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{I'm just a teenage dirtbag, baby}
crédit/(ssoveiagifs) ✰ w/@Jo Carter

"Désolée, je suis juste perdue et nerveuse, désolée." Les excuses sont murmurées à la hâte, elles sont sincères, et tu te demandes si Jo t'en veut pendant quelques secondes. Non, la brune n'a pas une famille parfaite, mais c'est la sienne, elle a une mère, belle et captivante, un père exigeant, qui lève trop souvent la voix et peut-être autre chose. Tu devines, c'est écrit sur le visage de Jo, dans la façon qu'elle a d'exagérer après ou de te demander de rentrer chez toi avant, tu n'es pas une idiote finie, tu sais combien ça fait deux plus deux. Mais voilà, c'est une famille complète, peu importe les hauts, peu importe les bas. La tienne ne l'est pas, elle ne le sera jamais et tu ne sais pas si tu dois juste être triste ou jalouse. Tu ressens tout et rien à la fois assise sur la banquette de ce bus, tu regretterais presque ta décision, ça aussi, tu changes d'avis toutes les deux secondes. Jo ne te rabroue pas plus que ça, et les questions de rhétorique que ton amie te pose sont valides. Tu n'as qu'une seule version de l'histoire, de ton histoire, celle que Catherine t'a dit et répété en boucle, pendant une quinzaine d'années. Et même toi, avec le peu d'expérience de vie que tu as, tu le sais, les gens ne sont jamais objectif. C'est impossible de l'être complètement. Catherine a été blessée et elle a dû t'élever seule, ce sont les faits. C'est tout, ça, c'est la vérité. "Tu as raison, je n'en sais rien du tout." Tu le dis, dépitée, avant de pousser un long soupir. C'est bien ça le problème, tu ne sais pas, et ça te parait tellement injuste d'avoir ce point-là en plus sur les épaules. Encore un truc qui ne te rend pas comme les autres.
"Okay." Tu es contente que Jo te prenne la main la seconde suivante, tu la laisses faire sans aucune hésitation. C'est un point d'ancrage, ce dont tu as besoin, même assise à l'arrière de ce bus."Je vais essayer, désolée... désolée." Il faut que tu essayes... trouver le sommeil, de ne pas penser à quelque chose que tu ne peux pas résoudre dans la présente. C'est plus facile à dire qu'à faire et au final, est-ce que tu dors vraiment ? Tu n'en sais rien, tu fermes bien les yeux et tu te réveilles un peu avant l'arrêt du bus. Si tu suis Jo dans un premier temps, tu t'arrêtes au stand d'information, pour demander un plan de Mackay et savoir dans quelle direction aller. Quelques minutes plus tard, tu te tournes vers la brune. "J'ai l'adresse et un plan, ironiquement, ce n'est qu'à quelques minutes d'ici." Sous-entendu, vous pouvez y aller à pied, tu ouvres la marche, les rues sont bien indiquées au moins. Tu ne sais pas quoi dire, tu n'as toujours rien de préparé et quand enfin, vous êtes en face de la maison, tu sens ta gorge se serrer. Une maison plus grande que la tienne, tu peux voir une balançoire dans le jardin, une voiture garée dans l'allée, quelqu'un est là. "C'est... calme. Un peu trop calme, je vais... aller sonner à la porte, souhaite moi bonne chance." Tu n'attends pas la réponse de Jo, soudainement prise d'un élan de courage. Tu grimpes les marches blanches jusqu'à la porte et tu sonnes. Tu le regrettes aussitôt, surtout quand tu entends du bruit et que la porte s'ouvre.
"Bonjour ? Vous cherchez quelque chose ? Je peux vous aider ?" Un homme. Grand. Plus grand que toi, âgé, avec une barbe de quelques jours, les cheveux bruns un peu désordonnés et des yeux bleus. Un bleu que tu as déjà vu, oui, sur ton propre visage. "Je..." Ta gorge se serre encore une fois, tu sens les larmes monter, là tout de suite, tu es juste une gamine qui a besoin de réponses. Et qui est sur le point d'éclater en sanglot. "Si vous vendez quelque chose, je suis désolé, mais je ne suis pas intéressé... ou alors vous êtes la baby-sitter ? Pour Dylan ?" Il dit ça en ouvrant la porte encore plus et enfin, tu remarques le gamin. Dans le fond du couloir, qui observe la scène, se demandant sûrement ce qui se passe. Un autre gamin. Le signe qu'il a tourné la page complètement et totalement. "Désolée, je crois que j'ai la mauvaise adresse." Tu le dis et tu tournes aussitôt les talons, revenant vers Jo, les larmes roulant sur tes joues, persuadée d'avoir commis la plus grosse erreur de toute ta vie.

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@Laurie Wright ☆ crédit/stefansalvatored

Jo n’était pas une jeune fille qui avait besoin d’être dorlotée. Cependant, à un certain moment donné, boule d’énergie vindicative qui ne s’arrêtait presque jamais, elle avait tout de même besoin de repos. La journée avait été épuisante, le trajet jusqu’ici étant éprouvant sur bien des points, et elle aurait aimé pouvoir se reposer un peu mieux qu’au fond d’un bus, ballottée selon la conduite discutable d’un chauffeur pas très consciencieux — et avec des goûts musicaux aussi douteux que la manière dont il regardait les femmes monter dans son carrosse. Mais Laurie était déterminée, et à la sortie de leur bus, elle prit les choses en charge sans que Jo ne trouve quoi que ce soit à lui dire, lasse de toute cette histoire qui n’était pas la sienne et dont elle ne tirerait aucune espèce de satisfaction au final. Elle était seulement là en tant que bonne copine, prête à éponger les larmes d’une Laurie pas très sûre d’elle, qui aurait clairement risqué quelque chose si elle n’avait pas été accompagnée par quelqu’un qui n’avait pas froid aux yeux et qui avait un tant soi peu de jugeote pour se comporter comme une adulte à en devenir, non comme une enfant perdue qui ne connait pas le chemin vers le pays imaginaire.

Une succession d’évènements se déroula sans interruption pendant que Jo ne pouvait s’empêcher de ne pas se sentir très bien. Un peu mal à l’aise, portant ses vêtements de la veille, sans douche et sans rien de tout ça, elle n’aimait pas ce côté de l’expérience, soucieuse de garder une image impeccable, même si elle pouvait très bien faire l’impasse sur le confort, pas aussi princesse que ça. Elle ne se plaignit pas une seule fois néanmoins, gardant à l’esprit que c’était pour Laurie qu’elle était là, qu’elle aurait sans aucun doute l’occasion de faire la belle plus tard, quand elle aurait retrouvé un semblant d’hygiène et qu’elle se serait débarrassée de l’odeur désagréable du bus qui avait pris le pas sur le parfum sucré qui faisait qu’on la reconnaissait à des kilomètres à la ronde. Lorsqu’elles arrivèrent à l’itinéraire indiqué par les recherches de Laurie, Jo n’insista pas pour l’accompagner devant la porte de son père. Seulement, elle avait de l’instinct, et elle n’ignorait pas que les choses ne se passeraient pas comme elle l’entendait. Elle la laissa tout de même prendre les devants en même temps que son courage à deux mains, observant la scène de loin en déballant une énième sucette à la cerise de son papier brillant en ne quittant pas des yeux les silhouettes qui se dessinaient au loin.

Est-ce que Laurie ressemblait à son père ? Difficile à dire à cette distance, mais ils avaient la même façon de se tenir, et elle se demanda ce que ça lui faisait à la blonde, d’être confrontée à cette image d’elle-même qu’elle avait rejeté tout au long de sa vie. C’était triste, elle avait de la peine pour elle sans même entendre ce qui se disait, aussi compte tenu des postures qu’elle voyait au travers de ses lunettes de soleil à bord blanc, elle pouvait facilement s’imaginer que l’autre s’était dégonflée comme un ballon de baudruche. C’était normal dans un sens, tout le monde n’était pas apte à vivre ce genre de choses, surtout quand elles étaient préparées sur la base d’une envie soudaine. Elle se mordit l’intérieur de la joue, faisant passer sa sucette de l’autre côté de sa bouche, regardant Laurie faire demi-tour pour la rejoindre. Elle était en larmes "Quelle putain de chialeuse." ne put-elle s’empêcher de murmurer pour elle-même, ressentant pourtant une vraie tristesse pour elle qu’elle accueillit en lui ouvrant un bras pour qu’elle vienne nicher son nez contre son épaule tandis qu’elle roulait des yeux en lui tapotant l’épaule, son autre main retirant sa sucette de sa bouche dans un pop sonore, digne d’un vieux cartoon "Je t’avais dit de pas nourrir trop d’espoir aussi, t’es con." Pas tant que ça, c’était là encore normal, mais Jo était maladroite quand il s’agissait de consoler son prochain. Elle attendit qu’elle se redresse pour lever ses yeux vers elle et secoua la tête "Il t’a dit quoi ?" Est-ce qu’elle aurait dû lui laisser un peu de temps pour se remettre de ses émotions ? Certainement. Mais elle n’avait pas non plus fait tout ce chemin pour qu’elle se débine aussi vite, alors elle avait besoin de toutes les cartes en main pour l’aider à retourner au front sans se laisser le temps de chouiner trop longtemps non plus, merde à la fin "Tiens, du sucre." Elle lui tendit sa sucette "Raconte." lui fit-elle, détournant ses yeux d’elle pour les poser sur la porte qui se refermait au loin, descendant doucement ses lunettes sur le bout de son nez pour opérer un instant d'observation qui lui servirait à réfléchir à un plan mieux préparé que celui de Laurie.

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crédit/(ssoveiagifs) ✰ w/@Jo Carter

Malgré les conseils de Jo, le refus clair et net de Catherine, tu t'étais imaginé quelque chose. Oui, bien sûr que oui, tu n'es qu'une enfant au final, même si on t'a donné des jambes plus grandes que la moyenne alors ouais... tu as nourri un espoir d'enfant. Un désir un peu bête de voir un homme brisé et un peu triste, triste, car il a perdu sa fille, il aurait ouvert la porte, il t'aurait tout de suite reconnue et prise dans ses bras. Un scénario complètement parfait et cliché de fin de films, où le câlin aurait été l'apogée de la petite production, de ce biopic à propos de ta vie, et quand tu aurais été dans les bras de ton cher papa, la musique serait arrivée, le générique se serait mis à défiler. La réalité ? Elle est nulle, voilà ce que tu dirais grossièrement alors que ton cœur se serre et se brise en mille morceaux. La seule musique que tu entends, c'est un bourdonnement sourd dans tes oreilles alors que les larmes roulent et roulent et que tu reviens vers Jo. La seule figure familière, la seule personne qui agi normalement aujourd'hui et la seule personne en qui tu peux avoir confiance, tu le sais. Tu n'hésites pas à l'approcher, pour pleurer contre elle, contre son épaule parce que tu es certaine de ne jamais avoir été aussi triste. Absolument et positivement certaine. Tu ne vas pas t'en remettre, ça va laisser une affreuse cicatrice, quelque part, entre ton cœur et tes côtés et tu devras continuer d'avancer avec, comme si tout allait bien. Comme si. Tu te redresses dans un autre sanglot.
"Je sais." Tu arrives à peine à l'articuler, Jo te l'avait dit, t'a prévenu, t'a mis en garde contre ce scénario exactement et tu n'as pas écouté. C'est toi l'idiote, pas les gens autour, pas le monde, le monde te donne exactement ce que tu as demandé, exactement ce que tu mérites et pas autre chose. "Je sais." Tu le dis encore et tu te mords la lèvre inférieure pour arrêter les sanglots et arrêter d'être aussi pathétique. Tu attrapes la sucette qu'elle te tend mais tu ne la mets pas dans ta bouche. À ta place tu te retourner vers la maison. Qui parfait floue et pas vraiment là sous le coup des larmes. "Ne restons pas ici, s'il te plaît." Tu ne peux pas, tu fais déjà quelques pas en sens inverse, même la station de bus que vous avez quitté il y a peu te parait beaucoup plus sûr là tout de suite. "C'était juste quelques mots mais..." Tu as envie de hurler en fait, la main que tu portes à tes cheveux alors que tu serres tes mèches blondes très fort, trop fort, le prouve. Tu fixes le sol, et après un presque sanglot, tu fourres la sucette dans ta bouche. La solution ne se trouve pas au bout de tes chaussures, même Jo ne peut pas réparer ce qu'il vient de se passer, même pas Jo."Il est passé à autre chose. Il a refait sa vie. Il a une femme. Un autre gamin. Une vie propre et rangée, il attend sa babysitter pour garder le gamin." L'enfant parfait, celui pour lequel il est resté, Dylan... Le nom te brûle encore alors tu ne préfères même pas le dire, tu es déjà assez amère alors que tu expliques ce qui vient de se passer sur le pas de cette porte.
"Il est passé à autre chose... j'aurais dû m'en douter." C'est pour ça que tu ne lui as rien dit de plus, pas ton identité, la raison de ta venue ou quoi que ce soit de cette nature. A quoi bon ? Cela n'aurait servi à absolument rien, tu le sais, pas besoin d'un rappel ou de bon sentiment. Tu arrêtes tes mouvements, pour te tourner vers Jo. "Je suis désolée, on aurait pas dû venir, c'était une erreur, j'ai lu quelques lignes et je nous fait traverser le pays?" C'était débile et immature, et même si c'est votre premier voyage, il aurait du être pour une autre raison. Une meilleure raison, une raison qui ne concerne que vous, pas vos parents, pas un homme qui a devait être bourré au moment où il envoyé cette foutue lettre, pas pour le père de quelqu'un d'autre. Pas le tien. Tu n'en as pas. Autant passer à autre chose, et ce, dès maintenant. "Putain, je suis trop conne." Cette fois-ci tu le fais, tu élèves la voix, comme tu voulais le faire depuis le début. Les larmes sont toujours sur ton vissage, encore fraiches et pas du tout sèches, tu ressens tout trop fort et encore une fois, tu as l'impression que ton coeur va exploser. "Partons, faisons tout ce que tu veux mais ne restons pas ici... Ce n'est pas ma famille de toute façon." Tu prétends te moquer de tout avec ta dernière phrase, comme si ça allait effacer le reste... comme si.

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@Laurie Wright ☆ crédit/stefansalvatored

Lorsqu’elle serait plus ou moins adulte, Jo aurait du mal à réguler son flot de paroles et à se mordre le bout de langue lorsqu’il s’agissait de vérités qui dérangent : elles les diraient sans prendre en compte les sensibilité, la sienne étant déjà bien trop pénible à gérer pour qu’elle s’encombre de bichonner celles des autres. À cet âge, elle avait déjà vécu des choses difficiles, elle restait pourtant rien d’autre qu’un bébé. Elle n’était pas encore assez amère pour dissimuler ses carences émotionnelles derrière de l’honnêteté brutale, elle était juste un peu impolie, un peu capricieuse, et ça faisait son charme au point de la rendre franchement attachante. Dans sa vingtaine, elle s’appliquerait juste à jouer un rôle, à accentuer chacun de ses défauts pour qu’on la déteste pour des raisons valables tout en ne pouvant pas s’empêcher de la trouver fascinante, de la regarder, de la désirer, de l’envier, de l’aimer, et s’y enfermerait pour se protéger de ce qu’elle ressentait beaucoup trop fort ; elle le ferait payer aux autres qu’elle repousserait sans cesse, devenant aussi vindicative et injuste que l’avait été son père avec ses frères et elle tout au long de sa vie. Laurie avait plutôt de la chance que tout ça se passe alors qu’elle avait encore un peu de souplesse et de diplomatie en elle. Magnanime, touchée aussi, dans une moindre mesure, elle ne lui dirait pas que c’était en effet à prévoir que son père avait refait sa vie et que ça n’avait surement rien à voir avec elle, que c’était juste comme ça, qu’il ne fallait pas le prendre personnellement. C’était plus facile à dire qu’à faire, elle en savait quelque chose. Cependant, elle avait toujours la sensation que rien n’était très clair dans le récit que Catherine faisait de son histoire avec le père de Laurie, mais puisqu’elle n’avait pas envie d’achever quelqu’un qui était déjà à terre, elle la laissa juste pleurer comme elle en avait envie. Elle roula bien des yeux une ou deux fois derrière ses lunettes de soleil, mais à ce stade, c’était davantage un réflexe qu’autre chose, bien qu’elle pensa brièvement qu’elle lui avait fait mentir à ses parents pour pas grand-chose et que la rouste qu’elle recevrait surement en conséquence serait le fruit pourri d’une tentative échouée de sa bonne copine de se comporter comme une adulte ; c’était une putain de perte de temps, c’était ce que Jo pensait en finalité, mais plus tard, elle se dirait que c’était ce qu’il avait fallu cet électrochoc à Laurie pour passer à autre chose et faire le deuil de la relation qu’elle aurait aimé entretenir avec son père. Jo l’avait fait il y a longtemps, elle pourrait toujours lui donner quelques conseils et lui assurer qu’on s’en remettait — jamais tout à fait, seulement ce qu’elle ne savait pas ne pourrait pas lui faire plus de mal que ce qu’elle venait de vivre, il fallait relativiser.

"Y a pas un dicton qui dit que c’est en se trompant qu’on apprend ? C’était pas si pire que ça, le trajet était sympa." C’était le pire trajet qu’elle n’avait jamais fait de sa petite vie, ça se lisait sur son visage qu’elle avait déjà bien du mal à accorder aux réactions qu’on attendait d’elle à cette époque, mais elle essayait de consoler la blonde qui paraissait au 36éme en s’évertuant à paraître ravie d’être ici — autant qu’elle aurait été ravie d’être en cours de maths à 8 heures tapantes, c’est dire. Jo n’en rajouterait pas toutefois ; elle ne serait pas mielleuse et complaisante pour autant, elle s’appliquerait juste à remonter le moral à Laurie dont elle prit le bras pour lui faire dans l’intervalle qu’elle laissa brièvement filer entre deux phrases "C’est sa perte. Il saura jamais ce qu’il a manqué, c’est tant pis pour lui." Et Laurie non plus en vérité, elle ne pouvait que s’imaginer ce qu’aurait été sa vie si elle avait grandi avec lui. Ça aurait pu être mieux, ça aurait pu être pire… la vie n’était pas suffisamment linéaire pour que le happy ending se trouve derrière la porte de chaque habitant de cette foutue planète. Elle lui adressa un sourire bouche fermée, opina du chef à ce qu’elle lui demanda quand elle la pressa pour s’en aller, et dans le même temps, laissa tomber l’idée de la pousser à retourner frapper à cette porte à la con pour parler avec son père. Ça se ferait plus tard. Ou ça ne se ferait jamais. Certaines choses ne sont pas vouées à se passer tout de suite et Jo l’apprendrait à la dure, elle aussi.

rp terminé.