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 calex 94 x wine is flowin' with Bacardi

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyLun 8 Jan 2024 - 11:20

Calex
Wine is flowin' with Bacardi. But sometimes boys just want to have fun. The poetry inside of me is warm like a gun

L’année 2024 commence bien. Très bien, même. Ou peut-être que demain matin mon discours à ce sujet sera totalement différent. Il y a bien des chances que ce soit le cas, d’ailleurs. La soirée d’inauguration du nouveau restaurant d’un collègue et ami n’a pas été timide en alcool, bien au contraire et si habituellement je ne bois qu’un ou deux verres de vin, ce soir ils ont été bien plus nombreux. Combien exactement ? Je n’en ai pas la moindre idée et je ne pense pas que mon état actuel me permette de me souvenir avec plus de précision de quoique ce soit. Alex a dû rester à la maison pour s’occuper des enfants, Romane ne rentrant de ses vacances en France que demain, alors c’est donc seul que je me suis rendu à cette soirée. J’aurais largement préféré passer cette soirée avec ma femme, ce genre d’événement étant toujours bien plus agréable lorsqu’elle se trouve à mes côtés. Quelques échanges par message au début de la soirée ont suffi à me rassurer : les enfants vont bien, elle aussi. Ils sont sages – comme des enfants d’un et trois ans peuvent l’être – et ne la font pas trop courir dans tous les sens. Ces informations qu’elle me donne m’aident à me déculpabiliser de la laisser seule avec nos enfants et c’est donc plus serein que j’ai réussi à apprécier cette soirée.

Une heure du matin : je sors du taxi laissant dans l’habitacle deux autres personnes devant être raccompagnées chez eux. La maison est calme. Bien évidemment qu’elle l’est, il est un peu plus d’une heure du matin. Les pièces sont toutes plongées dans l’obscurité alors afin d’y voir plus clair mes doigts appuient doucement sur l’interrupteur du salon pour l’éclairer. Je retire mes chaussures non sans manquer de perdre l’équilibre au moins deux fois – la scène doit sans aucun doute être extrêmement drôle, d’un point de vue extérieur. Ce n’est que lorsque je laisse mon dos prendre appuie sur un mur que je commence à me dire que peut-être, le dernier verre était de trop. Je passe une main dans mes cheveux tout en soupirant en voyant quelques affaires traîner ici et là. L’envie de tout ranger avant de rejoindre la chaleur et le réconfort du lit parental me traverse rapidement l’esprit mais après une rapide réflexion, me baisser pour attraper les jouets ne me semble clairement pas comme étant une bonne idée. Après quelques courtes minutes à rester adossé contre le mur de l’entrée, j’avance doucement vers la cuisine et c’est en marchant sur un jouet abandonné sur le sol du salon que je manque de le rejoindre par terre. Je parviens tout de même à me rattraper et à tout juste regagner un équilibre non sans plusieurs jurons qui traversent la barrière de ma bouche. Il faut croire que l’alcool semble me faire oublier que la grossièreté n’est pas dans mes habitudes. Enfin arrivé dans la cuisine je me serre un verre d’eau, comme si ça pourrait suffire à éponger tout l’alcool présent dans mon corps. Alors que nous savons très bien que c’est loin d’être le cas. Pour éviter de se retrouver dans l’état dans lequel je suis actuellement il est surtout conseillé de boire de l’eau entre chaque verre d’alcool. Autant dire que nous ne l’avons clairement pas fait. Dommage. Peut-être que cet oubli me servira de leçon. Ou pas. Ce soir n’est pas la première soirée de ma vie durant laquelle je bois trop, malheureusement. Installé au bar de la cuisine durant quelques minutes tout en buvant doucement mon verre d’eau, je me masse les paupières fermées tout en soupirant légèrement. 1h35, c’est l’heure que mon portable m’indique. Un nouveau soupir et puis je laisse le verre vide dans l’évier. Il est maintenant temps de monter les escaliers le plus doucement possible afin d’éviter de réveiller les enfants ou encore ma femme qui doit elle aussi être tombée dans les bras de Morphée depuis déjà un long moment. Je monte les marches doucement. Certainement bien plus doucement que je ne l’ai jamais fait et peut-être même à la même cadence que les jumelles qui ne sont pas les plus rapides dans les escaliers. L’idée d’aller les embrasser ainsi que Mael me traverse l’esprit, mais bien heureusement mon taux d’alcoolémie n’est pas assez élevé pour que je ne sois pas capable de me rendre compte qu’il s’agit là d’une très mauvaise idée.

Notre chambre est, elle aussi, plongée dans le noir alors pour éviter de réveiller Alex c’est avec la lumière de mon téléphone portable que je décide de me guider jusqu’à notre salle de bain. Mon regard se pose sur Alex qui semble bien dormir et c’est une vision pourtant simple mais qui suffit à me faire largement sourire. Elle est belle, comme ça. Elle semble si apaisée. Et peut-être que j’aurais dû m’arrêter quelques secondes si l’envie de regarder ma femme était si forte, mais non, je le fais tout en continuant mon avancée vers notre salle de bain, et je suis tellement hypnotisé par la beauté d’Alex qu’au lieu de passer par la porte, je me prends littéralement le mur. De nouveau toute une flopée de jurons qui ressortent de mes lèvres. J’entends Alex qui bouge, et une petite lumière s’allume. « Ohhhhh bébé je suis tellement désolé !! » que je lui dis d’un air sincèrement confus. Je soupire alors que la paume de ma main vient frapper mon front. « Je te juuuure, que j’ai vraiment essayé de pas faire beaucoup de bruit, je voulais aller dans la salle de bain pour me préparer à aller au lit mais je te regardais dormir. Tu étais tellement mignonne. Et puis je sais pas trop ce qu’il s’est passé mais…» Mais tu t’es pris un mur, Caleb. Et t’es complètement bourré. Alex n’aura aucun mal à le voir. Finalement je m’avance vers le lit, et je me penche vers elle pour l’embrasser sur la joue. « T’es belle. Mais vas-y rendors toi ! Je vais pas faire beaucoup de bruit. Promis. » Le ton bien trop enjoué de ma voix trahis mon ivresse, et ma démarche peu assurée jusqu’à la salle de bain également.


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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyMar 9 Jan 2024 - 3:14




WINE IS FLOWIN' WITH BACARDI. BUT SOMETIMES BOYS JUST WANT TO HAVE FUN. THE POETRY INSIDE OF ME IS WARM LIKE A GUN

Après un peu plus de deux semaines de vacances, j'ai repris le chemin du travail. Juste deux jours dans la semaine puisque tous les autres professionnels sont encore en vacances. Je devais l'être aussi mais avec la tempête, les dégâts à gérer et les derniers événements dans notre vie, nous n'avons pas pu partir quelques jours en vacances. J'ai profité des enfants pendant deux semaines, tous les jours avec eux, totalement centrés sur eux, et j'en ai eu besoin. D'être chez nous, d'oublier la vie extérieure pour être en famille et faire le vide dans mon esprit. Certaines nuits ont été courtes, certains moments de la journée ont été empli de doutes et de pensées négatives, mais grâce aux enfants, grâce à leurs présences dans ma vie et au quotidien, j'ai pu gérer les moments un peu plus compliquées. Ils ne pourront rien arranger de ce qui me fait stresser et m'angoisse, mais ils arrivent à me faire penser à autre chose, à m'évader quand je suis avec eux, à alléger mes pensées et à me donner le sourire et les moments passés avec eux m'aident à surmonter cette période peu simple à gérer. Les fêtes de fin d'année ont une autre saveur quand on les regarde avec les yeux des enfants. La magie de Noël prends tout son sens avec des enfants en bas âge. Nathan ne croit plus au père Noël, je ne sais pas à quel âge il a cessé d'y croire, ni même s'il a eu la chance un jour de croire en la magie de Noël, de s'émerveiller devant les sapins et les cadeaux le 25 au matin. Je ne sais pas s'il a vécu tout ça, mais aujourd'hui, il le vit avec nous et son enthousiasme est presque aussi grand que celui de ses sœurs et c'est touchant à voir finalement. Dans ces moments, nous sommes vraiment une famille, dans ces moments j'oublie le passé pour penser et vivre le présent et construire des souvenirs avec eux. A 6 entre nous ou avec la famille de Caleb ou Lucas mon cousin, je découvre les joies de cette période de l'année. Je n'ai pas forcément l'esprit à faire la fête, le sextape étant dans mon esprit, mais j'arrive à profiter malgré tout et si je me coupe un peu du monde pour rester dans la sécurité de notre foyer, je sais que j'ai besoin de ça. D'eux. De nos enfants, mais aussi de mon mari. Il n'a pas pu avoir ses congés, mais il a été là avec nous pour les fêtes, il a passé son temps libre avec nous, et si je regrette que nous n'ayons pas pu partir en vacances en famille, finalement je crois que c'est mieux ainsi.

Caleb est sorti ce soir, et c'est finalement assez rare que ce soit lui qui sorte sans moi. De nous deux je suis clairement la plus à l'aise en soirée et si habituellement je l'accompagne volontiers dans ce genre de soirée, aujourd'hui, je suis restée à la maison avec les enfants. Romane n'étant pas encore rentrée de ses vacances, je n'ai pas pu accompagner Caleb et bizarrement je crois que je me sens mieux à l'idée de rester chez nous. Chose rare, mais c'est le cas aujourd'hui. Non pas que je n'avais pas envie d'accompagner Caleb, j'aurais adoré passer la soirée avec lui, mais l'extérieur, les soirées, la tentation, sont des choses qui me font peur en ce moment et le confort et le côté rassurant de notre domicile m'apaise. Et Caleb n'a pas besoin de moi, il est dans un environnement qu'il connaît, et lui aussi à le droit de s'amuser un peu parce que pour lui aussi ces derniers temps n'ont pas été de tout repos. Alors aujourd'hui c'est sans moi qu'il est parti et j'espère qu'il passera une bonne soirée. La mienne est habituelle, une soirée ordinaire comme celles que je passe quand Caleb est au travail le soir. Rien de plus, rien de moins et les enfants ont l'habitude maintenant que parfois papa ne soit pas là au moment du couché. Si au début, les filles et surtout Lucy pouvait pleurer pour voir son papa, aujourd'hui ce n'est plus le cas. Il y a toujours des pleurs mais ce n'est plus pour réclamer Caleb, mais pour réclamer un énième bisou, un énième câlin et une nouvelle histoire. Tout est prétexte pour repousser un peu le moment du dodo mais je sais gérer désormais et j'aime ces moments avec elles au calme dans leurs chambres. Ces moments de câlins, de tendresses, à lire des histoires, à chanter des berceuses jusqu'à ce qu'elles s’apaisent. Ce sont des moments qui sont importants pour moi aussi encore plus en ce moment ou j'ai besoin de toute cette tendresse et cet amour de ma famille.  

Et après avoir couché les filles et Mael, je me suis posée dans la canapé avec mon ordinateur pour bosser un peu et devant le premier événement sportif que je trouvais à la télévision. Nathan est venu me rejoindre, sans un mot d'abord. C'est les vacances, il a le droit de veiller un peu plus longtemps et après un long moment de silence entre nous, il a commencé à me parler du sport, de son prochain match, des progrès qu'il a fait, des compliments qu'il a reçu de la part de son coach, des choses banales en soit, une discussion normale entre une mère et son fils, mais je ne suis pas sa mère, du moins pas légalement et pas à ses yeux, mais petit à petit, très lentement, notre lien se crée, un lien spécial, mais j'apprécie chaque moment qu'il m'offre, aussi petits soit-ils, je profite de ces discussions avec Nathan. Je lui accorde même un peu plus de temps devant la télé, jusqu'à la fin du match et ce n'est qu'une fois le match fini qu'il monte se coucher à son tour et je me retrouve seule dans le calme et le silence de la maison. Les trois plus petits dorment bien et les babyphones posés à côté de moi me le prouve. Je finis par imiter les enfants et je rejoins mon lit, seule. Tout est trop calme et c'est dans ces moments là que tout redevient plus compliquées alors pour éviter le silence qui m'angoisse, c'est avec un film que je tente de m'endormir. Je regarde mes mails une dernière fois, je check les statistiques du dernier podcast et les commentaires, et j'envoie un dernier message à Caleb pour lui souhaiter une bonne fin de soirée et lui dire que je l'aime. C'est un rituel, je ne peux pas m'endormir avant de lui avoir dis, qu'il soit avec moi dans le lit ou ailleurs, je dois lui dire et ce soir c'est par message que je lui dis parce que je ne sais pas à quelle heure il va rentrer et les nuits agitées de ces dernières semaines m'ont épuisé.

Sauf, que je mets du temps à m'endormir, beaucoup trop de temps et même le son de la télé ne m'aide pas à ne plus penser à toutes les choses qui m'inquiète. L'absence de Caleb rends les choses encore plus difficiles, avec lui à mes côtés, tout semble plus simple, sa présence, son odeur, un câlin de sa part et je me sens plus apaisée, plus calme mais il n'est pas là et je ne sais pas combien de temps je mets avant de réussir à m'endormir. Sans doute beaucoup trop longtemps et je ne sais pas encore à ce moment que je vais très peu dormir avant que Caleb bourré ne me réveille. Je dors depuis peut-être trente-cinq, quarante minutes quand j'entends un boom suivis de plusieurs jurons inhabituels et je me réveille assez vite et sans trop de difficulté, preuve que je ne dormais pas forcément bien mais ça facilite mon réveil. Je fronce les sourcils, et surprise par ce réveil si spécial, j'allume ma lampe de chevet pour voir mon mari debout dans notre chambre qui me regarde son flash de téléphone tourné vers moi. Et avant même qu'il ouvre la bouche, j'ai compris. A son regard, à son attitude, à sa manière de se tenir et sa première prise de parole me le confirme encore un peu plus. « Ohhhhh bébé je suis tellement désolé !! » Il est bourré. Complètement bourré, je me redresse, je cligne des yeux plusieurs fois autant pour m'habituer à la lumière que pour m'assurer que cette vision est réelle, et je le regarde amusée alors qu'il se frappe le front. « Je te juuuure, que j’ai vraiment essayé de pas faire beaucoup de bruit, je voulais aller dans la salle de bain pour me préparer à aller au lit mais je te regardais dormir. Tu étais tellement mignonne. Et puis je sais pas trop ce qu’il s’est passé mais…» Je souris en l'écoutant se justifier, il n'a pas la même voix, ni la même façon de parler, mais il a toujours des compliments pour moi et je trouve ça mignon même si je trouve surtout ça drôle finalement. « Oh je sais très bien ce qu'il s'est passé moi, tu étais tellement obnubilé par ma beauté que tu as foncé dans le mur, c'est presque flatteur pour moi. Mais qui es tu ? Qu'as tu fait à mon mari ? » C'est avec un air amusé que je lui réponds, parce que croyez le ou non, mais voir Caleb ainsi n'est pas arrivé si souvent. Ou alors, j'étais encore pire que lui. Je sais très bien que ce n'est pas du à ma beauté qu'il s'est prit le mur, mais bien à son taux d'alcoolémie qui est bien au dessus de la moyenne, mais je pense qu'il le sait déjà ça, ou peut-être pas mais le voir ainsi m'amuse et ça ne ressemble tellement pas à Caleb que c'est encore plus surprenant. « Mais c'est pas grave, je dormais pas vraiment, et heureusement pour toi sinon je serais de très mauvaise humeur et tu n'aimes pas ça. » De nous deux, je suis clairement celle qui a le plus de mal à me lever et à me réveiller et celle aussi qui est de mauvaise humeur au réveil. Mais, visiblement je suis d'humeur à rire à sa condition, c'est bien la preuve finalement que je n'étais pas dans un état de sommeil profond, et je crois que juste le voir chez nous, juste sa présence me permets d'être mieux, et en bonus en plus de ce sentiment de sécurité que sa présence m'apporte, il y a cette situation qui m'amuse beaucoup. « Je te demande pas comment s'est passé la soirée, suffit de te voir pour savoir que vous avez bien profité. » Je ne sais pas s'il a passé une bonne soirée, peut-être qu'il a bu parce qu'il s'ennuyait ou parce qu'il avait besoin de se détendre et de boire, peut-être, mais ce qui est sur c'est qu'il a profité de l'alcool et qu'il est de bonne humeur à cet instant, ce qui suffit à me faire dire qu'il a pas du trop s'ennuyer. Il s'avance vers moi, et à chaque pas j'ai presque l'impression qu'il va tomber, je ne sais même pas comment il fait pour se pencher vers moi pour m'embrasser sur la joue sans basculer sur le lit. Mais, je sens l'odeur de l'alcool quand il se penche vers moi et si l'envie de l'embrasser à mon tour est grande, je me retiens de le faire. « T’es belle. Mais vas-y rendors toi ! Je vais pas faire beaucoup de bruit. Promis. » Il se croit capable d'être discret et si sa démarche n'était pas aussi chancelante j'aurais presque pu le croire malgré son ton bien trop enjoué, et son attitude qui montre bien qu'il est encore en pleine forme malgré l'heure tardive et l'alcool dans son corps. Je le regarde rejoindre la salle de bain et au vu de son équilibre, je décide de me lever et de le rejoindre. « Tu crois vraiment que tu peux discret ? Tu es mignon quand tu es bourré chéri. » Je le rejoins dans la salle de bain pour l'aider. Il a été plus d'une fois à cette place, il m'a aidé à monter les escaliers de son petit appartement quand j'étais jeune, il m'a tenu les cheveux, il m'a aidé à me déshabiller quand je sortais le soir et que je rentrais alcoolisée, et aujourd'hui c'est à mon tour d'être là pour lui. « Mais, je suis réveillée, alors laisse moi t'aider, je voudrais pas que tu glisses dans la salle de bain et que je sois obligée de jouer les infirmières. » Je sais qu'il serait capable de se débrouiller tout seul, il est bourré mais pas non plus au point ou j'ai pu l'être moi, et je sais qu'il est en mesure de se changer et de se doucher tout seul, mais j'ai envie d'être là pour lui et vu la difficulté que j'ai en ce moment pour m'endormir, je trouve que c'est bien plus agréable d'être là avec mon mari enjoué. « Avant tout, on va se brosser les dents chéri, parce que tu m'embrasses pas avec cette haleine, et ensuite tu files sous la douche. » Je ris en lui donnant des ordres parce que c'est si exceptionnel comme situation, et son regard, son sourire, son attitude, tous me fait rire et je sens que je vais avoir du mal à lui faire trouver le sommeil avant que l'alcool ait fini de faire effet en lui.

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyMar 9 Jan 2024 - 21:36

Calex
Wine is flowin' with Bacardi. But sometimes boys just want to have fun. The poetry inside of me is warm like a gun

Il est rare de me voir rentrer au domicile familial dans cet état. Pour même être tout à fait honnête, les fois où j’ai réellement terminée une soirée en étant réellement bourré sont rares et je ne serais pas étonné que l’on puisse les compter sur les doigts d’une seule main. Même après ma rupture avec Alex il y a des années lorsque je sortais pour tester mon pouvoir de séduction vis-à-vis de la gente féminine, si je buvais toujours un peu il ne m’arrivait jamais de me trouver dans un état d’ivresse avancé. Mais ce soir pour commencer, boire un premier verre m’a aidé à me détendre et me sentir à l’aise au milieu d’un grand groupe de personne, et puis on accepte un deuxième verre, un troisième, un quatrième et ainsi de suite. J’ai l’espoir et l’ambition naïve de réussir à rejoindre la salle de bain de notre suite parentale sans réveiller Alex déjà endormie, mais c’est malheureusement sans compter sur mon sens de l’équilibre qui laisse à désirer et ma concentration plus que catastrophique. Pourtant deux notions que je gère sans aucun mal la plupart du temps, mais avec un taux d’alcoolémie un peu trop élevé tout semble être totalement bousculé dans ma tête. C’est d’ailleurs ma tête qui se cogne au mur et ce bruit réveille Alex. « Oh je sais très bien ce qu'il s'est passé moi, tu étais tellement obnubilé par ma beauté que tu as foncé dans le mur, c'est presque flatteur pour moi. Mais qui es tu ? Qu'as tu fait à mon mari ? » Avec un sourire béat collé à mes lippes je secoue la tête comme pour lui monter qu’elle a tout à fait raison. Oui, j’étais tellement obnubilé par sa beauté que j’en ai oublié de regarder devant moi et j’ai malencontreusement foncé dans le mur. « Oui, d’ailleurs ! Il faudra que tu me dises comment tu fais pour être si belle quand tu dors. Je suis sûr que moi je ressemble à rien. » Je commence cette phrase en la pointant du doigt, et je la termine en riant essayant d’imaginer à quoi je pourrais potentiellement ressembler quand je dors. Sans le moindre doute je ne suis pas assez agréable à regarder qu’Alex, mais pas besoin de dormir pour cela. « Mais c'est pas grave, je dormais pas vraiment, et heureusement pour toi sinon je serais de très mauvaise humeur et tu n'aimes pas ça. » Et voilà maintenant une moue triste sur mon visage. Alex a raison, elle fait partie de ceux que l’on ne veut pas réveiller. Pas parce que tirer quelqu’un de son sommeil est toujours cruel mais simplement parce qu’elle est ensuite d’humeur massacrante. Presque comparable à la Alex enceinte, les hormones en vrac. « Je te demande pas comment s'est passé la soirée, suffit de te voir pour savoir que vous avez bien profité. » Et pourtant il a fallu que je consomme de l’alcool pour réussir à me sentir intégré et non envahi d’angoisse, et je suis presque sûr que si Alex avait été avec moi à cette soirée le début de celle-ci aurait été bien plus simple pour moi. « Tu m’as manquée. » Que je lui avoue en haussant les épaules et avant de rejoindre enfin la salle de bain je faire demi-tour en me penchant vers elle pour déposer un baiser sur sa joue. « Tu crois vraiment que tu peux discret ? Tu es mignon quand tu es bourré chéri. » Tout en soupirant le tire sur ma cravate pour l’enlever et la laisser tomber sur le sol. « Heeeey ! Je peux être discret ! La preuve : tu m’as pas entendu quand j’étais dans les escaliers. » que je lui réponds tout en attrapant ma brosse à dents, jetant des coups d’œil en sa direction via le miroir. « Et en plus je suis même pas bourré. » J’essaie de me défendre comme je peux et c’est en me tournant rapidement vers elle que je lui dis cela. Mais le mouvement de rotation était certainement bien trop rapide parce que j’ai soudainement la tête qui tourne. « Mais, je suis réveillée, alors laisse moi t'aider, je voudrais pas que tu glisses dans la salle de bain et que je sois obligée de jouer les infirmières. » Un grand sourire s’étire sur mes lippes avant que je n’ouvre les yeux. « Ouuuuuh. Moi je veux bien que tu joues aux infirmières. » Elle n’a certainement pas envie d’entendre ce genre de sous-entendus venant de moi alors que, oui, elle a entièrement raison, je suis bourré. « Tu serais l’infirmière la plus sexy du monde ! » J’insiste volontairement sur le mot sexy, et il se peut d’ailleurs que ce mot fut prononcé un peu trop fort. C’est avec un clin d’œil que je me retourne de nouveau pour faire face au miroir et enfin me brosser les dents. « Avant tout, on va se brosser les dents chéri, parce que tu m'embrasses pas avec cette haleine, et ensuite tu files sous la douche. » Mes sourcils se froncent lorsqu’elle évoque une certaine haleine. Et pourtant si j’étais sobre je comprendrais non sans mal de quoi parle-t-elle exactement. Alex a toujours eu un rapport toxique avec l’alcool, même lorsque nous étions plus jeunes alors cette haleine désagréable mélangeant l’alcool et le tabac froid je la connais malheureusement parfaitement bien. Après le brossage de dents et le rinçage de bouche c’est toujours en la regardant avec le miroir face à moi que je reprends enfin la parole. « C’est une nouvelle nuisette ? Je l’adore. Elle met tes seins parfaitement bien en valeur. Ils sont…waw. » Bon, oui, c’est surtout sur sa poitrine que mes yeux étaient posés quand je faisais ce compliment à cette partie bien spécifique de son corps. « C’est bon ? J’ai le droit de t’embrasser maintenant ? » que je lui demande en me tournant une nouvelle fois vers elle, toujours ce même sourire aux lèvres avant de lui voler un baiser. « Bon, maintenant sous la douche si j’ai bien compris ? » Parce que ce n’est pas une suggestion qu’elle me faisait tout à l’heure mais clairement un ordre alors c’est tout en me débarrassant petit à petit de mes vêtements que je me rends compte que l’alcool me rend bien plus bavard qu’à l’accoutumée. « Tu vas me regarder sous la douche ? Ça risquerait de te donner des idées... » Je lui dis un grand sourire aux lèvres tout en me débarrassant de mon pantalon. « Ou tu viens avec moi ? » que je lui demande les sourcils levés. J’essaie. Je tente. Bien que je ne me doute pas qu’elle refusera. Je me glisse enfin sous la douche, l’eau commence à ruisseler sur ma peau et c’est seulement au bout de quelques secondes que je réalise ; « Oooohh bébé ! je passe ma tête entre la vitre de la douche pour essayer d’apercevoir Alex. tu peux m’amener un boxer propre ? S’il te plaît ? » Oublier de préparer ses sous-vêtements de rechange, c’est bien plus son genre à elle, on peut remercier l’alcool.

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyMer 10 Jan 2024 - 23:09




WINE IS FLOWIN' WITH BACARDI. BUT SOMETIMES BOYS JUST WANT TO HAVE FUN. THE POETRY INSIDE OF ME IS WARM LIKE A GUN

Je n'ai même pas encore regardé l'heure, mais la vision de mon mari sourire aux lèvres qui me regarde l'air un peu béat me fait oublier que la nuit a sans doute déjà commencé depuis quelques temps pour les gens normaux. Caleb vient de rentrer de soirée, et si je ne sais pas rien de ce qu'il a fait durant cette soirée, je devine aisément qu'il a bu. Il est alcoolisé, bourré même mais pas bourré au point d'être mal (en tout cas pas encore, peut-être que ça sera le cas au réveil) mais il est surtout drôle finalement et toujours aussi généreux en compliments. « Oui, d’ailleurs ! Il faudra que tu me dises comment tu fais pour être si belle quand tu dors. Je suis sûr que moi je ressemble à rien. » Je secoue la tête tout en riant en entendant ses mots. « Tu n'es sur de rien, tu n'as pas vraiment l'occasion de te regarder dormir. Moi, je peux t'assurer que tu es beau quand tu dors, et je le sais j'en ai passé des nuits à te regarder dormir. » S'il est celui qui dort le moins de nous deux, j'ai aussi eu mes périodes ou le sommeil a été compliquée, essayez de dormir en étant enceinte de sept mois de jumelles qui font la fiesta vous verrez que le sommeil est loin d'être quelque chose de simple à obtenir. Parfois je le réveillais, parfois non, et dans ces moments je le regardais dormir en espérant trouver à mon tour le sommeil et ce petit air détendu et apaisé qu'il pouvait avoir la nuit m'aidait à rester calme. Je jouais avec ses cheveux ou je venais me blottir dans ses bras posant sa main sur mon ventre, et je restais plusieurs minutes à le regarder. Mais, aujourd'hui, c'est lui qui a été perturbé et qui au lieu de regarder devant lui, s'est payé le mur. Il pourrait dire que c'est parce qu'il me regardait, mais je sais que c'est l'alcool, je le devine et je devine aussi que sa soirée s'est plutôt bien passée, ou du moins elle s'est bien finie vu le sourire qu'il a sur les lèvres. « Tu m’as manquée. » Je ne doute pas de ces mots, mais je sais qu'en ma présence sa soirée aurait été bien différente. Pas mieux, pas pire, mais différente puisqu'il n'aurait jamais fini aussi alcoolisé. C'est une réalité, mais j'aime savoir que malgré sa soirée, malgré le sourire qu'il affiche depuis qu'il est rentré, mon absence s'est quand même fait ressentir. « Toi aussi, j'aime pas me coucher sans toi, mais c'est important que tu puisses te détendre aussi et profiter de tes soirées sans moi. » Sans devoir faire attention à sa consommation. Il était dans un univers qui était plus le sien que le mien, avec des personnes avec qui il partage le plaisir de la cuisine et je ne doute pas qu'ils aient du en parler beaucoup ce soir. Entre deux verres d'alcool, autant dire que je n'aurais sans doute pas été d'une grande compagnie pour lui. Mais, il est rentré, et je vois le résultat de cette soirée sur lui. « Heeeey ! Je peux être discret ! La preuve : tu m’as pas entendu quand j’étais dans les escaliers. » C'est vrai je ne l'ai pas entendu dans les escaliers, mais le mur qu'il s'est prit et les insultes n'ont pas été discrètes. « Et en plus je suis même pas bourré. » La je ris en l'entendant ajouter cette précision. Parce que clairement, il l'est et qu'il n'en ait pas conscience le prouve encore un peu plus finalement. Caleb n'est pas un grand consommateur d'alcool, il aime le vin mais il est plus un amateur d'un bon vin que de l'alcool réellement. Mais, là il n'a pas bu du vin juste pour son goût et les conséquences sont visibles sur lui. Il est bel et bien bourré et qu'il tente de me contredire la dessus m'amuse. « Oui oui c'est cela chéri. Tu n'es pas bourré, on verra demain matin au réveil si tu as toujours le même discours. » J'ai tellement connu les gueules de bois, les réveils difficiles, les maux de tête et tous les effets néfastes des lendemains de cuites, et depuis 4 ans, je suis loin de tout ça mais j'en ai encore des souvenirs et je sais bien ce que Caleb pourra ressentir dans quelques heures et s'il rit en ce moment, je doute qu'il rira encore quand les filles vont venir lui sauter dessus en criant. Mais, même s'il me dit qu'il n'est pas bourré, il n'est quand même pas vraiment stable et pour éviter qu'il ne se blesse, je le rejoins dans la salle de bain et je me tiens près de lui pour éviter qu'il ne glisse ou ne bascule dans un mouvement incontrôlé. Son sourire s'élargit quand je lui dis que je viens l'aider, ou c'est peut-être pour la suite de ma phrase qu'il sourire autant.  « Ouuuuuh. Moi je veux bien que tu joues aux infirmières. » A nouveau je secoue la tête en levant les yeux au ciel et pourtant un sourire s'affiche sur mon visage ce qui trahit mon amusement. Il est certes bourré mais il n'a visiblement pas perdu sa capacité à faire des sous-entendus. Il est plutôt clair celui là d'ailleurs. « Si tu veux me voir en infirmière, tu n'es pas obligé de te saouler, il suffit de me le demander. » C'est avec un clin d’œil que je lui dis ces mots. Il me fait rire Caleb, et cette discussion à deux heures de matin n'a finalement que peu de sens mais j'aime cette légèreté et si je pourrais être en train de dormir, je préfère être auprès de Caleb. « Tu serais l’infirmière la plus sexy du monde ! » Là encore, c'est avec un rire que je réagis à cette remarque de Caleb, il semble être déterminé à me faire comprendre que je serais sexy en infirmière. « Chut chéri, nos enfants n'ont clairement pas à entendre à quel point je suis sexy, mais tu peux le redire doucement, j'aime bien moi. » Je parle doucement, ce qui n'est pas toujours son cas ce soir, mais si c'est pour me dire que je suis la plus sexy du monde, je pense que je peux lui pardonner de ne pas être trop discret. J'essaye de rester près de lui pour l'aider et intervenir si besoin, mais il s'en sort plutôt bien tout seul. Du moins, pour se brosser les dents il y arrive, mais pour la partie douche, il semble oublier ou se perdre dans le reflet du miroir. « C’est une nouvelle nuisette ? Je l’adore. Elle met tes seins parfaitement bien en valeur. Ils sont…waw. » Je réalise qu'il n'était pas perdu dans le reflet du miroir, mais dans mon décolleté, et ça Caleb bourré ou non, ça ne change finalement pas. « Oui c'est une nouvelle, mais je ne sais pas comment tu as pu le voir parce que clairement, ce n'est pas la nuisette que tu regardes là. » Ce sont mes seins, mais il ne le cache pas puisqu'il vient de le dire. Il me regarde dans le miroir avant de se tourner vers moi. « C’est bon ? J’ai le droit de t’embrasser maintenant ? » Il a toujours ce même sourire sur ses lèvres, et une légèreté et une insouciance qu'il n'a pas toujours dans la vie et malgré l'heure et la fatigue, il me fait sourire et rire même. Je secoue la tête pour lui répondre, lui donnant l'autorisation pour m'embrasser ce qu'il fait sans tarder. « Bon, maintenant sous la douche si j’ai bien compris ? » A nouveau, je secoue la tête. « Oui c'est ça, arrêtes de parler et files sous la douche. » Je le regarde se débarrasser de ses vêtements et je l'aide à ouvrir les boutons de sa chemise. Il pourrait le faire seul mais je suis là, et j'ai envie de l'aider. « Tu vas me regarder sous la douche ? Ça risquerait de te donner des idées... » Il sourit encore, il ne fait que ça et ça me plaît même si c'est un sourire un peu béat qu'il a sur les lèvres, il a l'air heureux ce soir. « J'ai toujours des idées avec toi. » Je lui glisse ces mots dans l'oreille en souriant à mon tour, posant mes mains sur son torse quelques secondes, et je le regarde avec un petit air taquin alors qu'il se retrouve en boxer face à moi. Je profite de l’atmosphère légère de cette nuit à ses côtés, je m'amuse avec lui et un peu de lui aussi, parce que Caleb bourré, je sais que je ne vais pas le revoir de si tôt. « Ou tu viens avec moi ? » Sa tentative me fait rire à nouveau, il parle, il rit, il sourit, il me teste et me flatte et si c'est pas la nuit que j'espérais, je n'ai pas l'intention d'aller me coucher, mais pas non plus l'intention d'aller sous la douche avec lui. « Bien tenté chou, mais une douche à deux en pleine nuit, c'est trop risqué surtout vu ton état. » Il est nu devant moi, et je sais par expérience que nos deux corps nus sous la douche en pleine nuit, l'attirance finirait par être trop forte et je ne veux pas profiter de son alcoolémie ou prendre le risque de le voir se blesser en glissant sous la douche parce qu'il aurait voulu tenter quelque chose d'acrobatique. Il est sous la douche, et je reste dans la salle de bain, à attendre qu'il finisse, et je mentirais si je disais que je ne profite pas de ce moment pour le regarder un peu à travers la vitre de la douche. C'est juste pour le surveiller, et profiter de la vue aussi un peu. Parce que j'ai beau connaître parfaitement son corps, j'ai toujours une attirance forte pour le corps de mon mari. « Oooohh bébé ! » Il me sort de mes pensées en m’interpellant et je sursaute détournant les yeux de la partie du corps de Caleb sur laquelle mon regard était posé. « tu peux m’amener un boxer propre ? S’il te plaît ? » Mes yeux remontent vers les siens quand il passe sa tête vers moi. « Hum je sais pas, laisse moi réfléchir je t'aime bien comme ça aussi. » Il n'est pas le seul à pouvoir me flatter et me complimenter. « Je vais te chercher ça et une serviette aussi. » Je m'éclipse quelques secondes pour revenir vers lui, une serviette dans une main et un boxer dans l'autre et je m'avance vers la douche pour lui tendre la serviette tout en laissant mes yeux profiter une nouvelle fois de la nudité de son corps. « Tu as besoin d'aide pour t'essuyer ? Ton infirmière seyx est à ta disposition, profites-en. » Je suis bien réveillée là, et je sens que je ne suis pas prête de réussir à me rendormir alors autant en profiter pour être présente pour Caleb.

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyJeu 11 Jan 2024 - 21:38

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Wine is flowin' with Bacardi. But sometimes boys just want to have fun. The poetry inside of me is warm like a gun

« Tu n'es sur de rien, tu n'as pas vraiment l'occasion de te regarder dormir. Moi, je peux t'assurer que tu es beau quand tu dors, et je le sais j'en ai passé des nuits à te regarder dormir. » Dans cette phrase elle n’a raison que sur un point : je n’ai jamais vraiment l’occasion de me regarder dormir et je dois dire que je ne m’en plains pas, car je doute que ce soit une activité très intéressante. « Tu devrais peut-être dormir la nuit. » que je lui réponds simplement. Car si elle passe ses nuits à me regarder au lieu de dormir, je comprends mieux pourquoi tous les matins les réveils sont toujours très difficiles. Et puis il faut aussi dire que je doute que son affirmation soit véridique. Non en fait, je suis même sûr et certain que ce n’est pas vrai. Étant à l’opposé même de la beauté en étant éveillé je ne vois pas comment je pourrais être beau en dormant. Au contraire même, je dois sûrement l’être encore moins qu’à l’accoutumée mais ne voulant pas l’obliger à essayer de trouver tout un tas de compliments à me faire pour me rassurer ou aider ma confiance à remonter un peu je préfère largement garder cette réflexion pour moi. « Toi aussi, j'aime pas me coucher sans toi, mais c'est important que tu puisses te détendre aussi et profiter de tes soirées sans moi. » Je fronce les sourcils. Pourtant en lui avouant que sa présence à mes côtés m’a manquée ce soir, je pensais qu’elle comprendrait que je ne voulais pas passer ces quelques heures sans elle mais apparemment elle ne l’a pas vraiment compris puisqu’elle me parle d’apprécier ses soirées sans elle. Et peut-être que si Alex était venue avec moi lors de cette soirée d’inauguration je n’aurais pas fini dans cet état pathétique que je regretterai sans aucun doute demain. Surtout qu’Alex est plutôt bien placée pour savoir que pour profiter d’une soirée, je ne bois pas vraiment de l’alcool. Ou du moins, vraiment très rarement. « Oui oui c'est cela chéri. Tu n'es pas bourré, on verra demain matin au réveil si tu as toujours le même discours. » Oh, au fond je sais bien qu’elle a raison et que je suis complètement bourré et que demain je le regretterai mais en revanche il y a bien quelque chose que je ne comprends pas, et c’est pourquoi est-ce qu’elle a choisi de m’accompagner dans la salle de bain. Je suis certes, un peu alcoolisé mais je suis toujours capable de me brosser les dents. Mais à défait de ne pas avoir eu ma femme à mes côtés ce soir, je profite de l’avoir avec moi à deux heures du matin (et non, je promets que je ne dis pas ça à cause de sa nouvelle nuisette. Pas seulement en tout cas.) « Si tu veux me voir en infirmière, tu n'es pas obligé de te saouler, il suffit de me le demander. » Mes sourcils se lèvent, accompagnant le sourire encore collé à mes lèvres qui s’agrandit un peu plus. « C’est vrai ? » Comme si c’était nouveau. Au fond je ne doute pas vraiment qu’il s’agisse d’un jeu de rôle qu’elle accepterait sans trop de problème. « Demain je risque d’avoir besoin d’une infirmière… » que je lui dis avec une voix pleine de sous-entendu. Bien que par le passé, j’ai dû gérer tant de gueules de bois d’Alex que maintenant j’en suis devenu un vrai spécialiste et je sais exactement comment les gérer. « Chut chéri, nos enfants n'ont clairement pas à entendre à quel point je suis sexy, mais tu peux le redire doucement, j'aime bien moi. » Je grimace lorsque je l’entends mentionner nos enfants. Elle a raison, il serait clairement catastrophique qu’ils se réveillent maintenant à cause de leur père bourré incapable de gérer le volume du son de sa voix. « Oui c'est une nouvelle, mais je ne sais pas comment tu as pu le voir parce que clairement, ce n'est pas la nuisette que tu regardes là. » Touché. Sa remarque ne manque pas de me faire rire. « J’ai commencé par regarder ta nuisette. Après tes seins m’appellent donc forcément, ils attirent mon regard. » Ce n’est pas un secret entre nous qu’il s’agit très clairement d’une des parties de son corps que je préfère. Si ce n’est pas la partie que je préfère. Bien que je pourrais parfois répondre à cette question que je préfère ses yeux, je pense que tout dépend de mon humeur et mes envies du moment. Les dents enfin brossées, un court baiser échangé, je l’écoute en commençant à me déshabiller pour filer sous la douche. « Oui c'est ça, arrêtes de parler et files sous la douche. » Mes yeux se baissent sur ses doigts qui viennent déboutonner ma chemise. « Qui aurait cru qu’un jour tu me demanderais de me taire. » Ma propre réflexion me fait rire. « Tu l’as cherché, tu arrêteras de te plaindre en me disant que je parle pas assez ! » Je ne suis même pas sûr qu’elle m’ait déjà fait ce reproche mais il est clair qu’à côté d’elle, je suis la plupart du temps muet comme une tombe, mais l’alcool et son effet désinhibant me pousse à parler bien plus. « J'ai toujours des idées avec toi. » De nouveau, un grand sourire s’étire sur mes lippes alors que je suis en boxer en train de la fixer tout en levant plusieurs fois mes sourcils. « Bien tenté chou, mais une douche à deux en pleine nuit, c'est trop risqué surtout vu ton état. » Peu satisfait de sa réponse, je râle légèrement dans ma barbe avant de lui tourner le dos pour enfin prendre place sous la douche. Je fais vite, ne voulant pas perdre plus de temps dans la salle de bain et surtout, la fatigue commence tout doucement à se faire ressentir. Tellement qu’avec l’alcool et la fatigue j’en ai oublié de me préparer une serviette et un sous-vêtement de rechange. « Hum je sais pas, laisse moi réfléchir je t'aime bien comme ça aussi. » Je souris tout en levant les yeux au ciel. « Je vais te chercher ça et une serviette aussi. » Je m’éloigne de la paroi de douche pour retourner sous l’eau encore quelques courtes minutes. « Tu as besoin d'aide pour t'essuyer ? Ton infirmière seyx est à ta disposition, profites-en. » J’arrête l’eau et attrape la serviette. « Pour qu’ensuite tu me dises qu’on ne va rien faire parce que je suis trop bourré pour ça ? » Je m’essuie le corps et tout en sortant de la douche, je continue. « T’es vraiment cruelle ! » Je m’indigne presque en lui disant cela mais pour le coup, je le pense vraiment. Elle me propose une telle chose alors qu’elle sait très bien que j’ai raison et qu’elle refusera quoique ce soit – et elle en a tous les droits, ce n’est en rien un reproche. Et puis surtout, le sexe l’alcool et moi, nous savons tous les deux que ça peut être une très mauvaise équation. J’enfile mon boxer, dépose un baiser sur sa joue et quitte la salle de bain pour me laisser tomber sur la lit. « C’est normal que le plafond tourne ? » que je lui demande alors que mes yeux fixent le plafond depuis quelques secondes.

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptySam 13 Jan 2024 - 16:33




WINE IS FLOWIN' WITH BACARDI. BUT SOMETIMES BOYS JUST WANT TO HAVE FUN. THE POETRY INSIDE OF ME IS WARM LIKE A GUN


« Tu devrais peut-être dormir la nuit. » Je dors la nuit désormais, je dors aussi bien que je le peux avec quatre enfants, un mari aux horaires décalées et des souvenirs d'une vie passée qui reviennent hanter mes nuits. Mais, je dors bien mieux qu'à une époque mais ça ne m'empêche pas de profiter de le regarder dormir dès que j'en ai l'occasion. Des occasions rares puisqu'il met en général plus de temps que moi pour m'endormir et qu'il se lève plus tôt que moi sauf quand je suis enceinte. « Je dors t'inquiète pas, mais je parlais des nombreuses nuits quand tes filles avaient décidé de prendre mon intérieur pour un terrain de gym et qu'elles m'empêchaient de dormir. » Il a lui aussi eu des nuits compliquées à cause de nos filles et de moi surtout qui épuisée, finissait par le réveiller pour qu'il fasse quelque chose. Et si ce manque de sommeil ne me manque pas, certaines nuits que nous avons passé blotti l'un contre l'autre à parler de tout et de rien, à se câliner tout en essayant de calmer les filles pour me permettre de dormir un peu, ces moments me manquent un peu parce que notre vie est bien différente aujourd'hui et que nous devons vivre à 100 à l'heure tout le temps. Et c'est peut-être parce que la nuit est le seul moment ou nous nous retrouvons vraiment dans notre intimité que j'ai envie de profiter de ce moment. Réveillée au milieu de la nuit, j'aurais pu tenter de me rendormir ou rester couchée en attendant qu'il vienne se coucher mais je me suis levée et je l'ai rejoins dans notre salle de bain. Pour l'aider et éviter qu'il se blesse, c'est ce que je lui dis, mais c'est surtout l'envie d'être avec lui, de passer du temps avec lui, de profiter de ce sourire qu'il a sur les lèvres et de cet état d'esprit léger et festif qu'il a depuis qu'il est rentré. « C’est vrai ? » Je secoue la tête sans même hésiter une seconde. C'est quelque chose que je pourrais faire pour lui sans aucun doute, jouer les infirmières sexy c'est dans mes cordes, bien plus que vraiment prendre soin de lui comme le ferait une vraie infirmière. Je ne sais pas vraiment faire ça, mais j'essaye, j'apprends, et j'ai l'expérience de mon passé pour savoir que le réveil risque d'être compliqué pour lui et qu'il ne va pas passer la meilleure journée de sa vie demain. « Demain je risque d’avoir besoin d’une infirmière… » Ce n'est pas moi qui vais le contredire la dessus, mais sa petite voix pleine de sous-entendus me fait rire parce que je sais qu'on ne pense sans doute pas à la même chose. « Oh oui, sûrement mais pas pour ce que tu as en tête. On verra si demain tu as toujours ton sourire et si tu as envie de me voir en infirmière sexy sur toi. » Je doute déjà qu'au réveil, il ait envie de jouer à ce genre de jeu, et je me ferais sans doute une joie de lui rappeler ses mots de cette nuit pour le tester un peu. Il aura une bonne gueule de bois, il va être un peu ronchon au réveil mais ça sera vite oublié. Jusqu'à la prochaine, et je sais déjà que ça ne risque pas d'arriver bien vite. Il n'est pas un habitué des soirées alcoolisées, il n'a pas pour habitude de rentrer alcoolisé, mais aujourd'hui c'est le cas, un état joyeux, pas trop alcoolisé mais assez pour qu'il semble différent et que je trouve ça drôle comme situation. Même si finalement, Caleb qui a bu ou pas, il est attiré par les mêmes choses et les mêmes parties de mon corps. « J’ai commencé par regarder ta nuisette. Après tes seins m’appellent donc forcément, ils attirent mon regard. » Mes seins l'appellent, ce n'est clairement pas la première et sans aucun doute pas la dernière qu'il va me dire ce genre d'excuses. Il n'a même pas besoin d'une excuse d'ailleurs pour regarder ma poitrine, il sait qu'il en a le droit et si je porte ce genre de lingerie c'est autant pour moi que pour lui. Parce que j'aime aussi le voir ainsi. Attiré par mes atouts, perdu dans ses pensées en regardant mon corps, j'aime voir son attirance pour moi, j'aime sentir le désir qu'il ressent toujours pour mon corps. Je trouve ça flatteur pour moi, excitant aussi. « Oui forcément, s'ils t'appellent tu ne peux pas les ignorer, je comprends, tu ne voudrais pas les vexer. » Ma voix est un peu moqueuse mais ce n'est pas de lui que je me moque loin de là, mais cette situation m'amuse et j'aime cette légèreté qu'il y a entre nous cette nuit. Il finit par se brosser les dents, tous seuls comme un grand et il peut enfin m'embrasser avant de commencer à se déshabiller et de parler encore et encore. « Qui aurait cru qu’un jour tu me demanderais de me taire. » Il marque un point là et je secoue la tête en souriant parce qu'il est vrai que je ne pensais pas que ce jour arriverait. Caleb qui parle au point que je lui dise de se taire, c'est du jamais vu. « Tu l’as cherché, tu arrêteras de te plaindre en me disant que je parle pas assez ! » C'est l'une des nombreuses différences entre nous, je parle beaucoup lui non. Je parle trop, lui pas assez mais ça s'équilibre non ? Et j'aime parler, il aime écouter, donc en soit notre couple fonctionne bien, mais je lui ai jamais demandé de devenir bavard à 2 heures du matin. « Il y a une différence entre vouloir que tu parles la journée et la nuit bébé. Il est 2 heures du matin, même moi je parle pas autant à cette heure. » C'est plus ou moins vrai. Quand je suis bien réveillée et que je ne viens pas de me faire sortir du lit par mon mari alcoolisé, quelque soit l'heure, je sais que je peux parler beaucoup. Beaucoup trop sans doute. Mais, aujourd'hui, c'est lui qui parle le plus alors qu'il devrait déjà être sous la douche, prêt à venir se coucher à mes côtés. Peut-être que si je l'avais laissé se débrouiller, il aurait déjà fini, ma présence n'étant qu'une distraction de plus pour son esprit perturbé par l'alcool. Il met du temps avant d'aller sous la douche, et ses pensées sont clairement ailleurs qu'à la douche, et je ne l'aide pas non plus en restant près de lui alors qu'il me fait des avances en me proposant de venir avec lui sous la douche. Il est en boxer devant moi et mes mains sur son torse sont sans doute pas des plus utiles pour lui faire comprendre qu'il n'aura pas de douche à deux, pas ce soir, pas avec son état ou l'équilibre est déjà parfois un peu précaire et l'entendre râler suite à ma réponse, me fait à nouveau rire. Il finit par se rendre sous la douche et mes yeux glissent sur ses fesses quand il me tourne le dos, j'aime cet homme, même alors qu'il vient de me réveiller en pleine nuit et qu'il est alcoolisé, je l'aime et je suis incapable de lui en vouloir. D'un côté je serais vraiment très mal placée pour lui reprocher quoique ce soit alors que je lui ai fais vivre des nuits et même des semaines compliquées à cause de l'alcool. C'est exceptionnel chez lui et ça le rends un peu différent, ce qui m'amuse. Il est lui, mais un peu moins dans le contrôle et il le prouve en oubliant ses affaires, et même en laissant traîner ses vêtements sur le sol. Et, c'est en ramassant ses affaires sur mon chemin que je remarque qu'il a sans doute eu un vrai effet sur moi, je pense à ranger désormais, c'est presque le monde à l'envers. Lui alcoolisé, moi qui suis sobre, et qui m'occupe de lui même si contrairement à moi à l'époque, il n'en a pas vraiment besoin. Il n'est pas aussi minable que moi, et il est en capacité de se déshabiller seul, de se doucher seul aussi et il pourrait s'essuyer seul aussi et pourtant j'ai envie de le faire, d'être là pour lui. Non, pas uniquement pour lui mais parce que j'aime l'idée de pouvoir être avec lui. Et pourtant, il refuse mon aide et attrape la serviette pour le faire seul. « Pour qu’ensuite tu me dises qu’on ne va rien faire parce que je suis trop bourré pour ça ? » Je le regarde s'essuyer, il ne veut pas que je l'aide mais ça ne m'empêche pas de profiter de la vue et de laisser mes yeux se balader sur son corps nu devant moi. « T’es vraiment cruelle ! » Je n'ai même pas eu le temps de lui répondre qu'il semble déjà avoir anticipé ma réponse et elle ne lui plaît pas. Sauf, que je ne lui ai jamais dis ça. « Je n'ai jamais dis que tu étais trop bourré, mais vu ton équilibre, la douche ça me semblait trop risqué pour nous, un accident est si vite arrivé. Mais, c'est à toi de me dire, si tu es trop pas bourré ? » Il est encore lucide Caleb mais son équilibre est quand même impacté par l'alcool. Mais, il arrive à enfiler son boxer tous seul sans aucune difficulté, et il quitte la salle de bain pour retrouver notre lit. Je le suis après avoir essuyé le sol et je le trouve fixant le plafond. « C’est normal que le plafond tourne ? » Il ne peut pas me voir mais je secoue la tête. C'est une sensation normale, une sensation que j'ai connu un nombre de fois incalculable et j'ai des souvenirs de ces sensations qui ont été mon quotidien pendant une période de ma vie. « Oui c'est normal c'est l'alcool. Assieds toi, ça tournera un peu moins. » Je profite d'être debout pour aller chercher un cachet et un verre d'eau que je viens poser sur sa table de chevet. « Tu devrais prendre ça, ça peut t'aider un peu. Ca va aller ? » Assisse à côté de lui dans le lit, je le regarde. Il n'est clairement pas l'heure pour rester là quelques secondes à le regarder sans un mot mais c'est pourtant ce que je fais. Je regarde mon mari en boxer, il est tard, très tard et le réveil risque d'être compliqué pour lui et pour moi aussi si je ne dors pas rapidement, mais j'ai pourtant envie de prolonger ce moment avec lui. Comme aux souvenirs de nos nombreuses nuits quand nous n'avions aucune obligation. « Alors comme ça tu as dis que j'étais cruelle avec toi ? » Oh il sait bien que je peux l'être et je le sais aussi, mais ce n'est que dans le but de le taquiner un peu, et c'est bien ce que je compte faire. « Il fait vraiment chaud cette nuit. » C'est faux, enfin si mais pas plus qu'une autre nuit, et ce n'est pas la raison principale qui me pousse à retirer ma nuisette à cet instant précis me laissant en culotte dans notre lit. « Tu es fatigué chéri ? » Il m'a réveillé, et je ne me sens plus du tout en état de dormir à cet instant, j'ai bien envie de profiter de cette nuit. Qu'il s'agisse de jouer à ce petit jeu avec lui ou plus, tout ce que je veux c'est retrouver cette complicité qu'il pouvait y avoir entre nous quand nous n'étions que tous les deux, jeunes et parfois cons mais surtout amoureux. Et si jeunes nous ne le sommes plus tout à fait, amoureuse, je le suis complètement et ça ne risque pas de changer et je prends le risque qu'il me dise non, ou qu'il s'endorme à cause de l'alcool dans quelques minutes, mais ça sera toujours quelques minutes de complicité avec lui.

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyLun 15 Jan 2024 - 10:30

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Wine is flowin' with Bacardi. But sometimes boys just want to have fun. The poetry inside of me is warm like a gun

« Je dors t'inquiète pas, mais je parlais des nombreuses nuits quand tes filles avaient décidé de prendre mon intérieur pour un terrain de gym et qu'elles m'empêchaient de dormir. » Il est vrai que pour Alex, la grossesse des filles n’a pas été facile sur bien des points, et le sommeil n’a pas été épargné. Malheureusement. Nombreuses ont été les nuits où je me faisais tirer de mon sommeil pour l’aider, ou l’occuper quand elle n’arrivait pas à fermer des yeux à cause de l’hyperactivité de nos filles. Même si à ce moment précis nous aurions largement préféré dormir, aujourd’hui je me rappelle ces souvenirs avec un sourire – et ce n’est même pas à cause de la quantité d’alcool un peu trop présente dans mon organisme. Ou du moins je ne pense pas. « Mes princesses… » je souffle avec toujours ce même sourire qui ne quitte pas mes lippes. Mes filles, comme l’a si bien dit Alex. Elles sont très vite devenues le centre de mon attention, avant même leur naissance. Avoir des enfants était un rêve pour moi, certes, un objectif de vie que j’avais tout de même clairement mis de côté lorsqu’Alex et moi nous nous étions remis ensemble. Loin de moi l’idée ou même la simplement possibilité qu’elle puisse vouloir un enfant en vue de son passé avec la maternité et la grossesse. Mais l’arrivée de Lucy et Lena fut pour moi une véritable bénédiction et chacun de ces moments de la grossesse sont un merveilleux souvenir pour moi. « Oh oui, sûrement mais pas pour ce que tu as en tête. On verra si demain tu as toujours ton sourire et si tu as envie de me voir en infirmière sexy sur toi. » Et si j’ai du mal à croire que demain je puisse ne pas avoir envie d’avoir ma femme sur moi en infirmière sexy, c’est bel et bien parce que je suis bourré et que le réveil de demain risque d’être compliqué. « J’en ai toujours envie, mon amoooouuuur. » que je lui réponds insistant volontairement sur ce surnom que je lui donne depuis plusieurs années. « Oui forcément, s'ils t'appellent tu ne peux pas les ignorer, je comprends, tu ne voudrais pas les vexer. » C’est bien évidemment de sa poitrine que nous sommes en train de parler, car apparemment bourré ou non, ça reste un de mes sujets de conversation préféré. Et aussi l’une des parties de son corps que j’aime le plus. Si ce n‘est pas celle que je préfère, et puisqu’elle a raison j’acquiesce alors que mes yeux se baissent une nouvelle fois sur ses seins durant quelques secondes. « Exactement. J’ai été bien élevé. » Bien que l’éducation de mes parents n’est en rien en lien avec l’amour que je porte pour la magnifique poitrine de ma femme, mais l’alcool me fait dire clairement n’importe quoi. « Et puis, t’as la plus belle poitrine du monde, ça serait con de ne pas en profiter. » Si les mots sont prononcés en riant c’est bien à cause de l’alcool, parce que je pense sincèrement ce que je viens de lui dire. Les seins d’Alex sont beaux, ils sont magnifiques et c’est bien pour cette raison que je n’arrête pas de lui en parler, et de les regarder. « Il y a une différence entre vouloir que tu parles la journée et la nuit bébé. Il est 2 heures du matin, même moi je parle pas autant à cette heure. » Elle a entièrement raison. Au fond je le sais, il n’y a aucun doute là-dessus. Alex parle habituellement beaucoup et moi non, mais j’aime l’écouter me parler de tout et de rien sauf qu’à deux heures du matin je doute que j’apprécierai de la voir aussi bavarde que je ne le suis actuellement. Mais alors c’est simplement en levant les épaules que je lui réponds. Elle a raison. Je parle beaucoup trop, et pour rien dire en plus. Mais au moins elle peut maintenant comprendre ce que je ressens au quotidien quand elle parle encore et encore sans s’arrêter et que mon rôle consiste surtout à l’écouter et hocher la tête de temps en temps.

Je ne m’attarde pas sous la douche, n’ayant qu’une hâte : retrouver la chaleur de notre lit – bien que dormir soir la dernière chose dont j’ai actuellement envie. « Je n'ai jamais dis que tu étais trop bourré, mais vu ton équilibre, la douche ça me semblait trop risqué pour nous, un accident est si vite arrivé. Mais, c'est à toi de me dire, si tu es trop pas bourré ? » Elle a raison. Je le sais et même en lui proposant de me rejoindre sous la douche il y a quelques minutes j’avais conscience qu’il ne s’agissait clairement pas d’une bonne idée. Mon équilibre reste précaire, bien que je parvienne à enfiler mon boxer sans tomber. « Je sais pas… » On ne peut pas dire que me retrouver dans cet état soit récurrent pour moi, bien au contraire alors savoir si je suis trop alcoolisé ou non, pour coucher ou faire quoique ce soit de sexuel avec ma femme ce soir n’est pas chose facile. « On sait tous les deux que mêler alcool et sexe n’est pas toujours une bonne idée avec moi. » Je lui rappelle en riant. Même si à l’époque je m’étais presque senti humilié par ce rapport catastrophiquement rapide, aujourd’hui je n’ai aucun problème à en rire. Tout comme voir le plafond bouger dans tous les sens me fait rire au moment où je laisse mon corps tomber sur le matelas. « Tu devrais prendre ça, ça peut t'aider un peu. Ca va aller ? » Je l’écoute en me redressant, calant mon dos contre la tête de lit tout en attrapant le verre d’eau et le médicament. Cette sensation d’ivresse que je ressens, je la déteste et ce n’est pas très étonnant quand on me connait. L’alcool me fait perdre complètement le contrôle sur absolument tout, et c’est quelque chose que je ne supporte pas. « Alors comme ça tu as dis que j'étais cruelle avec toi ? » Je repose le verre d’eau à moitié vide sur la table de chevet de mon côté avant de me retourner vers ma femme, les sourcils légèrement froncés. « Il fait vraiment chaud cette nuit. » Et sans que je ne m’y attende, voilà Alex maintenant à moitié nue devant moi. Sa nuisette tombe au sol et c’est bien évidemment sur ses seins que mes yeux se posent dans un premier temps. « Tu es fatigué chéri ? » J’entends sa voix, je l’entends me parler mais je pense que je ne m’attendais tellement pas à la voir de dénuder face à moi cette nuit que je reste presque bouche-bée. Mes iris quittent enfin sa poitrine qui glisser tout le long de son corps passant par son ventre, le bout de dentelle un peu plus bas finissant enfin par ses jambes. « Quoi ? » parce que qu’il me semble que je dois lui répondre, mais je ne parviens même pas à me souvenir de sa question. « T’es tellement sexy. » À peu près sûr que je ne lui réponds toujours pas mais il me semblait important de lui apporter cette précision. Mes mains se posent sur ses hanches la tirant ainsi vers moi, nos visages à seulement quelques centimètres l’un de l’autre, pour la première fois depuis que je suis rentré mes lèvres se posent enfin sur les siennes pour lui offrir un vrai baiser. Je ne suis pas sûr de comprendre pourquoi a-t-elle choisi de se dénuder si subitement mais une chose est sûre dans mon esprit : j’ai envie d’elle mais je sais pertinemment que mon taux d’alcoolémie m’empêchera d’être à la hauteur de ses attentes.

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyMar 16 Jan 2024 - 0:14




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« Mes princesses… » S'il y a bien une chose qui ne change pas entre le Caleb normal et celui alcoolisé, c'est sa réaction et son sourire quand on parle de ses filles. Il a toujours ce même sourire, ce même regard qui brille de fierté et d'amour quand il parle de ses princesses. Il est un merveilleux papa et je sais que c'est sans doute le rôle de sa vie. Celui qui lui va le mieux et qui le rends le plus heureux et le plus fier et je me sens fière d'avoir contribué à lui permettre de connaître ce bonheur et cet accomplissement. Je lui avais, sans doute, privé de son plus beau rôle il y a 11 ans, mais aujourd'hui, c'est un peu grâce à moi, qu'il peut s'épanouir en tant que père de famille et il suffit de le voir penser à notre filles pour réaliser qu'il est fait pour ça. Il est bien des choses Caleb, un homme bon, un chef étoilé, un mari attentionné et passionné, mais il est surtout un père parfait pour nos enfants et je sais que je n'aurais jamais pu rêver d'un meilleur homme pour vivre cette expérience de la parentalité avec moi. Nos enfants ne restent pas longtemps le sujet de notre discussion, pas à 2 heures du matin, pas alors qu'il est alcoolisé, parce que notre discussion dévie sur un tout autre sujet et nous profitons de l'intimité de notre salle de bain et de l'heure avancée de la nuit pour avoir ce genre de discussion. « J’en ai toujours envie, mon amoooouuuur. » Je doute de ça, je doute qu'il sera toujours avec la même envie au réveil mais pourtant, je sais qu'il pense presque ce qu'il dit et que l'alcool ne vient pas totalement modifié la réalité. Il a peut-être pas toujours envie comme il le dit, mais entre nous, le désir et l'envie sont forts, très fort et l'attirance de nos deux corps suffit à faire monter la tension rapidement entre nous. « Je sais, tu es un mari très actif. »  Nous le sommes tous les deux, ensembles mais pourtant, je suis prête à parier que demain matin au réveil, il aura tous sauf envie de moi. « Mais n'oublies pas tes mots, je me ferais une joie de te les rappeler demain matin mon amooooouuuuur. » Et là c'est uniquement pour le taquiner que je lui dis ces mots en reprenant aussi ce surnom sur lequel il a insisté. Il est alcoolisé, je suis sobre, mais je me mets à son niveau et pour une fois que je ne suis pas celle qui aies les idées un peu déformées par l'alcool, c'est une situation qui m'amuse beaucoup. « Exactement. J’ai été bien élevé. » Je secoue légèrement la tête en riant, mais il ne pourra pas le voir puisque son regard est centré sur mes seins ou plutôt sur le haut de mes seins et mon décolleté que lui offre cette nouvelle nuisette. « Je savais pas que Klaus t'avait fourni ce genre d'éducation. » C'est avec une légèreté que je lui parle de son père et de son éducation, tout en imaginant brièvement le discussion entre le père et le fils au sujet des poitrines et de comment ne pas les vexer. Ce n'est clairement pas une remarque que je lui aurais fais dans d'autres moments, mais il est bourré et ses propos me font rires et je ris un peu avec lui, et aussi, légèrement de lui alors que ses yeux ne peuvent se retenir de redescendre se perdre dans mon décolleté. « Et puis, t’as la plus belle poitrine du monde, ça serait con de ne pas en profiter. » Ce n'est pas la première fois qu'il tient ce genre de propos et je sais qu'alcoolisé ou non, il pense ce qu'il vient de me dire. Il ne me l'a jamais caché, enfin pas vraiment, il a déjà évoqué un paquet de fois son attirance pour ma poitrine et il a même hésité à en faire la partie de mon corps qu'il préfère, en hésitation avec mes yeux, même si je soupçonne que ce soit surtout le côté romantique de mon mari qui s'exprime quand il réponds mes yeux, parce qu'il suffit de voir avec quelle manière il regarde mes seins pour savoir que c'est bien cette partie de mon corps qui lui fait perdre la tête. « Tu as raison, profites chéri, tu es le seul à pouvoir le faire alors ne te prives pas. » Je n'ai pas la plus belle poitrine loin de là, mais là ou je suis d'accord avec lui, c'est qu'il serait con de ne pas en profiter, puisque si je porte des nuisettes aussi sexy c'est bien pour cette raison aussi non ? Il aime me regarder, et j'aime qu'il me regarde, finalement c'est là encore un équilibre parfait entre nous. Il aurait sans doute aimé que je le rejoigne sous la douche, et il semble ronchonner que je ne l'ai pas fais, mais il n'insiste pas et ressort rapidement de la douche. Peut-être un peu trop rapidement puisque je n'ai pas eu assez de temps pour profiter de cette vue, de l'eau qui coule sur le corps nu de Caleb. Il refuse que je l'aide à s'essuyer, tant pis, je le laisse faire, profitant tout de même de ce moment pour observer son corps et suivre les gouttes qui tombent de ses cheveux mouillés pour glisser sur ses épaules et descendre sur son torse. Il a enfilé son caleçon mais ça ne m'empêche pas de regarder le reste d'un corps dont je connais chaque courbes, chaque muscle, chaque cicatrice aussi. Il semble frustré, il dit de moi que je suis cruelle, mais finalement c'est lui qui est nu devant moi, alors qui est le plus cruel de nous deux ? « Je sais pas… » Ce n'était clairement pas la réponse que j'attendais à la question que je lui ai posé. Il ne sait pas s'il est trop bourré ou non. « On sait tous les deux que mêler alcool et sexe n’est pas toujours une bonne idée avec moi. » Il rit en ajoutant cette précision et je ris un peu aussi en repensant à ce moment. Un souvenir court mais pourtant c'est le souvenir de notre première fois alors même si j'avais bu ce soir là, je m'en souviens bien et lui aussi. Il aurait sans doute voulu l'oublier il y a 12 ans, mais aujourd'hui on en rigole ensemble. « Tu étais jeune, inexpérimenté et sans doute surexcité devant la découverte de ma poitrine, tu as pas pu gérer le trop plein d'émotions mais tu t'es bien amélioré depuis. » J'ajoute la partie sur ma poitrine en riant, mais pour le reste tout est vrai. Il avait bu, je l'avais même fais fumer un joint, et le contexte était loin d'être idéal ce soir là. Mais tout est loin désormais et nous avons eu l'occasion de revivre des expériences bien plus mémorables tous les deux. Et je ne devrais pas penser à ce genre de chose, surtout pas à 2 heures du matin alors que Caleb est en boxer dans le lit. Je le rejoins dans le lit après lui avoir donné un cachet, et alors que je passe quelques instants assisse à côté de lui à le regarder, je décide de profiter de ce moment ou nous sommes tous les deux réveillés au milieu de la nuit, pour jouer un peu avec lui. Il m'a dit que j'étais cruelle, que je lui proposais de l'aider à s'essuyer sans aller plus loin, et je compte faire encore plus que juste l'aider à s'essuyer. Je me retrouve comme il y a quelques années, notre intimité, notre lit, notre moment à deux et cette envie de le séduire, de tester ses réactions et je ne joue pas avec la subtilité. Je n'en ai pas envie, et je doute que Caleb soit vraiment en capacité de comprendre la subtilité ce soir. Il est encore lucide et sans ça, je n'aurais jamais rien tenté avec lui ce soir, je n'aurais pas pris le risque de me mettre nue devant lui si je le savais complètement bourré. Mais, il est encore assez lucide et s'il ne me réponds pas vraiment, il semble réactif face à ma prise d'initiative. « Quoi ? » Et si je le perds pendant quelques secondes, ce n'est pas à cause de l'alcool, enfin je crois pas, mais bien parce que son regard défile le long de mes formes, de mon corps nu à ses côtés et profite de cette vue que je lui offre volontairement dans l'objectif de le perturber un peu. Et ça marche. « T’es tellement sexy. » L'entendre me le dire me fait sourire, même si finalement, je n'ai pas vraiment besoin qu'il me le dise, son regard, ses yeux parlent pour lui et je me sens sexy quand il me regarde. C'est peut-être pour ça que j'aime autant sentir son regard sur moi, parce que dans ses yeux je me sens comme étant la plus belle femme du monde et c'est une sensation qui donne une confiance énorme. « Je ne peux pas résister face à vous Monsieur Anderson. » Je me pince la lèvre alors que je le regarde, en boxer, assit sur le lit, et si je suis quasi nue devant lui, c'est bien que son corps m'a donné envie de me mettre nue, et de venir jouer avec lui. « Alors, je suis cruelle avec toi mon amouuuuur ? » Je lui demande tout en laissant ses mains se poser sur mes hanches et m'attirer vers lui, l'aidant même à me rapprocher encore un peu. Je le laisse regarder mon corps, je le laisse toucher aussi, je le laisse faire ce qu'il désire, parce que j'en ai envie aussi. De pouvoir toucher son corps, de pouvoir le regarder, de pouvoir l'embrasser aussi et c'est lui qui réduit la distance entre nous, entre nos lèvres et ça me rassure de le voir faire ce chemin jusqu'à ma bouche. Je n'oublie pas qu'il m'a dit qu'il ne savait pas s'il n'était pas trop bourré pour ça, pour ce que j'ai en tête, mais si je dois me contenter de câlins et de baisers, je m'en contenterais sans frustration parce que tout ce que je veux c'est être auprès de lui à cet instant précis. Je prolonge ce baiser, je le prolonge en lui laissant toujours un peu de temps pour respirer, pour mettre fin à ce baiser s'il en a besoin. « Je te repose la question puisque tu t'es perdu dans mes seins, tu es fatigué ? » Je dépose un baiser sur sa joue puis au creux de ses lèvres alors que mes mains glissent le long de son torse. « Si tu veux dormir, dis moi, je peux me rhabiller et on se contente d'un câlin avant de dormir, ça me va aussi, mais je veux juste être dans tes bras. » Et, c'est avec tendresse que je lui dis ces mots, une tendresse qui dénote presque avec le fait que je sois quasiment nue dans le lit face à lui. Mais, c'est pourtant sincère ce que je lui dis, j'ai juste besoin d'être dans ses bras, que ce soit pour un moment charnel, passionné, romantique, tendre ou juste pour m'endormir dans ses bras, tout ce dont j'ai envie c'est d'être contre lui. Avec lui, au moins, je ne pense plus, avec lui au moins je ne doute plus, avec lui au moins je ne me déteste plus, parce qu'il m'apporte tellement d'amour, de douceur, de passion que je n'ai plus de place pour le reste, parce qu'avec lui, il n'y a plus que nous, que lui dans mon esprit et c'est tout ce que je veux finalement. Être avec lui et c'est bien pour cette raison que je me suis réveillée à 2h du matin, que j'ai été avec lui dans la salle de bain, que je lui ai tenu compagnie, parce que j'ai besoin d'être avec lui.

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyMar 16 Jan 2024 - 21:32

Calex
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« Je sais, tu es un mari très actif. Mais n'oublies pas tes mots, je me ferais une joie de te les rappeler demain matin mon amooooouuuuur. » Et elle pourra, parce que je suis sûr et certain que demain matin mon discours n’aura pas changé. Que c’est beau, la naïveté dominante de ton esprit quand tu es bourré, Caleb. Je suis à peu près persuadée qu’au fond tu sais que ce n’est pas vrai et que demain matin, l’envie de faire l’amour à ta femme sera tout en bas de la liste de tes priorités. « Je savais pas que Klaus t'avait fourni ce genre d'éducation. » Lorsque j’entends le prénom de mon père ressortir la barrière des lèvres d’Alex, mes sourcils se froncent prouvant mon incompréhension globale actuelle. La conversation était belle et bien centrée sur la poitrine de ma femme alors pourquoi parle-t-elle maintenant de mon père ? « Ewwww. » J’essaie encore et toujours de rechercher pourquoi est-ce que mon père se retrouve dans notre conversation si soudainement mais je pense sincèrement que mon taux d’alcool m’en empêche très clairement. Mon esprit est tellement embrouillé que je n’y vois plus rien. « Pourquoi tu me parles de mon père alors que je parlais de tes seins ? » que je finis enfin par lui demander, toujours aussi confus de la tournure de cette conversation. « Tu as raison, profites chéri, tu es le seul à pouvoir le faire alors ne te prives pas. » Un grand sourire s’étire sur mes lippes quand je l’entends prononcer ces mots et si mes yeux étaient plongés dans les siens depuis quelques secondes les voilà qui glissent tout droit vers le décolleté de sa nuisette une nouvelle fois. J’ai beaucoup de chance qu’Alex soit tombée amoureuse de moi il y a quatorze ans, et tout aussi chanceux de l’avoir pour femme aujourd’hui, alors si elle m’autorise à profiter de cette partie de son corps je ne m’en prive clairement pas.

Malgré la quantité d’alcool présente dans mon sang, je sens tout de même son regard insistant sur moi quand je suis sous la douche, et de même alors que je rejoins notre lit une fois douché et habillé. « Tu étais jeune, inexpérimenté et sans doute surexcité devant la découverte de ma poitrine, tu as pas pu gérer le trop plein d'émotions mais tu t'es bien amélioré depuis. » Jeune, oh que oui je l’étais. Inexpérimenté également, et en plus de ces deux facteurs ce soir-là j’avais bu de l’alcool et pour la première fois de ma vie : fumé un joint. Alors décider de coucher avec Alex dans une chambre alors que de l’autre côté de la porte tous ces amis avaient accepté son invitation pour venir fêter avec elle son vingtième anniversaire n’a pas été notre idée la plus brillante. Ajoutant à tout cela que nous ne nous connaissions que depuis vingt-quatre heures. Aucun critère ne nous signalait que nous devions coucher ensemble pour la première fois lors de cette soirée mais nous l’avons pourtant fait, l’envie et l’attirance envers l’autre étant bien trop forte, et même si ce fut sans aucun doute notre moment d’intimité le moins mémorable – uniquement par ma faute – j’en garde tout de même un bon souvenir aujourd’hui. « J’ai TOUJOURS envie de redécouvrir ta poitrine, bébé. » Le deuxième mot est presque crié comme pour appuyer dessus et lui montrer à quel point je suis sincère dans mes propos. Même si je suis presque sûr qu’elle n’avait pas besoin de celui pour en douter, parce que finalement, me voilà encore en train de lui parler de sa poitrine comme si le sujet de conversation n’avait pas changé ces dernières minutes. Si je me contentais de parler de cette partie de son corps, maintenant je peux également la regarder un peu plus parce qu’au lieu de s’installer dans le lit, avant d’éteindre la lumière pour retourner dormir Alex décide d’ôter sa nuisette se montrant ainsi presque nue face à moi. Connaissant pourtant son corps par cœur, on pourrait presque croire qu’il en faudrait maintenant plus pour réveiller en moi certains désirs. Je connais ses courbes du bout des doigts, à n’importe quel moment de la journée si je le désire il me suffit que je ne ferme les yeux afin de pouvoir visualiser à la perfection chaque parcelle de son corps, de la tête aux pieds, passant par chacun des grains de beauté s’y trouvant. Mais pourtant…mais pourtant, me voilà le regard complètement bloqué sur son corps, obnubilé par la beauté et la perfection de celui-ci. « Je ne peux pas résister face à vous Monsieur Anderson. » Mes lèvres s’étirent doucement tandis qu’elles se pincent entre elles. « Moi non plus… » que glisse dans un soupir. Et ce n’est pas simplement sur sa poitrine que mes yeux s’attardent, non, mais bien son corps dans son entièreté. « Enfin…à toi. Je suis incapable de te résister. » Elle l’avait sûrement compris mais je ressens tout de même le besoin de lui apporter cette précision. « Alors, je suis cruelle avec toi mon amouuuuur ? » Je ne relève même pas le fait qu’elle soit littéralement en train de se moquer de moi parce que là, tout ce qui m’importe c’est simplement pouvoir continuer à profiter de son corps mais d’une toute autre manière et je le commence en attirant son corps au plus proche du mien afin de pouvoir l’embrasser avec passion et envie. « Je te repose la question puisque tu t'es perdu dans mes seins, tu es fatigué ? » Ses lèvres se posent sur ma joue, qui au coin des miennes alors que min corps frisonne en sentant ses mains caresser mon torse. « Si tu veux dormir, dis moi, je peux me rhabiller et on se contente d'un câlin avant de dormir, ça me va aussi, mais je veux juste être dans tes bras. » Si un simple câlin lui suffisait elle n’aurait certainement pas eu l’idée de ses déshabiller devant moi, cette action me prouve surtout qu’elle a envie de plus. Et moi aussi. Sauf que je suis à peu près sûr de ne pas être en état d’être à la hauteur de ses attentes et ses envies. Mais il y a ma femme, nue, à quelques centimètres de moi et comme je lui ai dit il y a seulement quelques petites minutes, je suis bien trop amoureux de son corps et incapable de lui résister.



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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyVen 19 Jan 2024 - 19:09




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Caleb n'est pas l'homme le plus bavard de la terre, loin de là même. Mais, quand il s'agit de faire l'apologie de ma poitrine, il est capable de beaucoup s'exprimer. Que ce soit avec des mots ou avec ses yeux, je sais qu'il aime cette partie de mon corps et qu'il est attiré par ma poitrine et ce n'est pas de sa faute. Il me dit que mes seins l'appellent et c'est une excuse bien drôle non ? Il est faible face à mes atouts et s'il ne s'en est jamais caché, l'entendre évoquer le fait qu'il ne fasse que réponse à leur appel parce qu'il est bien élevé, est là encore très drôle. Surtout, qu'il n'a besoin d'aucune excuse ou justification pour mater cette partie de mon corps. Mais, puisqu'il joue sur le côté bien élevé, je viens le taquiner un peu avec son éducation et donc son père, ce qui ne manque pas de le faire réagir. « Ewwww. » La tête qu'il fait au moment ou j'évoque son père me fait rire, vraiment rire. « Pourquoi tu me parles de mon père alors que je parlais de tes seins ? »  Je vois bien à sa tête qu'il n'a jamais rien compris et que trouver le lien semble trop lui demander au vue de son état, alors je ne le fais pas trop attendre avant de lui expliquer. « Tu as parlé de ton éducation, je voulais savoir si c'était Klaus qui t'avait appris à ne pas ignorer l'appelle d'une poitrine. » Je me moque un peu de lui et je ne m'en cache pas. Cette discussion est une discussion en somme assez normale entre nous, alcoolisé ou non, c'est sans doute son sujet de discussion préféré quand nous sommes tous les deux. J'abuse à peine, mais ce qui est vrai c'est que c'est sans aucun doute la partie de mon corps qu'il passe le plus de temps à regarder et comme je lui dis, il a raison de le faire, c'est le privilège de l'homme marié, il est bien le seul à qui je veux faire profiter de mes atouts.

Il a fini par rejoindre notre lit, et après une simple question de ma part, il évoque un sourire qui nous fait rire tout les deux. Qui nous fait rire aujourd'hui, mais ça ne fut pas toujours le cas. Notre première fois, qui ne fut pas vraiment à l'image de ce qu'allait être notre vie sexuelle. C'est un souvenir sur lequel nous pouvons rire désormais parce que nous avons depuis vécu bien des moments remarquables et entre nous ça fonctionne très bien. Mais, à l'époque, ce fut pas vraiment mémorable, c'est le moins que l'on puisse dire. « J’ai TOUJOURS envie de redécouvrir ta poitrine, bébé. » La manière avec laquelle il me réponds, cette énergie qu'il met pour me partager cette confession me fait sourire, même s'il a encore crié et qu'il y a toujours nos enfants qui dorment. Je ne réagis pas directement au fait qu'il soit bruyant mais plutôt à cette information qui me flatte et qui m'inspire aussi. « Je sais pas comment tu peux encore vouloir la redécouvrir, tu la connais déjà par cœur. » Il passe tellement de temps à regarder ma poitrine qu'il doit être incollable sur mes seins et ne plus être surpris par ce qu'il voit. Et pourtant, quand je me mets seins nus devant lui, son regard vient donner du crédit à ses paroles. Il est obnubilé par ma poitrine mais pas que puisque ses yeux parcourent mon corps de haut en bas me faisant ressentir une sensation incroyable. Je me sens belle, je me sens désirable, je me sens comme étant la plus belle femme quand il me regarde ainsi et ce regard qu'il pose sur mon corps me flatte vraiment. Et si lui me regarde, je peux en faire autant, profiter de son torse, de ses épaules dénudées, de sa peau sous mes doigts. Je suis faible face à lui, je suis amoureuse de lui, je suis excitée par la présence de mon mari à mes côtés, et ce n'est pas nouveau tout ça. Je suis incapable de résister à son corps. « Moi non plus… » Il se pince les lèvres en me disant ça, et c'est autant sa confidence que ce geste qui me fait craquer. Ses lèvres que je fixe avec l'envie intense de venir l'embrasser. « Enfin…à toi. Je suis incapable de te résister. » Je lâche un petit rire à sa précision qui n'était pas utile mais qui me fait rire. « J'espère que tu ne te lasseras jamais de moi. » Je n'en doute pas vraiment, mais c'est en venant l'embrasser dans le cou que je lui dis ces quelques mots. Je suis faible face à lui, incapable de résister face à lui, je viens de lui dire et je me laisse entraîner par cette envie qui me gagne et me fait perdre ma capacité de réflexion. Et c'est encore pire quand il me rapproche de lui, quand je sens ses mains sur mon corps, quand je sens cette sensation si agréable, si douce, si euphorisante. J'ai besoin de ça, j'ai besoin de moments comme ceux là, encore plus en ce moment, d'être contre lui, d'être avec lui, d'être dans ses bras et de sentir son amour et sa douceur, de sentir ses gestes tendres et respectueux de mon corps. J'ai envie de lui aussi, énormément envie de lui et je ne réfléchis pas vraiment à ce que je fais. Je laisse mon désir guider mes actions, même si je suis prête à mettre fin à ce moment s'il est fatigué.

« Si je le suis. Enfin, je l’étais. Mais maintenant je ne pense plus vraiment à dormir. » Il est au dessus de moi, il m'embrasse, malgré sa fatigue qu'il vient de m'avouer, il embrasse mon corps, mon cou, et mes seins. Et c'est avec beaucoup de plaisir que je profite de cet instant. J'en avais envie, beaucoup trop envie et il sait comment me faire plaisir. Je tire sur son menton pour ramener son visage vers le mien et venir l'embrasser avec beaucoup d'envie et de passion. Et alors qu’il m’embrasse je sens l’odeur de l’alcool qui vient comme un rappel violent qu’il n’est pas dans son état normal. Et c’est à ça que je pense nos lèvres se séparent. Et je me sens mal à l’aise avec l’idée de penser à ce que je veux avant de penser à lui. Je ne veux pas être comme ça, surtout pas avec lui. Je ne doute pas qu'il ait envie mais je ne sais pas si c'est mon passé, ou autre chose, mais je me bloque en réalisant ce que je suis en train de faire. « Chéri attends. » Je lui dis doucement en déposant un baiser sur sa joue pour ne pas paraître trop froide. « Je peux pas faire ça, j’aurais l’impression de profiter de toi alors que tu n’es pas dans ton état normal. » Je sais que mon attitude risque de le blesser ou de le frustrer sans doute un peu des deux et je m’en veux mais je sais que c’est la meilleure chose à faire. Il est encore lucide mais il n’est pas sobre pour autant et je sais que c’est une mauvaise idée. J’ai envie de lui, vraiment très envie et moi aussi je vais être frustrée, mais je ne veux pas de lui alcoolisé, du moins pas comme ça. « Je suis désolée, j’aurais pas dû jouer à ce jeu ce soir. » Je me sens conne de l’avoir provoqué en me mettant nue devant lui et de faire marche arrière comme ça et il aurait toutes les raisons du monde de m'en vouloir, je m'en veux aussi, mais je m'en voudrais encore plus si je venais à coucher avec lui alors qu'il n'est pas à 100% lucide. « J’avais juste envie d’être avec toi mais pas comme ça. » Pas alors qu’il est fatigué, qu’il est alcoolisé et qu’il n’est pas à 100% lui même. J’ai déjà couché avec lui quand il avait bu mais j’avais moi aussi bu et plus que lui encore mais comme il a toujours refusé de coucher avec moi quand j’étais bourrée je pense que c’est normal que j’en fasse autant et j’aurais dû y penser bien avant. « Je me rattraperai demain soir je te promets, je te ferais tout ce que tu désires, mais là tu devrais dormir si tu veux pas être trop mal demain matin. » Je sais que je ne suis pas prête de me rendormir moi, mais lui il l'a dit, il est fatigué et l'alcool aidant, il devrait réussir à trouver le sommeil et c'est sans doute mieux pour lui et pour nous.

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptySam 20 Jan 2024 - 19:22

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« Tu as parlé de ton éducation, je voulais savoir si c'était Klaus qui t'avait appris à ne pas ignorer l'appelle d'une poitrine. » Et c’est avec ses explications que je comprends bien mieux pourquoi mon père est arrivé dans la conversation. Si la réponse à son interrogation me semble évidente elle ne manque pas de me faire rire. Mes parents nous ont tous élevés assez pudiquement, il est très rare que nous parlions ensemble à cœur ouvert et je pense d’ailleurs que les fois où j’ai dit à mes parents les aimer sont rares. Vraiment très rares, alors non, mon père ne m’a jamais appris à ne pas ignorer l’appel d’une poitrine. « Non, ça s’apprend pas ça. C’est inné. » que je lui réponds en hochant la tête de haut en bas. Inné, je ne sais pas mais très rapidement après notre rencontre j’ai découvert à quel point j’aimais cette partie de son corps. J’ai bien évidemment commencé par aimer plus que tout ses yeux, et aujourd’hui c’est d’ailleurs encore le cas. Ses iris vertes restent aussi un grand point faible pour moi, et elle le sait. Contrairement à moi, elle a conscience de ses atouts physiques. Alex peut me demander n’importe quoi en me regardant avec ses grands yeux verts, elle sait que les chances que je craque soient très fortes. Quand je la regarde dans les yeux j’ai l’impression que la terre s’arrête de tourner, j’oublie tout et il n’y a que nous et notre couple qui compte. « Je sais pas comment tu peux encore vouloir la redécouvrir, tu la connais déjà par cœur. » Elle marque un point. Même si je connais sa poitrine par cœur je ne m’en lasse toujours pas et j’aime toujours autant avoir la chance de pouvoir la regarder et en profiter de toutes les manières possibles et inimaginables. Je pense d’ailleurs que pour elle, mon amour pour cette partie bien spécifique de son corps peut être perçue comme étant un véritable compliment, lui prouvant alors ainsi que dans dix, vingt ou trente ans rien ne pourra jamais changer entre nous. Certainement pas sur ce point-là en tout cas. « Parce que je l’aime et que ta poitrine est parfaite mon amour. » Voilà maintenant de lingues minutes que nous discutions sans presque s’arrêter de ses seins et de mon adoration envers eux, c’est assez drôle, mais surtout c’est une nouvelle preuve de mon alcoolisation peut-être un peu trop importante ce soir. Au cas où une nouvelle justification à ce sujet était encore nécessaire, parce qu’au final je suis à peu près sûr que simplement ma posture et ma façon de parler suffisent d’elles-mêmes.

D’ailleurs, Alex a décidé d’aller plus loin que simplement parler de sa poitrine et se met à nue devant moi. Littéralement parlant. Je ne m’en plains pas, bien au contraire. Je la regarde, je la scrute dans les moindres détails, je profite de la vue du corps de ma femme que je considère comme étant parfait. Les marques encore présente des trois grossesses n’ont fait que la rendre encore plus belle et plus désirable à mes yeux, et comme souvent je n’ai même pas besoin de lui dire ô combien je la trouve sexy ni même à quel point son corps ou sa simple présence suffit à faire grimper ma libido au plafond ; mon regard le fait pour moi. « J'espère que tu ne te lasseras jamais de moi. » Si mes yeux détaillent son corps avec envie et beaucoup d’attention lorsque je l’entends mentionner la possibilité qu’un jour, je puisse me lasser d’elle, c’est rapidement que mon regard se lève pour venir trouver ses yeux. Mes sourcils se froncent rapidement avant que je ne lui réponde. « Impossible. » Un seul mot. Simple. Efficace. Que je puisse un jour me lasser d’elle ou de son corps me semble complètement fou et impensable, si une personne de notre couple doit prononcer ses mots, c’est sans la moindre hésitation que je peux affirmer que ça devrait être moi. Alex est belle, tellement belle que je ne doute pas qu’elle soit souvent draguée par tout un tas de personne au quotidien et il est fort possible qu’un jour elle finisse enfin par réaliser qu’elle pourrait facilement avoir un homme bien plus beau, sexy et charismatique que moi à ses côtés. Mais pour le moment, les réflexions sont bien loin et je me contente de profiter de son corps, comme elle semble le vouloir elle aussi. « Chéri attends. » Alors que j’étais en train d’embrasser avec passion la poitrine de ma femme, elle m’arrête, et c’est intrigué que je relève le visage vers le sien. « Je peux pas faire ça, j’aurais l’impression de profiter de toi alors que tu n’es pas dans ton état normal. » Toujours perdu, je la regarde sans trop savoir quoi dire ni même quoi lui répondre. « Je suis désolée, j’aurais pas dû jouer à ce jeu ce soir. » Et là je comprends. Peut-être qu’il m’a fallu un peu plus de temps que d’habitude pour comprendre ce qu’elle voulait me dire, mais j’ai enfin compris qu’elle est en train de me dire qu’elle n’a finalement plus envie que l’on couche ensemble. « Quoi ? » Question bien évidemment rhétorique. Je n’attends absolument aucune réponse de sa part, elle en a déjà dit assez. Je m’attendais à tout sauf à ça et je pense que non seulement je ne comprends pas son comportement envers moi ce soir, mais je suis en veux également. Pourquoi se déshabiller devant moi et commencer à instaurer un petit jeu entre nous si c’est pour l’entendre me dire ne pas avoir envie de moi ce soir ? « J’avais juste envie d’être avec toi mais pas comme ça. » Ne comprenant toujours pas ses intentions depuis tout à l’heure, je secoue la tête à la négative tout en me détachant d’elle, retrouvant mon côté du lit. « Pourquoi tu t’es déshabillée en me chauffant si c’était pas pour du sexe alors ? » Cette fois il ne s’agit pas d’une question rhétorique et j’attends une vraie explication de sa part. Pas sur les raisons pour lesquelles elle n’a pas envie de sexe ce soir, mais pourquoi m’a-t-elle fait croire l’inverse avant de me repousser comme elle vient de le faire. « Je me rattraperai demain soir je te promets, je te ferais tout ce que tu désires, mais là tu devrais dormir si tu veux pas être trop mal demain matin. » Sauf que peut-être que demain soir je n’en aurais pas envie – peu probable, je vous l’accorde – et je sais qu’elle essaie de se rattraper mais ça ne fonctionne pas du tout. « Laisse tomber. » que je lui réponds en soupirant légèrement. Je me redresse dans le lit pour attraper mon verre d’eau et en boire quelques gorgées avant de le reposer sur ma table de chevet. Et puisqu’elle a retiré sa nuisette pour me faire comprendre avoir envie de sexe pour au final me repousser, je me baisse pour récupérer sa nuisette encore sur le sol de chambre pour lui rendre. « Je maintiens ce que je disais tout à l’heure, t’es vraiment cruelle. » Peut-être même encore plus que ce que je pensais.

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyDim 21 Jan 2024 - 23:01




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« Non, ça s’apprend pas ça. C’est inné. » Inné ou non, en tout cas, Caleb ne résiste pas face à l'appel de ma poitrine. Ce soir le prouve encore. Il est faible face à mes atouts et ça, je ne pense pas que ce soit inné ou non, c'est juste la preuve que je lui plais encore, malgré les années qui passent et c'est quelque chose qui est important pour moi. Je n'ai jamais vraiment eu de doute sur mon physique, sur mon corps, à l'exception de l'après grossesse, je n'ai jamais douté de moi physiquement et j'ai même compensé pas mal avec mon physique. Je n'ai pas confiance en moi, et je le cache derrière cette image de femme bien dans son corps et le regard de Caleb a contribué à m'aider à me sentir bien dans ma vie. Et il pourrait rester de longues minutes à me regarder en silence que je ne me sentirais pas gênée une seconde, parce que c'est lui. Parce que son regard n'a jamais rien eu de gênant bien au contraire et parce qu'il est le seul qui puisse me regarder avec cette même intensité. Il connaît mon corps par cœur et pourtant, il ne se lasse pas, il le regarde encore et encore. « Parce que je l’aime et que ta poitrine est parfaite mon amour. » Je sais qu'il pense ses mots mais ils me font rire parce qu'il est depuis plusieurs minutes en train de parler de mes seins et de les regarder aussi. Je sais qu'il aime beaucoup ma poitrine, je n'avais pas besoin de cette déclaration ou de cette soirée spécifique pour le savoir, ce n'est pas un secret entre nous mais pourtant ça reste flatteur. Elle n'est pas parfaite, les grossesses et l'allaitement ayant eu un impact sur mes seins autant que sur mon corps, mais il n'a jamais eu de regard différent sur moi, au contraire même, je crois qu'il me regarde avec encore plus d'amour et de désir depuis que j'ai porté ses enfants. Et quand je me mets nue devant lui, son regard est toujours le même. Ce mélange de désir, d'amour, d'excitation et c'est dont j'ai besoin. De me sentir aimée, de voir le regard de mon mari toujours aussi intense, toujours aussi amoureux, toujours aussi désireux de ce corps. Et je n'en doute pas en voyant son regard, en sentant ses mains sur mon corps aussi. « Impossible. » Ce simple mot me fait sourire et mes lèvres viennent se poser sur les siennes quelques secondes. « Ça tombe bien parce que je compte rester avec toi toute ma vie. » Je ne veux jamais qu'il ne cesse de m'aimer comme il le fait depuis quelques années maintenant et je ne veux jamais qu'il ne cesse d'être cette présence si importante dans ma vie chaque jour. Il est mon tout Caleb. L'homme de ma vie, mon confident, mon protecteur, mon soutien, le père de mes enfants, mon partenaire de vie, celui qui partage mes nuits aussi. Et ces de toutes ces facettes là dont je suis amoureuse. Il sait me rassurer en un regard, il sait me faire rire en quelques secondes, il sait me faire sourire dès qu'il entre dans une pièce et il sait m'exciter en quelques instants, même sans le vouloir, même sans essayer. Et ce soir, il m'excite. Il me plaît Caleb et je crois qu'il est bien le seul à ne pas voir le pouvoir qu'il a sur moi et cette nuit, c'est sans même réfléchir que je me retrouve nue face à lui. Guidée par l'envie et le désir. Par ce besoin aussi que je ressens d'être avec lui, de me sentir désirée et aimée, guidée par son corps en boxer à côté de moi. Je ne réfléchis pas à ce que je fais et je profite de ces instants avec Caleb au milieu de la nuit. Son corps qui s'installe sur le mien et qui commence à embrasser ma peau, c'est exactement ce que je voulais, ce que j'avais en tête au moment ou je me suis déshabillée et pourtant après plusieurs minutes, je l'arrête. Je réalise mon erreur, je prends conscience de ce que je suis en train de faire et je fais machine arrière et je vois dans le regard de Caleb beaucoup d'incompréhension. Je ne peux pas lui en vouloir, les signaux que je lui ai envoyé étaient clairs mais je mets fin à tous ça avant que nous allions trop loin. « Quoi ? » Je grimace légèrement, il vient de comprendre et je sais qu'il risque de mal le prendre et de m'en vouloir. « Désolée. » Je lui murmure ce mot à nouveau, je sais que ce n'est pas ce qu'il a envie d'entendre mais je ne peux pas faire ça. Je suis sobre lui non et je ne peux pas coucher avec lui dans ces conditions peut-être qu'il ne peut pas le comprendre là maintenant, du à son alcoolémie justement, mais je sais qu'il partage cette valeur et qu'il pourra me comprendre plus tard. Du moins, je l'espère. Il se détache de moi et il se réinstalle sur le côté de son lit et je n'ose plus vraiment le regarder parce que je sais que je l'ai blessé. « Pourquoi tu t’es déshabillée en me chauffant si c’était pas pour du sexe alors ? » Sa façon de me questionner, les mots qu'il emploie, me prouve bien qu'il ne prends pas bien ce changement dans mon attitude, et je ne peux pas lui en tenir rigueur. Je sais que j'ai mal agis, que je n'aurais pas du le chauffer comme il dit. « J'avais envie  de sexe avec toi, et j'ai encore envie de toi mais je ne peux pas profiter de toi comme ça, je sais que c'est la meilleure chose à faire. » C'est difficile de le voir en colère comme ça, de savoir que je l'ai blessé et peut-être vexé aussi, mais je sais que c'est la manière chose à faire comme je viens de lui dire, parce que c'est ce qu'il faisait lui et j'essaye de prendre exemple sur lui. Mon erreur ce soir fut de me laisser guider par mes envies avant de réfléchir mais désormais je sais que je ne pourrais rien faire ce soir avec lui, non pas que je n'en ai pas envie, mais parce que je sais que je ne serais pas à l'aise avec l'idée de coucher avec lui alors qu'il a bu. Je lui propose de me racheter demain soir, quand il sera sobre lui aussi, mais ça ne semble pas avoir l'impact que je voulais. « Laisse tomber. » Il soupire sans même répondre à ma proposition pour demain soir mais je lui en tiens pas rigueur, c'est moi qui ais tout gâché ce soir et il m'en veut. Il récupère ma nuisette et me la donne pour me rhabiller, ce que je fais directement et presque honteusement je me cache sous les draps. « Je maintiens ce que je disais tout à l’heure, t’es vraiment cruelle. » Je sais que c'est l'alcool qui le fait parler ainsi, enfin je crois, mais je ne peux pas lui en tenir rigueur parce qu'il a raison. Oui je suis cruelle, je l'ai chauffé, je me suis mise nue devant lui et je l'ai repoussé pour le laisser sur sa fin. Il a raison je suis cruelle avec lui ce soir. Et je le suis avec moi aussi parce que la frustration je la ressens bien aussi. « Tu as raison, j'ai été cruelle, et je suis tout autant frustrée que toi. Te voir sous la douche et en boxer dans notre lit, j'avais juste envie de toi, j'ai pas réfléchis. Mais, tu n'aurais pas couché avec moi si j'avais bu, je peux pas faire ça, je suis désolée de t'avoir chauffé. » Je sais que mes explications ne suffiront sans doute pas, qu'il continuera à m'en vouloir ce soir, mais j'espère qu'au réveil il comprendra mes raisons. « Tu m'en veux ? Je peux quand même venir contre toi ou tu préfères que je te laisse tranquille ? » Je lui demande alors qu'habituellement je viens me coller contre lui sans avoir besoin de son accord, c'est dans ses bras que je m'endors, contre lui que je passe mes dernières minutes avant de sombrer dans le sommeil, mais ce soir, même si j'ai toujours autant besoin de sa présence, je ne peux pas forcer ce rapprochement et j'attends sa réponse sans bouger.  

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyLun 22 Jan 2024 - 21:36

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« Ça tombe bien parce que je compte rester avec toi toute ma vie. » C’est aussi un peu la raison pour laquelle nous nous sommes mariés il y a deux ans, non ? Parce que nous comptons tous les deux passer le reste de notre vie ensemble, car avancer sans l’autre nous semble être une pensée insoutenable, parce qu’on s’aime plus que tout au monde et que nous voulions fêter notre amour auprès de nos proches. J’aurais certainement très bien pu lui répondre quelque chose comme ça mais je suis finalement très vite bien trop occupé à tout autre chose. Je la regarde, j’admire le corps plus que parfait de ma femme. On pourrait avoir peur de se lasser l’un de l’autre et si je suis persuadé qu’elle finira par l’être de moi je sais aussi qu’il est impossible qu’un jour je puisse ne plus vouloir regarder et profiter des formes de ma femme. Et si en voyant Alex se dénuder devant moi en me montrant avoir des intentions bien claires en tête, elle semble avoir finalement changé d’avis en dernière minute puisque contre toute attente elle finit par me repousser. Peut-être que le moment est arrivé, d’ailleurs. Celui dont je parlais un peu plus haut. Alex a fini par enfin se lasser de moi, et c’est presque la seule explication logique. Elle me fait comprendre avoir envie de moi mais au moment où j’embrasse son corps de la même façon que j’ai pu le faire des milliers de fois auparavant son envie s’est envolée loin. Très loin. Ses explications soient bancales et incompréhensibles pour moi. C’est mon taux d’alcoolémie trop élevé qui ressort de son discours mais pourtant, je ne suis pas plus alcoolisé qu’il y a cinq minutes quand elle s’est débarrassée de sa nuisette devant moi dans l’idée que nous couchions ensemble. « J'avais envie  de sexe avec toi, et j'ai encore envie de toi mais je ne peux pas profiter de toi comme ça, je sais que c'est la meilleure chose à faire. » Encore une fois, pourquoi avoir commencer à me faire croire que nous allions coucher ensemble si elle ne veut pas le faire parce que j’ai, selon elle, bu un ou deux verres de trop ? « Tu as raison, j'ai été cruelle, et je suis tout autant frustrée que toi. Te voir sous la douche et en boxer dans notre lit, j'avais juste envie de toi, j'ai pas réfléchis. Mais, tu n'aurais pas couché avec moi si j'avais bu, je peux pas faire ça, je suis désolée de t'avoir chauffé. » Je lève les yeux au ciel lorsqu’elle mentionne ce qui aurait, apparemment, fait grimper sa libido, doutant fortement que me voir sous la douche ou même en boxer puisse procurer le moindre sentiment. Il y a une autre chose dont je doute ; c’est quand elle me dit être tout autant frustré que je ne le suis. Je ne pense pas que ce soit vrai, à vrai dire, si elle m’a repoussé c’est sûrement parce qu’elle s’est rendue compte qu’elle ne voulait pas coucher avec moi. Déjà sans une goutte d’alcool dans l’organisme je ne comprends pas comment il est possible que je puisse avoir le moindre effet sur elle, alors en me voyant bourré ce soir ce serait encore plus surréaliste. « Tu m'en veux ? Je peux quand même venir contre toi ou tu préfères que je te laisse tranquille ? » Ça peut paraître bête, mais j’apprécie sincèrement qu’elle me pose cette question au lieu d’agir sans me demander comment je le sens. Pour être tout à fait honnête, je n’ai pas envie de la repousser mais en même temps je sens que mon esprit me suggère de garder mes distances pour le moment. J’ai toujours eu un rapport avec le toucher assez spécial, je ne suis pas tactile et un simple contact physique bref pour certain peut être ressenti comme une véritable agression pour moi. Alex fait partie des rares qui n’ont généralement pas besoin de me demander avant de poser ses mains sur min corps, mais avec le temps elle a appris qu’après une dispute ou un désaccord de ce genre, me demander est préférable. Il me faut certainement bien trop de temps pour lui répondre, mais au bout de plusieurs secondes – une minute, peut-être ? – je lui réponds enfin. « Bonne nuit. » Ce n’est même pas vraiment une réponse, mais je me penche vers elle pour déposer un baiser sur sa joue avant d’éteindre la lampe de chevet et de m’allonger de mon côté. Mais au final, après une dizaine de minutes je finis par me retourner vers elle et c’est en la prenant dans mes bras que je m’endors.

« PAPA ! PAPA ! » Je n’ai même pas besoin d’ouvrir les yeux pour non seulement reconnaître la voix de Lucy qui vient d’entrer dans notre chambre en criant, mais aussi pour savoir que la lumière du jour qui frappe dans la chambre ne sera pas agréable pour moi. « Papa ! Réveille-toi papa ! » Je soupire, mais toujours sans avoir ouvert les yeux je me retourne dans le lit, m’allongeant sur le ventre face contre l’oreiller afin de soupirer à nouveau. « Maman ! Réveille papa ! Veux des pancakes ! Ai faim ! » Voilà, c’est enfin à Alex que Lucy s’adresse alors égoïstement je décide de la laisser gérer. Mes yeux sont toujours fermés, je ne sais pas encore quelle heure il est, certainement bien trop tôt mais je sais que notre nuit est déjà malheureusement terminée. Je sens du mouvement sur lit. Beaucoup de mouvement. Bien plus que s’il ne s’agissait que d’Alex se levant pour aller préparer le petit-déjeuner pour les enfants. Non. En fait c’est Lucy qui a enfin réussi à grimper sur le lit. Elle embrasse Alex sur la joue et en fait de même avec moi avant de monter sur mon dos. « Papa, pourquoi tu te réveilles pas ? » Encore une fois, je soupire. « Si, si je suis réveillé ma chérie. » J’ouvre un œil pour regarder l’heure : 7h12. « Descends ma princesse, tu me fais mal. » J’ouvre le deuxième œil, et un nouveau soupir m’accompagne. Ma tête me fait mal, la lumière est agressive et peu agréable. Je me tourne à nouveau pour m’allonger sur le dos, jetant un coup d’œil vers Alex. « Ta sœur est réveillée ? » que je demande à Lucy d’une petite voix qui me répond en haussant les épaules. « Tu veux bien aller voir ma belle ? » Lucy me fait un grand sourire. « D’accord papa. » Et puis elle descend du lit et repart en courant, criant même le prénom de sa sœur dans les couloirs. « Comment est-ce qu’elle a autant d’énergie dès le matin ? » elle le tient de moi, je le sais, je suis habituellement bien plus matinal que je ne le suis aujourd’hui. Les yeux toujours plissés à cause de la lumière qui me fait mal aux yeux, je m’approche d’Alex pour embrasser doucement ses lèvres. « Tu as quand même bien dormi ? » On a finalement très peu de temps pour nous avant que Lucy ne revienne avec Lena – et possiblement, également avec Mael – alors autant en profiter un peu.

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyJeu 25 Jan 2024 - 0:03




WINE IS FLOWIN' WITH BACARDI. BUT SOMETIMES BOYS JUST WANT TO HAVE FUN. THE POETRY INSIDE OF ME IS WARM LIKE A GUN

Le blesser fait toujours partie des choses avec lesquelles j'ai le plus de mal et ce soir, je sais que je l'ai blessé et sans doute aussi frustré et vexé. Mais la frustration il peut la gérer, mais je vois que mes agissements ont un impact sur lui et je m'en veux de m'être mal comportée avec lui. Je voudrais pouvoir me rattraper mais je ne peux rien faire, pas ce soir du moins et tout ce que je peux faire c'est espérer que la nuit pourra effacer la frustration de cette nuit. J'ai malgré tout, envie d'être dans ses bras, même s'il ne se passera rien ce soir, le besoin de contact physique et de sa présence se fait ressentir mais je ne peux pas l'obliger à supporter ma présence et ce lien physique dont j'ai envie alors je lui demande et il met beaucoup trop de temps à me répondre. Il ne le fait même pas vraiment finalement. « Bonne nuit. » Et la seule chose qu'il me dit, et je comprends que c'est un non qu'il me dit sans le dire et si ça me blesse je ne dis rien et j'accepte. Je suis tout de même presque surprise de sentir ses lèvres se poser sur ma joue alors que je m'y attendais pas. J'aurais sans doute préférais un baiser à un autre endroit mais je me contente de ce qu'il me donne et c'est tout ce que je mérite ce soir après ce jeu cruel auquel j'ai joué avec lui. « Bonne nuit. » Je lui réponds en m'installant à ma place, loin de lui alors qu'il éteint la lumière. Je n'ai pas l'habitude d'être si loin de lui, et cette place, qui est pourtant la mienne, me semble désagréable et pas confortable, je bouge un peu, je cherche à m'installer mais je sens que je ne suis pas prête de dormir. Je fixe le plafond, ou plutôt le noir dans la chambre durant de longues minutes, les yeux ouverts incapables de trouver le sommeil je sens Caleb bouger un peu et sans un mot je sens ses bras m'attirer vers lui et je n'hésite pas une seconde pour venir me blottir dans ses bras. « Je t'aime. » Presque inaudible pour ne pas risquer de le sortir de son sommeil dans lequel il semble commencer à sombrer, je me blottis contre lui et c'est en sécurité dans ses bras que je me détends peu à peu, et après de longues minutes à caresser ses avants bras et à jouer avec son alliance tout en me laissant bercer par le rythme régulier et calme de sa respiration, je finis par m'endormir à mon tour.

« PAPA ! PAPA ! » Je sursaute presque, je grimace et je soupire même en ronchonnant légèrement alors que la voix de Lucy, beaucoup trop énergique, me sors d'un sommeil profond. Je n'ai pas encore ouvert les yeux que je sais déjà que le réveil va être difficile ce matin. « Papa ! Réveille-toi papa ! » Lucy continu de crier, d'appeler son père, elle a l'habitude que ce soit lui qui se réveille le premier et aujourd'hui, il semble avoir du mal à se lever, et je me souviens la raison de ce levé difficile pour lui. La gueule de bois. Je connais trop bien ce phénomène pour savoir qu'il risque d'avoir du mal à gérer ce matin et pour la journée sans doute. Lucy semble s'impatienter et alors qu'elle n'en avait qu'après son père jusqu'à maintenant, c'est à moi qu'elle s'adresse, m'ordonnant presque de réveiller son père. « Maman ! Réveille papa ! Veux des pancakes ! Ai faim ! » Je soupire à nouveau en me frottant les yeux et je me penche vers ma fille qui tire sur le draps pour attirer mon attention. « Avant de réclamer à manger, tu peux dire bonjour à maman et sans crier s'il te plaît. » Elle me regarde, secoues la tête et me dit bonjour, et si elle a comprit la moitié de la consigne elle n'a pas comprit qu'elle ne devait pas crier parce que c'est clairement bien trop fort comme manière de dire bonjour. « Je vais me lever pour te faire des pancakes, laisses moi deux minutes. » Elle grimace l'air pensive et après quelques secondes, elle me montre qu'elle n'est pas très intéressée par cette proposition. « Non, je veux papa, c'est plus bon avec papa, allez papa je veux toi. » Je ne vais pas la contredire, oui c'est meilleur avec son père mais c'est un chef cuisto et moi à côté je suis encore capable de rater des pancakes donc je la comprends. « Je sais moi aussi je préfère quand c'est papa, mais papa a mal à la tête ce matin, et c'est maman qui va s'occuper du petit déjeuner. » Ce n'est pas avec une grande énergie et motivation que je lui dis ça mais pourtant je vais le faire. Mais d'ici deux minutes, ou plutôt dix minutes. Je la sens grimper sur le lit et pour éviter qu'elle ne glisse ou tombe, je l'aide un peu pour la tenir et une fois sur le lit j'ai quand même droit à un bisou avant qu'elle ne saute sur son père. « Lucy, doucement avec papa. » Je parle beaucoup mais avec Lucy je sens bien que les gens ne m'écoute pas toujours, du moins elle, elle m'écoute pas toujours surtout quand elle est avec son père, et elle a visiblement décidé qu'elle voulait Caleb et j'ai pas la force de la contredire encore. J'entends Caleb qui soupire et quand il se tourne vers moi, je vois bien à son regard et à sa mine fatigué qu'il doit commencer à regretter la soirée de la veille et l'alcool qu'il a bu. Je me frotte les yeux à plusieurs reprises espérant réussir à me réveiller mais Caleb réussit à nous faire gagner quelques minutes de réveils un peu plus calme en envoyant Lucy voir si Lena est réveillée, ou plutôt en envoyant Lucy réveiller sa sœur au vu des cris et de l'énergie avec laquelle on l'entends parcourir le couloir jusqu'à la chambre qu'elle partage avec Lena. Je laisse ma tête s'enfoncer dans mon oreiller et je me cache les yeux avec la main, le matin et moi c'est vraiment une histoire compliquée et si les enfants m'ont obligé à me lever le matin, ça n'en reste pas moins difficile pour moi. Et la preuve c'est Caleb le premier qui parle ce matin, et c'est vraiment la preuve que je ne suis pas encore totalement réveillée. « Comment est-ce qu’elle a autant d’énergie dès le matin ? » Je lâche un petit rire et tout en me tournant sur le côté vers Caleb, je lève les épaules. « Tu sais bien que c'est pas à moi qu'il faut demander ça chéri, je sais pas, c'est un grand mystère pour moi, quand je la vois comme ça, je suis même plus sur que ce soit ma fille. » Parce que mon énergie le matin est clairement différente de celle de Lucy et c'est bien plus Caleb qui est du matin que moi, sauf ce matin donc, mais c'est bien rare comme situation. Je suis tellement encore endormie que je n'ai même pas encore pensé à cette nuit et à mon attitude qui a blessé Caleb, mais il ne semble pas m'en tenir rigueur puisqu'il m'embrasse et je lui rends son baiser. « Tu as quand même bien dormi ? » Il connaît sans doute déjà ma réponse, la même que depuis 3 ans maintenant. « Clairement pas assez, mais ça va et toi ? » Et finalement pour lui ce n'est pas tant la fatigue ou le peu de sommeil qui va être problématique ce matin mais une toute autre explication. « Ca va ta tête ? Tu regrettes pas trop ta soirée alcoolisée ? » J'ai un petit rictus que je retiens, parce que j'aurais envie de me moquer un peu de lui et de son état mais je me contiens pour ne pas risquer de le vexer, il est encore tôt et je ne sais pas exactement dans quel état il est et ce qu'il peut supporter venant de moi après cette nuit. « Faut lever papa. Veux pas maman pour manger, veux papa moi. » Lucy est en train de prévenir Lena et si elle se croit discrète c'est raté parce qu'elle crie encore dans le couloir en revenant vers notre chambre. Je lève les yeux vers Caleb en riant alors que j'écoute la discussion de nos filles et que je tente de déchiffrer tout ce qu'elles se disent. « N'écoutes pas ta princesse, je te promets que je les nourris nos filles et je fais pas des trucs trop ratés, à l'entendre on dirait que je suis une catastrophe en cuisine. » Je le suis un peu quand même, mais mon niveau s'est nettement augmenté, faut dire que je partais de tellement bas que je ne pouvais qu'augmenter. Mais, c'est presque marrant de l'entendre comploter avec sa sœur pour réussir à lever leur père, tout ça pour pas que ce soit moi qui m'occupe de leur petit déjeuner. Heureusement j'ai d'autres atouts mais pour la nourriture, elles ont fait leur choix. « Tu es prêt à résister à leurs regards et à leurs bisous et câlins pour t'amadouer ? Parce que clairement c'est toi qu'elles veulent. » A voir comment il va réagir avec la fatigue et la gueule de bois, mais si vraiment il a besoin que je gère je le ferais et c'est ce que je finis par lui dire juste avant que nos filles arrivent. « Dis moi si tu veux que je m'en occupe, on peut te laisser dormir si tu as besoin. » Parce que s'il ne se sent pas du tout en capacité de gérer quoique ce soit, alors je le ferais, je suis fatiguée mais opérationnelle ce qui n'est pas forcément son cas. « Papa, papa, papa, papa, c'est toi le plus beau, plus fort, le meilleur. » C'est Lucy qui parle, Lena a plus de mal à se réveiller mais elle regarde son père avec le même regard que Lucy, celui face auquel Caleb a du mal à résister. « On veut des pancaaaaakes, s'il te plaaaaaaaait. » Sa petite tête qui sourit largement, c'est du côté de Caleb qu'elle est. Je me suis redressée dans le lit pour assister à cette scène et les observer et voir aussi comment Caleb va réagir face à ses princesses.

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Message(#)calex 94 x wine is flowin' with Bacardi EmptyJeu 25 Jan 2024 - 21:32

Calex
Wine is flowin' with Bacardi. But sometimes boys just want to have fun. The poetry inside of me is warm like a gun

Le réveil est brutal et l’énergie matinale de Lucy est bien trop difficile à gérer pour moi aujourd’hui. Je ne sais pas si son regain d’énergie ce matin est exceptionnel ou si celui-ci me frappe plus qu’habituellement à cause du trop-plein d’alcool ingurgité hier soir, mais si d’habitude je souris à chaque phrase prononcée par mes filles, ce matin ce sont plutôt des soupirs qui prennent le relai. Quand enfin l’attention de Lucy finit par se porter sur sa mère (pour lui demander de me réveiller), je ferme à nouveau les yeux. « Avant de réclamer à manger, tu peux dire bonjour à maman et sans crier s'il te plaît. » Oh oui Lucy, si tu pouvais arrêter de crier je peux t’assurer que je t’aimerais encore plus que je ne t’aime aujourd’hui. Comme si c’était possible. « Je vais me lever pour te faire des pancakes, laisses moi deux minutes. » La tête toujours face à l’oreiller, les yeux fermés pour ne pas devoir affronter la lumière qui je devine déjà bien trop terrible, je ne peux pas voir la grimace d’horreur et de dégoût qui prend place sur son doux visage lorsque sa mère lui propose de lui faire des pancakes elle-même. « Non, je veux papa, c'est plus bon avec papa, allez papa je veux toi. » Malgré le mal de tête je ne peux clairement pas m’empêcher de lâcher un petit rire en entendant la répartie de notre fille. « Je sais moi aussi je préfère quand c'est papa, mais papa a mal à la tête ce matin, et c'est maman qui va s'occuper du petit déjeuner. » Elle me donne même la force de me retourner, mon dos se retrouve alors contre le matelas et avec difficulté j’ouvre les yeux pour observer l’échange entre Lucy et Alex. Lucy veut que je m’occupe du petit-déjeuner et pour sa défense, les fois où Alex est réveillée avant moi et donc gère cette partie de la journée de nos enfants sont assez rares. Je me réveille généralement bien avant elle et étant clairement plus matinal je n’ai aucun mal à me lever rapidement pour préparer à nos enfants un bon petit-déjeuner. Mais avant d’entamer officiellement cette journée j’envoie Lucy en mission avec sa sœur, libérant donc sa présence bien trop dynamique de notre chambre. Et peut-être que c’est aussi d’ailleurs pour retarder notre levé que je lui demande de vérifier si Lena dort encore ou non. « Tu sais bien que c'est pas à moi qu'il faut demander ça chéri, je sais pas, c'est un grand mystère pour moi, quand je la vois comme ça, je suis même plus sur que ce soit ma fille. » Sa réponse me fait franchement rire, le regrettant presque instantanément – chaque bruit résonne au moins mille fois dans ma tête. « Clairement pas assez, mais ça va et toi ? » Je lâche un nouveau soupir en guise de première réponse à lui apporter. Est-ce que j’ai bien dormi ? Non. Clairement pas, et je suis presque sûr qu’elle n’a même pas besoin de m’entendre lui dire pour le savoir. Elle doit le voir sur mon visage et les énormes cernes qui s’y sont installées. « Malheureusement, non…. » Mais elle s’en doutait sûrement déjà. « Ca va ta tête ? Tu regrettes pas trop ta soirée alcoolisée ? » Son petit rire a au moins le mérite de me faire doucement sourire alors que je pose un regard tendre sur elle, venant caresser doucement son visage. « À ton avis ? » Je lui demande un sourcil arqué. Elle est finalement bien placée pour savoir que généralement le verre de trop est regretté le lendemain matin. « Je ne me suis même pas rendu compte que je buvais trop. » que je lui avoue en venant une nouvelle fois frotter mes yeux, entendant au même moment Lucy parler avec Lena dans leur chambre, lui suggérant ainsi un plan pour me forcer à me lever afin que je sois celui qui leur prépare leur petit-déjeuner. On peut entendre à l’intonation de sa voix qu’elle essaie d’être discrète mais malheureusement pour elle, elle ne l’est pas du tout, ce qui m’amuse grandement. « Elle est adorable… » Même si bien trop énergique ce matin. « N'écoutes pas ta princesse, je te promets que je les nourris nos filles et je fais pas des trucs trop ratés, à l'entendre on dirait que je suis une catastrophe en cuisine. » Ses justifications me font rire, je me tourne vers elle, plantant mes yeux dans les siens. « Tu étais une catastrophe en cuisine. » je lui rappelle tout de même, venant déposer avec tendresse mes lèvres sur les siennes. « Mais tu t’es améliorée. Un tout petit peu. » j’ajoute, tout en approchant mon pouce et mon index l’un de l’autre lui montrant ainsi que même si ses progrès ne sont pas énormes, ils restent tout de même notables. « Tu es prêt à résister à leurs regards et à leurs bisous et câlins pour t'amadouer ? Parce que clairement c'est toi qu'elles veulent. » Je pense que ma grimace est amplement suffisante comme réponse à sa question. « Dis moi si tu veux que je m'en occupe, on peut te laisser dormir si tu as besoin. » Et je n’ai pas le temps de lui répondre puisque les jumelles font leur entrée dans notre chambre. « Papa, papa, papa, papa, c'est toi le plus beau, plus fort, le meilleur. » Les mots de Lucy me font rire mais me touchent tout de même, bien que je sache pertinemment que si elle me dit tout ça c’est simplement pour me faire céder. « On veut des pancaaaaakes, s'il te plaaaaaaaait. » Lena et Lucy disent exactement les mêmes mots, au même moment avec la même intonations et je ne sais pas si elles ont répétées avant ou non, mais je trouve cela beaucoup trop adorable. Je me redresse pour les regarder, elles savent exactement ce qu’elles font, leurs visages doux mais en même temps remplis de malice. Mon regard passe de Lucy à Lena, pour recommencer encore et encore durant quelques secondes. « Bon…ok. D’accord. » Je soupire, me retournant un instant pour regarder furtivement Alex. « OUAAAAAAAAAAIIIIIIIIS ! » S’exclament à l’unisson les jumelles, un regard de victoire sur le visage, mais qui me font grimacer. « À plusieurs conditions ! » Elles se taisent et me fixent attendant avec impatience mes conditions. « Premièrement, s’il vous plaît, arrêtez de crier. Ensuite, maman vient avec nous comme ça je lui montre comment moi je fais mes pancakes pour qu’elles puissent vous en faire une prochaine fois. » De nouveau, je me retourne vers Alex, un petit sourire aux lèvres. « Et dernière condition, papa a mal à la tête, alors vous me faites un bisou magique pour soigner mon bobo ? » que je leur demande en me penchant vers elles, et c’est sans hésiter une seule seconde qu’elles s’approchent toutes les deux de moi, déposant chacune un baiser sur ma joue. Je leur souris pour les embrasser à mon tour par la suite avant de me tourner une dernière fois vers ma femme. « Je peux aussi avoir un bisou magique de ta part ? » C’est en lui chuchotant que je lui fais cette demande mais de sa part, j’attends bien évidemment un autre baiser.

© nightgaunt


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