| (Raelyn & Abraham) a day that broke up your mind |
| ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
(ua) maxwell #6 (jurassique)
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Mer 15 Nov - 10:45 | |
| a day that broke up your mind Raelyn Blackwell & @Abraham Taylor, août 2023 ☆ crédit/jennyslcte
Ce n’est pas un avantage, à mes yeux, que de pouvoir profiter de notre "déménagement forcé" à Micah et à moi pour recevoir des gens chez nous. Moi, je n’ai besoin de personne, personne d’autre que ma fille et mon époux. La raison qui m’a poussé à déraciner ma princesse un soir du mois de juillet est pragmatique, rationnelle, tout l’inverse d’une décision basée sur l’affect et les beaux sentiments d’unité familiale. J’ai pensé "perquisition" et je me suis inquiétée des suspicions que nous attirerions sur nous si d’aventure, tambourinant à la porte de notre appartement vitrine, les forces de l’ordre le trouvait vide de toute présence humaine et marque de vie. Notre réel logement, celui que Micah et moi avons délaissé depuis plusieurs semaines maintenant, je désire qu’il garde l’aura du secret et de l’intime. Pendant toute cette période pendant laquelle nous serons sous les feux des projecteurs, tout le monde doit pouvoir nous trouver à l’adresse à laquelle ils s’attendent à nous trouver, et cette adresse, c’est celle de cet appartement certes luxueux, mais parfaitement impersonnel et dénué de tout souvenir partagés à deux ou à trois. Nous le louons uniquement pour avoir une adresse officielle à mettre sur les papiers et un lieu pour qu’Amos puisse recevoir les siens. Je dis Amos puisque moi, de toute évidence, je n’ai pas grand monde à recevoir que je ne peux pas convoquer au casino. Je n’ai ni famille – à l’exception de Spencer qui est un cas de figure un peu particulier – ni ami à accueillir chez moi.
Avec un peu de chance et quand il sortira – pas si, quand – Amos trouvera au moins cet avantage là à l’idée de demeurer autre part qu’au loft. Je ne suis pas idiote, s’il se retrouve en liberté conditionnelle ce sera avec un bracelet à sa cheville – nous avons trop de moyens financiers pour que le moindre risque soit pris – et il sera alors salutaire pour lui de recevoir du monde à défaut de pouvoir conduire jusqu’à Kilcoy ou retrouver ses connaissance et amis dans un parc ou sur le catamaran. Je l’espère, mais j’en doute : il est aussi attaché à notre foyer que je le suis, cet espace trop grand qu’il a prétendu détester pendant quelques semaines avant de l’adopter.
Si Micah est traumatisée, elle ne laisse rien paraître. Voilà la réflexion que je me fais alors que je l’observe jouer dans le salon. Elle encastre et empile ses gros blocs de couleur sans réelle logique pour qui que ce soit d’autre qu’elle avec une concentration qui frôle la perfection. De temps en temps, elle tape un peu plus fort sur le plastique pour défaire une partie de son ouvrage ou parvenir à enfoncer un cube récalcitrant, preuve que même à son âge rien ne peut lui résister. Elle n’est pas troublée par le déménagement donc, mais elle réclame Amos. Tous les jours au moins deux fois elle appelle son père, au lever et au moment où je la couche. Elle ne dit plus juste papa, elle prononce son prénom comme elle m’a souvent entendu le faire, butant sur le m qui le sépare en deux. Alors je sais qu’Abraham ne remplacera pas son père, mais j’espère que sa présence le temps de quelques heures mettra du baume au cœur à ma princesse. Elle, elle est la seule chose sur terre capable d’attendrir le mien. Lorsque l’interphone de l’immeuble sonne, elle relève la tête de son activité de l’après-midi et, l’espace d’un instant, je crois voir flotter l’espoir de voir son père passer la porte sur son visage. Je l’imagine certainement : les enfants sont des être d’habitude et d’association, et Amos ne sonne jamais. Jusque-là accroupie à son niveau, je me redresse d’abord sur mes genoux pour déposer un baiser sur son front, puis sur mes deux pieds. « C’est ton oncle princesse, je t’ai dit qu’il venait te voir. » J’ignore à quel point sa mémoire est performante mais je mets un point d’honneur à nommer les gens pour ce qu’ils sont pour elle. Ce n’est pas parce que moi je ne les considère pas comme ma famille – il n’y a rien de personnel, ma famille, ce sont Micah et Amos uniquement – que je ne veux pas respecter la volonté d’Amos qu’ils le soient pour elle. « Abraham, celui que tu vois souvent chez tes grands parents. » Je la crois plus habituée au contact de Chad à qui il est arrivé de la garder. Du reste, son esprit reste insondable pour moi pour qui elle est la seule référence et expérience en matière de jeunes enfants, d’enfants tout court, en fait.
Je la quitte à peine des yeux pour marcher jusqu’à l’entrée et ouvrir. Depuis la porte d’entrée, le salon est visible et je ne suis pas surprise non plus de la voir se redresser – elle est de moins en moins maladroite dans ses gestes et sa démarche, elle, est de plus en plus assurée – pour cheminer jusqu’à la porte d’entrée et s’accrocher à ma jambe. Elle est curieuse, Micah. Curieuse, et férue d’attention qu’elle s’imagine déjà pouvoir se voir accordé par le visiteur. Elle a certainement raison. Je ne la prends pas dans mes bras ; maintenant qu’elle se déplace de mieux en mieux et comment à s’exprimer – c’est laborieux, certes – je tends à la traiter un peu moins comme un bébé et un peu plus comme un enfant, le tout à la demande de madame qui n’hésite pas à râler et me repousser lorsqu’elle ne veut pas être portée. Lorsque j’ouvre la porte sur le frère cadet de mon complice, ma fille fait mine de se dissimuler derrière ma jambe qu’elle entoure de ses petits bras. « Abe, entre. Micah va te dire bonjour, elle fait sa fausse timide. » Elle ne l’est pas et je connais son petit manège. A presque vingt mois, ma fille minaude déjà et aime se faire désirer, un sourire mutin sur son joli et doux minois. « Allez crapule, tu m’empêche de laisser Abraham entrer. » Elle gène mes déplacements en serrant ma jambe de toutes ses forces. J’attrape ses petites épaules pour accompagner le mouvement, et m’efface de l’entrebâillement de la porte. « Je te sers quelque chose ? Un café ? » Il est tôt pour un verre de vin pour le commun des mortels, je suppose. Moi, je ne rougis pas d’avoir entamé une bouteille à midi. Amos n’est pas là pour être tenté, après tout. Je brûle de lui demander comment il a trouvé Amos et, surtout, des détails sur leur conversation. Les Taylors ne sont pas exactement une fratrie d’être subtils et j’ai su lire entre les lignes du message qu’il m’a envoyé. Pour simplement qu’il me contacte, c’est qu’Amos lui a demandé un service dont je devine déjà la teneur, dans les grandes lignes tout du moins.
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Dernière édition par Raelyn Blackwell le Ven 9 Fév - 15:00, édité 1 fois |
| | | | (#)Mer 22 Nov - 23:11 | |
| Did you ever wake up to find a day that broke up your mind, destroyed your notion of circular time ? it's just that demon life has got you in its sway, it's just that demon life has got you in its sway. ☆☆ (2023, août) Il y avait quelque chose de terriblement formel dans le fait d’avoir dû montrer patte blanche, et pratiquement dû prendre rendez-vous pour rencontrer sa nièce, probablement pour une heure à peine. Il y avait aussi quelque chose de terriblement frustrant dans le fait de ne pas savoir qui blâmer pour cela, le comportement d’abord détestable de Maggie Taylor avec la nouvelle flamme d’Amos étant une donnée impossible à ignorer, mais sans qu’aucun d’entre eux ne se départissent du fait que Raelyn, elle aussi, ne témoignait que fort peu d’intérêt pour le fait d’apprendre à connaître ceux qui composaient le reste de l’entourage de son époux. Un contraste d’autant plus saisissant que de tous les enfants (officiellement) nés de la fratrie Taylor, Micah était la seule à n’avoir que peu gambadé au grand air de Kilcoy, les quelques semaines du début d’année faisant plus figure d’exception, là où Sofia, Jacob et Helena profitaient des grands espaces offerts par la campagne à la moindre occasion, et ce depuis bien avant d’avoir appris à marcher. Avec Micah tout était plus difficile, moins spontané – avec Amos aussi, tout était devenu plus difficile, mais cela serait un problème pour un autre jour. Pour l’heure Abe avait garé son pick-up à quelques rues de l’adresse indiquée par Raelyn dans son message, la notion “d’appartement” n’ayant jusqu’à présent jamais fait son chemin jusqu’à son inconscient, et l’ayant pris par surprise lorsque le GPS l’avait arrêté au pied d’un immeuble de plein centre-ville – du genre dans lequel lui ne se verrait jamais vivre, même pour tout l’or du monde, et dont il devait bien admettre être un peu surpris qu’Amos y trouve son compte. Mais à dire vrai, face à l’endroit où se trouvait actuellement son frère, même un studio minuscule à Fortitude Valley aurait eu ses chances. Arrivé au pied de l’immeuble, le garagiste avait composé le digicode là aussi fourni par sa belle-sœur, et tenté de mettre un peu d’ordre dans sa tignasse après avoir croisé son reflet dans le miroir du hall d’entrée. A quoi bon ? Il avait de toute façon besoin de passer chez le coiffeur, chose que sa mère ne manquait pas de lui faire remarquer à chaque occasion, et raison précise pour laquelle Abe traînait autant à le faire, son esprit de contradiction battant à plate couture le besoin de raccourcir ses cheveux. L’ascenseur, la porte, la sonnette, et quelques instants après, sans qu’il n’ait pris le temps de réfléchir ou même d’une respiration supplémentaire pour se donner du courage, la porte s’était enfin ouverte sur Raelyn. « Hey. » – « Abe, entre. Micah va te dire bonjour, elle fait sa fausse timide. » Instinctivement, le regard du Taylor avait glissé jusqu’à la silhouette miniature accrochée à la jambe de sa mère, derrière laquelle elle se cachait à moitié. « T’en fais pas, ça fait un moment qu’on ne s’est pas vus. Et je parie que les chevaux et les moutons étaient plus marquants que le bonhomme qui l’emmenait les voir. » Qui d’elle ou de lui y avait pris le plus de plaisir ? La question méritait d’être posée, et la réponse ne coulait pas nécessairement de source. « Allez crapule, tu m’empêches de laisser Abraham entrer. » Joignant le geste à la parole, la blonde s’était effacée dans l’entrebâillement de la porte pour le laisser entrer, et tandis que Raelyn refermait derrière eux, Abe avait balayé la pièce du regard avant de revenir à la maîtresse de maison. « Je te sers quelque chose ? Un café ? » Les bras ballants, et l’air de ne pas savoir quoi faire de lui-même crevant les yeux, il avait acquiescé d’un signe de tête « Je suis pas contre un café, mon dernier a l’air de remonter à une éternité. » Autrement dit à son réveil, ce qui pour lui qui en avalait des litres chaque jour, était effectivement une éternité. Tandis que la blonde s’occupait à préparer le dit-café, Abe avait pris la liberté de finalement se délester de son blouson pour l’accrocher au porte-manteaux près de la porte. Toujours à distance sécurisante de sa mère, Micah observait pour sa part silencieusement le nouvel arrivant, et sentant son regard espiègle sur lui le Taylor avait posé un genou à terre pour se mettre à sa hauteur, sans que cela ne l’empêche de commenter « Quand est-ce que tu as autant grandi, toi ? » en pure rhétorique. À cet âge-là, quelques semaines suffisaient à faire la différence, alors que dire de cinq ou six mois ? La petite, néanmoins, n’avait que faire de ces questionnements et avait vu son attention accaparée par ce que son oncle tenait dans les mains à la seconde où il l’avait sortie de l’intérieur de sa veste. « Tu peux venir le chercher, c’est pour toi. » D’un même mouvement, homme et enfant avaient relevé les yeux vers Raelyn pour chercher son approbation, et une fois rassurée la petite avait parcouru les quelques mètres menant à son oncle de sa démarche dandinante de bambin pour attraper le petit écureuil roux en peluche qui lui était destiné. On se trompait rarement avec une peluche, ou du moins c’était le point de vue d’Abraham : on n’en avait jamais trop, chacune complétait seulement l’assemblée devant laquelle chaque enfant avait un jour fait un concert de playback ou organisé une tea party. « C’est gentil de me laisser la voir. » avait pour sa part repris le garagiste, son regard remontant à nouveau vers Raelyn, avant qu’il ne se remette à sa hauteur pour se saisir de la tasse de café qu’elle lui tendait.
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| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
(ua) maxwell #6 (jurassique)
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Jeu 23 Nov - 14:41 | |
| a day that broke up your mind Raelyn Blackwell & @Abraham Taylor, août 2023 ☆ crédit/jennyslcte
J’ignore comment les différents membres de la famille Taylor me perçoivent, et je m’en suis toujours bien trop moqué pour réellement me poser la question. Correction, j’ignore comme les différents membres de la fratrie Taylor me perçoivent puisque, concernant la matriarche du clan, j’ai une petite idée de la réponse à cette question. Si elle a semblé s’adoucir suite à la naissance de Micah et plus encore lorsque nous lui en avons confié la garde pendant plusieurs semaines en début d’année, nul doute que l’arrestation d’Amos aura eu vite fait de déterrer la hache de guerre. Je n’ai pas besoin d’entendre la confirmation que je suis, aux yeux de Margaret Taylor, la sorcière qui a corrompu son fils ou qui lui a à minima attiré de sérieux ennuis. Je ne prétends pas être capable de lire dans ses pensées mais, lorsque je suis concernée, elle est plutôt transparente, la septuagénaire. D’après Amos, Abraham n’a jamais réellement aimé Sarah alors je suppose que je suis au moins à ses yeux exempte du crime d’avoir détourné mon époux de son ex-femme. Du reste, je suis consciente d’être celle qui éloigne Amos dans la ferme dans l’esprit de la plupart des membres du clan et je ne serais pas surprise outre mesure si le cadet de mon complice partageait à minima cet apriori me concernant. J’ai au moins conscience de ne pas être le genre de personnalité qui gravite habituellement autour des membres de la famille traditionnelle et conservatrice qu’ils forment, je ne m’en cache pas plus que je n’en rougis. Margaret déplore très certainement ma résolution - notre résolution - à ne pas élever Micah comme elle l’entendrait, mais cela ne pourrait pas avoir moins d’importance à mes yeux. « T’en fais pas, ça fait un moment qu’on ne s’est pas vus. Et je parie que les chevaux et les moutons étaient plus marquants que le bonhomme qui l’emmenait les voir. » J’esquisse un sourire en baissant les yeux sur le petit-être accroché à ma jambe. « Elle fait réellement semblant, cela-dit. » Qu’elle le reconnaisse ou pas n’a pas réellement d’importance ; Micah est plus curieuse que réellement sauvage. « Et elle arrêtera quand elle comprendra qu’en plus, c’est elle que tu es venu voir. » Parce que si je sais une chose concernant la personnalité de ma fille que je tiens pour vérité, et pas uniquement l’invention d’une mère qui manque d’objectivité, c’est que ma fille a bien plus hérité de mon amour pour l’attention que de la discrétion de son père qui a bien plus tendance à raser les murs. Quand les choses tournent autour d’elle, Micah a l’air d’un poisson dans l’eau. Elle devient plus causante et la recherche même, qu’on se concentre sur sa personne et uniquement sur elle. D’ici quelques minutes, elle s’affairera certainement à sortir tous ses derniers jouets de sa chambre pour les amener dans le salon et les étaler sous les yeux de son oncle.
Les salutations de rigueur ayant été faites, je me baisse vers Micah pour l’attraper par les épaules et la tirer hors de sa cachette - qui est bien mauvaise, soit dit en passant. Elle dépasse de tous les côtés de mon mollet mais je la soupçonne de n’être volontairement qu’à moitié dissimulée pour pouvoir continuer à adresser ces sourires ravageurs dont seule elle a le secret. « Je suis pas contre un café, mon dernier a l’air de remonter à une éternité. » Gracieusement, il n’évoque pas les cernes qui doivent encercler mon regard. Leadeur de gang et maman son déjà deux boulots à plein temps, y ajouter la gestion totale de l’Octopus a considérablement raccourci le temps que je peux allouer à mes nuits. Je me contente d’esquisser un sourire poli, de m’extirper pour de bon de l’étreinte des petites mains de Micah autour de mon genou, et de les abandonner - façon de parler puisque la cuisine est ouverte sur le séjour - tous les deux au salon. Je suis toutefois une mère : je ne perds jamais totalement Micah des yeux, elle reste toujours dans un coin de mon regard et je tends une oreille attentive à l’échange entre ma fille et son oncle. Echange à sens unique, pour l’instant, mais je doute que cela restera le cas encore bien longtemps. « Tu peux venir le chercher, c’est pour toi. » Un coup d’oeil me permets de voir le présent que mon beau-frère a apporté à ma poupée et, s’il y a bien un seul sujet capable de me tirer un sourire attendri, il s’agit sans l’ombre d’un doute de ma fille. « Tu cherches à rentrer dans la course pour prétendre au titre d’oncle préféré ? » Ou de celui, en tout cas, qui la gâte le plus ? Chad n’est jamais en reste, et même Spencer a par plusieurs fois eu ce genre de geste envers Micah qui est déjà bien plus gâtée qu’aucun enfant ne devrait l’être.
Accompagnant ma question posée sur le ton de l’humour, je reviens vers eux avec deux tasses de café - la bouteille de vin attendre sagement l’heure du dîner que j’y revienne - que je dépose sur la table basse. « C’est gentil de me laisser la voir. » Mon regard, naturellement posé sur ma fille qui retourne sa nouvelle peluche dans tous les sens pour l’observer sous toutes ses coutures, file droit se ficher dans celui du frère de mon époux. « Je n’ai rien contre le fait qu’elle te voit. » A vrai dire, c’est même plus large que ça. « Je n’ai rien contre le fait qu’elle voit n’importe lequel d’entre vous, tu sais. » Ce n’est pas parce que je n’ai pas le moindre attrait pour les rassemblement familiaux et que je préfères encore un interrogatoire de police à un dîner de famille chez les Taylor et avec leur mère que je désire tenir ma fille éloignée de sa famille, puisque c’est ce qu’ils sont malgré tout. S’il le désire, Amos sait qu’il peut emmener Micah à Kilcoy aussi souvent qu’il le veut, tant que personne ne me force la main pour être systématiquement de la partie. « Je n’ai jamais aspiré à éloigner Amos non plus. » Cette conversation, je l’ai déjà eue avec Chad, il y a une vie de cela, j’ai l’impression. Toutefois, les remerciements d’Abraham me laissent à penser qu’il n’est pas idiot d’envisager de la tenir avec lui également. « Ah, ça y est tu vas avoir le droit aux présentations. » En courant, Micah s’est redressée pour partir en courant vers sa chambre pour, je le devine, ramener toutes ses autres peluches. Être mère, c’est aussi posséder le décodeur qui permet de mettre un sens sur des mots jetés un peu au hasard et maladroitement pour tenter de former une phrase. « Si tu prétends que tu trouves ça passionnant, tu pourras peut-être prendre une avance confortable. » Toujours pour la course précédemment citée, de toute évidence.
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| | | | (#)Mer 6 Mar - 15:43 | |
| Did you ever wake up to find a day that broke up your mind, destroyed your notion of circular time ? it's just that demon life has got you in its sway, it's just that demon life has got you in its sway. ☆☆Abe avait toujours entendu ses parents dire que le temps filait à toute allure, dès lors que l’on avait des enfants. Des enfants à soi, cela allait sans dire, mais les années passant le troisième des fils Taylor avait eu l’occasion de se rendre compte que la chose se vérifiait tout autant, et peut-être même plus encore, lorsque l’on s’en remettait aux enfants des autres. On les voyait moins souvent, moins longtemps, et chaque occasion de reposer les yeux sur eux après un peu d’absence n’était qu’une occasion de se rendre compte qu’ils avaient grandi, qu’ils avaient changé, et que les semaines et les mois perdus ne se rattraperaient jamais. Micah, comme les autres enfants de la nouvelle génération Taylor, ne dérogeait donc pas à la règle et poussait à vue d’oeil, réveillant chaque fois chez Abraham un léger sentiment d’urgence, une angoisse du temps qui passait et de la sensation de ne pas savoir en tirer le meilleur parti … pour les autres, mais surtout pour lui-même. La proposition de café de Raelyn, acceptée tant par politesse que par incapacité à composer sans un minimum de caféine dans l’organisme à toute heure du jour et de la nuit, avait au moins eu le mérite de mettre fin aux divagations intérieures du garagiste, dont l’attention s’était néanmoins très vite retrouvée happée de nouveau par l’humain miniature de la maisonnée, pour qui il ne se serait pas imaginé venir les mains vides même pour tout l’or du monde. « Tu cherches à rentrer dans la course pour prétendre au titre d’oncle préféré ? » Quittant des yeux la petite l’espace d’un instant, le Taylor avait relevé la tête vers Raelyn et balayé la remarque d’un signe de la main faussement modeste, le « Nah, c’est une petite futée, j’suis sûr qu’elle arrivera à la bonne conclusion toute seule. » argué avec un brin d’amusement. La bonne conclusion étant, bien sûr, que l’heureux élu ne pouvait être ni ce coup de vent de Samuel, ni ce poseur de Chad. « Tu en as, toi ? » avait-il finalement questionné tandis que la blonde revenait avec deux tasses de café, aussitôt déposées sur la table basse. « Des frères et sœurs, je veux dire. » Il aurait pu continuer à plaisanter, prétendre vouloir savoir à combien d’autres concurrents que ses propres frères il était supposé faire face, mais en vérité la réponse l’intéressait sincèrement. Encore à hauteur d’enfant et le genou posé à terre, Abe avait suivi la jeune femme des yeux tandis qu’elle prenait place sur l’une des assises entourant la table basse, et s’y sentant lui-même autorisé maintenant que la maîtresse des lieux avait ouvert la marche, le brun en avait fait de même non sans remercier à demi-mot. Pour l’hospitalité, mais surtout pour la possibilité de voir Micah quand bien même Amos n’était (momentanément) pas là pour servir de relais entre sa famille et le reste des Taylor. « Je n’ai rien contre le fait qu’elle te voit. » Marquant une brève pause, la blonde avait aussitôt ajouté « Je n’ai rien contre le fait qu’elle voit n’importe lequel d’entre vous, tu sais. » Sauf peut-être leur mère – encore que, n’importe lequel des autres Taylor admettrait bien à demi-mot que cette dernière ne l’aurait pas volé. « Je n’ai jamais aspiré à éloigner Amos non plus. » Un sourire songeur s’étirant sur les lèvres d’Abraham, il s’était penché vers la table basse pour se saisir de l’une des deux tasses à sa disposition, et avait attendu d’être de nouveau correctement assis pour planter son regard dans celui de Raelyn « Et malgré tout ça c’est la première fois que je mets les pieds ici, et il a fallu attendre que mon frère fasse un séjour en cabane. » Le ton, néanmoins, était plus léger que véritablement accusateur, le Taylor plutôt du genre à accueillir les choses comme elles venaient qu’à s’accrocher à celles qu’il ne pouvait pas obtenir. Du reste, si Raelyn faisait figure de cible facile pour expliquer l’éloignement progressif s’étant installé entre Amos et sa famille, quiconque connaissait un peu le bougre connaissait aussi ses défauts, aussi Abe s’était-il empressé d’ajouter « Mais je sais aussi de quel bois est fait Amos, va. J’ai pas la naïveté de croire qu’il fasse quoi que ce soit contre son gré. » en balayant la chose d’un geste de la main. Les raisons qu’avait son frère de vouloir s’éloigner de Kilcoy, tant physiquement émotionnellement, étaient trop évidentes pour que quiconque songe à les remettre en doute … Tout juste les Taylor se désolaient-ils d’être les dommages collatéraux d’un fiasco dont ils n’avaient été que les spectateurs malheureux. Loin, très loin de ces préoccupations d’adultes dont elle aurait tout le temps de s’inquiéter en vieillissant, Micah avait terminé d’examiner sous toutes les coutures le dernier arrivé de sa ménagerie de peluches avec un mélange de curiosité et de satisfaction si propre aux bambins. Sitôt remise de bout, elle avait détalé sur ses petites jambes pour quitter la pièce, une idée visiblement bien arrêtée en tête et la posture de Raelyn déjà aux aguets pour s’assurer de la voir revenir « Ah, ça y est tu vas avoir le droit aux présentations. » Un mouton dans une main et éléphant dans l’autre, la petite tête blonde était réapparue pour abandonner la première partie de son zoo aux pieds des deux adultes, avant de repartir aussi vite pour récupérer le reste. « Si tu prétends que tu trouves ça passionnant, tu pourras peut-être prendre une avance confortable. » Se penchant pour attraper l’éléphant en peluche, le garagiste l’avait inspectée un demi-instant tout en rétorquant d’un ton amusé « Et surtout j’ai un truc que mes frères n’ont pas : les mêmes animaux en chair et en os à la maison. » Les mauvaises langues diraient que Abe n’avait pas tant évolué, et simplement remplacé ses propres peluches en grandissant … Et ils n’auraient probablement pas entièrement tort. « Enfin, pas tous les animaux. » avait-il néanmoins rectifié avec un bref rire en désignant l’éléphant, tandis que Micah réapparaissait déjà avec d’autres de ses possessions. « Ça en fait du monde, t’es prête pour partir en safari ? » Oui, évidemment, et quand bien même elle n’avait pas la moindre idée ce qu’était un safari. « C’est lequel ton préféré, il est là ? » Sans doute que non, car toutes les peluches éparpillées ici semblaient encore en bon état, loin de l’idée que l’on se faisait d’un doudou usé et rabougri d’avoir été trop caliné. Micah disparue à nouveau en quête de LA pièce maîtresse de sa collection, Abe avait repris un air un peu plus sérieux, et questionné « Comment elle encaisse ça ? L’absence d’Amos. » d’un ton précautionneux avant de prendre une gorgée de café. Et par “elle” il voulait dire “vous”, mais sans savoir comment le placer sans avoir l’air de se mêler de ce qui ne le regardait pas.
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| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Jeu 14 Mar - 18:52 | |
| a day that broke up your mind Raelyn Blackwell & @Abraham Taylor, août 2023 ☆ crédit/jennyslcte
Ce que je lis dans le regard d’Abraham, lorsqu’il pose les yeux sur ma fille, me fait l’effet d’un coup de poing dans l’estomac. Je me moque que son oncle se fasse la remarque qu’elle a grandi, peut-être être que le temps est passé bien trop vite et qu’il n’a pas vu la chose se produire. En revanche, je souffre de l’idée en qu’il en aille de même pour Amos s’il reste trop longtemps derrière les barreaux. Il est le premier à poser sur elle un regard empli d’un mélange d’amour et de mélancolie, à affirmer que les jours, les semaines et les mois passent bien trop vite alors qu’il est là, à nos côtés, alors qu’en sera-t-il s’il passe des semaines ou de mois derrière les barreaux ? Je refuse d’envisager d’être privée de lui pendant des années. Mais Micah a moins de deux, ans, elle est à l’âge des progrès en tout genre et du changement ; le risque qu’elle ait abandonné ses airs de bébé pour ressembler à une petite fille – une toute petite fille certes – lorsque son père la retrouvera est trop élevé pour que je ne l’envisage pas. Je le fais, et un étau comprime mon cœur.
Pour l’heure, ma petite tête blonde est tout à son excitation d’avoir reçu une nouvelle peluche. Sa collection ferait pâlir d’envie la plupart des enfants, mais il est impossible à tout l’entourage de Micah de lui refuser ce qu’elle demande, sans même qu’elle n’ait besoin de faire de caprice. Née dans une famille de bons clients, ma fille a en plus de ça le chic pour se mettre les adultes dans la poche. « Nah, c’est une petite futée, j’suis sûr qu’elle arrivera à la bonne conclusion toute seule. » J’esquisse un sourire et m’apprête à lui répondre en rejoignant l’espace salon avec deux tasses fumantes dans les mains, il me prend de cours en m’interrogeant sur ma propre famille. Je ne devrais pas être surprise : c’est un pilier important pour les Taylor, si ce n’est le plus important. Sans Micah et moi, ses frères et ses parents seraient toujours ce qu’il y a de plus important aux yeux de mon amant et, puisque Abraham et lui m’ont toujours semblé faits dans le même bois, elle doit tenir une place primordiale à ses yeux – d’autant plus qu’Amos l’a toujours dépeint comme l’éternel célibataire de la famille. « Tu en as, toi ? Des frères et sœurs, je veux dire. » Un peu étonnée qu’il se pose ce genre de question plus d’un an après mon mariage avec son frère, je fronce les sourcils avec un air amusé sur le visage. Sans répondre tout de suite à sa question, je reviens sur ses précédents mots. « Tu as de la chance, la concurrence n’est pas trop rude. Hormis Chad qui, je dois l’avouer, se donne beaucoup de mal. » Est-ce parc qu’il était le parrain de l’ainée d’Amos et que, d’une certaine façon, il s’en veut de ne pas l’avoir suffisamment protégée ? L’idée m’est désagréable, je ne le nierais pas. Micah n’est pas Sofia, pas plus qu’elle ne doit devenir chance de rédemption pour la famille de son père. « J’ai une demi-sœur, pour répondre à ta question. Mais on a pas grandi ensemble. » Du reste, Liam n’a pas la moindre place dans mon histoire et aucune mention sera faite d’un frère. Spencer, contre toute attente, a gagné le droit d’appartenir à un semblant de tableau familial, mais elle est la seule que je nommerai. « La famille n’est pas notre spécialité. » Nos liens se sont resserrés depuis qu’elle a fait irruption dans ma vie, mais nous ne sommes pas les Taylor : je doute qu’elle soit désireuse d’entrer dans la moindre compétition au sujet de l’attention de Micah. Abraham y verra certainement une explication à je ne sais quoi, puisque je le soupçonne de croire, au moins une part de lui, aux conneries soutenues par sa mère.
« Et malgré tout ça c’est la première fois que je mets les pieds ici, et il a fallu attendre que mon frère fasse un séjour en cabane. » Nous y voilà. S’il n’était pas un être cher pour Amos, je lui aurais répondu que cela en dit certainement plus sur sa relation avec mon époux que mon influence sur ce dernier. Toutefois, désireuse de ne pas donner plus de crédit à l’évangélisation de Margaret Taylor, je m’abstiens. Je choisis le silence, le dévisageant d’un sourire poli. « Mais je sais aussi de quel bois est fait Amos, va. J’ai pas la naïveté de croire qu’il fasse quoi que ce soit contre son gré. » - « Et tu as raison. Ton frère a la tête plus dure que la majorité des gens. » La seule personne capable de représenter pour lui une compétition sérieuse c’est moi. Difficile de dire qui de nous deux serait sacré grand gagnant si nous décidions de nous affronter sérieusement à ce sujet. « Tu sais bien qu’on travaille beaucoup, avec le casino. Quand on se retrouve tous les trois, on a tendance à être un peu exclusifs. » Ou plutôt, complètement enfermés dans notre bulle. Du reste, bien qu’il ne s’agisse pas de la vérité toute entière – pour être honnête, il faudrait que j’admette que nous ne vivons même pas ici la plupart du temps et que lorsqu’Amos les reçoit, il ne le fait pas vraiment "chez lui" – ce n’est techniquement pas un mensonge. Amos et moi ne trouvons pas d’intérêt aux sorties mondaines, la plupart du temps. Nous ne sommes jamais aussi heureux qu’à l’abri derrière les murs du loft, ou entourés par rien d’autre que l’Océan Pacifique sur le catamaran.
Micah, comme souvent, se pose en vecteur de facilitation des rapports entre moi et le Taylor du jour. Elle commence ses allez retours avec autant de peluches qu’elle a pu en porter en un trajet, les dépose sur le tapis, et fonce en courant vers sa chambre pour un second avant qu’Abraham n’ait le temps de l’arrêter dans sa course. « Et surtout j’ai un truc que mes frères n’ont pas : les mêmes animaux en chair et en os à la maison. » A mon grand dam, ma fille adore en effet les moments qu’elle passe à la campagne chez ses grands-parents. Bien sûr, je n’avouerais jamais à voix haute que j’aurais préféré qu’elle boude les grands espaces verts pour préférer la ville, pas même à Amos. Mais au moins, elle m’aurait octroyé une victoire supplémentaire contre ses grands-parents. « Enfin, pas tous les animaux. » Micah dépose la dernière peluche qu’elle a choisie d’amener – pour l’instant – sur les genoux d’Abe, cette fois-ci. Je ne me souviens même plus qui a eu l’idée de lui offrir un éléphant : il faut de la volonté pour suivre tous les cadeaux qu’elle reçoit. « Ça en fait du monde, t’es prête pour partir en safari ? » Remettant avec de grands gestes exagérés – à la façon des enfants – ses cheveux derrière ses oreilles, elle acquiesce et sourit à son oncle avec toutes ses dents. Un « Oui » enfantin s’échappe de ses lèvres, avant qu’elle n’ajoute une série de mots que, même le meilleur des efforts, j’ai du mal à remettre dans l’ordre. En tout cas, elle est excitée de recevoir du monde et autant d’attention, cela ne fait pas l’ombre d’un doute. « C’est lequel ton préféré, il est là ? » J’ignore quelle peluche ma fille cherche du regard – les préférés changent vites à son âge – « Non. ‘tends. » Un sourire sur les lèvres, j’observe Micah avant de faire la traduction. « Elle te dit d’attendre, mais tu as certainement compris. » Puisque déjà, ma fille est repartie en courant. Je surprends le regard pensif d’Abraham sur elle juste avant qu’il ne pose sa question. « Comment elle encaisse ça ? L’absence d’Amos. » Je pince les lèvres et, après avoir gardé mon regard braqué en direction du couleur où ma fille a disparu quelques secondes, je pousse un soupir qui trahit mon inquiétude. « Elle l’appelle. Souvent. » Après papa, elle est passée à A-os, et je sais qu’elle a appris son prénom. « Il lui manque. Mais elle comprend qu’il est en voyage pour le travail. » Ma façon de lui indiquer que toute autre version ne doit pas être énoncée à voix haute devant ma fille. « Mais elle est résiliente. Pour être honnête, j’ai plus peur de la façon dont Amos va encaisser de passer à côté de choses avec elle. » Il n’as pas raté ses premiers pas ou ses premiers mots, mais maintenant que je suis mère, je sais que chaque moment passé loin de sa progéniture semble être une éternité et un océan de progrès.
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| | | | (#)Mer 17 Avr - 11:57 | |
| Did you ever wake up to find a day that broke up your mind, destroyed your notion of circular time ? it's just that demon life has got you in its sway, it's just that demon life has got you in its sway. ☆☆ « Tu as de la chance, la concurrence n’est pas trop rude. Hormis Chad qui, je dois l’avouer, se donne beaucoup de mal. »La mention de son cadet avait, sans trop de surprise, étiré sur les lèvres du Taylor un rictus pincé. Un jour, peut-être, l’égratignure faite à son cœur de n’avoir été choisi comme parrain d’aucune des deux filles d’Amos cesserait de piquer à la moindre occasion. Reste qu’Abe, malgré cela, n’en était pas moins ses nièces de tout son coeur – et c’était encore le principal. « J’ai une demi-sœur, pour répondre à ta question. Mais on a pas grandi ensemble. » avait finalement repris la blonde, ajoutant aussitôt « La famille n’est pas notre spécialité. » au cas où le doute aurait encore été permis, et Abe, se contentant de hocher la tête, s’était donc gardé de tout commentaire superflu. Sans aller jusqu’à dire que cela expliquait le peu d’entrain de Raelyn à se lier au cercle familial de son époux, il comprenait au moins un peu mieux pourquoi le schéma familial d’Amos semblait bousculer sa zone de confort. Pour autant, et malgré ce que leur mère était toujours prompte à prétendre, Abe connaissait suffisamment son frère pour savoir qu’il n’était pas du genre à se laisser contraindre, et faire de Raelyn la coupable idéale au peu de contacts initiés entre les deux pans de familles d’Amos n’en faisait pas pour autant une absolue vérité. « Et tu as raison. Ton frère a la tête plus dure que la majorité des gens. » Laissant échapper un bref rire, le garagiste avait secoué la tête « Ouais. Je crois que c’est de famille, malheureusement. » Ou heureusement, dépendamment de ce que l’on décidait de cacher derrière. Peut-être pour excuser son conjoint, ou simplement par désir de démontrer d’un peu de bonne volonté, la blonde avait ajouté « Tu sais bien qu’on travaille beaucoup, avec le casino. Quand on se retrouve tous les trois, on a tendance à être un peu exclusifs. » d’un ton posé, et se donnant le temps d’une gorgée de café Abe avait répondu « Je comprends. J’espère juste que tu sais que la mauvaise volonté de ma mère ne regarde qu’elle, et que ni mon père ni mes frères et moi n’avons rien à gagner à ne pas te traiter comme un membre à part entière de la famille. » Elle n’en aurait peut-être que faire – sans doute, si l’on en croyait sa précédente remarque à ce sujet – mais à la lueur de ce que représentait la notion de famille aux yeux des Taylor, elle ne pourrait pas douter de la sincérité de la démarche. Micah, de son côté, n’avait que faire de ces histoires de grandes personnes, toute occupée qu’elle était à apprivoiser le dernier arrivé de sa ménagerie, et à en présenter la (presque) intégralité à son oncle. Ce dernier, jamais aussi patient qu’au contact des humains miniatures, se pliait au jeu avec une bonne volonté non feinte, et avait gardé en main l’une des peluches tandis que la petite se fendait d’un « Non. ‘tends. » et repartait en trottinant jusqu’à sa chambre. « Elle te dit d’attendre, mais tu as certainement compris. » Bien sûr, et le regard se détachant du couloir par lequel la petite avait disparu, il s’était posé sur la mère pour jeter un pavé dans la mare, et aborder enfin le sujet qui fâchait. « Elle l’appelle. Souvent. Il lui manque. Mais elle comprend qu’il est en voyage pour le travail. » Hochant la tête, Abe avait autant eu le coeur serré en imaginant Micah appeler son père, que ressenti une pointe de soulagement quant au fait que la petite n’ait pas eu ne serait-ce que l’occasion de voir Amos, pas au meilleur ni de sa forme ni de son allure lorsqu’il avait enfin pu lui rendre visite. « Mais elle est résiliente. Pour être honnête, j’ai plus peur de la façon dont Amos va encaisser de passer à côté de choses avec elle. » Posant à côté de lui le lapin en peluche qu’il tenait à la main, le garagiste était retourné s’adosser au dossier du canapé avant de reprendre : « Il était souvent absent quand Sofia avait l’âge de Micah, c’est pas irréversible. » La mention de la première fille d’Amos ne s’était pas faite sans un brin d’hésitation, Abe ne sachant pas à quel point elle pouvait avoir été un sujet de discussion entre son frère et sa nouvelle épouse. « La différence c’est qu’en Opex il n’avait pas le temps d’y penser … Cette fois-ci il n’a que ça à faire : ressasser. » Ressasser, et craindre peut-être qu’au même schéma ne succède la même évolution – à ce jeu-là, inutile d’espérer raisonner Amos. « Il va devenir dingue s’il reste enfermé. » Mais ça, Raelyn le savait probablement déjà. « Pourquoi ça prend autant de temps ? Qu’est-ce qu’ils attendent pour le remettre dehors ? » A la frustration d’Abraham se mêlait l’incompréhension, écho de celle de toute la famille. Tout cela n’avait pas de sens, ni ce dont on accusait son frère, ni que le doute sur son innocence mette autant de temps à être dissipé. « C’est pas un peu long pour aller chercher un doudou ? » avait-il finalement repris, interrompant le fil de ses propres pensées en voyant l’attention de Raelyn retourner au couloir dont sa progéniture tardait à revenir. Sans doute car comme tous les parents, elle savait que les enfants n’étaient silencieux qu’à deux occasions : lorsqu’ils dormaient, et lorsqu’ils préparaient une bêtise.
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| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Lun 22 Avr - 11:24 | |
| a day that broke up your mind Raelyn Blackwell & @Abraham Taylor, août 2023 ☆ crédit/jennyslcte
M’interroger sur ma demi-sœur, ou plutôt sur l’existence autour de moi d’un cocon familial qu’il pourrait rapprocher du sien, c’est sa tentative de me comprendre, et le sais. De résoudre l’énigme que je pose ; la plupart des individus détestent cela, de ne pas comprendre la personne qu’ils ont en face d’eux. Ce phénomène est amplifié, pour les représentants les plus "primaires" de l’espèce masculine, lorsque l’énigme en question est une femme. Dire que je connais Abraham Taylor serait prétentieux. En revanche, si je me base sur ce que je sais des Taylor et du milieu parfois un tantinet archaïque dans lequel ils ont grandi, je peux supposer qu’être enfin capable de le ranger dans une case le rassurerait. Mais au moins a-t-il le mérite de ne pas se précipiter pour me ranger dans la même que celle dans laquelle sa mère m’a placée avant même de poser les yeux sur moi pour la première fois ; une brève description physique lui a suffi. Que je fricote avec son fils qui n’était pas officiellement divorcé, mais uniquement séparé de son épouse aurait suffi, en fait. « Ouais. Je crois que c’est de famille, malheureusement. » - « Une chance que j’ai la tête au moins aussi dure que la vôtre, dans ce cas. » Sans sa précision, j’aurais simplement dit "que la sienne". Mais Abraham n’a pas tort et, au-delà de me rendre capable de ne pas me faire écraser par Amos, mon caractère en acier trempé est ce qui m’a rendue indéboulonnable lorsque Sarah et Margaret Taylor ont tenté de m’évincer. « Je comprends. J’espère juste que tu sais que la mauvaise volonté de ma mère ne regarde qu’elle, et que ni mon père ni mes frères et moi n’avons rien à gagner à ne pas te traiter comme un membre à part entière de la famille. » - « Je sais. » Je porte ma tasse de café à mes lèvres, avant de préciser. « Je sais faire la part des choses. Mais ça m’empêche pas de m’interroger, parfois. » Puisqu’il s’autorise des reproches – ou en tout cas des insinuations – à peine voilés, il n’y a pas de raison pour que je passe mon tour. « Les rapports entre Amos et le reste d’entre vous étaient déjà compliqués, avant que j’entre dans le paysage. Toi, tu étais peut-être épargné… » Parce qu’il est celui dont mon âme-sœur a toujours été plus proche. Mais il n’en reste pas moins vrai qu’à la mort de Sofia, il s’est refermé pour tous, a nourri de la rancœur envers certains, et s’est éloigné de son noyau familial. Il s’est éloigné de tout, sauf de la boisson et de ses idées de vengeance. « Mais concernant les autres, si ma présence dans sa vie a eu une quelconque influence sur lui - » Et elle a eu une, nous le savons tous les deux. Amos me l’a assez dit pour que l’affirmer ne soit plus la preuve d’un quelconque manque d’humilité. « - je crois qu’on peut dire qu’elle a plutôt été positive. » Je l’ai sauvé. Il le sait, je le sais, Abraham le sait certainement et je suis presque certaine qu’au fond, la matriarche du clan Taylor le sait aussi. « Dans ces circonstances, étrange qu’on me donne le mauvais rôle, non ? » Un sourire teinté de défi et d’une froideur abyssale étire mes lèvres. Si je musèle la reine des glaces en moi en présence du cercle familial d’Amos ou du parrain de ma fille, pour n’effrayer personne, elle n’est néanmoins jamais très loin. Piquée, je suis capable d’adresser – et prompte à également - à mon interlocuteur des remarques qui semble anodine de part leur ton, mais que ne le sont pas, pas même l’espace d’une seconde. Lorsque j’enrobe mes remarques de sourires mielleux, il ne s’agit que d’un vernis, un vernis que je rends volontairement bien transparent. « Il était souvent absent quand Sofia avait l’âge de Micah, c’est pas irréversible. » - « Je sais. Et c’est parce qu’il y a Sofia que je m’inquiète, justement. » Mon cœur n’est ni aussi dur ni aussi froid qu’une pierre lorsqu’il est question d’Amos. J’aime, je m’inquiète et je crains comme n’importe quelle partenaire et conjointe dévouée, ou même plus que la moyenne. « La différence c’est qu’en Opex il n’avait pas le temps d’y penser … Cette fois-ci il n’a que ça à faire : ressasser. » - « Tu sais, il fait bien semblant. » Il a fait semblant pendant des années, persuadé que ses blessures faisaient de lui un homme moins digne d’être qualifié ainsi. « Il culpabilise encore, pour Sofia. De ne pas avoir été là. » Et pour cette raison, je peux supposer sans trop m’avancer qu’il culpabilisera plus que n’importe quel autre homme, que n’importe quel père à sa place pour ces mois passés loin de Micah. « Il va devenir dingue s’il reste enfermé. » Oui, nous sommes au moins tous les deux lucides sur ce point. Amos vit aussi mal que moi d’être privé de liberté, et il vivra tout aussi mal d’être enfermé avec la lie de la société, avec des hommes comme celui qui lui ont pris son ainé. Moi, j’ai peur qu’il fasse une bêtise. Mais cette angoisse-là, elle n’est pas avouable à voix haute. « Pourquoi ça prend autant de temps ? Qu’est-ce qu’ils attendent pour le remettre dehors ? » - « Si je le savais, je ne serais pas chez moi en vêtements d’intérieur un mercredi après-midi. » Si j’avais la moindre chance d’influer sur le cours de la justice, je serais dehors, en train de lutter corps et âme pour le faire sortir de là. Je l’ai fait, au début. J’ai tiré toutes les ficelles que je pouvais tirer. Contacter tous ceux qui me devait un service, qu’il soit légal ou son contraire. Mais je suis impuissante, et c’est en train de me tuer à petit feu. « Le procureur va se battre pour qu’il ne soit pas libéré sous caution, d’après notre avocat. » Nous avons un avocat et cela ne surprendra personne : nous possédons un établissement de nuit, après tout. Même sans en connaître les dessous, cela ne devrait rien avoir de surprenant pour lui. « Parce que nous avons les moyens de quitter le pays. Parce que nous avons les moyens de le faire en passant sous les radars. Ou en tout cas, c’est ce qu’ils craignent. » Reagan m’affirme quant à lui que le fait d’être un jeune père et un vétéran décoré pèseront dans la balance. « Je reste persuadée qu’ils n’ont pas grand-chose. Mais il leur faut un coupable. » Et à cause de ses fréquentations, à cause de moi, Amos en est un tout attitré. « J’ai tiré toutes les ficelles que je pouvais tirer pour sortir ton frère de là. » Je ne le qualifie pas de tel, plutôt que de mari ou simplement en utilisant son prénom, par hasard. Je le fais pour donner de la valeur à ma promesse, c’en est une. « C’est pas un peu long pour aller chercher un doudou ? » Le regard hanté par la mélancolie, je me secoue les puces pour revenir à moi. Je me redresse, pour appeler ma princesse. « Micah ? Qu’est-ce que tu fais, c’est toi que Abe est venu voir. » Moi aussi, mais parce que Amos le lui a demandé, ça, j’en suis presque certaine.
Les joues rougies par l’effort, Micah revient en courant, une nouvelle peluche sous un bras et une boîte de Duplo, un château de princesse, sous l’autre. En reconnaissant l’emballage, mon ventre se noue et mon cœur se serre. « Cadeau papa ! » Son petit visage est lumineux, elle est fière de montrer à son oncle ce cadeau que son père lui a envoyé depuis l’étranger où il est en voyage. Evidemment, il n’en est rien. J’ai acheté ce présent pour ma fille, je l’ai emballé et fait expédié avec une carte que j’ai moi-même écrite pour rendre plus crédible l’histoire inventée pour combler l’absence de son père. « Depuis le voyage. » Les mots, prononcés avec maladresse, font battre mon cœur un peu plus vite. Les yeux brillants, la respiration profonde – comme pour chercher à m’apaiser – j’observe ma princesse avant de relever vers Abraham un regard qui oscille entre le suppliant et le menaçant. Joue le jeu, quémande-t-il.
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| | | | | | | | (Raelyn & Abraham) a day that broke up your mind |
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