| (cecilia & heath) for folks like me on the job from 9 to 5 |
| | (#)Ven 24 Nov 2023 - 23:22 | |
| ≈ ≈ ≈ {for folks like me on the job from 9 to 5} crédit/(kategifsrp) ✰ w/ @Cecilia Barker De ton expérience, tout est une question de balance. Tu es neurochirurgien après tout, alors sans vraiment d'effort, tu pourrais te lancer sur un discours sur la balance chimique et électrique qui doit se produire pour que tu puisses te lever le matin. Mais déjà, même si tu adores t'entendre parler, tu ne te lances pas dans des explications compliquées gratuitement. Et ensuite, tu commences à en avoir assez d'être sollicité en permanence ces temps-ci. Cela n'en finit pas au St-Vincent, tes patients sont et devraient être ta priorité mais ces dernières semaines, tu n'as que peu de temps à leur accorder, tu lis les dossiers rapidement et tu donnes un diagnostic. Comme ça, en une seule minute et c'est seulement pour les cas les plus critiques que tu te présentes devant le patient. Que tu réponds aux questions et que tu es le Docteur Wilson. Le reste du temps ? C'est de la paperasse complètement inutile, de l'administratif absolument barbant et l'aspect que tu détestes le plus dans ton métier. Récemment, toutes les réunions sont pour s'assurer que l'hôpital et surtout, le service d'urgence, pourront accuser le coup pendant la tempête qui est prévue dans quelques jours. Il ne faut rien laisser au hasard, s'assurer qu'il y aura de l'électricité, assez de lit, assez de médecins, assez d'infirmiers... Assez de tout. Et prévoir le pire de cette façon déprimerait même quelqu'un d'aussi rodé que toi, tu n'es pas déprimé, en l'occurrence, tu es en brin irrité et aujourd'hui, ton premier jour de repos depuis trois semaines... Tu comptes en profiter. Tu as pu faire les courses et remplir ton frigo d'autre chose que de repas tout faits, tu as pu cuisiner, une première, et même te mixer quelques cocktails. Tu as pu regarder un film du début à la fin et maintenant qu'on sonne à ta porte, tu sais que c'est ton divertissement de la soirée. Où alors est-ce réducteur de penser à Cecilia en ces termes-là? Oh, tu t'en fiches complètement. Voilà ce que tu te dis alors que tu vas trouver la porte d'entrée pour ne pas laisser la blonde sur le pas de ta porte. "Ce n'est pas la première fois que tu viens donc on va dire non pour le tour de la propriété et on va passer directement aux choses sérieuses, okay ?" Vous n'êtes pas là pour parler de la pluie et du beau temps et ce n'est décidément pas une relation où vous vous reposez l'un sur l'autre non. Dès que la porte est fermée, tes deux mains viennent trouver les hanches de Cecilia et tu l'embrasses avec l'aisance de quelqu'un qui a déjà effectué ces gestes-là. Un baiser se transforme en deux puis trois, alors que tu guides déjà la jeune femme jusqu'à la chambre à coucher. Qu'elle a déjà vu encore une fois. "Enfin si ça te va, mais quelque chose me dit que tu n'as pas envie de m'entendre me plaindre de mon boulot ?" Tu le demandes sur le pas de la porte de ta chambre, une simple formalité, au cas ou elle voudrait plus de conversation. Vous pourrez toujours parler après, ou même pendant, mais pendant, en général, ce ne sont que des syllabes et des onomatopées et Cecilia reste une très bonne distraction. Encore plus quand elle se retrouve allongée sur ton lit avec toi qui fais office de très bonne couverture, tes lèvres trainent dans son cou et.... Ton téléphone se manifeste à ce moment-là, abandonné sur la table de chevet, tu te tournes vers ce dernier en fronçant les sourcils. Mais la sonnerie s'arrête aussitôt qu'elle a retentit."Fausse alarme." Vous pouvez reprendre vos activités, juste une pause qui n'en était pas une. C'est ce que tu te dis, jusqu'à ce que ton téléphone se manifeste de nouveau et tu pousses un soupir, ton visage à seulement quelques centimètres de celui de Cecilia."... Donne-moi deux secondes." Deux secondes pour te relever, trouver une position assise dans ton lit et décrocher ton téléphone. "Quoi ?" C'est ainsi que tu décroches et tu pousses un long soupir, parce que c'est bien le boulot. Pas un patient au moins, quelque chose de plus trivial, à devoir gérer sur le moment. Tu te lèves, tu réfléchis à une réponse potable et qui te permettra de rester loin du St-Vincent pour le reste de la journée. Tu y retournes demain de toute façon. Une fois que cela est fait, tu es libre de raccrocher, avant de te tourner vers la blonde, tu es toujours un brin irrité. "Parfois j'oublie qu'être médecin, ça veut dire ne pas avoir de vie." |
| | | ÂGE : 35 ans (24.05.89) SURNOM : CeCe, plus ususel que Cecilia - Javotte lui sied plutôt bien STATUT : Célibataire. It's not about the money, money, money...mais si en fait. MÉTIER : Serveuse au rabais au DBD LOGEMENT : #406 montague road - west end. Glow up : le nouvel appart. Glow down : Finnley en colocataire. POSTS : 1155 POINTS : 100 TW IN RP : age gap, chantage ORIENTATION : J'aime tout le monde. RPs EN COURS : Danaë - Chris - Raelyn #2 - Finnley #3
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AVATAR : Brianne Howey CRÉDITS : wild heart (avatar), endlesslove (sign) goatsandgangsters (gifs) DC : Natalia Jarecki INSCRIT LE : 07/04/2020 | (#)Lun 8 Jan 2024 - 22:59 | |
| for folks like me on the job from 9 to 5 crédit/(drvgonqueen) @Heath Wilson J’avais un job de merde, j’étais mal payée, je devais supporter des clients qui me tapaient sur le système à longueur de journée, mais j’avais au moins les mêmes jours de congé que tout le monde. Et aujourd’hui en était justement un. Une bonne nouvelle me direz-vous…sauf quand le job de merde et le salaire tout aussi merdique allant avec ne permettaient pas réellement de se prêter à des activités culturelles onéreuses ou des sorties qui me faisaient rêver et que je pouvais faire n’importe quand sans me soucier de leur prix fut un temps. Bien qu’il ne soit pas particulièrement éthique, le divertissement le plus agréable tout en restant gratuit que j’avais trouvé était toujours le même. Et il venait tout juste de m’ouvrir sa porte. "Ce n'est pas la première fois que tu viens donc on va dire non pour le tour de la propriété et on va passer directement aux choses sérieuses, okay ? " J’étais partagée entre l’envie d’approuver cette façon de penser qui ressemblait somme toute bien à la mienne, et la curiosité quelque peu masochiste que j’avais à circuler dans sa maison en me rappelant tout ce que j’avais un jour eu et tout ce à quoi je ne pouvais clairement plus aspirer aujourd’hui. Etait-ce davantage pour lui ou pour la maison que je choisissais de venir ? L’assurance avec laquelle il vint poser ses mains sur mes hanches et me voler un baiser avant que je n’ai le temps de songer réellement à la réponse me fit comprendre que ça devait être un bon 50/50 a minima. "Enfin si ça te va, mais quelque chose me dit que tu n'as pas envie de m'entendre me plaindre de mon boulot ? " Habituellement impertinente et dans la contradiction permanente, je devais reconnaitre que je faisais toujours preuve d’une certaine docilité quand il s’agissait de s’adonner à ce genre d’activité avec lui. Parce qu’on savait tous les deux pourquoi on était là et que non, l’entendre se plaindre de son boulot ou de quoi ou qui que ce soit d’autre n’était vraiment pas ma priorité. Je passais mes bras derrière sa nuque tout en me laissant guider en direction de sa chambre. « Bonne déduction. Ce genre de discussions c’est réservé aux vieux couples qui n’ont plus rien d’autre à se dire de toutes façons non ? » Non pas que nous ayons nous-mêmes grand-chose à nous dire, mais ça n’était pas par manque de sujets de conversation mais plutôt parce que nous en avions décidé ainsi et que cette situation nous convenait parfaitement. Et nous n’étions pas un vieux couple. Nous n’étions même pas un couple. Quoi que nous soyons l’un pour l’autre si tant est qu’il faille vraiment mettre un mot dessus, l’important était surtout que l’on puisse continuer à profiter l’un de l’autre quand on le souhaitait et à nos propres conditions. Et cela nous avait plutôt bien réussi jusqu’à présent. Un fin sourire satisfait vint étirer mes lèvres alors que je sentais les siennes s’attaquer à mon cou, ma main droite glissant délicatement le long de son torse pour venir attraper le bas de sa chemise avant de me faire interrompre par une sonnerie qui me fit froncer les sourcils. Je l’observais se tourner vers son téléphone puis pivoter à nouveau vers moi tout en laissant apparaître ma contrariété sur mon visage. "Fausse alarme. " Non pas que me voir désapprouver l’un de ses comportements soit vraiment du genre à le dissuader de me faire passer au second plan de toutes façons. Preuve en était la sonnerie qui vint à nouveau grossièrement nous interrompre. "... Donne-moi deux secondes. " Mon froncement de sourcils fut cette fois-ci accompagné d’un « Vraiment ? » avant qu’il ne se détourne une nouvelle fois pour s’asseoir et répondre à son téléphone de malheur. "Quoi ? " Il avait l’air saoulé. A peu près autant que moi. Mais même contrariée, je ne manquais jamais une occasion de lui faire payer son comportement. Aussi pris-je l’initiative de me redresser et de m’asseoir à mon tour pour venir insidieusement me coller contre son dos, déposant des baisers dans sa nuque tout en venant l’enlacer pour faire courir mes doigts sur son torse avant de les approcher du premier bouton de sa chemise, prête à le déboutonner. La diversion fut toutefois de courte durée quand il décida de se relever, son urgence téléphonique ne pouvant visiblement pas être gérée assis. Je poussais un soupir avant de me laisser retomber en arrière sur son matelas, attendant qu’il daigne m’accorder à nouveau l’attention que je méritais à défaut de pouvoir prendre son téléphone pour raccrocher moi-même. Ce qui restait toutefois une option encore parfaitement envisageable. "Parfois j'oublie qu'être médecin, ça veut dire ne pas avoir de vie. " Mes yeux qui scrutaient alors avec dédain le plafond glissèrent finalement de côté pour le regarder. Je basculais sur mon flanc, le bras en angle droit pour pouvoir poser mon visage dans le creux de ma main tout en l’observant. Je laissais un léger silence s’installer avant de répondre : « Je crois pas que ce soit réservé aux médecins ce genre de phénomènes. C’est propre à pas mal de gens qui travaillent tu sais. » Je n’aurais pas l’insolence de comparer ma situation à la sienne. Pour l’instant. « Mais c’est vrai que j’oublie à quel point tu es important et indispensable au bon fonctionnement de l’hôpital. » Ce qui en réalité devait être vrai en partie, mais c’était bien sur le ton de l’ironie que j’avais lancé cette réflexion. « Ne pas pouvoir rester loin de ton téléphone suffisamment longtemps pour avoir le temps de t’envoyer en l’air. Quelle tragédie. Tu connais le mode avion ? » Oui. Il avait mieux réussi que moi. Il méritait son poste. Il gagnait bien sa vie. Et il avait de vraies responsabilités. Et tout ça contribuait très certainement au fait que je me montrais présentement amère alors qu’il faisait preuve de professionnalisme au détriment de l’attention que je quémandais. C’était puéril et j’en étais parfaitement consciente. Est-ce que je l’admettrai pour autant ? Jamais. Hey homecoming queen look damn good in the dress zipping up the mess, dancing with your best foot forward. Did you want the crown or does it weigh you down ? Nobody's feeling sorry for you. |
| | | | (#)Mer 31 Jan 2024 - 12:48 | |
| ≈ ≈ ≈ {for folks like me on the job from 9 to 5} crédit/(kategifsrp) ✰ w/ @Cecilia Barker Avoir des responsabilités, pour toi, ça ne date pas d'hier. Avant même le diplôme, avant même le titre pompeux à souhait au sein des murs de l'hôpital, tu es un grand frère avant tout, ta première responsabilité. Un Wilson aussi, un truc que tu devrais et que tu aurais dû revendiquer selon ton paternel, mais à tes yeux, c'est juste un nom de famille. Pas de quoi remuer ciel et terre, pas de quoi s'exciter plus que mesure, pas de quoi se croire plus important, à cause, de cela. Il y a d'autres choses qui te rendent supérieur, et ton nom de famille n'est même pas en haut de cette liste-là. Et Cecilia sait à quel point tu t'adores, à quel point tu pourrais passer des heures à écouter le son de ta propre voix, et sur ce point, vous êtes un peu pareils. Vous n'êtes pas là pour ça, et tu adorerais te détendre avec elle, ne pas penser justement et oublier le monde en dehors de cette chambre à coucher. Quelqu'un en a décidé autrement, aucun doute pour toi et tant pis si cela l'a fait protester. Tu n'y peux rien, elle ne sera pas la première femme de ta vie à te le reprocher, et, chose que tu as envie de lui dire avant de continuer d'enlever ta chemise comme elle voulait le faire, ce genre d'argument a plus de poids avec la bague au doigt. Ou en ayant le même nom de famille que toi, justement. Pour l'heure, maintenant, que ton téléphone est raccroché, Cece a juste le droit à un sourire de ta part, parce que oui, tu trouves son air irrité un peu adorable. Tu es censé la prendre au sérieux ? Eh bien, ce n'est pas une opération réussie, malheureusement pas. "Le plus important et le plus indispensable, tu veux dire ? Tu as tort de l'oublier." Tu la corriges pour la bonne mesure, alors que la blonde bascule pour pouvoir te regarder toi et pas ton plafond pas très intéressant. "Le mode d'avion n'existe pas dans mon monde malheureusement, il faut que je reste joignable en cas d'urgences, et puis..." Je ne m'attends pas à ce que tu le comprennes, cela, tu le penses très fort, sûrement un peu trop fort, mais tu ne le dis pas. Parce que la blonde le sait aussi bien que toi, parce que ce serait jeter de l'huile sur le feu et que tu espères encore que le moment suivant sera agréable et que vos vêtements finiront sur le sol. Est-ce si naïf que cela de ta part ? Tu ne le penses pas, du tout, Cecilia n'a pas besoin d'entendre un constat sur sa vie et sa réalité maintenant. Tu sais qu'elle est là pour oublier ces deux choses, et que ce n'est même pas à propos de toi, un compromis qui te va très bien dans tous les cas. Qu'elle t'utilise, tu es un grand garçon, tu t'en remettras."Bref, pourquoi est-ce qu'on est en train de parler ?" C'est ça la vraie question du moment, la meilleure question, tu ne veux pas te prendre la tête avec Cecilia, vos interactions sont légères et funs, une bonne recette pour une bonne amitié. Avec des sérieux avantages, les meilleures des avantages en fait. "C'est une perte de temps colossale." Tu hoches la tête pour appuyer ton propos et tu t'empares de ton téléphone, pas pour le mettre en mode avion, mais tout simplement en silencieux. Un moyen comme un autre d'avoir un moment de paix, tout en étant toujours disponible. Tu n'y peux rien, tu es un accro du boulot, tu l'as toujours été, deux divorces et des tas de mômes n'ont jamais changé ce simple fait. Alors Cecilia a beau avoir un élégant sourire, une bouille adorable quand elle est frustrée, et une jolie paire de jambes qu'elle devrait passer autour de ta taille, même elle, elle ne pourra pas changer ce simple fait. "Et on ne va pas se mentir, devenir neurochirurgienne ça ne t'intéresse pas là tout de suite, n'est-ce pas ?" Tu le dis avec un simple sourire, te penchant déjà vers son visage, histoire de lui piquer un baiser supplémentaire, et de véritablement mettre fin à cette conversation. |
| | | ÂGE : 35 ans (24.05.89) SURNOM : CeCe, plus ususel que Cecilia - Javotte lui sied plutôt bien STATUT : Célibataire. It's not about the money, money, money...mais si en fait. MÉTIER : Serveuse au rabais au DBD LOGEMENT : #406 montague road - west end. Glow up : le nouvel appart. Glow down : Finnley en colocataire. POSTS : 1155 POINTS : 100 TW IN RP : age gap, chantage ORIENTATION : J'aime tout le monde. RPs EN COURS : Danaë - Chris - Raelyn #2 - Finnley #3
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AVATAR : Brianne Howey CRÉDITS : wild heart (avatar), endlesslove (sign) goatsandgangsters (gifs) DC : Natalia Jarecki INSCRIT LE : 07/04/2020 | (#)Lun 12 Fév 2024 - 20:13 | |
| for folks like me on the job from 9 to 5 crédit/(drvgonqueen) @Heath Wilson "Le plus important et le plus indispensable, tu veux dire ? Tu as tort de l'oublier. " « Ca me paraissait évident. » On jouait tellement sur le poids et l’importance de nos personnes respectives que j’en venais parfois à oublier s’il s’agissait encore d’humour. Mais pour l’heure je levais les yeux au ciel pour appuyer le fait qu’il s’agissait bien là d’ironie. Hors de question de lui accorder ce genre de crédit alors qu’il venait de faire passer un appel téléphonique avant moi. Et hors de question de lui accorder ce genre de crédit en toute circonstance finalement. "Le mode d'avion n'existe pas dans mon monde malheureusement, il faut que je reste joignable en cas d'urgences, et puis... " Ergh. J’ai beau savoir qu’une urgence médicale était un parfait argument pour corroborer ses dires et justifier un appel mais surtout un départ précipité si cela le nécessitait, je préférais soupirer à l’idée qu’il parvienne à se rendre important de la sorte. Parce que ça ne faisait que me rappeler ma propre situation et le fait que j’étais bien loin d’être indispensable à qui que ce soit à présent. Et cette phrase laisser en suspens ? Il savait pertinemment ce qu’il faisait. Et il avait parfaitement raison de s’arrêter là dans son fil de pensée. Mais ça ne suffit pas à empêcher mes sourcils de se froncer, renforçant un peu plus encore mon agacement envers lui. " Bref, pourquoi est-ce qu'on est en train de parler ? " « Bonne question en effet. » Parce qu’on n’était pas là pour ça. Et parce que vu la direction que cette discussion était en train de prendre et considérant l’état d’esprit dans lequel j’étais à présent, il ne me fallait plus grand-chose avant de partir au quart de tour. Et qu’il serait dommage de partir en claquant la porte sans avoir pu au préalable profiter de l’activité qui nous attendait. D’abord la partie fun. Après l’engueulade. Ca n’était que dans ce sens-là que ça valait le coup. "C'est une perte de temps colossale. " Je hochais la tête à mon tour, jugeant (objectivement évidemment) qu’il venait d’avancer l’argument le plus convaincant de la soirée. "Et on ne va pas se mentir, devenir neurochirurgienne ça ne t'intéresse pas là tout de suite, n'est-ce pas ? " Pardon ? Je répondis à son baiser, probablement un peu plus brusquement qu’à la normale sous le coup de l’impatience mais aussi de l’irritation. J’étais de moins en moins sûre de vouloir faire passer la partie fun avant la partie engueulade à présent. Ma main droite passa derrière sa nuque, l’empêchant superficiellement de se dérober une nouvelle fois pour une quelconque urgence. Mais je détachais mon visage du sien de quelques centimètres pour plonger mon regard dans le sien. Mon langage corporel était aussi contradictoire que mon envie de de l’attirer à moi et celle de le repousser avec exaspération pour l’envoyer bouler. « Qu’est-ce que t’essayes de dire là exactement ? » Il ne m’avait pas fallu plus que les quelques secondes de ce dernier baiser pour que mon ego et toutes mes frustrations ne fassent ressurgir des barrières qu’il allait violemment se prendre : « Que je suis trop stupide pour ça ? Que les longues études ça serait pas pour moi ? Que je ne suis bonne qu’à servir du mauvais café et que les responsabilités inhérentes au personnel hospitalier c’est en dehors de mes capacités ? » Pas la moindre trace d’un sourire sur mon visage. Je restais pourtant très proche physiquement de lui, dans l’attente de sa réponse pour déterminer ce qui allait suivre. Engueulade ? Partie fun ? Dur choix Heath, n’est-ce pas ? Hey homecoming queen look damn good in the dress zipping up the mess, dancing with your best foot forward. Did you want the crown or does it weigh you down ? Nobody's feeling sorry for you. |
| | | | (#)Lun 26 Fév 2024 - 21:05 | |
| ≈ ≈ ≈ {for folks like me on the job from 9 to 5} crédit/(kategifsrp) ✰ w/ @Cecilia Barker Certaines choses ne changent pas. Et les années ont beau être passées par là, dans ton cas, tu t'y prends toujours comme un pied quand il s'agit de s'adresser aux femmes. Tu es même un expert quand on regarde ta vie amoureuse : deux divorces, des cœurs brisés et beaucoup de disputes, le dernier divorce en date même s'il remonte à quelques années est encore frais dans ta mémoire. Donc non, en tant que partenaire, tu n'excelles pas, tu le sais que ton ego et ton métier sont deux choses dont tu ne peux pas te passer et que tu mets en avant. Plus que les sentiments amoureux et plus que de la considération que tu devrais avoir pour une potentielle petite amie ou une femme. Mais ce n'est pas de cela dont il s'agit avec Cecilia, c'est purement physique premièrement et ensuite, elle sait exactement qui tu es. Et dans quoi elle met les pieds dès qu'elle passe la porte de ta maison, tu n'as pas besoin de faire semblant avec elle, pas besoin de lui promettre des choses que tu ne feras jamais. C'est un accord tacite passé entre vous deux et que tu scelles une fois de plus alors que vos lèvres se rencontrent. Avec un peu plus de force que tu ne l'aurais imaginé, mais tu peux t'adapter. Tu es distrait pendant un instant par la main de la jeune femme dans ta nuque. C'est elle qui met fin au baiser, est-ce pour suggérer que vous vous débarrassiez du reste de vos vêtements ? Non, du tout, elle répond à ta question par une autre question."Hmm ?" Autant dire que tu étais à des lieux de cette conversation maintenant, et les prochaines questions de la part de la blonde change totalement l'atmosphère."Il se passe quoi là?" Totalement par le coup et à quelques centimètres de son visage, tu pousses un long soupir, avant de te redresser. En position assise sur le lit, tu tournes la tête, sur ta droite, pour pouvoir regarder Cécilia. Et aussi lui dire qu'elle vient de tout faire foirer, comme ça, juste avec quelques questions."Okay, je vais reposer la question: il se passe quoi au juste ?" L'univers a décidé que non, tu ne passerais pas une bonne soirée. Tes heures de repos sont comptées, elle ne s'imagine même pas à quel point, et n'importe quel moment passé en dehors de l'hôpital est une véritable bénédiction... tu ne voulais pas perdre ce temps-là en te disputant avec Cecilia, qui n'est pas si importante que cela dans ta vie. Non, elle ne l'est pas, tu pourrais lui demander de reprendre ses affaires et de déguerpir, et ce, sans aucun remord. "Cece, je ne t'ai pas invité pour me prendre la tête sur ce qui se passe en dehors de cette chambre à coucher... ou ce qui se passe en dehors de ce lit d'ailleurs." Tu as même un petit rire nerveux à la fin de ta phrase alors que tu finis par le dire à voix haute. Elle sait pourquoi elle est là, tu sais pourquoi elle est là, hors de question de faire semblant ou même de se voiler la face. Tu n'avais pas envie de réfléchir autant pendant ton jour de repos."Je ne te lançais pas une perche pour me moquer de toi ou te rabaisser." Oui, tu as un métier à hautes responsabilités, ça a toujours été le cas depuis qu'elle te connaît, ça sera toujours le cas. Si cela heurte son petit ego fragile... alors elle n'a absolument rien à faire ici, vraiment pas, que tu penses un brin amer. Tu finis par te lever, par pour récupérer ton téléphone cette fois-ci, mais pour te passer les deux mains sur ton visage, alors que tu réfléchis à toute vitesse. "On sait tous les deux que si c'était ce que je voulais faire, tu serais la première au courant." Déjà, et tout ceci est complètement stupide, et même un peu immature."Donc est-ce qu'on peut passer à autre chose, hmm?" |
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AVATAR : Brianne Howey CRÉDITS : wild heart (avatar), endlesslove (sign) goatsandgangsters (gifs) DC : Natalia Jarecki INSCRIT LE : 07/04/2020 | (#)Mer 17 Avr 2024 - 19:30 | |
| for folks like me on the job from 9 to 5 crédit/(drvgonqueen) @Heath Wilson Y avait-il un bon moment pour faire preuve de mauvaise foi ? Tous les moments n’étaient-ils pas propices à ça finalement ? C’est le parti que j’avais décidé de prendre aujourd’hui en tout cas. Et Heath allait en faire les frais (non pas qu cela m’atteigne d’une quelconque manière). "Okay, je vais reposer la question: il se passe quoi au juste ? " « Il se passe que tu joues au con. » Faux. Pour une fois, vraiment pas. Mais visiblement j’avais envie de le confronter gratuitement et le coup était parti. Trop tard pour faire marche-arrière. J’avais presque des scrupules à lui faire passer un mauvais quart d’heure (non, pas du tout) quand je pouvais aisément comprendre que ses journées étaient particulièrement difficiles en ce moment. Son langage corporel laissait à penser qu’il avait probablement abandonné la perspective de passer une bonne soirée. Je doutais fortement du fait qu’il me réinvite dans les temps prochains quand il n’aurait probablement aucun mal à en trouver une autre tout aussi divertissante et beaucoup moins bavarde. "Cece, je ne t'ai pas invité pour me prendre la tête sur ce qui se passe en dehors de cette chambre à coucher... ou ce qui se passe en dehors de ce lit d'ailleurs. " Je le laissais s’exprimer avec des arguments somme toute logiques et entendables. Dommage pour lui, ça n’était pas l’état d’esprit dans lequel j’avais décidé d’aborder la soirée. Je l’observais se lever, prompt à prendre physiquement de la distance avec la situation que je venais de créer. Je croisais les bras sur ma poitrine sans le quitter des yeux avant de répondre : « Oui on sait tous les deux pourquoi on est là. Non on peut pas passer à autre chose. » Pourquoi faire simple, calme et serein quand on pouvait faire compliqué, gratuitement violent et sous tension ? « A aucun moment je n’imagine notre relation autrement. On en tire tous les deux ce dont a envie quand on en a envie. Mais je t’avoue que là tout de suite, je peux pas m’empêcher de me demander si je pourrais être autre chose que ton booty call. » Ola. Les mots m’échappaient un peu trop vite et je n’avais pas envie que mes paroles soient mal interprétées : « Pas parce que je le veux soyons clairs. Mais parce que j’ai la désagréable impression que tu me considères pas suffisamment pour pouvoir imaginer un seul instant être autre chose qu’un booty call. » Parce qu’il ne considérait probablement pas que j’étais suffisamment cultivée. Suffisamment intelligente. Suffisamment à sa hauteur. Pourquoi est-ce que je me sentais soudainement rabaissée là où toutes les piques qu’il avait pu me lancer par le passé ne m’avaient jamais affectées ? Est-ce qu’être une serveuse de bas-étage dans un café peu glorieux avait enfin fini par atteindre mon ego ? Je me levais du lit sans me rapprocher de lui pour autant, mais pour au moins avoir l’impression d’être au même niveau que lui physiquement. Les traits de mon visage exprimaient tout le sérieux de la question (sortie de nulle part) que je m’apprêtais à lui poser : « Est-ce que tu considères que je suis juste une potiche qui a l’avantage de faire jolie à ton bras, mais qui n’arrivera probablement jamais à rien dans sa vie ? » Il n'y avait qu’une seule bonne réponse à cette question. Hey homecoming queen look damn good in the dress zipping up the mess, dancing with your best foot forward. Did you want the crown or does it weigh you down ? Nobody's feeling sorry for you. |
| | | | (#)Mar 7 Mai 2024 - 22:31 | |
| ≈ ≈ ≈ {for folks like me on the job from 9 to 5} crédit/(kategifsrp) ✰ w/ @Cecilia Barker Tu es bon quand il s'agit de te prendre la tête avec les femmes de ta vie. Tellement doué que tu as déjà divorcé deux fois. C'est assez pour comprendre un message très clair : tu n'es pas fait pour être en couple. Alors tu n'essayes même pas, tu n'es pas un bon mari, encore moins un bon père, tout ce que tu sais faire, c'est être médecin. En dehors de l'hôpital ? Tu n'as pas envie de te prendre la tête, tu veux juste te détendre, penser à autre chose qu'à la vie et la mort et maintenant... Tu pousses un soupires alors que la blonde reprend la parole. Elle t'assure qu'elle sait pourquoi elle est là. Oh vraiment ? Que tu as envie de lui demander, si c'est le cas, alors pourquoi est-ce qu'elle est en train de perdre son temps ? Tu roules des yeux, alors que tu réalises que tout ceci ne va pas se terminer comme tu le souhaites. Non, pas de fin heureuse pour toi, c'est complètement stupide, justement, mais tant pis. "Okay, on va se disputer alors..." Tu passes la main dans ta barbe alors que tu dis cela."Donc." Le simple mot est dit alors que tu poses de nouveau ton regard sur Cecilia, qui t'irrite vraiment à cette seconde précise. Tu ne sais pas ce qu'elle cherche à faire, si tout ceci va lui donner l'impression d'être super importante. Peu importe en fait, tu n'es pas son psychiatre, tu n'as pas cette qualification là et encore heureux, tu n'aurais pas la patiente de faire ça tous les jours. Et d'écouter les états-d'âme des gens ainsi que leur petit problème sans conséquence. Ou ceux qu'ils s'inventent, comme c'est le cas pour la jeune femme."Si je résume bien, tu veux qu'on se prenne la tête, à cause d'hypothèses. Alors que je ne cherche pas à être en couple, et toi non plus..." Elle vient elle-même de le dire, elle n'est pas intéressée par cela, toi non plus. Est-ce que c'est un truc de femmes de penser à des et si, et toutes les possibilités et les ramifications d'une situation ? Ouais, ça doit forcément être le cas, si c'était un homme que tu avais ramené chez toi, vous ne seriez pas en train de parler, du tout. "Je vais répondre à tes interrogations par une autre : tu réalises à quel point c'est stupide ou ...?" Tu as même un léger rire à la fin de ta phrase, pas parce que tu trouves ça drôle, mais bien le contraire. Ce n'est pas drôle, c'est stupide et tu as presque envie d'ajouter que si elle se prend la tête à ce point-là, c'est parce qu'elle a du temps libre. Tu ne le fais pas, pas besoin de remuer le couteau dans la plaie, à la place, tu lui balances une autre série de questions, histoire qu'elle ouvre les yeux, toute seule comme une grande. "Qu'est-ce que mon honnêteté va me rapporter ? Et pourquoi, pourquoi, tu te soucies de ce que je pense de toi ?" Tu hausses les sourcils la seconde suivante, qu'elle arrête de se prendre la tête, ouais, tu crois important au possible, mais ça n'affecte que toi. "Non parce que je vais te le dire de suite Cecilia, que tu ne me considères pas comme un bon parti ne va pas m'empêcher de dormir la nuit... du tout même."
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| | | ÂGE : 35 ans (24.05.89) SURNOM : CeCe, plus ususel que Cecilia - Javotte lui sied plutôt bien STATUT : Célibataire. It's not about the money, money, money...mais si en fait. MÉTIER : Serveuse au rabais au DBD LOGEMENT : #406 montague road - west end. Glow up : le nouvel appart. Glow down : Finnley en colocataire. POSTS : 1155 POINTS : 100 TW IN RP : age gap, chantage ORIENTATION : J'aime tout le monde. RPs EN COURS : Danaë - Chris - Raelyn #2 - Finnley #3
RPs TERMINÉS : Celyn #1 - Diego #1 - Heath #1 - Javotte&Anastasie #1 - Finn #1 - Millie #1 - Heath #2 - Finn #2 - Raelyn - Millie #2 - Kieran - Mateo - Diego #2 - Sergio
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Ninaze - Greta
AVATAR : Brianne Howey CRÉDITS : wild heart (avatar), endlesslove (sign) goatsandgangsters (gifs) DC : Natalia Jarecki INSCRIT LE : 07/04/2020 | (#)Mer 15 Mai 2024 - 20:09 | |
| "Okay, on va se disputer alors... " « Ton esprit de déduction m’étonnera toujours. » Oui, autant ajouter tout de suite de l’huile sur le feu pour partir sur de bonnes bases. Même si je ne suis pas certaine qu’éviter cette provocation aurait changé le regard qu’il posait sur moi à cet instant précis. Oh, il était saoulé le pauvre chaton. Et bien moi aussi. Et en partie parce que mon propre comportement m’exécrait. Pourquoi est-ce que j’avais ressenti le besoin de gâcher un moment qui aurait pu être plaisant et sans prise de tête pour tous les deux tout ça pour une histoire…d’états d’âme ? Ca ne me ressemblait pas. ." Si je résume bien, tu veux qu'on se prenne la tête, à cause d'hypothèses. Alors que je ne cherche pas à être en couple, et toi non plus... " Je hochais la tête, les bras fermement croisés sur ma poitrine et un air résolument contrarié sur le visage. Oui c’était des hypothèses. Et qu’est-ce qu’on en avait à foutre des hypothèses ? Je n’en avais strictement aucune idée. Donc oui, on en était là, je n’avais aucune idée de pourquoi j’avais lancé les hostilités si rapidement si ce n’était que je m’étais sentie rabaissée quelques minutes auparavant. Et peut-être que ce sentiment n’avait pas lieu d’exister mais il était là et c’est tout ce qui comptait à mes yeux. Cela valait toutes les engueulades de la terre. "Je vais répondre à tes interrogations par une autre : tu réalises à quel point c'est stupide ou ...? " Je me mordis a langue et pinçait mes lèvres avant de laisser une nouvelle parole peu réfléchie m’échapper, mais il n’aidait clairement pas à effacer ce sentiment de low self-esteem soudain. "Qu'est-ce que mon honnêteté va me rapporter ? Et pourquoi, pourquoi, tu te soucies de ce que je pense de toi ? " Et…il avait parfaitement raison. Il me connaissait beaucoup trop bien moi et mon caractère (probablement malgré lui) et il avait tapé juste avec cette question. Qu’est-ce que j’en avais à foutre de l’avis de qui que ce soit me concernant ? Je répétais à longueur de journée à qui voulait bien l’entendre que je ne vivais pas pour le regard des autres et que leur avis ne comptait pas. And yet here we are, avec la serveuse au rabais qui tentait tant bien que mal depuis des mois de retrouver son statut d’avant. Ca n’était pas vraiment se moquer du regard des autres que d’agir de la sorte j’imagine. Même si je pouvais toujours me justifier en disant que ce qui m’importait c’était surtout de pouvoir retrouver des moyens financiers qui me permettraient de vivre la vie que je méritais (also true). « J’en sais rien putain. J’en ai vraiment rien à faire de ce que tu peux penser de moi Heath. » Alors pourquoi est-ce que j’étais en train de le faire chier avec tout ça ? Excellente question à laquelle je n’étais pas vraiment en mesure de répondre. "Non parce que je vais te le dire de suite Cecilia, que tu ne me considères pas comme un bon parti ne va pas m'empêcher de dormir la nuit... du tout même. " Fair enough. Et la réciproque était vraie. Et cette discussion n’avait pas lieu d’être dans ce cas ? « J’en ai juste marre d’être là où j’en suis ok ? De me faire rouler dessus à longueur de journée par des abrutis de clients que je suis censée respecter un minimum pour gagner un salaire de misère. Pendant que toi t’as réussi ta vie… » C’était ça le problème ? Je le découvrais en même temps que lui. Formidable. « …vie privée j’en sais rien. Mais vie pro certainement et ton putain de téléphone vient même me le rappeler. » Mollo sur les insultes CeCe non ? Non. « C’est certain que c’est pas le téléphone de la serveuse ratée qui viendra un jour interrompre une de nos parties de jambes en l’air. » Parce que j’étais indispensable à personne. Et je m’en foutais (enfin… ?). Mais vraisemblablement mon besoin de reconnaissance avait eu besoin de se faire entendre. Là. Maintenant. Et je me détestais de ne pas avoir su le contrôler. Il aurait pu exploser n’importe quand…mais devant Heath ? LA personne devant laquelle je n’avais pas l’intention de montrer une once de faiblesse parce que je ne voulais pas de sa compassion (qu’il ne m’aurait de toute manière jamais accordée) ? Putain qu’est-ce que j’étais conne. Hey homecoming queen look damn good in the dress zipping up the mess, dancing with your best foot forward. Did you want the crown or does it weigh you down ? Nobody's feeling sorry for you. |
| | | | (#)Mer 22 Mai 2024 - 14:06 | |
| ≈ ≈ ≈ {for folks like me on the job from 9 to 5} crédit/(kategifsrp) ✰ w/ @Cecilia Barker "T'es sûre et certaine de cela ?" Que tu réponds automatiquement alors qu'elle te dit qu'elle se fiche de ton opinion. Il semble y avoir un fossé colossal entre ce que la blonde avance et ce qu'elle est en train de faire. Elle en a marre, de quoi ? De toute sa vie visiblement et si tu es censé te montrer un minimum empathique, c'est tout le contraire qui se passe. Tu pousses un soupir, excédé, avant de te passer une main dans les cheveux, parce que tout est en train de déraper, et de la pire façon possible. "Oh, s'il te plait..." Le soupir se transforme en rire alors que tu attrapes ta chemise, abandonnée sur le sol, pour de nouveau l'enfiler. Pourquoi Cecilia est-elle en train de te positionner comme la personne qui pourrait résoudre tous ses problèmes ? Ou même les valider ? Tu n'en sais rien, tu t'en fous, tu ne comprendras jamais les femmes. Tu proposais quelque chose de simple, si elle ne voulait pas passer à l'acte, un simple non aurait suffit pour que tu la raccompagnes chez elle ou même que tu la laisses repartir. Tu es bien des choses mais tu n'as aucun mal à accepter le rejet, vraiment pas. "C'est bon, tu l'as ta médaille de la personne qui a la vie la plus horrible du monde. Quoi que non, tu es en bonne santé, tu as toute ta tête et tu peux littéralement faire ce que tu veux." Un haussement de tes épaules, alors que tu ris encore de l'ironie de la situation. Est-ce que sa vie est ruinée ? Non, elle est repartie de zéro financièrement mais tu l'as toujours vue comme intelligente, en plus de sa plastique, sinon tu n'aurais pas pris le temps de reprendre le contact avec elle. Tu serais passé à autre chose et ce depuis longtemps. Et elle doit bien le savoir qu'il y a tout un tas de façon de se remplir rapidement les poches. Des tas. S'il n'y a que cela qui l'embête, elle peut régler tous ses problèmes. "Maintenant, si tu t'attends à ce que je m'excuse parce que j'en suis là où j'en suis dans ma carrière après avoir bossé toute ma vie... tu peux partir tout de suite, chérie, parce que ça, ça n'est pas près d'arriver." Est-ce que tu te crois supérieur à elle ? Oui, mais ce n'est pas spécifique à elle, tu te crois mieux que tout le monde, ça a toujours été le cas, toute ta vie. Mais ton diplôme n'est pas tombé du ciel, de même que ta carrière, ça, tu ne vas pas la laisser repartir avec cette impression. "Sérieusement, Cece, je suis pas ton thérapeute, je ne suis pas ton petit-ami, si tu veux vider ton sac, va le faire ailleurs." Avoir une crise existentielle dans ta chambre à coucher ? C'est la pire idée de la décennie. "Me prendre la tête parce que tu as passé une mauvaise journée ou que y'a personne pour écouter tes problèmes.... je serais resté marié si c'était ce que je voulais." Et vous n'en êtes pas là dans votre relation, tu lui jettes un autre regard, seulement pour finir par faire quelques pas en arrière. Tu finis par ouvrir la porte de la chambre à coucher, et tu l'ouvres en grand. "Je suis sérieux... bye." Pour toi, la discussion est close et Cecilia vient de louper une belle opportunité. |
| | | ÂGE : 35 ans (24.05.89) SURNOM : CeCe, plus ususel que Cecilia - Javotte lui sied plutôt bien STATUT : Célibataire. It's not about the money, money, money...mais si en fait. MÉTIER : Serveuse au rabais au DBD LOGEMENT : #406 montague road - west end. Glow up : le nouvel appart. Glow down : Finnley en colocataire. POSTS : 1155 POINTS : 100 TW IN RP : age gap, chantage ORIENTATION : J'aime tout le monde. RPs EN COURS : Danaë - Chris - Raelyn #2 - Finnley #3
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AVATAR : Brianne Howey CRÉDITS : wild heart (avatar), endlesslove (sign) goatsandgangsters (gifs) DC : Natalia Jarecki INSCRIT LE : 07/04/2020 | (#)Mar 4 Juin 2024 - 20:46 | |
| Son rire me donnait une légère envie de poser mes doigts autour de son cou et de serrer un peu trop fort. Un geste qui aurait somme toute pu avoir sa place dans un jeu de rôle (un peu tordu, certes) sous les draps mais ça n’était clairement pas comme ça que je le voyais à présent. "C'est bon, tu l'as ta médaille de la personne qui a la vie la plus horrible du monde. Quoi que non, tu es en bonne santé, tu as toute ta tête et tu peux littéralement faire ce que tu veux. " S’il avait du temps à perdre (probablement pas vu que son temps au contraire trop important pour être gaspillé à ce genre de discussions), je pouvais lui commenter une longue liste des choses que je ne pouvais pas ou plus faire. Son attitude et ses réponses me faisaient furieusement bouillonner de l’intérieur : 1. parce que j’aurais dû les voir venir et qu’à aucun moment je n’aurais pu espérer de la compassion quand bien même j’étais toujours certaine que ce n’était pas ce que je cherchais en agissant de la sorte. 2. parce que je savais que ce qu’il disait était vrai et que si les rôles avaient été inversés je ne me serais pas gênée pour réagir exactement de la même façon. Il avait l’art et la manière de me faire sortir de mes gonds, mais aujourd’hui j’avais en plus donné le bâton pour me faire battre. Erreur de débutante. Grosse, ridicule et pathétique débutante. "Maintenant, si tu t'attends à ce que je m'excuse parce que j'en suis là où j'en suis dans ma carrière après avoir bossé toute ma vie... tu peux partir tout de suite, chérie, parce que ça, ça n'est pas près d'arriver. " C’était mon poing dans sa figure que j’avais envie d’envoyer à présent en l’entendant utiliser un sobriquet qui m’aurait déjà fait vomir en temps normal mais qui prenait en plus une connotation parfaitement condescendante dans ce contexte-là. « C’est vraiment mal me connaître que de penser que je puisse m’attendre à quoi que ce soit venant de ta part. » And yet. J’étais là à étaler mes états d’âme devant lui. "Sérieusement, Cece, je suis pas ton thérapeute, je ne suis pas ton petit-ami, si tu veux vider ton sac, va le faire ailleurs. " Fair enough. Et c’était justement parce que sa réaction était à mes yeux appropriée que je ne parvenais ni à trouver des justifications à mon comportement, ni des réparties dignes de ce nom. Mais j’avais envie de le détester aujourd’hui. Vraiment. Pour sa carrière et son succès professionnel, pour son argent, pour son appartement, pour l’assurance et l’image générale qu’il renvoyait au monde extérieur. Pour tout ce qu’il était et que je n’étais pas. Alors plutôt qu’une réponse, tout ce que je pouvais lui offrir pour le moment c’était un regard dédaigneux et une attitude définitivement fermée accompagnés d’un inutile soupire désespéré. "Me prendre la tête parce que tu as passé une mauvaise journée ou que y'a personne pour écouter tes problèmes.... je serais resté marié si c'était ce que je voulais. " Et il faisait de l’humour (plutôt drôle malheureusement) en plus. « T’es à deux doigts de me demander si j’ai mes règles pour expliquer mon comportement j’imagine ? T’es vraiment putain de pathétique Heath. » Faux. Ca c’était moi. Mais si je le disais avec suffisamment de conviction, peut-être parviendrais-je à m’en convaincre. Je l’observais se diriger vers la porte, visiblement déterminé à mettre fin à cet échange le plus rapidement possible. "Je suis sérieux... bye. " A quoi bon tenter un autre come-back quand cela resterait de toutes façons l’issue de cette conversation qui n’irait nulle part ? « Ouais, c’est ça. » j’accompagnais cette incroyable répartie d’un regard haineux dans sa direction, lui faisant finalement admirer le majeur de ma main droite avant de quitter cet abruti, cette discussion stupide, cette pièce à chier et cette journée de merde. Rien que ça. Hey homecoming queen look damn good in the dress zipping up the mess, dancing with your best foot forward. Did you want the crown or does it weigh you down ? Nobody's feeling sorry for you. |
| | | | | | | | (cecilia & heath) for folks like me on the job from 9 to 5 |
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