait et qu'elle n'avait jamais été aussi sérieuse et sincère que lorsqu'elle lui avait dit qu'elle ferait tout pour que cela fonctionne entre eux. Elle l'avait déjà perdu une fois et son monde s'était écroulé à ce moment-là, il n'était pas question que la même tragédie se reproduise. Ils trinquèrent et alors qu'elle buvait une gorgée – de ce pétillant qui n'avait définitivement pas le même goût que le champagne – elle vit le jeune homme se lever. Les sourcils de la brune se froncèrent d'incompréhension mais lorsqu'il lui fit signe d'attendre sans protester elle lui tira la langue. Il ne la connaissait que trop bien. Quelques secondes plus tard, il était de retour avec un magnifique bouquet de roses. « Pour la plus belle. » Les doigts de la maquilleuse agrippèrent le bouquet, son nez se faufila au milieu des fleurs alors que ses iris se plantaient dans celles de Jackson. « Elles sont magnifiques » le remercia-t-elle, lui volant un baiser au passage. Elle s'apprêtait à se lever pour les mettre dans un vase mais l'invitation de Jackson à se blottir contre lui l'en empêcha. Le bouquet posé à côté d'elle, Marley colla son flanc contre celui de l'aventurier. Sa main se posa sur la cuisse du garçon et après s'être discrètement assurée que sa robe était toujours aussi voluptueuse et ne collait pas son ventre, tourna la tête dans sa direction. Elle était prête, elle voulait tout savoir.
L'histoire se mit à défiler, Lynch ne perdait pas une miette de tout ce que son compagnon lui contait. Par moments elle fermait les yeux, cherchant à visualiser les dunes, les animaux sauvages qu'il avait croisés. A d'autres moments elle questionnait, demandait plus de détails, quémandait la moindre information. Lorsqu'il parla de la tombe de ses grands-parents son nez vint se nicher dans son cou, caressant la peau de son amant. Un baiser déposé du bout des lèvres, une main qui s'appuyait davantage sur sa cuisse, des petits gestes qui lui montraient qu'elle était peinée pour lui. Pas besoin de parler, il savait interpréter le moindre de ses agissements. Lorsqu'il évoqua le passé de son pays et tout ce qui avait été tu par les occidentaux elle s'était redressée : « C'est scandaleux ! » Elle n'avait pas grand chose de plus à ajouter mais son regard assombri montrait à quel point tout cela la révoltait. Elle était écoeurée d'apprendre tant de choses mais aussi honteuse d'avoir fermé les yeux sur une partie importante de l'histoire. Sans le savoir, Jackson venait de la lier à la terre de ses ancêtres. Il finit par lui offrir un sourire et sortit de son sac une photographie sur laquelle elle se jeta presque. Un sourire amusé illumina son visage tandis qu'elle découvrait le lien qui unissait le chameau à Jackson. « Tu vois bien qu'il aurait pas pu me manger. » Elle roula les yeux en l'air et lui donnant un petit coup de coude dans les côtes marmonna : « C'est vrai que sa gueule ne fait pas deux fois ta tête... » Elle était heureuse de mettre une image sur Moundi, sur cet animal qui semblait désormais faire partie de la famille de Jackson. Elle pointa sa coupe de cheveux sur la photo et relevant le visage dans sa direction demanda : « Ta cousine n'a pas pris peur lorsqu'elle a vu l'état de tes cheveux ? ». Cette cousine dont il lui avait tant parlé, qu'il venait à peine de rencontrer mais qui avait déjà toute sa place dans son cœur. Elle attrapa à nouveau sa main, posa son regard sur leurs doigts et presque timidement osa demander : « Tu m'emmèneras là-bas un jour ? ». Elle adorerait parcourir les terres de l'agent, marcher à ses côtés, découvrir un peu plus son histoire et avec un peu de chance sa famille. Gênée par cette requête qui était peut-être un peu prématurée, elle choisit de faire preuve d'humour : « Il faut que je remercie ta cousine... J'ai laissé partir un agent, je récupère un mannequin. » Son sourire en coin voulait tout dire. Elle était amoureuse, encore plus qu'avant son départ. Son regard se posa momentanément sur l'horloge accrochée au mur et elle demanda : « Tu veux manger ? Il est tard et tu dois être épuisé... ». Sa main vint caresser sa joue tandis que son corps, une nouvelle fois appelé par le sien se penchait sur lui pour l'embrasser. Le baiser chaste se transforma bien vite en un baiser plus appuyé, pour finir par être passionnel. Marley se redressa quelque peu, oubliant la condition dans laquelle elle se trouvait. Elle enjamba le corps du jeune homme, se retrouva assise à califourchon sur ses genoux et pressa un peu plus ses lèvres contre les siennes. La chaleur embrasa son corps alors qu'elle ne prenait même pas le temps de reprendre sa respiration. A contre-coeur néanmoins, elle décolla sa bouche de quelques centimètres et murmura : « Il faut qu'on mange. » sous-entendant ainsi qu'ils avaient besoin de toutes les forces possibles afin d'appréhender la nuit qui s'offrait à eux.
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Tout y passe, jour par jour, avec plus ou moins de détails dépendamment des souvenirs de Jackson, mais aussi de ses volontés de préserver Marley des choses qu'il est mieux pour elle de ne pas savoir. Il parle des San, ne cache rien de la création du puis, mais se garde de mentionner que tout ceci était parfaitement illégal. Ses descriptions des animaux observés sur place sont précises. Il compare leur taille avec le mobilier urbain, les voitures, les bancs, tout ce que la brune a l'habitude de voir au quotidien, afin de la plonger en parfaite immersion. Mills répond aux questions, notamment à celles concernant ses proches encore en vie. Son oncle s'appelle Koffi. Sa cousine Aïssata. « Ta cousine n'a pas pris peur lorsqu'elle a vu l'état de tes cheveux ? » Jax sourit tout en niant de la tête. Sa cousine a vu pire qu'une touffe de cheveux sales. La vie est moins facile en Afrique subsaharienne que dans leur Australie riche et sécuritaire. La crasse n'est qu'un détail. « Tu m'emmèneras là-bas un jour ? » La question l'interpelle moins que l'attitude hésitante de la brune. Mills en profite pour passer sous son menton l'indexe de sa main libre. Il se penche, capte son regard, l'embrasse du bout des lèvres puis murmure : « Quand la petite sera née. » Milkshake n'a toujours pas de prénom. Toutefois, l'agent en ramène quelques-uns qu'il compte bien soumettre à Erika et Louisa dont le ventre doit bien faire la taille d'une pastèque, à présent. Il l'a lu dans les lettres de Marley et est impatient de le voir de ses propres yeux. Ça attendra demain ou d'après. Jax préfère se concentrer sur son couple pour l'instant. « Il faut que je remercie ta cousine... J'ai laissé partir un agent, je récupère un mannequin. » « T'aime ça, hein ! » Répond-il d'un air coquin. « J'vais me laisser pousser les cheveux plus souvent ! » Il est convaincu de tenir là un atout insoupçonné. L'agent y voyait le côté pratique en plus d'un hommage à son peuple, mais il réalise que ce genre de style séduit la métisse et ça ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd.
Bientôt vingt-deux heures à l'horloge du salon. Le temps a filé à toute vitesse. « Tu veux manger ? Il est tard et tu dois être épuisé... » C'est possible. Mills n'a pourtant pas envie de dormir. Il n'a pas fini d'offrir ses cadeaux et ne se laisse dorloter les joues que parce que cela lui provoque de légers picotements au creux de l'estomac. Il avait presque oublié à quel point le toucher de Lynch était capable de le stimuler. Un seul baiser et c'est reparti pour un tour de montagnes russes. Une ascension lente, exponentielle, puis de plus en plus anarchique au fur et à mesure que l'envie se met à lui contracter les tripes. Ses doigts agrippent le tissu lorsque la maquilleuse s'installe sur lui. Il râle de satisfaction en devinant que sa robe est munie d'un dos nu qu'il caresse avec avidité et contre lequel il pousse afin de la rapprocher davantage. Inconsciemment, son bassin avance, cherche le contact de celui de la belle, mais cette dernière se recule à nouveau. Cette fois, Jackson a plus de mal à se contenir. « Il faut qu'on mange. » « C'est toi que j'vais manger. » Affirme-t-il avant de planter ses dents sur le côté de son sein. Avide de prendre ses aises, l'agent écarte les jambes et tape involontairement contre le sac de cadeaux. Une ampoule s'allume dans sa boîte crânienne. Mills cesse de mâchouiller la poitrine de Marley et lui lance un regard concupiscent. « Faisons ça bien. » Commente-t-il, bras tendu en direction du sac dont il extirpe un paquet qu'il glisse sous le nez de la maquilleuse. « Enfile ça. »
Dedans, une robe cousue par Aïssata dont la passion pour la mode traditionnelle africaine s'entendra très bien avec celle du maquillage bling bling de Marley, Jax en est certain. Le vêtement, taillé aux mensurations de sa cousine, devrait convenir à celles de Lynch d'après les photos que Jax en a montrées à la créatrice. Aïssata lui a dit qu'un ourlet sera peut-être à prévoir au bas, car l'Australienne est plus petite que la Botswannaise, mais ce détail est sans importance. Ce que Jackson veut voir, c'est sa douce dans une robe aux couleurs de son pays* et dont les courbes sophistiquées provoqueraient la crise cardiaque de n'importe quel homme normalement constitué. Ses seins rebondis, sa taille fine, ses fesses généreuses ... Il la dévorera des yeux le temps de gober le repas et se léchera les doigts de l'avoir pour dessert en remerciant, lui aussi, sa cousine d'avoir pimenté leurs retrouvailles.
* : faudrait imaginer la robe bleu / blanc / noir / rouge du coup : clic
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Dernière édition par Jackson Mills le Lun 9 Oct 2023 - 18:17, édité 1 fois
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Marley ne feintait ni l'intérêt, ni la curiosité. Bien au contraire, elle buvait chacune des paroles de Jackson, tentait de s'imprégner de ce qu'il avait vécu, tentait d'imaginer ce qu'il avait pu ressentir ou voir. Son compagnon l'aidait grandement. Il ne semblait oublier aucun détail, lui décrivait avec précision chaque chose qu'il avait vue ou faite. Lorsqu'il lui parla de la construction du puits, elle eut néanmoins la sensation qu'il ne lui disait pas tout. Elle lui avait jeté un regard en biais, prête à le questionner sur ce qu'il lui cachait mais finalement elle s'était ravisée. S'il voulait taire certains détails, elle se devait de respecter sa volonté. Il avait le droit de garder pour lui certains passages de son voyage, après tout, il y allait pour en apprendre plus sur ses ancêtres, sur ses terres, sur celui qu'il était. Rêveuse et un peu envieuse, Marley lui avait demandé s'il pourrait l'amenée là-bas un jour. Elle avait rapidement baissé la tête, se sentant coupable de faire une telle requête alors qu'ils venaient tout juste de se remettre ensemble. Elle avait senti ses doigts remonter son menton et lorsqu'il avait déposé avec tendresse un baiser sur ses lèvres elle avait senti un poids s'envoler. « Quand la petite sera née. » Un poids s'était envolé, mais une pierre venait de tomber dans le creux de son estomac. La petite. Celle qu'il allait avoir avec Louisa. Que dirait-il lorsque ce soir elle lui annoncerait qu'un deuxième bambin allait bientôt lui courir après ?
Elle n'avait pas eu le temps de s’appesantir davantage là-dessus qu'il lui avait montré la photo et qu'elle avait complimenté une nouvelle fois son apparence. Lorsqu'il s'était montré fier et satisfait en répliquant : « T'aimes ça, hein ! J'vais me laisser pousser les cheveux plus souvent ! » Elle s'était mordue la lèvre, incapable de nier. A quoi bon de toutes manières ? Marley avait toujours été sous le charme de Jackson. Dire qu'il lui plaisait mentalement mais aussi physiquement n'était un secret pour personne. Cela se voyait dans sa façon de le dévorer du regard, dans la manière dont ses yeux le déshabillaient avant que ce ne soit ses doigts qui s'attaquent aux morceaux de tissus. Preuve en était que malgré les précautions qu'elle avait prises depuis le début de la soirée afin de garder caché son ventre arrondi, là voici qui envoyait tout balader en lui grimpant dessus. Avoir son flanc collé au sien n'était pas suffisant. Marley avait besoin de plus, de toujours plus. Être raisonnable en compagnie de l'agent était peine perdue, et Mills n'était pas mieux. Rapidement ses mains retrouvèrent le chemin de la peau dorée de la jeune femme. Elle sentit ses doigts glisser dans son dos alors que le baiser qu'ils échangeaient devenait de plus en plus torride. Lorsqu'elle sentit qu'il tentait de coller son bassin au sien, elle s'était reculée, arguant qu'il fallait absolument qu'ils mangent. « C'est toi que j'vais manger. » Le cœur de la brune se mit à battre plus vite et avant qu'elle ne puisse réagir, elle sentit les dents du jeune homme se planter dans son sein. Un gémissement lui échappa alors qu'inconsciemment elle se cambrait. Adieu sa jolie robe, Marley ne laissait que peu de temps au morceau de tissu pour rester entier. L'une de ses mains s'agrippa à l'épaule de Jackson tandis que l'autre appuyait sur son torse. C'en était fini, elle ne pourrait pas se retenir davantage. Heureusement pour elle, quelque chose détourna l'attention de Mills qui finit par lâcher sa prise. « Faisons ça bien. » Les sourcils de Marley se froncèrent alors qu'elle prenait le paquet qu'il lui tendait : « Enfile ça. »
Non. Voilà ce qu'elle aurait voulu lui dire. Les yeux fixés sur le paquet, la maquilleuse n'osait enlever l'emballage. Qu'allait-elle trouver à l'intérieur ? Des vêtements ? Des sous-vêtements ? Dans tous les cas rien qui risquait de l'aider. Les doigts légèrement tremblant, elle arracha le papier et découvrit avec étonnement une robe. « Elle est magnifique » souffla-t-elle tandis que ses yeux admiraient la pièce qui donnait l'impression d'être tout droit sortie d'une collection haute couture. Un rapide coup d'oeil jeté au vêtement confirma les doutes de Marley : Il y avait peu de chance qu'elle entre dedans. Prise au piège, elle se leva tout de même de Jackson. Elle l'embrassa du bout des lèvres et d'un pas presque chancelant se rendit jusque dans la salle de bain. Lorsqu'elle referma la porte derrière elle, elle vint appuyer son front contre le bois alors qu'elle tremblait de tous ses membres. Il lui fallut quelques secondes pour retrouver ses esprits. Mécaniquement, elle enleva son autre robe qu'elle laissa tomber dans un coin de la pièce. En sous-vêtement devant le miroir, elle grimaça quelque peu. Son ventre n'était pas très gros, mais il était clair qu'il n'était plus le même. Sa peau tendue indiquait bien qu'il ne s'agissait pas de graisse en trop mais bel et bien d'une grossesse.
Lentement, elle enfila la robe. Ses fesses eurent du mal à passer mais elle parvint à les faire entrer dans la robe. Sa poitrine débordait quelque peu mais le problème n'était pas là. La métisse avait beau tout tenter, elle ne pouvait pas refermer la fermeture éclaire. Elle se contorsionnait dans tous les sens, rentrait son ventre, tentait l'apnée, rien n'y faisait. Plantée devant la glace la jeune femme ne savait pas quoi faire. L'envie de pleurer la gagna avec une rapidité déconcertante. Elle détestait son nouveau corps. En plus de craindre la réaction de Jackson, Marley se rendait compte qu'elle n'aimait pas ce qu'elle voyait. Elle inspira profondément à plusieurs reprises et puis décidant qu'il était temps de tout avouer, elle ouvrit la porte et demanda à Jackson : « Ferme les yeux ! ». Elle se hâta d'aller dans la cuisine, ouvrit un placard et en sortit une boîte de cookies. Elle avait pensé la donner au moment du dessert mais ses plans avaient drastiquement changé depuis qu'elle se retrouvait incapable de fermer sa robe. Cette boîte de cookies n'avait pas été choisie au hasard, c'étaient ceux qu'ils prenaient un malin plaisir à dévorer après leurs ébats torrides. Cette fois-ci néanmoins, pas de biscuits à l'intérieur, mais le test de grossesse que Marley avait fait quelques semaines auparavant.
Marley s'approcha du canapé, se mit debout face à Jackson, et finit par poser la boîte sur ses genoux. Elle se redressa, inspira profondément et lui dit : « Je t'avais dit que j'avais un peu grossi pendant ton absence... » Il pouvait désormais ouvrir les yeux. Les prunelles de Marley, elles, ne louperaient aucune de ses réactions. Qu'allait-il dire en voyant qu'elle avait pris du poids ? Comment réagirait-il devant le fameux test ?
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« Elle est magnifique »« Je sais, et pourtant t'es pas encore dedans ... » Répond Jax. Son timbre suave est révélateur du fond de sa pensée. Qu'est-ce que cela rendra lorsque le tissu recouvrira ses formes provocantes ? Y penser suffit à l'exalté. Mills n'a d’yeux que pour les fesses de la jeune femme tandis que cette dernière s'éloigne en direction de la salle de bain. 2 mois de béquille. L'agent ferme les paupières en même temps que Lynch tourne l'angle du couloir, continuant ses fantasmes dans son imagination que leur frotti frotta a rendu sulfureuse ...
Resté sur le canapé, Jackson écoute le temps passer. Le tic tac discret de l'horloge du salon. Il attend que la vraie Marley - pas celle de ses projections mentales - revienne. « Ferme les yeux ! »« Coquine ... » Marmone-t-il dans sa barbe, un sourire étirant son air lubrique tandis que ses paupières déjà fermées restent closes. Mills suppose que Lynch s'apprête une fois de plus à jouer avec sa libido et convient que, cette fois-ci, l'allumeuse ne s'en tirera pas. Impatient, il attend, à l'affut du moindre déplacement d'air qui pourrait trahir la présence de la brune dans son dos ou à ses côtés. Par quel angle va-t-elle l'attaquer ? L'excitation grimpe au point de le tendre. Son dos est aussi droit d'attention que sa queue ne l'est de désir. L'arrivée d'un paquet solide sur ses cuisses le fait sursauter. Il attrape la boîte, s'amuse à la tourner dans tous les sens en gardant les yeux fermés afin de deviner de quoi il s'agit. « Je t'avais dit que j'avais un peu grossi pendant ton absence... » La force de l'habitude ne tarde pas à faire son œuvre. Le bruit de cet emballage, Mills le connait bien. Il rime avec jouissance dans sa mémoire. « J'vais t'faire maigrir moi, tu vas voi... » Dit-il tout en rouvrant les yeux.
Tout se succède alors en un laps de temps que l'agent serait bien incapable de définir : quelques secondes ou une éternité ? Le regard de Mills croise celui du test de grossesse. Il ne comprend pas, fronce les sourcils, prend le bâtonnet et le porte à hauteur de visage afin de l'observer de plus près. Que signifie ce petit plus bleu sur l'écran de résultat ? Ça ressemble à l'une de ces bandelettes sur lesquelles on lui demandait de pisser à l'armée, mais il n'y a pas d'échelle multicolore visant à signifier la présence de maladie. Alors Jackson interroge la métisse du regard, confus. Son air d'appréhension totale le fait tiquer. Mal attend de lui qu'il comprenne quelque chose, mais Jax ne sait pas quoi ... jusqu'à ce qu'il voit la fermeture de la robe ouverte sur la taille de la jeune femme trop large pour le diamètre du vêtement. Ses iris se tournent alors en direction du paquet de cookies. La baise, la prise de poids ... la claque.
Mills se la prend en pleine face. Invisible, elle laisse sur son passage un air sonné tandis que les lèvres de l'agent s'entrouvrent de surprise. « T'es ... ? » Commence-t-il en direction de la maquilleuse. Plus de salive dans sa bouche, plus de sol sous ses pieds. « On va ... ? » La tête lui tourne à l'instant même ou il se projette tenant deux nourrissons dans ses bras musculeux. « Fuck. » Le câble de son ascenseur émotionnel lâche. L'agent regarde son pantalon. Il vient de caler net. C'est la première fois que cela lui arrive. Peut-on imaginer moment plus gênant pour ce genre de panne ? Se sentant dépassé par les évènements, il cherche auprès de Marley les clarifications dont il a besoin afin d'être certain de ne pas comprendre de travers, de ne pas faire de déductions erronées : « Tu veux un bébé ou tu attends un bébé ? » Parce que là, tout de suite, il ne va malheureusement pas être en état de lui en faire un et son regard fébrile le dit à sa place.
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Dernière édition par Jackson Mills le Ven 13 Oct 2023 - 12:25, édité 2 fois
Gayle Danbury
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ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
« Coquine » Le voir si excité alors qu'il avait les yeux clos nouait l'estomac de Marley. Elle se doutait qu'il s'imaginait assister à un spectacle des plus attrayants. Quelle serait sa réaction lorsqu'il découvrirait la réalité ? Elle avait hésité quelques secondes avant de poser la boîte mais lorsqu'elle l'avait fait, elle s'était rendue compte que le désir de l'agent n'avait eu de cesse de croître en son absence. La proéminence qu'elle apercevait très clairement sous son pantalon indiquait que Jackson n'avait aucune envie de manger, il était prêt à passer directement au dessert et c'était ce qu'elle venait de lui servir sur un plateau. Au contact de la boîte de cookies, il avait sursauté mais amusé par la situation avait commencé à retourner la boîte dans tous les sens. La gorge de la métisse était de plus en plus nouée alors qu'elle voyait que le moment fatidique allait arriver. « J'vais t'faire maigrir moi, tu vas voi... » Il n'eut pas l'opportunité de terminer sa phrase puisqu'en ouvrant les yeux, ses iris étaient tombés sur le test de grossesse. Marley ne dit rien, pas un seul mot. Elle retenait simplement sa respiration, attendant la moindre réaction de son compagnon.
Ce fut dans un premier temps l'incompréhension et le scepticisme qui prirent le-dessus comme le montraient ses sourcils froncés. Elle le vit prendre le test, le tourner dans tous les sens. Pourquoi ne disait-il rien ? Pourquoi mettait-il autant de temps avant de faire le lien ? Marley ne bougeait toujours pas, statufiée, médusée par la situation. Le temps semblait s'écouler avec une lenteur infernale alors que le silence s'épaississait autour d'eux. Bientôt il leva son regard dans sa direction, elle ouvrit la bouche, tentant de lui dire à voix haute ce que son cerveau semblait refuser de voir ou de croire mais elle ne fut capable de rien. Le regard de Jackson descendit le long de sa silhouette et s'arrêta sur cette maudite fermeture qu'elle avait été incapable de fermer. La maquilleuse n'avait à cet instant qu'une seule envie : disparaître. Si elle avait toujours adoré avoir le regard de son amant posé sur elle, aujourd'hui la sensation la brûlait presque. « T'es ... ? » Même lui n'avait plus les mots. Si Marley s'était préparée – du moins avait essayé de se préparer – à toute sorte de réaction, le silence et l'incapacité de parler de Mills ne faisaient pas partie de sa liste de possibilités. « On va ... ? » Le don de parole semblant s'être envolé du côté de la brune, elle se contenta d'hocher affirmativement la tête mais Jackon ne put rien voir puisque déjà son regard était redescendu sur son propre entre-jambe. « Fuck. » La douche glacée. Au tour de Marley de constater que la trique qu'il avait eu rien qu'en l'imaginant devant lui s'était soudainement envolée. C'était la première fois. La toute première fois qu'elle voyait qu'il n'avait plus envie d'elle. Même lorsqu'ils s'étaient retrouvés dans la laverie et qu'il la haïssait de tout son être, son corps n'avait pas su résister à l'appel de celui de Lynch. Le choc fut brutal, à tel point qu'elle sentit une larme glisser le long de sa joue. Elle ne s'était pas trompée, elle qui avait du mal à se regarder dans un miroir et à accepter son nouveau corps se rendait compte que Jackson ne supportait pas non plus de le voir. Elle recula d'un petit pas, tremblante.
« Tu veux un bébé ou tu attends un bébé ? » Il semblait paniqué ce qui ne rassurait aucunement Marley. Elle déglutit avec difficulté puis parvint à articuler : « On attend un bébé. » Parce qu'elle n'était pas seule dans cette histoire, parce que la vie qu'elle portait était aussi celle créée par l'agent. Elle hésita quelques instants mais sentant que ses jambes ne tiendraient pas plus longtemps, elle s'approcha de lui et s'assit sur le canapé. Une distance physique s'était créée mais pas seulement. Marley n'osait ni le regarder, ni le toucher. Les yeux baissés sur son ventre elle murmura : « Je... Je sais que c'était pas dans les projets... ». Elle ne voulait pas qu'il pense qu'elle l'avait fait exprès, qu'elle était tombée enceinte pour s'assurer qu'il resterait à ses côtés. Tout s'était enchaîné avec une rapidité déconcertante, à tel point que lorsqu'elle était allée voir le gynécologue, on lui avait clairement fait comprendre qu'il fallait qu'elle prenne une décision : garder le bébé ou mettre un terme à sa grossesse. Il lui restait encore quelques jours, quelques semaines tout au plus pour prendre cette décision. Elle se devait d'en parler à Jackson mais pour le moment elle ne se voyait pas discuter de cette possibilité. « Je suis désolée » souffla-t-elle alors que plusieurs larmes glissaient le long de son visage. Elle pleurait de peur Marley, mais elle pleurait aussi de tristesse et de douleur. Tout lui laissait entendre qu'il ne voulait pas de cet enfant, ou en tout cas que la surprise qu'elle lui avait réservée sans le vouloir ne l'emballait pas spécialement. Qu'allait-il advenir d'eux ? Qu'allait-il advenir de cette grossesse ?
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« On attend un bébé. » La confirmation lui donne l’impression de s’enfoncer de plusieurs centimètres dans le canapé, comme si la force de gravité terrestre venait subitement d’augmenter. Ou bien est-ce le poids des responsabilités qui l’écrase sans crier gare ? Jax déglutit. Une superposition d’images perturbantes défile sous ses yeux au regard fixe. D’une part : la Nouvelle-Zélande, le Van, la nuisette blanche … Cette première et dernière fois avec Louisa durant laquelle ils avaient prié si fort pour que le feu prenne, que la pilote tombe enceinte. D’une autre : la jupe déchirée de Marley, les traces de doigts sur ses cuisses après l’agression et le jogging informe qu'elle portait lorsqu’elle était venue le trouver suite à la découverte du bras de Swenson dans la baie … Ils avaient passé plusieurs soirées télé à se tripoter sur ce même canapé avant que Jax ne parte pour le Botswana. Pas une fois l’image d’un emballage de capote ne s’additionne à la liste de souvenirs déroulant dans sa mémoire tandis que Lynch prend place à ses côtés. « Je … Je sais que c’était pas dans les projets… »
Les projets. D’autres flashes viennent s’ajouter au capharnaüm de ses pensées désorganisées : Le procès de Los Angeles, Big Mac à surveiller, l’Arabie Saoudite en ligne de mire. Tant de facteurs à prendre en compte que la panne devient le cadet de ses soucis. Les plans de l'agent viennent de se prendre un sacré coup dans l’ail. Mills prend silencieusement conscience de la portée des conséquences que pourrait avoir cette grossesse inattendue. Difficile de croire que tout cela ne dépassera pas les limites de la sphère privée ... « Je suis désolée » La tristesse dans la voix de Marley l'incite à tourner la tête en direction de la métisse. Elle pleure. Jackson se prend une autre gifle : celle du retour à la réalité. Lynch est là, abandonnée de son côté du canapé, pendant qu'il se noie dans son analyse mentale de la situation, qu'il anticipe et cherche des solutions à des problèmes moins importants que celui auquel on lui demande de faire face, là, maintenant, tout de suite. Mills n'est pas connecté à l'instant présent ; pas non plus connecté à sa compagne et la voir se tenir le ventre en s'excusant de porter la vie le ramène sur Terre.
« Arrête. » Chuchote-t-il après s'être secoué les puces. Lentement, il repose l'emballage de cookies ainsi que le test de grossesse sur l'accoudoir du divan. Ce n'est pas un ordre. C'est une demande. Jax se glisse jusqu'à la brune autour des épaules de laquelle l'un de ses bras vient s'enrouler. Après un instant de silence, sa main libre se faufile fébrilement par la fermeture bayante de la robe. Ses doigts curieux viennent recouvrir le nombril de Marley. Est-ce que cette cacahuète peu sentir sa présence ? Il entend à nouveau Louisa lui affirmer que c'est impossible, mais il a bien vu, à l'échographie, comme sa fille bouge quand il lui parle depuis l'autre côté de la paroi ventrale ! Rattrapé par les émotions, l'agent sent une vague de chaleur lui monter au visage. Il bat des cils, tâche de chasser les larmes qui menacent à tout moment d'humidifier son regard puis se racle la gorge. « C'était ça, la nausée ? » Jamais il n'aurait imaginé que la maladie dont lui parlait la maquilleuse dans ses lettres était annonciatrice de ce genre de nouvelle. Bêtement, Jax a toujours cru qu'elle prenait la pilule.
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ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Le silence dont faisait preuve Jackson était plus cinglant et brutal que tout ce qu'il aurait pu lui dire. Si elle s'était préparée à diverses réactions : un engouement démesuré face à cette annonce, une colère d'être pris au piège, des doutes quant à la véracité du test, Marley ne s'était clairement pas imaginée qu'il ne dirait rien. Il avait l'air sous le choc, autant qu'elle l'avait été lorsqu'elle avait découvert sa grossesse aux côtés de Mabel. Elle était restée sans voix au départ, puis s'était mise à pleurer dans ses bras. Elle avait bien failli faire un malaise mais la mannequin avait su trouver les mots et la soutenir dans cette épreuve qu'elle n'avait pas anticipé. Ce soir tout recommençait mais la maquilleuse avait encore plus mal que la première fois. Assise sur le canapé, les yeux fixés sur son ventre qu'elle touchait du bout des doigts, elle avait la nette sensation que la terre s'ouvrait sous ses pieds et qu'elle allait bientôt sombrer dans les abîmes. Si ses jambes le lui avaient permis, sans doute se serait-elle levée afin de quitter la pièce. Le fait que Jackson soit assis à proximité d'elle mais ne dise rien la mettait mal à l'aise et ne faisait que renforcer l'idée qu'il lui en voulait et qu'il n'aimait pas ce qu'il voyait ou ce qu'il venait d'apprendre. Mais comment le contraire aurait-il pu être possible ? Elle-même n'était pas sûre de vouloir aller au terme de cette grossesse. Elle-même ne supportait pas de voir son corps changer, se sentait grosse et laide. Si elle ne parvenait pas à vivre avec celle qu'elle était en train de devenir, comme le pourrait-il ? Cela faisait si peu de temps qu'il avait accepté de lui redonner une chance et voilà qu'elle venait une nouvelle fois tout bousiller.
« Arrête. » Le ton n'était ni moralisateur ni autoritaire mais il ne parvint tout de même pas à faire cesser les larmes qui roulaient sur les joues de la métisse. C'était plus fort qu'elle. Encore une fois elle pleurait auprès de l'agent. Elle le sentit se rapprocher d'elle et se crispa légèrement lorsqu'elle sentit l'un de ses bras passer autour de ses épaules. Le fait qu'il la touche la rassurait quelque peu, peut-être n'était-il pas si dégoûté que cela au final. Elle eut un bref mouvement de recul lorsqu'il glissa sa main sous sa robe afin de venir poser sa paume chaude contre son nombril. Son cœur battait plus vite alors qu'elle prenait sur elle pour ne pas retirer sa main de cet endroit. Elle était mal à l'aise, n'avait pas envie qu'il la touche, du moins pas avant de savoir ce qu'il ressentait réellement. « C'était ça, la nausée ? » Elle releva timidement le visage dans sa direction et hocha la tête affirmativement. « C'est Mabel qui a compris... » alors qu'elle, de son côté, pensait naïvement avoir attrapé un virus. Qu'elle pouvait être stupide parfois. Elle se pinça les lèvres, s'obligeant à ne pas pleurer davantage et lui dit dans un murmure : « Je suis désolée, j'aurais voulu te le dire plus tôt mais... Je pouvais pas faire ça au téléphone ou dans une lettre. » Elle aurait peut-être mieux fait tout compte fait. Au moins elle n'aurait pas pu voir la détresse et la panique de l'agent. Elle finit par prendre le bras de Jackson et par retirer sa main de son ventre. Elle tourna son corps dans sa direction, attrapa ses deux mains et le cœur au bord des lèvres murmura : « Il est encore temps... Je ne veux pas que tu te sentes obligé de quoi que ce soit. » S'il le désirait, elle avorterait. Elle ne voulait pas être un poids pour lui et il était clair que cette grossesse en était un énorme pour le jeune homme.
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'Cause girls is players too
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Mabel. Tout s'explique. Après l'avoir vu portant sa fille lors de la vente aux enchères au profit de RFJ, Jax sait que la mannequin est une jeune maman. Son esprit fait sans mal le lien entre le rapprochement récent des jeunes femmes et ce point commun inoppiné. « Je suis désolée, j'aurais voulu te le dire plus tôt mais... Je pouvais pas faire ça au téléphone ou dans une lettre. » Il hoche la tête, compréhensif. Mieux valait attendre d'être face à face, en effet. Le choc n'en est pas moins violent, mais Mills peut au moins s'imprégner des émotions bouleversées et sincères de Marley ; ne pas spéculer sur le vrai, le faux et toutes les nuances de gris que sa paranoïa est la première à s'imaginer lorsque les angles morts lui en donnent l'occasion ... Ici, dans ce salon, assis à côté d'elle, l'agent n'a pas le temps de douter. La chaleur sous ses doigts est trop concrète.
Mais Lynch retire sa main et se positionne face à lui. Jax se crispe. A-t-elle d'autres révélations à lui faire ? Il n'est pas certain de pouvoir encaisser plus ce soir. La fatigue que son excitation parvenait à museler reprend le dessus en même temps que le contrecoup de son yoyo émotionnel se fait sentir. Le cerveau de l'agent commence à saturer et cela se traduit par une pression au niveau des tempes que Mills connait bien : il ressentait exactement la même lorsque le neurologue lui demandait de se concentrer afin de se souvenir des choses que son amnésie a passées à la trappe. 1 janvier 1901 ? Indépendance de l'Australie ! « Il est encore temps... Je ne veux pas que tu te sentes obligé de quoi que ce soit. » Jackson retire ses mains de celles de Marley comme s'il venait de se brûler à leur contact. Instantanément, ses sourcils se froncent et les traumas de son adolescence refont surface. Il a trop de fois cauchemardé les images du fœtus de sa mère avorté par l'agression dont Gloria a été victime dans le bus pour ne serait-ce que tolérer l'idée d'être à l'origine de tout autre massacre embryonnaire. « Tu déconnes ? » Son air outré sous-titre la gravité de son silence interdit avant qu'il n'affirme catégoriquement : « C'est hors de question. » Personne ne tuera son bébé.
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Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
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Lorsqu'elle expliqua à Jackson qu'elle n'avait pas eu envie de le lui annoncer plus tôt à distance, il sembla d'accord avec elle, opinant du chef. Cela la rassura quelque peu. Au moins il ne lui en voulait pas d'avoir garder ça pour elle si longtemps. Combien de fois avait-elle voulu l'écrire noir sur blanc ? Lui dire qu'il allait être père une seconde fois ? Comment avait-elle fait pour résister à la tentation de tout lui dire au téléphone ? La brune l'ignorait mais se sentait désormais soulagée de ne plus avoir à porter ce poids sur ses épaules, du moins plus toute seule. Ses larmes s'étaient peu à peu calmées alors qu'elle sentait la chaleur des doigts de l'agent sur son nombril. Finalement, décidant qu'il fallait qu'elle sache, elle avait enlevé cette main qui pansait ses plaies.
Mills ne comprit pas, elle le lut dans son regard, mais comment l'aurait-il pu ? Elle ne savait pas comment le formuler sans qu'il ne se sente insulté ou qu'il se méprenne sur ses intentions. Elle le voyait se triturer les neurones, cogiter et sans doute s'inquiéter vis-à-vis des paroles qui allaient sortir de sa bouche. Finalement elle lui dit avec simplicité, ne prononçant jamais le mot « avortement » mais l'expliquant assez clairement pour qu'il puisse comprendre où elle voulait en venir. A peine lui avait-elle exposé ses possibilités qu'il retira vivement ses mains. Un hoquet de surprise échappa à Marley qui fronça les sourcils, incapable de comprendre sa réaction. Elle avait l'impression qu'elle venait de l'insulter, de lui manquer de respect. Elle retint sa respiration jusqu'au moment où il lui balança : « Tu déconnes ? » Elle fit un mouvement de recul, stupéfaite par sa réaction. Il avait l'air en colère, contrarié plus que de raison. « C'est hors de question. » Les yeux plantés dans les siens, Marley était incapable de parler. Tout se bousculait dans son esprit. D'un côté elle était soulagée et heureuse de savoir qu'il voulait garder cet enfant. S'il n'avait pas explosé de joie face à cette annonce, il semblait prêt à emprunter cette voie à ses côtés. D'un autre, elle se rendait compte qu'à aucun moment il ne lui avait demandé ce qu'elle voulait elle, ni ce qu'elle ressentait. C'était comme si elle n'était pas maîtresse d'un corps qui lui échappait déjà.
Bouleversée par les diverses émotions qui venaient s'entrechoquer dans sa tête, Marley inspira profondément et d'une voix douce lui dit : « Je voulais te laisser le choix. » Rien d'autre, à moins qu'elle n'aurait souhaité qu'ils en discutent ensemble avant. « Je ne veux juste pas que tu te sentes pris au piège. » Parce que cette grossesse n'était pas là pour l'obliger à rester à ses côtés. Parce que s'il restait avec elle c'était parce qu'il l'aimait et non par obligation. C'était tout ce qu'elle désirait. Finalement, la métisse posa son front sur le torse de Jackson, ferma les yeux, glissa inconsciemment une main sur son ventre rebondi et murmura : « On va être parents. » C'était un fait. Le dire à voix haute rendait les choses concrètes mais lui enlevait aussi un poids au niveau de la poitrine. Peut-être, oui peut-être avait-elle juste eu besoin d'entendre Jackson lui dire qu'ils garderaient cet enfant pour pouvoir se sentir mieux...
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« Je voulais te laisser le choix. Je ne veux juste pas que tu te sentes pris au piège. » Jax imite Marley et inspire profondément afin de calmer la fébrilité de son esprit secoué par les souvenirs détestables d'un passé qu'il ne devrait pas associer au présent. Dans sa peur irrationnelle et son rejet virulent d'imaginer qu'un autre bébé puisse finir à la poubelle, l'agent oublie de rendre la pareille, de laisser à Lynch le luxe d'avoir, elle aussi, le choix. L'évidence l'aveugle. Il ne conçoit pas qu'elle puisse ne pas désirer cet enfant. Peut-être parce qu'avant qu'ils ne se séparent, ses projets de bague, de mariage et de famille nombreuse l'avaient déjà convaincu qu'elle était la femme avec laquelle il construirait son avenir ... Finalement, Marley l'est-elle ?
Il faudrait se poser la question, prendre en compte les évènements s'étant déroulés depuis le retour de la maquilleuse à Brisbane, mais - évidemment - Mills ne le fait pas. Il fait ce qu'il peut, et c'est déjà beaucoup compte tenu de la nouvelle. « On va être parents. » Sa main caresse les cheveux de la brune tandis qu'il s'efforce de ne pas paniquer. S'il est capable d'être papa pour un, alors il peut bien l'être pour deux, n'est-ce pas ? Le cœur de champion caché sous cette poitrine tenant lieu de support à la métisse est suffisamment puissant pour aimer plus d'un enfant.
Les secondes passent, le silence est total. Pas pesant, mais solennel. Point de départ de perspectives nouvelles et d'avenir aussi inopiné qu'incertain. Soudain, Jackson se recule, cherchant à capter le regard de Marley : « Tu connais déjà le sexe ? » Si c'est une fille, alors c'en est fini de lui. Trois gonzesses chez Louisa. Deux chez lui. Une à l'hôpital. Jackson Mills est en infériorité numérique. Elles finiront par le rendre fou.
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Une nouvelle fois il ne parlait pas. Marley avait son front posé sur son torse pourtant Mills ne décrochait pas un mot. Si elle était soulagée de ne plus avoir à lui cacher la vérité, au fond d'elle elle avait espéré que sa réaction soit plus enthousiaste. Elle ne pouvait pas lui en tenir rigueur, elle-même avait été secouée lorsqu'elle avait appris la nouvelle. Il lui avait d'ailleurs fallu plusieurs jours afin de parfaitement réaliser. Egoistement, sans doute aurait-elle voulu qu'il crie de joie, qu'il la prenne dans ses bras en la faisant tournoyer, qu'il la dévore de baisers ou bien même qu'il se mette à pleurer. Ce n'était pas le cas. La stupéfaction, la crainte, sans doute une part de déni avait pris le contrôle de l'agent. Finalement elle sentit sa main dans ses cheveux et choisit de se concentrer là-dessus. Ce soir elle prendrait ce qu'il lui offrirait sans en réclamer davantage. Il avait le droit d'avoir besoin de temps.
Le temps s'écoula lorsque soudainement il se recula. La maquilleuse n'eut d'autre choix que de relever le visage – presque à contre cœur – et plongea son regard dans le sien. Qu'allait-il lui dire ou lui demander ? L'angoisse l'étreignit alors qu'elle retenait sa respiration. « Tu connais déjà le sexe ? » Oh. Elle ne s'était pas préparée à une telle question. Elle se pinça les lèvres, attendit quelques instants en silence puis finit par se lever. Elle quitta la pièce, se dirigea jusque dans sa chambre et revint quelques instants plus tard avec un carton. Elle le posa aux pieds de Jackson, et se sentait désormais parfaitement ridicule murmura : « Le gynécologue voulait me le donner... Je lui ai dit que je préférais avoir la surprise. » En réalité, elle n'avait pas voulu savoir sur le moment. A l'époque elle ne savait même si elle allait mener sa grossesse à termes ou non. Connaître le sexe de l'enfant l'aurait en un sens contrainte à ne pas avorter. Elle avait voulu leur laisser le choix, se laisser un choix. Avec du recul, elle s'était aussi dit qu'elle n'avait pas envie d'apprendre ce genre de nouvelles sans Jackson à ses côtés.
Elle lui attrapa la main, lui montra le carton et murmura : « Je voulais qu'on l'apprenne ensemble. » Dans cette boîte se trouvait l'une des réponses à leur questionnement. Si des ballons roses s'envolaient alors ils deviendraient parents d'une petite fille. A l'inverse s'ils étaient bleus... Elle aurait le droit à un mini Jackson. Elle tourna le regard en direction de son compagnon. Il lui suffisait d'ouvrir le carton et alors ils sauraient.
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