Un mois, cela faisait un mois tout pile mais, Madison avait l'impression que cela faisait une éternité. Elle avait commit ce qui était certainement la plus grosse faute de sa carrière, mais ce n'était pas cela qui la travaillait puisque personne n'était au courant, ce qui la tracassait c'est qu'elle n'avait pas eu la moindre nouvelle de Julian. C'était pourtant lui qui lui avait demandé si leurs au revoir n'étaient pas des adieux, c'était lui qu'il avait dit " à bientôt "... Tout cela n'était donc que de belles paroles ? N'avait-il jamais réellement envisager une suite ? Il fallait croire que non. Elle s'était laissée embobiner, elle s'était faite avoir comme la dernière des connes, il avait eu ce qu'il voulait et maintenant il était parti pour de bon. La jeune femme n'avait été qu'un coup, chose qui ne lui était jamais arrivée auparavant, elle n'arrivait pas à s'en remettre, cette impression d'avoir été utilisée était des plus désagréables. L'organisatrice d'événementiel aurait pu demander des nouvelles de son client à Jamie vu qu'il vivait dans le même quartier que lui, qu'il le voyait parfois à ABC radio, mais elle ne l'avait pas fait parce que cela aurait nécessité de lui dire qu'elle avait déjà brisé sa promesse, qui était de ne pas déraper avec lui. Elle se faisait un nombre incalculable de films, le pire était que Julian se soit fait un mariage express via une autre agence, poussé à bout par sa fiancée qui ne voulait plus attendre plus longtemps. La jeune femme n'arrivait pas à se changer les idées, elle ne pensait qu'à lui, encore plus lorsqu'elle se retrouvait seule chez elle. Cette soirée ne faisait pas office d'exception, dès qu'elle mit les pieds dans son appartement elle soupira. Pourquoi faisait-elle une aussi grande fixette ? Des hommes célibataires il y en avait plein, pourquoi lui ? Il faisait toujours que son cœur lui fasse de mauvais tours en choisissant de battre pour le mauvais type. Elle essaya de penser à autre chose en allumant la télé, mais dès qu'elle l'alluma elle vit une énorme touffe bouclée ce qui lui fit immédiatement penser à son client alors elle l'éteignit. Il n'y avait qu'un seul moyen assez efficace pour qu'elle l'oublie : l'alcool, mais en se rendant dans sa cuisine et en ouvrant ses placards elle s'en rendit compte qu'elle n'avait plus rien, même pas une seule bouteille, elle se souvenu qu'elle avait pris la résolution de se débarrasser de tout pour éviter de boire lorsqu'elle n'arrivait pas à dormir. Néanmoins, cela n'allait pas l'arrêter, cela ne serait pas suffisant pour qu'elle reste sobre, il y avait un tas de bars dans son quartier alors elle allait se rendre dans l'un d'entre eux. Elle s'empara de ses clés et marcha un bon quart d'heure avant d'arriver dans un endroit qu'elle connaissait bien, elle salua le barman et s'installa. La brunette n'avait même pas besoin de préciser ce qu'elle voulait, il le savait déjà, elle prenait toujours la même chose alors il lui servit du whisky. La jeune femme s'enfila ses premiers verres dans la plus grande des tranquillités, les uniques personnes présentes étaient attablées en train de discuter entre elles, personne ne la remarquait et c'était tant mieux. Au bout d'une dizaine de minutes de nouveaux clients débarquèrent, deux hommes se mirent sur les tabourets qui étaient à côté d'elle, ils commencèrent à essayer de la draguer, chose qui l'agaçait étant donné qu'elle n'avait pas la tête à ça...
Trois semaines, ça fait trois semaines que je suis sur le même dossier. Dossier dont j’ai l’impression qu’il ne se terminera jamais. Dossier dont j’aimerais réellement boucler. Il y a des jours ou j’ai envie de tout faire valser et de ne plus continuer à lire ça. Dossier qui parle d’enfant dont les parents ne s’occupe même pas, parents qui préfèrent se droguer et sortir que de s’occuper de leurs deux enfants de 8 et 10 ans. Je grogne doucement en venant pousser les papiers et appuyer mon dos sur mon siège. Je passe mes deux mains, jointes sur mon visage. Ma secrétaire arrive doucement dans le bureau, frappant et tout en s’excusant elle m’indique une heure assez tardive et me demande de partir. J’hoche la tête positivement puis je fais de même. De toute façon ça attendra encore demain ce dossier, je ne peux rien faire quand les preuves concrètes ne sont pas là. Je lève mon fessier de ma chaise puis j’attrape ma veste. Je l’enfile, éteint mon bureau puis je sors en même temps que la secrétaire des locaux. Fallait que je décompresse. Passer voir mon frère ? Non, je n’ai pas spécialement envie de l’encombré. Ma sœur ? Elle doit être encore au travail. Lisandre, lui et sortir. Je hausse doucement les épaules puis je me dis qu’un petit verre ne peut pas me faire de mal. Montant alors dans ma voiture, je mets le contact, au début j’ai pensé aller a un bar que je ne connais pas, mais en faite je ne vais pas m’ennuie dans un endroit ou je ne connais personne. Le but c’est de me changer les idées ? Bref, je vais aller dans un bar je passer régulièrement, je ne suis pas connus là-bas mais c’est assez régulier que j’aille faire un tour. Je roule en direction de celui-ci. Une fois que j’ai trouvé une place tout près je me gare, sors de la voiture puis j’entre dans celui-ci, je salue les personnes et m’installer au bout du bar. Un coin assez isoler mais ou on va presque toute la salle. Commande une pression, puis une voir mon verre devant moi je viens alors boire une gorgé. Ton entrain de fait rapidement je ne m’attarde pas vraiment sur toi. Une habitué a se que je peux vue, que le serveur sans que tu lui demande il dépose ta boisson. C’est quand tu commences a enfilé les verres les uns après les autres que je me doute qu’un truc ne va pas, ou, tu es une habitué de la boisson. Je ne sais pas en réalité. Je baisse un instant mon regard sur mon téléphone pour regarder mes messages quand ses deux hommes entre à leurs tours. Pas très discret j’avoue. Mais ils ont vite repérés leur proie : toi. Une jeune et jolie jeune femme seule, a se que je peux voir, assise a un bar entrain de boire. J’ai le regard légèrement relever, plissant un peut mes sourcils en les regardant faire. Indécent ses hommes, comment quelqu’un peut se comporté comme ça avec une femme ? Je ne sais pas. Mais voyant ton visage je pouvais remarquer que ça t’agasse. Je viens alors me relever pour m’approcher un peut plus de vous. Voulant savoir se qu’ils se disent et ou intervenir si ça devait mal tourner. Sauveur de ses dames, j’ai bien l’impression que c’est moi. Par chance, une télé n’était pas loin. Bière en main, debout non loin des vous, je lève doucement le nez pour faire sembler d’écouter se qui se dit a l’écran mais en réalité j’écoute les propos des langues pendus. C’est quand j’entends qu’ils te disent que tu es belle à croquer, je souris amuser puis j’apporte ma bière a mes lèvres. Je tourne doucement la tête vers vous et l’un d’entre eux commence à lever la main comme pour la passer vers ton visage et dégager une de t’es mèches. Je viens doucement me raclé la gorge, se qui stop directement le mec, passant ma seconde main sur le nœud de ma cravate pour la défaire un peut ainsi que mon bouton. Passant en suite ma main dans la poche de mon pantalon de tailleur en lançant ma veste suivre le mouvement pour la mettre en arrière. Je pivote un peut pour leur faire face. Ca commençait à m’énerver pour toi, c’est pour ça que je les regarde avec insistance maintenant. Ils n’avaient rien d’autre à faire que d’emmerder les femmes dans les bars. J’en avais déjà vue des hommes comme mais plusieurs, mais je dois avouer que je me suis défouler sur bien des personnes pour qu’ils arrêtent. Généralement en voyant la carrure ils essayent une fois, pas deux.
En tant que jeune femme seule, petite et frêle Madison savait qu'elle était une cible privilégiée, une proie facile, mais elle ne faisait pas emmerder à chaque fois qu'elle était seule dans un bar alors elle ne pensait pas forcément qu'on viendra l'aborder. Dès que les deux hommes marchèrent en sa direction elle su que ce n'était pas bon, elle voyait rien qu'à leurs démarches et à la tête qu'ils faisaient qu'ils voulaient se faire remarquer par elle le plus tôt possible. Malgré tout elle ne changera pas de tabouret, elle n'allait pas leur montrer leur inquiétude comme cela, aussi facilement. Après tout elle n'était pas dans un endroit sombre et désert, il n'y avait pas de quoi déguerpir. D'autres femmes pourraient finir par arriver et détourner leurs attentions, elle ne souhaitait que cela dès la seconde où ils commencèrent à parler. Un compliment par-ci, un compliment par là, des sourires enjôleurs, ils ne masquaient pas une seule seconde leurs intentions. Le barman n'y faisait pas attention, il était trop occupé à servir d'autres clients. Au début elle roulait des yeux, elle ne répondait pas mais face à leur insistance il fallait qu'elle sorte de son silence. « Non je ne suis pas intéressée et non ce n'est pas parce que je suis seule dans un bar, bien coiffée et maquillée que je cherche à être accostée. »Elle en avait marre de ce genre de préjugés à la con, ils ne pouvaient pas comprendre qu'elle s'était apprêtée ainsi pour la simple et bonne raison qu'elle avait été travaillée et qu'elle se devait d'être présentable dans son milieu. Madison pensait naïvement que sa réplique avait fait effet puisqu'ils cessèrent brusquement de lui faire des avances, mais l'un des deux types avait tourné la tête, peut-être qu'il avait repéré une nouvelle cible. L'organisatrice d'événementiel profita de cette quiétude pour boire un nouveau verre, mais sa sérénité n'était pas complète parce que les deux hommes restaient à sa droite et à sa gauche. Non il n'y avait pas d'autres femmes à leurs goûts, si jamais certaines passaient devant l'entrée et voyaient ce qu'ils faisaient il ne risquait pas d'en avoir des nouvelles. Après avoir fini sa gorgée, un des inconnus revenu à la charge. Elle fronça des sourcils et commença à froncer les sourcils. « Alors toi je suis sûre que tu me dragues alors que tu as déjà quelqu'un dans ta vie, tu as une tête de mec casé. Va donc retrouver ta femme au lieu de me casser les pieds. » Elle se leva et regarda l'autre type.« Et toi tu m'as tout l'air d'un sale con qui se croit irrésistible. Non tu n'es pas Brad Pitt, redescends sur terre. » Madison n'aurait jamais dit de tels mots si elle n'avait pas de l'alcool dans le sang, elle n'aurait pas osé le faire alors qu'elle était seule face à deux hommes, surtout au moment où le barman s'était éclipsé dans la réserve. Les autres clients du bar se fichaient bien de ce qui était en train de se passer, personne n'intervenait, mais elle n'avait pas remarqué qu'une personne avait suivi la scène discrètement. Elle avait du mal à rester debout, son taux d'alcoolémie l'empêchait de bien se tenir, elle commençait à avoir des maux de tête, l'un des deux dragueurs en profita pour lui dire qu'ils pourraient s'occuper d'elle.« Foutez moi la paiix bon saang ! » Dit-elle en passant une main sur son front. Comment allait-elle faire pour sortir sans se faire suivre par ces deux zigotos ? Cela lui semblait impossible, il fallait qu'elle reste dans le bar jusqu'à ce qu'ils en aient marre d'être après elle. Ce fichu barman ne revenait pas, elle était dans une impasse...
C’est alors que je te vois rapidement te lever énervé, fatiguée de leur comportement que j’interviens réellement. Je dépose mon verre sur le bar, puis je m’approche du premier et l’arrête. « La jeune femme vous a demander d’arrêter, je ne sais pas si vous l’avez bien compris ça. » Je m’interpose entre toi et lui. Je suis agacer, énerver pour toi. Tes prétextes ils n’en ont pas tenu compte. Il est vrai que tu es très jolie, que, toi aussi tu dois sortir du travail d’où tenu. Bon, je préfère intervenir maintenant que de laisser les choses trainer et que ça finissent mal en réalité. Mais je vois aussi que personne ne bouge, se que je ne trouve pas normale. Ma carrure assez grande, imposante est devant toi, dos à toi. Mais surtout devant cet homme qui se met à rire. Un rire énervant, agaçant et ironique en réalité. Je passe doucement une main sur ma mâchoire ou je trouve alors une petite barbe de quelques jours, tout en la frottant doucement en secouant la tête de gauche à droite désespérer de son comportement. J’inspire doucement, je ne devais pas m’énerver ni même exploser. Je n’avais pas vraiment envie avoir affaire au force de l’ordre surtout pas a cette heure là. A Los Angeles j’avais un peut trop payer le prix et, je n’ai pas trop envie que tout ça recommence. Je me suis promis de me tenir à carreau a présent. J’ai mon nom de famille à tenir, je ne suis pas tout seul dans la ville a présent. Je dois préserver mes cadets. Je prends alors d’une voix assez calme « Plus sérieusement, dégagez. » « Monsieur muscle arrive et on doit partir ? » réplique l’un d’eux. Mais le suivant ouvre la bouche « Partage quoi ! T’es pas tout seul ! » Quand j’entends ses paroles, je serre rapidement ma mâchoire et d’un pas j’atterrie face à lui, je l’attrape violemment par le col et le plaque contre le bar. Il n’a plus trop envie de rire ni même de sortir une seconde connerie en te concernant. « Tu veux partagé quoi ? Ta femme pauvre connard ? T’as pas compris que tu faisais plus chier qu’autre chose. Ressort encore une fois un truc de se genre et tu reçois mon point dans la gueule connard ! » Je viens alors le lâcher après lui avoir dit ça, j’ai alors une voix moins joyeuse, moins calme. Le mec prends peur, je recule doucement d’un pas en leurs faisans un signe de la tête de dégager. A nouveau oui. C’est alors qu’ils prennent peur et qu’ils commencent à partir vers la sortie. Je viens doucement me tourner face à toi. Je prends une voix plus calme en m’adressant à toi. « Comment aller vous ? » Une fois proche de toi je vois que tu perds l’équilibre. Je me permets de rapidement passer mes bras autour de ta taille pour te rattraper et que tu ne te fasses pas mal. Je souris doucement en te regardant. Une fois que tu es à nouveau sur tes pieds je viens doucement te lâcher pour que tu ne penses pas que je suis un profiteur mais je garde mon regard noisette sur ton visage en ayant un sourire aux lèvres, je n’ai pas envie que tu me frappes ou bien que tu me repousser en m’accusant d’être un homme profiteur.
Ils ne partaient pas, c'était comme si elle représentait l'occasion d'une vie alors qu'elle n'avait rien d'extraordinaire, c'était juste un petit bout de femme seule qui essayait de se changer les idées, mais qui ne le pouvait pas parce qu'on l'importunait sans cesse. On se montrait rarement insistant avec elle, lorsqu'elle disait non une ou deux fois cela passait, mais pas cette fois, elle n'avait pas à faire avec des gentlemen. Alors qu'elle n'avait plus d'espoir, un inconnu vint s'approcher du bar pour leur dire d'arrêter. Elle le regarda de haut en bas, il était impressionnant, cette taille, cette musculature, si elle était debout à côté de lui elle aurait vite fait de passer pour une naine. S'ils n'obéissaient pas à un homme pareil alors il n'y avait vraiment rien à faire, mis à part se réfugier derrière lui et attendre qu'on lui foute la paix. Personne ne bougeait, pas un seul des deux inconnus ne prenait l'initiative de partir, une conversation surréaliste commença, on demandait au nouveau venu de " partager ", partager... il la voyait vraiment que comme un objet et non pas comme un être humain avec ses propres envies. L'organisatrice d'événementiel ne dit rien, elle n'a pas besoin de faire quoique ce soit puisque celui qui se présentait comme son sauveur s'énerva et plaqua l'homme contre le bar. Elle se sentait mal, non pas parce qu'elle avait peur pour le dragueur, mais parce qu'elle se sentait impuissante et que le grand brun risquait de s'attirer des ennuis en agissant de la sorte. La jeune femme aimerait partir, mais elle restait immobile comme s'il lui était impossible de se lever. Les choses semblent se calmer, les deux compères s'éloignent enfin et elle trouva soudainement la force de se mettre debout, mais son équilibre était fragile.« Ça va merci. Maintenant j'aimerais juste... rentrer chez moi. » Il l'avait rattrapé avant de la relâcher, dès qu'il la relâcha elle le fixa, elle se mit à détailler son visage, il lui faisait étrangement penser à quelqu'un... Julian ? Non elle devait certainement halluciné à cause de l'alcool, il ne lui ressemblait pas tant que ça. Madison murmura : « Je n'habite pas très loin d'ici, cela ne devrait pas être compliqué. »Seul son sauveur pouvait l'avoir entendu et c'était le but, mais elle n'osait pas lui demander de but en blanc de l'accompagner jusqu'à chez elle surtout qu'il en avait déjà assez fait.« J'espère que ça ne vous causera pas du tort de m'avoir aidé, ces abrutis seraient capables de porter plainte. »Aucune personne faisant partie du personnel ne l'aurait vu, il serait donc seul contre deux, mais s'il avait un bon avocat il pourrait facilement s'en sortir. « Heureusement qu'il y a des hommes comme vous pour aider des femmes comme moi. Je vais y aller maintenant. »Elle ne savait pas comment elle arrivait à s'exprimer aussi clairement alors qu'elle avait un mal de crâne affreux, elle s'avança vers la sortie, mais s'arrêta avant de franchir le pallier pour se maintenir grâce à la poignée.« J'ai vraiment trop bu, il faudrait vraiment que j'arrête de boire. »Marmonna-t-elle. Elle ne pouvait pas rentrer comme ça seule, elle risquerait de tomber par terre à n'importe quel moment. Madison se retourna légèrement, son sauveur était toujours là.« Je sais que vous en avez assez fait, mais... est-ce que vous pourriez me ramener chez moi ? » S'il n'y avait pas d'alcool dans ses veines elle n'aurait jamais fait une telle demande à un inconnu, mais allez savoir pourquoi il lui inspirait vraiment confiance.
Des hommes comment eux je ne les supportes pas. Ce n'était pas la première fois que je m'en prenais a ses personnes là. Aucun respect, aucun regret de prononcer des paroles comme celle qu'ils viennent de dire. Ca ne pouvait que me mettre hors de moi. Certes ça me mets dans une position des plus déplorable, mais ce n'est pas ça le soucis. Je savais comment faire pour m'en sortir puis en réalité je suis entouré de bon avocat, mes cadets, je n'ai pas de soucis a me faire. Puis a mon arriver dans la ville j'ai déjà eu quelques problèmes qui ne sont plus d'actualité. J'ai pu tout remettre à zéro mais surtout que personne ne sache vraiment qui je suis. Je suis peut-être pas le plus saint des enfants Grimes, mais je sais que je suis le plus colérique et celui qui s'emporte le plus rapidement. Quand les deux parts du bar, je les surveille jusqu'au se qu'ils soient un peut plus puis je me retourne vers ta personne, je pouvais voir que tu ne tiens pas forcément sur tes jambes d'où le fais que je sois prêt a te rattraper si tu est déséquilibré en t'écoutant. Pas manqué, tu es déséquilibré donc je te tiens puis quand tu reprends une certaine force sur tes jambes je te lâche doucement. Je hoche doucement la tête, c'est normale que tu veux rentré chez toi après se qu'il c'est passer. Gardant mon regard déposer sur ta personne en ayant un sourire sur mes lèvres. Ca me rassure que tu ne sois loin comme ça la route ne sera pas des plus longue pour rentré. « Parfait. Et ne vous en faites pas, ils peuvent portés plaintes sa n'ira pas plus loin. » J'ai alors un sourire rassurant sur mes lèvres. Bon c'est aussi un bon point d'être huissier de justice, et surtout d'avoir des connaissances et de la famille en tant que policier et avocats. « Je ne supporte pas les personnes irrespectueux qui s'en prenne a des jeunes femmes comme vous. Ca va aller pour rentré ? » Je te regarde t'avancer vers la sortie, plissant doucement les yeux je n'ai pas spécialement envie de te laisser partir dans cette état, mais je n'ai pas envie d'insister pour t'accompagner. Et si ses deux gros lourds son encore dans le coin et qu'ils reviennent a l'attaque ? Et s'il t'arrive quelque chose dans les rues. Je viens m'approcher a nouveau de ta personne mais tu es plus rapide que moi. A t'es paroles je hoche la tête positivement « Venez, je vous raccompagne avec plaisir. Puis tu et pas vous, appel moi Sean aussi ça sera plus simple durant le trajet. » Je te souris puis je t'offre alors mon bras pour que tu puisses te tenir a moi et que tu ne tombes pas. Je ne suis pas du genre a draguer les jeunes femmes sous l'emprise de l'alcool au contraire, si je peux aider je le fais. Une fois que tu as attrapé mon bras, j'ouvre la porte du bar pour que nous puisons sortir tout les deux. Puis même si tu ne m'aurais pas demander de te ramener chez toi j'aurais insisté un peut plus pour le faire malgré tout.
Cet épisode approchait de sa fin, il avait mal commencé mais il semblait bien parti pour se terminer sur un happy ending. L'organisatrice d'événementiel n'avait pas beaucoup foi en l'humanité en général, mais des personnes comme celle qui lui était venue en aide sans rien demander en retour lui mettait du baume au cœur. Elle ne savait pas comment le remercier, lui rendre l'appareille alors elle allait très certainement se contenter de le remercier avec des mots une fois qu'elle l'aurait quitté, peut-être qu'un jour elle sera amenée à le rencontrer à nouveau et qu'elle pourra le remercier d'une autre manière. Il lui disait qu'il n'y avait rien à craindre, qu'une plainte n'ira pas loin, elle ne le contestera pas puisqu'elle n'y connaissait pas grand-chose en histoires de droit, jusqu'à maintenant elle n'avait jamais eu à porter plainte. Leur conversation aurait pu se terminer sur ça, mais la brunette se sentait trop faiblarde alors elle essaya de profiter de sa gentillesse une dernière fois, voyant qu'il était inquiet pour elle c'était une chose aisée. Il lui donna son prénom et lui demanda de le tutoyer à présent, si ça lui faisait plaisir...« Merci Sean. »Dit-elle en s'accrochant à son bras, il était tellement grand, elle ne s'en rendait compte que maintenant qu'ils étaient très proches, qu'elle voyait où sa tête lui arrivait elle avait vraiment l'air d'une enfant à côté de lui. Elle aurait difficilement pu tomber sur mieux comme sauveur impressionnant, pour une fois elle avait une bonne étoile. Leurs premiers pas en dehors du bar étaient silencieux, la jeune femme ne parlait pas, non pas parce qu'elle n'avait pas envie de lui taper la causette mais parce qu'elle avait l'esprit embrumé, elle était concentrée sur son chemin et essayait de marcher le plus normalement possible, mais elle marchait à la vitesse d'un escargot. C'est qu'il avait du temps à perdre ce Sean pour bien vouloir la raccompagner jusqu'à chez elle. Maintenant qu'ils avaient la paix elle prit le temps de l'observer plus ou moins discrètement, cherchant à voir ce qu'il avait en commun avec son ancien amant. Finalement l'air de ressemblance était bien là, elle n'avait pas halluciné lorsqu'elle les avait comparés la première fois, elle pouffa légèrement de rire quand elle s'en rendit compte.« Le destin est vraiment une blague, je sors pour me changer les idées, oublier quelqu'un et je tombe sur quelqu'un qui lui ressemble... J'espère que vous... enfin tu n'es pas en un homme fiancé infidèle toi au moins. »Elle en doutait, il avait l'air d'avoir des valeurs puisqu'il l'avait aidé au lieu de rester passif comme la plupart des gens l'auraient fait à sa place, mais on pouvait avoir des valeurs et les bafouer, elle le savait très bien puisqu'elle même l'avait fait quelques semaines auparavant. Ils n'étaient plus qu'à quelques pas de l'entrée de son immeuble, Madison lâcha son bras et se tourna vers lui. « C'est ici que notre chemin se sépare. Encore une fois merci. »Dit-elle en lui affichant un petit sourire.
C'est vrai qu'auparavant je n'aurais jamais fait ça, ou du moins je ne serais pas rester calme comme je lui rester. J'aurai plutôt utiliser mes points pour les cogné mais ça n'en valait pas la peine vue qu'ils sont parties après une ou deux menaces. C'est vrai que quand je t'es vue partir vers la sortie pas aussi bien que tu veux paraître j'ai un air inquiet sur le visage. Accepter de te raccompagner et perdre ou passer quelques minutes de plus pour te savoir en sécurité n'était pas bien grave pour ma part. Je préfère ça que, tu finisses pas te casser la figure ou même te faire renverser par une voiture. Au moins, là tu es accrocher a mon bras et c'est moi qui mène la danse, enfin le pas. Je pouvais me moquer de l'allure que tu peux bien avoir, escargot ou non, je te laisse aller a ton rythme. Au moins on est sur que rien ne va nous arriver. Un moment de silence, qui n'est pas spécialement désagréable c'est installer. Sa ma permis de regarder devant moi et de repéré le chemin malgré tout, je veux rejoindre ma voiture une fois devant chez toi. C'est ton pouffement de rire qui attire mon attention sur ta personne. Je baisse la tête pour t'observer, je remarque a mon tour que tu n'es pas spécialement grande et que je suis un géant a t'es coter. Au moins, je fais le protecteur. Je t'écoute attentivement, j'ai bien compris que tu me parles d'une personne qui me ressemble, ou qui a des airs avec moi mais qui lui n'est pas fidèle a sa fiancée. Je plisse doucement des sourcils mais je souris malgré tout. La situation est assez amusante. Je ne sais pas vraiment de qui tu me parles mais au moins tu as sortie de petite truc qui te chagrine. « Et bien je ne savais pas qu'une personne me ressemblant est un homme infidèle. » je ne préfère pas te poser plus de question. Est-ce que tu as les idées embrouillés par l'alcool ou tu me dis la vérité ? Je pourrais « abuser » de la situation pour te soutiré des informations mais je ne n'ai pas envie d'en savoir plus. Après tout si tu voulais que j'en sache plus tu l'aurais fait de toi même. Même si on ne s'en rend pas spécialement compte, l'alcool nous fait avouer certaines vérités qu'on ne pensait pas dire. Je secoue doucement la tête de gauche à droite en riant doucement. En y repensant c'est vrai que je ne serais pas ce genre d'homme, mes valeurs je les tiens trop bien pour les braver. Enfin, tu me fais sortir de mes pensés quand tu me dis que notre chemin se sépare ici. Devant ton immeuble. Je lève doucement le regard puis je le redépose sur ta personne qui est face à moi. Tu peux voir sur mon visage que j'ai un sourire sincère. « C'était avec plaisir. Après maintenant tu as mon prénom, si tu as besoin de moi je crois que je suis le seul Sean de la ville. » Je te rends ton sourire, puis j'attends que tu entres dans ton immeuble avant de tourner des talons. Je passe mes deux mains dans mes poches puis je reprends le chemin inverse. C'était bizarre comme soirée, mais assez sympa. Je peux me dire que j'ai quand même fais une bonne action et que tu es tranquille chez toi au chaud. Tout en marchant, j'ai le pré-sentiments que nos chemins vont se croisé plus vite qu'on ne le pense. Sa ne serai pas de refus, je ne connais même pas ton prénom.