ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280
TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/aGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenienceDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [09/08]
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15#16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
C’était assez ironique, finalement, que ce soit Arthur qui lui ait indiqué le coupable. Greta, elle, semblait porter des oeillères et être incapable de raisonner correctement, au point où elle était allée s’en prendre à un pauvre lecteur qui cherchait son aide. Sans arrière-pensées, simplement parce qu’il aimait sa plume. Il lui avait apporté sur un plateau en argent tout ce qu’elle avait toujours désiré, une reconnaissance qui allait au-delà de son simple nom de famille, et elle l’avait bêtement désigné comme coupable. Sergio pendant ce temps-là devait se frotter les mains en voyant la presse. « Sergio. » avait-elle lancé en guise de salutation pour un homme qu’elle avait appris à mépriser toujours un peu plus au fil du temps. Bien sûr, elle aurait dû être plus vigilante au moment de se laisser aller avec un requin mais elle n’aurait pas pensé tomber sur le plus gros carnassier de tous. Depuis qu’il avait quelque chose contre elle, une bombe qu’il pouvait décider de lâcher à n’importe quel instant, Sergio menait les ficelles et il fallait avouer qu’il était extrêmement doué dans le domaine. Mais c’était le problème de ces pseudo hommes d'affaires, leur fortune reposait sur tant d’habiles manipulations qui les ruineraient si elles étaient découvertes que chacune d’entre elle devait générer le plus de profit possible. L’exercice était remarquable, l’argent ne manquait pas pour le mexicain, mais Greta ne pouvait s’empêcher de se demander comment il pouvait se regarder dans le miroir après chaque rendez-vous avec l’une de ses victimes. Et en entrant dans son bureau, la jeune femme se sentait une nouvelle fois prise dans des filets dont elle n’arrivait pas à se défaire malgré la force avec laquelle elle se débattait. « Je ne vais pas perdre de temps, je sais que c’est toi. » avait-elle dit en se plantant devant lui, les bras croisés sur la poitrine. Sergio était à l’exacte même position que la dernière fois où elle l’avait vu pour parler de la biographie. Assis sur sa chaise de bureau, caché derrière un bureau taillé dans un bois qu’il avait dû choisir car il était le plus cher de tous. Son regard noir s’était posé sur elle et un sourire avait automatiquement habillé ses lèvres, il gardait constamment son calme et savait déstabiliser avec ce côté narquois qui le qualifiait à la perfection. Mais comme la dernière fois où elle était venue discuter de la biographie et signer le contrat qui accorderait à l’agent un pourcentage indécent, elle tentait de garder la face. « Le succès n'était pas suffisant ou tes finances étaient mauvaises ? » avait-elle demandé, parce qu’il avait déjà assez fait pour lui nuire alors elle ne comprenait pas qu’il s’acharne autant quand la biographie avait eu un succès bien plus important que ce qu’ils auraient pu espéré.
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just know this too shall pass
losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I don’t need to have a premonition, don’t need permission. It’s my condition not to hide. Won’t apologize for the wisdom. Won’t run away from my mission to survive. Won’t let my head hang low. Won’t let the monster grow. No time to be humble, the world is a jungle
« Mademoiselle Moore est là. » « Laisse-la faire sa route, elle connaît le chemin. » En temps normal, il aurait dit à Logan de la faire asseoir et poireauter, ou même de la renvoyer d’où elle venait. Elle n’avait pas songé à prendre rendez-vous et il n’avait pas foncièrement de temps à lui accorder. Cependant, Sergio savait qu’elle n’accepterait pas d’attendre et ouvrirait la porte comme si elle avait ce droit. Pour une fois, il lui accorderait ce petit bonheur sans faire mine de s’agacer. Pour être parfaitement honnête, il était même assez surpris d’avoir attendu sa visite aussi longtemps. Cela faisait plusieurs mois que les rouages avaient été lancés avec Blake pour que le journaliste fasse fuiter le nom de Sighbury dans la presse. Les résultats avaient été à la hauteur de ses espérances ; les ventes s’étaient envolées et une biographie qui, initialement n’avait guère d’intérêt, avait fini par faire un joli cachet. « Greta. Que me vaut le plaisir de ta visite ? » Il n’avait même pas daigné lever le nez de son dossier ou de prétendre croire ce qu’il était en train de dire. Ce n’était pas parce qu’elle avait pu accéder à son bureau qu’il ne lui rappellerait pas qu’il y avait certaines manières à avoir. Dans les faits, il ne pouvait pas nier être curieux. Oh, il connaissait parfaitement la raison de cette visite ; il était juste incertain de ce qu’elle espérait de leur discussion. Des aveux ? Des excuses ? Une résiliation de leur contrat ? Évidemment qu’elle allait l’accuser. Si elle venait de réaliser qu’il était la source de la fuite, alors elle avait été incroyablement lente. Néanmoins, Sergio savait qu’il ferait mieux d’être prudente. Rien ne prouvait sa responsabilité si ce n’était la parole de Aldridge. Or, l’homme avait une bien trop grande intégrité pour balancer ses sources. Dans un soupir sonore, le mexicain avait reposé son dossier et s’était renfoncé dans son siège pour lever le regard vers Greta, affichant son exaspération. « Je me demandais combien de temps il te faudrait avant de venir ici, toute accusatrice. » Il pencha doucement la tête en la fixant. Elle jouait la grande fille en contrôle de la situation et c’était adorable. Elle devrait apprendre à force qu’elle n’avait absolument aucune emprise sur lui. « Tu te donnes trop d’importance si tu penses que ma carrière repose sur la tienne. Je serais ruiné depuis longtemps si j’avais dû compter sur toi. Mais oui, je dois reconnaître que tu as été étrangement rentable. » Il avait bien fait de s’en mêler, peu importe combien ses méthodes avaient l’air de lui déplaire. « Cependant, je suis navré de te décevoir, mais je n’ai rien à voir avec ce dont tu m’accuses. » Quand bien même ce serait satisfaisant, il ne pouvait tout bonnement pas prendre le risque d’admettre ses torts à voix haute des fois qu’elle l’enregistre, par exemple. Il n’y avait rien d’illégal à ce qu’il avait fait, mais c’était très clairement éthiquement répréhensible. « Et quand bien même c’était le cas, je ne comprends pas ce que tu viens faire dans mon bureau. Je pensais que tu aimais garder tes distances ? » Elle devrait se réjouir ; il n’avait plus rien à faire avec elle, maintenant que toutes les cartes étaient jouées.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Greta Moore
le porte-plume
ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280
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Moventry #15#16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
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Tout dans cet endroit respirait l'opulence et si elle y avait été habituée, elle se sentait extrêmement mal à l’aise dans les bureaux de Gutiérrez. Il n’avait pas gagné ce qu’il avait, il l’avait arraché à des âmes innocentes assez folles pour tomber dans ses pièges et puisqu’elle était elle-même une victime de tout cela, elle ne pouvait que s’incliner devant sa maîtrise de l’art de se jouer de tous. L’histoire aurait pu s’achever bien plus tôt, Greta n’aurait eu qu’à avouer à son père ce qu’elle avait osé faire, ajouter quelques larmes pour que son discours ait plus de poids et Sergio n’aurait pas eu gain de cause. Pourtant, quelque chose l’avait retenue jusqu’alors et maintenant que la biographie venait faire renaître les termes de ce contrat honteux, les dés semblaient être relancés. Peut-être que c’était le discours d’Arthur qui l’avait amenée jusqu’ici et si cela avait quelque chose d’ironique, l’écrivaine n’en tirait que le positif. Il l’avait jugée, n’avait pas mâché ses mots, mais ce n’était de toute façon pas ce qu’attendait la jeune femme de la part de son entourage. Elle aimait la sincérité, qui selon elle valait bien mieux qu’une hypocrisie qui ne pouvait être que contre-productive, alors si elle s’était sentie piquée à première vue, elle avait ensuite ressassé le discours de son ex petit-ami pour arriver ici un peu plus forte. « Greta. Que me vaut le plaisir de ta visite ? » Elle n’avait aucune idée de ce qui le poussait à continuer à mettre en avant tout son charme quand il savait ô combien il la révulsait à présent. Sergio ne quittait jamais ce personnage qu’il s’était créé et cela avait quelque chose d’effrayant mais Greta gardait son aplomb, lançant les hostilités sans attendre. « Je me demandais combien de temps il te faudrait avant de venir ici, toute accusatrice. » Son regard se posait sur elle comme il se poserait sur une enfant et le contraste avec leur histoire passée lui avait arraché une grimace - comment avait-elle pu en arriver jusque là ? « Le fait que tu m'attendais était le seul aveu dont j'avais besoin. » Il était odieux mais intelligent et elle regrettait qu’il ne se soit pas contenté, comme elle, de profiter d’une nuit qui avait dépassé toutes les limites qu’ils avaient tous les deux pu franchir dans leurs vies respectives. « Tu te donnes trop d’importance si tu penses que ma carrière repose sur la tienne. Je serais ruiné depuis longtemps si j’avais dû compter sur toi. Mais oui, je dois reconnaître que tu as été étrangement rentable. » Greta n’avait aucune idée de si cela constituait des aveux déguisés ou non, mais elle accusait le coup de ses mots toujours un peu plus tranchant. « Cependant, je suis navré de te décevoir, mais je n’ai rien à voir avec ce dont tu m’accuses. » Elle n’avait pas pu retenir son rire et ses bras croisés et son front plissé témoignaient de la façon dont elle ne croyait pas un mot de ce qu’il disait. Blake ressemblait trait pour trait à un pion qui s’intégrerait parfaitement au jeu d’échecs géant qu’était la vie de Sergio, il était calme et posé, courtois, le genre à ne pas faire de vague et tout comme le mexicain, son charme était une arme extrêmement destructrice. Elle s’était faite avoir deux fois, par deux membres d’un binôme qu’elle savait maintenant prêt à tout. « Et quand bien même c’était le cas, je ne comprends pas ce que tu viens faire dans mon bureau. Je pensais que tu aimais garder tes distances ? » « Garde tes arguments pour ceux qui pensent encore que tu es autre chose qu’un manipulateur. Je t’ai dit que je savais, point final. » avait-elle commencé avant de se rapprocher du bureau où était assis ce parrain, son index venant se planter sur le bois froid du meuble. « Je suis venue parce que je voulais te dire en face que je refusais de continuer comme ça. J’ai été honnête avec toi, je suis venue te voir quand je savais que j’allais sortir un nouveau bouquin, j’ai honoré notre contrat et toi tu enchaînes les coups bas. » Il était hors de question qu’elle s’incline ou qu’elle accepte qu’il vienne semer le doute dans son esprit quant à ses agissements. La blonde avait d’abord accusé un Joseph plus qu’innocent et s’était torturée l’esprit avant qu’Arthur ne vienne éclaircir ses doutes avec une rapidité qui lui avait fait réaliser sa propre lenteur. C’était tellement évident que c’était peut-être la raison qui justifiait qu’elle n’y ait pas pensé en premier. « J’ai plus peur des conséquences si je dévoile tout à mon père, tu sais ? » C’était son ultime carte, et elle espérait bluffer assez bien pour que l’agent ne l’oblige pas à aller jusqu’à apprendre à son père la nuit passée avec son meilleur ami.
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Sergio Gutiérrez
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ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I don’t need to have a premonition, don’t need permission. It’s my condition not to hide. Won’t apologize for the wisdom. Won’t run away from my mission to survive. Won’t let my head hang low. Won’t let the monster grow. No time to be humble, the world is a jungle
Si Greta espérait une confession un des aveux de la part de son agent, elle perdait son temps. Sergio avait mis des semaines à mettre le plan en place, il avait dû faire preuve de patience pour que l’information fuite dans les médias. Il avait protégé ses arrières pour qu’il n’y ait que des suspicions mais pas la moindre preuve. Feinter l’ignorance était un exercice extrêmement simple dans ces circonstances. Il n’eut qu’à hausser un sourcil, presque déçu face à ce que la jeune femme pensait être un aveu. « Ou alors, j’ai juste eu vent du scandale qui t’entoure et je suis habitué à te voir entrer en trombes dans mon bureau dès que quelque chose te déplaît. » C’était son travail de garder un œil sur ce que ses talents faisaient, quels scandales les entouraient. Même s’il n’avait rien eu à faire avec cette identité trahie, il en aurait entendu parler. Quant au fait d’être un coupable de choix, il ne fallait pas être un génie pour savoir que la Sighbury l’accuserait immédiatement. Il était, après tout, la personne toute désignée pour profiter de cette fuite. Il s’y était préparé, sa façade innocente déjà toute trouvée. Il jouait parfaitement la comédie, fronçant un peu plus les sourcils quand la blondinette prétendait savoir. « Et tu sais quoi, exactement ? » Qu’elle mette les termes sur ses intentions, qu’elle ose lancer des accusations infondées. Il s’en régalerait en sachant pertinemment que l’unique personne le rattachant à la vérité ne dévoilerait jamais sa source. Il était en sécurité. « Je n’argumente pas. J’essaye de comprendre ce que tu viens faire ici. » Car, qu’il soit responsable ou non, c’était trop tard. Le monde savait. Sa couverture était grillée, son nom faisait jaser. Ce n’était plus un incendie à éteindre, juste un tas de cendres qui refroidissait lentement. Elle ne voulait pas qu’il se mêle de sa carrière, il était plus que disposé à respecter son choix maintenant qu’elle ne lui apporterait plus rien. Jusqu’à son prochain projet, du moins. « Jusqu’à preuve du contraire, je ne suis pas intervenu dans tes affaires. Je t’ai laissée faire ton bouquin comme tu l’entendais, je t’ai laissée travailler avec le publieur qui te plaisait. Tu as géré tes collaborations toute seule, comme une grande. Je n’ai même pas pris le temps de lire le résultat final. » Elle avait eu bien plus de liberté que ce qu’il offrait habituellement à ses talents. Elle devrait se montrer heureuse. En toute franchise, c’était bien l’une des rares choses qu’elle avait accompli avec son agent : le tenir loin. Il lui reconnaissait cette victoire ; il avait renoncé à faire de la direction artistique avec la jeune femme. Qu’elle ose l’attaquer était, en revanche, complètement inattendu. « Est-ce que c’est une menace ? » Il était surpris, presque amusé. Il pensait sincèrement que leur coucherie était un souvenir honteux qu’elle avait enterré, depuis le temps. C’était il y a presque seize ans et pendant quelques secondes, il fut tenté de la prendre au sérieux. « Je te l’accorde. Si ton père apprenait pour cette histoire, je ne pense pas qu’il réagirait bien. Je perdrais certainement un ami, et un réseau entier. » Mais était-elle naïve au point de penser que Sergio Gutiérrez dépendait encore du patriarche Sighbury ? Le mexicain s’était fait un nom en Australie, son propre réseau, une carrière qui lui avait apporté une certaine fortune. Il était devenu l’homme que l’on gagne à connaître plutôt que l’inverse. Perdre un contact londonien qui avait déjà donné tout ce qu’il avait à offrir n’était pas dramatique. « Cela aurait été un problème notoire si tu en avais parlé il y a dix ans. » Cette fois, l’amusement avait trahi sa voix. Greta n’avait plus peur d’en parler, c’était tant mieux pour elle. Le souci était que Sergio non plus n’avait plus peur des conséquences. L’agent se leva de son siège pour s’approcher de la table sur laquelle étaient disposées quelques bouteilles. Elles étaient habituellement réservées aux fins de longue journée ou aux partenaires de choix, mais cette entrevue devenait bien trop distrayante pour ne pas l’accompagner d’un verre de bon whisky. « Dis-lui. Je suis curieux de voir comment les choses se dérouleront. » Il versa le liquide ambré dans ce verre en cristal bien trop cher et revint vers son bureau pour faire face à la Sighbury. Il la dévisagea pendant un instant. C’était toujours saisissant de voir ses traits crispés par la colère et le mépris quand il se souvenait trop bien du jour où elle était volontairement venue le chercher. « Tu étais bien plus amusante quand tu avais dix-huit ans. » Même s’il s’amusait tout autant de la voir le haïr.
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Chaque fois qu’elle pénétrait dans ce lieu, Greta savait qu’elle devait se préparer mentalement à affronter l’éloquence de ce maître de l’illusion qu’était Sergio Gutiérrez. « Ou alors, j’ai juste eu vent du scandale qui t’entoure et je suis habitué à te voir entrer en trombes dans mon bureau dès que quelque chose te déplaît. » Il était vrai qu’une certaine mécanique s’était établie entre eux alors que leur relation tenait pourtant à un seul et unique roman, plus récemment à une biographie. « Et tu sais quoi, exactement ? » Elle avait soupiré longuement, acceptant difficilement de devoir perdre son temps à expliquer une évidence. « Blake Aldridge. Le même sourire carnassier, la même éloquence hypnotique, la même aisance à charmer pour mieux trahir. Il est juste un peu plus… vigoureux que toi mais sinon le parallèle est bien trop simple à faire. D’ailleurs je te remercie de m’avoir envoyé un élément aussi charmant, cela dit, j’ai apprécié le moment. » Elle savait. Il savait qu’elle savait. Ils savaient combien il serait impossible d’obtenir des aveux en l’absence de preuves tangibles. Sergio aurait fait le ménage, empêcher que la vérité éclate, mais cela n’éloignerait pas sa conviction. « Je n’argumente pas. J’essaye de comprendre ce que tu viens faire ici. » Ses bras s’étaient croisés alors qu’elle continuait de le fixer. « Pour être entièrement honnête, je n’en suis pas sûre. Mais je pense que j’ai été guidée par une immense lassitude. » Il était temps d’en finir, à défaut de faire tomber Sergio pour avoir brisé la clause de confidentialité. « Jusqu’à preuve du contraire, je ne suis pas intervenu dans tes affaires. Je t’ai laissée faire ton bouquin comme tu l’entendais, je t’ai laissée travailler avec le publieur qui te plaisait. Tu as géré tes collaborations toute seule, comme une grande. Je n’ai même pas pris le temps de lire le résultat final. » Oh, comme il était amusant de le voir tenter de la désarmer en soulignant encore une fois son indifférence face à ses écrits.
Greta n’avait pas flanché, avait même attaqué. « Est-ce que c’est une menace ? » « Ça pourrait le devenir, mais je suis sûre qu’on va s’entendre, Sergio. » La tête penchée sur le côté, elle lui avait adressé un sourire similaire à celui qu’on accorderait à un animal de compagnie et elle aurait poussé la provocation visant à lui montrer qu’elle n’était plus impressionnée jusqu’à lui tapoter l’épaule s’il avait été à portée. « Je te l’accorde. Si ton père apprenait pour cette histoire, je ne pense pas qu’il réagirait bien. Je perdrais certainement un ami, et un réseau entier. » Greta s’était permis d’esquisser un sourire alors que le mexicain tentait de se mesurer aux plus grands. Toutes les dorures de son bureau ainsi que le ton présomptueux qu’il utilisait n’étaient que de la poudre aux yeux pour Greta qui avait connu des marques de succès encore plus vertigineuses. Sergio pouvait se servir de ces arguments là avec des talents plus naïfs, qui désiraient toucher du doigt la notoriété et la réussite, pas avec une héritière qui était née dans le luxe. « C’est ça, ton plus grand défaut. Ta plus grande faiblesse. Tu as tendance à penser qu’il n’y aura jamais plus grand que toi. Mais je t’assure que dans la cour où jouent ceux qui ont réellement réussi, tu es insignifiant. » Que représentaient les années au sommet de l’agent face à trente-quatre ans à se pavaner dans la luxure ? Elle y avait échappé, pourtant, à le voir ainsi utiliser les mauvais arguments tour à tour, Greta reprenait sa place de digne héritière, retrouvait de son panache et reprenait l’aplomb qui avait toujours été le sien. « Cela aurait été un problème notoire si tu en avais parlé il y a dix ans. » Il s’était levé, lentement et calmement, sa démarche à elle seule montrant toute l’aversion qu’il éprouvait pour elle comme pour probablement l’ensemble de ses talents. Il débordait d’indifférence à son égard et c’était finalement là la plus grande arme dont pouvait se servir Greta. « Dis-lui. Je suis curieux de voir comment les choses se dérouleront. » Ses lèvres s’étaient pincées, si la jeune femme bluffait, elle hésitait maintenant à réellement révéler ce qu’il en était de cette belle collaboration. « Tu étais bien plus amusante quand tu avais dix-huit ans. » Ses sourcils s’étaient levés et elle avait hoché la tête, étonnée de le voir utiliser une dernière attaque verbale aussi facile. S’il cherchait à la déstabiliser, ce n’était pas avec ce genre de reproche qu’il y arriverait. « Et j’aurais pu continuer à l’être si tu n’avais pas montré ton vrai visage. » Il aurait pu rester ce qu’il avait été le temps d’une soirée à ses yeux, un collègue de son père qui portait mieux le costume que les autres et à qui les années avaient plutôt profité. « Tu t’entêtes à me lancer au visage toute mon insignifiance et pourtant, je suis toujours sous contrat. Tu te contredis toi-même. » Il n’avait aucun intérêt à la garder dans ses listes, et pourtant, il s’assurait qu’elle signe les renouvellements de ses contrats pour toucher un pourcentage des ventes qui se faisaient encore sur son premier roman. De son côté, poussée par la crainte ou par la bêtise, elle ne savait plus trop, elle était sciemment venue lui exposer son nouveau projet. « Alors, oui, je peux parler. Ou on peut se contenter de discuter tous les deux et arrêter ça, si plus rien ne nous retient. » Ils n’avaient plus peur, ni l’un, ni l’autre, alors sur quoi tenait maintenant ce contrat ? Il y avait fort à parier que Sergio trouverait de quoi le rendre de nouveau légitime, mais ce n’était de toute façon pas la raison principale de sa visite. « A moins que tu veuilles aussi prendre la peine de t’assurer que tes avocats sont plus doués que ceux des Sighbury ? Peut-être aurait-il fallu modifier légèrement la clause de confidentialité dans ces fameux contrats. » Une clause bien présente, peu importe la façon dont elle avait été formulée, et s’il prétendait être hors de cause et qu’elle savait qu’il serait difficile de trouver des preuves pour l’incriminer, elle était sûre de pouvoir débourser assez d’argent pour obtenir gain de cause. Blake, elle s’en chargerait plus tard.
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Sergio Gutiérrez
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ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
I don’t need to have a premonition, don’t need permission. It’s my condition not to hide. Won’t apologize for the wisdom. Won’t run away from my mission to survive. Won’t let my head hang low. Won’t let the monster grow. No time to be humble, the world is a jungle
Greta n’était pas stupide. Elle pouvait faire preuve de bon sens, assez pour détecter l’évidence. Ce devait être frustrant de le savoir responsable de ses maux sans avoir de quoi le prouver au reste du monde. L’agent n’avait aucune intention de s’incriminer mais il ne jouerait pas non plus l’homme au courant de rien. Rien que pour le plaisir de prendre les compliments qu’elle lui offrait sur un plateau d’argent à le comparer au journaliste. Il eut un sourire amusé. Les ressemblances ne lui avaient pas échappé ; Blake et lui étaient taillé dans le même bois, ce qui était aussi bien une force qu’un danger considérable. Il n’était pas digne de confiance et relâcher sa garde en sa présence pourrait mener quiconque à sa perte. « Et donc, tu penses que j’ai le moindre contrôle sur un homme comme Aldridge? C’est flatteur. » Sergio l’avait nourri avec une précieuse information en sachant pertinemment ce que le journaliste trouverait. Ils n’avaient pas reparlé depuis mais il était clair que l’homme avait fait le lien entre l’agent et l’artiste, et les motivations qui se cachaient derrière cette dénonciation. L’éthique de travail du journaliste le sauvait pourtant d’être exposé, ce qui assurait la tranquillité d’esprit de l’agent. Il ne s’émouvait pas de la lassitude de la Sighbury, et c’était à peine si sa voix exprima la moindre forme d’émotion quand il lui répondit un « Bienvenue dans la vie publique, Greta. » générique. Même s’il ne s’en était pas mêlé, son alias n’aurait duré qu’un temps avant que quelqu’un fouine et décide de l’exposer. Le mexicain n’avait juste pas été disposé à attendre. Il semblait clair maintenant que la blondinette venait ici dans l’espoir d’enfin avoir gain de cause et pouvoir se défaire de lui. Elle n’avait pas de fondations pour le faire et cette conversation prenait doucement la direction d’une qu’ils avaient eu encore et encore, celles qui se soldaient irrémédiablement par une porte qui claquait et une moue mécontente sur le visage. Ils ne s’entendraient jamais, non, et l’assurance que Greta avait à s’imaginer en contrôle était adorable. « Je commence à en douter. » Il lui sourit en retour, loin d’être intimidé par les menaces qu’elle détenait. Le pire méfait qu’il avait commis avec elle avait été de coucher avec des années plus tôt. Ce ne serait pas reluisant pour sa réputation, mais ils n’avaient rien signé à l’époque. Il pourrait toujours prétendre s’être racheté une conduite depuis et avoir été d’un professionnalisme débordant. Quoiqu’il en soit, même après autant de temps, Greta ne le connaissait toujours pas. Elle le voyait comme un agent égocentrique et manipulateur plutôt que comme un fin stratège à qui rien n’échappait. Il n’était pas surpris qu’elle ne sache pas penser plus loin que cela. « Si c’est ce que tu penses, alors c’est toi qui commets une erreur notable. Je ne sous-estime personne et je suis toujours extrêmement prudent quand j’entreprends des choses qui risquent d’impacter mes relations et ma réputation. » Autrement dit, il savait très bien que les actions avaient des conséquences et que certains gros poissons risquaient de le piétiner. S’il n’avait pas dévoué autant d’efforts à protéger ses arrières dans sa carrière, il n’en serait clairement pas là aujourd’hui. Et s’il était influent dans son milieu, il savait aussi qu’il n’était personne d’important auprès de l’élite. Greta commettait un impair à ne pas lui reconnaître ce réalisme. Le même qui lui fit voir qu’il ne perdrait pas grand-chose si leur vilain petit secret sortait au grand jour. Elle parlait de vrai visage. Il songeait davantage à un changement de priorités. « Il était temps d’arrêter de mélanger le plaisir et les affaires. » Il s’était amusé de sa jeunesse et de sa rébellion, mais il n’était pas de ceux qui s’abandonnaient dans les distractions. C’était pour cette raison que travailler avec la blonde était frustrant ; elle ne faisait rien correctement. Ce n’était pas de la contradiction de garder leur contrat, juste un calcul basique. « Je sais que cela peut paraître difficile à saisir. Tu as du potentiel gâché. Mais t’avoir sous contrat reste plus rentable que de te laisser partir, à condition que tu ne me demandes aucun effort. T’avoir dans mon bureau pour un caprice tous les quatre matins est bien suffisant. » Il était de moins en moins disposé à lui accorder plus d’énergie que cela, surtout si c’était pour entendre des menaces pénales. D’apparence, l’agent ne cilla même pas, offrit même un soupir fatigué. C’était un jeu extrêmement dangereux qui pouvait s’engager. Si Greta dégainait ses avocats et que le lien était avéré entre l’agent et la fuite du nom dans la presse, l’homme aurait bien du mal à sauver sa réputation et à éviter les conséquences. Tout dépendait de Blake et de son intégrité. Dévoiler une source ruinerait sa réputation à lui aussi et le mexicain doutait qu’il accepte de permettre cela. Mais c’était là bien sa seule assurance. « Un avocat tout juste sorti de l’école gagnerait un procès ici, étant donné qu’il n’y a eu aucune atteinte à la clause de confidentialité, ou à n’importe quelle clause, d’ailleurs. Si tu tiens vraiment à faire un caprice de riche en te lançant dans une procédure légale qui mettra une éternité à être résolue, grand bien te fasse. Je peux suivre. Et on pourra appeler ton père pour jouer le médiateur, je suis certain qu’il aura beaucoup à redire. » Sergio pouvait se permettre de mettre son avocat sur le coup. Dane connaissait leurs contrats sur le bout des doigts et ils avaient travaillé d’arrache-pied pour en supprimer la moindre minuscule faille. Ce n’était pas pour autant qu’il voulait tenter le diable. « Je ne suis pas disposé à me lancer dans des négociations, Greta. Tu as ta tranquillité et ta liberté artistique. Les soucis que t’attirent cette attention sont ton problème. Je n’ai rien à faire avec cela. » Elle ferait mieux de s’en contenter. « Autre chose ? »
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.