| (everhett #28) from all the cuts and the blood |
| | (#)Lun 8 Jan 2024 - 9:44 | |
| (bayside, logements) @Evelyn Pearson Le repas de famille chez les Hartfield s’est loin d’être passé comme prévu, mais sans doute que finalement tout n’a pas été si pire. Ruben et Rhett qui ne sont pas sur la même longueur d’onde, il n’y a rien de nouveau là-dedans, pas vrai ? Simplement, cette fois-ci le sujet était un peu différent de ce dont ils ont l’habitude et peut-être même qu’on devrait vanter leur capacité de renouvellement plutôt qu’autre chose, non ? N’empêche pas moins que Rhett est sorti de ce repas avec l’intime conviction qu’ils ne pourraient rien tirer de cette famille et que l’amour qu’ils se portent n’est pas à la même hauteur des éternels reproches. Il les aime malgré tout, les deux restants, mais bon sang qu’il avait hâte de quitter le champ de bataille pour n’importe où, surtout alors que la destination de fuite en question est rapidement devenue chez Evelyn. Ses invités ne resteront pas plus tard que le soir venu, de toute façon, et ils pourront à nouveau profiter de la quiétude de sa nouvelle maison, comme cela n’a que trop peu été le cas depuis qu’elle y habite - et qu’il a failli en faire de même aussi. « M’en veux pas, ma mère a insisté. » L’immense plat est présenté devant elle tel une offrande, maman Hartfield ayant bien évidemment été incapable d’imaginer que ses enfants puissent repartir avec autre chose que de la nourriture pour une semaine - et certainement pas les mains vides. Le sourire de Rhett se confond en excuses sincères, mais il dégage rapidement le plat en question du champ de vision d’Evie pour s’approcher d’elle et l’embrasser tendrement. « Joyeux Noël. » Il n’y a pas si longtemps encore, il n’était pas certain qu’elle voudrait entendre parler de lui au moment des fêtes de fin d’année, alors ces mots sont particulièrement apaisants à prononcer.
Il esquisse un moment de recul en même temps qu’il dépose avec curiosité son regard derrière l’épaule d’Evelyn au moment où des cris d’enfants se font entendre ; ceux qui ne reflètent en rien la terreur mais simplement l’amusement pur et simple. Ce genre de cri qui se veut aussi aigu qu’attendrissant, il faut le dire. « Nell est là ? » Elle lui a parlé d’invités, alors il extrapole, il se questionne. Il sait qu’elle a passé l’âge d’emettre de tels sons mais peut-être qu’elle est particulièrement enthousiaste, ou peut-être qu’il n’y connaît de toute façon rien en enfants et qu’il devrait garder ses suppositions pour lui. « Tu as invité ta famille ? » Cette question, il la prononce avec un brin plus de souci, parce qu’il sait à quel point les relations entre elle et le reste de sa famille sont particulièrement tendues. Elle ne vit même plus avec sa cousine, qui avait toujours été la seule exception à cette règle. Et maintenant elle fêterait Noël avec eux, qui plus est dans sa propre maison ? Rhett a du mal à y croire, autant qu’il a du mal à croire qu’il aurait été le bienvenu dans une telle disposition, la faute à une année particulièrement riche en erreurs conséquentes. |
| | | ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620 TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déni DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7AA1D2 RPs EN COURS :
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly
lewis#2 ◦ micah#1 ◦ natalia#1 (fb 2020) ◦ mabel#1 ◦ atlas#2 ◦ malone#1 RPs EN ATTENTE :
JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car ( scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : ana de armas CRÉDITS : ©ssoveia (av) ◦ ©keetika (gifs profil, sign), ©crackshipandcrap (gif greede), ©katmcnamaragifs (gif malone), @macherierps (gif jake) ◦ ©astra (code) DC : jo carter & mavis barnesPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 12/02/2018 | (#)Lun 8 Jan 2024 - 18:13 | |
| from all the cuts and the blood @Rhett Hartfield ☆ crédit/ssoveia
"C’est maintenant que je t’avoue que je m’attendais aux bons petits plats de maman Hartfield, et que c’est l’unique raison pour laquelle je t’ai demandé de venir ?" Elle avait assez mangé en vérité, finissant écoeurée par la montagne de mets proposés par le chef de la maisonnée Pearson. Seulement, l’entame était bonne à envisager ; elle plaisantait déjà, alors qu’elle venait seulement d’ouvrir la porte, le contraste avec la journée qu’elle venait de passer étant notable juste pour ceux qui avaient partagé le repas de Noël de son clan. Comme tous les ans, c’était un moment difficile à passer, rien qui ne la faisait flancher cependant, bien qu’un nombre incalculable de Rhett ne viendra pas ? avaient été prononcé au cours de la journée. Les regards interrogateurs l’avaient rendue un peu amère au bout d’un moment, mais pas ronchon, toutefois ils l’avaient fait prendre la tangente et s’isoler avec les plus jeunes — dont Nell bien sûr, qui s’était adorablement désolée de son départ quand elle lui avait annoncé devoir rentrer. De retour à Bayside, elle avait retrouvé son chez elle, lequel était occupé par les invités qu’elle avait annoncé à Rhett par texto, et qui ne faisaient pas partie de sa famille. Avec l’ambiance des fêtes, difficile de se dire que la ville essuyait encore les dégâts d’Olga et pourtant, ses invités en question en étaient les victimes qu’elle avait accueillies sans rechigner, ayant presque la chance de les connaître déjà tous les deux. Rhett les rencontrerait plus tard. Pour l’heure, elle l’invita à entrer sans aucune espèce d’hésitation, et accepta son baiser avec bonne volonté, ses yeux restant ouverts pour mieux l’observer de près, et se faire une idée rapide de son humeur. Elle remarqua des paillettes égarées sur ses joues, les décorations de saison de sa mère en étant surement les responsables, et jugea que son humeur semblait aussi bonne que la sienne "Joyeux Noël." lui renvoya-t-elle dans un murmure qu’elle accompagna d’un baiser plus furtif, le faisant entrer pour de bon, et refermant la porte juste derrière lui.
Les questions de Rhett résonnaient déjà en même temps qu’elle le laissait se diriger vers la cuisine où il finit par poser l’offrande de sa mère ; de l’autre côté du mur, les rires du fils de Ginny interpellèrent le nouvel arrivant pendant qu’Evie s’installait sur l’un des tabourets haut glissé sous le comptoir du petit-déjeuner. Un mouvement de la main lui permit de chasser la mèche ondulée qui encadrait son visage, sa réponse ne faisant pas attendre "Non, pas ce soir. Elle aurait bien aimé rentrer avec moi, mais Ester…" Inutile d’en dire davantage, son roulement d’yeux suffisait amplement à partager sa pensée avec le jeune homme qu’elle continuait de regarder, ses yeux se grossissant juste un peu quand elle réalisa quelque chose "C’est vrai que je ne t’ai pas expliqué." Elle lui avait parlé d’invités, il avait dû le prendre au pied de la lettre, s’attendant peut-être à devoir faire la causette avec Celie, à supporter les fanfaronnades de Marvin, ou à écouter les aventures des poupées Barbie de Nell. Elle descendit de son tabouret, s’approcha de lui pour passer ses deux bras autour de ses épaules, sa tête se levant en même temps pour bien le regarder en face alors que, débarrassée de sa paire de chaussures à talons, elle souffrait de quelques centimètres en moins. Rien qui ne l’empêchait de lui expliquer, donc "Je me suis portée volontaire pour héberger des victimes de la tempête. Ils sont arrivés il y a quelques jours, ils resteront un petit moment ici." Elle ne savait pas combien de temps exactement, et ça ne l’inquiétait pas tant que ça ; la maison était grande, et elle n’était pas toujours présente. Faisant doucement reposer son front contre la bouche de Rhett sur qui elle se pencha légèrement, elle lui quémanda un baiser dessus sans user de la parole, ses bras se resserrant simplement autour de ses épaules ; avant de reculer très légèrement, et de lui demander après une observation au rayon x qui dura une longue seconde "Alors, comment ça s’est passé ?" Ils s’étaient rapidement débriefés leur journée chacun de leur côté, mais que ce soit du côté des Pearson ou du côté des Hartfield, il y avait toujours tant de choses à raconter qu’elle était persuadée que la question se valait. they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.
|
| | | | (#)Ven 12 Jan 2024 - 12:36 | |
| "C’est maintenant que je t’avoue que je m’attendais aux bons petits plats de maman Hartfield, et que c’est l’unique raison pour laquelle je t’ai demandé de venir ?" Il mime d’être outré par ces propos, comme si elle préférait réellement les plats de sa mère à la seule présence de Rhett. Mais pour y avoir goûté pendant longtemps, il doit bien avouer que ses plats sont particulièrement réussis et qu’Evie n’a pas tort sur ce point. « J’accepte de me faire rouler dans la farine uniquement si c’est toi. » Il finit par ajouter dans un sourire, avant de partager un baiser et leurs meilleurs vœux, sa main libre serrant doucement Evie près de lui alors qu’il garde le plat dans sa main avec un équilibre assez instable. Leurs retrouvailles se passent bien, pour une fois. Pas de dispute, pas de cris, pas de reproches. En réalité, l’attention de Rhett se retrouve happée uniquement par les cris d’un bambin, qu’il associe instinctivement à Nell puisqu’elle est sûrement la seule à qui il puisse penser dans un tel contexte. "Non, pas ce soir. Elle aurait bien aimé rentrer avec moi, mais Ester…" Pas Nell, alors. Il ne l’interroge pas davantage sur les raisons ayant fait refuser Ester, parce qu’ils les connaissent tous les deux et qu’il n’y a pas besoin de remuer le couteau dans la plaie. Evie s’assoit et se relève, il l’observe hésiter alors qu’il porte le plat au froid pour le conserver.
Elle initie un nouveau contact et il ne fait qu’aller dans son sens, son index chassant de son omoplate les mèches qui n’acceptent pas de rester dans son dos. "C’est vrai que je ne t’ai pas expliqué." C’est paradoxal d’avoir autant l’impression d’être chez lui et pourtant de ne rien connaître ni comprendre et de dépendre des informations qu’Evie pense à lui partager, à commencer par les personnes présentent dans le logement. "Je me suis portée volontaire pour héberger des victimes de la tempête. Ils sont arrivés il y a quelques jours, ils resteront un petit moment ici." Il embrasse son front sans se poser davantage de questions, son cœur toujours serré à la mention de victimes de la tempête. Aucun dans ses proches, fort heureusement. « Il y a un gamin et… ? » Il cherche à savoir combien de personnes elle en est venue à héberger, parce qu’il ne serait pas étonné qu’elle n’ait pas su imposer de limites en se disant que la taille de sa maison excuse tout. Surtout, il fait de son mieux pour ne pas faire de commentaire et pour ne pas lui demander si elle a fait exprès d’accueillir un enfant. Cela n’empêche pas sa curiosité de le dévorer de l’intérieur.
Rhett prend le temps et il finit par poser son menton sur le haut du crâne d’Evie, simplement pour profiter calmement de l’instant. "Alors, comment ça s’est passé ?" Et déjà, il souffle doucement. « Ethel m’en veut, Ruben m’en veut. » Mais ça pourrait résumer à peu près n’importe quel repas de famille, ça, non ? « Ça s'est pas super bien passé. » Il finit par simplement répondre à la question telle qu’elle est: le ton est monté alors non, le repas ne s’est pas bien passé. « Ethel a fait tout un cinéma avec la nourriture, comme d’habitude. » Parce que c’est plus simple que ce soit la faute d’Ethel, puisque c’est elle qui décide de ne pas manger et qui inquiète toujours leur mère, en plus de la rendre triste à ne pas goûter ses plats à la hauteur de ce qu’ils méritent. « Le tien ? » Elle n’a pas de trace de sang sur le visage, alors c’est au moins déjà ça, mais il s’est peut-être tout aussi mal passé que le repas chez les Hartfield. |
| | | ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620 TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déni DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7AA1D2 RPs EN COURS :
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly
lewis#2 ◦ micah#1 ◦ natalia#1 (fb 2020) ◦ mabel#1 ◦ atlas#2 ◦ malone#1 RPs EN ATTENTE :
JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car ( scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : ana de armas CRÉDITS : ©ssoveia (av) ◦ ©keetika (gifs profil, sign), ©crackshipandcrap (gif greede), ©katmcnamaragifs (gif malone), @macherierps (gif jake) ◦ ©astra (code) DC : jo carter & mavis barnesPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 12/02/2018 | (#)Dim 14 Jan 2024 - 11:12 | |
| from all the cuts and the blood @Rhett Hartfield ☆ crédit/ssoveia
Ça faisait du bien de retrouver des automatismes avec Rhett, mais aussi cette dynamique qui était la leur bien avant que tout ne devienne que cris, pleurs et reproches. Le chemin avait été long à parcourir, il n’était pas encore tout à fait parcouru à dire vrai, mais faire table rase et avancer plus sereinement, c’était surement la meilleure chose à faire pour ne pas enterrer ce qui restait de leur relation. Et il restait beaucoup, parce que plus de deux ans, ce n’était peut-être pas grand-chose aux yeux de certains, ça restait pourtant beaucoup quand on avait vécu tout ce qu’ils avaient vécu au cours des dernières années. Evie avait eu beau ressentir pléiades de sentiments contradictoires pour Rhett au cours de ces derniers mois, une chose restait certaine à ses yeux : il n’y avait pas une seule fois où elle avait regretté l’aimer. Au contraire, elle s’enfonçait un peu plus fort chaque fois dans la certitude que c’était comme ça que ça devait être, et que si ce n’était pas lui, ce ne serait personne d’autre. Elle n’était pas romantique dans le sens basique du terme, mais elle croyait à la destinée et la sienne, c’était de ne pas flancher face à ce qu’on lui mettait comme embûches alors qu’elle ne voulait qu’une seule et unique chose, et c’était être avec Rhett. Elle avait peut-être un peu douté quant au bienfondé de ses propres efforts, se demandant souvent si le jeu en valait vraiment la chandelle, mais alors qu’elle s’approchait de lui et qu’elle attirait toute son attention en initiant un contact physique, elle savait que oui ; pour ressentir tout ce qu’il lui faisait ressentir rien qu’en la regardant, elle savait qu’elle était prête à tout et son contraire, et tant pis si ça la faisait passer pour la sotte de service.
"Sloan —" Le gamin, donc "— et Ginny, sa mère." À nouveau, appréciant le contact des lèvres de Rhett contre son front, elle prit une profonde inspiration, et puis elle releva la tête pour le regarder tout en précisant en suivant chaque galbe de ses traits avec les yeux "Je les connais déjà, mais c’est une histoire trop longue que je te raconterai quand j’aurai quelques grammes dans le sang. Me juge pas, la journée à été atrocement longue." se défendit-elle, se défaisant presque à contre-coeur des bras de Rhett juste pour pouvoir se diriger vers son vaisselier donc elle sortit deux verres à pied, tout en ne sachant pas si Rhett se laisserait lui aussi tenter par la bouteille de blanc qu’elle alla pécher dans sa réserve personnelle et qu’elle déboucha dans la foulée. En même temps, elle l’écouta répondre à sa question à propos du bon — ou mauvais — déroulé de sa journée, séparé d’elle, et releva la tête à la mention du grief d’Ethel à l’encontre de son frère. Son expression traduisait sa surprise "Étonnant." Ruben fut cité pour les mêmes raisons, et là elle se permit de dire dans un très léger rire "Moins étonnant." Et le petit clignement d’yeux qui lui échappa quand elle le dit et qu’elle porta son verre à ses lèvres illustrait tout ce que cette révélation lui inspirait, soit pas grand-chose parce qu’elle avait toujours une sévère dent contre Ruben — qui ne deviendrait pas le sujet de leur conversation "C’est aussi critique que ça ?" Le repas des Hartfield s’était-il déterminé dans les cris ? Elle allait le demander à Rhett, s’approchant de nouveau de lui avec son verre à la main — elle lui laissait le loisir de décider s’il en voulait un lui aussi, la bouteille restant à proximité — quand ce qu’il ajouta la fit s’arrêter en bon chemin. La hanche sortant doucement de son axe pour se poser délicatement contre le bord de la table, Evie posa une main contre la matière robuste de la table "Qu’est-ce que tu lui as dit ?" Inutile de tourner autour du pot. Etant donné la teneur de son discours, il avait dû juger bon donner son avis sur le rapport particulier que sa soeur avait avec la nourriture. Comme Evie ne savait pas dans quelle mesure elle pouvait se permettre d’être précise à ce sujet, elle n’en dit plus rien pour l’instant, mais elle continua de le regarder de là où elle était pour finalement, ses épaules se haussant suite à sa question au sujet de son propre moment en famille, elle lui dit "C’était un peu moins pénible que les autres années. Tout le monde m’a demandé de tes nouvelles." Presque tout le monde, mais elle ne se corrigea pas, abandonnant son verre à ses côtés pour faire le point sur le visage de Rhett, et finir par lui demander après une longue seconde d’observation minutieuse "Est-ce que tu as envie d’en parler ?" De ce qui s’était passé avec ses frères et soeurs ? Elle lui en donnait l’opportunité, mais s’il choisissait de passer à autre chose, elle le suivrait sans hésiter. they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.
|
| | | | (#)Lun 15 Jan 2024 - 15:31 | |
| Sloan et Ginny. Il hoche la tête, comme si ces deux prénoms avaient la moindre résonance particulière dans son esprit. Il tend le cou, surtout, pour tenter d’assimiler un prénom à un visage, mais en vain. Ginny et Sloan ce sera alors, sans que cela ne change quoi que ce soit à l’idée qu’il se faisait de cette soirée - outre le besoin de lui demander si elle savait qu’elle allait ouvrir la porte à un enfant. « Je te juge pas, le plan me convient. » Quelques grammes de plus pour obtenir davantage d’informations, ça lui convient. A vrai dire, le plan lui convient même s’il s’arrête à “quelques grammes de plus”. Sa curiosité est relative, surtout quand il s’agit d’inconnus.
Les verres se remplissent et se vident au fur et à mesure qu’ils les portent à leurs lèvres et que Rhett concède quelques informations quant au dîner passé. Un fait est étonnant, l’autre ne l’est pas le moins du monde, et Evelyn commence à bien assez connaître sa famille pour le comprendre sans mal, ni même chercher plus loin. "C’est aussi critique que ça ?" - « Rien de dramatique. » Ethel finira par lui pardonner parce qu’elle est Ethel et Ruben lui en voudra toujours parce qu’il est Ruben. En somme, une fois de plus, il n’y a rien de très étonnant dans toute cette situation. "Qu’est-ce que tu lui as dit ?" Rien qui n’ait été la suite d’une bonne idée, il le sait déjà. « Qu’elle devrait manger plutôt que de m’emmerder. » Dans son regard, il lui concède qu’il a manqué une occasion de se taire, puisque cela aurait été une bien meilleure idée que d’oser balancer ça à sa sœur. Mais après tout, elle a aussi agi comme une adolescente immature, alors les remords de Rhett sont relatifs. Il lève sa main la paume face à Evie pour lui faire comprendre qu’il n’a pas besoin qu’elle lui remonte les bretelles et qu’il est déjà conscient tout seul de sa connerie. Mais c’est Ethel, et Ethel finit toujours par lui pardonner.
Ce qu’il veut entendre, plutôt, c’est si les fêtes ont été un peu moins terrible à Brisbane - ce qui n’est pas une certitude. "C’était un peu moins pénible que les autres années. Tout le monde m’a demandé de tes nouvelles." - « Tu leur as dit quoi ? » Il demande non parce qu’il ressent un besoin de contrôle, mais bien parce qu’il ne sait finalement pas ce qu’elle pourrait réellement dire de lui ou d’eux. Est-ce qu’ils ont le droit de dire à nouveau qu’ils sont officiellement ensemble ? L’envie de faire un enfant le laisse plutôt bien sous-entendre mais à force, il a appris à ne plus s’avancer sur rien. Preuve en est, ils font toujours chambre (appartement/maison) à part et ce n’est pas un fait qui mérite d’être questionné: ça, il est bien placé pour le savoir. "Est-ce que tu as envie d’en parler ?" Sans avoir à y penser à deux fois, il répond par la négative. « Je suis venu pour passer du temps avec toi, pas pour parler de mon repas. » Pas pour se prendre la tête au sujet de la famille pour la énième fois. Il veut enfin profiter d’Evelyn sans qu’aucun nuage gris ne se présente, et ça ne devrait pas être trop demandé. Comme pour se donner du courage, il se sert davantage de vin et remplit aussi le verre d’Evelyn au passage. « Ils t’ont posé des questions sur ton nouveau boulot ? » Parce qu’on a reproché à Rhett de ne pas le faire, et de ne pas en parler de façon générale, alors il essaie de rattraper le coup. Ça, et aussi parce qu’il crève d’envie de lui dire que son film devrait sortir dans quelques mois à peine et qu’il voudrait la compter à ses côtés pour l’avant première, pour des raisons évidentes. C’est devenu son travail, maintenant. |
| | | ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620 TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déni DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7AA1D2 RPs EN COURS :
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly
lewis#2 ◦ micah#1 ◦ natalia#1 (fb 2020) ◦ mabel#1 ◦ atlas#2 ◦ malone#1 RPs EN ATTENTE :
JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car ( scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : ana de armas CRÉDITS : ©ssoveia (av) ◦ ©keetika (gifs profil, sign), ©crackshipandcrap (gif greede), ©katmcnamaragifs (gif malone), @macherierps (gif jake) ◦ ©astra (code) DC : jo carter & mavis barnesPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 12/02/2018 | (#)Mar 16 Jan 2024 - 10:42 | |
| from all the cuts and the blood @Rhett Hartfield ☆ crédit/ssoveia
Le désir de Rhett de ne pas s’attarder sur le désastre qu’avait été le repas de famille des Hartfield était évident. Evie n’irait pas à l’encontre de son besoin de s’en distancer et mima la même posture que lui quand il lui révéla la teneur du discours avec lequel il avait remis sa soeur à sa place. Le menton doucement rentré, elle lui montra sa paume en signe de réédition. L’idée qu’elle n’en rajouterait pas était elle aussi évidente, elle lui précisa néanmoins "J’ai rien dit." Elle dirait quelque chose quand même, dans quelques secondes à peine, le temps de s’approcher à nouveau de lui pour, de l’intérieur de son poignet, effleurer l’oval de son visage pendant que son autre main se levait en direction de sa propre bouche qui trouva le bord de son verre dont elle but d’abord une gorgée, avant de lui dire, donc "Mais on va devoir envisager de travailler un peu sur ton tact, Garrett." Elle s’en amusait gentiment tout en sachant dans le fond que les mots de Rhett avait dû ruiner les velléités d’Ethel de se confier au sujet de son trouble du comportement alimentaire. Evelyn, qui avait défendu son partenaire à l’époque où sa soeur lui en avait parlé, aurait peut-être dû ne pas s’avancer autant sur sa bienveillance à l’égard de tout ça, mais elle n’avait pas assisté à ce repas, elle ne connaissait donc pas tous les tenants et les aboutissants de la conversation : elle ne le fustigerait pas ce soir, il savait très bien qu’il avait manqué de diplomatie, ce n’était pas nécessaire d’en faire toute une histoire.
Comme ce n’était pas nécessaire de faire toute une histoire de l’absence de Rhett au repas de famille des Pearson. Ses reins posés contre la table, Evie reprit une gorgée de son verre avant de répondre à la question de Rhett "Je leur ai dit que tu les détestais tous trop pour vouloir t’imposer plusieurs heures en leur compagnie, et que je te comprenais mieux que personne sur ce point en particulier." Sérieuse sur le coup, elle capta son regard avant que celui-ci ne devienne rieur et qu’un sourire graduel ne vienne fendre l’expression qu’elle avait emprunté pour lui imposer son mensonge — en était-ce vraiment un d’ailleurs, rien n’était moins sûr. Elle reprit, choisissant cette fois de dire la vérité, son épaule se mouvant pour rejeter la longue mèche de cheveux qui lui était tombé devant les yeux "Non, je leur ai simplement expliqué que tu avais aussi une famille, et qu’à la courte paille, c’était le dîner en leur compagnie qui avait gagné." Ou plus ou moins dans ces termes, il lui pardonnerait de ne pas être précise à ce sujet "On va s’asseoir au salon ?" Entre sa réponse et la sienne, et après s’être assurée que leur verre respectif était bien plein, Evelyn captura doucement sa main dans la sienne sans attendre qu’il confirme son envie de la suivre. La maison était grande, Sloan et Ginny vaquaient à leurs occupations de l’autre côté, et même si le petit garçon semblait hilare à intervalles réguliers, ce n’était pas ce qui les dérangerait pour discuter et profiter de l’un et de l’autre ; ce qui semblait être le seul vrai désir de Rhett sur l’instant alors qu’il lui disait textuellement ne pas vouloir parler davantage de ce qui s’était passé à Kilcoy.
Le message était enregistré, et si elle-même n’avait pas tout à fait envie de parler de son propre repas avec sa famille, elle consentit pourtant à déplacer le curseur de Rhett pour que ce dernier le pose doucement sur elle qui finit par s’installer dans le canapé, non loin de lui, tout en lui disant en même temps "Ça a été le grand sujet tout au long du repas, mais j’ai perdu patience entre les deux premières entrées, et j’ai fini par imposer de ne plus parler travail jusqu’à l’année prochaine." Ou, là encore, plus ou moins, puisque sa seule instance sur la question, ça avait été de, sans rien dire à personne, fausser compagnie aux adultes pour s’intéresser à ses neveux et nièces. Elle l’avoua à Rhett avec un léger sourire, ses doigts trouvant les cheveux qu’il avait derrière les oreilles et qu’elle replaça dans un geste doux et répétitif "En fait, j’ai passé la majeure partie de la journée avec les petits." Les petits comprenant aussi les plus grands, ceux qui avaient dépassé le stade d’être considérés comme des enfants. Pour Evelyn, ils resteraient toujours les petits. Elle ajouta, la tête légèrement inclinée sur le côté, ses jambes se rassemblant entre elles pour finalement se retrouver sur le canapé "Ils ont aimé leurs cadeaux, ça a sauvé ma journée." Elle l’affirma avec un léger mouvement de tête à la positive, reprenant une gorgée de son verre qu’elle finit par poser expressément sur la table-basse avant de se redresser vers Rhett, et de lui demander avec un enthousiasme adoucit par le fait qu’elle se mit en murmurer "Tu veux le tien maintenant ?" De cadeau, évidemment. they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.
|
| | | | (#)Mer 17 Jan 2024 - 0:39 | |
| Il a beau ne pas être chez lui, et savoir parfaitement que tel est le cas, c’est pourtant le sentiment qu’il y est à sa place qui l’emporte sur les autres. Il sourit parce qu’Evelyn est à ses côtés, il est heureux pour les mêmes raisons. Le repas de ce midi est rapidement oublié au profit de la soirée qui se profile naturellement. "J’ai rien dit." Il n’a pas été le meilleur sur ce coup, il le sait, et il comprend qu’elle n’ait pas réellement envie de lui trouver davantage d’excuses sur ce point. Lui-même ne s’en cherche pas. "Mais on va devoir envisager de travailler un peu sur ton tact, Garrett." Il hausse les épaules, ce qui est sans doute sa façon à lui d’accepter son sort: ce serait effectivement une bonne idée qu’il travaille sur lui, même s’il aurait dû s’en rendre compte avant de fêter ses quarante ans. « Si j’avais eu des profs comme toi, j’aurais sûrement été plus attentif à l’époque des cours. » Il fait dans les sous-entendus une fois et une seule, son sourire passant rapidement à autre chose tant il ne veut pas en faire une réelle discussion.
Les explications d’Evelyn au sujet de l’absence de Rhett ne sont pas si loin que ça de la vérité et il aurait payé cher pour connaître leur réaction si elle avait osé leur dire ça. Pour l’heure encore, il joue à l’enfant en prenant le temps d’étirer un sourire conquis sans pour autant prendre le temps de répondre. Il comprend sans mal qu’elle a tout aussi peu envie de parler en long et large du repas qu’elle a vécu, comme tel était le cas pour lui. Il se dit aussi qu’il vaut mieux l’épargner des détails scabreux parce qu’il compte bien avoir son assiette autour de la table d’ici l’année prochaine et qu’il doit faire attention à ne pas en être dégoûté avant l’heure, même si pour le moment l’idée de continuer cette discussion au salon l’emporte sur tout le reste. Les verres suivent, même si celui de Rhett ne descend pas bien rapidement. "En fait, j’ai passé la majeure partie de la journée avec les petits." Il comprend que le sujet du nouveau travail d’Evelyn est proscrit et cette note s’ajoute à toutes les autres, parce qu’il mentirait s’il disait qu’il voulait particulièrement en parler. Au lieu de ça, il se concentre sur ses mots et sur la précision qu’elle a coeur à ajouter, elle dont la maison se remplit ponctuellement des cris de joie d’un enfant. « Ils t’aiment bien. » Il emprisonne entre ses doigts ceux de la main d’Evie qui passait son temps à replacer ses mèches. Sa remarque est donnée dans un sourire. Un jour, il est persuadé qu’il pourra lui dire la même chose au sujet de ses propres enfants. "Ils ont aimé leurs cadeaux, ça a sauvé ma journée." - « Et toi la leur. » Elle est le membre de la famille cool, raison pour laquelle elle apparaît tout autant comme vilain petit canard pour le reste de sa famille de son âge.
"Tu veux le tien maintenant ?" « Si je l’aime, je pourrai dire que j’ai sauvé ta soirée ? »
Il demande dans un sourire amusé, bien qu’il ne cherche pas à lui faire douter de son choix de cadeau. Mais oui, bien sûr qu’il est un enfant déjà curieux de savoir ce qu’elle aurait pu lui trouver là où, de son côté, il s’est pendant un temps interrogé sur la possibilité d’anticiper avec des accessoires pour bébé - au cas où elle pourrait avoir oublié leur conversation. « Je t’envoie le tien par mail. Là comme ça tu te dis que c’est pas très romantique, et je suis d’accord, mais j’ai pas eu l’idée de l’imprimer jusqu’à maintenant. » Il avoue dans un sourire parfaitement coupable tout en étant assez sûr de lui pour savoir que ça fait son charme et qu’elle l’aime au moins un peu pour ça, malgré tout le reste. |
| | | ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620 TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déni DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7AA1D2 RPs EN COURS :
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly
lewis#2 ◦ micah#1 ◦ natalia#1 (fb 2020) ◦ mabel#1 ◦ atlas#2 ◦ malone#1 RPs EN ATTENTE :
JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car ( scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : ana de armas CRÉDITS : ©ssoveia (av) ◦ ©keetika (gifs profil, sign), ©crackshipandcrap (gif greede), ©katmcnamaragifs (gif malone), @macherierps (gif jake) ◦ ©astra (code) DC : jo carter & mavis barnesPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 12/02/2018 | (#)Jeu 18 Jan 2024 - 21:57 | |
| from all the cuts and the blood @Rhett Hartfield ☆ crédit/ssoveia
Elle aurait aimé lui dire que le tact ne s’apprenait pas à l’école, mais à nouveau, elle sentait qu’il préférait vite passer sur le sujet pour se concentrer sur, si ce n’était l’essentiel, loin d’elle l’idée de reléguer les autres Hartfield à la dernière place des priorités de leur aîné, au moins sur ce qui comptait un peu plus et qui leur permettrait de passer une bonne soirée, leur journée n’ayant pas été ni simple ni agréable. Ils se retrouvèrent au salon pour se mettre à l’aise, discuter de ce que bon leur semblait sans chercher à tabler sur quelque chose de particulièrement sérieux, peut-être parce qu’ils avaient eu trop de discussions sérieuses ces derniers temps pour vouloir en faire une valeur par défaut à toutes ces fois où ils se retrouvaient tous les deux. C’était un peu idiot d’ailleurs, de s’être mis d’accord sur le projet de leur vie d'un commun accord, mais de ne même pas vivre sous le même toit. Elle y avait beaucoup pensé entre le noël des enfants qu’ils avaient aidé à préparer et ce soir, à la possibilité de définitivement retourner à un passé pas si lointain, où elle le prenait au dépourvu avec une proposition de rester pour de bon à vivre ici, là où Ruben le chien pourrait s’adonner à des marathons tout au long de la journée, et pas seulement qu’à heures fixes, quand il serait l’heure pour lui d’être sorti ; là où un enfant s’épanouirait sans mal comme le prouvait la présence de Sloan depuis quelques jours "Je suis la tante qui a tout plaqué pour partir faire des études en Europe, bien sûr qu’ils m’aiment bien." lança-t-elle avec lucidité, remisant un instant ses pensées diffuses pour les concentrer sur Rhett et plonger ses yeux sombres dans les siens, aussi clairs qu’il était facile de s’y perdre sans le vouloir vraiment ; et elle y repensa, à le faire rester pour de bon, lui donnant l’envie soudaine de le gracier du cadeau qu’elle avait soigneusement préparé pour lui, et qui mettait une conclusion nette à ses tergiversions mentales à ce sujet.
Avant tout, elle lui demanda si elle le voulait, de son cadeau. Sa réponse lui arracha un plissement de paupières, sa mine de conspiratrice la suivant dans sa levée du canapé "Je sais que tu vas l’aimer, alors on peut déjà dire que tu l’as sauvée, oui." Elle ne lui lâcha pas la main tout de suite, laissant leurs bras se tendre doucement jusqu’à ce que le lien se brise de lui-même, et que s’avançant ensuite vers le buffet du salon, elle sortit de l’un des tiroirs un petit écrin dont la petitesse pourrait amener une panique qu’elle ne voulait pas provoquer chez le jeune homme. C’est pourquoi faisant le chemin inverse, elle lui dit en même temps , se défendant adorablement d’une quelconque curieuse idée "Promis, ce n’est pas une bague." Il devait le savoir, mais ça valait mieux de le verbaliser au lieu de rendre les choses gênantes ; ils en étaient à prévoir de faire un bébé, mais la suite logique de ce genre de projet, elle ne comptait pas en parler. Elle lui tendit son écrin, laissant un léger rire filer à ce qu’il lui disait en même temps "Je vais devoir deviner ce que c’est, mon cadeau, où tu comptes vraiment attendre que je consulte ma boîte mail ?" Elle se rassit à ses côtés, ajoutant dans la continuité de ce qu’il lui disait "Heureusement que je suis romantique pour deux, ce serait très gênant pour toi sinon. Quoi que même sans ça…" Elle ne termina pas sa phrase, apposant simplement sa conclusion par un petit sourire énigmatique. A organiser des mariages pendant autant de temps, elle avait fini par le devenir ; c’était un peu comme le tact finalement, ça ne se s’apprenait pas à l’école.
Posant un bras sur le dossier du canapé, ses jambes se rejoignirent à sa position presque entièrement tournée vers Rhett qu’un signe de tête, elle encouragea à soulever le couvercle de l’écrin élégant qu’elle lui avait mis entre les mains. Dedans, il ne trouverait pas grand-chose en vérité, seulement la clef de chez elle qu’elle lui avait demandé de lui rendre quand elle avait jugé que c’était nécessaire de ne plus continuer, quand elle avait eu si mal de se rendre compte que sa dévotion n’était pas payante, qu’elle avait préféré le chasser. Laissant un petit silence s’installer, elle lui donna le temps de raccorder les fils, et attendit qu’il lève le regard vers elle pour y amarrer le sien et lui expliquer, une épaule se haussant dans la foulée "J’y ai beaucoup pensé." Ce ne suffisait pas à expliquer qu’elle lui faisait ce cadeau ce soir ; le moment n’était pas important finalement, c’était juste l’opportunité qu’il lui fallait pour soulever la proposition, mais n’importe quand aurait tout aussi bien convenu : elle voulait qu’il revienne ici "En plus, il paraît qu’être sous le même toit pour faire un bébé, c’est beaucoup plus pratique." Levant une main devant elle, comme pour protéger ses secrets, elle conclut "Me demande pas comment je le sais, c’est la rumeur qui court." Elle plaisantait pour qu’il ne ressente aucune pression sur ses épaules, bien qu’elle se disait que la vraie pression au fond n’était pas de vivre à nouveau tous les deux, mais de faire un enfant — et celle-ci, il semblait l’avoir accepté pour de bon. Il valait tout de même être prudent, alors elle lui dit plus sérieusement, ses doigts venant effleurer le visage de Rhett qu’elle ne lâcha toujours pas des yeux "C’est seulement si tu veux. Je comprendrais que tu veuilles attendre un peu." they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.
|
| | | | (#)Dim 21 Jan 2024 - 21:41 | |
| "Promis, ce n’est pas une bague." Il ne trouverait même pas l’idée si terrible, maintenant. A la question de s’il veut se marier, Rhett répondrait toujours non, incapable de comprendre la glorification d’un tel acte, mais pour autant il ne serait pas celui qui freinerait des quatre fers si Evelyn abordait le sujet. Elle a fait des sacrifices pour lui, elle a fait des choses qu’elle n’aurait jamais faites s’il n’avait été question que d’elle, alors il pense effectivement qu’elle mériterait qu’il mette de côté ses idées sur le mariage pour la rendre enfin un brin heureuse. Alors, que ce soit une bague ou non, il n’y a plus grand chose qui le fasse autant paniquer désormais. Sans rien dire ni laisser paraître, il observe Evelyn s’avancer avec la minuscule boîte en main ; et s’il ne s’agit pas d’une bague, alors il est curieux de savoir ce qu’elle peut donc contenir. "Je vais devoir deviner ce que c’est, mon cadeau, où tu comptes vraiment attendre que je consulte ma boîte mail ?" - « Je suis vraiment sans pitié. » Autrement dit, oui, elle va devoir ouvrir sa boîte mail pour savoir ce dont il en retourne, parce que Rhett ne compte rien lui annoncer de lui-même, encore moins alors qu’il se surprend à plutôt se prendre au jeu et aimer les secrets faits. "Heureusement que je suis romantique pour deux, ce serait très gênant pour toi sinon. Quoi que même sans ça…" Heureusement qu’elle est beaucoup de choses pour deux, oui. Aujourd’hui, il peut le dire sans mal, parce qu’il est conscient de la chance de l’avoir dans sa vie autant que de tout l’équilibre qu’elle personnifie à elle seule.
La surprise est entière lorsqu’il ouvre l’écrin pour finalement découvrir la clé à l’intérieur. Et il n’a pas besoin de lui demander ce qu’elle ouvre tant il la connaît déjà, pour l’avoir longuement portée dans une poche ou une autre de son pantalon sans jamais se rendre compte de sa véritable valeur. Il était heureux d’avoir la clé de chez Evie, ça oui, mais il n’avait pas conscience que ce n’était pas un acquis et qu’à tout moment, elle pouvait lui être reprise. Jusqu’à ce que tel soit le cas, du moins. "J’y ai beaucoup pensé." Lui aussi. D’une façon bien différente, sans doute, mais peu importe. Il a longuement retourné le problème dans tous les sens, sans pour autant lui trouver une solution. "En plus, il paraît qu’être sous le même toit pour faire un bébé, c’est beaucoup plus pratique." Il aime la façon dont ils arrivent à en parler aussi simplement et naturellement, maintenant. Il aime Evie tout court, ausis, bien évidemment, mais c’est un sujet différent et acté depuis longtemps. "Me demande pas comment je le sais, c’est la rumeur qui court." Et puisqu’il voit bien qu’elle met tout son cœur à l’ouvrage pour tenter d’apaiser la situation, il y ajoute à son tour un rire franc et de bon cœur. S’il garde le silence, c’est simplement parce qu’il est encore un peu trop choqué, sans que cela n’ait rien de négatif. Lorsqu’elle pose une main contre son visage, il a l’impression de revenir à lui. Ses yeux eux-mêmes se plissent pour devenir rieurs. "C’est seulement si tu veux. Je comprendrais que tu veuilles attendre un peu." - « Est-ce que tu es sûre de toi ? » C’est tout ce qu’il veut savoir, parce que de son côté il ne pense pas un seul instant à rejeter sa proposition. Mais il veut lui poser la question, il veut pouvoir dire qu’il l’a fait, et il veut pouvoir ajouter qu’elle lui a (encore) proposé qu’ils emménagent ensemble pour les bonnes raisons. « Parce que moi oui, mais je veux pas que tu me le proposes juste parce qu’on a parlé bébé. » Alors, pour une fois, Rhett est sérieux sans aucune nuance à cela. « C’est pas juste une discussion, mais je veux dire, il va de toute façon pas arriver là maintenant de suite, donc si t’as besoin d’un peu de temps encore… c’est ok. Je peux toujours garder la clé chez moi. » Au cas où elle perdrait la sienne et aurait besoin du double, par exemple. Ce genre de service. Ce genre de service qui n’implique pas qu’il passera tout son temps chez elle à la seconde où elle lui en aura donné le droit, parce qu’en amour comme dans tout le reste, il n’a jamais été doué pour les demies mesures. « Je pense pas qu’on va trop vite, mais on a déjà statué sur le fait que j’étais pas le meilleur analyste de notre couple. » qu’il avoue dans un rictus, bien malgré lui. Il aimerait être meilleur, il l’aimerait vraiment, mais il ne voit pas comment. Sa main se pose à son tour sur celle qu’Evie a posée contre sa joue et il profite de ce geste pour rapprocher leurs visages et l’embrasser consécutivement sur le front, la tempe, et les lèvres. « Mais sache que ça peut pas compter pour un cadeau, ça. Tu me l’as déjà donné une fois, c’est de la triche. » Dans un sourire, il se permet de jouer au gamin insolent et jamais totalement satisfait, bien que le besoin de recevoir des cadeaux n’est heureusement pas un de ses nombreux défauts. Il détend l’ambiance, rien de plus. |
| | | ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620 TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déni DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7AA1D2 RPs EN COURS :
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly
lewis#2 ◦ micah#1 ◦ natalia#1 (fb 2020) ◦ mabel#1 ◦ atlas#2 ◦ malone#1 RPs EN ATTENTE :
JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car ( scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : ana de armas CRÉDITS : ©ssoveia (av) ◦ ©keetika (gifs profil, sign), ©crackshipandcrap (gif greede), ©katmcnamaragifs (gif malone), @macherierps (gif jake) ◦ ©astra (code) DC : jo carter & mavis barnesPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 12/02/2018 | (#)Mar 23 Jan 2024 - 11:32 | |
| from all the cuts and the blood @Rhett Hartfield ☆ crédit/ssoveia
"Je ne fais jamais rien sans être sûre de moi Rhett, je pensais que tu le savais." La réponse lui était accordée sans aigreur ou agressivité, plutôt avec une douceur qu’elle accentua en inclinant la tête sur le côté, ses yeux ne réussissant à quitter son visage tant elle était curieuse d’y découvrir chaque micro-expressions induites par ce cadeau qu’elle lui faisait. Elle disait vrai qui plus est. Evelyn n’était pas une tête-brûlée qui fonçait sans peser le pour et le contre de ce qu’elle envisageait sur le long terme, et si bien sûr, elle s’était questionnée de longs instants sur la meilleure façon d’aborder ce retour à la normale, une partie d’elle connaissait déjà les réponses aux questions qu’elles s’étaient posées avant de se lancer dans l’élaboration de ce petit plan pour le faire rentrer à la maison. Parce que oui, c’était chez lui ici. Elle avait acheté cette bâtisse en se disant qu’il y aurait sa place sans nul doute, et l’avait trouvée bien vide quand elle l’avait mis à la porte au point qu’un jour sur deux, elle s’était dit qu’elle allait déménager tant tout ici semblait imprégné par sa présence. Il ne s’était pas installé longtemps, mais il avait eu le temps de laisser sa marque, et elle voulait qu’il la laisse toute sa vie si ça lui chantait "Je ne te le propose pas que parce qu’on a parlé bébé, je te le promets." Secouant la tête à la négative, ses sourcils se froncèrent en même temps qu’elle poursuivait "Je te l’ai déjà proposé dans le passé, et ce n’était même pas un sujet qu’on abordait à l’époque." Ou en tout cas, ce n’était pas un sujet serein sur lequel ils débattaient, et qui méritait qu’elle en fasse un argument valable pour asseoir la proposition qu’elle lui avait faite de rester définitivement. Elle ne voulait pas qu’il se méprenne : elle plaisantait à ce sujet parce qu’elle était trop pudique pour vouloir faire de tout ça un grand événement, mais leur décision récente n’avait pas fait éclore son envie qu’il revienne, elle n’avait fait que la confirmer.
"J’ai pas besoin d’un peu de temps, j’en ai eu assez. Je veux que tu reviennes." Et peut-être qu’il l’avait contaminé avec ses je veux incessants finalement, le prouvait la résolution qu’il y avait dans son ton quand elle ajouta dans la continuité de ce qu’elle lui avait déjà répondu "J’ai acheté cette maison dans l’espoir qu’elle devienne la tienne aussi, sinon je me serais contentée d’un appartement en ville. Sans toi, ça n’a pas de sens de vivre ici." Sans lui, la maison était vide et angoissante, et quand bien même ils ne seraient que deux pour quelques mois encore, c’était toujours plus engageant que de devoir supporter l’écho de ses propres pas lorsqu’elle déambulait dans les couloirs. C’était aussi pour cette raison qu’elle avait accepté aussi rapidement que Ginny et Sloan viennent vivre ici quelques temps, parce qu’elle ne supportait pas l’écho de sa solitude qui s’était imposée sans lui demander son avis sitôt elle avait décidé de chasser Rhett d’ici. Elle le regrettait, mais elle décidait de tourner la page sur tout ça pour réparer cette erreur, tout comme lui continuait de vouloir réparer les siennes en se montrant raisonnable et raisonné quand elle, sur l’instant, n’avait qu’une seule idée en tête, et c’était qu’il accepte "Alors si tu ne trouves pas qu’on va trop vite, reviens." Elle se sentit furtivement sourire sous la simplicité de sa requête que, cette fois, elle rendit plus claire encore "On a déjà discuté de tout ce qu’on doit corriger pour que ça fonctionne entre nous, ce sera plus simple de le mettre en pratique en vivant tous les deux." Elle sonnait presque trop désespérée à vouloir le convaincre quand elle lui avait dit que ce serait comme il l’entendrait. L’espace d’un instant, elle s’en voulut un peu de donner l’impression d’insister, mais elle en avait assez d’être raisonnable — certainement que le peu de vin qu’elle avait bu ce soir s’amoncelait avec celui qu’elle avait bu tout au long de la journée, et que ça la rendait plus propice à supplier pour obtenir ce quelque chose dont elle avait envie, et qui était le seul cadeau qu’elle accepterait vraiment. Laissant Rhett l’embrasser consécutivement à plusieurs endroits de son visage, elle profita qu’il termine par ses lèvres pour prolonger leur baiser un instant, ses doigts s’intercalant entre ceux de la main qu’il avait posé sur la sienne, puis garda son nez près du sien pour laisser échapper un léger rire à ce qu’elle l’entendit lui dire ensuite. Très doucement, elle se redressa juste pour soulever la clef de son écrin, et lui faire remarquer tandis qu’il l’accusait de tricherie de lui offrir quelque chose qu’elle lui avait déjà donné dans le passé "J’ai ajouté un porte-clef, il n’y était pas la dernière fois." Teintés de mauvaise foi, ses mots rebondirent doucement sur ses lèvres qu’elle frôla de nouveau des siennes, pour plusieurs petits baisers, s’approchant un peu plus de lui quand, redevenant sérieuse, elle ajouta "Moi, je n’ai pas besoin de réfléchir plus longtemps à tout ça, mais si toi tu veux prendre le reste de la semaine pour le faire, je suis prête à attendre." Avec impatience certes, ce qui ne lui ressemblait pas tout à fait. Mais encore une fois, elle n’était pas tout à fait à jeun, il lui pardonnerait. they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.
Dernière édition par Evelyn Pearson le Dim 28 Jan 2024 - 9:01, édité 1 fois |
| | | | (#)Jeu 25 Jan 2024 - 16:59 | |
| Elle ne fait rien sans jamais être certaine, oui, il le sait bien. Mais quand même, certains sujets nécessitent une double vérification et une question de sa part, parce qu’il a du mal à croire qu’elle est bel et bien prête à lui laisser les clés de chez elle - pour la deuxième fois la même année, déjà. "Je ne te le propose pas que parce qu’on a parlé bébé, je te le promets." Et puis finalement, ce n’est même pas le plus important à ses yeux. Tant que ce n’est pas que la raison derrière la proposition, en réalité, il ne voit pas le mal à ce que cette perspective d’avenir joue un rôle dans l’envie de vivre ensemble. Au contraire, même, cela tombe sous le sens et ce de façon assez évidente. "J’ai pas besoin d’un peu de temps, j’en ai eu assez. Je veux que tu reviennes." Quand tout se retrouve expliqué de cette façon, il n’a plus aucune volonté de lui demander si elle est certaine de son choix. Tout ce qu’il désire, c’est l’embrasser sans plus jamais s’arrêter, pour qu’elle comprenne au moins en partie qu’il veut revenir, lui aussi. Qu’il veut pouvoir appeler cet endroit chez nous, un jour. "J’ai acheté cette maison dans l’espoir qu’elle devienne la tienne aussi, sinon je me serais contentée d’un appartement en ville. Sans toi, ça n’a pas de sens de vivre ici." Le regard de Rhett vacille un instant, pris de court par l’évidence d’une réalité qu’il n’avait pourtant pas vue. Pour lui, cette grande maison était simplement aux goûts d’une Evelyn ayant les moyens de se l’offrir, et il n’a pas pensé un seul instant à voir plus loin, ou à analyser davantage une situation qui était simplement le reflet de la réalité. Mais il faut bien avouer qu’il aime bien l’entendre trouver des milliers de raisons à son emménagement, entrecoupés de je veux qu’il n’a que peu l’habitude d’entendre de sa bouche. Ce jeu lui plaît, mais rien ne lui plaît davantage que de sceller ses lèvres aux siennes pour prendre le temps de la rassurer, finalement: bien sûr qu’il veut vivre avec elle, et bien sûr que cette maison correspond parfaitement à ses attentes. « Y’a une pièce pour mes trophées ? » Son visage toujours aussi près du sien, il acte la décision et prend même la peine de déjà s’imaginer entre ces murs. S’il vient, il vient aussi avec ses coupes et autres récompenses, évidemment.
Il se sent même à l’aise au point d’ironiser sur le cadeau ayant un arrière-goût de déjà vu, ce qui fait l’interroger sur la capacité même à le qualifier de “cadeau”. S’il peut en avoir un second, après tout, il n’est pas contre. "J’ai ajouté un porte-clef, il n’y était pas la dernière fois." Et le rire de Rhett, pour une fois bon joueur, se retrouve mis à mal par les baisers qu’elle égare à de multiples reprises contre sa peau. "Moi, je n’ai pas besoin de réfléchir plus longtemps à tout ça, mais si toi tu veux prendre le reste de la semaine pour le faire, je suis prête à attendre." - « Regarde moi bien ne jamais te rendre ces clés, Evie. » Elles sont dans sa main et elles iront tout au plus dans la poche de son pantalon, mais rien de plus loin. La décision est déjà prise, il n’a pas besoin de réfléchir à quoi que ce soit de plus. Il ne les lui rendra même pas après les prochaines disputes parce que, même s’il ne doute pas un seul instant qu’elles existeront bel et bien, il veut croire en eux et croire qu’elles n’arriveront jamais à la cheville de celles qu’ils ont déjà connu. « Ça sera notre année, ok ? Outre le côté cliché, on a quand même le droit de l’appeler comme ça. » Parce qu’il veut croire qu’ils seront parents d’ici la fin de l’année ou qu’elle sera au moins enceinte, parce qu’ils habiteront ensemble pour de vrai, parce qu’ils auront connu bien plus de hauts que de bas. Ils apprennent de leurs erreurs, et Dieu sait qu’il y a de quoi apprendre. « Ruben a appris à monter sur le lit. C’est pas ma faute, promis, mais ça va aussi devenir ton problème, du coup. » Il avoue dans un sourire en coin: tout le monde savait par avance qu’il ne saurait rien refuser à son chien, si bien que cette nouvelle n’en a rien d’une, justement. |
| | | ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620 TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déni DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7AA1D2 RPs EN COURS :
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly
lewis#2 ◦ micah#1 ◦ natalia#1 (fb 2020) ◦ mabel#1 ◦ atlas#2 ◦ malone#1 RPs EN ATTENTE :
JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car ( scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : ana de armas CRÉDITS : ©ssoveia (av) ◦ ©keetika (gifs profil, sign), ©crackshipandcrap (gif greede), ©katmcnamaragifs (gif malone), @macherierps (gif jake) ◦ ©astra (code) DC : jo carter & mavis barnesPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 12/02/2018 | (#)Dim 28 Jan 2024 - 9:52 | |
| from all the cuts and the blood @Rhett Hartfield ☆ crédit/ssoveia
Elle n’était suspendue à ses lèvres qu’à cause de l’expectative de nouveaux baisers échangés, parce qu’une partie d’elle savait déjà à peu près ce qu’il allait finir par lui répondre. Elle ignorait si c’était pour se donner bonne conscience qu’il prenait soin de réfléchir à sa proposition, mais puisqu’elle avait déjà le sentiment d’être insistante, elle lui laissa le temps de mettre de l’ordre dans ses pensées et de peser silencieusement le pour et le contre s’il le désirait. Elle n’avait pas songé à un potentiel refus de sa part ni même à une réaction à lui accorder en conséquence, mais elle devinait que ça la blesserait profondément de l’entendre lui dire qu’il préférait battre en retraite cette fois. Elle ne voulait pas y penser maintenant, et dans une douce manière d’inviter le positif de sa réponse, elle frotta le bout de son nez contre le sien, en appelant à cette chose dense et palpable qui régnait entre eux maintenant pour le convaincre définitivement que ce n’était pas une mauvaise idée de revenir, qu’il aurait tout à y gagner. Elle aurait pu ajouter un s’il te plaît implorant pour le convaincre davantage, prenant ses lèvres en otage pour réussir son coup, mais elle n’en eut pas tellement le temps, le baiser qu’il lui vola avant qu’elle ne puisse le faire comblant l’attente à laquelle il l’avait soumise. Ses mots lui firent relever les yeux dans le sien pour prendre la mesure de ce que ça lui procurait de l’entendre confirmer de manière détournée que sa décision était prise "Il peut même y en avoir deux si tu en as envie. Une pour le rugby, l’autre pour ta reconversion." C’était un champion Rhett, tout ce qu’il entreprenait fonctionnait, il aurait toute la place de polir son ego ici en exposant ses trophées s’il le désirait, elle l’y encouragerait. Prenant le temps de le dévisager encore une poignée de secondes, mémorisant chaque détails de chaque traits de son visage, elle murmura "C’est un oui ?" Elle le lui demandait quand même, vigilante par commodité, et ne voulant plus que des réponses claires à des questions simples ; plus rien n’avait besoin d’être compliqué entre eux, ça appartenait à un passé qu’elle n’oublierait pas, ayant tout de même besoin d’en guérir encore un peu, mais qu’elle préférait remiser dans l’espace réservé à ses plus mauvais souvenirs.
Ils s’en créeraient de nouveau, et sans nul doute que le premier se formait ici, dans l’espace qui les séparait à peine, et qu’Evie réduit encore un peu en se sentant interpellée par la détermination dans la voix de Rhett qui confirmait bel et bien que ces clefs qu’elle venait de lui rendre, il comptait les garder. Elle attira davantage son attention en posant sa main sur sa joue, lui tournant le visage pour qu’il la regarde sans interférence, et lui dit avec au moins autant de détermination que lui "Je t’aime. J’ai l’impression que la dernière fois que je te l’ai dit date de plusieurs millions d’années, mais j’ose espérer que tu ne l’as pas oublié." Elle en hocha la tête tant ça paraissait évident pour elle, tant elle avait besoin que ça la devienne pour lui au point ne jamais l’oublier "Je t’aime." répéta-t-elle, plus sérieusement encore. Se frayant un peu dans le creux de ses bras, elle finit par poser sa main sur sa poitrine et poser sa tête contre son coeur en confirmant de son côté "Ce sera notre année." Sur tous les plans, il fallait que ça le soit, et l’espace de quelques secondes à peine, elle se perdit dans la contemplation du tableau mental qu’elle imaginait pour eux une fois que l’année terrible qu’il venait de passer serait elle aussi remisée dans l’espace réservé à ses plus mauvais souvenirs. Elle osait faire le voeux que l’an prochain, à la même époque, ils seraient plus enthousiastes à l’idée de passer les fêtes parce qu’ils auraient de quoi se réjouir de trouver de quoi créer leurs propres traditions, et même de se trouver une excuse pour ne les passer que tous les trois, eux et ce bébé qui n’était même pas encore là, mais qui concentrait toute leur attention et leur envie de devenir des gens meilleurs. Elle revint sur terre après un instant, son rire accompagnant le regard aux paupières plissées qu’elle accorda à Rhett quand elle lui répondit en chuchotant exagérément "Je crois que c’est le genre de problème que je me sens capable de gérer." Et à nouveau, elle hocha la tête plus par amour de la théâtralité que pour se convaincre de quoi que ce soit, sa bouche se posant sur celle de Rhett pour un baiser plus appuyé que les autres, sa main glissant le long de sa gorge pour épouser l’angle de sa mâchoire. they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.
|
| | | | | | | | (everhett #28) from all the cuts and the blood |
|
| |