ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Un coup d'oeil jeté à sa montre indiquait à Marley qu'il ne lui restait que cinq petites minutes pour arriver à l'heure au point de rendez-vous fixé. On l'avait contactée la veille pour une urgence maquillage. Le tournage d'une série – plutôt bas de gamme mais soit – avait lieu dans l'usine désaffectée de la ville. Cela n'enchantait en rien Marley. Plus elle approchait du point de rencontre plus elle avait l'impression de se jeter dans la gueule du loup. Elle regrettait presque amèrement d'avoir accepté, surtout que désormais elle n'était plus un loup solitaire. Dans son sein vivait un louveteau qui n'avait qu'une seule hâte : sortir. La maquilleuse entamait son cinquième mois de grossesse et si les débuts avaient été difficiles à cause des nombreux vertiges et nausées qu'elle avait eus, tout allait pour le mieux désormais. Ce matin-là cependant, la métisse s'était réveillée avec une faim de loup qu'elle avait dû combler pour ne pas manquer de faire une crise d'hystérie. C'était le repas de loup qu'elle avait englouti qui l'avait presque mise en retard. Les pas de la jeune femme étaient lourds et précipités tandis qu'elle descendait du taxi. Le chauffeur lui avait d'ailleurs dit en la déposant : « Vous êtes certaine qu'il y a un tournage ici ? A part des bêtes sauvages, je ne vois pas ce que vous pouvez trouver d'autre. » Elle avait volontairement ignoré la remarque, refusant d'angoisser devant un péril qu'elle n'avait pas encore vu. Sa mallette de maquillage dans une main, l'autre posée sur son ventre arrondi, Lynch se dirigeait désormais jusqu'au plateau de tournage. En marchant, elle remarqua quelques types un peu louches qui la dévisageaient mais resta concentrée sur le point qu'elle désirait atteindre. Ses pas de loup avaient disparu pour laisser place à des pas d'éléphant tellement elle accélérait le rythme.
Elle poussa la lourde porte de l'entrepôt et fut soulagée de reconnaître l'effervescence d'un plateau de tournage. Elle regarda l'heure, une minute d'avance. Un peu plus et elle était en retard. On lui indiqua rapidement la loge où se trouvait l'actrice non sans la prévenir au préalable : « Faites attention, c'est un loup déguisé en agneau... » Génial, elle allait tomber sur une gamine capricieuse qui risquait de la rendre véritablement dingue. Elle soupira mais hocha la tête. Elle avait affronté pire par le passé, elle était désormais rodée, ce n'était pas une pimbêche qui allait l'effrayer. Lorsqu'elle poussa la porte de la loge, elle découvrit néanmoins une petite blonde qui s'égosillait de colère. Elle grognait, prête à mordre son assistante. L'actrice ne l'avait pas vue entrer et se mit à pousser un cri de loup. Qu'essayait-elle de faire ? D'appeler sa meute à la rescousse ? Marley haussa un sourcil, s'approcha et se présenta : « Je suis là pour m'occuper de ton maquillage. » elle lui offrit un petit sourire mais son regard sombre lui indiquait qu'elle n'avait pas intérêt de venir l'emmerder. Sa présence sembla calmer quelque peu la jeune femme qui afficha une façade parfaitement fausse de sérénité. Marley l'invita à s'asseoir et posa son matériel à ses côtés. Elle savait que si on l'avait appelée en urgence c'était parce que l'ancien maquilleur avait claqué la porte, ne supportant plus le comportement de diva de la gamine. En attendant d'en savoir plus sur ce qu'elle devait faire, Marley commença à déposer la base du teint sur le visage de porcelaine de la jeune fille.
La porte finit par s'ouvrir, et Lynch qui pensait se trouver face au directeur artistique écarquilla les yeux en découvrant l'homme qui se dressait dans l'embrasure de la porte. Ce type, elle le connaissait. Elle l'avait déjà vu et elle aurait aimé ne jamais avoir à le recroiser de toute sa vie. « Et voilà le grand méchant loup » marmonna-t-elle espérant au fond d'elle qu'il ne ferait pas qu'une bouchée d'elle comme si elle était le petit chaperon rouge. Que foutait-il ici ? Les planètes se jouaient-elles d'elle ? La pleine lune avait-elle régné sur la ville la veille et amené sur son passage une malédiction ? Lynch l'ignorait mais elle était loin d'être satisfaite de la situation.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Do your worst, say it first, I will reverse my face again. Hope you like the bottom where you'll do your worst, well rehearsed, repeat the verse of hate again. Right beneath the bottom where you wound up on the floor like you wanted to. Now, I thought you wanted more. Is this all that you could be?
« Sergio. » L’agent avait su ce qu’il se passait dès la seconde où il avait posé les yeux sur Davis, le directeur de casting. Son visage fermé et ses lèvres pincées en disaient long sur ce qui allait de travers. Le discours était familier, le mexicain le connaissait déjà par cœur. Son talent avait encore fait des siennes et les accusations volaient de toute part dans l’équipe. Sa co-vedette se plaignait de son attitude méprisante. Le scénariste devait faire face à ses protestations constantes sur les lignes du personnage. Le maquilleur s’était purement et simplement tiré. L’assistante de Davis était traitée comme si elle était une stagiaire seulement bonne à prendre les commandes Starbucks. Le technicien lumière s’était fait rembarrer pour avoir seulement voulu sa présence sur le plateau le temps de vérifier quelques points. La liste aurait pu continuer inlassablement mais l’agent avait fini par y mettre fin avec un « Je m’en occupe. » désolé, afin de sauver son image. Mais la personne qui serait désolée, c’était bien Quinn Whitaker une fois que le tournage et la promotion seraient terminés. Sergio détestait bosser avec ces gamines qu’il rangeait dans la catégorie des divas. Un joli minois, une assurance démesurée, un bon rendu à l’écran, des rêves pleins la tête et un certain talent. Les divas se vendaient incroyablement bien durant les castings. Il y avait toujours un poste pour ce profil et en ayant de bons contacts dans le milieu, le mexicain n’avait jamais eu de problème à leur trouver des rôles. Il leur faisait bien savoir qu’elles avaient obtenu le rôle grâce à lui, et c’était ce qu’il tenait au-dessus de leur tête pour s’assurer un peu de docilité de leur part. Ceci, et des contrats à durée déterminée. Sergio ne s’engageait jamais pleinement avec ces filles, ne sachant que trop bien la péremption qu’elles pouvaient avoir dans le monde de l’acting. Soit parce qu’elles vieillissaient, soit parce qu’elles étaient incapables de se renouveler, soit parce que leur mauvais caractère marquait les esprits pour le pire. Comme ici, donc. La production en question n’était pas un blockbuster de quelque manière que ce soit, le film ne marquerait pas les esprits. Mais la promotion était suffisante pour que le cachet de l’agent soit intéressant. Une fois les salaires versés, il romprait le contrat en utilisant l’une des multiples clauses dissimulées dans les petites lignes pour mieux se sortir de ce pétrin. D’ici-là, il ferait en sorte de la calmer pour éviter d’autres débordements. Ils étaient encore dans les temps et il était hors de question qu’un nouveau caprice vienne les retarder. Sergio eut la politesse de toquer à la porte et quand il entra, ce ne fut pas le visage de Quinn qui retint son attention, oh non. Mais celui d’une femme qu’il aurait aimé ne jamais croiser de sa vie. L’humiliation était encore cuisante et ne faisait pas bon ménage avec son ego. Pourtant, ce fut à peine s’il cilla. « Quinn. Le tournage commence dans une demi-heure et on a besoin de rester dans les temps. Si tu as la moindre demande, tu les passes par moi. » Il utilisait ce ton doux mais intransigeant, celui qui impliquait que la moindre tentative d’appeler l’assistante pour un bonbon à la menthe ou un chargeur de téléphone serait extrêmement mal accueillie. « Si toutefois on arrive à avoir un travail de qualité de la part de… » Et c’était la partie qu’il préférait. Personne n’entrait dans cet entrepôt, et encore moins dans cette loge, sans être identifié. Il n’eut qu’à attraper la feuille de suivi dans un coin de la loge pour avoir le nom de la maquilleuse. Elle avait de la chance qu’il n’ait pas mis la main dessus plutôt. « Marley Lynch. Ils vont vraiment chercher n’importe qui. Ce n’est pas faute de recommander des gens doués. » Il soupira en reposant la feuille et se réinstalla dans son encadrement de porte. Il prit une seconde pour envoyer un SMS puis croisa les bras sur son torse, son regard se dardant sur la Marley. Il resta là à observer chacun de ses faits et gestes mais surtout, son visage. Il se passa une minute, deux, cinq. Il ne comprenait pas grand-chose au maquillage de toute évidence, mais quand il s’exprima, ce fut pour émettre un « Hum. » réprobateur. Il ressortit son téléphone qui venait de vibrer, avisa la réponse. « Vous savez, si vous n’avez vraiment aucune idée de ce que vous faites, vous devriez arrêter de nous faire perdre notre temps. J’ai un remplaçant prêt à venir dépanner. » Le retard potentiel du tournage était bien le dernier de ses soucis. Quinn ne bronchait pas, visiblement trop intéressée par l’échange qui prenait place.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Lorsque Sergio entra dans la pièce son regard accrocha le sien. Marley bloqua sa respiration quelques secondes, la main toujours tendue vers le visage de l'actrice. Elle se permit de respirer à nouveau lorsqu'il s'adressa à la jeune femme et qu'il lui donna quelques consignes – ou plutôt quelques ordres – sans même s'adresser à elle. Il avait sans doute oublié son visage. Il avait l'air d'être ce genre de type qui ne fixait que son propre nombril et qui ne prenait pas garde aux gens qui l'entouraient. Lors de leur rencontre – et de son nez qu'elle avait malencontreusement brisé – le soleil était en train de se coucher et elle était en tenue de sport. Aujourd'hui, la jeune femme était bien habillée, coiffée et maquillée. De plus elle avait pris quelques kilos en plus puisque son ventre arrondi se dessinait parfaitement sous sa chemise. Elle allait se focaliser sur le visage de la jeune femme mais le ton employé par Sergio l'en empêcha : « Si toutefois on arrive à avoir un travail de qualité de la part de… » Elle tourna la tête dans sa direction et le vit prendre la feuille de suivi qu'elle... avait signé. Et merde. Elle l'avait remplie... « Marley Lynch. Ils vont vraiment chercher n’importe qui. Ce n’est pas faute de recommander des gens doués. » Le regard de la brune s'assombrit brusquement tandis qu'elle pinçait ses lèvres pour ne pas l'insulter. Si elle avait espéré qu'il ne se souvienne pas d'elle, sa réaction et sa manière de la regarder prouvaient tout le contraire. « Au moins je suis là moi. » ne put-elle s'empêcher de répliquer avec froideur. Il aurait beau dire tout ce qu'il voulait sur son travail, Marley savait qu'elle était douée. Elle s'était investie à corps perdu dans ce métier dès qu'elle avait eu l'occasion de tenir un pinceau entre ses doigts et ce n'étaient pas les remarques de ce type qui allaient lui faire penser qu'elle était nulle ou incapable. La seule chose qu'elle voyait, c'était qu'elle, elle avait assez de talent pour maquiller l'actrice mais aussi assez de caractère pour la supporter.
Elle reporta son attention sur la jeune femme, terminant d'harmoniser son teint, s'assurant que sa peau ne brillait pas et qu'elle ne refléterait rien. Elle ignorait volontairement le type qui se trouvait non loin d'elle – ignorant par la même occasion son prénom et son nom – et alors qu'elle venait de finir la base et qu'elle allait appeler le directeur artistique pour avoir plus d'informations, elle entendit l'autre la ramener une fois de plus. « Vous savez, si vous n’avez vraiment aucune idée de ce que vous faites, vous devriez arrêter de nous faire perdre notre temps. J’ai un remplaçant prêt à venir dépanner. » Marley posa son pinceau, tourna sa chaise en direction de Sergio et croisa ses bras qu'elle posa sur son ventre arrondi. Elle fronça les sourcils et lui dit : « Mais faites donc. J'ai hâte de voir combien de temps il va tenir. » La blonde à ses côtés allait répliquer mais Marley lui fit signe de se taire. Étrangement elle coopéra ce qui permit à la maquilleuse de poursuivre : « Je comprends mieux son caractère quand je vois qui est son agent. » Il pouvait bien la foutre dehors qu'elle s'en fichait éperdument. Elle avait passé l'âge de s’emmerder sur des tournages avec des gens désagréables qu'elle ne supportait pas. Sa réputation de maquilleuse était faite désormais et tout le monde dans le milieu savait qu'elle était fiable, ce n'était pas pour rien qu'elle était engagée sur de nombreuses séries, de nombreux défilés ou films. La porte s'ouvrit laissant place au directeur artistique qui se stoppa devant le faux calme apparent. Il eut besoin de quelques secondes avant de donner les consignes précises à Marley. Le temps imparti était court et il en était désolé mais elle le rassura en lui disant qu'elle saurait gérer. Lorsque la porte se referma, elle planta à nouveau son regard dans celui de Sergio : « Alors on fait quoi ? Je continue ou vous attendez votre plan C, D ou que sais-je encore ? » Finalement elle lui tendit le pinceau et avec un sourire mesquin lui dit : « Ou alors, faîtes-le. Il paraît qu'on n'est jamais mieux servi que par soi-même. » A ses côtés l'actrice s'agitait, se faire maquiller par son agent ne semblait pas la ravir, loin de là...
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Do your worst, say it first, I will reverse my face again. Hope you like the bottom where you'll do your worst, well rehearsed, repeat the verse of hate again. Right beneath the bottom where you wound up on the floor like you wanted to. Now, I thought you wanted more. Is this all that you could be?
Si Sergio tenait à sa réputation dans le milieu professionnel, il avait bien assez d’expérience pour savoir comment régler ses comptes sans que cela ne lui retombe dessus. Malheureusement pour beaucoup, il avait une fierté sacrément mal placée et un ego qui ne supportait pas d’être insulté. La fameuse Marley Lynch venait de le recroiser dans le pire milieu possible et juste la voir l’avait incité à lui faire vivre un enfer. Ce n’était ni mérité ni justifié, mais plus vite elle serait hors de sa vue, mieux il se porterait. Il l’avait bien vue vouloir faire l’autruche détourner le regard comme si elle ne l’avait pas remarqué. Il aurait pu être raisonnable et passer l’éponge. Ce n’était juste pas au goût du jour. Elle était un défouloir tout trouvé. Alors quand elle voulut défendre son propre professionnalisme, il ne put qu’esquisser un sourire goguenard. « Ça ne mérite pas une médaille. » Se pointer au travail était bien l’une des seules choses qu’on attendait d’elle. Il n’allait pas la féliciter pour être venue mériter son salaire. Quoique le mériter, cela restait à voir. L’agent artistique était curieux de savoir combien de temps il faudrait avant qu’elle ne craque, ne supporte plus la pression de l’avoir sur son épaule à observer chacun de ses faits et gestes. C’était incroyablement simple de laisser la tension se créer jusqu’à ce que ses réactions semblent juste trop lourdes à supporter. Un simple commentaire sur la qualité de son travail, et la maquilleuse craqua enfin, pivotant vers lui. Sergio nota du coin de l’œil le ventre rebondi, haussa un sourcil sans toutefois commenter, relevant plutôt le regard vers la furie. « Un reproche à faire ? » Quinn avait tiqué aussi, son attention déviée de son téléphone pour écouter la conversation. Que Marley essaye de commenter le comportement de l’actrice, rien qu’une fois. L’agent avait envie de voir cette scène. Il ne se sentit pas le moins du monde insulté quand la jeune femme essaya de balancer la faute sur lui. Sergio claqua la langue en secouant la tête. « Et vous voulez parler de mauvais caractère. » La blondinette n’avait toujours pas bronché dans cette loge, comprenant que ce ne serait pas dans son intérêt. Le fait est que son tempérament de starlette était venu naturellement. Sergio jouait au flic, il n’encourageait pas ce comportement. Bien évidemment, il ne pouvait pas laisser entendre qu’il comptait la lâcher après ce contrat. Ce serait une arme trop facile qui pourrait potentiellement se retourner contre lui. Ce n’était pas nécessaire quand Marley s’enfonçait elle-même dans les problèmes. Elle fautait et lui offrait des arguments sur un plateau d’argent. Il secoua la tête dans un soupir audible, comme on le ferait en face d’un gamin décevant. Il s’appuya fesses contre la table en croisant les bras sur le torse, se pinça l’arête du nez comme si cette situation entière était éreintante. La maquilleuse lui tendait le pinceau avec une fierté non feinte, mais contrairement à ce qu’elle semblait croire, il n’avait pas réussi à se sentir insulté. « Je pense qu’il y a une dimension dans ce milieu que vous n’avez pas compris. Comment vous expliquer simplement… Tenez, on va jouer au jeu des sept différences. Regardez Quinn. » Il lui parlait de manière condescendante au possible et tendit la main pour désigner l’actrice dont les grands yeux bleus sautaient d’une personne à l’autre. « Première différence, vous jouez toutes les deux les divas mais elle a du talent, elle. » Pas incroyable, rien de révolutionnaire dans le milieu du cinéma. Néanmoins, elle avait été le premier choix du producteur. Pas Marley. « Vous êtes remplaçable sur ce set. De ce que je vois, n’importe quel maquilleur ferait un travail équivalent ou supérieur. Mais Quinn ? Non. On a besoin d’elle. » C’était bien trop tard pour virer l’actrice principale. Personne ne pourrait se permettre ces dépenses supplémentaires si l’on voulait s’assurer que le film rentrerait dans ses frais. Les maquilleurs se trouvaient bien plus facilement. « Quinn sait quand se taire. C’est une qualité inestimable que vous devriez apprendre. » Comme un subtil rappel au fait qu’elle aurait bien mieux fait de tenir sa langue et d’encaisser au lieu d’essayer de pathétiquement lui sauter à la gorge. « Elle ne se fera pas virer avant la fin du tournage. Vous, si ce comportement continue, certainement. » En fait, l’unique raison qui justifiait encore sa présence ici était le fait que Sergio prendrait un bien plus grand plaisir à la voir se tirer d’elle-même, en sachant combien ce serait mauvais pour son image. « Sa réputation est gérée par une équipe entière de PR. Quoiqu’il advienne, il y aura quelqu’un pour la soutenir. Je doute qu’un salaire de maquilleuse permette un tel avantage. » Tout le monde parlait dans ce milieu et le tempérament agaçant de Quinn n’aiderait pas à lui faire retrouver un contrat. Mais si vraiment Sergio avait l’intention de travailler avec, ce ne serait pas compliqué de redorer son image et de lui refaire une publicité bien plus positive pour redorer son blason. « Puisqu’on doit être honnêtes, Quinn me rapporte de l’argent et de ce fait, ses intérêts m’intéressent. Les vôtres, absolument pas. » Il était la seule raison qui faisait que l’actrice n’avait toujours pas été virée et pouvait vivre son rêve de petite fille. Dire que le cas Lynch ne l’intéressait pas était un puissant euphémisme à côté. « Et septième différence, elle n’a rien fait qui me donne envie de lui causer des problèmes, elle. » La voix était doucereuse, le sourire carnassier. Ce n’était pas une menace à proprement parler mais un clair avertissement qu’il serait son pire cauchemar si elle ne décidait pas de se remettre au travail sans broncher. Il tourna la tête vers la blondinette qui maintenant se régalait de la situation. « Ca reste entre nous. Tu sais ce que c’est de travailler avec des gens qu’on n’aime pas. » Elle gloussa. La gamine avait un historique de personnes avec qui elle avait réglé ses comptes dans le milieu, elle comprendrait. Finalement, il reporta son attention sur la maquilleuse. « Alors, qu’est-ce que ça va être ? Vous vous remettez au travail ou j’appelle un remplacement ? » Autrement dit, elle encaisserait ses critiques, ou elle préférait abandonner dès maintenant ?
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
L'ambiance s'était drastiquement alourdie dans la pièce. La comédienne ne bougeait pas d'un poil, n'osait pas ouvrir la bouche tandis que Marley sentait l'air lui brûler la gorge. Son regard ne s'était pas détaché de Sergio, le laissant déblatérer ces attaques qui ne l'atteignaient guère. Elle se fichait bien de ce que pouvait penser l'agent. Il avait beau se montrer sarcastique en lui proposant une médaille ou bien même l'attaquer sur son caractère cela ne changeait rien. Elle était presque amusée de le voir faire le coq de la sorte. Lorsqu'ils s'étaient rencontrés au milieu des vignes, il faisait clairement moins le fier. Plié en deux, se tenant les couilles, le nez en sang, il n'avait plus rien à voir avec ce type qui se baladait dans un costume hors de prix comme si tout ce qui l'entourait lui appartenait. Elle finit par reposer le pinceau sur la table à côté d'elle, bien consciente que cette proposition ne tentait guère l'hispanique. A nouveau elle croisa ses bras sur son ventre rebondi et attendit avec une impatience non dissimulée qu'il termine son petit speech. Il lui faisait perdre un temps fou et plus il parlait plus elle restait en sa compagnie. Cela devenait presque épuisant. Elle jeta un coup d'oeil à sa montre, lui montrant clairement qu'elle n'avait pas que cela à faire et soupira lorsqu'elle l'entendit dire : « Je pense qu’il y a une dimension dans ce milieu que vous n’avez pas compris. Comment vous expliquer simplement… Tenez, on va jouer au jeu des sept différences. Regardez Quinn. » Elle haussa un sourcil, plutôt curieuse de voir où tout cela allait les mener. Son air condescendant commençait à lui hérisser le poil tandis que l'actrice s'agitait à ses côtés. Marley ne dit rien, gardant son regard planté dans celui de l'homme et attendant la suite. « Première différence, vous jouez toutes les deux les divas mais elle a du talent, elle. » Elle gloussa. Cette première différence était si ridicule qu'elle n'avait pu s'empêcher de le montrer. Elle ne remettait pas en cause le talent de l'actrice – bien qu'elle était persuadée qu'à part minauder devant une caméra et jouer de ses courbes elle n'était pas capable de grand chose – mais le fait qu'il lui parle de son manque de talent l'amusait. Il ne la connaissait absolument pas, ne savait pas de quoi elle était capable. Qu'il pense ce qu'il voulait d'elle, si elle avait une paire de couilles elle lui aurait sans doute dit que cela lui en faisait bouger une sans toucher l'autre. « Vous êtes remplaçable sur ce set. De ce que je vois, n’importe quel maquilleur ferait un travail équivalent ou supérieur. Mais Quinn ? Non. On a besoin d’elle. » Elle leva les yeux au ciel. Evidemment que c'était plus simple de trouver un maquilleur, elle n'était pas stupide au point de l'ignorer. Ce qui était difficile néanmoins c'était de trouver quelqu'un capable de supporter la petite pimbêche dont le regard passait de la métisse au cinquantenaire. « Quinn sait quand se taire. C’est une qualité inestimable que vous devriez apprendre. » Elle fronça les sourcils, passa une main lasse au niveau de sa nuque et se permit de commenter : « Oh pardon, les femmes à la cuisine, les hommes devant la télé. J'avais oublié. » Parce que ce qu'il venait de lui sortir correspondait bien à l'image qu'il renvoyait : un vieux misogyne sexiste qui pensait tout contrôler. Elle pencha la tête sur le côté, l'observa un peu plus. Il se croyait tout permis, au-dessus de tout le monde mais il ne l'était pas. « Elle ne se fera pas virer avant la fin du tournage. Vous, si ce comportement continue, certainement. » Elle soupira de nouveau tout en répliquant : « Je crois que vous n'avez rien compris. Si je suis là c'est parce que l'équipe du film est dans la merde. Mais allez y, virez moi, ça me permettra de me reposer avant d'enchaîner avec le défilé de la maison Weatherton » Elle devait en effet se rendre sur le défilé qui avait lieu le soir-même afin de maquiller les mannequins. Cela faisait des mois qu'elle travaillait pour la réputée maison de couture de Brisbane et tout s'était toujours bien passé. Elle appréciait d'ailleurs grandement travailler pour eux. « Sa réputation est gérée par une équipe entière de PR. Quoiqu’il advienne, il y aura quelqu’un pour la soutenir. Je doute qu’un salaire de maquilleuse permette un tel avantage. » Une équipe entière... Il fallait bien cela pour réparer les dégâts causés par la blonde à ses côtés. Quand elle y pensait... Tout cet argent foutu en l'air à cause d'une gamine orgueilleuse qui manquait d'éducation. C'était d'un pathétique. « Si dépenser autant d'argent pour une actrice que vous allez finir par lâcher vous fait plaisir... Faîtes donc. » souffla-t-elle. Elle sentit la blonde se crisper à ses côtés. Marley n'était pas une idiote, elle savait que les comportements de diva étaient ce qui était le plus exécré sur des plateaux de tournage. On tolérait ce genre d'attitude chez les grandes stars, chez ceux dont la réputation n'était plus à faire. Celle qui se trouvait à ses côtés ? On oublierait son nom dans l'année qui allait s'écouler. Elle était prête à en mettre sa main à couper. « Puisqu’on doit être honnêtes, Quinn me rapporte de l’argent et de ce fait, ses intérêts m’intéressent. Les vôtres, absolument pas. » Sans doute était-ce sensé être une attaque pourtant c'était d'une banalité affligeante. Bien sûr que ça ne l'intéressait pas. Quoi de surprenant là-dedans. Marley plaqua ses mains sur son ventre, caressant du bout des doigts son corps. Son fils s'agitait là-dedans. Sans doute que lui aussi en avait marre de cette histoire ridicule. C'était long, si long... Elle avait perdu le compte des différences. Où en était-il ? C'était juste interminable ! « Et septième différence, elle n’a rien fait qui me donne envie de lui causer des problèmes, elle. » Le sourire carnassier de Sergio aurait pu lui glace le sang mais au lieu de ça le regard descendit au niveau du nez de l'homme. Elle le fixa longtemps avant de baisser les yeux jusqu'au niveau de son entre-jambes. Alors qu'elle le regardait sans la moindre honte ou la moindre gêne, elle l'entendit faire une petite remarque sur le fait de travailler avec des gens que l'on ne supportait pas. « Alors, qu’est-ce que ça va être ? Vous vous remettez au travail ou j’appelle un remplacement ? » Elle releva la tête, une lueur de défi dans les prunelles. « Vous savez il y a plus simple... Si vous ne me supportez pas, vous pouvez aussi sortir d'ici le temps que je la maquille... » Qu'est-ce qu'il foutait encore dans ses pattes cet abruti ? Elle se tourna vers l'actrice, prit sa palette de maquillage et commença à tapoter sur l'une des couleurs pour maquiller ses paupières. « A moins qu'être en ma présence ne vous rappelle d'agréables souvenirs. » souffla-t-elle. Elle commença à maquiller l'oeil gauche de la jeune femme et poursuivit : « Dans mes souvenirs votre nez était plus droit que cela, mais comme le soleil se couchait, j'ai peut-être mal vu. » L'actrice rouvrit son œil, surprise par de tels propos mais devant le regard noir de Marley ferma rapidement ses paupières. D'une voix guillerette Lynch acheva : « En tout cas je suis contente de voir que votre paire de couilles est revenue depuis la dernière fois. J'espère qu'elle est intacte. » Sans doute regretterait-elle sa dernière provocation mais s'il voulait jouer au connard, elle serait la plus grande connasse qui soit. Qu'il continue à l'emmerder et il verrait de quoi elle était capable.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Do your worst, say it first, I will reverse my face again. Hope you like the bottom where you'll do your worst, well rehearsed, repeat the verse of hate again. Right beneath the bottom where you wound up on the floor like you wanted to. Now, I thought you wanted more. Is this all that you could be?
Il n’y avait plus de professionnalisme qui tenait. Sergio aurait pu être l’adulte dans cette situation et mettre sa rancœur à part, mais l’occasion était bien trop belle. Il trouvait incroyablement ironique de recroiser cette femme dans un contexte où il pouvait avoir le dessus sur elle. C’était bas et immoral de sa part, mais il n’en ressentait pas la moindre forme de culpabilité en réalisant que c’était la seule forme de vengeance qu’il aurait. Elle n’était pas assez importante pour qu’il la poursuive pendant une éternité. Il se contenterait de la pousser à bout, de pourrir sa journée, son nom auprès du réalisateur, et peut-être que cela suffirait à la satisfaire. Le fait que la maquilleuse ne soit pas le genre à courber l’échine et à se taire n’aidait en rien l’acharnement. Elle lui donnait des ressources toutes trouvées en réagissant de la sorte, lui indiquant rapidement les moments où il arrivait sur un point sensible. Il ne manquait déjà pas d’arguments pour lui expliquer -professionnellement- combien il la méprisait, mais cela ne semblait toujours pas assez pour la femme qui tendait le bâton pour se faire battre. « Je ne vous ferais même pas confiance en cuisine. » Ou même pour sortir ses poubelles. Elle ne lui inspirait rien de positif, rien que le fait qu’elle respire l’irritait au plus haut point. Alors il n’aurait aucun souci à se sentir cruel, continuant dans sa tirade inspirée. Il ne lui accorderait pas le même crédit, quand bien même s’il était honnête, le fait qu’elle ait pu se déplacer si rapidement sortait une aiguille du pied au réalisateur qui souhaitait finir le tournage dans tous les temps. C’était également bon pour sa carrière d’avoir décroché un contrat avec Weatherton, mais l’agent haussa juste un sourcil sarcastique. « Vous n’êtes pas le dernier recours. Vous vous accordez bien trop d’importance et je pense que Weatherton vous donnera une bonne leçon d’humilité. » Elle était utile par son timing. Mais la haute maison de couture ne se reposerait pas que sur elle. L’équipe serait sans doute composée d’une dizaine de maquilleurs s’il s’agissait d’un défilé. Les événements aussi conséquents avaient toujours des plans B et même C. Alors non, elle n’avait rien de spécial. Elle était remplaçable. Quoique maligne, il fallait le lui reconnaître. Elle avait cerné ce qu’il comptait faire avec Quinn. Néanmoins, elle ne connaissait pas assez le milieu pour comprendre que parfois, investir sur du court-terme assurait plus de revenus que juste abandonner. « Oh je le ferai volontiers. » Si Quinn nécessitait des milliers de dollars en PR, il les investirait sans ciller. Elle ne serait pas le premier cas complexe qu’il aurait à gérer et au moins, elle avait juste un caractère de diva à défendre, pas des problèmes de substances illicites. Ce serait un jeu d’enfant. L’actrice ne serait pas un problème. La maquilleuse peut-être, mais cela viendrait avec des conséquences. Il la sentait irritée, mais avec cette lueur de défiance dans le regard, comme si elle pensait être capable de gagner cet échange de joutes verbales. « Non. Je vais rester ici. » Parce que cela allait l’agacer, et parce qu’il ne comptait pas lui donner la chance d’être seule avec la blondinette. Il n’était pas dupe sur les mauvaises intentions de la métisse. Il ne se serait pas attendu à ce qu’elle mentionne ce jour d’humiliation, en revanche, et ce rappel le fit se crisper instantanément. Il lui jeta un regard sombre, profondément haineux. Son ego ne s’était toujours pas remis de ce passage à l’hôpital, ou du retour à la maison où il avait préféré mentir à son ex-femme plutôt que d’admettre la vérité. Quelle foutue garce. Puis, il réalisa qu’il s’agissait peut-être d’une chance. Alors plutôt que de l’insulter de tous les noms, il décida d’assumer. « Vous voulez parler de la fois où vous m’avez attaqué comme une hystérique après que j’ai juste tenté de vous rendre vos clés ? » Il passait pour le gentil auprès de l’actrice qui écoutait attentivement l’échange houleux, il n’en doutait pas. C’était exactement ce qu’il attendait d’elle. « Quinn. Tu as entendu ça ? » Elle rouvrit les yeux une seconde avant de les refermer, de juste prononcer un timide « Oui. » qui fit naître un sourire carnassier que les lèvres de l’agent. Il reporta son attention sur la métisse. « Il faut être d’une stupidité incroyable pour se vanter d’une agression, devant un témoin en plus, quand une plainte a été déposée à son encontre. » Il la dévisagea, guettant la moindre de ses réactions. Cela aurait été logique après tout. Elle lui avait salement brisé le nez, l’avait courbé en deux, il avait dû aller à l’hôpital. Déposer plainte aurait été la chose logique à faire et il regrettait de ne pas l’avoir fait. Elle n’en savait rien, et c’était la meilleure partie de cette torture mentale. Du moins, c’était ce qu’il croyait, jusqu’à ce que de sa hauteur, il réalise qu’il était passé à côté d’une information sans doute particulièrement sensible. « Quelle image de future mère vous allez donner. » Hystérique. Violente. Oh qu’il allait se faire un malin plaisir d’explorer cette corde sensible.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
La tension était toujours aussi palpable. Les deux adultes se regardaient avec un mépris comme rarement on avait pu voir dans une loge. Aucun ne voulait courber l'échine, aucun ne voulait se taire, renoncer et faire demi-tour. C'était affligeant voire pathétique. Marley savait qu'il fallait qu'elle mette de l'eau dans son vin, elle savait que si elle voulait se barrer rapidement du plateau il fallait qu'elle accepte de tenir sa langue pourtant elle en était incapable. Chaque geste, chaque regard, chaque parole du mexicain lui hérissait le poil. Néanmoins lorsqu'il répliqua : « Je ne vous ferais même pas confiance en cuisine. » Elle ne put s'empêcher de rire avec franchise. S'il pensait la blesser dans son amour propre, il se mettait le doigt dans l'oeil. Marley était une piètre cuisinière. Chaque repas qu'elle tentait de préparer du début à la fin était un véritable fiasco. Combien de fois Jackson lui avait-il demandé si elle tentait de l'empoisonner ? Quoi qu'il en soit que Sergio essaie de la rabaisser avec cet argument l'amusait plus qu'autre chose. Elle fronça les sourcils néanmoins et roula des yeux lorsqu'il attaqua une nouvelle fois : « Vous n’êtes pas le dernier recours. Vous vous accordez bien trop d’importance et je pense que Weatherton vous donnera une bonne leçon d’humilité. » Une leçon d'humilité ? Vraiment ? Et c'était lui qui osait dire cela ? Lui qui se pavanait comme s'il était le roi du pétrole ? Lui qui se croyait si séduisant alors qu'il n'était qu'un vieux beau refusant d'admettre que le temps avait déjà commencé à faire des ravages sur son visage ? « Je sais ce que je vaux, Weatherton aussi. » dit-elle avec froideur. Il aurait beau continuer à la dénigrer et à la rabaisser, elle savait ce dont elle était capable et ce n'était certainement pas cet homme si arrogant qui allait la faire douter. Il semblait si habitué à ce qu'on lui obéisse au doigt et à l'oeil que le simple fait que Marley ose soutenir son regard semblait le crisper. A quoi s'attendait-il ? Espérait-il qu'elle se mette à ramper à ses pieds ? Qu'elle parte en courant ? Qu'elle se confonde en excuses ? Quoi qu'il désire, il n'obtiendrait sans doute rien de tout cela.
Il continua sur sa lancée expliquant qu'il n'aurait aucun problème à dépenser de l'argent pour son actrice de piètre qualité. Marley s'était contentée d'hausser les épaules, après tout c'était ses thunes à lui, il pouvait bien en faire ce qu'il voulait elle s'en fichait totalement. Elle se crispa néanmoins lorsqu'elle l'entendit répondre, imperturbable : « Non. Je vais rester ici. » Elle se pinça les lèvres, bloqua sa respiration quelques secondes pour ne pas lui hurler dessus et continua de maquiller les yeux de la blonde qui s'agitait de plus en plus sous ses doigts. Lynch ne parvenait pas à savoir si la jeune femme était mal à l'aise ou si au contraire elle se délectait de la situation. Elle n'eut pas le temps de s'interroger davantage sur ce point que Sergio parvint pour la première fois à lui arracher un frisson : « Vous voulez parler de la fois où vous m’avez attaqué comme une hystérique après que j’ai juste tenté de vous rendre vos clés ? » Ses doigts eurent un petit spasme autour du pinceau qu'elle tenait mais heureusement cela n'entacha en rien son travail. Elle déglutit doucement, chercher à rester concentrée sur ce qu'elle faisait. Néanmoins elle eut du mal à le faire puisqu'il venait de demander à la blonde qu'elle maquillait si elle avait entendu toute la conversation. Evidemment cette dernière acquiesça. « Il faut être d’une stupidité incroyable pour se vanter d’une agression, devant un témoin en plus, quand une plainte a été déposée à son encontre. » Cette fois-ci Marley suspendit son geste dans les airs. Si son visage était toujours aussi impassible, elle sentait parfaitement son cœur battre à tout rompre dans sa poitrine. Elle posa le pinceau sur la table et se tourna en direction de Sergio. Elle fronça les sourcils, cherchant à rassembler ses idées et puis lui dit avec innocence mais sans jamais ciller : « A quel moment ai-je parlé de l'agresseur ? » Elle laissa sa question en suspens, faisant bien comprendre à Sergio que ce serait sa parole contre la sienne. Elle n'avait rien dit de tel, avait juste mentionné le fait que la dernière fois qu'elle l'avait vu il était dans un sale état. Etait-elle coupable ? Evidemment. L'avait-elle admis ? Certainement pas. Son regard s'assombrit davantage alors qu'elle poursuivait : « Hâte que la police me contacte à ce propos. Je pourrai alors porter plainte pour diffamation. » Il n'y avait aucune plainte elle pourrait en mettre sa main à couper. Si cela avait été le cas on l'aurait contacté depuis bien longtemps. L'homme qui lui faisait face était bien trop orgueilleux pour admettre aux forces de l'ordre qu'il s'était fait tabasser par une femme. Elle soupira, faussement lasse et lui dit : « Je trouve cela navrant. Inventer de telles inepties... Vous auriez pu être plus créatif, ce n'est tout de même pas mon poids plume et mes petites mains qui auraient pu vous mettre dans un tel état. » et elle étira ses mains fines et élégantes. Du coin de l'oeil, elle vit la blonde observer ses doigts puis regarder Sergio les sourcils froncés. L'actrice ne savait plus qui croire et commençait sérieusement à s'agiter.
Le petit sourire provocateur qui avait glissé sur le visage de Marley s'envola aussi vite qu'il était apparu alors que ses poings se serraient à l'entente des mots cruels balancés par Sergio : « Quelle image de future mère vous allez donner. » Elle se leva d'un coup. Les mains plaquées sur son ventre et s'avança vers l'agent. Deux pas tout au plus les séparaient alors qu'elle s'arrêtait. Si elle le touchait c'était terminé pour elle. Si elle l'insultait, l'actrice ne se priverait pas de tout répéter. Il fallait qu'elle parvienne à garder son calme alors qu'en elle bouillonnait une haine ardente. Sa mâchoire était crispée alors qu'elle sifflait entre ses dents : « L'image d'une mère qui refuse de se taire devant un homme qui se croit tout permis. » Sa poitrine se soulevait avec rapidité alors qu'elle poursuivait : « L'image d'une mère qui fait tout pour sa famille et qui ne se laisse écraser par personne. » Elle ouvrit la bouche pour poursuivre mais un coup de pied ressenti au niveau de son bas ventre l'obligea à se plier en deux. Elle grimaça, recroquevillée sur elle alors qu'elle entendait l'actrice se lever d'un bond. Ce con allait réussir à déclencher son accouchement bien plus tôt que prévu si cela continuait. Marley retourna difficilement s'asseoir et lorsque ce fut fait elle releva la tête : « Et vous ? Quelle image allez-vous donner ? Celle d'un homme qui malmène sans aucun scrupule une femme enceinte. » Elle était épuisée par la situation. Elle but une longue gorgée d'eau, reporta son attention sur l'actrice qui s'était remise en place et se remit au travail. Il ne lui restait plus que ses lèvres à maquiller et elle pourrait disparaître.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Do your worst, say it first, I will reverse my face again. Hope you like the bottom where you'll do your worst, well rehearsed, repeat the verse of hate again. Right beneath the bottom where you wound up on the floor like you wanted to. Now, I thought you wanted more. Is this all that you could be?
Il n’y avait rien que Marley pourrait faire qui n’inciterait Sergio à lui accorder le moindre crédit. Il se fichait de ses capacités, de son expérience, de ses contacts. Il ferait en sorte de la blacklister à chaque occasion et cela commencerait dès aujourd’hui. Il voulait qu’elle grince des dents dès qu’elle penserait à lui, qu’elle craigne de le croiser chaque fois qu’elle viendrait sur un plateau. L’agent était sincèrement rancunier et avoir laissé la femme en plan au milieu des vignes alors que sa voiture refusait de démarrer n’avait été qu’une piètre consolation. Il était ravi d’avoir une autre opportunité de lui faire regretter d’avoir un jour croisé sa route. Reparler, même indirectement de l’attaque, était l’erreur à ne pas commettre, celle qui lui permit de changer son angle d’approche. Il voulait lui faire peur, la faire vivre dans l’appréhension et l’angoisse pour les semaines à venir. Il voulait qu’elle s’inquiète pour elle et pour son rejeton, qu’elle imagine les pires scénarios. Il put voir le moment précis où elle réalisa sa propre erreur et il dut lui reconnaître un certain aplomb. Elle ne se démonta pas, mais les secondes de silence et d’hésitation dans ces gestes suffisaient à raconter l’histoire. Sa voix pseudo innocente n’avait rien de convainquant, ce qui arracha un rictus sarcastique au mexicain. « C’était à peine voilé. » Elle s’était vanté, c’était bien suffisant. Si Sergio avait réellement eu besoin de l’incriminer, il aurait poussé plus loin. Mais il la laisserait se débattre seule quand lui n’avait qu’à bluffer et instiller le doute. Qu’elle parle de diffamation le fit cette fois rire. Il était amusé, mais pas ce genre d’amusement que l’on voulait lui voir. « Vous utilisez des grands mots que vous ne comprenez pas, il semblerait. Mais si vous tenez à dépenser de l’argent en frais judiciaires… J’ai un témoin de vos aveux en demi-teinte, et la police a un portrait robot sagement rangé depuis l’incident. Ils tireront leurs déductions. » Il regrettait presque un peu de ne pas avoir porté plainte pour de vrai. Il aurait aimé que ce scénario soit réel, juste pour voir comment est-ce que la maquilleuse s’en serait sortie. Le rapport de force s’installait et si son ego continuait d’être heurté juste au souvenir de l’attaque, se mettre en colère ne lui apporterait rien. Marley était tellement douée pour commettre tous les pas de travers. « Donc subitement, vous savez dans quel état j’étais ? Allez-y, continuez à vous enfoncer. » Il secoua la tête en soufflant du nez, comme s’il était incrédule devant tant de stupidité. « Je ne frappe pas les femmes. Même les mentalement instables qui me sautent à la gorge pour absolument aucune raison. » Les choses auraient été bien différentes sinon. Elle l’avait pris par surprise et il n’avait pas pu se défendre sans se servir de la force. Elle aurait été un homme, la finalité aurait été bien différente. Sauf que même sans les poings, lui aussi pouvait frapper. En usant des sujets sensibles, comme de cet enfant qui semblait à quelques mois de venir au monde. Évidemment, comme toute future mère, la métisse était sur la défensive, agressive, et s’accordant certainement bien trop de crédit. « Ou d’une femme incapable de prendre la moindre responsabilité. Ce qui, encore une fois, n’est pas une bonne image. » Il plaignait déjà ce gosse pour le manque d’éducation qu’il aurait sur certaines valeurs primordiales de la vie. Et sur l’identité de sa mère, par la même occasion. La maquilleuse se courba subitement dans un geste dramatique qui fit lever les yeux au ciel à l’agent. Quinn était prête à intervenir mais le mexicain ne réagit pas. Le timing était trop parfait pour qu’il ne puisse pas la soupçonner de simuler. La carte de la femme enceinte ne l’émouvait pas le moins du monde. Ils étaient dans le milieu des strass et paillettes, personne n’avait de temps pour cela. « Malmener ? Nous ne faisons que parler et vous optez pour vous mettre en position de victime. » Elle lui inspirait du mépris, pas de la compassion. « Ce n’est pas mon problème si vous venez travailler sans être en état. Et navrée de vous apprendre que vous n’êtes pas spéciale parce que vous vous êtes fait engrosser. » Elle aurait dû mieux songer à sa contraception, cela aurait fait une faveur au monde entier. Il tira le téléphone de sa poche et eut enfin un sourire satisfait. « Vous pouvez d’ailleurs arrêter. Mon maquilleur sera là dans cinq minutes. Il… » Sergio avisa le visage de Quinn, grimaça et soupira. « Réparera ce que vous avez fait. » Ils partiraient sur un autre style, juste parce qu’il était hors de question que Quinn porte les coups de pinceau de Lynch sous les projecteurs. « Inutile de rester. J’ai vos coordonnées pour la suite des procédures. » Il la laisserait mariner et veillerait à ce que le cachet qu’elle recevra ne soit pas complet.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
La situation commençait sérieusement à échapper à Marley qui sentait que tout lui glissait entre les doigts. La confiance de Sergio avait redoublé tandis que la sienne s'effritait peu à peu. Elle avait beau garder la face, ne pas se laisser démonter, son cœur qui battait de plus en plus fort dans sa poitrine trahissait le trouble dans lequel elle se trouvait. L'agent parvenait à la pousser petit à petit à bout et si cela continuait, la cocotte minute qu'elle était risquait d'exploser. Son air satisfait et supérieur faisait grincer des dents la maquilleuse qui avait de plus en plus de mal à cacher le mépris qu'elle ressentait pour lui. Elle avait eu de la chance lors de l'incident dans les vignes, de la chance que l'ego démesuré de Sergio l'ait poussé à ne pas appeler la police sur le champ. Sa fierté – ainsi que sa paire de baloches – en avait pris un coup et il était parti le nez en sang, les testicules broyées sans oser rien dire. N'importe qui d'autre aurait appelé les secours ou les forces de l'ordre, lui n'avait rien fait. Sur le moment, Marley n'avait pas mesuré la chance qu'elle avait eu, mais désormais elle prenait pleinement conscience qu'elle avait esquivé de sacrés ennuis. Quel dommage alors qu'elle ait évoqué ce sujet ! Qu'elle pouvait être stupide parfois ! Il était néanmoins trop tard pour revenir en arrière, pour changer son fusil d'épaule et parler d'autre chose. Elle avait ouvert une brèche et l'agent n'avait pas perdu une seule seconde avant de se faufiler dedans. Qu'à cela ne tienne, Marley ne flancherait pas davantage. Pas mêmes lorsqu'il insista sur le fait qu'elle avait admis ses torts et qu'un portrait robot d'elle attendait dans le commissariat le plus proche. Elle n'en croyait pas un mot pourtant la graine qu'il venait de semer dans son esprit prenait de plus en plus d'ampleur. La métisse se promit d'en toucher deux mots à Jackson. Elle n'aimait pas faire ça mais il fallait qu'elle en ait le cœur net. En tant qu'agent, il avait forcément accès à ce genre de dossiers, avec un peu de chance, il pourrait jeter un coup d'oeil et peut-être même se débarrasser de ce maudit portrait si cela était nécessaire. « Donc subitement, vous savez dans quel état j’étais ? Allez-y, continuez à vous enfoncer. » Elle haussa un sourcil, considérant qu'une fois de plus elle n'avait rien admis. Oui elle savait dans quel état il était parce qu'elle l'avait vu sur le chemin en revenant de son footing, rien de plus simple à expliquer. Il lui suffirait de dire qu'il avait refusé son aide et tout le monde la croirait. Sergio était si orgueilleux qu'il n'y avait rien de surprenant à ce qu'il refuse l'aide d'une jeune femme. « Je ne frappe pas les femmes. Même les mentalement instables qui me sautent à la gorge pour absolument aucune raison. » La mâchoire de Marley s'était crispée alors que son regard lançait des éclairs. Elle n'était pas instable. Elle avait failli se faire violer dans une ruelle ce qui l'avait rendue fébrile durant des semaines. N'importe qui aurait réagi de la même manière qu'elle après ce qu'elle avait vécu.
Elle aurait pu continuer à garder son sang-froid s'il ne l'avait pas attaquée sur sa capacité – ou non capacité – à devenir mère. Ce sujet était bien trop sensible pour Lynch qui était déjà rongée par la peur, les doutes et les remises en question. Qu'il ose l'attaquer sur ce poing la crispait tellement que même son corps réagissait. Assise sur la chaise, les doigts de la brune caressaient nerveusement son ventre afin de calmer les coups qu'elle sentait. « Malmener ? Nous ne faisons que parler et vous optez pour vous mettre en position de victime. » C'était trop, Marley ne supportait plus le comportement irrespectueux, violent et mauvais de l'homme qui lui faisait face. Peu à peu elle sentait qu'elle allait craquer. « Ce n’est pas mon problème si vous venez travailler sans être en état. Et navrée de vous apprendre que vous n’êtes pas spéciale parce que vous vous êtes fait engrosser. » Elle releva le visage dans sa direction et siffla entre ses dents : « Vous êtes une ordure. » parce qu'elle n'était plus capable de dire quoi que ce soit d'autre. Cette conversation était un véritable désastre et tout était en train de tourner au fiasco. Il fallait qu'elle parte, qu'elle se casse d'ici et tant pis si pour la première fois de sa vie elle n'allait pas au bout de ses engagements, tant pis si elle ne respectait pas son contrat. Elle avait assez de contact dans le milieu pour travailler ailleurs, elle n'avait pas à s'infliger cela une seconde de plus. Elle commença alors à ranger à la hâte son matériel alors que Sergio en profitait pour lui dire qu'un autre maquilleur allait débarquer. « Parfait » répondit-elle froidement, ne souhaitant pas s'éterniser davantage dans cette pièce. « Réparera ce que vous avez fait. » Marley se crispa une nouvelle fois mais ne dit rien, à l'inverse elle se mordit si fort la langue qu'un goût de fer empli sa cavité buccale. Elle rangea ses derniers pinceaux, jeta un coup d'oeil à l'actrice qui se trouvait à ses côtés et murmura : « Je suis désolée. » Désolée qu'elle ait dû assister à un si pitoyable spectacle, désolé qu'elle soit obligée de se faire maquiller une deuxième fois alors qu'il était clair que Marley avait bien fait son job. La blondinette lui fit un petit sourire et finit par baisser la tête. Lorsque la maquilleuse se redressa avec ses affaires, elle entendit l'agent ajouter : « Inutile de rester. J’ai vos coordonnées pour la suite des procédures. » Elle planta son regard dans le sien, esquissa un léger sourire sarcastique et répondit : « J'attends de vos nouvelles. » Il ne lui faisait pas peur. Il avait beau la mettre hors d'elle, elle ne craignait pas son courroux ou ses fausses menaces. C'était un crétin qui un jour se brûlerait les doigts à force de se comporter comme un véritable connard. Elle passa à ses côtés, s'arrêta à sa hauteur, et souffla dans un murmure : « Vous savez il existe de très bons chirurgiens esthétiques... » faisant référence à son nez quelque peu déformé par le coup qu'elle lui avait infligé. Et sans attendre qu'il lui réponde, elle sortit, claqua la porte et s'éloigna le plus rapidement possible. Sur son chemin elle croisa le producteur qui discutait avec le réalisateur. Devant leur air étonné, elle leur expliqua qu'en plus d'avoir une actrice capricieuse ils avaient un agent exécrable et manipulateur en loge. Devant leur mine désabusée Marley sortit de l'entrepôt, bien trop pressée de quitter cet endroit cauchemardesque.
made by black arrow
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on