Tu as fini tes tâches au cimetière et tu as décidé de profiter de la soirée au clair d’éclipse de lune. Tu t’es installé dans un pub. Tu as avec toi, une pochette qui contient des feuilles et quelques fusains. Tu dessines à tes heures perdus et ce soir tu es inspiré. Tu es un artiste dans l’âme Asher, même si tu ne gardes ça que pour ton temps libre. Ton père te le disait souvent que ce n’est pas avec des gribouillis que tu auras un avenir. Le sien d’avenir il s’est terminé dans une marre de sang. Tu n’as pas pris la peine de prendre un balai pour nettoyer les lieux, vous avez tout bonnement quitté le manoir avec Juliet. C’était la seule solution possible. Dans cette nouvelle ville ci, tu as l’impression que tout est possible de nouveau. C’est peut être sombre car la nuit persiste encore et toujours, mais ton anonymat fait du bien. Beaucoup ont l’air de mauvaise humeur ou peut être que c’est juste que tu ne les vois pas assez bien dans l’obscurité, mais toi, au fond de ton coeur, tu aimes tout ça. Tout comme tu apprécies de pouvoir t’installer à un comptoir de pub pour boire une bière en laissant ton fusain parcourir ton papier. Tu y vas aléatoirement au début et puis ton oeil est attiré par la jeune femme qui vient de s’installer à côté de toi. Tu prends une feuille vierge et tu commences un portrait comme si c’était la chose la plus naturelle qu’il soit. C’est son profil que tu dessines. Elle a un très joli profil et elle est installée pile sous la lumière. Le spot parfait pour que tu puisses créer ton oeuvre dans les meilleures conditions.
Quand elle se rend compte de tes yeux plutôt bien bloqués sur elle entre deux coups d’oeil à ta feuille, tu t’arrêtes dans ta création et prend la parole. « Bonsoir. Vous avez un très joli nez. » Que tu dis alors que tu reprends ton dessin, finalisant les ombres du dit nez. Tu te dis que y’a pas de mal, tu sais que ce n’est pas toujours bien pris quand tu dessines comme ça des gens qui sont juste là au même endroit que toi.
Dernière édition par Asher Buckley le Mar 10 Oct 2023 - 20:02, édité 1 fois
Olive Sterling
l'ombre d'elle même
ÂGE : Vingt-neuf ans. (13.11.1995) SURNOM : Oli. STATUT : Célibataire. Pourtant l'impression de pouvoir retrouver le bonheur dans les bras d'un homme. Sensation étrange qu'elle n'arrive pas à comprendre. MÉTIER : Une formation en cours pour obtenir un diplôme d'assistante de direction. Olive se projette enfin dans une autre possibilité de carrière et ça l'enchante. LOGEMENT : Un nouvel endroit à squatter. Actuellement la colocataire de Shiloh au #45 james street, fortitude valley. Elle est toujours sous le choc de cette nouveauté. POSTS : 7056 POINTS : 4240
TW IN RP : Dépression TW IRL : A discuter par mp si besoin.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #c46f84 RPs EN COURS :
Hélen #4 ♡ Feeling like a drop in the ocean that don't nobody notice maybe it's all just in your head. Feeling like you're trapped in your own skin and now your body's frozen. broken down, you've got nothing left
Aaron #2 ♡ I'm dancing in the dark with you between my arms, barefoot on the grass, listening to our favourite song. When you said you looked a mess, I whispered underneath my breath, but you heard it, darling, you look perfect tonight.
Midas #9 ♡ Nina ♡ Oscar ♡ Family isn't defined only by last names or by blood it's defined by commitment and by love. It means showing up when they need it most. It mens having each other's backs. It means choosing to love each other even on those days when you struggle to like each other. It means never giving up on each other.
Lucas #4 ♡ Took a while, was in denial when I first heard that you moved on quicker than I could've ever, you know that hurt swear for a while I would stare at my phone just to see your name but I don't really care how bad it hurts, when you broke me first.
La nuit est devenue source d’inspiration depuis quelques temps, Olive doit bien l’admettre. Un nouvel événement que jusqu’ici, elle n’avait pas pris en considération mais qui pourtant prenait tout son sens. Elle n’avait plus qu’une hâte, que le soleil se couche pour pouvoir admirer la ville sous la lumière de la lune. Ainsi d’ailleurs, elle avait remarqué que sa vision était plus claire. Plus intense. Il y avait les odeurs aussi, et les mouvements. Tout cela, elle pouvait le sentir à une certaine distance à présent, et cette nouvelle vie, bien qu’étrange, était merveilleuse. Une dizaine d’années, tout au presque que son pouvoir s’était déclenché et qu’elle apprenait à s’en servir discrètement sous les reflets de l’astre nocturne. Elle aimait ça. Cette façon de voir le monde différemment. Cette façon d’être différente finalement. Mais depuis quelques jours, tout s’était décuplé plus que de raison, et la tête lui tournait, la rendant exécrable pour les autres. Elle n’avait aucune idée de ce qui se tramait, mais c’était en train de la rendre dingue. Sa colère avait pris place sur sa patience, tout contrôle quittant son corps. C’est l’esprit embrumé que les détails du pub lui apparaissent comme une solution. La chope de bière lui permettrait sûrement de faire face à une nouvelle menace, à une autre souffrance. Olive rentre dans le lieu toujours plein, s’installe et commande la boisson qui lui permettra de calmer ses névroses. La mousse laisse une trace sur le haut de ses lèvres ce qu’elle efface d’un revers de la main, son regard se posant sur le monde autour d’elle, un peu plus détendue. Elle ne le remarque qu’au deuxième coup d’œil, ayant mis de côté ses instincts pour une simple bière. L’homme lève ses yeux à vitesse régulière sur son profil. A son tour, elle l’observe, d’abord pour être certaine qu’elle est bien la cible de ses œillades. Aucun doute, elle s’offusque plus que de raison sûrement, alors qu’il s’adresse pourtant avec douceur à elle. « Bonsoir. Vous avez un très joli nez. » Olive ça ne lui plaît guère d’être épié ainsi, encore moins de voir son image apparaître sur la feuille blanche maintenant couverte d’encre de l’inconnu. Que lui veut-il vraiment ? Ce serait-elle donc mis à nue à ce point sans vigilance aucune ? Elle se racle la gorge, prête à sortir les dents si nécessaire. Mais elle doit faire attention Olive, les ombres sont vives et sa colère ne demande qu’à se consumer. Elle inspire et expire bien trop fort à son goût pour canaliser ses sentiments avant de faire voler en éclat ce maudit pub. Regrettant de ne être dans l'obscurité de la nuit plutôt qu'ici. « Vous vous fichez de moi ? » Et c'était la version la plus polie qu'elle avait en réserve. « Vous trouvez ça intéressant ? » Elle désigne la feuille du bout de son doigt, un dégout perceptible sur le visage. De son côté, elle ne trouve pas cela amusant du tout Olive. Ça la rend même juste dingue et un tantinet aigrie. Oups.
i'm stronger now
Pretending now that we don't care but tension cuts, cuts the air we're more than scared so lost inside our eyes. We're terrified. Letting my fears show 'til I can face 'em. Letting my tears go 'til I can taste them hell, what do I know where you and I go? Damn it, I hope you come back home..
Cette jeune femme sous tes yeux dégage quelque chose de fort et c’est ça qui t’a donné envie la dessiner. En plus de cette énergie spécial qui rode autour d’elle, il est l’évidence même qu’elle est une véritable beauté. Très agréable et satisfaisant à l’oeil et cela encore plus du fait que la lumière tombe parfaitement sur sa peau claire. Tu te sens malheureusement dans l’obligation de parler quand elle te remarque. Quand tes yeux rencontrent les siens, tu sais que ça ne va pas être un bon point pour toi de la dessiner de la sorte, sans accord, sans préavis. « Vous vous fichez de moi ? » Et voilà, elle confirme verbalement ce que tu avais décelé dans l’expression de son visage. « Vous trouvez ça intéressant ? » La question est plutôt intéressante, ça c’est certain. Tu ne t’attendais pas à une telle interrogation.
« Vous vous êtes installés juste en dessous de la lumière. » Tu lui expliques comme si c’était ça la raison pour laquelle tu fais son portrait. Tu n’arrêtes pas de la dessiner pour autant. Tu as bien compris qu’elle ne va pas te laisser faire bien longtemps mais tu aimes finaliser tes oeuvres pour les mettre dans ton spicilège. « J’étais en train de dessiner ce qu’il y avait dans mon champ de vision et puis vous m’avez bloqué la vue. Je n’ai pas eu d’autres solutions que de changer la direction des traits sur mon papier. » Tu expliques logiquement l’état de la situation qui est tout à fait légitime à ton avis. Elle le comprendra, tu l’espères. Même si ce n’est qu’un beau ramassis de très jolies excuses. Tout aussi beau que la forme de son profil. Tu aimes la vue des belles choses et cette femme là fait parti de ce que tu classes dans cette catégorie. Tes yeux continuent d’aller d’elle à ta feuille de papier. Ton fusain qui trace des détails supplémentaires. Tu t’appliques car tu veux l’impressionnée la jolie si jamais elle veut regarder de plus près l’oeuvre que tu es en train de faire avec elle comme inspiration. C’est flatteur non ? Oui. Tu penses que oui.
Olive Sterling
l'ombre d'elle même
ÂGE : Vingt-neuf ans. (13.11.1995) SURNOM : Oli. STATUT : Célibataire. Pourtant l'impression de pouvoir retrouver le bonheur dans les bras d'un homme. Sensation étrange qu'elle n'arrive pas à comprendre. MÉTIER : Une formation en cours pour obtenir un diplôme d'assistante de direction. Olive se projette enfin dans une autre possibilité de carrière et ça l'enchante. LOGEMENT : Un nouvel endroit à squatter. Actuellement la colocataire de Shiloh au #45 james street, fortitude valley. Elle est toujours sous le choc de cette nouveauté. POSTS : 7056 POINTS : 4240
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Hélen #4 ♡ Feeling like a drop in the ocean that don't nobody notice maybe it's all just in your head. Feeling like you're trapped in your own skin and now your body's frozen. broken down, you've got nothing left
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Midas #9 ♡ Nina ♡ Oscar ♡ Family isn't defined only by last names or by blood it's defined by commitment and by love. It means showing up when they need it most. It mens having each other's backs. It means choosing to love each other even on those days when you struggle to like each other. It means never giving up on each other.
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Olive n’aimait pas être le centre de l’attention, elle aimait encore moins qu’on la remarque. On lui avait précisé toute sa vie qu’il était important qu’elle fasse attention au moindre regard trop long sur elle, sinon, il deviendrait plus facile de reconnaître sa différence. De voir qu’elle n’était qu’à demi-humaine et qu’elle risquait vraiment gros si le reste de sa propre raison venait à se faire mettre au grand jour. Depuis, elle tentait d’être vigilante, et d’éviter les interrogations. Alors oui, il avait été difficile de passer à côté du jeune homme. Difficile de ne pas remarquer que le portrait de la brune prenait forme sous les doigts habiles de cet inconnu. Ça ne lui plaisait pas du tout. Olive l’exprime, sûrement trop abruptement mais elle ne s’en excusera pas de toute évidence. Elle n’est pas là pour se faire un ami, et son impolitesse le précise tant bien que mal. Elle refuse de céder à ce genre de chose, ce ne serait pas bénéfique, bien au contraire. Elle n’est pas à l’aise Olive, pas du tout. « Vous vous êtes installés juste en dessous de la lumière. » Un sourcil se hausse et la surprise de cette évidence transparait sur son visage plus que de raison. Même avec cette sublime lumière, elle n’a pas envie d’être la muse d’un inconnu, ni de qui que ce soit d’ailleurs. Elle n’est pas ce genre de femme Olive, à aimer qu’on la dessine sous toutes les coutures. Oui, elle sait qu’elle est belle, elle sait que son charme séduit, mais ce n’est pas quelque chose qu’elle a choisi, ce n’est pas quelque chose dont elle profite. « J’étais en train de dessiner ce qu’il y avait dans mon champ de vision et puis vous m’avez bloqué la vue. Je n’ai pas eu d’autres solutions que de changer la direction des traits sur mon papier. » Un froncement de sourcil. « Vous êtes en train de me dire que je vous gêne donc et que comme excuse minable ma présence à changer la donne de votre projet initial ? » Elle avait fortement du mal à le croire même si le bénéfice avait une petite chance de se montrer. Il était peut-être temps qu’elle parte. Elle ne risquait que malheur à être présente plus longtemps dans cet environnement. Olive, elle n’avait pas envie de jouer pour faire ressortir le pire d’elle-même. Il valait mieux de ne pas tenter l’expérience de toute évidence. « Vous voulez bien cesser de gribouiller sur votre feuille. » Elle stoppa le crayon en cours de route, ratatinant la feuille d’une trainée noire. Ce va-et-vient la rendait folle et elle sentait le calme l’abandonné. « C’est mon dernier avertissement monsieur. » Elle grogna entre ses lèvres.
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Elle est perplexe vis à vis de ton explication et tu te retiens de sourire. Tu restes dans ton personnage. Dans tes stupidités qui font du sens également à ton sens. Tu te sens malin, oui, c’est bien dans ces moments là que tu apprécies les échanges. Tu n’en as pas tant que ça ces dernières semaines car tu fais plutôt profil bas, mais tu n’es pas à ton premier verre et ça peut se ressentir dans cette légèreté que tu as à discuter avec la première venue. « Vous êtes en train de me dire que je vous gêne donc et que comme excuse minable ma présence à changer la donne de votre projet initial ? » Tu fais oui de la tête pour confirmer qu’elle a très bien compris ce que tu viens de dire. « Vous avez bien entendu. » Elle a l’air d’avoir besoin de grande clarté. Faut dire que tu te joues d’elle, il y a de quoi se questionner. « Vous voulez bien cesser de gribouiller sur votre feuille. » Tu t’arrêtes, tu accroches tes yeux aux siens, mais sans lever ton fusain de ta feuille. Juste en arrêtant de dessiner. « C’est mon dernier avertissement monsieur. » Tu commences à revenir à la raison. Est-ce que cette personne sous tes yeux aurait des capacités que tu ne peux pas voir à l’oeil nue. « Ok. » Tu poses ta feuille et ton fusain sur le comptoir du bar. « Vous voulez le dessin ? Ou du moins, ce qu’il y en a. » Car ce n’est pas terminé mais c’est joli, c’est bien représentatif, on peut la reconnaitre. Tu signes en bas de la feuille. Sev, 1900. « Je vous l’offre gratuitement bien évidement. » Tu ne dirais pas non pour quelques dollars si jamais le coeur lui en dit. Tu en doutes, mais qui ne tente rien n’a rien. Tu restes un peu déçu de voir que tes beaux yeux et ta belle gueule n’aident en rien dans cette démarche. Tu remets l’attention sur ta bière que tu prends pour en boire deux longues gorgées. Vraiment un de tes plus grands plaisir dans cette vie, l’alcool.
Olive Sterling
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ÂGE : Vingt-neuf ans. (13.11.1995) SURNOM : Oli. STATUT : Célibataire. Pourtant l'impression de pouvoir retrouver le bonheur dans les bras d'un homme. Sensation étrange qu'elle n'arrive pas à comprendre. MÉTIER : Une formation en cours pour obtenir un diplôme d'assistante de direction. Olive se projette enfin dans une autre possibilité de carrière et ça l'enchante. LOGEMENT : Un nouvel endroit à squatter. Actuellement la colocataire de Shiloh au #45 james street, fortitude valley. Elle est toujours sous le choc de cette nouveauté. POSTS : 7056 POINTS : 4240
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Lucas #4 ♡ Took a while, was in denial when I first heard that you moved on quicker than I could've ever, you know that hurt swear for a while I would stare at my phone just to see your name but I don't really care how bad it hurts, when you broke me first.
Olive, elle n'a pas envie de faire une scène, elle n'a pas non plus envie de se faire remarquer plus que nécessaire. Alors, elle prend sur elle, se concentrant sur sa respiration pour ne pas s'énerver. « Vous avez bien entendu. » Elle ne réplique pas Olive, c'est mieux ainsi. Elle n'est pas aussi bête qu'elle pourrait le paraitre au premier abord, ce jeu n'est que d'une évidence qu'elle préfère se faire discrète. A la place, elle convient qu'il est préférable qu'il cesse son gribouillage pour de bon. « Ok. » Bien, voilà enfin quelque chose d’intelligent de la part de l'inconnu. Il est préférable qu'il ne la fasse pas sortir de ses gonds, un accident étant vite survenu autrement. « Vous voulez le dessin ? Ou du moins, ce qu’il y en a. » Elle lève les yeux au ciel à cette question. « Non, merci. Gardez-le en mémoire la prochaine fois qu'il vous prendra de prendre n'importe qui en modèle sans que le jour ne se lève. » Les malédictions et les incantations, ce n'était pas son truc. Elle-même subissait finalement la nuit sans fin sur Brisbane. Chose qui ne lui plaisait guère malgré cette forme mystique décuplé en elle. « Je vous l’offre gratuitement bien évidement. » Même la charité ne lui fera pas changer d'avis. Olive, elle n'a pas besoin d'un esquisse de portrait d'elle pour savoir à quoi elle ressemble. Et elle n'a surtout pas envie d'accepter ce cadeau empoisonné. « Je vous remercie monsieur. Vous devriez rentrer maintenant, la nuit ne fait que commencer. » Elle lui fit un clin d’œil, réglant les deux boissons au passage et s'extirpant de la salle bondé. Elle n'avait plus rien à faire ici, et elle ne voulait surtout pas y rester une minute de plus. La sorcière n'était pas dans son élément et elle devait redescendre avant que le pire n'arrive. L'humain était prétentieux et se ferait de toute manière dévorer tôt ou tard à être si insolent. Ce n'était donc plus son problème à moins qu'il ne revienne. Demain serait différent de toute évidence et la nuit éternelle.
rp terminé.
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