| (moventry #9) i don't wanna face the music, but, i still wanna dance with you |
| ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
(2023) greta #2 › swann #6 › swann #7 › eleonora #3 › mariage rowann › greta #3 › swann #9 › greta #4 (2016) › greta #5 › greta #6 › swann #10 › corey #3 › noor › swann #13 (2011) › greta #9 › malone #2 › london gang › emery #1 › mickey
(2022) rory #1 › murphy #2 › seth #3 › swann #3 › vivian › eleonora #2 › swann #4 › greta #1 (2013) › channing › malone #1 › swann #5
(2021) swann #1 › murphy #1 › maisie › martin › seth #2 › eleonora #1 › swann #2
(flashback) greta #12 (fb)
(ua gothique) greta #7 › swann #11 › ruben #1 › itziar › ruben #3 › corey #1 › greta #8 › ezra #1 › ezra #2 › ruben #4 › cesar #1 › tessa › ruben #6 › corey #2 › cesar › ruben #7 › itziar #2 › abe › corey #4
(ua space) swann #12 › ruben #2 › ruben #5 (ua space)
(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Dim 15 Oct 2023, 16:14 | |
| i don't wanna face the music, but, i still wanna dance with you « Il faudrait prévoir un débriefing très rapidement Monsieur Coventry. » Il l’avait entendu répéter cela durant tout le trajet en avion. Il était sur le point de s’impatienter au point de cracher des horreurs au visage de sa collègue. « J’ai bien compris Jane ! » Et si habituellement Arthur était le premier à dire que personne ne l’attendait, la donne avait quelque peu changer. « Est-ce qu’il va falloir que je vous force à prendre votre après-midi ? » Arthur n’a jamais été le gentil dans l’histoire. Il avait débarqué dans les bureaux australiens emplis d’une colère indomptable qu’il avait laissé répercuter sur tous ceux qui travaillaient là. S’il s’était laissé identifier comme un branleur, sa réputation avait pris un virage à 360 degrés dès l’instant où il s’était accaparé ce nouveau dossier. Arthur n’était pas un idiot sans diplôme, il avait tout appris des ficelles du métier et si la terreur n’avait jamais été la solution, maintenant, il avait à ses côtés une équipe qui n’osait jamais le contredire. Cela avait ses avantages, mais aujourd’hui, alors que leur avion s’apprêtait à atterrir, Arthur n’avait aucun désir à retourner s’enfermer dans un bureau. Il avait d’autres priorités pour la première fois depuis une éternité. « J’ai quelque chose de personnel à régler. » Dans un premier temps, Arthur ressentait le besoin irrépressible de se rendre à une réunion après ces derniers jours à jouer avec le feu de son addiction. Et finalement, il avait promis à Greta de venir la voir dès qu’il aurait remis un pied à Brisbane. Si sa collègue parue surprise, elle sut s’abstenir de tout commentaire. « Demain à la première heure Jane. » Ils savaient l’un comme l’autre qu’Arthur n’avait pas la même notion de la première heure, mais cela était désormais inscrit dans les agendas.
Il avait quitté le train quelques arrêts avant sa destination, envieux de pouvoir se dégourdir les jambes et anxieux de ce que sa promesse engendrait. Il n’avait pas revu Greta depuis leur voyage au Japon. Ils s’étaient échangé plusieurs messages, notamment suite aux articles au sujet de la jeune femme, mais aucun d’entre eux n’avait évoquer ce voyage. Il n’avait aucune idée de ce qu’il devait faire, de la manière dont il devrait se comporter avec elle. Si elle ne lui avait pas répété à de multiples reprises être complètement angoissée par ce qui était en train de se dérouler dans sa vie, il ne se serait même pas proposé à passer. Arthur n’était pas idiot, le sujet allait arriver sur la table à un moment donné. Il n’était clairement pas paré à y faire face. Son emploi du temps ne lui avait laissé aucun temps libre depuis leur retour. Il s’était noyé dans le travail pour mieux palier à toutes ces pensées qui auraient pu venir l’intoxiquer. Mais la semaine s’était écoulée et désormais, il se devait de revenir mettre un pied dans la réalité.
Il s’était assuré à plusieurs reprises, comprendre ici une dizaine de sms, que Greta était bel et bien seule chez elle. S’il voulait s’assurer que tout allait bien pour elle, il n’avait aucunement envie de se retrouver nez à nez avec son ex beau-frère. Maintenant, qu’il se trouvait au pied de l’immeuble, Arthur n’était plus sûr de rien. Faire demi-tour viendrait à ruiner leur complicité retrouver, prétexter un empêchement de dernière minute ferait de lui le dernier des connards. Il se devait de grimper les étages, mais il redoutait de se trouver à nouveau face à Greta. Avant de s’échapper dans le sens inverse, il s’efforça de monter dans l’ascenseur. Faisant les cent pas, perdu dans ses propres pensées, il dut sortir précipitamment de l’appareil, manquant de se faire refermer les portes sur le nez. Ce n’était qu’une visite de courtoisie, parce qu’elle l’avait appelé lui et qu’il lui devait bien cela. Rien de plus.
Lorsqu’elle ouvrit la porte, Arthur eut la sensation de se retrouver court-circuité. Incapable de savoir s’il devait lui sourire, la prendre dans ses bras ou bien l’embrasser. Le tout résultant dans un signe de main étrange qui lui donna envie de s’enterrer dans un trou. « Salut. » Tout simplement. Alors qu’il était là, à peine sorti de son avion, encore en costume et avec sa valise à la main. « Comment est-ce que tu vas ? » C’était bien tout ce qui lui importait dans tout cela, car face à lui, Greta paraissait épuisée. Il ne l’avait jamais vu ainsi. |
| | | ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280 TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/a GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenience DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [ 09/08]
ua (slasher) Moventry #10
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15 #16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
RPs EN ATTENTE : Riley #1
RPs TERMINÉS : (2024) Mallen #5 • Kieran #1 • Moventry #12 • Swann #8 • Swann #9 • Moventry #14 • Joseph • Marley #3 • Lena #2 • Mallen #6 • Emery #4 • Moventry #13 • Swann #10 • Moventry #15 • Izan #1 • Swann #11 • Izan #2
- ua:
AVATAR : Ashley Benson CRÉDITS : avatar : auselesslovethings / gifs : zazou (crackship); gracgifs (signature) goddamnmuses (profil), drvgonqueen - lcrnasgifs - zigglerscesaro - may0osh - cheekeyfire (profil) / ub : paindep/stairsjumper DC : Didi & LewLew & NicoPSEUDO : WisePenguin INSCRIT LE : 28/07/2022 | (#)Mer 18 Oct 2023, 17:18 | |
| I don't wanna face the music but I still wanna dance with you ft @Arthur Coventry Dans son loft encore déserté par Carmine qui avait enfin jugé nécessaire de reprendre le cours normal de sa vie après une longue période de convalescence, Greta faisait les cent pas. Son estomac la tiraillait, son cerveau était en ébullition et l’attente devenait de plus en plus pesante, chaque seconde la séparant du moment fatidique ajoutant à son niveau de nervosité. L’écrivaine faisait de son mieux pour se convaincre que tout se passerait bien et que malgré l’étape qu’ils avaient franchie, ils réussiraient à faire la part des choses. Il venait pour être présent pour elle, un pas en avant qui venait confirmer combien il était sincère avec elle sans que cela ne signifie quoique ce soit. Ses pensées se mélangeaient et allaient bien trop vite pour qu’elle ne puisse réussir à garder son calme. Elle s’était préparée un thé, cherchant à s’occuper alors qu’elle regardait son téléphone négligemment. Et lorsqu’il avait frappé à sa porte, elle avait sursauté en renversant presque la boisson comme si elle n’avait pas été en train d’attendre ce bruit depuis qu’elle s’était levée le matin même.
« Salut. » Il ne l’avait pas embrassé. C’était un constat sans jugement de valeur, mais la pensée avait traversé son esprit. Et une partie d’elle savait que cela annonçait le début de quelque chose qui la dépassait, parce que cela signifiait que c’était ce qu’elle aurait attendu de lui quand elle savait pertinemment que c’était impossible. Ce n’était pas une réaction digne d’Arthur, alors, tentant de lutter contre la déception qu’elle ressentait malgré elle, Greta lui avait accordé un sourire presque timide. « Tu arrives directement du boulot ? » Le constat était simple, sa valise à la main et vêtu d’un costume, il ne pouvait que revenir du boulot. Un léger sourire s’était dessiné sur son visage en le regardant un peu plus attentivement, elle avait toujours adoré le voir rentrer avec un costume qu’il ne supportait pas et le voir ouvrir les premiers boutons de sa chemise pour se laisser un peu respirer. Ses yeux s’étaient fermés et avaient quitté sa chemise pour se concentrer sur le mur à côté de lui avant de se tourner, tout dans son attitude reflétait la timidité avec laquelle elle l’accueillait aujourd’hui. Ils avaient vécu des tas de choses auparavant et pourtant, c’était cette parenthèse japonaise qui prenait le dessus, la laissant peu assurée quant à l’attitude à adopter. « Ça pressait pas, tu sais, tu pouvais prendre le temps de repasser chez toi, j’aurais attendu. » Même si elle ressentait une certaine hâte depuis qu’elle l’avait eu au téléphone et que le son de sa voix avait sonné différemment. Greta ne savait pas réellement comment interpréter de le voir venir aussi vite, était-ce parce que lui aussi, avait hâte, ou simplement parce que prendre le temps de repasser chez lui l’aurait convaincu de ne pas venir la voir ? Il lui avait dit la veille, de ne pas réfléchir, et pourtant, son cerveau refusait de la laisser en paix.
Avant de le voir se braquer parce qu’il interprétait à nouveau ses mots comme des reproches, elle était allée chercher une tasse pour lui servir le même thé qu’elle était en train de boire. « Tiens. Merci d’être venu, et d’avoir demandé comment j’allais dès que tu as vu. » Un remerciement qui aurait pu être adressé à quiconque aurait réagi comme il le faisait, elle qui s’efforçait de le traîter comme n’importe quel autre ami. C’était difficile parce qu’à chaque fois qu’elle croisait son regard, elle le reposait immédiatement sur la fumée qui sortait de sa tasse. Greta avait appris à l’apprivoiser bien des années auparavant et elle se retrouvait à nouveau là, à ressentir une attirance telle qu’elle n’était plus capable de se comporter naturellement en sa présence. Elle s’était assise dans le canapé, repliant ses jambes sur le côté sans réellement s’inquiéter de ce dont elle avait l’air. Elle ne dormait plus, contrariée par la presse et réveillée par les souvenirs de cette nuit-là. « Comment est-ce que tu vas ? » La blonde avait pris une grande inspiration, c’était une question basique et il lui posait parce qu’il était plus simple de commencer par des banalités et qu’il était venu pour une raison bien précise. « J’essaie de me faire une raison, ça va passer. C’est juste le temps que les gens assimilent que je suis une Sighbury mais quand ils réaliseront que y’a que mon nom d'intéressant chez moi, ils arrêteront. J’imagine ? » Sans jamais que son regard ne trouve le sien, elle tentait d’ignorer les effluves de son parfum qui parvenaient jusqu’à elle et lui donnaient envie de se blottir contre lui car elle savait que cela suffirait à ce que ses inquiétudes s’échappent. « Il y avait du monde, en bas ? » avait-elle demandé, cherchant à se rassurer. gif (c) harley;drvgonqueen just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
(2023) greta #2 › swann #6 › swann #7 › eleonora #3 › mariage rowann › greta #3 › swann #9 › greta #4 (2016) › greta #5 › greta #6 › swann #10 › corey #3 › noor › swann #13 (2011) › greta #9 › malone #2 › london gang › emery #1 › mickey
(2022) rory #1 › murphy #2 › seth #3 › swann #3 › vivian › eleonora #2 › swann #4 › greta #1 (2013) › channing › malone #1 › swann #5
(2021) swann #1 › murphy #1 › maisie › martin › seth #2 › eleonora #1 › swann #2
(flashback) greta #12 (fb)
(ua gothique) greta #7 › swann #11 › ruben #1 › itziar › ruben #3 › corey #1 › greta #8 › ezra #1 › ezra #2 › ruben #4 › cesar #1 › tessa › ruben #6 › corey #2 › cesar › ruben #7 › itziar #2 › abe › corey #4
(ua space) swann #12 › ruben #2 › ruben #5 (ua space)
(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Lun 23 Oct 2023, 15:11 | |
| i don't wanna face the music, but, i still wanna dance with you Ses yeux tombèrent directement sur ses traits tirés. Greta lui paraissait épuisée, comme si le sommeil s’était absenté, pour mieux laisser ses nuits se faire hanter par de trop nombreuses pensées. Elle n’avait plus rien de celle qu’il avait quitté après le Japon. Et cela le fit hésiter. Il n’avait rien planifié, il aurait pu s’approcher, la prendre dans ses bras. L’embrasser ? Mais il resta gelé sur place, simplement capable de lui adresser un maigre sourire. Il ne voulait pas lui faire miroiter quoi que ce soit, ils n’avaient même pas parlé des conséquences de tout cela. Elle pensait encore à cette nuit, lui aussi. Rien de plus n’avait été dévoilé. Arthur ne voulait pas la brusquer, encore moins lui faire croire qu’il s’était simplement déplacé dans le but dans profiter. Aujourd’hui, il se voulait être son ami. Celui qui l’avait appelé dès qu’il avait lu les articles, celui auprès de qui elle s’était quelque peu confiée. Ils pouvaient au moins être capables de s’accorder cela, le reste pouvait attendre. « Tu arrives directement du boulot ? » Est-ce que le costume et la valise n’étaient pas un indice. « Tout droit de l’aéroport. » Il lui avait indiqué avoir été à Sydney ces derniers jours. Lorsqu’il l’avait eu au téléphone, il lui avait assuré qu’il serait présent pour elle dès qu’il aurait remis les pieds en ville. Arthur s’était évertué à tenir sa promesse. « Ça pressait pas, tu sais, tu pouvais prendre le temps de repasser chez toi, j’aurais attendu. » Laissant sa valise dans l’entrée et déposant sa veste de costume sur la poignée, il se redressa juste à temps pour voir le regard de Greta lui échapper. Encore une fois. Elle s’efforçait de poser ses yeux de partout dans l’appartement, sauf sur son visiteur. Il aurait pu s’en amuser, mais cela faisait naître une certaine angoisse qu’il aurait préféré ne même pas relever. « On s’est pas parlé pendant des années, mais j’arrive encore à savoir quand quelque chose te travaille vraiment. » Autrement dit, à demi-mot, il s’inquiétait de la savoir autant atteinte par ce qu’il trouvait être qu’une petite broutille. Il n’avait pas aimé le son de sa voix et quelque chose lui faisait dire qu’il avait eu raison de venir de suite. Même si elle continuait à éviter son regard comme la peste.
Il l’avait suivi jusqu’à la limite de la cuisine, sans trop savoir quoi faire de sa personne. D’un geste habile, il déboutonna les deux premiers boutons de sa chemise, avant de rouler les manches sur ses avant-bras. Prenant appui sur le comptoir, il l’observa s’agiter pour lui servir une tasse de thé. Elle lui paraissait distante, incapable de savoir si elle voulait bien de sa présence ou si quelque part, dans un coin de sa tête, se rejouait leur nuit passer ensemble. Est-ce qu’il avait imposé la distance en premier ? Il n’en avait aucune foutue idée, lui qui n’a jamais su interpréter tous les signes que les femmes pouvaient lire entre deux mots et un soupir. Passant une main sur son visage, il finit par offrir un léger sourire à Greta alors qu’elle lui tendait une tasse fumante. « Tiens. Merci d’être venu, et d’avoir demandé comment j’allais dès que tu as vu. » Sa main libre vint se poser sur son avant-bras, ses doigts resserrant légèrement leur étreinte. « C’est normal. » Non, ça ne l'était plus vraiment entre eux. Et Greta lui fit comprendre quand dans la seconde suivante, elle partait se réfugier sur le canapé, le laissant planter là, tel un idiot. Il allait devoir faire avec les esquives et les non-dits visiblement.
Il n’était pas venu pour l’embêter, mais bel et bien pour s’assurer de son bien-être. Alors il vint se percher sur le bout du canapé, assez loin pour imposer une distance, mais pas trop non plus. « J’essaie de me faire une raison, ça va passer. C’est juste le temps que les gens assimilent que je suis une Sighbury mais quand ils réaliseront que y’a que mon nom d'intéressant chez moi, ils arrêteront. J’imagine ? » Fronçant les sourcils, il vint déposer sa tasse sur la table basse pour au final, venir s’asseoir juste à côté de Greta. « C’est des conneries tout ça G. » Qu’est-ce que les gens pouvaient bien en avoir à foutre de son nom de famille ? Il n’aimait pas qu’elle se dénigre ainsi, mais elle semblait si fragile à cet instant, qu’il préféra ne pas insister. Pour l’instant. « Il y avait du monde, en bas ? » Il n’avait pas l’intention de lui mentir, cela ne ferait que lui desservir. « Deux abrutit. » L’un d’entre eux avait un appareil photo autour du cou. « Ils m’ont demandé si je te connaissais. » Et ils n’avaient pas été déçus de la réponse. « J’ai répondu que personne de ce nom vivait ici, avant de leur adresser quelques autres joyeusetés. » Juste pour le plaisir. Arthur savait endosser le rôle du connard à merveille. Et surtout, il cherchait à la faire rire ou au moins lui arracher un sourire. Ce n’était pas aisé et il ne savait trop quoi faire pour l’aider à se sentir mieux. L’une de ses mains glissa vers elle sans jamais oser toucher ses doigts.
Les secondes défilèrent dans un silence qui lui laissa le temps de peser le pour et le contre. Arthur n’a jamais su tenir sa langue lorqu’il avait quelque chose en tête. « J’ai repensé à ce que tu m’a dit l’autre jour. » Il n’avait aucune idée de ce qui avait déclenché un tel shitstorm autour d’elle, mais il avait quelques doutes. Il ne voyait aucune raison, qui pouvait bien en avoir quelque chose à faire de ses origines, de son milieu social ? Quelqu’un avait cherché à se venger et Arthur avait une idée bien précise du coupable. « C’est pas ton espagnol qui aurait eu envie de se venger ? » Il ne fit même pas l’effort de cacher son mépris. |
| | | ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280 TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/a GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenience DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [ 09/08]
ua (slasher) Moventry #10
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15 #16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
RPs EN ATTENTE : Riley #1
RPs TERMINÉS : (2024) Mallen #5 • Kieran #1 • Moventry #12 • Swann #8 • Swann #9 • Moventry #14 • Joseph • Marley #3 • Lena #2 • Mallen #6 • Emery #4 • Moventry #13 • Swann #10 • Moventry #15 • Izan #1 • Swann #11 • Izan #2
- ua:
AVATAR : Ashley Benson CRÉDITS : avatar : auselesslovethings / gifs : zazou (crackship); gracgifs (signature) goddamnmuses (profil), drvgonqueen - lcrnasgifs - zigglerscesaro - may0osh - cheekeyfire (profil) / ub : paindep/stairsjumper DC : Didi & LewLew & NicoPSEUDO : WisePenguin INSCRIT LE : 28/07/2022 | (#)Lun 23 Oct 2023, 17:37 | |
| I don't wanna face the music but I still wanna dance with you ft @Arthur Coventry Greta redoutait le moment autant qu’elle l’attendait et elle n’en pouvait plus de ces sentiments contraires qu’elle ressentait depuis le mariage de Swann. Ce nouveau problème auquel elle avait dû faire face en revenant du Japon l’éloignait un temps de ces pensées-là mais elle y revenait bien trop rapidement, lui rappelant la façon dont elle l’avait aimé à l’époque. Elle l’avait dit à demi-mots au mariage, il était celui qui était parti, l’embrasser aurait été naturel pour elle qui était restée là, seule, sans jamais réellement savoir comment se comporter avec les sentiments qu’il lui avait laissés. Et le voir debout dans son loft, présent à nouveau dans sa bulle, avait quelque chose de déroutant. « Tout droit de l’aéroport. » La jeune femme n’avait pu contrôler ce sourire qui venait souligner à quel point il lui donnait l’impression d’être importante. Pourtant, il aurait pu donner la priorité à n’importe quoi, sauf à ce qui la tiraillait, mais il avait été le premier à se soucier d’elle et cela était à nouveau un paradoxe : elle aurait pu se sentir incroyablement seule, mais puisque lui avait été là, plus rien ne comptait réellement. « On s’est pas parlé pendant des années, mais j’arrive encore à savoir quand quelque chose te travaille vraiment. » Elle avait hoché la tête avec un sourire timide, n’osant pas vraiment relever ce pas qu’il faisait vers elle. Elle lui avait versé un thé et lui avait apporté la tasse, tâchant de se comporter le plus naturellement possible. « C’est normal. » Et elle aurait encore pu tenter de ne pas accorder d'importance à son comportement pour se protéger s’il n’avait pas associé le geste à la parole. Sa main sur son avant-bras l’avait fait trouver son regard, par réflexe. « Ça compte pour moi. »
Il lui avait demandé comme elle allait, et c’était difficile de réellement l’exprimer. « C’est des conneries tout ça G. » Sa spontanéité avait eu le mérite de la faire sourire comme la façon qu’il avait de se rapprocher d’elle. « Je sais hin que j‘exagère et que c’est pas si grave. Mais j’appréciais la tranquillité et je voulais me prouver que je pouvais réussir seule. C’est rien. » Elle ne voyait aucun problème à exposer ses défauts et ses faiblesses face à Arthur, il les connaissait déjà toutes et ne pouvait pas les utiliser à plus mauvais escient qu’au Japon. Ils avaient franchi une limite et si elle refusait d’exprimer le moindre regret, la tension qui régnait entre eux venait compliquer une discussion qui aurait dû être plus facile à avoir. Le fond du problème était complexe pour Greta, mais le fait qu’elle soit là à en discuter avec Arthur rendait tout encore plus flou. « De toute façon depuis que Carmine est arrivé et vit ici, je pense qu’il y avait des doutes. Les gens auraient fini par réaliser à un moment ou un autre, mais ça me tue de me dire que j’ai été naïve au point de me faire balancer quand j’avais le dos tourné. » Greta faisait de son mieux pour utiliser toutes les métaphores qui lui passaient par la tête pour éviter d’évoquer trop clairement leur week-end. Elle était venue se pincer l’arête du nez en faisant de son mieux pour ne pas attraper la main d’Arthur qui s’était dangereusement rapprochée d’elle. Elle aurait eu envie de poser sa tête sur son épaule, d’agir pour se changer les idées plutôt que de parler comme lui aimait tant le faire avant. Mais elle ne pouvait pas, parce qu’elle devait refuser d’accorder trop d’importance à ce qu’il s’était passé lorsqu’ils étaient sur un tout autre fuseau horaire. « Je vais voir le côté positif, j’ai été chanceuse que personne fasse le lien entre les deux livres avant maintenant. C’était sympa de fuir l’élite pendant quelques années, tu sais de quoi je parle. » Elle s’était tournée vers lui pour lui sourire, cherchant à nouer une complicité toute simple, qui ne sous-entendait rien d’autre. Greta aurait été naïve de penser qu’elle pourrait continuer à rester une Moore à Brisbane alors qu’elle vivait sous le même toit que Carmine Sighbury et qu’elle était apparue sur les plateaux aux côtés de Rhett. Son livre s’était peu exporté, les informations, elles, ne connaissaient aucune frontière, ce qui se confirmait par la présence de photographes en bas de chez elle. « Deux abrutit. » Et elle pouvait assez facilement imaginer la façon dont Arthur s’était occupé d’eux - il savait parfaitement se faire comprendre en un regard lorsque cela était nécéssaire. « Ils m’ont demandé si je te connaissais. » avait-il continué. « J’ai répondu que personne de ce nom vivait ici, avant de leur adresser quelques autres joyeusetés. » Greta avait secoué la tête en riant, il n’avait jamais accordé d’importance à ce que l’on pouvait penser de lui et il n’avait pas changé. « T’aurais au moins pu me ramener un de leur appareil photo en trophée. » Cela ne servait probablement à rien d’essayer de détendre l’atmosphère, mais elle ne se forçait pas à plaisanter avec lui, c'était naturel. « Instagram a été plus rapide qu’eux de toute façon, tout le monde sait que j’étais avec toi le week-end dernier. » Sa tête s’était baissée avant que son regard ne vienne à nouveau timidement croiser le sien. Cela ne signifiait rien, mais il était important de souligner qu’il était maintenant notoire pour beaucoup de monde que ces deux-là avaient enterré la hache de guerre.
« J’ai repensé à ce que tu m’a dit l’autre jour. » avait-il lancé après un moment de silence qui lui avait semblé des heures. « C’est pas ton espagnol qui aurait eu envie de se venger ? » « Mon espagnol ? » Elle avait arqué un sourcil en se tournant vers lui, réussissant un peu plus à oublier ce qu’elle ressentait alors qu’ils poursuivaient la conversation. « Putain. Sergio. » Et sa première pensée avait été envers Joseph, qu’elle avait accusé à tort. Elle cherchait un coupable, et en réalisant combien elle était tombée dans les excès, prenait également conscience du trop d’importance qu’elle avait accordé à tout cela. Son nom était maintenant notoire mais ils étaient à Brisbane et sa famille avait bien moins d’impact ici, le fardeau serait probablement bien différent de celui qu’elle avait dû porter toute sa vie à Londres. « C’est forcément lui, pourquoi j'y ai pas pensé ? Et il veut pas se venger mais quand j’ai signé le contrat ça le faisait chier que je publie pas sous Sighbury. » Parce que cela lui évitait sûrement quelques milliers d’exemplaires de vente, tout au plus, le succès de Nine reposant sur la notoriété de Rhett, pas sur la sienne qui était extrêmement subjective. Et la tournure de la discussion venait de la ramener quelques années en arrière, quand ils tentaient de se confier sur les parties les plus sombres de leur passé et avouer à son petit-ami de l’époque ce qu’elle avait fait n’avait pas été la chose la plus facile. Mais pourtant, elle aurait adoré avoir encore autant d’aplomb pour se venger qu’elle en avait eu à ce moment-là. « Je voulais absolument trouver le coupable mais maintenant que je l’ai et que je sais que je peux rien contre lui… » Elle n’avait pas fini sa phrase, elle était frustrée, et l’énervement prenait le dessus sur l’appréhension de ce à quoi ressemblerait sa vie maintenant qu’elle ne pouvait plus tenter de publier sans susciter d’intérêt pour autre chose que sa plume. Et alors qu'elle se perdait dans ses pensées, elle avait réalisé qu'Arthur, lui, était resté silencieux et que cela ne présageait rien de bon. « Promets-moi de rester en dehors de ça, ça en vaut pas la peine. Ca va aller. » avait-elle dit, anticipant les réactions de l'anglais. Elle n'était pas en train de venir confirmer être importante pour lui, elle savait simplement qu'il pouvait parfois être beaucoup trop impulsif. Et cette fois-ci, elle aussi avait associé les gestes à la parole en effleurant ses doigts comme elle l’avait fait à Suzuka, lui laissant le choix du prochain mouvement. Elle n’osait pas en faire plus, cherchant simplement à tenter de maîtriser ses émotions à lui quand elle ne savait même pas gérer les siennes. just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
(2023) greta #2 › swann #6 › swann #7 › eleonora #3 › mariage rowann › greta #3 › swann #9 › greta #4 (2016) › greta #5 › greta #6 › swann #10 › corey #3 › noor › swann #13 (2011) › greta #9 › malone #2 › london gang › emery #1 › mickey
(2022) rory #1 › murphy #2 › seth #3 › swann #3 › vivian › eleonora #2 › swann #4 › greta #1 (2013) › channing › malone #1 › swann #5
(2021) swann #1 › murphy #1 › maisie › martin › seth #2 › eleonora #1 › swann #2
(flashback) greta #12 (fb)
(ua gothique) greta #7 › swann #11 › ruben #1 › itziar › ruben #3 › corey #1 › greta #8 › ezra #1 › ezra #2 › ruben #4 › cesar #1 › tessa › ruben #6 › corey #2 › cesar › ruben #7 › itziar #2 › abe › corey #4
(ua space) swann #12 › ruben #2 › ruben #5 (ua space)
(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Sam 28 Oct 2023, 12:55 | |
| i don't wanna face the music, but, i still wanna dance with you Il voyait son sourire en demi-teinte. Toutes les hésitations qui venaient s’imprimer dans ses gestes. Il avait l’impression de retrouver la jeune femme qu’il avait connu au tout début, quand tout était encore si instable, qu’ils ne savaient dans quelle direction ils se dirigeaient. Il se souvenait de ses propres hésitations de l’époque et de ce qu’il ne voulait plus gâcher désormais. « Ça compte pour moi. » Des mots qu’elle ne pouvait dire à la légère, une affirmation qu’il accueillit dans un sourire. Il avait fait la promesse de venir, l’avait tenu et était récompensé par l’assurance que tout cela n’était pas vain. Tout était encore étrange entre eux, les silences emplis de non-dits qu’il faudrait adresser à un moment ou un autre. Mais pour le moment, Arthur se devait d’écouter tout ce qui était venu la chambouler cette dernière semaine.
« Je sais hin que j‘exagère et que c’est pas si grave. Mais j’appréciais la tranquillité et je voulais me prouver que je pouvais réussir seule. C’est rien. » Fronçant les sourcils, il cherchait à comprendre ce qui avait bien pu l’amener à continuer à penser ainsi. « Ce n’est pas chose faite ? » Elle avait réussi, avec un nom de famille ou sans. Elle avait publié sa biographie sous son nom d’emprunt, le succès avait été au rendez-vous, un film allait même sortir en adaptation. Tout cela n’était que la traduction d’une réussite à ses yeux. « De toute façon depuis que Carmine est arrivé et vit ici, je pense qu’il y avait des doutes. Les gens auraient fini par réaliser à un moment ou un autre, mais ça me tue de me dire que j’ai été naïve au point de me faire balancer quand j’avais le dos tourné. » Difficile de vivre sous le même toit que quelqu’un qui n’avait de cesse d’exploiter son nom de famille sans que personne ne fasse le moindre lien d’affiliation, c’est certain. « Je vais voir le côté positif, j’ai été chanceuse que personne fasse le lien entre les deux livres avant maintenant. C’était sympa de fuir l’élite pendant quelques années, tu sais de quoi je parle. » Il avait été le premier à l’inciter à le faire. Fuir leur appartenance, l’héritage qui était forcément le leur. « Notre héritage finira toujours par nous rattraper. » Arthur ne pouvait plus prétendre lui qui travaillait désormais pour l’entreprise de son père. Il s’était laissé rattraper bien avant elle, s’était laisser à nouveau emprisonner sans même sourciller. Un deal pour un peu de tranquillité, pour ne pas avoir à changer de train de vie. « Mais Greta, tout ça. » Il agita sa main dans l’air. « Ça n’enlève en rien le succès qu’a eu ton livre. » Ce n’est pas son nom de famille qui avait pris la plume. « C’est ton travail, ton écriture, pas le résultat d’un loto de la chance. » Un peu, peut-être, en ce qui concernait son premier, mais le second ? Elle avait réussi par elle-même. « Oublie pas ça. » qu’il lui affirma dans un sourire qui ne laissait aucune place à la discussion. Il tenait à ce qu’elle se souvienne, de tous ses efforts, de ce qu’elle avait entrepris pour réussir par elle-même.
Lui s’assurerait qu’elle puisse ne pas être trop atteinte par ce que les vautours pouvaient bien penser de tout cela. « T’aurais au moins pu me ramener un de leur appareil photo en trophée. » Il eut un rire amusé. « Pour me récolter un procès ? » Non, il avait donné dans son adolescence. Il ne comptait plus le nombre d’appareils qu’il avait dû rembourser. Cela se devait de rester une période révolue. « Instagram a été plus rapide qu’eux de toute façon, tout le monde sait que j’étais avec toi le week-end dernier. » Il la vit baisser les yeux, comme si cela se devait d’être une honte. « Et alors ? » Ne lui avait-il pas toujours appris à se moquer du regard des autres ? « Ça ne regarde que nous. » Ce qui avait pu se passer durant ce week-end, la raison qui les avait poussés à partir ensemble. Chacun pouvait y aller de sa petite spéculation, mais en quoi cela devrait les atteindre ? « C’était un bon weekend, non ? » Il était peut-être temps d’adresser l’éléphant dans la pièce.
Peut-être pas immédiatement en réalité, quand Arthur avait besoin de partager certaines de ses réflexions avec Greta. Il ne cherchait en rien à la blesser, mais il avait cette idée qui traînait dans ses pensées en continu depuis ce coup de fil. « Mon espagnol ? » Fronçant les sourcils, il l'incita à réfléchir un peu plus d’un seul regard. « Putain. Sergio. » Ah ! Elle n’avait donc pas oublié ce connard. « C’est forcément lui, pourquoi j'y ai pas pensé ? Et il veut pas se venger, mais quand j’ai signé le contrat ça le faisait chier que je publie pas sous Sighbury. » Arthur n’était pas surpris, ce mec n’avait fait que prendre l’avantage sur elle. Il avait manipulé une gamine de dix-huit ans à coucher avec lui, avant de lui proposer un deal de publication. Bien sûr qu’il en voulait après son nom de famille. « Attends… Tu l’as revu ? » Il pensait que tout cela n’était qu’une vieille histoire, appartenant au passé. Le vieillard faisait encore partie du paysage ? « Je voulais absolument trouver le coupable, mais maintenant que je l’ai et que je sais que je peux rien contre lui… » Il sentit sa mâchoire se serrer inévitablement. La colère montant lentement envers cet homme qu’il avait brièvement croisé, parfois, à quelques galas. Il sentit les doigts de Greta contre les siens avant de relever les yeux vers elle. « Promets-moi de rester en dehors de ça, ça en vaut pas la peine. Ça va aller. » Non, ça n’allait pas aller. « Tu sais que je peux le faire tomber. » Juste en cherchant un peu, Arthur trouverait bien quelque chose pour lui amener sa tête sur un plateau. « Tu peux pas continuer à le laisser faire. » Arthur vivait pour la vengeance, c’est ce qu’on lui avait enseigné. Il fallait être intraitable en affaire et encore plus lorsque cela devenait personnel. Ses doigts vinrent s’emmêler à ceux de la blonde dans une étreinte digne d’une enclume. « Il va abuser de toi encore longtemps ? » Cela était devenu personnel, le regard d’Arthur s’assombrissant avec le désir de protéger celle qui avait toujours trop compter dans sa vie. Il entendait encore sa voix apeurée lorsqu’elle l’avait appelé il y a quelques jours de ça. « Tu vas pas continuer à te cacher pour un connard pareil. » Elle devait garder la tête haute, reprendre la possession de son nom, en faire quelque chose, elle avait trop de talent pour tout jeter aux oubliettes. « Rassure-moi t’es plus en contrat avec lui ? » Tout allait un peu trop vite dans son esprit, il réfléchissait à toute vitesse pour que Greta ne se sente plus prise au piège. |
| | | ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280 TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/a GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenience DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [ 09/08]
ua (slasher) Moventry #10
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15 #16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
RPs EN ATTENTE : Riley #1
RPs TERMINÉS : (2024) Mallen #5 • Kieran #1 • Moventry #12 • Swann #8 • Swann #9 • Moventry #14 • Joseph • Marley #3 • Lena #2 • Mallen #6 • Emery #4 • Moventry #13 • Swann #10 • Moventry #15 • Izan #1 • Swann #11 • Izan #2
- ua:
AVATAR : Ashley Benson CRÉDITS : avatar : auselesslovethings / gifs : zazou (crackship); gracgifs (signature) goddamnmuses (profil), drvgonqueen - lcrnasgifs - zigglerscesaro - may0osh - cheekeyfire (profil) / ub : paindep/stairsjumper DC : Didi & LewLew & NicoPSEUDO : WisePenguin INSCRIT LE : 28/07/2022 | (#)Mar 31 Oct 2023, 21:45 | |
| I don't wanna face the music but I still wanna dance with you ft @Arthur Coventry Difficile pour Greta de ne pas s’emballer après le week-end qu’ils avaient passé et la façon dont il avait été là pour elle à la minute où il avait appris la nouvelle. Difficile pour elle de ne pas y voir là un signe de son intérêt pour elle et de retomber dans un piège qu’elle savait pourtant si facilement évitable. Elle était maintenant habituée à entendre son entourage se prononcer sur Arthur et le fait qu’il ait rendue notoire leur retrouvailles sur les réseaux l’avait empêchée d’essayer d’éviter tout commentaire. Ils étaient nombreux à essayer de parler pour lui et à penser le comprendre mais la vérité était qu’Arthur Coventry était aussi complexe qu’étonnant et, encore une fois, il le prouvait en se tenant sur le pas de sa porte, valise à la main. Ils avaient commencé par des banalités, restant à distance raisonnable car ces deux adultes consentants ne pouvaient nier l’évidence de leur attirance l’un envers l’autre. Ils marquaient des silences bien trop longs, conscients de la nécessité de peser leurs mots et trouver la meilleure façon de se comporter. Tout avait été plus facile là-bas, en terrain neutre, et maintenant qu’ils jouaient à domicile, ils semblaient avoir perdu les règles du jeu.
« Ce n’est pas chose faite ? » Greta avait poussé un long soupir avant de lever la tête vers le plafond, cherchant à mettre des mots sur un paradoxe qu’elle seule était à même de comprendre. « La biographie, c’était juste comme ça. J’ai aidé l’ami d’un ami, rien de plus. C’était pas ce que je voulais Arthur, je voulais un second roman, moi. » Petit à petit, en prenant la direction d’une discussion sérieuse et sincère, ils arrivaient à trouver leurs mots plus facilement et Greta avait moins de crainte à poser ses yeux sur lui. Pourtant, elle n’ignorait pas ce sentiment de voir ses problèmes peser cent fois moins lourds en croisant son regard, mais elle tentait d’avancer avec. « Notre héritage finira toujours par nous rattraper. » C’était une certitude et ils étaient tous les deux bien placés pour le savoir, ils s’étaient connus en faisant partie de l’élite et à l’autre bout du pays, ils continuaient encore à subir cette influence. « Mais Greta, tout ça. » Elle suivait les mouvements de ses mains avec intérêt, dissimulant le sourire qui avait gagné ses lèvres alors qu’il répétait encore et encore les mêmes gestes qui lui étaient si caractéristiques. « Ça n’enlève en rien le succès qu’a eu ton livre. » Elle acceptait les compliments et ils la frappaient plus fort parce qu’ils venaient de quelqu’un qui avait été élevé dans une demande d’excellence continue, un environnement où ces mots là étaient rares. Il ne dérogeait pas à la règle, elle le savait, mais elle savait aussi combien il lui avait toujours été facile de la valoriser. Toutes leurs récentes entrevues lui permettaient de remettre en lumière les qualités d’Arthur, celles qu’il ne prenait pas la peine d’exposer à tous et qui rendait donc difficile pour les proches de Greta de comprendre qu’elle ait pu en être éperdument amoureuse. « C’est ton travail, ton écriture, pas le résultat d’un loto de la chance. » Il continuait et elle tentait de trouver toute la volonté de ne pas l’arrêter pour l’embrasser, parce qu’elle en avait envie, comme elle en avait toujours eu envie lorsqu’ils avaient de réelles discussions où il savait trouver les mots. A la place, elle fixait ses lèvres en le laissant parler. « Oublie pas ça. » Après ses paroles, son sourire avait terminé de la convaincre et elle était restée silencieuse un instant avant de choisir le ton qu’elle souhaitait employer pour répondre. « J’aime bien quand t’es sérieux comme ça. » avait-elle commencé en maintenant son regard et son sourire. « Tu sais toujours trouver les bons mots… » C’était un constat doux-amer, il était toujours l’homme qu’elle avait aimé mais elle n’était plus autorisée à le considérer comme tel parce que le temps avait passé et parce qu’elle savait maintenant la douleur qui accompagnait le sentiment amoureux lorsque celui-ci se brisait, et dans tout cela, la raison de la rupture importait peu.
Ils avaient plaisanté, retrouvant le rythme qu’ils préféraient, un parfait équilibre entre le sérieux et l’humour, une façon de ne jamais se lasser. « Pour me récolter un procès ? » Elle avait haussé les épaules, comme si elle s’était habituée à l’image d’un Arthur qui n’avait peur de rien, à part peut-être d’affronter la réalité, parfois. « Et alors ? » avait-il demandé quand elle avait évoqué que leurs retrouvailles étaient maintenant notoires. Pour réponse, elle avait haussé les épaules, elle n’avait émis aucun sous-entendu dans son affirmation. « Ça ne regarde que nous. » Il avait raison et cette phrase simple aurait du devenir une règle à suivre pour Greta qui ne cessait de se poser les même questions encore et encore, comme si une loi sur le comportement à adopter avec son ex existait. « C’était un bon weekend, non ? » Le meilleur depuis longtemps, un week-end qui avait fait renaître énormément de choses et auquel elle pensait maintenant régulièrement. Mais de son côté, Arthur avait utilisé un adjectif bien simpliste comparé à ce qu’elle aurait pu dire. « Si, j’ai pas dit le contraire. » avait-elle simplement répondu, son regard fuyant à nouveau le sien. Et sans qu’elle n’ait pu s’épancher davantage sur le sujet, ils en avaient entamé un autre, bien moins réjouissant. « Attends… Tu l’as revu ? » avait-il demandé avant d’ajouter. « Tu sais que je peux le faire tomber. » Greta s’était légèrement décalée pour lui faire face. « Arrête… » avait-elle commencé pour tenter de le stopper dans ce discours qui le rendait nerveux. « Tu peux pas continuer à le laisser faire. » Greta s’était sentie un peu plus forte, alors que ses doigts s’étaient entremêlés aux siens, et si elle appréciait de le voir tenter de la défendre, elle détestait qu’il ait à s’en mêler parce qu’elle n’avait pas anticipé tout cela quand il lui avait proposé de venir la voir. « Il va abuser de toi encore longtemps ? Tu vas pas continuer à te cacher pour un connard pareil. » Il était maintenant hors de lui et elle se sentait coupable de l’avoir mis dans cet état alors que ses traits étaient tirés par la fatigue. « Rassure-moi t’es plus en contrat avec lui ? » Elle avait posé ses mains sur son visage en soupirant tant elle aurait aimé couper court à cette discussion. « Je t’ai dit qu’on était en contrat pour tous mes écrits lui et moi, Arthur. J’ai du le revoir pour la biographie, tout ce qu’il veut c’est me prendre de la thune et je m'en fous, c’est pas pour ça que j’écris. » avait-elle commencé. « C’est un putain de vautour, mais faut lui reconnaître au moins une qualité, il est hyper malin. Il trouvera toujours un moyen de s’en sortir. J’irai le voir moi-même j’ai pas envie que tu sois impliqué là dedans. » Sa main dans la sienne, ses yeux dans les siens, Greta tentait de lui faire comprendre qu’il avait beaucoup plus à perdre qu’elle dans cette histoire. « Je me suis mise toute seule dans la merde avec lui, je m’en sortirai toute seule. Maintenant redescends, s’il te plait, j’ai pas envie que tu te mettes dans tous tes états alors que t’es crevé, c’était pas le but de ce soir. » avait-elle affirmé en ne lui laissant pas place aux négociations. S’ils étaient encore les Greta et Arthur de Londres, elle aurait ajouté à ses mots une main sur sa joue et un baiser, mais ce soir, elle n’avait à disposition que des armes bien moins efficaces que dans le passé. « Et pourquoi tu m’aiderais, hin ? » avait-elle demandé sur un ton plus bas, relevant les yeux vers lui avant de venir jouer avec le bouton de sa chemise pour attirer son attention et lui adresser un clin d’oeil : elle faisait référence aux mots qu’il avait choisi lorsqu’elle lui avait dit qu’elle voulait être présente pour lui. « Ça va aller, je t’assure. » Greta avait resserré la pression qu’elle exerçait sur ses doigts. « Du coup, t’as pas décidé de faire comme si rien ne s’était passé à Suzuka, je suis plutôt contente. » avait-elle commencé, revenant sur ce qu’ils s’étaient dit un peu plus tôt avant que les démons du passé de Greta ne viennent gâcher le moment. « Parce que j’ai pas envie d’oublier ce moment. » just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
(2023) greta #2 › swann #6 › swann #7 › eleonora #3 › mariage rowann › greta #3 › swann #9 › greta #4 (2016) › greta #5 › greta #6 › swann #10 › corey #3 › noor › swann #13 (2011) › greta #9 › malone #2 › london gang › emery #1 › mickey
(2022) rory #1 › murphy #2 › seth #3 › swann #3 › vivian › eleonora #2 › swann #4 › greta #1 (2013) › channing › malone #1 › swann #5
(2021) swann #1 › murphy #1 › maisie › martin › seth #2 › eleonora #1 › swann #2
(flashback) greta #12 (fb)
(ua gothique) greta #7 › swann #11 › ruben #1 › itziar › ruben #3 › corey #1 › greta #8 › ezra #1 › ezra #2 › ruben #4 › cesar #1 › tessa › ruben #6 › corey #2 › cesar › ruben #7 › itziar #2 › abe › corey #4
(ua space) swann #12 › ruben #2 › ruben #5 (ua space)
(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Jeu 02 Nov 2023, 15:46 | |
| i don't wanna face the music, but, i still wanna dance with you « La biographie, c’était juste comme ça. J’ai aidé l’ami d’un ami, rien de plus. C’était pas ce que je voulais Arthur, je voulais un second roman, moi. » Il savait tout ça. Ce qu’il ne comprenait pas, c’est pourquoi Greta s’était contentée de si peu, si elle aspirait a bien plus. « Qu’est-ce qui t’empêche d’en écrire un second ? » Est-ce qu’elle avait été frappée par le syndrome de la page blanche ? Il avait un peu de mal à le croire quand il l’avait toujours entendu formuler un million d’idées. À une époque, il lui arrivait de se relever brusquement alors qu’ils étaient sur le point de s’endormir, tout cela pour aller gratter quelques-unes de ces idées sur le papier de son carnet afin de rien oublier. Il n’avait connue que ce côté de sa personnalité, la Greta toujours inspirée et qui rêvait de publier différentes histoires. Qu’est-ce qui avait bien pu changer à ce sujet ? Une fois encore, elle lui paraissait être dans la retenue, comme lorsqu’il l’avait connu. Alors tout ce qui lui avait dit n’avait rien changé ? Tout ce qu’il s’était évertué à lui faire comprendre s’était envolé en même temps que lui ? « J’aime bien quand t’es sérieux comme ça. » Il eut un rire amusé. Il n’y avait bien qu’auprès de Greta qu’il arrivait à se montrer ainsi. « Tu sais toujours trouver les bons mots… » Le constat se voulait amer. N’avait-elle trouvé personne d’autre qui osait venir la secouer quand elle se réfugiait dans son confort ? « Il faut bien que quelqu’un te rappelle de quoi tu es capable. » Il reprendrait le rôle sans sourciller, même s’il avait perdu tout droit d’opinion sur sa vie lorsqu’il avait décidé de partir.
Ils avaient plaisanté, une pause dans tout ce qu’ils avaient à se dire, un retour en arrière comme les deux êtres qu’ils savaient devenir en compagnie de l’autre. Une plaisanterie par ci, un sourire par là. Greta qui doutait, encore et toujours, de tout ce que leur week-end passer à l’étranger pouvait véhiculer. L’avis des autres encore, qui venait troubler son jugement. Et Arthur, qui continuer à se foutre de ce que le reste de la planète pouvait bien penser. Un équilibre qui ne change pas. Lui qui voulait la rassurer, elle qui cherchait des explications là où il serait probablement difficile d’en donner. Puis le passé encore, qui toque à la porte, sous la silhouette d’un homme qu’Arthur n’avait jamais su apprécier. « Je t’ai dit qu’on était en contrat pour tous mes écrits lui et moi, Arthur. J’ai dû le revoir pour la biographie, tout ce qu’il veut, c’est me prendre de la thune et je m'en fous, c’est pas pour ça que j’écris. » Sergio qui agissait encore tel un vautour prêt à fondre sur sa proie. Greta n’était plus la gamine insouciante de ses dix-huit ans, mais il venait encore à pomper le peu de joie qu’elle trouvait dans l’exercice de sa passion. « C’est un putain de vautour, mais faut lui reconnaître au moins une qualité, il est hyper malin. Il trouvera toujours un moyen de s’en sortir. J’irai le voir moi-même, je n'ai pas envie que tu sois impliqué là dedans. » Arthur sentait la colère monter, une émotion inexplicable, qui lui donnait envie de mettre la main sur le mexicain pour mieux lui faire part de son opinion. « Il est pas caduc son contrat depuis le temps ? » Elle n’avait tout de même pas signé pour un contrat indéterminé ? Cela ne fonctionnait pas ainsi dans le monde du business, encore moins dans celui de l’édition. Arthur refusait d’entendre que cet homme avait encore la main mise sur ce qui faisait de Greta une véritable écrivaine. « Tu vas continuer à écrire de la merde pour lui faire plaisir ? » Ses mots venaient de dépasser sa pensée, parce qu’il était ainsi Arthur, il se laissait emporter par des émotions primaires. « C'est pas ce que je voulais dire...» Mais... « Elle est passée où la Greta qui voulait écrire juste pour elle ? Celle qui voulait partager ses histoires et pas raconter celle des autres ? » Il la cherchait dans toutes les explications qu’elle venait de lui donner, mais il n’était pas certain de la retrouver. Arthur avait du mal à comprendre, rien de tout cela ne faisait sens pour un homme comme lui qui brisait des contrats comme on déchire une simple feuille blanche. Arthur s’autorisait à être dur, sans jamais vouloir lui manquer de respect. Mais la jeune femme qui se tenait devant lui, jouait la sécurité, se renfermait dans quelque chose qui ne pouvait lui correspondre, et il avait bien du mal à l’accepter.
« Je me suis mise toute seule dans la merde avec lui, je m’en sortirai toute seule. Maintenant, redescends, s’il te plait, j’ai pas envie que tu te mettes dans tous tes états alors que t’es crevé, c’était pas le but de ce soir. » Il eut un soupir exaspéré. « Ça va, je vais pas replonger parce qu’on a une discussion un peu tendue. » Est-ce qu’elle avait peur de cela ? Ou est-ce qu’elle tenait simplement à couper court à tout cela en évoquant sa fatigue qui devait être évidente ? Il n’était plus sûr de rien, Arthur. Se laissant retomber dans le canapé, il observa le visage de Greta qui cherchait à se détendre. Une fois encore, ses doigts vinrent serrer les siens, une excuse silencieuse, la promesse de ne pas s’impliquer dans ce qu’elle voulait pouvoir régler par elle-même. « Et pourquoi tu m’aiderais, hin ? » Elle lui retournait sa propre question, ce qui eut le don de lui soutirer un ricanement. « Parce que, quoiqu’il arrive, t’es encore l’une de seules personnes que j’ai envie d’aider. » Il ne pouvait être plus franc. Elle avait eu la première place, elle flirtait encore avec cette dernière. Greta était importante à ses yeux et il ne pouvait la regarder sombrer pour quelque chose qu’elle devrait pouvoir combattre la tête haute. « Ça va aller, je t’assure. » - « Je te crois. » Que pouvait-il dire de plus ?
Le silence retomba entre eux, Arthur ne réussissait plus à se déloger des coussins moelleux du canapé. Il se sentait bien là. Apaisé et tranquille. Il aurait aimé tirer sur le bras de Greta pour l’amener contre lui, mais la blonde vint court-circuiter la moindre de ses pensées. « Du coup, t’as pas décidé de faire comme si rien ne s’était passé à Suzuka, je suis plutôt contente. » Il eut un rire nerveux. « Parce que j’ai pas envie d’oublier ce moment. » Relevant les yeux vers son visage, il lut toute la sincérité qu’elle dégageait. « T’es en train de me dire que j’aurais pu faire mieux qu’un petit signe de la main moisi ? » Arthur détournait cela sous la forme de l’humour, dernier mécanisme de défense avant d’en arriver à quelque chose de bien plus brut. Il pourrait l’embrasser, mais il n’était pas certain que ce soit ce qu’elle attendait de lui. Greta se devait de mener la danse, alors en attendant et sans réfléchir cette fois, il attira la blonde contre son torse. « Je m’étais pas senti aussi calme depuis bien longtemps. » qu’il avoua enfin, ses lèvres à moitié enfouies dans la chevelure blonde de Greta. Il était plus facile d’admettre de telles choses quand il n’avait pas ses deux prunelles azur fixées sur lui. |
| | | ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280 TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/a GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenience DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [ 09/08]
ua (slasher) Moventry #10
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15 #16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
RPs EN ATTENTE : Riley #1
RPs TERMINÉS : (2024) Mallen #5 • Kieran #1 • Moventry #12 • Swann #8 • Swann #9 • Moventry #14 • Joseph • Marley #3 • Lena #2 • Mallen #6 • Emery #4 • Moventry #13 • Swann #10 • Moventry #15 • Izan #1 • Swann #11 • Izan #2
- ua:
AVATAR : Ashley Benson CRÉDITS : avatar : auselesslovethings / gifs : zazou (crackship); gracgifs (signature) goddamnmuses (profil), drvgonqueen - lcrnasgifs - zigglerscesaro - may0osh - cheekeyfire (profil) / ub : paindep/stairsjumper DC : Didi & LewLew & NicoPSEUDO : WisePenguin INSCRIT LE : 28/07/2022 | (#)Ven 10 Nov 2023, 10:51 | |
| I don't wanna face the music but I still wanna dance with you ft @Arthur Coventry Elle ne trouvait rien d’étrange à le voir ici, à tenter de la réconforter et à lui apporter le soutien dont elle avait besoin. L’unique problème avec cette situation était qu’elle la ramenait des années en arrière, comme si rien avait changé, mis à part cet étrange sentiment de timidité qu’elle n’avait jamais ressenti avec lui. « Qu’est-ce qui t’empêche d’en écrire un second ? » Elle avait haussé les épaules, sa question était presque rhétorique et elle le savait, Arthur n’accepterait pas qu’elle se couvre derrière son identité dévoilée pour ne plus écrire. Ce n’était de toute façon pas ce qu’elle voulait, souhaitant simplement chasser le syndrôme de l’imposteur qui ne l’avait jamais quitté depuis sa première publication. « Il faut bien que quelqu’un te rappelle de quoi tu es capable. » Mais pourquoi ces mots résonnaient bien plus en elle lorsqu’ils étaient prononcés par Arthur ? Ignorant l’impact de ses mots, elle lui avait expliqué l’étendu de sa collaboration avec Sergio. « Il est pas caduc son contrat depuis le temps ? » Le problème ne résidait pas dans du charabia d’avocats, des lettres noires couchées sur du papier. Leur contrat était défini autrement, par une savante manipulation de la part de l’agent qui savait comment la faire revenir dans son bureau pour signer la paperasse réglementant leur accord. Avant qu’elle n’ait le temps de répondre, Arthur avait de toute façon repris. « Tu vas continuer à écrire de la merde pour lui faire plaisir ? » Et à l’image des mots positifs et emplis de sentiments qu’il prononçait, ces mots-là, plus durs, avaient eu une répercussion encore plus importante chez elle. « C'est pas ce que je voulais dire...» L’écrivaine avait pincé les lèvres en hochant doucement la tête, le laissant se rattraper. « Elle est passée où la Greta qui voulait écrire juste pour elle ? Celle qui voulait partager ses histoires et pas raconter celle des autres ? » Baissant la tête pour laisser s’échapper un soupir qui contenait toute sa frustration, elle s’était accordée quelques secondes avant de répondre. « T’es en train de tout mélanger là. J’ai aucune inspiration depuis que je suis ici, rencontrer Rhett ça m’a permis de me remettre à écrire même si c’était pas ce que je voulais j’ai pris plaisir à le faire. J’écris ce que je veux, l’autre a pas son mot à dire. » C’était au moins ça qu’il n’avait pas réussi à lui voler en tirant profit de cette soirée là. « Mais ouais, si j’écris pas, je lui donne pas de thunes et c’est peut être ça qui bloque… » Ou le fait qu’il n’avait plus été dans sa vie depuis toutes ces années et que, quelque part, elle nourrissait toujours des regrets qui venaient polluer le cours de ses pensées et son inspiration. « Et lis la bio avant de dire que c’est de la merde. Même si je suis pas convaincue que tu saches faire quand y’a pas d’images. » Il s’était emporté dans ses discours de motivation, elle l’avait corrigé sur certains points mais elle ne lui en tenait pas rigueur comme le montrait l’air malicieux qui avait accompagné sa dernière remarque visant à faire redescendre la pression. Tout comme la façon dont elle lui avait demandé de rester tranquille, une phrase qui n’avait besoin d’aucune interprétation. « Ça va, je vais pas replonger parce qu’on a une discussion un peu tendue. » Le sourcil de la blonde s’était arqué alors qu’Arthur était venu tirer des conclusions. Elles n’étaient pas les bonnes, Greta s’inquiétant simplement de voir son impulsivité ressurgir et de le voir s’énerver pour des problèmes qui n’étaient pas les siens. « Je t’ai jamais parlé de replonger, je vois juste que tu commences à t’énerver alors que ça n’en vaut pas la peine. Je te fais confiance, tu sais ? » Son regard avait croisé le sien et elle lui avait accordé un sourire timide, parce qu’elle savait pertinemment qu’il détestait ce genre de comportement infantilisant. Les encouragements venaient d’elle et l’écrivaine espérait qu’ils aient un peu plus d’impact. « Je t’ai pas demandé… Ca fait combien de temps ? » Et Arthur ignorerait la question s’il n’avait pas envie d’y répondre.
Il était évident qu’Arthur se sentait un minimum concerné par tout cela puisqu’il était venu dès qu’il avait su, pourtant le voir prendre cette histoire à coeur l’étonnait. Il était épuisé par son propre travail et tout ce que cela impliquait pour lui, et pourtant, il était là et comme il l’avait fait au mariage, elle avait demandé pourquoi. « Parce que, quoiqu’il arrive, t’es encore l’une de seules personnes que j’ai envie d’aider. » Greta ne s’était pas attendue à une telle réponse et, encore une fois, elle faisait de son mieux pour ne rien en penser de plus, pour ne pas accorder trop d’importance à sa main dans la sienne. « Je te crois. » Et il était obligé de la croire parce qu’elle avait vécu sans lui pendant près de six années, et le voir revenir dans sa vie et redevenir l’un de ses piliers n’était que du bonus. Et c’était sûrement maladroit de sa part, de revenir sur leur week-end sur un autre continent qui aurait du rester une parenthèse, pour changer de sujet, mais elle n’avait pas pu s’en empêcher. « T’es en train de me dire que j’aurais pu faire mieux qu’un petit signe de la main moisi ? » « T’aurais pu » avait-elle dit. Il y avait un mais, une énorme condition à cette acceptation mais elle ne l’avait pas soulevée, par peur de le voir disparaître une seconde fois. Elle ne savait plus si c’était la crainte de revivre ce qu’elle avait déjà vécu qui l’amenait à être aussi méfiante et à ne jamais oser le confronter directement comme elle avait pu le faire à leurs premières retrouvailles. Être incisive et lui demander clairement tout ce qui lui brûlait la langue, comme la raison qui le poussait lui à être aussi doux avec elle alors qu’elle savait pertinemment qu’ils ne dansaient pas sur un pied d’égalité. Elle était restée amoureuse, c’était ce qui expliquait la facilité avec laquelle elle se perdait dans ses bras, mais elle mourrait d’envie de savoir où ses sentiments a lui se situaient. Alors elle n’avait rien dit de plus, acceptant de profiter de cet instant comme s’il n’apportait rien de plus qu’un réconfort. « Je m’étais pas senti aussi calme depuis bien longtemps. » Greta s'était laissée entraîner vers lui, nichant sa tête sur son torse en souriant de le voir prendre des initiatives. Elle était restée silencieuse, pesant chacun des mots qu’il venait de lui dire et s’efforçant de ne pas en tirer de trop grandes conclusions. « Le moment parfait pour te demander si je peux garder ton t-shirt. » avait-elle plaisanté en levant un instant son regard vers lui avant de les baisser à nouveau pour donner une réponse bien plus sérieuse. « Je me sens bien, moi aussi. » avait-elle commencé, profitant toujours de cette proximité qui, paradoxalement, les empêchait de se regarder dans les yeux. « Tellement bien que j’ai envie de te demander de rester mais je sais pas si c’est raisonnable. » Le visage contre son torse, Greta tentait de décrypter ses réactions sans réel succès. « T’as au moins mérité un dîner et avant que tu te moques, oui je vais commander. » La tête toujours posée contre lui, elle avait sorti son téléphone pour scroller négligemment uber eats et encore une fois, ils avaient retrouvé d’anciens réflexes, leurs deux index jouant sur l’écran de son téléphone pour trouver leur dîner. Leur prétexte pour faire durer ce moment. « Et toi alors comment ça s’est passé au boulot ? » avait-elle demandé alors que ses yeux restaient fixés à l’écran. Ils avaient assez parlé de ses problèmes à elle et elle n’avait aucune envie qu’il ait l’impression que tout cela n’était qu’à sens unique, même si lui poser la moindre question était toujours un risque à prendre.
just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
(2023) greta #2 › swann #6 › swann #7 › eleonora #3 › mariage rowann › greta #3 › swann #9 › greta #4 (2016) › greta #5 › greta #6 › swann #10 › corey #3 › noor › swann #13 (2011) › greta #9 › malone #2 › london gang › emery #1 › mickey
(2022) rory #1 › murphy #2 › seth #3 › swann #3 › vivian › eleonora #2 › swann #4 › greta #1 (2013) › channing › malone #1 › swann #5
(2021) swann #1 › murphy #1 › maisie › martin › seth #2 › eleonora #1 › swann #2
(flashback) greta #12 (fb)
(ua gothique) greta #7 › swann #11 › ruben #1 › itziar › ruben #3 › corey #1 › greta #8 › ezra #1 › ezra #2 › ruben #4 › cesar #1 › tessa › ruben #6 › corey #2 › cesar › ruben #7 › itziar #2 › abe › corey #4
(ua space) swann #12 › ruben #2 › ruben #5 (ua space)
(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Lun 20 Nov 2023, 16:25 | |
| i don't wanna face the music, but, i still wanna dance with you « T’es en train de tout mélanger là. » Il n’était pas véritablement certain de mélanger quoi que ce soit. Ses propos se voulaient maladroits, certes, mais ils renfermaient une part de vérité que Greta ne voulait probablement pas accepter. « J’ai aucune inspiration depuis que je suis ici, rencontrer Rhett ça m’a permis de me remettre à écrire même si c’était pas ce que je voulais, j’ai pris plaisir à le faire. J’écris ce que je veux, l’autre a pas son mot à dire. » Peut-être qu’Arthur s’était quelque peu emballé, mais les propos de la jeune femme lui paraissait on ne peut plus clair. Elle n’osait le dire clairement, mais Greta n’écrivait pas ce qui lui faisait envie. Il n’allait pas nier l’opportunité qu’elle semblait avoir trouvée auprès de Rhett Hartfield, après tout, cela avait réussi à la propulser aux premiers rangs. Mais Greta n’avait pas écrit quelque chose qui la faisait pleinement vibrer, au mieux elle s’était laisser tenter à un exercice différent et il n’avait pas réellement l’air d’être concluant. « T’écris ce que tu veux, mais pas ce qui te plaît. » Il ne pouvait s’empêcher d’insister, malgré tout. Il avait une légère connaissance du problème, lui qui se contentait de satisfaire son paternel à défaut de trouver quelque chose qui lui donnait envie de se lever à chaque matin. « Mais ouais, si j’écris pas, je lui donne pas de thunes et c’est peut-être ça qui bloque… » Il dut se retenir de soupirer longuement. Est-ce qu’elle allait s’efforcer à prendre le premier projet qui passera dans un coin de sa tête pour que l’hispanique la laisse tranquille ? « Et lis la bio avant de dire que c’est de la merde. Même si je suis pas convaincue que tu saches faire quand y’a pas d’images. » Elle avait trouvé la parade parfaite, celle qui lui avait arraché un rire alors qu’il reprit avec autant de malice qu'elle. « Je me contenterais du film, ça devrait aller. » Elle s’était toujours un peu moquer de lui avec ses mangas, mais Arthur n’a jamais été un très grand lecteur. « C’est pas le manque d’images le problème, mais plus que j’en ai rien à foutre de ton athlète. » Complètement même. Arthur n’avait pas l’intention de perdre son temps à lire les déboires d’un autre, merci bien. Il haussa les épaules, elle était habituée à sa franchise sans limite de toute façon.
« Je t’ai jamais parlé de replonger, je vois juste que tu commences à t’énerver alors que ça n’en vaut pas la peine. Je te fais confiance, tu sais ? » Il avait encore bien du mal à en saisir le concept. Greta devrait être la dernière personne à lui faire confiance et pourtant… Elle n’avait de cesse de lui répéter qu’il était capable de s’en sortir et elle se montrait présente à ses côtés pour cela. Arthur n’était plus certain de ce que ça voulait dire, ce que cela pouvait bien représenter après leur voyage au Japon. Il se sentait perdu, pas vraiment capable de pleinement comprendre que quelqu’un veuille bien lui accorder son pardon. Mais Greta semblait déterminer à persister venant alors troubler les limites qu’Arthur s’était efforcé à fixer dès qu’il l’avait retrouvé. « Je t’ai pas demandé… Ça fait combien de temps ? » Il eut un rire aussi nerveux que le sourire qu’elle cherchait à lui accorder. « Depuis le mariage de Swann. » Elle saura faire le calcul, le repère dans le temps étant assez explicite. Il n’avait touché à rien depuis la veille du mariage. Il a été tenté de le faire, il se bat encore avec ses envies irrépressibles, mais il n’avait pas sombré. « C’est rien d’exceptionnel. » Tout du moins, il ne voulait pas que ça le soit. Il ne cherchait pas à se faire applaudir ou quoi que ce soit. Il essayait de s’en sortir entre le groupe de parole, où il ne parlait toujours pas, et son quotidien rythmé par le travail. Il essayait de trouver son équilibre même si les soirées de débauches commençaient à lui manquer et qu’il se trouvait à court d’excuses pour se détourner des invitations de ses anciens acolytes.
Il aurait apprécié qu’elle se contente de le taquiner d’être venu aussi vite, mais Greta avait à cœur d’en dire plus. Il n’avait pas imaginé revenir sur le week-end passer au Japon, mais elle enchaînait les allusions, déguisées en forme de reproche qu’il n’était plus certain de savoir traduire dans la bonne expression. « T’aurais pu. » Il aurait pu se trouver convaincu si elle n’avait pas immédiatement baissé le regard. « Tu m’aurais laissé faire ? » Est-ce qu’elle l’aurait laissé approcher s’il était venu l’embrasser comme il l’avait furtivement pensé dans l’ascenseur ? Arthur ne pouvait s’empêcher de douter quand elle paraissait vouloir s’éloigner sans trop savoir comment procéder. Il a tenté le tout pour le tout, une sorte de drapeau blanc, aucune obligation si ce n’est celle de se détendre un peu. Elle restait dans ses bras, en soupirant, mais sans broncher pour autant. Arthur ferma les yeux, pour profiter de l’instant, qu’il savait déjà condamné à s’achever bien trop rapidement. « Le moment parfait pour te demander si je peux garder ton t-shirt. » Il eut un rire amusé à défaut de lever les yeux au ciel. « Dans ma bonté d’âme, je t’accorde encore un peu de rab’. » Il le savait, il n’allait jamais revoir son tee-shirt. Elle trouvera toujours une excuse, et même lorsqu’il tentera de la taquiner sur le fait de son infidélité à son équipe favorite, Greta saura trouver une pirouette. Tant pis, il en a bien d’autre des tee-shirts de la Scuderia.
« Je me sens bien, moi aussi. » Au moins, ils se retrouvaient sur le même piédestal. Un équilibre précaire, pas franchement planifié, loin d’être parfaitement stable, mais quelque chose qui fonctionne pour eux, en cet instant. Leur proximité se voulait à double tranchant, il en a parfaitement conscience. Tout se voulait à rappeler un temps révolu, de la manière dont elle avait de se lover contre lui, à la façon dont ses doigts se glissaient de manière distraire le long de son bras. « Tellement bien que j’ai envie de te demander de rester, mais je sais pas si c’est raisonnable. » Il ne sut retenir un soupir agacé. « J’ai pas l’intention de te sauter dessus, je sais me tenir parfois Greta. » Il avait ses propres désirs, certes, mais si elle insistait autant, il saura garder ses mains dans ses poches et sa langue dans sa propre bouche. Qu’importe ce qu’il crevait d’envie de faire. Elle lui avait demandé du temps, il pouvait lui accorder cela, mais cette proximité… Elle venait jouer avec sa patience. « T’as au moins mérité un dîner et avant que tu te moques, oui je vais commander. » Une fois encore, elle avait su trouver la pirouette parfaite, lui arrachant un léger éclat de rire. « Je te préviens, j’ai faim. » Il n’avait pas mangé depuis le maigre petit-déjeuner avalé à l’hôtel et rien que le fait d’évoquer un possible repas venait de réveiller son estomac affamé. La suite se voulait étrange familière, installer l’un contre l’autre, à ce chamailleur sur le menu du repas. L’un voulait chinois quand l’autre se décidait plutôt sur de l’italien. Cela pouvait durer des heures, Arthur le savait, et comme trop souvent, il était le premier a capitulé. Lui et sa patience légendaire. « Tu sais quoi… Prends ce qui te fait envie. » De toute manière, il avait faim, il n’allait pas faire le difficile. Est-ce qu’il mesurait également la possibilité qu’elle se rétracte et le foute dehors à tout moment ? Probablement…
Il aurait su se contenter de cela, un peu de silence, a mesuré la respiration de Greta en rythme avec la sienne. Le calme après des jours de tempête. « Et toi alors comment ça s’est passé au boulot ? » Cela n’aura pas duré bien longtemps. « Je travaille sur quelque chose d’assez important. » Au point d’avoir su éveiller la curiosité de son paternel. Arthur pouvait lentement sentir la pression qui venait crouler sur ses épaules, mais il cherchait encore à ne pas s’attarder là-dessus. Le projet se voulait important, mais il avait encore un peu de temps. Le rendez-vous à Sydney, c’était bien déroulé, au moins. « Si j’arrive à obtenir le marché. » Il eut un autre soupir. « Disons que je serais vraiment bien... » Elle l’avait connu étudiant volage, puis bourreau de travail lors de son internat, avant qu’il ne redevienne celui qui ne savait plus trop quoi faire de sa vie. Il oscillait toujours entre les deux, Arthur. En ce moment, l’entreprise de son père lui offrait une distraction qui avait son intérêt. Il était motivé par le challenge, appâté par l’idée de pouvoir gagner quelque chose de lui-même. Arthur cherchait à prouver aux yeux de son père qu’il était capable. Aux yeux de tout le monde en réalité, mais il ne souhaitait pas franchement s’attarder sur cela quand il pouvait presque entendre les rouages tourner dans la tête de Greta. « Soit t’ose pas me poser le million de questions qui te trotte dans la tête, soit tu sais pas comment me dire de partir. » Il prit un ton léger pour énoncer l’évidence, peut-être que cela aiderait un peu la blonde. |
| | | ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280 TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/a GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenience DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [ 09/08]
ua (slasher) Moventry #10
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15 #16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
RPs EN ATTENTE : Riley #1
RPs TERMINÉS : (2024) Mallen #5 • Kieran #1 • Moventry #12 • Swann #8 • Swann #9 • Moventry #14 • Joseph • Marley #3 • Lena #2 • Mallen #6 • Emery #4 • Moventry #13 • Swann #10 • Moventry #15 • Izan #1 • Swann #11 • Izan #2
- ua:
AVATAR : Ashley Benson CRÉDITS : avatar : auselesslovethings / gifs : zazou (crackship); gracgifs (signature) goddamnmuses (profil), drvgonqueen - lcrnasgifs - zigglerscesaro - may0osh - cheekeyfire (profil) / ub : paindep/stairsjumper DC : Didi & LewLew & NicoPSEUDO : WisePenguin INSCRIT LE : 28/07/2022 | (#)Jeu 23 Nov 2023, 17:25 | |
| I don't wanna face the music but I still wanna dance with you ft @Arthur Coventry Tous ses à priori, Greta les oubliait rapidement lorsqu’il était dans les parages et encore plus lorsqu’ils avaient des discussions aussi profondes. Il la connaissait mieux que personne, pas autant que Carmine mais un peu plus que ses parents, Arthur s’était octroyé une place de choix et les années passées sans lui n’effaçaient pas tout ce qu’il avait pu apprendre sur elle. Alors elle le laissait emprunter des chemins un peu plus sinueux que n’importe qui d’autre, acceptant sans trop de difficultés de l’entendre parler avec une honnêteté parfois presque brutale. « T’écris ce que tu veux, mais pas ce qui te plaît. » Leurs regards étaient profondèment ancrés l’un dans l’autre, l’anglais cherchant à sonder son ex petite amie jusqu’à lui faire baisser la tête, signe qu’elle avait perdu le combat. « Chaque chose en son temps, Arthur. » Il lui avait fallu six années pour se remettre à aligner les mots les uns après les autres pour former un récit complet, et même si ils avaient eu un sens car ils lui étaient racontés par Rhett, elle avait réussi à mettre le point final à un livre et c’était déjà une grande avancée pour Greta. L’écrivaine ne s’arrêterait pas là, sa passion pour l’écriture était toujours présente même si elle s’était légèrement enfouie au plus profond d’elle à cause de blessures qu’elle n’avait jamais réussi à panser. L’idée que celui qui avait eu un tel impact sur son inspiration soit de retour au premier plan était peut-être le signe d’un renouveau, mais il était encore trop tôt pour le dire. Nine venait de sortir, les médias avaient enfin découvert qui elle était, elle devrait maintenant attendre que ce chapitre se referme avant de pouvoir envisager autre chose. « Je me contenterais du film, ça devrait aller. » avait-il répondu alors que la jeune femme avait souligné qu’il parlait d’un livre qu’il n’avait jamais lu. « C’est pas le manque d’images le problème, mais plus que j’en ai rien à foutre de ton athlète. » En guise de réponse, elle avait simplement éclaté de rire parce que sa spontanéité l’avait prise au dépourvue. Les rapports entre Greta et Sergio avaient bien assez vite rendu Arthur nerveux et il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir la tension qui l’avait gagné. Pour cette raison, la blonde lui avait demandé de rester à l’écart et la façon dont il avait interprété sa demande l’avait une nouvelle fois prise de court. « Depuis le mariage de Swann. » En y réfléchissant, elle aurait presque pu le deviner seule tant la personne qu’elle avait revu dans ce bar était différente de celle du mariage. C’était peut-être la raison qui les avait amenés à se parler avec un peu plus de calme et de courtoisie, la raison qui les amenait à se retrouver encore et encore. Elle avait relevé la tête vers lui pour lui accorder un sourire sincère. « C’est rien d’exceptionnel. » avait-il ajouté et elle aurait été étonnée de le voir s’autoriser une victoire aussi infime était-elle. Il avait mentionné ses cures de désintoxication, une overdose, des informations que Greta n’avait pas été sûre de savoir comment accueillir : c’était du passé, des choses qu’il souhaitait qu’elle sache mais sur lesquelles il n’était probablement pas nécéssaire de s’étendre. Ce qui lui importait à elle, c’était la façon dont il avait su relever la tête et si elle pesait chacun de ses mots et restait réticente quant à la manière d’évoquer ses démons avec lui, elle n’hésitait pas à s’intérésser à sa guérison. « Je trouve que ça l’est, moi. » Elle ne l’avait jamais blâmé pour ses excès, les ayant partagés à un moment de leur vie commune, mais elle s’était tant inquiétée que sa réaction était probablement celle qu’elle aurait eu à l’époque. Elle était rassurée, même si elle regrettait que ses propres tentatives pour qu’il s’en sorte aient échoué. « T’as arrêté du jour au lendemain ? Seul ? » D’après leurs différentes rencontres et la façon dont Arthur mettait un point d’honneur à refuser d’accepter rien qu’un peu d’aide, ces questions étaient presque rhétoriques, venant simplement souligner la difficulté de ce qu’il était en train d’entreprendre.
Si Arthur osait la spontanéité quant à la carrière de Greta, elle, de son côté, avait tenté de crever l'abcès d'un événement qui méritait peut-être plus qu'une publication sur instagram. « Tu m’aurais laissé faire ? » La réponse était évidente, assez évidente pour qu'elle se permette de le provoquer une nouvelle fois. « Ca tu pourras jamais le savoir. Faudra attendre la prochaine fois qu’on se voit. » Il aurait été si simple de tourner le menton vers lui pour le laisser répondre à sa question, et pourtant, quelque chose l’empêchait de se laisser aller une nouvelle fois. Si Greta en mourrait d’envie, elle s’inquiétait également des conséquences que cela pourrait avoir et elle avait changé de sujet, pour se protéger de ses sentiments qui ne demandaient qu’à renaître. « Dans ma bonté d’âme, je t’accorde encore un peu de rab’. » La blonde avait ri légèrement, se sentant un peu ridicule de se comporter comme une adolescente qui avait besoin de quelque chose appartenant à son amoureux pour les jours où il était absent. Il y avait une part de cela, et une terrible envie de continuer à taquiner Arthur pour toujours alimenter cette complicité qui renaissait entre eux. Il l’avait dit tout haut, il se sentait calme, apaisé, et elle ne voulait pas voir ce moment s’arrêter. « J’ai pas l’intention de te sauter dessus, je sais me tenir parfois Greta. » « T’es au courant que j’ai aucun regret et que je te reproche rien ? Et c’était pas du tout ce que je voulais dire. » Ce qu’elle voulait dire, c’était à quel point elle craignait de voir des signes là où il n’y en avait probablement pas et d’être blessée à nouveau s’ils continuaient à se comporter ainsi, comme si rien n’avait changé.
« Je te préviens, j’ai faim. » « T’as toujours faim. »
« Tu sais quoi… Prends ce qui te fait envie. » Le silence qui s’installait entre eux n’avait rien de pesant, elle ne s’était d’ailleurs pas sentie aussi bien depuis longtemps. Mais ils avaient tant à se dire, des années à rattraper et elle mourrait d’envie d’en apprendre plus sur celui qu’il était devenu. « Je travaille sur quelque chose d’assez important. » Greta l’avait compris quand il l’avait appelée et était apparu ici avec sa valide et son costume, arrivant directement de l’aéroport à une heure bien trop tardive. « Si j’arrive à obtenir le marché. » Greta avait légèrement tourné la tête pour pouvoir le regarder, intrigué par ce projet qu’il évoquait. A en juger par son attitude au téléphone où il oscillait entre l’envie d’être disponible pour elle et le besoin de vite retourner à ses dossiers, il semblait très impliqué et pour cause, les Coventry n’étaient pas du genre à travailler sur de petits contrats. « Disons que je serais vraiment bien... » « On en reparlera plus tard pour pas te jinxer du coup c’est ça ? » Son sourire était malicieux mais empreint d’une extrême sincérité, elle croyait en lui et elle espérait que ce soit également son cas. Alors qu’elle l’imaginait lui raconter les tenants et aboutissants de ce fameux projet parce qu’il n’était pas du genre superstitieux, Arthur avait finalement prononcé une phrase auquelle elle ne s’était pas attendue. Les traits de son visage avaient dû la trahir alors qu’elle pensait avoir réussi à dissimuler l’ensemble de ses doutes depuis leurs retrouvailles. « Soit t’ose pas me poser le million de questions qui te trotte dans la tête, soit tu sais pas comment me dire de partir. » Après ce long moment passé avachie sur lui, Greta s’était finalement redressée pour lui faire face et avait replacé une mèche de ses cheveux derrière son oreille. « Arrête, j’ai aucune envie que tu partes et tu le sais. » Sa main dans la sienne, la façon dont elle ne quittait pas son étreinte, la proposition d’un dîner, de combien d’autres signes avait-il besoin pour en être certain ? En le regardant, elle aurait juré pouvoir lire un peu d’inquiétude dans son regard et malgré sa volonté de ne pas l’encombrer avec ses propres craintes, l’impression de le voir les partager l’avait encouragé. « Honnêtement… J’imagine qu’on se demande tous les deux où on va comme ça. » Comme elle regrettait de lui avoir fait face avant de prononcer ces mots alors qu'elle sentait le rose lui monter aux joues. Elle avait utilisé des mots qui les concernaient tous les deux, comme si ne pas parler uniquement d’elle rendrait l’exercice plus simple. Baissant les yeux, elle avait réuni juste assez de courage pour venir questionner sa dernière demande. « Mais comment je pourrais oser te parler alors que quand j'essaie de le faire tu te refermes ? » Suzuka juste avant, et elle avait pu sentir son corps entier se crisper alors que sa tête reposait encore sur lui. Et ce week-end là justement, où il avait ignoré toutes ses tentatives de lui faire comprendre ce qu'elle pouvait bien ressentir. Elle n'était pas étonnée, Arthur n'était que l'égal de lui-même, apeuré à l'idée d'avoir une discussion claire mais trop curieux pour laisser s'échapper l'occasion de l'avoir. « Et je t’ai dit que j’avais pas envie d’être un problème supplémentaire et toi tu m’as dit d’arrêter de me poser des questions… Alors oui j’en ai un tas d'autres mais c’est pas important. » L’écrivaine accordait bien plus d’importance à l’impact de cette relation sans étiquette sur son moral, Arthur lui ayant indiqué plusieurs fois qu’elle devait arrêter de se poser des questions. « On aura une discussion mais seulement quand je serai sûre que tu disparaîtras pas une seconde fois. » Et avec ces mots là elle venait déjà de lui indiquer ses craintes et la façon dont elle tenait à ce qu’il reste auprès d’elle. Son regard s'était fait un peu plus intense et sans réellement y réfléchir, après de longues minutes à y songer, elle avait posé sa main sur sa joue et ses lèvres sur les siennes avant que la porte ne sonne pour apporter leur dîner. Elle avait quitté la bulle qu'ils avaient formée sur le canapé et même si elle était soulagée de trouver une échappatoire après ce geste spontané qu'elle craignait qu'Arthur ne juge, elle commençait à en avoir plus qu'assez de ces coïncidences qui se moquaient d'eux et compliquaient sans cesse les choses. just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
(2023) greta #2 › swann #6 › swann #7 › eleonora #3 › mariage rowann › greta #3 › swann #9 › greta #4 (2016) › greta #5 › greta #6 › swann #10 › corey #3 › noor › swann #13 (2011) › greta #9 › malone #2 › london gang › emery #1 › mickey
(2022) rory #1 › murphy #2 › seth #3 › swann #3 › vivian › eleonora #2 › swann #4 › greta #1 (2013) › channing › malone #1 › swann #5
(2021) swann #1 › murphy #1 › maisie › martin › seth #2 › eleonora #1 › swann #2
(flashback) greta #12 (fb)
(ua gothique) greta #7 › swann #11 › ruben #1 › itziar › ruben #3 › corey #1 › greta #8 › ezra #1 › ezra #2 › ruben #4 › cesar #1 › tessa › ruben #6 › corey #2 › cesar › ruben #7 › itziar #2 › abe › corey #4
(ua space) swann #12 › ruben #2 › ruben #5 (ua space)
(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Mer 06 Déc 2023, 12:10 | |
| i don't wanna face the music, but, i still wanna dance with you « Chaque chose en son temps, Arthur. » Est-ce qu’elle parlait encore de son livre ou le sujet venait subtilement de glisser vers eux. Il n’était plus certain de comprendre où s’en allait la conversation, voyant bien le regard sans cesse inquiet que Greta jetait vers lui. Elle n’osait s’approcher, comme s’il était devenu un animal sauvage qui s’échapperait dans l’ombre aux moindres gestes brusques de sa part. Il y avait sûrement une part de vérité dans tout cela, mais Arthur n’était pas prêt à l’admettre. Il s’entêtait à répéter, qu’il n’était présent que par amitié, parce qu’il avait entendu la voix de Greta trembloter à l’autre bout du fil et qu’il avait eu besoin de venir voir par ses propres yeux qu’elle allait savoir tenir le cap. Il n’était plus réellement question de littérature et de projets. Pour la première fois, Arthur venait de comprendre qu’il avait une part de responsabilité dans la panne d’inspiration que traversait Greta depuis toutes ces années. Elle avait eu besoin de temps quand il ne lui avait même pas laissé le droit à une dernière conversation. Conscient de ses erreurs, il n’allait pas insister sur le sujet, pas quand elle semblait vouloir le voir rester. Pas quand elle était capable de riposter avec une discussion qu’il ne souhaitait avoir. « Je trouve que ça l’est, moi. » Une fois encore, il ne pouvait comprendre pourquoi Greta semblait sans cesse émerveillée par son sevrage. Pourquoi est-ce qu’elle s’entêtait à le soutenir après tout ce qu’il lui avait fait subir avec ses cachotteries et son addiction. Cela restait un mystère dont il ne pouvait plus interroger l’origine. Elle lui avait déjà tout dit, mais Arthur ne pouvait réellement admettre, ou enregistrer, l’idée même qu’il pouvait rester quelqu’un d’important à ses yeux. « T’as arrêté du jour au lendemain ? Seul ? » Elle voulait comprendre et lui se contenta de hausser les épaules. « Pas vraiment du jour au lendemain. » Il avait d’abord diminué avant de ne plus rien prendre du tout, parce qu’il n’était plus capable de se contenter de peu. « Je vais à un groupe de paroles. » Trouver par Swann, imposer par Malone. Il y avait tout un petit système qui fonctionnait autour de lui-même quand Arthur ne se donnait pas à 100% dans son propre projet. « Je parle pas, mais j’y vais. » Il n’avait pas trouvé la force, encore, de prendre la parole devant ce groupe d’inconnus qui traversait pourtant la même chose que lui. « J’ai hésité à y aller avant de venir ici. » Il en avait ressenti le besoin dans l’avion quand une vague d’angoisse était venue le saisir à la gorge, sans raison apparente. « J’irais à celle de demain. » C’est bien la première fois qu’Arthur avouait tout cela et si Greta en parlait à qui que ce soit, il serait le premier à nier ses confidences. Il n’avait pas été élevé pour admettre ses faiblesses.
Tout se voulait bien plus calme soudainement, comme une fin de journée qu’ils avaient pu vivre à maintes reprises. Quelques chamailleries sur le dîner, des sujets légers et le rire de Greta qui venait jouer des tours sur ses émotions. « On en reparlera plus tard pour pas te jinxer du coup, c’est ça ? » À son tour de rire légèrement. « Croise les doigts sur tout. » Arthur se voulait sûr de lui, mais après deux journées complètes à parler du projet, il n’avait pas l’intention d’ennuyer Greta avec ce genre de détails. Cela n’avait pas la moindre importance entre eux, surtout lorsqu’il pouvait voir le doute sautiller au fond de ses prunelles azur. « Arrête, j’ai aucune envie que tu partes et tu le sais. » Il le sait, oui. Il l’avait bien compris, mais il voyait également toute la retenue qu’elle s’efforçait de mettre dans ses mouvements. Et Arthur n’avait jamais été très doué pour décrypter le langage féminin. « Honnêtement… J’imagine qu’on se demande tous les deux où on va comme ça. » Non, pas vraiment. Arthur préférait ne pas se poser de questions et vivre l’instant présent. S’interroger reviendrait à paniquer, ce n’est pas ce qu’il souhaitait faire. Comme toujours, il préférait foncer tête baissée pour mieux voir après. « Mais comment je pourrais oser te parler alors que quand j'essaie de le faire tu te refermes ? » Touché, coulé. « On est pas non plus obligé de partir en psychanalyse. » Il n’avait jamais été celui qui partageait la moindre de ses pensées, mais il savait également être honnête. Envers elle tout du moins. Si elle avait des questions, il voulait bien jouer le jeu des réponses. Mais jusqu’à quel point ? Allait-elle uniquement se concentrer sur ses addictions ? Peut-être qu’il n’était finalement pas réellement prêt pour cela, qu’une fois encore, il préférait jouer à l’aveugle. Greta voulait parler de ses émotions, de ce qu’elle ressentait. Arthur n’était pas prêt pour cela. Il ne pouvait pas s’entendre dire qu’elle tombait probablement à nouveau, cela induirait trop de responsabilités. Il avait failli une fois, il ne pouvait s’entendre dire qu’il serait encore capable de lui faire du mal, qu’il possédait encore ce pouvoir sur elle. Arthur jouait à l’autruche, préférant vivre l’instant présent sans jamais se poser de questions existentielles. Il était resté un gamin qui ne vivait que pour l’adrénaline de l’instant. « Et je t’ai dit que j’avais pas envie d’être un problème supplémentaire et toi, tu m’as dit d’arrêter de me poser des questions… Alors, oui, j’en ai un tas d'autres, mais c’est pas important. » Il eut un soupir quand il comprit que tout se jouait aux émotions pour elle. « Tu voulais ça autant que moi… » Il ne l’avait pas forcé. Ils avaient passé le week-end entier à ce cherché. C’était arrivé. Pourquoi fallait-il tout remettre en question pour une nuit passée ensemble ? Est-ce qu’ils ne pouvaient tout simplement pas savourer ces moments d’innocences sans imposer des mots sur ce qui ressemblait à peine à une relation retrouver ? Greta cherchait à les définir quand lui voulait encore juste profiter de l’instant présent. Il n’était pas capable de lui offrir plus, mais il ne savait lui dire, parce qu’avouer qu’il ne pouvait aller plus loin dans une quelconque forme d’engagement allait la faire fuir. Et aussi égoïste que cela puisse être, Arthur voulait la garder auprès de lui. « On aura une discussion, mais seulement quand je serai sûre que tu disparaîtras pas une seconde fois. » En quelques mots, à peine murmurés, elle venait de lui avouer tout ce qu’il craignait. Greta s’attache, une fois encore, elle veut le voir rester, quand il n’est même pas certain d’à quoi son lendemain pourra bien ressembler. Ils se cherchent comme deux opposés, l’un voulant se poser, l’autre cherchant encore à n’être qu’un homme volage, attaché à la familiarité de certaines étreintes. Il ne voulait pas spécialement aller voir ailleurs, mais il ne pouvait lui donner ce qu’elle souhaitait non plus. Pas alors qu’il se voulait déjà si fragile sur bien d’autres points. Mais Greta ne s’est pas arrêtée à quelques mots, et lorsqu’elle vint l’embrasser, Arthur eut le souvenir de ce qui le faisait encore rester… Il cherchait ça. Cette petite étincelle qui s’allumait dans sa poitrine dès qu’elle venait près de lui. Il était accroc à ça. Cette sensation inexplicable, qu’il ne savait retrouver chez aucune autre des femmes qu’il avait fréquentées durant toutes ces années.
À défaut de trouver les mots qui sauraient la rassurer, il s’était levé pour la suivre dans la cuisine. Il avait plaisanté sur la quantité de nourriture qu’elle avait commandée, lui avait lancé un sourire complice lorsque leurs mains s’étaient effleurées sur le comptoir. Arthur ne savait pas parler, mais parfois, il savait se faire comprendre au travers de ses actions. Pour l’instant, il était présent à ses côtés. C’est tout ce qu’il pouvait promettre, un instant présent. Et alors que Greta allait s’éloigner pour remplir son assiette, il la retint par les hanches, la faisant à nouveau pivoter vers lui. Leur regard se croisa un instant, avant que ses lèvres ne viennent trouver les siennes dans un baiser bien plus appuyé que le précédent. « C’était juste pour vérifier un truc. » L’étincelle était toujours là, plus vive encore. Ouais, t’es dans la merde mon grand. |
| | | | | | | | (moventry #9) i don't wanna face the music, but, i still wanna dance with you |
|
| |