| (barney #4) i could never give you peace |
| ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340 TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
ambrose#18 › ruben#24 RPs EN ATTENTE :
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : olivia holt CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs rubis, marose) › ©symphonygifs (gifs profil, sign), ©kaceypacks (gif dan), ©gifpacklove (gif baz) › ©astra (code) DC : jo carter & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 20/10/2022 | (#)Mer 15 Nov 2023, 19:33 | |
| i could never give you peace @Nicholas Hurley (crédit gif/padmeamiidalas)
Cet avis de tempête commençait passablement à la gonfler Mavis, et c’était encore une façon franchement polie de le dire. Elle n’était pas particulièrement portée sur le contrôle de son emploi du temps, encore qu’elle avait besoin de savoir un minimum où allaient ses journées pour ne pas tomber de haut, mais elle tenait à son espace personnel, et ce dernier était en passe d’être envahi par des indésirables. Quand son père lui avait quêté une faveur, elle s’était retrouvée à le regarder avec les yeux ronds, la bouche légèrement entrouverte et le teint blême en lui demandant, bégayant presque, un doigt se dirigeant de lui-même vers sa propre poitrine "À trois ? Dans mon duplex ?" A cinq en fait, si on comptait son propre chat et le chien de la famille, lequel ne serait guère ravie de partager l’attention générale avec une bête plus poilue que lui, jaloux comme un pou. Mais la côte était menacée par la tempête, et ses parents vivaient à Bayside. Ils avaient les moyens de se payer une suite dans un hôtel quelconque, sauf que Leon avait soudainement eut l’envie de passer un peu de temps en famille en arguant que les événements de ce genre étaient ceux qui finissaient d’unir un clan. Tu parles, depuis quand ? Mavis elle n’avait pas envie d’avoir ses parents à proximité, surtout pas quand elle avait tant de choses à cacher. Elle avait pensé demander à Dan de l’héberger le temps que tout s’éclaircisse à propos de la tempête, cette dernière étant encore suffisamment loin pour qu’elle juge que tout le monde en faisait trop, mais ça revenait à la même chose en vérité : elle était enceinte, elle n’avait envie que personne le sache avant qu’elle ne se débarrasse de ça. Elle s’était donc creusée la tête quelques longues minutes, pour enfin empoigner son téléphone portable avec la force du désespoir. Au rythme de son scroll, son regard s’était arrêté sur le contact de son cousin, et avant même qu’elle ne se rende compte de quoi que ce soit, elle lui demanda comment il allait.
Il n’en fallait pas beaucoup à Nicholas pour déblatérer sur sa vie, c’était presque une chance cette fois-là puisque sautant sur l’occasion d’apprendre que, bientôt, le musicien quitterait sa terre natale pour une autre, occupé à promouvoir — ou elle ne savait trop quoi au juste — cet album qu’elle n’avait toujours pas écouté, il lui fit part de son inquiétude concernant Esmée. Elle aurait aimé lui dire qu’elle était assez grande tout de même, qu’il se trouvait des excuses pour continuer à se toucher la nouille en Australie, mais ça l’arrangeait bien au fond que son cousin soit un trouillard pour le coup. Elle lui demanda donc s’il avait besoin d’un coup de main pour veiller sur elle, et se proposa en se disant que, n’étant pas assez proches d’eux, ils ne se rendraient pas compte de son état. Elle n’avait quasiment pas pris de poids, elle paraissait juste extrêmement fatiguée, et ça elle pouvait facilement le mettre sur le dos de ses études dans lesquelles elle s’enfonçait plus fort que d’habitude, bien décidée à obtenir son année malgré les circonstances. Nicholas accepta, et ils convinrent d’un weekend durant lequel elle pourrait passer pour qu’elle puisse prendre la mesure des petites habitudes d’Esmée. Ça lui ferait du bien finalement, d’être éloignée de ses habitudes sans trop l’être, Toowong étant aussi son quartier. Tout ce qu’elle voulait au fond, c’était échapper à la surveillance de ses parents qu’elle mis au courant bien assez tôt de sa décision de leur laisser son duplex pour le weekend, mais aussi lors de la tempête imminente pour que leur intimité soit préservée. Il y eut peut-être un peu de déception chez son père qui accepta néanmoins. Mavis s’en fichait : elle était prête à tout pour préserver ses secrets.
Tellement prête à tout qu’elle était là, dans le salon des Hurley, à discuter avec Esmée qui ne cessait de lui rappeler de faire comme chez elle, qu’il ne fallait pas qu’elle soit timide. Elle aimait bien être ici malgré tout. Ça ne ressemblait à rien de ce qu’elle connaissait, plutôt habituée au minimalisme, mais c’était cosy, et ce n’était pas désagréable ; elle avait l’impression d’être une maison de poupée. Elle voyait la dynamique de Nicholas et de sa grand-mère de plus près, et à certains moments, ça lui faisait un petit pincement au coeur de se dire que c’était des choses qu’elle ne connaissait pas, mais ça passait très vite. Elle n’était pas sentimentale Mavis, elle était même un peu froide dans sa façon d’envisager tout et son contraire, il n’y avait qu’à voir comment elle gérait la confirmation de sa grossesse qui dans quelques jours à peine, ne serait plus qu’un mauvais souvenir. Elle n’avait pas envie de s’arrêter dessus, d’en faire un sujet de discussion parce que ce n’en était pas un, que les accidents ça arrivait parfois, et que ça n’avait pas vocation à devenir une anecdote croustillante à partager avec qui que ce soit, et surtout pas avec le responsable de ce qui lui donnait tant de fil à retordre. C’était comme ça, elle s’en voulait un peu d’avoir manqué de discernement, mais à partir du moment où elle avait commencé à coucher avec Ruben, elle n’en avait plus vraiment eu de toute façon. C’était presque la suite logique d’un cliché dans lequel elle s’était enfoncée de bon gré, et quelque part, c’était bien fait pour elle.
Quittant le salon des Hurley en avançant au petit bonheur la chance dans le couloir qui menait à l’espace nuit, elle se permit de frapper trois coups à la porte de son cousin, même si elle était ouverte. Elle lui accorda un sourire absent, pencha la tête sur le côté, et lui demanda dans la foulée "Je peux entrer ?" Elle n’attendit pas sa réponse, elle le fit avec une précaution timide, celle qui appartenait à ceux qui n’étaient pas chez eux. Elle ne se permit pas vraiment de jeter des regards autour d’elle, pas tellement intéressée par ce qui constituait l’univers de Nicholas, mais par contre elle s’assit au bout de son lit. Les mains jointes entre ses genoux, elle leva la tête pour lui dire "Où est-ce que tu vas alors ?" Il lui semblait qu’il lui avait parlé de l’Europe, elle n’en était plus sûre. Pas parce qu’elle prenait ce qu’il lui disait par-dessus la jambe, mais parce que le monde dans lequel il évoluait n’était pas le sien et que ça lui semblait bien frivole tout ça. Ça ne collait pas tellement à l’image qu’elle se faisait de Nicholas maintenant qu’elle y pensait, lui qui paraissait si renfermé sur lui-même. Mais les gens avaient parfois un regain de volonté, et puis ça avait l’air de fonctionner pour lui alors qui était-elle pour émettre un avis ? Balayant finalement sa chambre du regard, elle ajouta une question au reste de ses paroles "Pourquoi tu prends pas une aide permanente pour Esmée si t’es si inquiet de la laisser seule ?" Esmée, elle, paraissait bien heureuse d’être un peu livrée à elle-même. Elle ne pouvait que le supposer parce qu’encore une fois, elle n’était pas assez proche de Nicholas et de sa grand-mère pour en être totalement certaine. no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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| | | | (#)Mar 21 Nov 2023, 10:45 | |
| ≈ ≈ ≈ {i could never give you peace} crédit/(megedonnelly) ✰ w/@Mavis Barnes "Donc vous commencerez par Bristol, ensuite Liverpool, puis Manchester et enfin Londres. Cela fait un petit détour, mais tu as des pros dans ton équipe et ils sont bien rodés... et s'il vous plait, ne saccagez pas le bus." "Hmm... pourquoi est-ce qu'on saccagerait le bus ?" C'est plus fort que toi, la question s'échappe de tes lèvres et alors que de l'autre côté de l'écran, on t'explique que c'est une tradition de musiciens, visiblement aussi vielle que le rock lui-même, tu te contentes d'un autre hmm avant d'attraper ta boisson chaude, juste à côté de ton ordinateur. Tu n'espères même pas que cela va te réveiller, définitivement pas le thé qui est devenu froid entre le début de cette conversation et maintenant, mais cela te réchauffe un peu et te permet d'oublier ta fatigue. C'est de la bonne fatigue déjà, entre la deuxième sortie de l'album, la fête de lancements, les photoshoots et les répétitions pour la prochaine série de concerts... c'est à se demander quand tu dors et si tu le fais. Tu le fais, dans ton lit qui est à quelques mètres et qui est couvert de tonnes de vêtements, tu dois les essayer et donner ton avis à Jules. Il y a également des livres et une nouvelle guitare (on dit merci le label) abandonnée, elle aussi, juste là. Enfin, tu ne sais pas si c'est du sommeil ou juste toi qui t'effondres sur ton lit tous les soirs, pour laisser Morphée t'emporter loin et être ramené à tout ça par ton réveil. C'est un peu des deux, tu n'es pas ingrat, tu ne te plains pas, avec tout cela, tu trouves tout de même le temps de t'inquiéter. De t'inquiéter principalement pour Esmée. Cet avis de tempête à quelques jours de ton départ ? Oui, cela t'inquiète, cela t'irrite en réalité et en regardant les informations du soir avec Esmée, tu as eu envie de lever ton regard vers le ciel et de demander à la personne en charge si c'était vraiment juste. Tu ne sais pas ce que tu as fait dans une autre vie pour de telles répercussions dans celle-ci, mais c'est ta grand-mère en personne qui t'a dit de ne pas annuler ton voyage. Même si tu le voulais, ce serait impossible, on compte sur toi et tu mentirais si tu disais que tu n'avais pas hâte de retourner sur scène. Il y a des solutions, Olive est là, et plus que cette aide-là, tu n'as pas hésité à faire de tout ceci à Mavis. Mavis, c'est la famille, tu peux lui faire confiance et si elle décide de passer quelques jours avec Esmée alors que la tempête est là... ce n'est qu'une heureuse coïncidence, pas vrai ? Tu les as laissés discuter quand ton téléphone t'a rappelé que tu devais t'installer devant ton ordinateur et tu te reconcentres sur la conversation l'instant suivant. C'est la fin de la petite mise au point, tout le monde a hâte visiblement et tu fais un signe de la main pour les trois autres personnes présentes, avant de refermer ton ordinateur. Tout se passera bien, tu le sais, les répétitions se passent bien, les chansons de l'album se traduisent bien avec un groupe un peu plus grand et pas juste Vance et toi, alors aucune raison de s'inquiéter. Tu entends ta cousine arriver avant même qu'elle ne tape à la porte, c'est ça de la laisser ouverte et tu te tournes vers elle avec un sourire. "Rentre, rentre, fais comme chez toi... et ne fais pas gaffe au bordel." Que tu dis en pointant le reste de ta chambre. Tu as un autre sourire, parce que tu devrais sûrement être une personne un peu plus méthodique et un peu plus rangée pour ton âge. Ce n'est pas le cas, en réalité, cela n'a jamais été le cas. Tu te lèves alors que Mavis s'installe au bord de ton lit, tu fais plus de place à ta cousine, poussant les tas de vêtements qui ont toujours leur étiquette et tout le reste de ton bazar."J'aimerais dire que ça n'arrive pas souvent mais... je ne te mentirais pas." Du tout et quelque chose te dit que Mavis ne te croirait pas alors... Tu hoches la tête, continuant de ranger sans réellement le faire, mais au moins les livres vont sur le bureau, la guitare avec le reste de ses pairs et tu réponds à la blonde."Au Royaume-Uni... et ouais, c'est le bon terme, j'ai vérifié, ça comprends bien l'Angleterre, l'Écosse et l'Irlande... c'est là-bas qu'on finit en janvier, à Dublin... où il parait que c'est un bon endroit pour célébrer le Nouvel An." Il parait, toi, tu vas suivre le mouvement et la musique techniquement, c'est ce que tu fais de mieux. Tu te tournes vers Mavis, l'instant, un autre sourire sur le visage."On a de l'aide techniquement, ce n'est pas vraiment médicale en réalité, Esmée ne m'aurait jamais laissé engagé quelqu'un comme ça. Elle préfère que ça reste simple." Esmée s'entend bien avec Olive et tu supposes que c'est le principal. "Et moi, je dis que c'est mieux quand c'est la famille..." Depuis quand est-ce que tu dis ça ? Depuis peu en fait. Tu hausses les épaules avant de t'asseoir à côté de Mavis. "Et ce sera aussi la première fois que je ne suis pas là pour les fêtes de fin d'années, et avant que tu ne poses la question, ouais, c'est ma période préférée de l'année." Chez les Hurley, on a des traditions, une façon particulière de décorer le sapin, des recettes qu'on ne fait qu'en décembre... tout ça, tu vas le louper.
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| | | ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340 TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
ambrose#18 › ruben#24 RPs EN ATTENTE :
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : olivia holt CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs rubis, marose) › ©symphonygifs (gifs profil, sign), ©kaceypacks (gif dan), ©gifpacklove (gif baz) › ©astra (code) DC : jo carter & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 20/10/2022 | (#)Mer 22 Nov 2023, 09:38 | |
| i could never give you peace @Nicholas Hurley (crédit gif/padmeamiidalas)
Mavis ne s’imaginait pas vivre une vie différente de celle qu’elle avait vécue ; avec ses parents, son frère, sa soeur, leur nounou — et Daniel, bien sûr. Elle se demandait parfois ce que ça aurait provoqué si elle avait été aimée à sa juste valeur. Est-ce que la rancoeur qu’elle avait toujours eu à l’égard de sa jumelle aurait poussé d’une autre façon pour devenir une jolie plante dont elle aurait pris soin au fil du temps pour qu’elle ne flétrisse jamais, finissant de sceller ce lien indéfectible qui les avait unies bien avant leur arrivée ? Elle n’en savait rien, et elle ne voulait pas le savoir. Elle n’était pas du genre à se perdre dans l’introspection ni dans la rétrospective d’une jeune vie qu’elle menait plus ou moins comme elle l’entendait, sûre de ce qu’elle faisait. Elle ne regrettait pas sa soeur, comme elle ne regrettait pas ce qu’aurait pu être la relation avec son frère s’ils s’étaient bien entendus, alliés dans les choix de leurs parents de préférer leur carrière à leurs enfants. Elle regrettait un peu de devoir tant se battre pour que ses parents l’aiment, c’est vrai, et elle trouvait ça triste… c’est pour ça qu’elle ne voulait pas de ce bébé. Elle savait qu’en le gardant, elle ne s’en occuperait pas, comme eux ne s’étaient pas tellement occupés d’elle, d’eux. Elle aurait voulu prétendre le contraire, s’inscrire dans le schéma contraire que les enfants comme elle décidaient de suivre en grandissant, mais elle était lucide : elle avait des projets qui n’incluaient pas l’arrivée d'un enfant. Les circonstances n’étaient pas bonnes à cause de ça bien sûr, elles ne l’étaient pas non plus parce que Ruben ne daignerait pas lui accorder de l’attention, celui qu’il réservera sans aucune doute à celui qu’il aurait incessamment sous peu avec Nina quand elle le suppliera de lui en faire un pour faire comme tout le monde et continuer à suivre le cahier des charges des gens biens qu’ils voulaient devenir pour se donner bonne conscience. Ils avaient eu cette discussion, elle n’avait pas besoin de l’avoir à nouveau pour entendre dire que ce n’était pas le moment. Elle le savait Mavis, et ça non plus, elle ne le regrettait pas… mais quand même, ce n’était pas terrible comme situation. Elle se retrouvait là, chez des gens qu’elle ne connaissait pas bien juste parce qu’elle n’avait personne, qu’elle préférait cacher ses secrets plutôt que de les partager avec ceux pour qui elle savait avoir un tantinet d’affection. Elle assumait ses choix, c’était une évidence, ils n’étaient pourtant pas simples à supporter pour une toute jeune femme qui avait tellement besoin de reconnaissance qu’elle flirtait avec le mal, la manipulation, et la malhonnêteté pour en récolter à peine quelques miettes.
Elle ne fit pas attention au bazar environnant comme le lui dit son cousin "Te sens pas obligé de ranger, j’ai vu pire." lui dit-elle en s’installant sur son lit pour le questionner. Nicholas ne serait pas Nicholas s’il n’essayait pas d’arranger quelque chose qui n’avait pas besoin de l’être, alors elle abandonna vite la lutte pour le faire cesser de ranger, et leva la tête en calant ses mains entre ses genoux pour le regarder faire. Sans rien dire de plus d’abord, et puis elle lui posa des questions finalement, oscillant entre un intérêt qu’elle savait ne pas tellement avoir pour ce qu’il faisait dans la vie, et l’envie de réduire le silence à rien, tenant à s’éviter de penser. Heureusement, son cousin était volubile quand on l’interrogeait, donnant des détails qu’elle n’avait pas demandé, et qu’elle accueillit avec un hochement de tête pendant qu’enfin, elle accorda un regard à la pièce pour se rendre compte des instruments par-ci, par-là, des feuilles volantes, des livres et des montagnes de laine qui trainaient dans des recoins tels qu’une chaise remisée contre un mur, ou l’appui de fenêtre. Ça la fit rire et dire en même temps "On dirait la chambre d’un gamin turbulent." Ce n’était pas une critique, plutôt une constatation qu’elle balaya en s’arrêtant sur la destination dont elle avait enfin le nom "T’y est déjà allé, non ? C’est pas là-bas que t’es parti quelques temps, il y a… quelques temps ?" Sa propre formulation de phrase la fit sourire, et ajouter tout de suite après, ses mains divorçant l’une de l’autre pour venir frotter le tissu ample de son pantalon de pyjama "Je suis pas aussi bonne que toi pour les mots. On me demande pas de bien savoir m’exprimer, juste d’être suffisamment intelligente pour savoir que laisser un champ stérile dans une cage thoracique, c’est pas conseillé." Si tant était qu’elle en avait quelque chose à fiche de la cage thoracique de qui que ce soit, plus portée sur la matière grise de ses patients qu’autre chose. Peu importait. Elle haussa les épaules, se recentrant sur leur conversation et hocha à nouveau la tête "Oli, c’est ça ? Elle m’en a parlé tout à l’heure. Je croyais que c’était juste une amie qui passe boire le thé de temps en temps." Elle avait l’air de l’apprécier, mais Mavis n’avait pas moyen de savoir qu’il s’agissait d’une jeune femme comme elle, dans la vingtaine, et elle ne chercha pas à en savoir plus. Enfin plus plus sur cette Oli, puisqu’elle lui demanda quand même "Je dois m’attendre à la voir débarquer quand tu seras absent ? Elle, ou quelqu’un d’autre, d’ailleurs ?" Pour se préparer à devoir les accueillir avec politesse, quand bien même ça la gonflerait encore plus que la tempête de devoir faire la causette, elle s’y plierait pour faire plaisir à la vieille dame qui paraissait moins inquiète d’être livrée à elle-même que Nicholas dans le fond "Hm, je suis pas convaincue de ça tu sais. La famille, ça craint parfois." ponctua-t-elle sans en dire plus, s’évitant juste de dire souvent. Doucement, elle se tourna sur le bord du lit pour regarder ce qu’il y avait accroché au mur de la chambre de Nicholas dont les paroles lui parvinrent par l’arrière. Mavis bascula la tête pour le regarder dans un drôle d’angle "Tu veux dire que tu vas la laisser passer Noël seule ? C’est le pire que tu puisses faire, c’est tellement triste. Quel petit-fils indigne." Elle n’en pensait pas un mot, elle aimait juste grossir le trait de la trahison, et elle en rit d’ailleurs, ajoutant finalement "C’est pas si grave. Vous fêterez ça à ton retour, ça pourrait même devenir une nouvelle tradition." De fêter Noël après Noël. Pour ce qu’elle en savait. Pour elle, Noël se résumerait au même train-train que chaque année : Leon et Anka organiseraient un grand dîner avec les pontes de leur domaine respectif, un truc chaleureux, mais impersonnel, du type dîner de l’ambassadeur, où seraient servis petits-fours et champagne. Mavis serait présente, dans sa petite robe sage, serre-tête sur le haut du crâne, et peut-être que Baz aussi. Dan viendrait regarder tout ce beau monde avec des yeux ébahis, pressé de pouvoir goûter à tout sans s’excuser de jouer au pique-assiette — il y aurait des jeux, mais pas d’échanges de cadeaux. Mavis et Dan finiraient la soirée enfermés dans le cellier à se cuiter au lait de poule en s’échangeant eux, leurs cadeaux, et peut-être un baiser si le lait de poule faisait son effet. Mais qui savait ? C’était la même rengaine tous les ans, et elle haïssait ça autant qu’elle trouvait que c'était réconfortant. no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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| | | | (#)Sam 25 Nov 2023, 21:18 | |
| ≈ ≈ ≈ {i could never give you peace} crédit/(megedonnelly) ✰ w/@Mavis Barnes Mavis ne s'en rend certainement pas compte, mais maintenant qu'elle a passé le seuil de la porte de ta chambre, elle fait réellement partie de la famille. Il n'y a plus aucun retour en arrière possible maintenant que tu l'as laissé rentrer ici et oui, c'est aussi sérieux que cela. Tu aurais sûrement dû la prévenir ta cousine, mais c'est ainsi que tu vois les choses, tu ne laisses pas n'importe qui auprès d'Esmée déjà, ça, c'est la première chose à saisir chez toi . Tu peux te montrer très protecteur quand ton ainée est concernée et tu es prêt à faire beaucoup quand il s'agit de s'assurer de ses intérêts et même de sa sécurité. Et même si cette dernière t'assure qu'elle n'en absolument pas besoin. C'est ton devoir de petit-fils, du moins, à tes yeux. Alors non, tu ne laisses pas le premier passant venir chez vous et ce même si ta grand-mère est plus sociable que toi. Quoi que, avec l'aide de ta manager, tu commences à lui faire de l'ombre. Ta chambre cependant, ça reste une autre paire de manches dans la maison, même Esmée tape à la porte avant d'y rentrer. Elle te connait bien et elle sait que tu as besoin d'un espace rien qu'à toi. Ou tu peux juste être toi. Ce qui explique un peu le bordel et tu n'écoutes même pas Mavis alors qu'elle te dit de ne pas ranger. "Un gamin turbulent carrément ? J'étais adorable, merci bien." Voilà ce que tu finis par répondre à ta cousine, qui ne sait même pas à quel point tu es sérieux. Plus que cela, tu voulais être le petit-fils parfait pour Esmée et... des années plus tard, on peut dire que c'est le cas en fait. "Yep, là-bas, de l'autre côté du monde, chez les Britanniques." Que tu réponds assis à côté de Mavis. Tu y retournes bien et tu n'en veux pas à la blonde de ne pas se souvenir de tous les détails, elle a été la première à le dire, elle a été et elle est occupée. En tant que future médecin, en tant qu'étudiante, c'est beaucoup mais elle trouve encore le temps de faire de la place à Esmée et toi dans son emploi du temps. Toi ? Tu trouves cela touchant bien entendu, il ne peut en être autrement à tes yeux. Tu hoches la tête aux prochains mots de Mavis, Olive sera là aussi, un peu moins ces temps-ci, mais elle sera bien là. "Ouais, elle passera aussi mais c'est tout. Okay c'est faux, on a des visites des Carters parfois, les voisins, Esmée s'entend bien avec Ava, donc peut-être qu'elle passera, à voir, Esmée te dira." Tu préfères prévenir Mavis dès maintenant, histoire qu'elle ne s'interroge pas sur la présence d'Ava, ou même sur celle de Jo. Quoi que, tu en doutes un peu pour la dernière, elle est toute aussi occupée la deux fois nominée aux Grammys donc..."Hmm tu peux le dire Mavis, dans notre cas, la famille ça craint souvent." Tu ris un peu, c'est une mauvaise blague qui reste complètement vraie et quand ton regard croise celui de ta cousine l'instant suivant, tu grimaces. Tu sais qu'elle plaisante, bien sûr que oui, pourtant, même en sachant cela, un autre son s'échappe de tes lèvres et tu te laisses retomber en arrière sur ton lit, les yeux fermés. Tu les rouvres la seconde suivante, une expression coupable sur le visage et tu te tournes vers Mavis. "Ugh... je sais que tu plaisantes mais je culpabilise tellement si tu savais. Je me suis déjà excusé une centaine de fois et elle m'a assuré que c'était normal, et que je dois prendre mon envol tôt ou tard mais." Ce n'est pas si grave, à tes yeux, cela l'est totalement en fait, et même impardonnable. Les traditions sont faites pour être respectées, c'est comme des promesses, et ce n'est pas comme si tu étais une personne particulièrement croyante, loin de là, tu es juste attaché à tous tes petits rituels avec Esmée. Lui raconter ta journée alors qu'elle s'affaire dans la cuisine, jouer du piano alors qu'elle tricote, décorer le sapin, faire des cookies en forme de rennes de Noel et prétendre que le sucre est de la neige, se rendre à l'hospice du coin pour distribuer des cadeaux et des sourires... Pour ta grand-mère, tu serais près à laisser tomber tout ça, il suffit qu'Esmée te le demande et tu le ferais."J'ai toujours l'impression de faire quelque chose de mal, je n'y peux rien." Un soupir et tu finis par te redresser.,"Mais..." De nouveau, tu es sur tes deux pieds et tu vas fermer légèrement la porte de ta chambre, avant de te diriger vers ton placard. Tu n'as qu'à fouiller un peu, pour trouver ce que tu cherches. "Ah, le cadeau d'Esmée est là." Tu montres à Mavis, la boite parfaitement emballée, par tes soins en plus."Je vais l'appeler dès que j'aurai un moment de libre, sûrement le 25 ou le 26 décembre et je pourrais la regarder l'ouvrir sur WhatsApp." Un plan totalement parfait et tu vas donner le cadeau à Esmée la veille de ton départ."Et elle a l'interdiction d'ouvrir son cadeau avant." Et tu lui fais confiance sur ce point-là bien entendu. "J'ai un truc pour toi aussi d'ailleurs, et même pour Baz, j'ai gardé les reçus au cas où je me suis complètement trompé d'ailleurs..."
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| | | ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340 TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
ambrose#18 › ruben#24 RPs EN ATTENTE :
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : olivia holt CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs rubis, marose) › ©symphonygifs (gifs profil, sign), ©kaceypacks (gif dan), ©gifpacklove (gif baz) › ©astra (code) DC : jo carter & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 20/10/2022 | (#)Lun 27 Nov 2023, 14:10 | |
| i could never give you peace @Nicholas Hurley (crédit gif/padmeamiidalas)
"C’est ce que disent tous les gamins turbulents." qu’interjeta Mavis, pas impressionnée par la rebuffade timide de son cousin qu’elle regarda avec un sourire en demi-lune, le haut de son nez légèrement froncé pour illustrer sa provocation. Quel genre d’enfance avait eu cet homme qui se tenait là, dans cet pièce qui avait des allures de forteresse de solitude ? Elle n’était pas sûre d’avoir envie de le savoir, déjà au courant qu’il avait manqué d’une figure paternelle. Il n’était pas le seul au fond, on s’en remettait, qu’elle aimait se raconter en se pliant en quatre pour que le sien, de père, la remarque enfin "C’est quoi le programme alors, quand tu seras là-bas ? Tu vas rencontrer des nouvelles personnes, apprendre à devenir une rockstar ?" Est-ce qu’il en avait l’étoffe ? A bien le regarder, Mavis dirait que non, mais qu’en savait-elle ? Peut-être que la musique, c’était comme la médecine, il suffisait de croire en sa passion pour arriver jusqu’à son objectif, et défoncer des portes. Il fallait travailler d’arrache-pied bien sûr, mais certains pontes n’en donnaient pas l’air et se révélaient avoir des cerveaux de génie qui sauvaient des vies. Aussi, la maxime concernant les apparences, elle était à prendre en compte alors en effet, qui savait vraiment de quel bois Nicholas se chauffait. Elle l’avait vu sur scène une fois, elle avait vu qu’il était relativement différent quand il était positionné derrière un micro, mais c’était tellement facile de jouer un rôle. Elle ne savait pas, elle n’avait pas tellement envie de savoir encore une fois, ne tenant pas à porter les subtilités des autres sur ses épaules, en ayant déjà bien assez avec les siennes.
Elle s’intéressa davantage à ce qui serait susceptible de se passer quand Nicholas ne serait pas là et qu’elle se retrouverait seule avec Esmée et dodelina de la tête en l’entendant lui confirmer qu’il y aurait peut-être du passage à ce moment-là. Ce serait malvenu de lui avouer qu’elle ne l’espérait pas, donc à la place elle répéta avec la volonté des bons élèves "Les Carter, Ava… j’espère au moins qu’Esmée me fera un petit briefing avant de les rencontrer." Pas qu’elle en avait quelque chose à faire, mais ça faisait toujours meilleur genre de faire mine de s’en soucier. Cela dit, l’avis de tempête restait tout de même alarmant, de fait elle espérait que ces fameux voisins resteraient chez eux parce que Mavis, elle n’était calibrée que pour s’occuper que d’une vieille personne à la fois — ce n’était pas son domaine, elle restait plus à l’aise avec les jeunes, même si elle appréciait le contact de la vieille femme, elle n’était pas sûre de savoir très bien s’y prendre pour les occuper. Elle le découvrirait, rien de grave ne pourrait arriver dans tous les cas, ça c’était une assurance qu’elle était prête à donner à son cousin qui rebondit sur ce qu’elle n’osa pas dire à propos de leur famille "Tu dis ça, mais t’en sais pas grand-chose, en vrai. Au fond, c’est toi le chanceux, t’as pas eu à te ramasser toutes les fêtes de famille depuis le premier jour, ce qui est loin d’être notre cas avec Baz." lui fit-elle remarquer avec une pointe d’immaturité, laissant un nouveau rire lui échapper parce que pleurer sur tout ça, elle avait arrêté de le faire quand elle avait compris qu’elle ne pourrait pas changer grand-chose "Comment ça se passe du côté d’Esmée, c’est aussi dénué de bonnes ondes, ou ta mère était au moins un peu sympa pendant les fêtes de fin d’année ?" osa-t-elle lui demander comme ça s’inscrivait dans la suite de la conversation qu’ils avaient.
"Elle a pas tort. T’as quel âge déjà ?" Une nouvelle question, posée sur le ton usuel de la discussion qui se poursuivait malgré l’intention fugace de Mavis de faire culpabiliser son cousin de se faire la belle, laissant sa grand-mère seule pour les fêtes "J’ai pas l’impression qu’elle vit mal de ne pas passer les fêtes avec toi, cette année. Si y a que ça pour te rassurer, je pourrais prétendre jouer ton rôle en attendant que tu rentres. Par contre, me demande pas de chanter, c’est un truc que je fais que sous la douche." fit-elle, les mains levées devant elle pour repousser cette éventuelle demande, gardant son sérieux un instant avant de se fendre d’une nouvelle risette qui termina sur le côté aux paroles de son cousin qu’elle lui renvoya avec un haussement d’épaules "Tu fais rien de mal en vivant ta vie. Mais je suppose que c’est un truc qu’on doit te dire souvent, non ? Vance me donne l’air d’être du genre à te le répéter chaque fois qu’il peut." Elle suivit le jeune homme du regard lorsqu'il se leva pour aller prendre quelque chose dans son placard qu’il définit comme le cadeau de sa grand-mère. Curieuse, Mavis lui demanda, prenant la boîte qu'il avait dans les mains pour silencieusement l’observer et saluer ses talents de petit lutin "Qu’est-ce que c’est ? Juré, je garderai le secret." Il pouvait en être sûr. Elle posa la boîte sur ses propres genoux après avoir fait mine de la secouer près de son oreille pour mieux deviner, et leva ensuite la tête pour croiser son regard, et opiner en même temps "Hm, c’est combien d’heure de décalage horaire ? J’essaierai de faire en sorte qu’on soit fraîches et dispos, ça sera un chouette moment." Enfin elle l’imaginait, c’était tout ce qu’elle pouvait faire pour l’instant. Roulant très brièvement des yeux, elle assura à son cousin qui se montrait exigeant sur l’effet de surprise "Elle l’ouvrira pas avant. Je vais le planquer dans mes affaires, d’accord ?" Il serait d’accord, alors retirant la boîte de ses genoux pour la poser sur la table chevet non loin d’elle, elle balaya le sujet pour ouvrir un peu plus grand les yeux, s’étonnant de l’annonce faite par Nicholas dans la foulée "Pour de vrai ? T’étais pas obligé." Etait-ce indélicat de lui faire l'aveu qu’elle lui fit dans un léger rire gêné "J’ai rien pour toi, moi. Je suis pas très douée pour tout ça…" Baz n’aurait même pas de cadeau, seuls Dan et ses parents en auront un, comme tous les ans ; elle n’incluait même pas Ruben dans ses achats de Noël, elle savait que ce genre de choses restaient incriminantes si Nina tombait sur un cadeau venu de nulle part, il fallait rester prudent. Elle pinça les lèvres, ajouta précipitamment, le désignant d’une main leste en même temps "A part savoir que t’aimes la musique et que t’en joues, je sais pas grand-chose de toi." Difficile donc d’en tirer des infos pour faire le cadeau idéal, c’était ce qu’elle sous-entendait en lui disant ça. no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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| | | | (#)Mer 29 Nov 2023, 20:24 | |
| ≈ ≈ ≈ {i could never give you peace} crédit/(megedonnelly) ✰ w/@Mavis Barnes Le programme ? Jouer de la musique, voilà ce que tu as envie de répondre à ta cousine, mais même toi, tu te rends compte que cela est un peu réducteur et ne traduit pas vraiment ce que tu vas faire. Tu es tout de même à la tête d'un groupe de musique, tu as un album qui vient de sortir au Royaume-Uni en version physique et sur Spotify. Un album qu'on écoute, des gens qui vont te reconnaitre, toi, le son du groupe, les paroles et même demander des autographes... Tu ne peux pas jouer les hypocrites et prétendre que tout ça ne t'atteint pas ou que cela ne fait pas partie de toi. Cela fait partie de toi au même titre que cette chambre qui n'est pas bien rangée, le piano dans le salon que tu vas toujours retrouver quand tu es en panne d'inspiration... Prétendre le contraire serait bien stupide."Oh je n'ai rien d'une rockstar Mavis, et ça, ça ne changera jamais, je peux te le dire maintenant. Mais je serais un musicien un peu plus légitime après cette tournée je pense..." Tu le dis avec un haussement de tes épaules, pour ce que ça vaut dans ton monde, ton statut ne t'intéresse pas, ce qui t'intéresse, c'est de pouvoir faire ce que tu aimes, ce qui te passionne et de continuer à le faire. Et cela implique de laisser Esmée ici à Brisbane et oui, tu es un peu plus serein en sachant que Mavis sera là. "Tu auras le droit à un peu plus qu'un briefing je pense." Esmée n'a pas besoin de toi pour agir en tant que son porte-parole et ça, tu sais que ta cousine l'a déjà compris. Tout comme elle a très bien compris que tu étais attaché à Esmée, si tu pouvais la mettre dans ta poche ou même dans ta valise, tu le ferais, sans aucune hésitation. "40 ans, merci de le demander." Ton âge n'a rien à voir là-dedans, tu le sais que tu n'agis pas comme si tu avais autant d'années au compteur, on te l'a déjà dit et reproché et tant pis. Tu n'hésites même pas à la mention de ta mère, tu n'as rien à cacher à Mavis en fait, pas maintenant. "Ma mère... n'a jamais fait partie de tout ça. Esmée s'occupe de moi depuis que j'ai sept ans, ce qui est une bonne chose pour tout le monde, et je sais qu'elle a toujours tout fait pour compenser et rattraper... les erreurs des autres. Ce qui n'est pas son rôle, mais ouais, je ne savais même pas ce que c'était Noël avant d'arriver à Brisbane donc." Donc tu es tout de suite tombé amoureux de l'idée, du sapin décoré, des chants et des comptines, de tout le cirque autour de la fin de l'année, sachant que tu aurais toujours tout ceci, sans devoir craindre le contre coup. Tu ne peux pas l'expliquer avec des mots sans donner plus de détails à Mavis sans être trop graphique ou même déprimant. Et tu ne veux pas le faire, ton passé n'est pas si intéressant que cela, du tout même. "J'entends ce que tu me dis, vraiment, tu es de bons conseils, je le sais... enfin, j'essaye de me faire à l'idée. Elle m'a sauvé la vie, je suis sérieux quand je dis ça... c'est mon tour d'être là pour elle maintenant." C'est aussi simple que cela et tu as toujours vu les choses ainsi, rien ne te fera changer d'avis. Tu t'inquiètes, bien sûr, ça sera toujours le cas, c'est ancré en toi d'une façon trop profonde pour disparaitre du jour au lendemain. C'est bien pour cela que tu as tout prévu et que le cadeau d'Esmée a été sécurisé il y a bien longtemps.
Ton regard dérive sur la boite sur les genoux de Mavis, tu peux le lui dire à ta cousine, elle gardera le secret."Un collier que mon grand-père lui a offert pendant après leur troisième rendez-vous, il été cassé et avait besoin d'un coup de neuf, je m'en suis occupé... j'espère que ça va lui faire plaisir." Esmée a des règles très stricte sur les cadeaux, elle déteste que les gens dépensent de l'argent pour elle et tout comme toi, elle a dû mal avec la nouveauté. De plus, elle n'aime pas les choses qu'elle juge inutile, tu n'as pas enfreint les règles, techniquement, le collier est déjà à elle."C'est dix heures de moins, donc une grosse différence, mais je resterais éveillé et on se fera ça en direct." Tu hoches la tête, refermant le placard derrière toi et tu t'installes au pied de ton lit, tes genoux pressés contre toi, l'instant suivant."Hmm Mavis ? Tu sais déjà tout." Le rire que tu as est sincère, elle résume bien les choses et si certains se sentiraient insultés par une description aussi réductrice, mais décidément pas toi. "Et puis hey... je n'offre pas des cadeaux pour en recevoir en retour tu sais, je ne plaisante pas quand je dis que c'est ma fête préférée, j'ai déjà beaucoup de bons souvenirs. On n'a qu'à dire que ton cadeau c'est tout le temps que tu vas passer avec Esmée, okay ?" Un très bon compromis à tes yeux et tu le dis surtout parce que tu ne veux pas que Mavis se sente coupable ou quelque chose d'aussi négatif."Tu vas aussi devoir manger beaucoup de pain d'épices et de cookies pour moi, c'est obligatoire hein." Ton mouvement de sourcils indique que ce n'est pas vraiment négociable en fait et tu as un soupir l'instant suivant, ta tête appuyée contre ton matelas. "Je vais pas mentir, j'ai vraiment envie de partir, c'est une opportunité en or, tous les concerts dans les salles ouvertes de Brisbane vont me paraitre tellement minimes après mais..." Mais tu veux le faire, tu as pris des engagements, mais tu restes toi. "C'est ma grand-mère, c'est mon rôle de m'inquiéter pour elle." C'est dit avec un fin sourire sur le visage, parce que cela reste la vérité mine de rien."Bref, pourquoi tu me laisses plomber l'ambiance. Si tu es ici, ça veut dire que tes parents ne font rien ? Ni même Baz ?" |
| | | ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340 TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
ambrose#18 › ruben#24 RPs EN ATTENTE :
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : olivia holt CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs rubis, marose) › ©symphonygifs (gifs profil, sign), ©kaceypacks (gif dan), ©gifpacklove (gif baz) › ©astra (code) DC : jo carter & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 20/10/2022 | (#)Ven 01 Déc 2023, 10:34 | |
| i could never give you peace @Nicholas Hurley (crédit gif/padmeamiidalas)
"T’es quoi alors ?" S’il n’était pas une rockstar, qu’est-ce qu’il était ? Il ne fallait pas flirter avec l’hypocrisie quand on faisait des métiers d’égo, et admettre sans rougir qu’on voulait au moins un peu devenir quelqu’un aux yeux du monde entier. Nicholas, il donnait l’impression de toujours avoir celle de déranger, mais il n’hésitait pas à traverser la terre entière pour aller se donner en spectacle devant des inconnus sans douter une seule seconde qu’on l’accueillerait à la hauteur de l’anticipation que provoquait la mise en vente de billets de concert portant le nom de son groupe. Il était comme les autres artistes qu’elle écoutait religieusement, comme Taylor, Selena, Sabrina, et les autres : il se nourrissait de l’attention qu’on voulait bien lui donner, au point de partager des pans de vie avec ceux qui lui renvoyaient sa faveur en s’accaparant ses titres pour les faire tourner autour d’eux, de leurs désillusions amoureuses, bien souvent "C’est seulement ça que t’as envie de devenir ? Un musicien légitime ? Ou ton vrai objectif, c’est de remplir des stades à un moment donné de ta carrière ?" Il pouvait devenir un musicien légitime en restant dans l’ombre, voilà ce qu’elle pensait. Mais elle s’imaginait qu’après avoir goûté à la notoriété, on ne pouvait plus s’en passer. Il restait contradictoire son cousin, et elle se demanda finalement si la dualité, ce n’était pas de famille. Si dans les gènes des Barnes, il n’y avait pas quelque chose qui leur permettait de vivre plusieurs vies en une seule et de scinder leurs principes pour les faire tourner à leur avantage quand ils se retrouvaient pris au piège. De quoi Nicholas était-il pris au piège, elle ne le savait pas, et elle ne pousserait pas le bouchon jusqu’à lui poser ouvertement la question. En revanche, elle lui demanda, l’avidité dans son regard la faisant subitement prendre des airs de petite-fille curieuse "T’as rencontré qui comme pointures ? Fais-moi rêver."
Il la ferait plus rêver avec ce récit-là que celui entourant le manque d’investissement de sa mère. Vraiment, à la loterie de la vie, le pauvre Nicky n’avait pas tiré les bons numéros "Je vois." Entre un père absent et une mère démissionnaire, pas étonnant qu’il avait toujours l’air aussi contrit "Elle est plus ta mère que ta mère biologique, ou je résume mal ?" lui demanda-t-elle, allant au fait sans trop de délicatesse, mais en posant ses yeux sur lui pour observer sa réaction, ses micro-expressions, et le reste de ce qui formerait une réponse valable à ses yeux "T’es là pour elle, y a pas de doute là-dessus." Une confirmation qu’il n’avait certainement pas envie de recevoir, mais d’un point de vue extérieur, il ne fallait pas bien connaître les Hurley pour savoir que Nicholas donnait tout ce qu’il avait avec Esmée, et pas seulement parce qu'il se sentait redevable. Il y avait de l’amour entre ces deux-là, un amour qu’il n’avait donc pas reçu de la part de ses parents, et bien qu’elle ne le montrerait pas, plutôt dure quand il s’agissait de ces choses-là, Mavis se sentait personnellement touchée de se dire que ça, c’était un de leur point commun. Après un très court instant de silence, elle finit par lui demander "C’était comment avec ta mère ?" Etait-ce trop indiscret ? Elle devina que oui, sans doute, et ajouta avec un excès de précipitation "T’es pas obligé de répondre, j’essaye juste de te connaître." Et qu’on le veuille ou non, qu’on soit fier de sa famille ou non, apprendre à connaître quelqu’un, ça passait souvent par se renseigner sur sa dynamique familiale.
Le cadeau d’Esmée posée sur ses genoux, Mavis interrogea Nicholas sur son contenu. La réponse à sa question la fit sourire "Il est plus là depuis longtemps, ton grand-père ?" Pourtant ici, elle avait l’impression qu’on s’échinait à le faire vivre tout de même, et c’était touchant. Le cadeau que Nicholas réservait à sa grand-mère l’était tout autant, et si elle ne trouva rien à dire, pas très sentimentale dans le fond Mavis, elle ne pouvait pas passer à côté de la délicatesse de ce geste qui prévoyait un moment d’émotion avec lequel elle composerait une fois qu’elle y serait vraiment confrontée. Pour l’heure, riant doucement à ce que Nicholas ajouta par la suite, elle s’étonna de faire partie de la liste de ceux à qui il prévoyait de faire un cadeau. Elle n’était à l’aise avec tout ça, elle ne savait pas réagir comme il fallait. Elle n’avait pas été habituée à ce genre d’attention, elle n’était pas du genre à savoir faire ce genre d’attention, uniquement pour ceux qu’elle aimait profondément — ce qui se résumait à Dan en vérité, pour qui elle faisait tous les efforts du monde, pour qui elle ne rechignerait jamais à dépenser sans compter. Les autres, elle ressentait de l’affection pour eux bien sûr, mais les connaître en surface ne l’aidait pas à s’attacher. Elle avait besoin d’une connexion particulière avec les gens Mavis, elle avait besoin de partager des secrets, et elle n’en partageait pas avec grand-monde. Elle sourit à Nicholas "Elle t’a vraiment bien élevé, Esmée." fit-elle remarquer au jeune homme qui lui disait qu’il ne faisait pas de cadeaux pour en recevoir en retour, prenant le service qu’elle lui rendait durant son absence comme celui qu’elle lui offrirait cette année "Je sais pas si je vais être capable d'ingurgiter autant de sucre cette année, mais s'il faut faire un effort, je me forcerais." Inconsciemment, elle posa la paume de sa main contre son abdomen, et même si ce geste ne voulait pas dire grand-chose, elle se sentit soudain mal à l’aise au point de vouloir se lever pour arpenter la chambre de son cousin qui continuait de parler "T’as pas besoin de te justifier auprès de moi. Je sais ce que c’est que de faire des sacrifices pour réussir, et je te juge pas de le faire. Je plaisantais tout à l’heure." Une précision qu’elle lui donna pour qu’il ne croit pas qu’elle le fustigeait vraiment, tandis qu’il la questionnait en retour sur ses projets. Dans l’intervalle, elle s’empara de quelques disques qu’elle voyait traîner sur le bureau du jeune homme, et les regarda en les battant doucement comme des cartes à jouer "Hm ils font quelque chose, mais ça s’inscrit pas vraiment dans le schéma classique du repas de Noël. Ils vont organiser une réception sans doute, ou tous les employés des hôpitaux des environs seront invités — et quand je dis employés, je parle des cadres, pas des infirmiers." Evidemment, pas de gueux chez les Barnes "Baz sera là pour récolter des ragots à colporter dans ses fanfictions à la noix —" C’était comme ça qu’elle définissait le travail de son frère, l’artiste torturé qui écrivait des torchons pour se donner de l’importance, tu parles d’un métier "— et Dan et moi, on se baladera entre les rangs pour juger ceux qui préfèrent passer Noël avec des inconnus plutôt qu’avec leurs proches. C’est nos traditions à nous, c’est pas aussi fun que les vôtres." Ça ne l’était même pas du tout, aussi restant un moment à regarder les disques qu’elle tenait dans les mains, elle finit par demander à son cousin à qui elle montra ce qu’il y avait en haut de la pile "Florence and the Machine ? C’est aussi bon qu’on le dit ?" no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
Dernière édition par Mavis Barnes le Mar 12 Déc 2023, 13:42, édité 1 fois |
| | | | (#)Mar 12 Déc 2023, 10:20 | |
| ≈ ≈ ≈ {i could never give you peace} crédit/(megedonnelly) ✰ w/@Mavis Barnes "Mon vrai objectif, c'est de finir mes journées..." Tu le dis avec un léger sourire aux lèvres, n'ayant pas peur de cacher tes objectifs et la vraie raison pour laquelle tu te lèves le matin face à ta cousine. Tu n'es pas vraiment là pour épater la galerie ou juste récolter les lauriers parce que tu penses que tu le mérites, parce que tu penses avoir une place ou même une importance. Les choses ne fonctionnent malheureusement pas comme ça quand on s'appelle Nicholas Hurley et tu as de la chance d'être tombé dans la musique. Et d'être un minimum doué. Assez doué pour exprimer la cacophonie que tu as toujours dans la tête et assez doué pour être remarqué et dépêché à l'autre bout de la planète. Cela tu peux au moins admettre que ça n'arrive pas à n'importe qui, oui, c'est vrai, pas besoin de jouer les hypocrites. Et qui est-ce que tu connais de célèbre ? "Personne de bien connu... on va dire que ce n'est pas encore le cas." Tu ne mentionnes même pas ta voisine et sa moitié, même pas, presque par ironie, presque comme une blague avec toi-même et parce que ce n'est pas important. Quelque chose te dit que Mavis ne va pas courir pour avoir un autographe de ces deux-là ou même trouver cela impressionnant. Elle a choisi une voie beaucoup plus importante et beaucoup plus admirable ta cousine, sincèrement, elle ne devrait pas être impressionnée par ce que tu fais. Mavis ne l'est sûrement pas, elle cherche à te connaitre et à te déchiffrer, et à comprendre l'univers qui t'entoure. Cela, tu l'entends et tu le comprends bien et ton regard se perd un instant sur tes pieds, avant de revenir à Mavis alors qu'elle mentionne ta génitrice."Désolé de le dire mais si tu veux me connaitre, c'est pas du côté de ma mère qu'il faut chercher. Cela n'a jamais été son genre d'être mère. Ou de vouloir être mère." Tu le dis sur le ton le plus sec que tu peux conjurer, et parce que ce n'est pas une histoire joyeuse, ou que tu aimes raconter. Ou même que tu veux confier à Mavis, tes secrets ne sont certes pas si bien gardés que ceux-là, cependant, ils n'ont pas besoin de devenir ceux de la blonde pour que tu lui fasses confiance. C'est déjà le cas et tu forces un sourire sur ton visage, parce qu'elle sait qu'elle met les pieds sur une pente glissante, en fait, vu qu'elle te dit que tu n'es pas obligé de répondre. "Tout était toujours de ma faute et..." Et elle te faisait payer le prix fort ta mère, pour ton innocence, pour ton ignorance et même pour tout simplement exister. Ce qui n'était pas une situation plaisante, ou quelque chose que ton esprit d'enfant arrivait à comprendre. Maintenant, avec le recul, tout ce que tu sais du parcours de ta mère, tu peux te dire que ce n'était pas vraiment ta vie. Ta vie a commencé quand tu avais sept ans et que tu es arrivé à Brisbane.
"Comme tu l'as dit, Esmée est plus ma mère qu'elle en réalité." Sauter une génération et ignorer sa mère, ça se fait ? Oh, tu comptes bien le faire de toute façon, qui va te le reprocher, certainement pas Mavis, tu le sais."Je n'ai jamais connu mon grand-père malheureusement, pas assez pour m'en souvenir, quand j'ai emménagé ici, il n'était déjà plus de ce monde." Esmée en parle tout le temps et souvent d'Ernest Hurley, le grand amour de sa vie, tu aurais voulu avoir des souvenirs plus concrets avec lui, pas juste des flashs à l'arrière de ton esprit ou les récits un peu erronnés de ta mère. Tu n'as pas eu cette chance, mais grâce à Esmée, tu as l'impression de le connaitre par cœur. Mavis pourra dire la même chose après quelques jours passés en compagnie de ta grand-mère, cela tu en es persuadé. Elle parle de ses propres parents et de ce qu'ils font pour les fêtes et pour avoir été confronté à ces derniers et avoir été accueillis dans leur grande maison... ça ne t'étonne qu'à moitié en fait et tu hoches la tête pensif. Au moins, Mavis ne sera pas toute seule, un très bon point selon toi, Dan sera là, il semble la suivre partout, un peu comme toi et Vance et tu sais à quel point c'est important d'avoir ce genre d'ancre dans sa vie. Et ils ont leur propre traditions, que tu ne jugeras pas bien entendu. "Hmm, le genre de soirée où il faut se pointer en costume ou sinon ce n'est même pas la peine ?" Tu le dis avec un léger sourire, te disant que tu ne serais pas bien reçu avec tes pulls de Noël et tout l'attirail que tu trimballes pendant les fêtes de fin d'années. "Je... bon ? Florence est parfaite." Mavis te sort de tes pensées à sa question et tu te relèves aussitôt, appuyant sur le dernier mot. Tu cherches autre chose l'instant suivant... sous le lit... une boite couverte de stickers et de magazines et tu sors tes biens les plus précieux. Et en particulier des vinyls, signés par Florence Welch en personne."J'ai eu le droit à beaucoup, beaucoup, de copies signées." Le premier album, le second..."Je sais que tu aimes bien Taylor mais si tu poses ce genre de questions, va falloir refaire toute ton éducation musicale Mavis !" Tu le dis avec un sourire aussi et tu fermes la boite, tu es toujours en mouvement, mettant plus de bordel sur ton sillage alors que tu vas ouvrir un de tes tiroirs cette fois-ci. Il n'y a aucun vêtement à l'intérieur, aucun, mais juste beaucoup, beaucoup iPod et de lecteur MP3."T'es un peu une Hurley aussi, alors c'est important que tu t'y connaisses en musique." Tu reviens vers Mavis avec deux iPod que tu lui confies avec un léger sourire."Tiens et tiens... tu peux les garder, je n'en ai pas besoin, mais toutes mes playlists indie avec Florence sont dessus." |
| | | ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340 TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
ambrose#18 › ruben#24 RPs EN ATTENTE :
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : olivia holt CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs rubis, marose) › ©symphonygifs (gifs profil, sign), ©kaceypacks (gif dan), ©gifpacklove (gif baz) › ©astra (code) DC : jo carter & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 20/10/2022 | (#)Mar 12 Déc 2023, 14:25 | |
| i could never give you peace @Nicholas Hurley (crédit gif/padmeamiidalas)
Mavis, elle s’imaginait les artistes assez fantasques pour être fun. Mais visiblement, il ne s’agissait que d’un cliché dans lequel Nicholas n’entrait définitivement pas. On ne pouvait pas dire qu'il respirait la joie de vivre, et là où de jeunes artistes auraient certainement cherché à montrer leur enthousiasme face à la nouveauté, aux célébrités qu’ils rencontraient, et au reste, il ne démontrait rien d’autre de la tiédeur qui aurait donné du fil à retordre à Anka Barnes en consultation. Peut-être que ça aussi, c’était dans les gènes des Barnes, d’avoir quelques soucis d’ordres émotionnels. De là à les traiter comme des pathologies mentales, il n’y avait qu’un pas, seulement c’était presque rassurant de se dire qu’elle n’était surement pas la seule de sa famille à avoir un souci finalement.
Elle tairait ces pensées-là, s’intéressant davantage à la vie qu’il menait avec sa mère biologique. Apparement, elle n’était pas du genre à s’être attachée à sa progéniture, et ça tapait un peu trop près de la maison pour qu’elle sache quoi dire au jeune homme qu’elle regarda seulement en hochant la tête. Qu’est-ce qui poussait les gens à garder leur bébé s’ils ne se sentaient pas prêts ? C’était une vraie question qu’elle se posait, confrontée à ce dilemme qui n’en était pas en définitive, s’étant très rapidement décidée de ce qu’elle ferait du sien. Elle n’était pas maternelle Mavis, elle n’avait pas cette fibre et elle doutait qu’elle ne l’aurait jamais, alors ce n’était pas si surprenant que ça qu’en dehors de la situation délicate dans laquelle elle se trouvait, n’étant pas vraiment en couple avec celui responsable de son état, que sa seule échappatoire était de laisser filer cette petite chose qu’elle ne pleurerait pas. Elle ne comprenait pas ceux qui s’obstinaient à s’accrocher à l’idée de devenir parent juste parce que ça faisait joli de revendiquer ce statut, alors évidemment, elle ne ressentait guère de compassion pour la mère de Nicholas qu’elle jugeait en secret à cet instant, son fils semblant pris dans des souvenirs qui avaient l’air tout sauf heureux "C’est pour ça qu’Esmée t’a pris chez elle ? Parce qu’elle avait tendance à te dire que tout était de ta faute et que ça devenait un problème ?" Au point d’en devenir dangereuse ? Mavis fronça les sourcils, et encore une fois, étant donné qu’elle sentait le malaise s’installer du côté de Nicholas, elle ajouta dans la continuité "T’es pas obligé de répondre. C’est vraiment très indiscret."
Pas moins que d’arpenter la chambre de quelqu’un, mais elle le fit tout de même, se détournant de Nicholas pour ne pas assister à son malaise, et enterrer le sien lorsque sa main était venue se poser sur son abdomen toujours plat certes, qui n’en était pas moins rempli par quelque chose qui ne s’apparentait pas à son repas du midi. Elle s’intéressa à son grand-père, elle s’intéressa à ce qui constituait son univers, glanant des réponses fermées et des observations qu’elle n’oublierait peut-être pas, mais dont elle ne saurait que faire une fois que la conversation serait terminée "Ce genre de soirée-là, oui." lui fit-elle dans un sourire quand ils en vinrent à parler des plans des Barnes pour les fêtes "Mes parents aiment bien rappeler qu’ils sont des gens importants. Je leur en veux pas, moi aussi je ferai ce genre de choses quand j’aurai atteint ce niveau dans ma carrière." Elle ne s’en cachait pas, mais elle ne ferait pas semblant d’apprécier ça, l’ayant trop subie pour y trouver du plaisir. C’était pourtant comme ça que ça devait être, et les conventions étant rassurantes, elle ferait comme on lui avait appris à faire, point final. Une pile de disques dans les mains, elle eut un léger rire à la réaction de Nicholas à propos de cette chanteuse qu’elle mentionna "C’est moi, ou j’ai l’impression que t’en fais toujours un peu trop ?" Ce n’était pas elle, une réponse qu’elle prononça dans l’intimité de ses pensées pendant qu’elle se faisait rappeler à l’ordre par son cousin "De la musique, c’est de la musique. Tant que ça fait chanter et danser, personne devrait avoir à se justifier d’écouter ce qu’il écoute." Elle était snob Mavis, mais pas aussi snob pour s’offusquer des goûts musicaux des autres. En d’autres termes, elle n’était pas comme Nicholas "Et non, je suis toujours totalement une Barnes, Nicholas." insista-t-elle, les paroles du jeune homme la faisant étirer un sourire en demi-lune, l’une de ses joues remontant quand il lui tendit un iPod qu’elle prit du bout des doigts "Me dis pas que t’as un iPod pour chaque style musical que t’écoutes ? Me dis pas que tu te sers toujours d’iPod ?" Il vivait en quelle année exactement ? Elle secoua la tête, acceptant cependant l’offrande qu’il lui faisait tandis qu’elle lui demandait après avoir reposé les disques sur son bureau "Indie, ça veut dire que ça va forcément être déprimant ?" Elle se rassit sur le bord de son lit. En vérité, elle connaissait déjà la réponse à cette question. no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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| | | | (#)Jeu 21 Déc 2023, 20:53 | |
| ≈ ≈ ≈ {i could never give you peace} crédit/(megedonnelly) ✰ w/@Mavis Barnes tw: maltraitance sur mineur (mention)
Mavis veut connaitre la vérité et tu supposes que ce n'est pas un secret si bien gardé que cela. Les sequelles de ton enfance sont toujours lourdes sur tes épaules, mais au moins, maintenant, tu peux en parler sans que ton coeur ne se serre. Sans te dire que tu es coupable ou pire encore, que tu l'avais bien cherché. Oui, maintenant, tu peux avoir du recul et tu hausses les épaules alors que la question sur ta mère arrive. Et pourquoi tu es venu t'installer de façon définitive à Brisbane quand tu n'avais que sept ans. Cela semble remonter à tellement loin, on aurait dû mal à croire en te voyant aujourd'hui que tu avais peur de t'installer dans cette chambre-ci et d'y prendre tes marques. Tu avais peur qu'on te renvoie à Sydney et que tout ceci ne soit qu'une illusion. Tu sais que ce n'est pas le cas maintenant."Disons que... la deuxième fois que je me suis cassé les bras en "tombant des escaliers", ça a été la fois de trop pour Esmée, elle a décidé d'intervenir et de nous séparer... pour de bon." Tu dis ça avec un ton sec, et encore une fois, tu hausses les épaules, Mavis est assez intelligente pour tout connecter et comprendre toute seule ce que tu ne dis pas, ça, tu n'en doutes pas du tout. Tu ne sais pas si c'est une bonne idée de parler de vos parents, autant qu'elle et toi, il semble y avoir un peu d'amerturme dans vos voix alors que vous mentionnez vos géniteurs mais hein... Peut-être que c'est la chose qui vous uni mieux que le sens que vous partagez. "Hey, je suis certain qu'il y a des gens qui sont ravis que tes parents accueillent, c'est une excuse pour bien se saper et se sentir important... il en faut aussi." Tu ne fais pas parties des gens que tu viens de mentionner, mais tu peux voir l'attrait, sans le comprendre, on ne te verra pas à une telle soirée c'est certain, et tu penses que tu ne seras jamais sur la liste des invités des Barnes, jamais. "Et puis tes parents font leur quota de bonne action au quotidien donc..." Donc ils ont bien le droit de faire ce genre de petites soirées, sans attendre quoi que ce soit en retour. Oui, quelque chose comme cela. Un rire passe entre ta cousine à toi alors qu'elle te demande si tu as conscience... d'être toi tout simplement. Hmm, elle s'attendait à ce que tu sois un peu plus réservé dans ta propre demeure et dans ta propre chambre ? Du tout, c'est même tout le contraire et maintenant, elle sait dans quoi elle met les pieds Mavis."Tu veux la réponse à cette question, Mavis ?" Elle a déjà la réponse en réalité et tu poses les deux mains sur ton coeur quand elle parle de musique sur un ton complètement léger et comme si ça ne comptait pas. Comme si. Un peu plus et tu pourrais être blessé pour de vrai, ce n'est pas le cas, tu joues la comédie et tu donnes le change pour paraitre encore plus dramatique (du grand n'importe quoi hein). "Ils marchent tous très bien, c'est un invetissement sur la durée et je suis certain que ça vaudra des millions dans quelques années. Et j'écoute aussi de la musique avec des CDs ou sur Spotify comme une personne normale." Le dernier mot est dit avec un certain dédain alors que tu roules des yeux. Tu ne sais même pas si c'est censé rassurer Mavis, mais elle s'empare bien du iPod que tu lui tends et c'est bien assez pour que tu sois satisfait. "Mais tu auras aussi compris que j'ai dû mal à juste tourner la page, donc je suis attaché à tout ça, c'est bête je sais. Et ce n'est pas par style musical que c'est trié, c'est en fonction de mes humeurs, chaque iPod correspond à une humeur différente." Et oui, cela fait totalement sens à tes yeux et tu ne comptes pas t'excuser pour penser de la sorte. Il est bizarre son cousin, Mavis s'en rendra vite compte. "Et pas forcément déprimant... l'indie c'est plus, et si je repensais à toutes les choses que j'ai fait de travers avec une bonne rime, la métaphore parfaite et une bonne basse." Tu résumes tout un genre de façon très maladroite mais tu ne penses pas te tromper et tu laisses échapper un léger soupir avant de finir te rasseoir à côté de Mavis, au bord de ton lit. "Et toi? Tu collectionnes quoi? Pas les vieux iPod je supposes..." Cela, tu l'aurais très bien compris."Elle fait quoi Mavis Barnes pour s'amuser, hmm?" Et si c'est dit avec un sourire, tu es curieux pour le coup, vraiment. |
| | | ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340 TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
ambrose#18 › ruben#24 RPs EN ATTENTE :
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : olivia holt CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs rubis, marose) › ©symphonygifs (gifs profil, sign), ©kaceypacks (gif dan), ©gifpacklove (gif baz) › ©astra (code) DC : jo carter & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 20/10/2022 | (#)Sam 30 Déc 2023, 10:10 | |
| i could never give you peace @Nicholas Hurley (crédit gif/padmeamiidalas)
Elle travaillait à l’hôpital Mavis, elle en voyait des vilaines choses, plus précisément lorsqu’elle était assignée aux urgences. Elle ne pouvait pas se permettre de le dire de cette façon, mais pourtant elle le pensait comme ça : c’était la cour des miracles là-bas. Il y avait un peu de tout et son contraire, mais surtout de tout, et ce n’était pas une bonne nouvelle. Elle savait reconnaître les excuses pour expliquer une chute, un bleu, une plaie, et elle savait reconnaître quand ce n’était que des excuses justement, sans même avoir besoin d’être plus pernicieuse pour connaître le fin mot de l’histoire. Là, elle n’en avait pas besoin non plus, écoutant Nicholas lui raconter la genèse de son arrivée chez sa grand-mère avec un détachement qui faisait peine à voir, mais qui ne l’impressionna pas. Elle était un peu gênée, c’est vrai, se disant que c’était des choses qu’elle n’avait pas nécessairement envie de savoir, mais la vérité, c’était qu’elle avait déjà été confronté à ce genre de cas de figure ; ça existait, ça ne servait à rien de faire comme si ce n’était pas le cas. Elle eut un temps de silence, ses yeux se baissant au fil des mots de Nicholas dont elle retrouva le regard une fois qu’il eut terminé de parler "Elle devient quoi ta mère aujourd’hui ?" Est-ce qu’elle avait une vague idée de ce que son fils était devenu, ou elle n’avait jamais pris la peine de s’en inquiéter ? Les yeux posés sur son cousin, Mavis ne trouva plus si illogique que ça la manière dont il se comportait, mais c’était une conclusion qu’elle garda pour elle tandis que la conversation dérivait pour s’alléger un peu.
Elle eut donc un léger rire en entendant Nicholas défendre les traditions de Noël des Barnes, et ne trouva rien à ajouter parce que même si elle s’y pliait, petite-fille bien élevée qu’elle était, mourant intérieurement de se faire remarquer en se comportant comme il le fallait, elle trouvait ça un peu pathétique de la part de ses parents de ne pas savoir se contenter d’une petite fête tranquille avec les deux enfants qui leur restait. Elle n’y pouvait pas grand-chose, et elle décida de hausser les épaules pour exposer son ressenti à ce sujet, ne le verbalisant pas. Elle n’était pas si ouverte que Nicholas, elle ne partagerait pas ses secrets avec lui sous le prétexte qu’ils avaient le même sang. C’était un privilège qui n’incombait à pas grand-monde, si ce n’était Dan "Je crois que non, j’ai pas besoin de la réponse." Nicholas était une drama queen, voilà ce qu’elle pensait. Ce n’était pas une tare, mais c’était fascinant que toutes les nuances de sa personnalité soient aussi contradictoires, étant presque le parfait opposé de l’autre sans que ça ne semble vraiment le déranger. S’il était heureux comme ça, qui était-elle pour le juger ? "Mais ça te fait passer pour un vieux croulant. Tu sais que ton téléphone fait aussi lecteur de musique, rassure-moi ?" Elle le taquinait, déroulant les écouteurs de l’iPod qu’il lui avait prêté et le mettant en route dans la foulée "En fonction de tes humeurs ? Tu voudrais pas que je vois avec ma mère pour qu’elle te prenne en consultation un de ces jours ?" Encore une fois, ce n’était qu’une plaisanterie qui passerait ou non, elle décida de ne pas s’en soucier, lui adressant un regard par-dessous, lorsqu’il définit son style de prédilection pour l’envelopper dans du beau papier alors que ça revenait à la même définition que la sienne "Hm, c’est toujours déprimant donc." Personne n’avait envie de repenser à toutes les choses qu’il a fait de travers. Elle glissa un écouter dans l’une de ses oreilles, tripota un instant le bouton central de l’iPod sans savoir ce qu’elle faisait véritablement, et resta un court instant à regarder distraitement dans le vide. Elle finit par s’empêcher de penser à ce qu’elle avait fait de travers, se laissant à nouveau dérangée par la voix de son cousin à ses côtés "J’ai pas le temps de faire ce genre de choses tu sais." Collectionner des futilités, s’arrêter sur les petites choses pour apprendre à vivre et profiter de sa jeunesse. Elle avait une mission, rien ne pourrait la faire déroger à sa ligne de conduite qui se devait d’être impeccable… même si dans les faits, elle était loin de l’être, le prouvait ce qu’elle cachait sous son pull. Elle se mordit le coin de la lèvre, fit mine de réfléchir un instant à la question qu’il lui posait et lui fit avec un hochement de tête "Je surfe de temps en temps. Je suppose que c’est pas très original pour une australienne." Mais elle ne prétendait pas vouloir être originale, c’était un fait. Elle laissa un sourire filer, et puis elle lui demanda sans vraiment y penser "Ce serait quoi la playlist parfaite pour une journée de surf en famille ?" Est-ce qu’indirectement, elle lui proposait de se joindre à elle un de ces jours ? no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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| | | | (#)Lun 08 Jan 2024, 20:18 | |
| ≈ ≈ ≈ {i could never give you peace} crédit/(megedonnelly) ✰ w/@Mavis Barnes Tu es plus âgé que Mavis et peut-être que tu devrais essayer de lui transmettre un peu ce que tu as pu apprendre pendant ces quelques années supplémentaires. Malheureusement, les leçons ne sont pas jolies à raconter, encore plus désastreuses à transmettre et parler de tout ça à ta cousine te permet de te rendre compte que non, tu ne le fais pas si souvent que cela. Raconter pourquoi et comment tu es devenu ainsi, ce n'est pas la honte qui te pousse à masquer tes silences, vraiment pas. Et tu ne cherches pas à défendre ta mère plus que mesure, tu n'es pas naïf au point de croire que c'est toujours ton rôle de la défendre. Tu ne le fais pas parce que tu ne veux pas que cela te définisse, tu ne veux pas voir la pitié dans le regard des gens. Et tu ne veux pas qu'on te tende la main parce que tu en as très certainement plus besoin que les autres. Ce n'est pas pour cela que Mavis pose la question, cela, tu peux le voir et l'identifier dans le regard de ta cousine. Peut-être à cause de ses études, de ce qu'elle voit déjà au quotidien en fait, il n'y aura pas de pitié et pas de bons sentiments, tu le sais. "Elle est dans une institution. Esmée lui rend visite de temps en temps." Tu hausses les épaules après cette confession, il n'y a rien d'autres à ajouter et ce n'est pas comme si tu pouvais en dire plus que cela à Mavis sur le sujet. C'est un chapitre de ta vie qui est clos à tes yeux et tu ne veux pas vraiment revenir dessus. Tout ce que tu peux faire c'est aller de l'avant et Mavis ne le sait pas encore, mais elle et ses parents constituent bien plus ta famille que les gens qui sont censés s'occuper de toi et t'accorder leur attention. Bien plus. Le rire de ta cousine est rafraichissant en tout cas et permet de rendre la conversation un peu plus légère. Ou alors c'est ton tiroir plein d'iPods qui fait cela ? Tu ne le sais pas, mais tu préfères largement quand la conversation est orientée vers la musique et pas les hauts et les bas de ta vie bien ennuyeuse et barbante dans le fond. Mavis a bien raison, tu n'es pas obligé de garder tout ceci et peut-être que ta chambre fait plus office de musée que de véritable chambre. Tu n'y peux rien, tu as toujours été nostalgique, toujours du genre à tout garder, collectionner, au cas où... au cas où tu as une nuit blanche et qu'il faut se repencher dans les souvenirs, la vie d'avant et tenter de capturer tout ceci. Tu ne l'expliques pas, c'est un choix conscient et tu hausses les épaules avec un sourire sur le visage avant de répondre à ta cousine. "Oui mais, Miss Barnes, comme ça j'économise la batterie de mon téléphone pour tous mes appels très importants et prioritaires, si si." Et qu'elle ne te demande pas quels appels importants, ce sera une discussion pour un autre jour. "Et pas de consultations, merci bien, la thérapie et moi, ça fait deux. Et puis si j'étais une personne équilibrée... je ne serais pas musicien." Tu es persuadé de ce que tu avances et cela est ponctué par le haussement de sourcils que tu donnes à ta cousine la seconde suivante. Si tous tes traumas avaient été analysés, rangés et résolus, tu n'aurais pas autant d'émotions à coucher sur la page et pas autant de mélodies à gratter sur ta guitare, tu le sais. Tu aurais un petit boulot tranquille, une vie rangée, tu viendrais rendre visite à Esmée le week-end pour boire le thé, lui donner des nouvelles et tu retournerais à ta vie lisse et sans accroc. "Personne ne te jugera pour ton manque d'originalité ici, personne." Certainement pas toi, si Mavis aime surfer, c'est le plus important. C'est une activité qu'on t'a déjà recommandé et tu ne peux pas dire que tu as essayé. Ou que tu saurais quoi faire dans une telle situation. "Et je ne peux que t'admirer, moi je suis du genre à rester en retrait, à lire ou à jouer de la guitare quand on me traine sur le sable." Un autre cliché, Mavis interprétera cela comme elle le souhaite. "Une journée de surf en famille ? Je demanderais bien la tienne ou la mienne mais..." Mais tu es en mouvement sans vraiment attendre de réponse l'instant suivant. Un autre iPod pour Mavis, avec tes recommandations bien entendu, que tu te dis en le lui tendant. "Il te faut mon iPod Bleu. Un peu de Taylor Swift, une touche d'Artic Monkey, The Killers et David Bowie pour les moments où les conversations sont trop longues et barbantes. Moonage Daydream suivi de Cruel Summer, ça ne devrait pas fonctionner mais... si." Tu hoches la tête, ayant un autre sourire pour ta cousine. "Garde-les, au moins je sais qu'avec toi, ils ne prendront pas la poussière." Que tu ajoutes enfin, un hochement de tête pour tous les appareils électroniques que tu viens de lui mettre entre les mains. |
| | | ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2676 POINTS : 340 TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
ambrose#18 › ruben#24 RPs EN ATTENTE :
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : olivia holt CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs rubis, marose) › ©symphonygifs (gifs profil, sign), ©kaceypacks (gif dan), ©gifpacklove (gif baz) › ©astra (code) DC : jo carter & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 20/10/2022 | (#)Lun 15 Jan 2024, 21:13 | |
| i could never give you peace @Nicholas Hurley (crédit gif/padmeamiidalas)
Mavis ne ressentait pas souvent la pitié, ce sentiment un peu biscornu qu’elle ne voulait inspirer à personne ; et elle ne la ressentait pas non plus là tandis qu’il paraissait évident que Nicholas n’avait pas eu une vie facile. C’était le lot de certains d’entre eux, de souffrir, et c’était le sien sans qu’elle ne trouve quoi que ce soit pour le justifier. Son côté cynique avait envie de lâcher un c’est la vie dans ce français parfait qu’elle avait assidument appris à l’école, mais elle savait mieux que quiconque que tout n’était pas bon à dire, et elle choisit donc de ne rien dire de plus au sujet de ce qu’il venait de lui révéler au sujet de son enfance, mais surtout de sa mère.
Elle passa vite à autre chose, ressentant le besoin de Nicholas de voguer vers d’autres sujets. Mavis suivit le mouvement sans se faire prier "Oui, parce que t’es une rockstar qui a besoin de rester disponible. Je comprends, Kurt Cobain." Elle se moquait de lui gentiment, se calant sur ce qu’il lui disait sans chercher à le blesser, ou quoi que ce soit de ce genre. Ils avaient des fêlures l’un et l’autre, et ils étaient l’un et l’autre loin d’être prêt à en discuter. Ça lui allait comme ça, elle avait reçu assez de leçon sur les vertus de la thérapie pour vouloir se lancer dans l’une d’elle ici, avec son cousin, qu’elle enjoignit pourtant à caresser l’idée de consulter sa mère. Là encore, ce n’était qu’une blague qui fila rapidement, Mavis mettant en route l’iPod que Nicholas lui avait confié. Il s’agissait quasiment d'une relique qui devait déborder des états d’âme de son cousin qui se mit à la questionner au sujet de ses hobbies. Rien d’original au demeurant. Elle avait peut-être un destin hors du commun, elle restait tout de même un peu ennuyeuse sur le fond. Studieuse et concentrée, elle ne sortait pas beaucoup en définitive, toujours fourrée dans les pattes de Dan — le contraire serait plus juste — ou dans celles de Ruben quand il daignait, lui, s’autoriser à la voir en dehors des murs de l’hôpital. Autant dire qu’elle ne pouvait pas parler de ça "Pourquoi ça m’étonne pas vraiment ?" lui renvoya-t-elle comme question, en ajoutant une autre dans la foulée, se laissant bercer par la mélodie qu’elle avait dans l’une de ses oreilles — et qui était déprimante, elle le confirmait "Est-ce que je suis à côté de la plaque si je te dis que je suis certaine que tu gardes ton pull, même pour une journée plage ?" Elle plaisantait encore, il fallait bien détendre l’atmosphère et faire en sorte que rien ne soit trop sérieux, trop longtemps "Je te rappelle quand même que t’es un Barnes, quelque part." Et ça la tuait peut-être un tout petit peu de le lui dire, mais elle restait une scientifique qui se basait sur les données de cet acabit pour asseoir des vérités dérangeantes : ils n’avaient pas grandi ensemble, ils se connaissaient à peine, mais le père de Nicholas était le frère du sien, inutile donc de nier plus longtemps l’évidence : leur sang était le même. Elle en sourit doucement, inclinant tout aussi doucement la tête quand il lui tendit un autre iPod, d’une autre couleur, tout en l’entendant de son oreille laissée libre par l’absence d’écouteur saisir ce qu’il lui disait "Tu m’as eue à Taylor Swift." Elle ne connaissait pas vraiment les autres noms qu’il fit défiler à la vitesse de la lumière entre ses lèvres. Une chose était certaine pour elle pourtant : Nicholas connaissait sa musique, aussi elle pouvait lui faire confiance sans crainte "Merci. Je vais en prendre grand soin." Elle opina du chef en enroulant soigneusement les écouteurs de l’iPod bleu autour du minuscule appareil, puis elle retira l’écouteur de son oreille pour lui faire dans la continuité de sa précédente phrase "Et je vais prendre soin d’Esmée aussi. Tu pourras vivre ta vie de rockstar sans craindre qu’il lui arrive quoi que ce soit." À ça de lui en faire la promesse, elle se reprit à temps, et se leva graduellement du bord du lit de son cousin en lui faisant en même temps "Je commence tôt demain." Une manière pour elle de lui faire savoir que sa limite avait été dépassée niveau conversation — et confessions — et qu’il était temps pour elle se lever le camp pour le laisser à ses rêves de scène et de voyage à l’autre bout du monde. no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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| | | | | | | | (barney #4) i could never give you peace |
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