| (Barbie et Ken #2) Standing in the eye of the hurricane |
| ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0 TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : / GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légales DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : ( maj le 5/09/2024)
Barbie et Ken #6 > I hate you, I love you. I hate that I love you. Don't want to, but I can't put nobody else above you #1 > #2 > #3; #4; #5; #6
Arthur #3 > I've got you, brother > #1 ; #2 ; #3
I'll be there for you, when the rain starts to pour. I'll be there for you, like I've been there before. I'll be there for you, 'cause you're there for me too... > Shiloh #1 ; Lewis #1
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Arthur #1 ; Arthur #2 AVATAR : Jeremy Allen White CRÉDITS : Harley (avatar), emsiess (gif profil), rps codés avec Airpéger DC : Cesar Gutiérrez et Russell SuttonPSEUDO : Aligot INSCRIT LE : 05/04/2022 | (#)Ven 29 Déc 2023 - 14:19 | |
| @Charlie Fawcett 29 novembre, 20h
Les infos ont été plus que claires : restez chez vous, barricades vous, ne prenez pas de risques inutiles. La tempête s'annonce d'une violence inouïe. Le genre d'événement météorologique qui sera sûrement bientôt considérée comme une catastrophe naturelle. Ken a pu voir depuis plusieurs jours les habitants de la ville se préparer à essuyer les affres de l'ouragan et le commissariat ne faisait pas exception. Le capitaine a réuni l'ensemble des agents du commissariat pour une réunion de crise. Le bouclé a été surpris par l'invitation, pensant que les agents de la police scientifique n'y ont pas leur place. Pendant ce briefing pourtant le message du capitaine est clair : “Tous les agents de police qui peuvent être mobilisés le seront, agents de terrain ou pas. Il y aura des accidents, des blessés, des morts sûrement. On ne peut pas savoir qu'elle ampleur auront les dégâts mais nous devrons être prêts à réagir et à travailler avec les pompiers pour protéger la population.” La réunion s'est conclue avec l'organisation suivante : “Vous travaillerez en binôme mixte : un agent technique et agent de terrain qui sera chargé de vous guider et de vous former d'ici là.” Une décision justifiée dans cette situation de crise comme celle-là. Être sur le terrain autrement que sur une scène de crise à analyser ce n'est pas la tasse de thé de Ken, parce qu'il n'a pas signé pour ça, parce qu'il n'a pas en lui ce fonds de bon samaritain naturel et parce qu'il n’est pas formé à des situations comme ça. Pourtant là c'est différent, l'urgence est évidente alors il fera un effort. Et puis un ordre est un ordre, s'il a été assigné sur le terrain, alors il ira sur le terrain il n'y a pas à discuter. Il ne sera pas tout seul lâché dans la nature, ce qui lui enlève une pression même s'il appréhende les premières interventions.“Les listes de binômes sont affichées dans le hall. C'est tout pour ce soir, rentrez chez vous et reposez-vous, les prochains jours seront difficiles.”Une fois devant la liste, Kendall voit son nom à côté d'un des rares noms qu'il connait au commissariat : Fawcett. Il essaye de masquer son agacement et se contente de soupirer face à cette malchance : avec tous les agents de police que compte il fallait qu'il tombe sur elle. La tempête s'annonce donc encore plus éprouvante que ce qu'il imaginait jusqu'à présent.
*** 30 novembre, 18h
Kendall se dirige vers le commissariat après avoir passé la journée chez lui à se reposer. Enfin il a essayé, son sommeil a été léger, particulièrement agitée ce qui le laisse éreinté et donc particulièrement irritable. La tempête et l'épée de Damoclès qu'elle est pour la ville l'ont empêche de dormir sereinement. Avant de se rendre dans le bureau de Charlie il s'arrête prendre un café la machine même s'il sait qu'il n'est pas bon, il a besoin de caféine alors tant pis pour le goût. Avant de tourner les talons il se ravise et prend aussi un café pour Charlie. Une idée qui ne le ravit pas mais il s'est fixé de la traiter comme n'importe quelle collègue. Une preuve de maturité d'une grande rareté chez le bouclé. Il prend cependant le chemin du bureau de Charlie à reculons, travailler avec elle est bien là dernière chose dont il a envie mais il n'a pas le choix. Il soupire une dernière fois avant de toquer à la porte du bureau 413, quelle ironie qu'on lui ait assigné ce numéro. “Salut.” Il lui lance d'un ton détaché avant de renfermer la porte et de poser ses mugs de café sur le bureau de la blonde. “Avant que tu commences à me prendre la tête je voulais te dire que : non je n'ai pas glissé un billet au chef pour qu'on soit ensemble. Et que ça ne m'enchante pas plus que toi qu'on soit dans cette situation” Il ne l'a lâche pas du regard. Cependant et même si Ken aurait beaucoup de choses à dire à Charlie ce n'est ni le lieu, ni le moment pour ça. Il préfère donc fermer cette parenthèse. Voilà c'est dit. Maintenant on va se comporter de manière professionnelle, comme des collègues parce qu'on doit assurer” Il pousse le gobelet en plastique vers elle. “Tiens, il est toujours aussi dégueulasse mais on va en avoir besoin” Il attrape son mug avant de boire une gorgée qui crispe instantanément les traits de son visage.
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| | | | (#)Mar 9 Jan 2024 - 9:53 | |
| Elle a reçu un message à la seconde même où les duos ont été affichés pour lui annoncer qu’elle devrait travailler avec Kendall. Un collègue a jugé bon qu’elle le sache aussitôt que possible etil avait raison, évidemment. Cela lui a aussi évité de faire le déplacement, surtout alors qu’elle aurait sûrement opté pour un rire nerveux à la vue de leurs deux noms associés pour la première fois depuis une éternité. “Salut.” Il avance dans son bureau comme si le fait qu’ils deviennent des collègues temporaires pouvait lui en donner le droit. “Avant que tu commences à me prendre la tête je voulais te dire que : non je n'ai pas glissé un billet au chef pour qu'on soit ensemble. Et que ça ne m'enchante pas plus que toi qu'on soit dans cette situation” Elle se penche uniquement pour attraper le café servi en double, puisqu’il est hors de question de compter combien ils pourraient en consommer ce soir. La nuit sera longue, la journée à suivre bien plus encore. Dehors, déjà, le vent souffle comme pas deux. « Bonne soirée à toi aussi Ken. » Elle annonce, sa langue passant sur ses lèvres pour en chasser le film de café s’y étant déposé. Bien qu’elle n’arrive pas à avoir pleinement confiance en Kendall, elle n’aurait pas remis un tel sujet sur la table, pas alors qu’ils vont devoir travailler ensemble. Voilà c'est dit. Maintenant on va se comporter de manière professionnelle, comme des collègues parce qu'on doit assurer” - « Tu viens m’apprendre mon métier ? C’est adorable de ta part, vraiment. » Elle sait comment se comporter avec des collègues qu’elle n’apprécie pas et il ne peut pas débouler de nulle part tout en lui faisant croire qu’il détient la seule Vérité. Il en va de la sécurité de la population et elle mettra de côté toutes les idées qu’elle se fait de lui, autant que tout ce qu’elle sait de lui. Ils sont ensemble en tant que collègues, non d’ex-Dieu-sait-quoi. « T’as répété ton discours en chemin ? » Et cette fois-ci, pour la première fois, elle lui offre un sourire sincère, lequel se retrouve rapidement caché derrière une seconde gorgée de café. « On s’y fait, à force. Et on apprend à apprécier le café partout ailleurs. » Charlie offre son dernier commentaire au café accessible au commissariat puisque c’est sûrement le seul sujet qui ne consiste pas en un terrain glissant.
« Tu devrais dormir un peu. La tempête va arriver dans la nuit, on pourra rien y faire. » Et cela ne sert à rien qu’ils mettent leurs propres vies en danger, surtout alors qu’ils ne seront certainement pas plus fort que les vents d’Olga. Ils seront des spectateurs au même titre que tous les habitants de la ville ; rien de plus, rien de moins. « Y’a une salle pour ça, ici. T’as eu le tour du propriétaire ? » Peut-être que la salle n’est pas officiellement faite pour ça, certes, mais cela n’empêche pas Charlie de la considérer comme une salle de repos quand elle décide en avoir besoin et que quinze minutes de sommeil valent bien mieux qu’une dispute avec Anwar parce qu’elle aurait été sur les nerfs. Anticipant déjà qu’il ne saura pas où chercher, elle se relève de son fauteuil et contourne le bureau pour lui montrer la salle en question. « C’est pas un piège pour t’y enfermer, c’est promis. » Bien que maintenant, elle trouve que l’idée pourrait être bonne, à bien y repenser. |
| | | ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0 TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : / GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légales DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : ( maj le 5/09/2024)
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| « Bonne soirée à toi aussi Ken. » Le bouclé se retient de rouler des yeux ou de soupirer. Comme il l'anticipait, Charlie est désagréable. Il la connaît par cœur et il sait très bien que dans tous les cas elle lui aurait fait un commentaire. S'il s'était juste contenté de dire “salut” elle aurait trouvé quelque chose à dire, c'est certain. « Tu viens m’apprendre mon métier ? C’est adorable de ta part, vraiment. » Respire Ken, respire c'est ce qu'il se répète pour ne pas envenimer ma situation. Il a dit qu'il serait professionnel et il compte bien se tenir à son objectif, même si cela implique de ne pas parler à Charlie de la soirée sauf en cas de besoin. La situation avec la tempête est plus que tendue et ils ne peuvent pas se permettre de se disputer, pas ce soir. Si elle dépasse trop les bornes, Ken saura attendre le bon moment pour l'envoyer chier, c'est à dire une fois la mission terminée, pas avant. Il préfère donc ne rien dire, préférant prendre une gorgée de café tout en lui lançant un regard noir. « T’as répété ton discours en chemin ? » Elle lui sourit ce qui le surprend un petit peu. “Toute la nuit même.” Le bouclé a toujours aimé le sarcasme, ce n'est pas une surprise. Il a un petit sourire amusé à son tour. Ils boivent tous les deux une gorgée de café, ce qui a l'effet instantané de crisper les traits de leurs visages. « On s’y fait, à force. Et on apprend à apprécier le café partout ailleurs. » Le bouclé repose la tasse avec une mine légèrement écœurée. “On est immunisés pour tout avec ce truc oui.” Une conversation finalement très banale mais qui permet de ne pas susciter de conflits ou de tensions. Ils sont au moins d'accord sur quelque chose.
« Tu devrais dormir un peu. La tempête va arriver dans la nuit, on pourra rien y faire. » Elle a sûrement raison, mais Ken n'a pas envie de dormir. Il a eu un sommeil très agité, ne s'est pas vraiment reposé mais la perspective d'avoir à nouveau un sommeil peu réparateur ne le tente pas. Si c'est pour avoir l'impression d'être encore plus fatigué et courbaturé après ça, alors il préfère rester éveillé. “Ça va être une longue nuit, c'est clair.” Une nuit sans sommeil, éprouvante sur le plan physique et mental. Le genre où on a envie de dormir pendant 3 jours après ça. « Y’a une salle pour ça, ici. T’as eu le tour du propriétaire ? » Le bouclé secoue la tête de gauche à droite. Son chef n'est pas le plus loquace et la visite des locaux a été plus que brève. « C’est pas un piège pour t’y enfermer, c’est promis. » Charlie s’est levée, prête à lui faire visiter la fameuse salle de repos. Il préfère ne pas relever, elle plaisante mais Kendall se doute qu’au fond elle rêverait de pouvoir lui faire un coup comme ça s’il n’y avait pas de conséquences. “J’ai pas vraiment visité non.” Il se lève à son tour, prêt à la suivre même s’il n’a pas pour projet de faire une sieste. “J’ai vu les labos, les bureaux autour mais je connais pas encore tous les tips non.” Leurs pas les mènent vers la salle de repos qui est en fait une simple salle avec un canapé, une table basse et quelques armoires. Une pièce qui a plus l’air d’un cagibi ou d’un débarras qu’une salle de repos. “C’est….minimaliste. Mais bon ça suffit largement.” Il balaie la pièce du regard, il faudrait vraiment que quelqu’un vienne faire une session de ménage par ici vu la poussière qu’on peut voir sur certains dossiers. “Je suis pas fatigué, mais je crois qu’on devrait se reposer oui. On peut se relayer. Tu peux te reposer et je te réveille dans un moment si ça te va.” Une solution pour allier l’utile à l’agréable : reprendre des forces tout en passant moins de temps ensemble à se regarder dans le blanc des yeux sans savoir quoi se dire. "Ce serait plus utile que d'attendre tous les deux à côté du téléphone." Mieux vaut un silence parce que l’autre est en train de dormir qu’un silence gênant.
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| | | | (#)Sam 13 Jan 2024 - 22:34 | |
| Elle ne sait plus ce que c’est que d’avoir une conversation normale avec Kendall mais, en cet instant, elle jure faire de son mieux pour qu’ils y arrivent. Il n’y a sans doute plus rien qui puisse encore être réparé dans leur amitié, mais ils ont aujourd’hui leur travail en commun, et elle le connaît assez pour savoir qu’il ne voudrait pas voir ce dernier en pâtir. “J’ai pas vraiment visité non.” Ce dont elle se doutait, parce que tout le monde finit toujours par déléguer l’accueil des nouveaux à la gente féminine. Volontairement ou non, c’est ce dont elle a fini par gagner l’habitude, raison pour laquelle elle tente de ne pas faire d’exception avec Kendall. Il a le droit à avoir le même tour du propriétaire que ses autres collègues, notamment parce qu’un jour ça pourrait être utile, voire nécessaire. “J’ai vu les labos, les bureaux autour mais je connais pas encore tous les tips non.” Ce n’est pas comme si elle s’apprêtait à l’informer d’une quelconque trappe secrète, il ne faut pas aller jusque là non plus et tout ce qu’il y a à connaître, c’est l’existence d’une pseudo salle de pause qui sert à tout autant qu’à rien. “C’est….minimaliste. Mais bon ça suffit largement.” Dans un même haussement d’épaule, elle reprend. « Ca résume un peu tout ce qui tourne autour de notre job. » Ils ont le minimum et ont appris à se débrouiller avec, notamment parce qu’ils n’ont pas véritablement le choix que de toujours s’adapter.
Le regard de la blonde balaie la pièce plutôt que de se poser sur Ken. Tout est préférable plutôt que de le regarder une seconde de trop - une seconde, tout court, étant déjà considérée comme de trop. “Je suis pas fatigué, mais je crois qu’on devrait se reposer oui. On peut se relayer. Tu peux te reposer et je te réveille dans un moment si ça te va.” - « Commence. Je dormirai pas avec tout le café que j’ai bu. » Ce n’est pas une question, et son ton de voix le fait comprendre sans mal aucun ; tout comme le fait qu’elle quitte déjà la pièce, parce qu’il est évident qu’elle ne compte pas tourner en rond à ses côtés en attendant qu’il s’endorme. Elle se dit qu’elle a de toute façon du travail à faire, des dossiers à taper, d’autres à boucler. Et ce n’est pas Anwar qui pourrait se plaindre qu’elle prenne un peu d’avance, à défaut qu’ils soient à la traîne. Simplement, elle doit trouver de quoi s’occuper pour ne pas avoir à penser à ce qu’il se passe à l’extérieur. « Privilège du nouveau. » Elle finit par lancer, le dos déjà tourné à son nouveau collègue mais surtout ancien petit-ami.
* * * « Kendall ? » Elle essaie de le réveiller doucement, sans allumer la lumière de la pièce et se contentant d’avoir une voix à peine plus haute qu’un murmure. Après avoir constaté qu’il ne se réveille pas, elle se rapproche du canapé de fortune et pose sa main autour de son épaule. « Ken. » Elle reprend, un peu plus proche de lui ; assez pour qu’il l’entende, cette fois. « On a été appelés. Le plus gros est passé, on doit aider à la circulation. » Au passage des ambulances, au premier nettoyage des rues, à la sécurité de tous ceux qui auraient la sombre idée de vouloir sortir dans la rue. A tout et à rien, en somme, parce qu’ils découvriront les précisions de leur tâche au dernier moment. « Je te prépare un café et on y va. » Non, elle ne prend pas particulièrement soin de lui: elle aurait la même attention pour n’importe quel collègue, que ce soit bien clair pour tout le monde. « Passe toi un peu d’eau sur le visage, t’as l’air de sortir d’un EVG. » Mais ça, elle le dit avec un sourire en coin, tout en sachant que ses cernes ne lui font pas avoir meilleure mine de son côté.
Ils vont devoir aider: win, devant chez barbie so close, devant chez ken fail, face à l'hôpital (pimpon les camions ) |
| | | ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#)Sam 13 Jan 2024 - 22:34 | |
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'dé action' : |
| | | ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0 TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : / GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légales DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : ( maj le 5/09/2024)
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| « Ca résume un peu tout ce qui tourne autour de notre job. » Il hoche la tête, il n’ont pas besoin de grand luxe pour accomplir leurs missions respectives. Dans la pièce de repos l’ambiance est assez étrange, chacun fait son possible pour ne pas regarder l’autre. Ken propose de se reposer par rotation, proposant à Charlie d’être la première à dormir. « Commence. Je dormirai pas avec tout le café que j’ai bu. » N’ayant pas envie de négocier ou de parlementer pour un motif aussi futile, il accepte. De toute façon, ses paupières sont lourdes et il doit bien l’avouer : il a besoin de dormir. “Bon, on fait ça alors.” Les cernes sur le visage du bouclé sont un signe qu’il a des dettes de sommeil qu’il doit essayer de rattraper. L’état de santé de son père le préoccupe beaucoup et perturbe son sommeil, le laissant souvent éreinté après des nuits de sommeil non réparateur. « Privilège du nouveau. » Ken regarde Charlie quitter la pièce, soulagé de sentir qu’elle n’est pas décidée à provoquer de nouveaux conflits mais qu’au contraire la situation est étrangement apaisée. Une situation apaisée grâce au cadre dans lequel ils se trouvent, s’ils n’étaient pas obligés de travailler ensemble elle aurait sûrement été encore vindicative. “Merci.” La porte se ferme et il s’installe sur le canapé et il ne tarde pas à rejoindre les bras de morphée.
*** « Kendall ? » Encore plongé dans son rêve, Ken a l’impression d’entendre une voix mais il ne se réveille pas pour autant. Il se tourne légèrement, les sourcils froncés. « Ken. »La main de Charlie se pose sur son épaule et c’est ce contact physique qui le tire brusquement de son sommeil. “Hein quoi ?” Il demande, légèrement surpris par ce réveil. Ses yeux sont à peine ouverts et c’est en voyant la silhouette de Charlie qu’il prend conscience qu’il n’est pas allongé dans son lit mais qu’il est toujours au commissariat. Il se redresse pour s'asseoir dans le canapé. « On a été appelés. Le plus gros est passé, on doit aider à la circulation. » La tempête mais oui bien sûr. Il reconnecte petit à petit les morceaux du puzzle, le réveil est plus que brutal à cause du sommeil profond dans lequel il était plongé. « Je te prépare un café et on y va. » “Ok ok merci.” Il laisse échapper un bâillement avant de s’étirer. Un café sera le bienvenu pour être d’attaque. « Passe-toi un peu d’eau sur le visage, t’as l’air de sortir d’un EVG. » Un petit sourire amusé passe sur le visage de Ken aussi, bien conscient qu’il doit effectivement avoir peu d’allure. “C’est un peu l’effet que cette sieste m’a fait oui.” Une sieste qui lui a fait du bien mais qui sur le coup le laisse un peu sonné.
*** Après un passage express aux toilettes pour se mettre de l’eau sur le visage pour se réveiller et arranger ses cheveux en bataille, le bouclé rejoint la blonde qui l’attend. Tous les deux se dirigent vers la personne qui s’occupe des affectations. “Harding, Fawcett, vous partez sur edward street.” Ils hochent la tête et se dirigent vers le parking pour se rendre sur la rue où ils sont envoyés. Le hasard fait qu’ils sont envoyés dans la rue où habite Kendall et non loin de la maison de ses parents. “Je peux conduire, je connais bien le coin, j’habite là-bas.” Il connaît très bien la circulation, les raccourcis, c’est donc plus pratique qu’il joue le conducteur. Il s’installe donc derrière le volant et au bout de quelques centaines de mètres il brise le silence.“T’aurais dû me réveiller plus tôt quand même. Ça va aller ?” Ce n’est pas un reproche mais plutôt un constat : ils auraient dû se relayer, au lieu de ça elle l’a laissé dormir tout du long. Il s’inquiète pour elle, comme un collègue bien évidemment, ils doivent tous les deux être en forme cette nuit, même s’il ne s’agit que de faire la circulation. La musique qui passe à la radio au même moment est plus que dérangeante et agaçante. Mais qui écoute de la country ? Kendall se le demande et juge silencieusement les goûts musicaux du collègue qui a pris la voiture en dernier. Il change plusieurs fois de stations avant de tomber sur une radio qui passe une chanson qu’il reconnaît instantanément : I want to break free, Queen. “Ah bah tiens” Il monte un petit peu le son. C’est une chanson qu’il connaît par cœur et qu’il sait bien évidemment jouer à la guitare. C’est aussi une des ses chansons préférées et la chanson préférée de Charlie et il ne l’a pas oublié non plus. Comment aurait-il pu l'oublier alors qu'ils ont tous les deux la couronne de Queen tatouée sur l'avant bras ? C'est un souvenir d'une soirée animée où ils sont sortis jusqu'au petit matin, où ils ont chanté, dansé et où les verres se sont enchaînés et où se faire un matching tattoo avait l'air d'être l'idée du siècle. Même si par moments ce tatouage est vraiment un problème pour Ken qui a littéralement Charlie dans la peau à vie, il ne le regrette pas totalement. C'est le souvenir d'une bonne soirée, de moments où il sentait réellement heureux avec Charlie et c'est quelque chose qui reste positif. Le genre de soirée euphorique où s'ils avaient été à Vegas il aurait proposé l'idée folle de passer devant Elvis. Mais tout ça c'est du passé, passé que même la radio ne lui permet pas d'oublier. Alors il laisse la musique remplir l’habitacle et fredonne discrètement les paroles au fur et à mesure que la voiture avale l'asphalte.
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| | | | (#)Dim 28 Jan 2024 - 15:04 | |
| C’est un regard soucieux qu’elle n’a de cesse de poser sur Kendall, comme si le fait qu’il ait évolué loin d’elle pendant des années contribue à faire de lui un bleu. Il n’est pourtant pas moins expérimenté qu’elle, et Charlie le fait, mais elle n’arrive pas à se défaire de cette étrange impression et surtout de ce souci. Après tout, il y a bien une raison s’il est proscrit de s’enticher de leurs collègues: cela altère leur jugement, et cela le fait de façon irrémédiable. Preuve en est, alors que Charlie pourrait juger qu’elle n’aime plus Kendall depuis hyper longtemps. “Harding, Fawcett, vous partez sur edward street.” Ils n’ont pas le temps de souffler une seule seconde que leur affectation est déjà donnée et, avec elle, le début d’une journée dont personne ne saurait deviner l’heure de fin. “Je peux conduire, je connais bien le coin, j’habite là-bas.” Et si elle s’apprêtait à répondre en premier avec l’éternelle agressivité la caractérisant dès qu’elle a l’impression qu’on atteint son intégrité, elle se ravise lorsque Ken précise habiter là-bas. Ainsi, elle sait qu’il n’est pas sans ignorer qu’elle a toujours vécu et grandi dans cette ville qu’elle connaît donc comme sa poche. S’il habite à Edward Street, c’est différent ; et s’ils avaient moindrement été capables de rester en contact, c’est une information dont elle aurait eu connaissance. Au lieu de ça, elle hoche la tête en silence. « C’est d’accord. » Les clés du véhicule glissent dans la main du brun.
“T’aurais dû me réveiller plus tôt quand même. Ça va aller ?” Ses reproches n’ont pas le goût qu’on tous les autres avant eux, et c’est pour cette raison que Charlie ne les déteste pas autant. Qu’elle ne les déteste pas tout court, en réalité. « T’avais l’air d’en avoir besoin. » est tout ce qu’elle répond, passant volontairement outre la question de Kendall. Elle est fatiguée, évidemment, mais elle sait qu’elle pourra tenir. L’adrénaline fera hurler sa magie et tout ira bien: c’est littéralement son rôle que de s’en assurer. Lorsqu’il finit par tomber sur une chanson de Queen, après avoir harcelé le poste radio de ses nombreux changements, elle ne peut s’empêcher d’en rire simplement. Charlie est néanmoins touchée qu’il ne s’empresse pas de changer pour mettre une autre radio, peu importe laquelle. Après tout, ils savent tous deux à quoi se rapporte n’importe quelle musique du groupe anglais. “Ah bah tiens.” Elle jurerait pouvoir sentir son tatouage la brûler, sans que ce soit possible. « C’est sûrement un bon signe. » De quoi exactement, ça elle ne le sait pas, mais peu importe. Personne ne compte lui faire passer un examen, pas vrai ? Et pour la première fois depuis longtemps, Kendall et elle se retrouvent dans la même équipe. « Arrête toi. » Son sourire disparaît aussitôt et l’urgence s’entend dans le ton de sa voix autant que son ordre. Son regard s’est posé une seule seconde à travers sa fenêtre et, au bout de la rue qu’ils viennent de passer, elle jure avoir vu un arbre écrasé sur une voiture. « Je veux vérifier qu’elle était vide. » Elle explique juste ensuite, toujours aussi rapidement, le cœur noué par un mauvais pressentiment. « Descends l’allée, on ira plus rapidement. » Au Diable le sens interdit, il n’a qu’à rouler doucement à son tour: si eux-mêmes se retrouvent à devoir faire la circulation, cela signifie bien que la ville est sans dessus dessous et que chacun fait comme il peut. Ce n’est pas aujourd’hui que des pv seront distribués.
- Citation :
- WIN – La voiture est vide, tout va bien. Ils peuvent reprendre la route jusqu'à Edward Street.
SO CLOSE – Le conducteur de la voiture est encore à l'intérieur. Il souffre de blessures mineures ; un bras cassé tout au plus. Rien d'inquiétant. FAIL – Le conducteur de la voiture est encore à l'intérieur. Cette fois-ci, c'est inquiétant. Très inquiétant. Ils doivent revoir leurs priorités. |
| | | ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#)Dim 28 Jan 2024 - 18:05 | |
| Le membre ' Lily Beauregard' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' : |
| | | ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0 TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : / GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légales DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : ( maj le 5/09/2024)
Barbie et Ken #6 > I hate you, I love you. I hate that I love you. Don't want to, but I can't put nobody else above you #1 > #2 > #3; #4; #5; #6
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I'll be there for you, when the rain starts to pour. I'll be there for you, like I've been there before. I'll be there for you, 'cause you're there for me too... > Shiloh #1 ; Lewis #1
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Arthur #1 ; Arthur #2 AVATAR : Jeremy Allen White CRÉDITS : Harley (avatar), emsiess (gif profil), rps codés avec Airpéger DC : Cesar Gutiérrez et Russell SuttonPSEUDO : Aligot INSCRIT LE : 05/04/2022 | (#)Dim 28 Jan 2024 - 21:42 | |
| « T’avais l’air d’en avoir besoin. » Le bouclé, une main sur le volant et l’autre sur la boite de vitesse secoue légèrement la tête de gauche à droite. Charlie a parfaitement esquivé la question qu’il lui a posé et si ça l’agace ça ne le surprend pas le moins du monde, elle est comme ça. “J’aurais tenu le coup.” Si elle décide d’éviter la question, alors il fera de même et il ne lui donne pas davantage de détails. Il n’a pas envie de lui dire qu’il est épuisé en ce moment à cause de ses insomnies régulières et de ses rêves agités qui ont pour origine l’état de santé de son père. Kendall tient à garder ces informations secrètes auprès de ses collègues de travail et puisqu’il doit traiter Charlie comme une collègue lambda désormais elle n’aura pas plus d’informations non plus. Seuls ses supérieurs sont au courant et ce n’est pas prêt de changer. Le manque de sommeil est difficile à tenir à la longue mais il y est habitué, il aurait donc très bien pu encaisser une nuit de travail comme celle-ci. Kendall change par la suite frénétiquement de radio, à la recherche d’autre chose que les infos ou de morceaux de jazz déprimants. Quand il tombe sur une chanson de Queen la coïncidence est trop belle pour qu’aucun des deux ne rit. « C’est sûrement un bon signe. » Il sourit, espérant qu’elle a raison. De son côté ce n’est pas le genre de choses qu’il aurait dit, parce que pour lui c’est plus un moyen que la vie a trouvé de leur faire une mauvaise blague en leur mettant leur passé sous les yeux, ou plutôt dans les oreilles. “J’espère.” Dans l’immédiat il espère que le reste de la nuit se passera bien et que ses proches n’ont rien, ce serait ça le bon signe, le signe que la vie continue et que tout va bien. Pourtant, il y a quelque chose qui interpelle Charlie dans une rue adjacente. « Arrête toi. » Kendall s’arrête brusquement, se demandant pourquoi elle lui demande ça. “Qu’est-ce que t’as vu ?” Il passe à son tour la tête par la fenêtre et aperçoit l’arbre qui est tombé en plein sur une voiture. “Oh merde.” Un mauvais pressentiment envahit le brun qui a le cœur qui accélère progressivement jusqu’à tambouriner fort dans sa poitrine. « Je veux vérifier qu’elle était vide. » Il hoche la tête et prends un instant pour réfléchir à par où passer avec la voiture. « Descends l’allée, on ira plus rapidement. » Elle le prend de court et il ne cherche pas à discuter, il suit ses directives. Elle a visiblement l’esprit plus vif que lui ce soir et s’il y a un blessé dans la voiture alors il n’y a pas une seconde à perdre. Après plusieurs manœuvres et la rue en sens interdit franchie, il se gare près de l’arbre. Ken sort en trombe de la voiture et se dirige vers la voiture qui est complètement broyée par le tronc de l’arbre qui est tombé. Il regarde côté conducteur et là c’est la catastrophe : il y a bien une personne dans la voiture et elle est gravement blessée. La victime a le visage tuméfié et saigne énormément. “Charlie y a un blessé !” Il essaie d’ouvrir la portière sans succès, celle-ci est trop abîmée pour s’ouvrir. “Monsieur ? Monsieur vous m’entendez ?” Il demande à la victime qui ne réagit pas à ses questions. La fenêtre partiellement brisée lui permet de tendre le bras comme il peut en évitant le verre tranchant pour essayer de prendre son pouls. Ce dernier est faible mais il est le signe que la victime est encore vivante. Pour combien de temps ? Difficile de le savoir. “Il est inconscient mais il respire.” Il crie à Charlie avant de se diriger au pas de course vers elle en essayant de garder son sang froid. “Il faut appeler les secours, j’arrive pas à ouvrir la portière il va falloir le désincarcérer et il saigne beaucoup, c’est la merde.” Il essaie de garder son sang froid mais l'adrénaline a envahi tout son corps et le fait parler vite dans la précipitation. S’il est formé aux premiers secours il n’est pas pour autant pompier ou secouriste. “Je vais essayer de ralentir le saignement pendant ce temps.” et il retourne vers la voiture. Système D oblige il prend une des manches de sa veste et essaie de faire pression sur la plaie béante à la tête de la victime en attendant que les secours arrivent. “Les secours vont venir, accrochez vous ça va aller monsieur.” Il essaie de le rassurer et peut-être aussi de se rassurer lui-même.
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| | | | (#)Sam 3 Fév 2024 - 20:04 | |
| Peu importe ce qui tourne à la radio, Charlie n’arrête jamais réellement de réfléchir en fonction de son travail et c’est pour cette exacte même raison qu’elle ordonne à Ken de s’arrêter sans l’avoir préparé à cet ordre. “Qu’est-ce que t’as vu ?” Trop concentrée sur la scène pour répondre, elle échange des éclaircissements contre l’ordre de rouler à contre sens pour arriver plus vite sur les lieux de l’accident. Leur objectif principal, bien moins urgent, devra attendre. “Charlie y a un blessé !” Les mots qu’elle craignait d’entendre sont le reflet de la réalité et elle serre les dents en entendant l’annonce. « Grave ? » En sortant à son tour du véhicule, elle ne peut s’empêcher de quémander l’information, tout bonnement incapable d’attendre de le voir de ses propres yeux. Lorsqu’elle voit Kendall passer son bras au travers du verre brisé, elle se reproche pourtant de lui avoir posé la question, déjà consciente qu’elle s’en voudrait s’il en venait à être blessé à son tour parce qu’ils n’ont pas su attendre l’ambulance. En arrivant à sa hauteur, ce sont les pompiers qu’elle contacte déjà, bien consciente qu’ils seront d’une aide particulièrement utile. “Il est inconscient mais il respire.” Et pour l’heure, il s’agit sûrement de la meilleure nouvelle qu’ils pouvaient apprendre.
“Il faut appeler les secours, j’arrive pas à ouvrir la portière il va falloir le désincarcérer et il saigne beaucoup, c’est la merde.” - « Ils sont déjà en route. » Elle annonce aussitôt pour ne pas laisser sa crainte subsister davantage de temps. C’est le seul point sur lequel elle peut le rassurer par elle-même, qui plus est, alors elle n’y réfléchit pas à deux fois. Du reste, elle ne peut rien statuer avec autant d’assurance, même alors qu’elle crève d’envie de calmer Kendall et de trouver quoi lui dire pour qu’il comprenne que si tout ne va effectivement pas bien en cet instant, cela n’empêche que tout ira bien très bientôt. En attendant, il semble avoir besoin de s’occuper les mains et de se rendre utile, même si Charlie ne sait pas réellement si sa contribution constitue en une différence notable pour le blessé. « Ken, doucement. » Elle a les mêmes mots que ses collègues et supérieurs ont eu des dizaines de fois à son égard. La blonde tente de capter son regard alors qu’il n’a de toute façon aucun autre choix que de rester immobile de son côté, à exercer une pression sur la plaie sur laquelle elle jette des regards de temps à autre. « T’as pas intérêt à croire que tout ça est de ta faute. » Il n’a pas intérêt à laisser toute cette faute reposer sur ses épaules comme si c’était normal, ou même la suite logique des choses. Il n’a pas provoqué cet accident, il n’a même rien à voir avec ce dernier. « Ils arrivent dans cinq minutes, joue pas au héro en attendant. » Il aurait pu se couper un millier de fois et les blessures auraient pu être profondes vue les parties de son corps exposées. De son côté, et puisqu’elle n’est d’aucune aide en l’instant, elle tente d’ouvrir les autres portières de la voiture pour finalement y arriver à l’arrière.
« Lâche doucement, je vais appuyer, ça sera plus sûr. » Elle annonce, après s’être faufilé de la banquette arrière jusqu’au siège passager, où elle s’apprête à échanger de rôle avec Kendall sans risquer de se couper de son côté. Ce qu’elle n’avait pas prévu, en revanche, c’est que l’individu semble peu à peu reprendre connaissance. En plaçant sa main autour du poignet de Ken, elle lui fait silencieusement comprendre que le plan vient de changer et qu’il ne devrait pas bouger. « Je m’appelle Charlie, et vous ? Vous vous souvenez de quelque chose ? » Il balbutie un prénom suivi d’autres questions, visiblement perdu. La bonne nouvelle, néanmoins, ce qu’il ne semble pas ressentir la souffrance. Cela leur donne un brin de répit alors que la blonde continue de lui faire la discussion pour le garder le plus calme possible, mais aussi pour faciliter le travail des pompiers ensuite. Ce qu’elle cherche à faire, surtout, c’est l’occuper pour qu’il n’ait pas à penser de Kendall tentant de garder le sang à l’intérieur de son corps. « Ken ? Ca va toujours ? » Sans avoir aucune visibilité sur lui et sur son visage, elle a besoin de le lui demander une ultime fois au moment où les sirènes des pompiers se rapprochent. |
| | | ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0 TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : / GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légales DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : ( maj le 5/09/2024)
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| « Ils sont déjà en route. » La nouvelle rassure un tout petit peu Kendall. Ils doivent donc essayer de gagner du temps d’ici l’arrivée des secours. Faire en sorte que la victime reste en vie pendant peut-être encore de longues minutes, mais au moins Charlie a eu le bon réflexe. “Ok…ok super” L’adrénaline pousse le bouclé à vouloir se démener auprès de la victime. Il y a du sang, beaucoup de sang et Kendall essaie d’arrêter le saignement comme il peut, frôlant dangereusement les bris de glace de la vitre brisée. « Ken, doucement. » La voix de Charlie le tire de sa bulle d’adrénaline. Son coeur bat vite et fort, la main qui fait tampon sur la blessure à la tête tremble comme une feuille. Leurs regards se croisent alors que la blonde essaie de le calmer. « T’as pas intérêt à croire que tout ça est de ta faute. » Il hoche vivement la tête, il sait qu’il ne sont pas à l’origine de cet accident. “Je sais t’en fais pas.” Cependant, si la victime passe l’arme à gauche avant que les secours arrivent, il se sentira coupable c’est certain. « Ils arrivent dans cinq minutes, joue pas au héro en attendant. » Cinq minutes, c’est la seule information qui l’importe réellement, il n’y a plus beaucoup de temps à tenir, pourtant chaque seconde ici semble durer une éternité. “Je sais ce que je fais t’en fais pas. C’est pas pour moi qu’il faut s’inquiéter.” Elle est très prévenante envers lui, c’est appréciable mais ce n’est pas lui qui risque d’y passer à chaque instant, il y a plus grave, bien plus grave. « Lâche doucement, je vais appuyer, ça sera plus sûr. » La voix de Charlie s’est approchée, elle est juste derrière le siège passager. Ken ne la quitte pas des yeux. “Fais attention y a du verre partout.” La main de la blonde se pose sur la main du bouclé qui fait pression sur la plaie mais s’il arrête de faire pression le saignement reprendra de plus belle et la situation empirera c’est certain. Ken secoue la tête et continue de faire pression alors que la victime fait des mouvements fébriles, signe qu’il est encore conscient. « Je m’appelle Charlie, et vous ? Vous vous souvenez de quelque chose ? » Il se réveille petit à petit et les propos de la victime sont comme on peut s’y attendre décousus et peu clairs, mais il est réveillé et c’est un énorme soulagement. « Ken ? Ca va toujours ? » Il ne quitte pas la blessure des yeux et en regardant de plus près le pansement de fortune qu’il a fait il constate que le débit de sang a largement diminué. “J’ai l’impression que ça saigne un peu moins” La sirène des pompiers qui arrive sur les lieux de l’accident est un immense soulagement pour le policier, ils vont prendre le relais et tirer ce pauvre homme d’affaire.
*** “C’était horrible, quelle nuit de merde.” Il savait cette après-midi que la nuit serait longue et difficile mais il n’avait pas imaginé devoir se transformer en secouriste de fortune. Heureusement que Charlie était là, sans elle l’accident aurait été découvert beaucoup plus tard, trop tard peut-être. Elle a parfaitement réagi et du point de vue de Kendall ils ont été parfaitement complémentaires sur ce coup-là. “T’as eu de bons réflexes en tout cas, il te doit beaucoup.”
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| | | | (#)Sam 17 Fév 2024 - 18:06 | |
| Elle s’en fait presque autant pour Kendall que pour la victime. Même après s’être faufilée à l’intérieur du véhicule, et après avoir échangé les rôles pour être celle faisant pression sur la plaie, elle n’a de cesse de poser son regard sur le brun. Elle ne sait pas comment il réagit dans ce genre de situation, elle ne sait pas non plus à quel point il arrive à gérer ou non le terrain. Pendant longtemps, elle a eu du mal à s’y faire pour sa part, notamment parce que ce n’est pas exactement ce en quoi a consisté son entraînement à l’école de police. Puisqu’elle l’a perdu de vue il y a des années, elle ne sait même pas ce dont il a été question pour lui et ça suffit à faire activer chez elles toutes les alarmes. Elle ne lui impose pas davantage ses questions mais elle lui impose au moins son regard clair, encore et encore, même alors qu’elle tente de maintenir la victime consciente et d’obtenir par la même occasion des informations cruciales de sa part. Les cinq minutes s’écoulant entre son arrivée sur place et celle des ambulances lui paraît être une éternité, et elle est soulagée de se permettre de retirer sa vigilance au profit d’une prise en charge par des personnes compétentes.
« Donne moi ta gourde. » Elle demande à la seconde où ses pieds touchent à nouveau le sol, n’attendant pas qu’il lui donne la gourde en question. Charlie s’en saisit seule et la vide sur ses mains, qu’elle nettoie sans délicatesse et avec rapidité pour les nettoyer du sang de l’inconnu.
*** “C’était horrible, quelle nuit de merde.” La nuit a été longue et interminable, mais ils en sont enfin venus à bout. Leur shift terminé, Charlie ferme les yeux et passe ses mains sur son visage. “T’as eu de bons réflexes en tout cas, il te doit beaucoup.” - « J’ai juste fait mon job, je… » Toute la fatigue de la nuit semble arriver soudainement dans son corps. Maintenant que plus personne ne compte directement sur eux, elle se relâche et elle accepte enfin la réalité des choses: elle a terriblement besoin de dormir. « Je pensais surtout à toi. J’ai cru que t’étais tétanisé pendant un moment. » Elle l’avoue, sans chercher à faire de ses mots des reproches: leur métier ne fait pas de cadeaux et il n’y a rien de honteux dans ce qu’elle dit. L’humain ne réagit jamais de la même manière face aux situations d’urgence. Pour une fois, elle passe outre la haine qu’elle lui voue naturellement en sa qualité d’ex-petit-ami. Ce soir, il était surtout un collègue. Uniquement un collègue. « Je savais pas comment t’allais gérer le terrain. » qu’elle avoue simplement, sans honte. Elle pourrait dire qu’elle le connait par coeur, en effet, mais ce n’est pas le cas dans le cadre de leur travail. Ils se sont séparés avant d’être prêts sur ce point. « Mais t’as bien géré. » Elle tente de lui sourire, là où elle aurait généralement choisi de ne pas y aller par quatre chemins pour simplement lui dire qu’il a été parfait. Face à Ken, elle ne peut pas encore oser ce genre de mots. Ils ont besoin de plus de temps. |
| | | ÂGE : 30 ans (22 août 1994, lion ascendant capricorne). SURNOM : Ken, tout le monde l'appelle comme ça sauf sa mère, il ne se présente d'ailleurs jamais avec son prénom au complet STATUT : L'amour de sa vie vient de décéder brutalement d'une overdose, le laissant vide et brisé en mille morceaux. MÉTIER : Expert dans la police scientifique, il enquête notamment sur les scènes de crime LOGEMENT : Un loft spacieux au #202 à Spring Hill, un "petit truc" comme il aime dire POSTS : 436 POINTS : 0 TW IN RP : Drogue et overdose, violence verbale, scènes de crime, mort, cancer TW IRL : / GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Issu d'une famille de nouveaux riches il essaie de s'approprier les codes d'un monde qu'il ne maitrise pas > habitué à être au centre de l'attention de ses parents et de ses proches en général, il reste centré sur lui même : son bien passe parfois avant celui des autres > il a perdu son père après une longue bataille contre le cancer > véritable womanizer dans les périodes "off" avec Charlie, complètement fou d'elle quand elle décide de leur donner une énième autre chance > bien que policier il lui arrive de consommer de temps en temps des substances pas très légales DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Ken vous agace en [color=#6633ff] RPs EN COURS : ( maj le 5/09/2024)
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| @Lily Beauregard
La nuit a été particulièrement éprouvante. Si Kendall pensait en se rendant au carrefour de son voisinage qu’il ferait simplement l’agent de circulation, il a dû s’improviser secouriste. Une situation parfaitement délicate et inconfortable. Il a été formé aux premiers secours mais il n’en est pas pour autant pompier ou médecin. C’est l’adrénaline qui lui a permis de foncer sans réfléchir, sans resté figé face à tout ce sang et à cette victime en grande souffrance. Ses mains et ses vêtements sont d’ailleurs couverts de sang, un constat plutôt écoeurant et le bouclé n’a qu’une hâte : prendre une douche. Même s’il a aussi passé ses mains sous l’eau restante de sa gourde, ses mains restent tâchées. Il essuie donc comme il peut la paume de ses mains sur son pantalon, il est sûrement foutu, tant pis. En tout cas si la victime est encore vivante c’est aussi grandement grâce à Charlie qui a su garder son sang froid et être très efficace. « J’ai juste fait mon job, je… » La fatigue dans la voix de la blonde est palpable. « Je pensais surtout à toi. J’ai cru que t’étais tétanisé pendant un moment. » Il était terrifié c’est vrai mais l’adrénaline a su être plus forte que l’angoisse. « Je savais pas comment t’allais gérer le terrain. » Une question qu’il ne perçoit pas comme un reproche, c’est un fait : Ken n’est pas habitué à être sur le terrain de cette façon, les inquiétudes de Charlie étaient donc légitimes et il ne s’en offusque pas. «Mais t’as bien géré. » Elle a un petit sourire et Ken le lui rend. “C’était pas une situation commune pour moi c’est sûr.” Il cherche ses mots pour formuler le compliment qu’il a en tête pour qu’il reste professionnel et que Charlie ne le surinterprète pas. “Tu t’es bien débrouillée aussi.” Il aurait voulu lui dire qu’il trouve qu’ils forment une bonne équipe, des mots qu’il garde pour lui pour ne pas rendre la discussion inconfortable. Le silence s’installe l’espace de quelques instants et le bouclé décide d’y mettre fin. “Bon …. je vais y aller, j’habite au coin de la rue, ça va aller pour rentrer ?” Dit-il en désignant la direction de son appartement du doigt. Il s’éloigne ensuite en concluant par les mots suivants. “Essaie de te reposer Charles, t’as bien bossé.” Un surnom affectueux qui s’est échappé avant qu’il n’ait eu le temps d’y réfléchir. Les vieux réflexes ont la peau dure on dirait.
(fin)
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| | | | | | | | (Barbie et Ken #2) Standing in the eye of the hurricane |
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