(c) yawpanderson é luna's

for one black velvet night

@GRETA MOORE & ARTHUR

« Où est-ce que tu vas comme ça ? » Arthur dut se retenir de sursauter en entendant la voix tonitruante de son père qui déchira la nuit devenue permanente. « Tout le monde t’attend au salon. » Il le savait. Les réunions familiales se faisaient quotidiennes maintenant que la ville était devenue folle, que la nuit se voulait constante et que les monstres commençaient à sortir de leur cachette. Arthur se devait de participer à la chasse grandeur nature qui se préparait. Sa famille allait bientôt se dévoiler. Coventry, longue lignée de chasseur de père en fils. Il savait tout ça, mais Arthur avait bien autre chose en tête à l’heure actuelle. « Simon a entendu parler d’un groupe de loups-garous qui squatterait l’ancien asile. » Il venait de piquer la curiosité du chef de famille. « On voulait aller voir. Juste de loin. » Arthur n’avait jamais connu telle période au cours de sa vie. Les créatures il ne les as connus qu’au travers des comtes de son grand-père et des livres qui se passait de génération en génération. Il voulait voir de ses propres yeux. « Vous faites attention. » Il hocha la tête, reprenant son arbalète pour la passer autour de son torse. Dans sa sacoche, d’autres armes se cachaient. Arthur était équipé, à défaut de savoir ce qui l’attendait au dehors.

La vérité était qu’il n’avait aucunement l’idée de rejoindre son cousin. Délaissant le chemin de l’asile, Arthur filait dans la pénombre pour se rendre à l’hôtel du centre-ville. Là, au deuxième étage, la fenêtre la plus à gauche, se trouvait celle qu’il n’avait pas revu depuis le début de cette folie. Il lui avait fait passer un message et la bougie sur le rebord de la fenêtre lui indiquait la présence de Greta. Grimpant à la façade, il poussa le battant de la fenêtre pour pénétrer dans la chambre. « Désolé, mon père m’a retenu. » En un instant, il la prenait dans ses bras. « Tu vas bien ? » Greta était humaine. Rien de plus. Il s’était renseigné à son sujet. Simon lui avait rappelé que les Coventry ne se mêlaient pas aux humains, que c’était dangereux, par les temps qui courent, surtout avec la dernière rumeur, mais Arthur n’en avait que faire. Il était tombé sous le charme de la belle blonde depuis si longtemps déjà. « Je t’ai ramené des armes. » Elle ne savait rien de sa famille. Elle le pensait comme elle, mais le secret n’allait plus durer.

C’était un sentiment que devait partager l’ensemble des villageois mais cela n’enlèvait pas à Greta le poids de la terreur qui l’avait envahie. Les heures avaient passé et cette lune paraissait toujours aussi menaçante, ayant refusé de laisser sa place au soleil. Elle avait d’abord voulu être rationnelle, refusant de croire à un maléfice, mais tout portait à croire que la situation ne rentrerait pas dans l’ordre de si tôt et les défilés de vampires et loup-garous avaient fini de la faire céder à la panique. Lors d’une sortie au village pour acheter quelques vivres, elle avait croisé Arthur et avait réussi à intercepter son message. Il la savait seule et il avait fait en sorte de la protéger, lui indiquant de le rejoindre à l’hôtel. Le chemin pour l’y mener était court et rapide, encore fréquenté par quelques villageois désireux de s’assurer les meilleures armes et elle était arrivée sans encombre. Le lieu avait été abandonné par les gérants, certaines chambres déjà occupées par des personnes voulant s’y réfugier. Eux avaient simplement besoin d’un lieu où ils ne seraient pas repérés parce que la vérité sur leur liaison serait bien plus difficile à gérer pour leur entourage qu’une horde de démons. La jeune femme avait allumé la bougie et l’avait placée à la fenêtre et s’était installée dans le lit à l’attendre, un peu plus effrayée à chaque seconde qui s’écoulait. « Désolé, mon père m’a retenu. » Greta s’était blottie contre lui et elle pouvait entendre son coeur battre la chamade, il s’était pressé et avait dû tracer cette route qui les séparait en connaissances des événements. « Ne t’excuse pas. Tu as pris tous les risques pour moi, c’est moi qui suis désolée. » Il n’était comme elle qu’un simple humain et l’idée qu’il se soit mis en danger pour pouvoir la retrouver était flatteur, pourtant, elle s’était empressée de poser ses mains sur son visage et de planter son regard dans le sien pour s’assurer qu’il n’était pas blessé. « Tu vas bien ? » avait-il demandé, venant faire écho à ses propres pensées. « Je vais bien oui, je suis arrivée ici saine et sauve. Mais je suis morte de peur, Arthur. » Et elle ne pouvait plus quitter ses bras. « Je t’ai ramené des armes. » Elle avait finalement relevé la tête vers le visage sérieux d’Arthur - avait-il conscience qu’ils se battaient contre des forces qui les dépassaient ? « Qu’est ce que tu as pris ? Où as-tu trouvé tout ça ? » avait-elle demandé alors qu’il cherchait dans son sac. « Je ne sais pas me battre… Reste avec moi ou apprends-moi. » Sa vulnérabilité était évidente et elle était convaincue que sans quelqu’un à ses côtés, elle deviendrait la proie parfaite pour tous les monstres qui déambulaient joyeusement dehors, profitant de cette nuit qui n’en finissait plus.

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Il pouvait sentir son corps trembler contre son torse. Greta était là depuis un temps, sûrement, mais son souffle restait saccadé, comme hanté par une angoisse qui la dépassait pleinement. Il avait vu son regard, avant qu’elle ne prenne refuge dans ses bras. Elle était terrorisée par ce qui se déroulait à l’extérieur, cette nuit qui ne s’achevait jamais était venu réveiller les frayeurs de chacun. « Ne t’excuse pas. Tu as pris tous les risques pour moi, c’est moi qui suis désolée. » Ses lèvres vinrent se déposer contre la tempe de la blonde, cherchant à rassurer son cœur affolé. « Ne t’excuse de rien. » Depuis longtemps, il se savait vaincu à sa propre cause. Greta avait su faire chavirer son cœur d’une manière inexpliqué, lui, qui devait se consacrer à son héritage, avait préféré batifoler, avant que son nom de famille ne le rattrape de plein fouet. Ses mains glacées lui rappelèrent le but de sa visite. Il n’était pas l’heure de quelques frivolités, mais bien d’un instant volé avant de s’en aller retrouver l’horreur de ce qui se tramait à l’extérieur. « Je vais bien oui, je suis arrivée ici saine et sauve. Mais je suis morte de peur, Arthur. » Elle s’ancrait à lui sans trouver la force de s’éloigner. « Tout va bien se passer. » Il n’avait aucunement le droit de céder à la panique. Sa famille connaissait la démarche à suivre, il avait été entraîné pour cela toute sa vie.

Fouillant sa sacoche, il en sortit un pieu, quelques dagues et autres pièges. Création unique issue du savoir-faire des Coventry. « Qu’est-ce que tu as pris ? Où as-tu trouvé tout ça ? » Elle s’interrogeait de l’initiative, il pouvait le lire dans son regard. « Je ne sais pas me battre… Reste avec moi ou apprends-moi. » Il ne pouvait continuer à la voir autant terrorisée. « Greta, il faut que tu m’écoutes. » Attentivement, sans se laisser distraire par quoi que ce soit d’autres. Pour cela, il prit, à son tour, le visage de la jeune femme entre ses mains. « Ce que je vais te dire, ça doit rester entre nous. » Le village allait rapidement apprendre la vérité sur ses origines, mais il se devait de garder l’élément de surprise. Il avait en elle, une confiance aveugle. « Je viens d’une famille de chasseur. » Et son souffle se coupa dans l’attente de la réaction de sa bien-aimée.

Il était facile de céder à la panique. Ils avaient tous prévu de célébrer leurs morts dans la dignité mais personne n’était plus réellement capable d’avancer avec certitude que la date était la bonne. Qu’en était-il du calendrier qu’ils connaissaient maintenant que le lever du soleil n’était pas venu leur indiquer un nouveau jour ? Les monstres étaient un point important de ce sentiment de terreur qui les avait tous gagnés mais l’idée de ne plus jamais revoir la lumière du jour était encore plus insoutenable. « Ne t’excuse de rien. » Ses lèvres sur sa tempe avaient apaisé ses craintes pendant un court instant. « Tout va bien se passer. » Ses mots avaient eu un effet immédiat sur les pensées qui s’emmêlaient dans son esprit. Elle se concentrait sur le son de sa voix et sur la façon dont il la rassurait. Il était l’homme qu’elle avait toujours voulu et une partie d’elle regrettait de ne pouvoir vivre son histoire pleinement. Arthur et elle s’étaient mis d’accord, ils venaient de deux mondes différents et devaient dissimuler leur amour pour mieux le vivre.

Alors qu’il fouillait dans son sac, Greta l’avait questionné parce qu’elle était consciente que les armes s’arrachaient à prix d’or dans les boutiques lorsque celles-ci n’avaient pas tout simplement été pillées. « Greta, il faut que tu m’écoutes. » Et elle était prête à tout entendre pourvu qu’il reste avec elle. Ses mains s’étaient posées sur son visage et il l’avait regardé avec bien trop d’intensité pour que l’annonce qui suivrait soit dénouée de sens. « Ce que je vais te dire, ça doit rester entre nous. » Son regard empli de sincérité avait trouvé le sien et elle avait acquiescé doucement. « Je viens d’une famille de chasseur. » Elle avait fait un pas en arrière instinctivement, bien peu sûre de comprendre tout ce que cette révélation impliquait. Une chose était sûre, il lui avait menti, mais elle refusait de risquer de le faire fuir alors qu’elle avait tant besoin de lui. « La société secrète… Pourquoi ne m’as-tu rien dit ? Et pourquoi me le dire maintenant ? » Étaient-ils réellement hors de danger si Arthur se mettait à se confier à elle ? Réfléchissant un instant, Greta avait compris quelque chose. « C’est donc la raison qui nous force à se voir en cachette ? Je… je pensais que tu avais honte de moi. » Ses grands yeux bleus s’étaient baissés, elle se sentait idiote d’avoir pu penser cela alors qu’il était présent pour elle et l’avait rejoint en défiant ce qu’aurait voulu sa famille. « Qu’est-ce que ça signifie exactement ? Ne me dis pas que tu vas devoir aller affronter ces créatures… » avait-elle demandé, presque supplier avant d’être interrompue par un bruit sourd qui l’avait fait sursauter. Elle avait essayé de l'en empêcher et pourtant, Arthur s’était précipité pour voir ce qui avait causé ce vacarme.

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Tout comme le reste de la population, Greta paraissait sur le point de céder à la panique. Ses yeux ne se posaient jamais plus de quelques secondes au même endroit et si l’hôtel était, pour le moment, relativement silencieux, elle sursauterait au moindre bruit suspect. Arthur s’était préparé à cette éventualité, il était venu les mains chargées de potentielle arme qui pourrait apaiser son propre esprit. Greta devait être en capacité de se défendre, il ne pourrait pas partir à l’extérieur avec le cœur tranquille s’il en était autrement. Pour cela, elle allait devoir l’écouter avec attention. Il n’avait pas anticipé son hésitation, le pas qu’elle mit entre leur deux corps. Déstabiliser, il attendit de pouvoir croiser son regard à nouveau. Elle n’était pas uniquement surprise, mais également emplie d’une déception qu’il accueillait en douceur. « La société secrète… Pourquoi ne m’as-tu rien dit ? Et pourquoi me le dire maintenant ? » Si son cousin l’entendait. Ou pire son grand-père. Arthur n’était pas censé parler de cela, à qui que ce soit. Son nom de famille ne sonnait qu’aux oreilles des initiés, pas à ceux des humains qui n’auraient jamais dû se retrouver mêlés à cette guerre ancestrale. « C’est donc la raison qui nous force à se voir en cachette ? Je… je pensais que tu avais honte de moi. » A ces mots fébriles, son cœur se serra dans sa poitrine. D’un pas prudent, il revint glisser une main sur sa joue frêle. « Je ne pouvais l’évoquer. » Il avait à charge de conserver le secret familial. « Je voulais te protéger. » Personne ne connaissait l’existence de Greta. Personne ne pouvait l’utiliser contre lui. Tout simplement. « Sache que je n’ai jamais eu honte de quoi que ce soit. » Comme pour souligner ses paroles, il vint capturer ses lèvres dans un tendre baiser.

« Qu’est-ce que ça signifie exactement ? Ne me dis pas que tu vas devoir aller affronter ces créatures… » Il n’eut aucunement le temps de confirmer ses peurs, un bruit à l’extérieur accaparant toute son attention. « Reste là. » Se précipitant vers la porte encore close, Arthur s’efforça de ralentir sa propre respiration pour se concentrer sur le grabuge à l’extérieur. Quelques éclats de voix ressemblant à s’y méprendre à une simple prise de tête au sujet d’une chambre. Mais la méfiance se devait d’être reine. Se tournant vers Greta à nouveau, il s’empressa : « Est-ce que tu me fais confiance ? » Ils allaient devoir s’éloigner de l’agitation ambiante. « Je t’apprendrais tout ce que tu dois savoir. » Qu’il promit en lui tendant la main.


win - dans le couloir, la dispute n'est réellement qu'entre deux ivrognes du coin
so close - un hurlement effrayant résonne dans les couloirs de l'hôtel, les vampires ont décider qu'il était l'heure du dîner
fail - le hurlement distinctif d'un loup-garou résonne dans le couloir, ce dernier déterminer à défoncer la porte de la chambre

Un mensonge aurait eu un effet bien plus important si les conditions n’étaient pas celles-ci. Peut-être aurait-il continué à faire semblant si le jour s’était levé mais Greta n’avait pas le temps de se perdre dans de telles pensées alors qu’ils étaient menacés. « Je ne pouvais l’évoquer. » Elle ne pouvait qu’imaginer l’enjeu qui se cachait derrière ce rôle qu’il venait de lui dévoiler, et pourtant, Greta aurait souhaité qu’il le fasse. Pour lui prouver combien il lui faisait confiance et pour se libérer de ce poids que devait être le secret qu’il gardait.  « Je voulais te protéger. » Il aurait été injuste de lui en vouloir, son regard était criant de sincérité et peut-être qu’il était plus sage qu’elle reste dans l’ignorance de son appartenance à la société secrète. Elle se serait inquiétée sans cesse, comme elle commençait déjà à le faire, et surtout, si elle ne s’était pas perdue dans ses sentiments avant qu’il ne dévoile son identité, peut-être aurait-elle renoncé à son amour par peur de ce que l’avenir pouvait signifier pour lui. Pour eux. « Je ne veux pas te perdre. » Jamais. Plutôt renier les siens que de passer une seconde loin de lui. « Sache que je n’ai jamais eu honte de quoi que ce soit. » Ses mains avaient trouvé ses joues pour que ce baiser là dure un peu plus longtemps, Greta s’accrochant à ses lèvres comme si c’était la dernière fois qu’elle y gouterait. Elle avait posé des questions, cherchant à savoir ce que signifiait réellement être un chasseur. Avant tout cela, avant que leur rôle devienne le plus crucial dans la tourmente.

« Reste là. » L’ordre avait été aisément suivi alors qu’elle était comme figée sur place. Arthur s’était approché de la porte puis avait tourné un visage un peu plus inquiet vers elle. « Est-ce que tu me fais confiance ? » Son visage avait acquiesé rapidement, le laissant libre de faire ce qu’il avait à faire, elle avait peur, c’était une certitude, mais l’idée d’être un fardeau était encore pire à supporter. « Je t’apprendrais tout ce que tu dois savoir. » « Mais pour le moment emmène-moi loin… »  Elle pouvait lire dans son regard que ce qui se cachait derrière la porte n’avait rien d’humain et elle attendait qu’il se mette en marche pour le suivre. Sa main avait accepté celle qu’il lui tendait et alors que les bruits se rapprochaient, Greta avait tâté sa poche. « Ma grand-mère m’a donné ça juste avant que je ne parte pour te retrouver, je l’ai prise, j’ai pensé que ce serait utile. » Timidement, peu sûre du rôle qu’elle jouerait à ses côtés, elle avait tendu la fleur d’aconit qui avait perdu de sa superbe après ce trajet. La plante avait piètre allure, surtout face aux armes d’Arthur, mais la jeune femme cherchait par tous les moyens à être utile. « Je suis prête, Arthur. » avait-elle annoncé avant qu'il n'ouvre la porte.

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Elle avait des questions, il pouvait le voir dans son regard. Elle voulait l’interroger sur ses origines, sur cette destinée qui était la sienne depuis la naissance, mais le temps n’était pas aux interrogations. « Je ne veux pas te perdre. » Un léger sourire vint étirer ses lèvres, un de ceux qui se veulent rassurants. « Personne ne va mourir. » Il n’arrivera rien, il voulait au moins affirmer cela. Arthur avait appris à se battre depuis qu’il était en âge de tenir sur ses deux jambes. Il ne pouvait pas se laisser aller à la panique pour une simple éclipse. Mais il ne pouvait lui refuser un baiser enflammé. Peut-être que la fin du monde semblerait plus douce à ses côtés.

« Mais pour le moment emmène-moi loin… » Dans le couloir, les pas se rapprochait, accompagner de hurlement à glacer le sang. Arthur adopta une position de défense, la main sur son fusil après avoir glissé une dague entre les doigts fins de sa compagne. Derrière la porte se tenait son ennemi de toujours, il se devait de faire face sans flancher. « Ma grand-mère m’a donné ça juste avant que je ne parte pour te retrouver, je l’ai prise, j’ai pensé que ce serait utile. » Entre ses mains se tenait une fleur qu’il pouvait reconnaître entre mille. « Garde cela précieusement. » Pour un autre moment. Il lui apprendrait à s’en servir, mais pas maintenant. Il fallait agir au plus presser. « Je suis prête, Arthur. » Elle tremblait pourtant à ses côtés. « Retrouve-moi à l'observatoire. » Il serra sa main dans la sienne avant que la porte ne s’ouvre avec fracas. Face à eux, un loup se tenait sur ses pattes arrière, la bave aux lèvres, prêt à foncer. « Greta va-t-en !! » La fenêtre était ouverte, elle pouvait s’échapper. Il ne serait capable de rien tant qu’elle serait à ses côtés. Le loup venait de lui sauter dessus quand il entendit la fenêtre grincer et le bruit distinct d’un corps qui atterrit en contre bas.

Alors qu’elle était en train de fuir, Greta n’entendra que la détonation d’une arme à feu.

win - Arthur a réussi à viser la tête, l'animal tombe mort dans un bruit sourd. Il rejoins Greta sain et sauf.
so close - Il manque la créature, s'en suit un combat aux corps à corps, Arthur en sort vainqueur, mais il a plusieurs égratignures sur le visage et les bras. Ce n'est pas beau, mais ça ira.
fail - Il manque la créature, s'en suit un combat aux corps à corps, Arthur en sort grièvement blesser avec une énorme entaille sur le torse. Il mettra un très long moment à rejoindre Greta.