ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Les jours étaient passés mais n’avaient pas emporté avec eux ce sentiment d’avoir commis la pire erreur de sa vie. Il était attaché à Emery, c’était indéniable, mais l’idée de l’avoir perdue n’était pas forcément ce qui le rendait le plus amer et ce constat venait alimenter son sentiment de culpabilité encore un peu plus. C’était un mélange de divers sentiments, les uns impactant les autres, et Diego n’en pouvait plus de faire les cent pas en espérant qu’elle lui écrirait - il était évident qu’elle ne le ferait jamais. C’était Emery dont il était question et si il y avait quelque chose qu’elle aimait plus que tout au monde, c’était son égo. Alors il s’était questionné plusieurs fois sur la façon dont elle ne prenait pas soin de sa dignité, au point de se laisser aller à des plaisirs aussi dangereux sans se soucier d’être discrète ou non. Peut-être que ses connaissances en médecine l’avait aidé à réaliser, et que le reste du monde était aveugle à des détails évidents, le fait était qu’à la seconde où la réalité lui avait finalement explosée en pleine face, Diego n’avait rien su faire d’autre que d’abandonner. Mais le réel problème dans tout cela, c’était ce que l’addiction d’Emery l’avait poussé à faire et il se rendait compte à quel point il n’attendait peut-être qu’un détonateur pour se laisser aller à ses propres pulsions. Il était hypocrite, et ce n’était pas un défaut qu’il souhaitait que l’on retienne de lui, son propre égo le poussant à venir clarifier cette soirée auprès de la principale intéressée.
Il avait laissé sa main en suspens face à la porte avant d’oser y frapper, la marque de la paume de la main de son ex petite-amie s’étant estompée seulement après quelques heures. « Tu t’es pas retenue sur ce coup là, hin ? » avait-il tenté quand elle avait ouvert la porte en désignant sa joue. Il était pourtant persuadé que l’humour n’aurait absolument aucun effet sur les divers sentiments négatifs qui devaient avoir pris possession d’Emery depuis ce soir-là, mais il n’avait aucune idée de la meilleure chose à dire en guise de salutations. « Merci d’avoir bien voulu me voir. Ca sert à rien de le dire mais à moi ça me fera du bien, je suis désolé. Sincèrement désolé. Je sais pas ce qu’il m’a pris… » Il en avait discuté avec Cecilia mais les mots utilisés par son amie n’étaient pas ceux qu’il souhaitait mettre sur tout cela, surtout pas en face d’une Emery dont le regard avait changé. Ses pupilles reflétaient une part d’ombre qu’il n’avait jamais encore vue chez elle, elles pétillaient normalement toujours d’un éclat qui laissait présager les nombreux scénarios qui pouvaient avoir lieu dans l’esprit malicieux de la jeune femme. Le constat l’avait amené à baisser la tête et à en profiter pour lancer un soupir, comme s’il voulait évacuer toute la pression qu’il ressentait à l’idée de devoir affronter sa propre culpabilité. « Tu veux savoir le plus drôle dans tout ça ? » Emery n’en avait aucune envie, son front plissé et son air supérieur qui lui donnaient envie de faire marche arrière et de ne plus jamais essayer de la contacter parlaient à sa place. Pourtant, il avait continué, ignorant les signaux que la blonde lui envoyait parce qu’il y avait une certaine importance à ce qu’il allait dire. « C’est que t’es la seule personne avec qui j’aurais envie de parler du problème. » Ce n’était pas totalement vrai, il avait appelé Cece en premier, mais le point de vue d’Emery était devenu au fil des mois celui qui comptait le plus. Rien n’avait changé, si ce n’est le fait qu’elle devait de son côté maintenant le classer au plus bas dans son estime.
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always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Since you burned me at the stake, all of my feelings went away. There’s no feelings in my way, at least there’s no feelings in my way… I was there when you were blind to everything that I could see. I'll pretend that it's just me. But maybe really it's just me. I forgot what it was like to think I found you finally. What if you were the one for me? I hope you weren't the one for me
Dire qu’Emery était d’une humeur massacrante depuis quelques jours aurait été un euphémisme. Son cœur était instable sur le sujet, incapable de choisir entre la douleur ou la colère. Tout ça à cause de la trahison. Elle aurait aimé dire qu’elle s’en fichait, que cette relation ne signifiait pas tant de choses pour elle, que c’était bien mieux d’être à nouveau célibataire et de pouvoir faire ce qu’elle voulait, avec n’importe qui. Em n’avait pas attendu deux jours pour retourner dans une soirée et se faire un malin plaisir de laisser la danse se solder sur des baisers langoureux avec un parfait inconnu. Le problème étant que cela ne lui avait apporté aucun réconfort. Une fois seule, elle revoyait en boucle la scène de ce baiser, tentant de comprendre comment ça avait pu arriver. Elle n’était pas la meilleure copine et Diego l’avait rendu clair, il n’aimait pas qu’elle consomme de la drogue. Mais à part ça ? Il lui disait l’aimer, la traitait comme une princesse, lui offrait tous les égards, et avait l’air de sincèrement penser chaque compliment qu’il lui avait fait. Leur relation n’était pas parfaite, mais elle tenait la route jusqu’à cette soirée-là. Par fierté, Em avait refusé d’adresser la parole à Diego depuis la soirée. Elle ne l’avait pas bloqué mais juste ignoré ses messages, ses appels, et toute tentative de communication. Elle ne s’était résolue à lui répondre qu’une fois qu’elle avait considéré qu’il l’avait assez suppliée, chose qu’elle avait regretté presque instantanément en réalisant qu’il allait passer la porte de chez elle, qu’ils allaient devoir se revoir et parler. La jeune femme était plus à l’aise avec sa colère qu’avec des vérités qui risquaient de blesser. Qu’y avait-il à dire, après tout ? Elle ne lui pardonnerait pas. Elle ne voulait pas entendre ses arguments. C’était faible de sa part d’accepter de le laisser venir, et qu’il lui rapporte les rares affaires oubliées chez lui n’adoucissait pas sa décision. Em avait fait le nécessaire pour qu’aucun de ses colocs ne soit là et quand le coup tant redouté frappa à la porte, ce fut avec un air pincé qu’elle se résigna à ouvrir. Voir le visage -souriant, qui plus est- de Diego lui serra le cœur, lui donnant une envie irrépressible de lui claquer la porte à la tronche. Encore plus avec sa vanne, comme si tout cette situation était drôle. « Tu t’en est bien sorti. » lâcha-t-elle en guise de réponse, sans l’ombre d’un sourire sur son visage. Elle n’était pas exactement violente mais le mexicain aurait pu être une parfaite exception à la règle. Dans mouvement d’assez mauvaise volonté, Em s’éloigna de la porte pour le laisser entrer. La blonde aurait aimé qu’il attende qu’elle ait le dos tourné pour prononcer ces excuses qui semblaient cruellement vides de sens. Il était désolé. Tant mieux pour lui. « Et qu’est-ce que je fais de ça, moi ? » Elle lui pardonnait ? Ils se remettaient ensemble ? Tout s’arrangeait, et elle ne lui en voudrait pas ? C’était terminé entre eux, fin de l’histoire. Il l’avait trompée et trahi sa confiance, il n’y avait rien à rajouter. Surtout s’il était gay, elle ne pourrait clairement pas rivaliser. Qu’il trouve quoique ce soit de drôle à la situation lui fit froncer les sourcils, l’irritation certainement facile à lire sur ses traits. La Dawson tint sa langue pour ne pas le dissuader de continuer, mais cette retenue ne survit pas à ces violons sortit. A quel moment pouvait-il penser qu’elle allait le croire ? Si elle avait été aussi importante, il ne l’aurait pas insultée de la sorte en allant embrasser le premier type dans ce bar. « T’as raison, c’est drôle. Parce que j’ai vraiment pas envie d’entendre tes états d’âme, pour un peu que tu en aies vraiment. » Elle n’avait jamais douté de sa sincérité avant, jamais. Mais maintenant qu’elle le savait capable de mentir (ou de se mentir) les yeux dans les yeux, elle ne lui accorderait plus ce crédit. « J’ai qu’une seule question, je pense. Pourquoi t’as fait ça ? Tu voulais te venger de ta copine camée, ou t’es juste un gay refoulé ? » Parmi toutes les hypothèses possibles, c’était les seules qui semblaient vraiment plausibles. « Et s’il te plaît, pas d’excuses à sortir les violons. J’ai pas cette patience. C’est pas comme si il restait un truc à sauver entre nous. » Il n’y avait pas de retour en arrière possible. « Ou, et c’est une autre hypothèse, tu savais pas comment me larguer, t’as bu un peu d’alcool et ça t’a fait pousser des ailes donc t’as enfin osé faire quelque chose. » Quoiqu’il en soit, elle ne l’épargnerait pas. Elle pouvait être un peu revancharde.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Il n’y avait aucune manière idéale d’appréhender le problème et de tenter de le régler. Déjà, il était clair que rien ne serait jamais totalement réglé, ils ne pourraient pas se remettre ensemble parce qu’Emery avait bien plus de fierté que cela et parce que Diego n’en avait pas envie. Il avait honte, il était en colère contre lui-même et il savait que cet écart de conduite dissimulait quelque chose de plus profond qui l’empêcherait de redevenir le petit-ami qu’il avait essayé d’être. Et d’un autre côté, Diego n’aurait jamais pu anticiper être un jour dans cette position, du côté de celui qui blesse et qui trompe. Le visage d’Emery montrait toute sa colère et sa tristesse, quand bien même elle faisait de son mieux pour dissimuler ces sentiments et la punition avait été instantanée. Il détestait la voir comme ça. Il n'avait pas cessé de l'aimer, ne l'avait pas quittée, il avait seulement fait une grave erreur alors tout ce qu’il avait toujours ressenti pour elle ne s’était pas évaporée en un claquement de doigts. « Tu t’en est bien sorti. » Sur ce point, ils auraient pu s’accorder, le mexicain prêt à dire qu’une gifle n’était qu’une faible répercussion face à ses agissements. Bien sûr qu’il avait tenté de se mettre à sa place, repassant la scène dans son esprit pour tenter d’y mettre un sens et de trouver les mots qui apaiseraient Emery. Mais rien n'était ressorti de tout cela, si ce n'est le besoin de venir discuter de ce qu'il s'était passé en face à face, malgré la conviction que tout cela serait inutile. « Et qu’est-ce que je fais de ça, moi ? » Ses excuses ne servaient à rien, mais quelle autre option avait-il que de commencer la discussion par les lui offrir ? « J’en sais rien mais tu les mérites. » Les mains dans les poches, Diego avait haussé les épaules en tentant de trouver le regard de la jeune femme. Elle, elle le fuyait, et c’était maintenant qu’il était face à elle qu’il prenait conscience de cette désagréable sensation de vide dans sa poitrine. Il avait déjà imaginé Emery s’échapper mais il avait précipité cette fuite et s’en mordait les doigts parce qu’il ne récolterait rien de bon en retour, ce baiser étant insignifiant. Il se jurait qu’il l’était. « T’as raison, c’est drôle. Parce que j’ai vraiment pas envie d’entendre tes états d’âme, pour un peu que tu en aies vraiment. » Dire que quoique ce soit était amusant n’était qu’une figure de style, mais cela apparaissait comme une énième maladresse et Diego savait qu’il n’aurait que très peu de tentatives pour tenter de faire les choses correctement alors il devait se reprendre. « J’ai qu’une seule question, je pense. Pourquoi t’as fait ça ? Tu voulais te venger de ta copine camée, ou t’es juste un gay refoulé ? » La seconde partie l’avait blessé mais il n’était pas en position de se plaindre, elle avait toutes les raisons du monde de s’autoriser à lui lancer ces mots au visage. « Et s’il te plaît, pas d’excuses à sortir les violons. J’ai pas cette patience. C’est pas comme si il restait un truc à sauver entre nous. » Cette affirmation, même s’il avait pu l’anticiper, avait été l’ultime coup de couteau et son visage s’était crispé, ses poings s’étaient serrés. Quelque chose s’était brisé et l’entendre des lèvres d’Emery lui donnait une vague idée de ce qu’elle avait pu ressentir cette soirée-là. « Ou, et c’est une autre hypothèse, tu savais pas comment me larguer, t’as bu un peu d’alcool et ça t’a fait pousser des ailes donc t’as enfin osé faire quelque chose. » avait-elle continué avant qu’il n’ait réussi à commencer ses explications. Laissant quelques secondes passer pour s’assurer qu’elle avait terminé, Diego avait poussé un long soupir avant de parler à son tour. « On sait tous les deux que rien ne peut expliquer ce que j’ai fait. Je sais que toute cette conversation va sembler dérisoire, que le mal est fait, qu’on s’est perdus définitivement et de la pire manière qui soit. » Il cherchait deséspèrement son regard pour lui accorder l’importance dont elle avait été privée ces jours-ci et pour qu’elle saisisse sa sincérité. « J’avais rien anticipé, que ce soit de mal me comporter avec toi ou de faire ça avec … avec.. Peu importe. » Il avait ajouté un mouvement de la main pour conclure sa phrase, balayant ce qu’il ne s’autoriserait pas à dire. « J’ai pas envie que tu doutes de moi, de ce qu’on avait. On a eu cette discussion juste avant mais ça n’a rien à voir, je me suis pas donné le droit de te faire ça car tu m’as déçu ou quoi. » Il refusait de se donner l’excuse toute trouvée de l’avoir surprise en train de sniffer de la cocaïne pour justifier l’avoir trompée - il s’était éloigné de sa ligne de conduite mais il avait très vite repris ses valeurs. Même l'alcool qu'elle lui avait fait boire et qui avait probablement altéré son jugement et participé à ce sentiment éphémère d'euphorie ne rentrerait pas dans ses excuses. Il avait choisi de venir se confronter à Emery et ce n'était pas pour lui sortir des excuses toutes trouvées mais ce qu'il lui exposait n'était guère plus recevable. « J’ai foiré Em. Je sais pas ce qu’il m’a pris, joder. » Diego était venu se pincer l’arête du nez et cette fois-ci, il était celui qui tentait de fuir le regard de son ex petite-amie qui lui rappelait qu’il venait peut-être de tirer un trait sur quelque chose de réel.
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Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
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Since you burned me at the stake, all of my feelings went away. There’s no feelings in my way, at least there’s no feelings in my way… I was there when you were blind to everything that I could see. I'll pretend that it's just me. But maybe really it's just me. I forgot what it was like to think I found you finally. What if you were the one for me? I hope you weren't the one for me
Elle aurait aimé paraître impassible Emery, se comporter comme si toute cette histoire ne l’avait pas affecté. Elle aurait voulu pouvoir prétendre que cela lui était égal que Diego fasse partie de sa vie ou non. Mais elle sentait que tout dans ses mots et dans son langage corporel la trahissaient. Elle était blessée, ce qui, en soit, n’était pas une première. Elle était habituée aux histoires foireuses et aux peines. Elle n’aurait juste pas songé que quelqu’un comme Diego lui infligerait la même chose un jour. C’était ce qui l’énervait le plus avec ces excuses. C’était facile de lui dire cela maintenant que les dégâts étaient faits. Elle voulait croire qu’il était rempli de bonnes intentions sauf que malheureusement, cela ne suffisait pas à la calmer ou à arranger quoique ce soit. Elle se contenta de se pincer les lèvres pour retenir le fond de sa pensée, quoique cela ne dura pas longtemps. Elle avait un million de questions sur pourquoi ce baiser était arrivé, et des sentiments contradictoires entre le dépit qui la pousserait à juste abandonner, et la rancune qui lui donnait envie de le blesser par tous les moyens qui lui seraient offerts. Encore quelques jours plus tôt, la blondinette aurait juré que le Gutiérrez était un homme de principes incapable du moindre vice. C’était dur de lui accorder cette même crédibilité quand elle avait vu une tout autre facette de sa personne. Son visage était familier et inconnu à la fois. C’était une sensation étrange, d’autant plus qu’elle se rappelait très bien qu’encore peu temps avant, il lui inspirait de la joie, du réconfort, de l’affection. Peut-être un peu d’amour, à sa manière. Maintenant, il ne restait plus que des explications qui se succédaient, des faits qui devaient sonner comme une vérité. Elle n’avait même plus envie d’exprimer son sarcasme, trop occupée à douter de ce qu’il lui racontait. Pas du fait que c’était terminé entre eux ou qu’il n’avait rien prévu, ça, elle lui accordait volontiers. Mais que ses actions n’aient pas été motivées par leur accrochage, elle n’y croyait pas une seconde. Il était agacé, frustré, il avait eu une opportunité qui collait visiblement à ses goûts, il y était allé. Bras croisés sur la poitrine, la blondinette se sentait juste engourdie, incapable de vraiment réagir ou de ressentir de la peine pour ‘air théâtral de l’homme honteux. Elle le dévisageait juste, et il lui fallut plusieurs secondes avant de réaliser que c’était à elle de parler. « Ok. » Le mot franchit ses lèvres dans une voix neutre, quoique fatiguée. Elle cherchait comment formuler ses pensées et c’était bien plus compliqué qu’elle ne l’aurait cru. « Je sais pas ce que t’attends de moi, Diego. Je vais pas soulager ta conscience. » Il ne le méritait pas et elle était incapable de lui dire que ce n’était pas grave. Ce n’était certes pas la fin du monde mais c’était la fin d’eux deux et elle accusait encore le coup. « Ou te pardonner. Quoiqu’on ait eu, c’était pas assez important pour que tu y restes fidèle. » Il l’avait trompée sur un coup de tête. Elle n’avait été témoin que du baiser, mais qui sait jusqu’où ils auraient pu aller ? « Je peux m’en prendre qu’à moi-même pour avoir pensé que t’étais différent, juste parce que tu présentes bien et que t’es un beau parleur. » Em était tombé dans le panneau d’une manière magistrale. Les compliments, les gestes galants, les promesses, elle avait tout avalé. Il l’avait aveuglée alors même qu’ils savaient pertinemment qu’ils n’étaient pas voués à durer. Ils étaient trop différents et leurs projets bien opposés. Pour autant, il avait rendu aisé le fait de se voiler la face et de se dire qu’ils avaient du temps, et que peut-être qu’ils s’en sortiraient. Il fallait croire que cette relation avait eu plus d’importance qu’elle n’avait bien voulu l’admettre. « C’était la première fois ? » Il n’y avait plus rien à perdre à demander. Dans un sens, il lui rendrait une faveur à retourner le couteau dans la plaie jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus le regarder dans les yeux et parvienne à le détester de toutes ses forces.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Diego Gutiérrez
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ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
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C’était une prise de conscience de taille, celle qui le laissait entrevoir une partie de lui qu’il n’aurait jamais souhaité connaître. Et c’était égoïste mais Diego n’était pas totalement sûr d’être plus anéanti par le fait d’avoir perdu Emery que par le fait d’avoir trahi ses propres principes et de maintenant devoir faire face à cette facette de sa personnalité. Il devrait se regarder dans le miroir et y voir un homme capable de tromper. Tout cela n’était qu’une maigre torture à côté de l’obligation de vivre avec la pensée d’avoir été capable de franchir une telle étape avec quelqu’un du même sexe, un point qui l’empêchait de penser correctement. « Ok. » avait-elle lancé après qu’il ait mis fin au flot de ses paroles. « Je sais pas ce que t’attends de moi, Diego. Je vais pas soulager ta conscience. » S’il ne connaissait pas par cœur l’égo de son ex petite-amie, il aurait tendu le bras pour attraper sa main et donner plus d’impact à ses mots. Ce soir-là, en lui laissant entrevoir la part sombre qui planait en elle, Emery avait brisé quelque chose et il avait été le premier à se sentir trahi. Maintenant que les jours avaient passé et qu’il avait trouvé tout le courage pour venir sonner chez elle, elle lui apparaissait comme une femme à qui on avait arraché une partie de sa confiance en elle et être le coupable de cet air frustré sur son visage le contrariait énormément. « Ou te pardonner. Quoiqu’on ait eu, c’était pas assez important pour que tu y restes fidèle. » Ces mots là l’avaient blessé, énormément, parce que Diego n’avait jamais vu cette relation autrement que comme importante. Mais il ne pouvait que la laisser dire, et il s’étonnait même de ne pas la voir déverser encore plus de haine compte tenu des événements. « Je suis pas venu dans mon intérêt mais dans le tien. » Il avait soupiré tant chacun de ses mots semblait être récité après de longues minutes à les répéter devant un miroir. Il se sentait ridicule. « J’ai pas envie que tu penses ça, c’est pas le cas. » avait-il commencé avant qu’Emery ne poursuive. « Je peux m’en prendre qu’à moi-même pour avoir pensé que t’étais différent, juste parce que tu présentes bien et que t’es un beau parleur. » Ce serait dorénavant l’image qu’elle garderait en tête de celui qui avait partagé plusieurs mois à ses côtés en s’efforçant de la traîter aussi dignement que ses valeurs le lui indiquaient. C’était difficile à accepter, probablement irréparable, et malgré l’envie du mexicain de redorer son image, il lui était impossible de faire passer ses états d’âme avant celles d’une Emery bien plus blessée qu’elle ne le dirait jamais. « C’était la première fois ? » Il n’avait pas eu le temps de trouver les mots justes, la question était tombée et l’avait désarçonné. « Oui, bien sûr oui, qu’est ce que tu t’imagines… » Son ton s’était fait bien plus accusateur qu’il ne l’aurait voulu et il s’était immédiatement radouci. « La première fois de toute ma vie et je me déteste de nous avoir infligé ça à tous les deux. A moi parce que je vais devoir avancer avec ça sur la conscience mais surtout à toi. » Sa gorge s’était nouée alors qu’en prononçant ces mots tout haut l’ampleur qu’avait pris la blonde dans sa vie lui avait éclaté à la figure. « T’étais pas seulement ma copine, Em’. T’étais bien plus que ça. Tu seras toujours bien plus que ça. » Il retenait ses larmes non pas par fierté mais pour ne pas donner l’impression à Emery de tenter de l’amadouer mais une chose était sûre, la réalisation de ce qui était réellement en train de se passer le tiraillait bien plus qu’il ne l’aurait anticipé.
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Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Since you burned me at the stake, all of my feelings went away. There’s no feelings in my way, at least there’s no feelings in my way… I was there when you were blind to everything that I could see. I'll pretend that it's just me. But maybe really it's just me. I forgot what it was like to think I found you finally. What if you were the one for me? I hope you weren't the one for me
Elle avait pris l’habitude d’avoir des papillons dans le ventre quand elle regardait Diego et quand elle se rappelait qu’il était sien. Sa présence était apaisante, avant. Mais il ne restait rien de tout ça. Elle le fixait et se sentait juste… vide. Comme si son cœur avait déjà compris que cela ne servait plus à rien de ressentir un quelconque sentiment pour lui. C’était surtout pour ça qu’elle lui en voulait. Il avait anéanti cette bulle de bonheur qu’il lui offrait et maintenant, elle n’avait pas d’autre choix que de passer à autre chose. Alors non, elle n’arrivait pas à entendre qu’il puisse être désolé ou pire, qu’il soit ici pour autre chose que par pur égoïsme. « Ah ouais, mes intérêts sont vachement servis, heureusement que tu es là. » Le sarcasme transpirait, aussi bien dans son ton que dans son regard. Il pouvait regretter, elle ne l’aiderait pas avec ça. Les intentions étaient peut-être différentes des actions, mais c’était ces dernières qui avaient tiré un trait sur eux. Elle lui offrirait beaucoup plus d’estime s’il prenait la responsabilité plutôt que de s’épuiser à lui jurer qu’elle était importante. « C’est bon Diego, épargne ta salive. » Il s’enfonçait plutôt que d’aider sa cause et elle ne garantissait pas d’être patiente encore bien longtemps. Les excuses et l’auto-flagellation ne changeaient rien à la finalité. Elle voulait juste saisir ce qu’elle avait raté durant tout ce temps, les pires scénarios se présentant à son esprit. Était-elle une cocue de longue date ? Avait-elle ignoré les signes de l’homosexualité de Diego ? « Tu peux pas m’en vouloir de demander. » C’était même parfaitement son droit. Sauf qu’au lieu de lui offrir des explications, il repartait sur ces tirades coupables qu’elle ne supportait pas. Est-ce qu’il pensait sincèrement qu’elle s’intéressait à son cas de conscience ? Il était le seul responsable. Quant au fait d’être plus qu’un couple, elle leva les yeux au ciel en un signe flagrant d’exaspération. « S’il te plaît, arrête. On sait que c’était pas le cas. » Ils tenaient à l’autre, c’était un fait. Mais ce n’était pas le grand amour. Ils n’étaient pas prêts à se battre pour sauver ce qu’ils avaient eu. Diego n’était pas là pour la reconquérir, c’était une preuve suffisante. « Tu gères comme tu veux avec ta conscience. Mais si tu veux vraiment m’aider, t’arrêterais de te placer en victime. » C’était inutile, et il lui avait fait trop de mal pour qu’elle se sente touchée par sa tête de chiot malheureux. Elle était usée. « Le pire, c’est qu’au fond, c’est pas grave. Il fallait que ça arrive, hein ? » La conclusion était sans appel mais transpirait d’une sorte de tristesse qu’elle ne se serait pas cru capable d’exprimer. « T’allais me larguer un jour ou l’autre. Je suis pas ce qu’il te faut. Je le savais, mais je pensais pas être si éloignée de ton idéal. » Ils ne parlaient pas de projets de futur et s’ils étaient honnêtes avec l’autre, ils ne se voyaient pas ensemble dans cinq, dix ans. Leurs routes étaient vouées à se séparer parce qu’ils étaient trop différents. Ce n’était pas une fatalité. Ce qui l’était, c’était la manière que Diego avait utilisé pour les briser, même si son attention première n’était pas là. « Tu verras, j’ai rien de spécial. Tu t’en remettras. » Elle lui tapa sur l’épaule dans un geste parfaitement impersonnel. Il serait le premier à passer à autre chose et dans quelques semaines ou mois, dans le meilleur des cas, il ne penserait plus à elle.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Son avis sur l’adultère était bien tranché, mais il avait pu constater à quel point il était finalement facile de basculer de l’autre côté. Il ne s’agissait que d’un baiser, avec une personne qui ne signifiait rien - c’était ce qu’il se répétait depuis que son visage ne quittait plus son esprit - mais la faute était la même. Il avait eu un modèle parfait pour s’assurer d’être un gentleman et s’éloigner le plus possible de la façon dont Sergio avait traité sa mère et pourtant, il avait réussi à devenir pire que lui. La pensée le terrifiait et poser ses yeux sur Emery et tout ce qu’il avait gâché n’apaisait pas ses maux. Bien au contraire, il avait le sentiment que son visage serait l’éternel rappel de la façon dont il avait trahi ses propres valeurs et la regarder deviendrait bientôt insoutenable. Il s’agirait sûrement de la dernière fois où il la verrait, alors malgré la douleur, il profitait de l’instant pour observer les traits de son visage en regrettant que ce soit un mélange de tristesse et de colère qu’il devrait garder en tête. « Ah ouais, mes intérêts sont vachement servis, heureusement que tu es là. » Il avait levé les yeux au ciel dans un mouvement qui se voulait discret parce qu’il ne pouvait pas lutter avec la façon dont elle vivait le moment. « C’est bon Diego, épargne ta salive. » Bien évidemment, tout sonnait faux dans la bouche de celui qui venait de la trahir et même s’il souhaitait hurler si cela servait à lui faire entendre ce qu’il avait à dire, il choisissait pourtant de garder son calme. Et ce même lorsqu’elle s’était assurée qu’il ne s’agissait que d’une seule et unique fois. « Tu peux pas m’en vouloir de demander. » « Je t’en veux pas. » Des mots noyés dans le flot de paroles et qui ne signifiaient rien. Emery n’était pas le genre de femme que l’on trompait parce qu’elle suffisait amplement. Mais il avait pourtant suffi d’un concours de circonstances pour que Diego gâche ce qu’ils avaient. « S’il te plaît, arrête. On sait que c’était pas le cas. » Il avait tenté de lui laisser entendre ce qu’elle représentait pour lui, sans autre but que d’être sincère, mais elle était restée sourde et cela concrétisait la fin de leur couple. « Tu gères comme tu veux avec ta conscience. Mais si tu veux vraiment m’aider, t’arrêterais de te placer en victime. » Diego restait debout dans la pièce, recevant la colère d’Emery sans broncher. Elle avait bien plus à dire que lui, finalement, et il lui offrait volontiers la possibilité de se défouler sur lui. Il était l’unique coupable, la prise de drogue n’étant pas une excuse pour lui manquer de respect comme il l’avait fait. Mais existerait-il un jour une fin alternative où il pourrait avoir l’opportunité de lui expliquer la difficulté pour lui d’accepter tout ce qu’il venait de se passer ? De lui indiquer que tout cela n’avait aucun sens pour lui et qu’il n’avait aucun moyen de comprendre ? « Le pire, c’est qu’au fond, c’est pas grave. Il fallait que ça arrive, hein ? » Perdu dans ses pensées, repartant un instant sur le tabouret de ce bar, il avait reposé ses yeux sur elle. « T’allais me larguer un jour ou l’autre. Je suis pas ce qu’il te faut. Je le savais, mais je pensais pas être si éloignée de ton idéal. » Il pouvait la laisser dire beaucoup de choses, mais pas celle-ci. Elle était devenue une femme bafouée alors qu’elle lui avait toujours montré à quel point elle était forte et il resterait toujours coupable de lui avoir retiré une partie de sa dignité. Emery resterait la même, sa beauté restait la même, et tout cela ne lui avait pas coupé l’envie de la déshabiller et de lui prouver à quel point elle avait tort mais il avait perdu ce droit. Alors, comme unique recours, il avait repris la parole. « Je pensais que t’avais un peu plus d’estime de toi que ça. Ca faisait pas partie de mes plans, cette rupture. Je vais pas te dire que je nous imaginais mariés avec des gosses mais j’avais deux trois plans en tête. » Un haussement d’épaule signifiant qu’il était à court d’arguments. « Tu verras, j’ai rien de spécial. Tu t’en remettras. » De la rupture, il s’en remettrait probablement plus facilement que de ce baiser qui remettait tout ce qu’il pensait savoir en question. Il l’avait fixé, une dernière fois. Une tape sur l’épaule. Voila tout ce qu’il resterait de leur couple et c’était avec sa culpabilité et la gorge serrée qu’il avait quitté l’appartement d’Emery.
always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove