Le bureau d'avocat de Juliet était plongé dans une semi-obscurité, les stores abaissés pour filtrer la lumière de l'après-midi. Des piles de dossiers étaient soigneusement empilées sur son bureau, et elle était penchée sur l'un d'entre eux, les yeux rivés sur les pages remplies de textes légaux. Elle avait du mal à se concentrer sur son travail, car depuis qu'elle avait commencé sa liaison avec Anthony il y a dix mois, il était devenu presque impossible de ne pas penser à lui en permanence. La passion et l'interdit de leur relation l'avaient transformée. Elle rayonnait d'une énergie nouvelle, et son mari, Alexander, commençait à remarquer les changements. Elle s'absentait de plus en plus souvent, inventant des voyages d'affaires pour passer du temps avec Anthony. Sa vie était devenue un dédale de mensonges et de secrets, mais chaque moment passé avec Anthony semblait en valoir la peine. Ce jour-là, Alexander avait décidé de surprendre sa femme. Il avait acheté un bouquet de fleurs luxuriantes, espérant raviver la flamme qui semblait s'affaiblir entre eux. Il était rentré plus tôt que prévu et avait décidé de lui rendre visite à son bureau. Lorsqu'il arriva devant la porte, il hésita un instant, puis poussa doucement la porte. Lorsqu'il entra, il trouva Juliet penchée sur son bureau, plongée dans son travail. Ses cheveux bruns cascadaient autour de son visage, et elle semblait si concentrée qu'elle ne l'avait pas encore remarqué. Alexander sourit en la regardant, sachant qu'elle était belle même dans ces moments-là. Il s'approcha d'elle silencieusement, tenant le bouquet de fleurs derrière son dos. Il se pencha légèrement pour déposer un baiser sur la nuque de Juliet, faisant sursauter légèrement. Elle tourna la tête pour le regarder, et son visage se figea lorsqu'elle le vit. "Alexander !" s'exclama-t-elle en se levant de son siège. Elle lui sourit et il vint l'embrasser tendrement sur les lèvres. "Qu'est-ce que tu fais ici ?" lança t'elle. "Je voulais te faire une surprise," répondit-il en lui tendant le bouquet de fleurs. "Pour te rappeler que notre anniversaire de mariage approche." Juliet prit les fleurs avec tendresse, touchée par ce geste. Elle les huma, appréciant leur parfum sucré. Il était revenue exprès pour elle, était-ce la première fois ? "C'est si gentil de ta part, Alexander. Je ne peux pas croire que ça fait déjà neuf ans que nous sommes mariés." Alexander sourit, mais il ne pouvait s'empêcher de remarquer que quelque chose avait changé en sa femme. Elle était plus distante, plus secrète. Il savait qu'il devait aborder le sujet délicat qui pesait sur leur mariage. Lui-même n'était pas un mari très présent, il avait toujours fait passé cela en second plan. Toutefois sentir qu'elle lui échappait semblait inconcevable. Son besoin de domination sur elle était bien trop fort. "Juliet," commença-t-il doucement, "je sens que quelque chose a changé entre nous ces derniers mois. Tu t'absentes souvent, tu es distante. Est-ce que tout va bien ?" Le regard de Juliet s'assombrit légèrement, et elle se mordit la lèvre inférieure. "Alexander, je... je suis désolée si je t'ai négligé ces derniers temps. Le travail a été très prenant, et j'ai eu quelques voyages d'affaires de dernière minute. Je ne voulais pas te préoccuper avec tout ça." Alexander savait qu'il y avait plus que cela, mais il décida de ne pas insister pour le moment. Il voulait que leur anniversaire soit une occasion de se rapprocher, de raviver la flamme de leur mariage. "Écoute, Juliet," dit-il doucement, prenant ses mains dans les siennes, "peut-être que nous pourrions passer plus de temps ensemble ces prochains jours. Tu sais, pour célébrer notre anniversaire. Peut-être même un petit voyage, rien que nous deux." Le visage de Juliet s'éclaira à cette idée, et elle hocha la tête. "Ça pour une surprise, Alexander. Je serais ravie de passer du temps avec toi. Bien sûr." Alexander était soulagé de voir le sourire revenir sur le visage de sa femme. Il espérait que ce voyage rapprocherait davantage leur couple et que Juliet pourrait trouver un équilibre entre sa vie professionnelle et sa vie personnelle. Mais il ne pouvait s'empêcher de se demander ce qui se passait réellement dans l'esprit de Juliet, et s'il pourrait un jour découvrir les secrets qu'elle gardait si bien cachés.
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : PONY.
« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
flashback. août 2022. Anthony vit dans le mensonge. Anthony est le mensonge. Un nouveau rôle auquel il ne connaît pas encore les détails, les règles ni les inconvénients. Pour l’heure, tout est beau. Tout est parfait. Il est le vilain petit secret d’une femme mariée, engagée dans un mariage dont il n’a jamais vraiment semblé s’intéresser. Il voit son amante quand elle peut, quand elle parvient à trouver le temps … pour lui. Il ne se voit pas encore comme la cinquième roue du carrosse. Pas encore. La vérité ne tardera pas à venir le frapper de plein fouet, le ramenant droit à une réalité bien plus triste. Les visites se font de plus en plus souvent car le besoin de voir l’autre se fait de plus en plus pressant. Il savoure chaque excuse afin de pouvoir la rejoindre. Alors l’ouverture des restaurants franchisés sur l’autre côté de l’Australie est la parfaite excuse pour parler des contrats, pour parler juridique mais surtout pour pouvoir la voir, elle. C’est donc dans ce rôle qu’il apparaît dans les bureaux du cabinet d’avocats dans lequel elle excelle. Il annonce devoir voir Maitre Rosenthal pour une histoire de détails au niveau d’un contrat, une clause qui le rendait un peu moins certain. Il connaît le chemin. Néanmoins, c’est la personne de l’accueil, sans doute assistant ou secrétaire, qui l’accompagne jusqu’à la fameuse porte. Une escorte qui rend le moment un peu plus solennel. Elle frappe à la porte avant de l’ouvrir pour qu’ils découvrent en binôme la scène qui se déroule dans ce bureau.
Le cœur d’Anthony se retourne. Son estomac se serre. La réaction est viscérale. La scène le bouscule. Juliet. Sa Juliet. Son sourire. Ce sourire. Les fleurs posées sur le bureau. L’homme qui lui est proche et semble même la câliner. La mâchoire se serre instinctivement sans vraiment en maîtriser la réaction. « Monsieur Lewis est là par rapport au contrat de Perth » et il tourne la tête vers cette personne qui lui sauve la mise, qui prend en main les choses pour rendre le tout moins burlesque, moins pathétique. Aussitôt il se redresse, passe la main sur sa chemise pour lever légèrement le bras sous lequel il y avait le dossier. Le prétendu dossier. « Ce n’est pas si urgent … je peux toujours repasser plus tard ou prendre rendez-vous si jamais … », dit-il en pinçant les lèvres et secouant la tête, avec ce petit air nonchalant, prétendant à la perfection ne pas être perturbé par … l’époux ?
Alexander observa la scène dans le bureau de Juliet avec une réaction contenue. Il n'était pas dupe et avait bien compris que quelque chose se passait entre sa femme et l'homme qui se tenait devant lui. La tension dans l'air était palpable, et il pouvait presque sentir le malaise de la situation. Alexander, sentant l'opportunité de jouer avec la situation, se tourna vers Anthony avec un sourire ironique. Il s'approcha de lui, tendant la main de manière délibérée pour une poignée de main. "Alexander Rosenthal," se présenta-t-il d'un ton faussement amical. "L'époux de Juliet. Enchanté de vous rencontrer, monsieur..." Le regard d'Alexander était pénétrant, et il savait qu'il était en train de mettre Anthony dans une position inconfortable. Il avait remarqué le trouble de Juliet et comptait bien en profiter pour marquer son territoire.
Juliet, quant à elle, était presque livide face à la scène qui se déroulait devant elle. Elle savait qu'Alexander était un homme manipulateur, mais elle n'avait pas anticipé à quel point il était prêt à jouer avec ses émotions. Elle tenta désespérément de faire comprendre à son mari de quitter son bureau, lançant des regards inquiets en direction de la porte. "Alexander, je suis en réunion en ce moment," dit-elle d'une voix tremblante, espérant qu'il comprendrait le message et partirait. "Peut-on parler plus tard, s'il te plaît ?" Mais Alexander ne montra aucun signe d'intention de partir. Au contraire, il semblait déterminé à prolonger la situation autant que possible, savourant chaque instant de malaise qu'il infligeait à Anthony et Juliet. Alexander, jouant pleinement son rôle de mari possessif et filou, ignora les tentatives de Juliet de le faire partir. Au contraire, il s'installa confortablement sur une chaise devant le bureau de Juliet, tout en continuant à fixer Anthony avec un regard intense. "Oh, je ne veux pas vous déranger trop longtemps," dit-il d'un ton mielleux. "Je voulais juste m'assurer que ma femme se souvienne de notre anniversaire qui arrive bientôt. N'est-ce pas, chérie ?" Juliet était désespérée. Elle savait que cette situation ne ferait que compliquer davantage les choses. Elle jeta un regard implorant à Anthony, espérant qu'il comprendrait qu'elle voulait pas qu'il parte, elle voulait éviter un conflit inutile. "Merci pour les fleurs, Alex. Je dois vraiment travailler maintenant, s'il te plait. Alexander les regarda l'un après l'autre, il ne voulait pas se disputer avec celle qu'il était déjà entrain de perdre alors il leva les mains en signe de résilience et ne quitta pas Anthony des yeux en quittant le bureau. "Je vous la laisse pour le moment, mais elle me retrouvera très vite soyez en sûr." Il disparut dans le couloir les laissant.
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : PONY.
« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
flashback. août 2022. « Alexander Rosenthal, » le doute est confirmé, il fait face à l’époux. Ce dernier fait même plusieurs pas pour se retrouver à sa hauteur et c’est avec la même main assurée qu’Anthony se permet de le saluer. Une poignée de mains des plus étranges. Tout était étrange et pourtant, Tony parvient à afficher un sourire poli. Ce n’est tout de même pas la première fois qu’il doit serrer la main à une personne qu’il aurait aimé ne jamais rencontrer, pas vrai ? « L'époux de Juliet. Enchanté de vous rencontrer, monsieur... » La précision aiguise son sourire et il acquiesce même d’un signe de tête comme si l’information était intéressante. Et instinctivement, rapidement, il répond : « Anthony Lewis, enchanté. » Il relâche sa main tout en marquant un point final aux présentations. Il n’allait pas donner de détails. Pourquoi donc ? Il n’avait pas besoin de lui parler de son boulot, de leurs projets. Il n’était … que le mari, n’est-ce pas ? Silencieux, l’un et l’autre se regardent et c’est une drôle de connexion qui opère. Il se doute. Ou il sait. Anthony lève un sourcil, attendant de pouvoir savoir s’il doit quitter les lieux ou s’il peut rester.
« Alexander, je suis en réunion en ce moment. Peut-on parler plus tard, s’il te plaît ? » Juliet est différente. La voix tremblante, l’air inquiet, coupable, elle a l’air si vulnérable. Il a le sentiment de la voir rétrécir. Soudain, il s’inquiète. Soudain, il aimerait pouvoir la rassurer, la prendre dans ses bras et chasser celui qui semble au contraire grandir et prendre de plus en plus de place dans le bureau. Ce charisme. Aucune concurrence possible. Alexander maitrise à la perfection son art. « On peut décaler ce rendez-vous, vraiment, rien d’urgent … », ajoute-t-il avec un sourire qui se veut amical, rassurant en désignant la porte de sortie de l’index, alors que l’époux prend place sur une chaise du bureau. Cette attitude surprenante attise et aiguise des sentiments particuliers chez le Lewis. « Oh, je ne veux pas vous déranger trop longtemps. Je voulais juste m’assurer que ma femme se souvienne de notre anniversaire qui arrive bientôt. N’est-ce pas, chérie ? » Le regard d’Anthony est planté sur le sourire carnassier d’Alexander avant de se poser sur les fleurs et jouant avec les arts du paraître, il affiche un sourire amusé. « Pas le genre d’anniversaire qu’on se doit d’oublier. » Il fait même mine de plaisanter avec l’époux … décidant de jouer avec lui sur cette corde sensible, sur ce paraître. S’il prétend ne pas se douter, Anthony prétendra ne pas être celui qu’il est. « Merci pour les fleurs, Alex. Je dois vraiment travailler maintenant, s’il te plaît. » Il note le s’il te plaît. Une seconde fois.
Les sourcils de l’amant se froncent un court instant quand il passe à sa hauteur. En un instant, il a le sentiment d’être mis au défi et son doute ne fait que se confirmer quand il entend sa sentence : « Je vous la laisse pour le moment, mais elle me retrouvera très vite soyez en sûr. » La silhouette de l’époux disparaît de son champ de vision mais il n’a pourtant pas tourné de nouveau la tête vers Juliet. Il essaie de digérer les informations. Peu à peu. Un soupir s’échappe de ses lèvres. Et dans son esprit, une phrase retentit : « il sait ! »
« Il est toujours comme ça ? ou le show m’était réservé ? », qu’il demande alors en tournant la tête vers Juliet.
Juliet était assise derrière son bureau, son regard fixé sur le dossier qu'Anthony lui avait remis il y a quelques jours. Son esprit était censé être concentré sur son travail, mais depuis dix mois, il était devenu de plus en plus difficile de penser à autre chose qu'à lui. Anthony avait envahi chaque coin de son esprit, chaque minute de son temps libre. Il était devenu sa source de bonheur, la passion interdite qui illuminait ses journées monotones. Mais aujourd'hui, tout avait changé. L'apparition soudaine de son mari, Alexander, avait secoué Juliet jusqu'au plus profond de son être. Elle avait toujours réussi à garder leur liaison secrète, inventant des voyages d'affaires et des réunions tardives pour passer du temps avec Anthony. Alexander avait fini par accepter ces absences fréquentes et avait même cru à ses mensonges. Pourtant, aujourd'hui, il était venu à son bureau avec des fleurs, l'air sûr de lui, comme s'il avait tout le droit du monde d'être là. Il lui avait rappelé leur anniversaire qui approchait, insistant sur le fait qu'elle ne devait pas l'oublier. Il avait cette lueur dans les yeux, celle qui disait qu'il était déterminé à récupérer sa femme, à la ramener dans son giron.
Juliet se sentait à la fois bouleversée et en colère contre elle-même. Comment avait-elle pu être aussi naïve, penser qu'Alexander accepterait leur situation ? Elle avait cru qu'elle pouvait jongler entre les deux mondes, mais maintenant, tout s'effondrait. Elle se tourna vers Anthony, son visage pâle et ses yeux emplis d'inquiétude. "Je suis désolée, Anthony," dit-elle d'une voix tremblante. "Je ne m'attendais pas du tout à ça. Non, il n'est pas toujours comme ça, mais il peut être très... possessif quand il le veut. Je pensais avoir réussi à le calmer, à le faire accepter notre situation, mais il semble que ce ne soit pas le cas." Les larmes menaçaient de couler, mais elle les retint avec force. "Je comprends si tu veux prendre tes distances après tout ça. Ça ne doit pas être facile pour toi, et je ne veux pas te causer de problèmes." Elle fixa Anthony, son regard suppliant, craignant que cette visite inattendue ne mette un terme à leur liaison. Elle avait l'impression de perdre pied, de ne plus avoir le contrôle sur sa vie. Tout ce qu'elle voulait, c'était être avec Anthony, mais maintenant, elle réalisait à quel point cela pouvait être compliqué.
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
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flashback. août 2022. « Je suis désolée, Anthony, » les excuses le surprennent, « Je ne m'attendais pas du tout à ça. Non, il n'est pas toujours comme ça, mais il peut être très... possessif quand il le veut., les sourcils de l’amant se froncent, je pensais avoir réussi à le calmer, à le faire accepter notre situation, mais il semble que ce ne soit pas le cas. Je comprends si tu veux prendre tes distances après tout ça. Ça ne doit pas être facile pour toi, et je ne veux pas te causer de problèmes. » Elle a beau tenter de dissimuler l’émotion et les larmes qui viennent remplir son regard d’ordinaire pétillant, il voit la vulnérabilité, il voit l’inquiétude et combien elle semble être perdue. Un soupir l’encourage à venir faire plusieurs pas jusqu’à elle. « Hey hey hey », dit-il aussitôt en accompagnant ses pas qui les mènent jusqu’à elle. Il dépose quelques papiers sur le bureau pour se libérer les bras et vient poser une main sur son épaule pour faire tourner sa chaise dans sa direction. S’accroupissant devant elle, il vient poser les mains sur ses genoux et cherche à capturer son regard. « T’as pas à t’excuser, Juliet. » Il acquiesce d’un signe de tête. « Que tu sois mariée, ce n’est pas une surprise. Je savais exactement ce à quoi je m’engageais. » Pas vraiment. Il capture son regard alors que ses pouces dessinent des cercles rassurants sur ses genoux. « Je ne m’attendais juste pas à lui tomber dessus… » Candide. Il penche la tête avant de se relever et de venir se poser un peu plus loin, les bras croisés. « À lui tomber dessus, à voir à quoi il ressemble, à connaître le son de sa voix, à voir les petites attentions qu’il a pour toi, à devoir l’imaginer avoir le moindre geste tendre à ton égard », plus il parle et plus sa voix est teintée d’une certaine aigreur. Du dégoût ? L’imaginer être entre les bras de son époux ? A-t-il le droit d’être horrifié par cela ? « À … » La liste s’étend, s’agrandit et il préfère se taire, la bouche entrouverte. Il soupire et roule des yeux, se rendant compte qu’il n’est que l’amant. Il n’est pas dans son droit. Il n’est pas dans son droit de demander la moindre chose. Il n’est que l’homme de l’ombre. Son regard posé sur ses propres chaussures se posent sur ce foutu bouquet de fleurs et la jalousie remplit son corps tout entier.
Juliet sentit un mélange de soulagement et de chaleur envahir son être lorsque Anthony s'approcha d'elle et posa sa main sur son épaule. Ses mots la touchèrent profondément, apaisant en partie les tourments qui la tourmentaient depuis la visite d'Alexander. Elle leva les yeux pour rencontrer le regard compatissant d'Anthony, et pour un instant, elle se sentit à nouveau en sécurité. "Merci, Anthony," murmura-t-elle, la voix encore tremblante. "Tu es vraiment compréhensif. Je ne voulais pas que tu sois mêlé à tout ça. Tu mérites tellement mieux que d'être pris dans nos problèmes." Elle écouta attentivement ses paroles suivantes, reconnaissant la frustration et l'amertume qui perçaient dans sa voix. Elle comprenait son point de vue, et cela la rendait encore plus anxieuse quant à l'avenir de leur liaison. Elle savait que cette situation était difficile pour lui aussi, que la découverte de la vie de Juliet en dehors de leur secret était déroutante. Juliet prit une profonde inspiration et se leva de sa chaise pour s'approcher d'Anthony. Elle posa ses mains sur ses épaules, cherchant à le rassurer à son tour. "Écoute, Anthony, je veux que tu saches que tu es spécial pour moi, que ce que nous avons, c'est quelque chose que je n'ai jamais ressenti auparavant. Je ne veux pas que tout cela s'arrête à cause de lui." Elle se rapprocha encore plus, leurs visages à quelques centimètres l'un de l'autre. "Nous trouverons un moyen de surmonter cela, d'accord ? Je ne veux pas te perdre. Tu es la meilleure chose qui me soit arrivée depuis longtemps, et je ne veux pas abandonner notre bonheur à cause de mon mari." Juliet sentit son cœur battre fort dans sa poitrine alors qu'elle attendait la réponse d'Anthony. Elle espérait de tout cœur qu'il partagerait ses sentiments, qu'ils pourraient trouver un moyen de protéger leur liaison malgré les obstacles qui se dressaient devant eux.
Les paroles sincères de Juliet semblaient apporter un certain réconfort à Anthony, mais elle ne pouvait ignorer la tension qui persistait en lui. Elle pouvait presque sentir sa jalousie envers son mari, et cela ajoutait une complexité supplémentaire à leur situation déjà compliquée. Tout devenait si réel, si tangible. La présence d'Alexander dans leur vie avait brisé la bulle de sécurité qu'ils avaient créée pour leur liaison secrète. Juliet prit délicatement le visage d'Anthony entre ses mains, cherchant à capter son attention. "Je comprends que tu ressentes de la jalousie envers lui, Anthony, mais sache que tu es le seul qui compte vraiment pour moi en ce moment. Mon mariage... c'est compliqué, et je ne veux pas que tu penses que tu es juste une distraction. Tu es bien plus que ça." Elle pouvait sentir son souffle, chaud et irrégulier, et elle savait que la situation les mettait tous les deux à l'épreuve. Juliet n'était pas prête à laisser leur histoire se terminer ainsi. Elle voulait se battre pour ce qu'ils avaient, même si cela signifiait affronter les défis qui se dressaient devant eux. "Peut-être que nous pourrions envisager de trouver un moyen de gérer cette situation, de garder notre liaison secrète, mais plus importante encore, de protéger nos sentiments,"murmura-t-elle, espérant qu'Anthony comprenne son désir de trouver une solution. Elle posa un doux baiser sur ses lèvres, espérant que ce geste lui montrerait à quel point elle était sincère dans ses intentions. Tout était en jeu maintenant, mais Juliet était prête à se battre pour l'amour qu'elle avait trouvé avec Anthony, même si cela signifiait affronter les conséquences de sa liaison secrète.
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flashback. août 2022. « Merci, Anthony. Tu es vraiment compréhensif. Je ne voulais pas que tu sois mêlé à tout ça. Tu mérites tellement mieux que d'être pris dans nos problèmes. » Il doit bien admettre avoir un tout peu à faire avec l’équation du problème mais ne se permet pas de se présenter comme tel, alors il demeure silencieux et se contente d’essayer de la rassurer … alors qu’il aurait aimé pouvoir être à son tour rassuré. Et, c’est ce qu’elle fait. Apparaissant devant lui, en posant ses mains sur ses épaules, elle a de nouveau son attention. « Écoute, Anthony, je veux que tu saches que tu es spécial pour moi, que ce que nous avons, c'est quelque chose que je n'ai jamais ressenti auparavant. Je ne veux pas que tout cela s'arrête à cause de lui. » Il décroise les bras sans pour autant s’autoriser à l’enlacer, la toucher, c’est quand elle vient s’approcher un peu plus qu’une de ses mains se pose sur une hanche. « Nous trouverons un moyen de surmonter cela, d'accord ? Je ne veux pas te perdre. Tu es la meilleure chose qui me soit arrivée depuis longtemps, et je ne veux pas abandonner notre bonheur à cause de mon mari. » Il inspire profondément, son regard ne parvenant pas à rester dans celui de Juliet mais il finit par s’y retrouver, la main posée sur sa hanche caressant tendrement la jeune femme. Ouais, ça avait l’air d’un plan qui pourrait fonctionner. Se focaliser sur leur bonheur … mais il avait toujours le sentiment, la pensée que cet homme avait posé la main sur elle quelques minutes plus tôt. Il y pensait. A lui, en train de l’embrasser, en train de l’enlacer. A elle, en train de sourire sous ses baisers. L’amant jaloux de l’époux. Et comme si elle comprenait et lisait les pensées d’Anthony, elle vient poser les mains sur ses joues pour le contraindre à la regarder. « Je comprends que tu ressentes de la jalousie envers lui, Anthony, mais sache que tu es le seul qui compte vraiment pour moi en ce moment. Mon mariage... c'est compliqué, et je ne veux pas que tu penses que tu es juste une distraction. Tu es bien plus que ça. » « Compliqué … » répète-t-il pour s’en convaincre. Il y avait le risque qu’il soit superflu et que les mariés redeviennent idylliques. Il en prenait conscience. « Peut-être que nous pourrions envisager de trouver un moyen de gérer cette situation, de garder notre liaison secrète, mais plus importante encore, de protéger nos sentiments. » Elle conclut par un délicat et doux baiser sur ses lèvres qui mettent fin au tourbillon de pensées. L’autre main rejoint elle aussi sa hanche et ses mains glissent légèrement sur la courbe de ses fesses alors qu’il souffle, les dents serrées mais un fin sourire aux lèvres : « J’aime juste pas l’idée que ce type puisse poser la main sur toi … » Alors qu’il serait dans son droit. Et il le sait. Il le sait que c’est une folie. Il l’attire un peu plus vers lui. « Je préfère l’idée que tu sois qu’à moi … » vient-il ajouter contre ses lèvres sans pour autant l’embrasser, faisant écho à ce qu’ils avaient pu se susurrer à l’oreille un nombre incalculable de fois.
Les paroles sincères d'Anthony apaisèrent quelque peu les craintes de Juliet, mais elle savait que la jalousie était une émotion difficile à maîtriser. Elle comprenait qu'il se sente vulnérable, comme si leur petit monde secret était brusquement exposé à la lumière crue du jour. Pourtant, elle était déterminée à ne pas laisser cette situation détruire ce qu'ils avaient construit ensemble. La douce caresse de ses mains sur sa hanche la fit frissonner, et elle se sentit enveloppée dans son étreinte. Son regard fixé sur elle, il semblait chercher à comprendre ses pensées, à chercher des réponses dans les profondeurs de ses yeux. Elle avait l'impression qu'ils devaient trouver un moyen de gérer cette situation, de protéger leur relation et leurs sentiments mutuels. "Compliqué..." Anthony répéta ce mot, presque comme s'il essayait de rationaliser la complexité de leur situation. Juliet savait que son mariage était compliqué, mais cela ne signifiait pas qu'elle pouvait y renoncer surtout par apport a son père. Elle voulait trouver un équilibre entre sa vie avec Anthony et ses obligations envers son mari. Le baiser qu'il déposa sur ses lèvres la fit chavirer, et elle se sentit emportée par la passion qui brûlait entre eux. Ses mains glissant sur ses fesses la firent frissonner davantage, et elle se serra un peu plus contre lui. "J'aime juste pas l'idée que ce type puisse poser la main sur toi..." Les paroles d'Anthony, bien que chargées de jalousie, la firent sourire. Il se souciait d'elle, il la désirait, et cela la rendait encore plus follement amoureuse de lui. "Je préfère l'idée que tu sois qu'à moi…" Sa voix grave et passionnée résonnait à travers la pièce, et Juliet se sentait submergée par l'intensité de leurs émotions. Elle savait qu'ils devraient être prudents, trouver un moyen de continuer leur liaison tout en évitant les obstacles, mais elle était prête à se battre pour leur amour. "Anthony..." Elle murmura son nom avec une douceur infinie, ses yeux plongeant dans les siens, révélant toute la tendresse qu'elle ressentait pour lui. "Nous trouverons un moyen, d'accord ? Nous protégerons ce que nous avons, notre bonheur ensemble." Elle scella ses paroles d'un doux baiser passionné, espérant que ce moment de connivence les aiderait à surmonter les défis qui les attendaient. Juliet était déterminée à préserver leur amour, quoi qu'il en coûte.
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TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : PONY.
« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
flashback. août 2022.« Anthony…. Nous trouverons un moyen, d'accord ? Nous protégerons ce que nous avons, notre bonheur ensemble. » Un baiser vient sceller cette promesse non formulée. Ils trouveront une solution. Ils parviendront à trouver une solution pour leur amour. Pour eux. Pour leur bonheur. « Entendu », souffle-t-il alors avec un sourire en coin, pas vraiment certain de comment ils parviendront à trouver une solution mais il y croit. Il ne peut qu’y croire. Il n’a pas d’autre solution que d’y croire. En concurrence avec celui qui a la chance et l’honneur de partager toutes ses nuits avec elle … une concurrence qui l’effraie. Oh oui, elle l’effraie. « Ça veut dire que je n’ai plus le droit à mes visites surprises … ? », demande-t-il en désignant d’un vague signe de tête son prétexte pour avoir fait son apparition. « Ça veut dire que je dois trouver d’autres moyens pour te voir, te surprendre et avoir ma dose de Juliet pour la journée … », qu’il dit sans perdre son sourire. « C’est que tu commençais à me manquer … ma délicieuse obsession » Le sourire complice disparaît dans son cou pour y déposer un baiser brûlant. Quand il quittera ce bureau, il s’en voudra. Il s’en voudra de cette jalousie qui le ronge. De ce sentiment de la voir lui filer entre les doigts. De cette envie de l’avoir rien que pour lui. Après tout, elle n’est pas à posséder. Elle est libre. Libre de les évincer tous les deux. Elle n’appartient à personne, jamais… et cette idée lui fait peur. Car, cet attachement est devenu une obsession. Elle hante ses pensées. Elle habite ses pensées. Devenue son secret, elle appartient au monde réel tout comme au monde fantasmé. Parfois, quand il se perd à lire ses messages, on lui fait la remarque … ce sourire abruti aux lèvres … ce brusquement départ de soirée pour aller rejoindre une personne que nul ne connaît. Oui, elle anime sa vie. « Peut-être que je devrais t’emmener avec moi à Perth, histoire d’être accompagnée de mon avocate … pour les négociations de contrat … peut-être que je devrais te prendre dans ma valise … » Douce folie.
Les paroles d'Anthony, bien que légères, éveillèrent un doux rire chez Juliet, apaisant davantage son cœur battant. Sa jalousie, bien qu'elle la comprenne, la touchait profondément. Elle savait qu'Anthony tenait réellement à elle, que ce n'était pas simplement une aventure passagère. "Ne t'inquiète pas pour les visites surprises, Anthony," répondit-elle, ses yeux pétillant d'amusement. "Je serais toujours ravie de te voir, quelle que soit la façon dont tu choisis de me surprendre." Le baiser brûlant qu'il déposa dans son cou fit frémir sa peau, et elle se blottit encore plus près de lui, laissant sa tête reposer sur son épaule. Elle se sentait en sécurité dans ses bras, malgré les défis qu'ils devraient surmonter. "Tu me manques aussi, chaque minute où nous ne sommes pas ensemble," admit-elle doucement. "Mais je crois en nous, Anthony. Nous trouverons un moyen de vivre notre amour pleinement, même si cela signifie être plus prudents." La suggestion audacieuse de l'emmener à Perth la fit sourire. "Peut-être qu'un voyage à Perth ne serait pas une mauvaise idée, Anthony," murmura-t-elle, sa voix taquine. "Mais veille à bien me mettre dans ta valise, sinon je pourrais faire des ravages dans ton bureau en ton absence." Elle esquissa un sourire complice, sachant qu'ils devraient continuer à jongler avec leur secret, mais déterminée à ne pas laisser leur amour être entravé par les obstacles. Ils étaient liés par quelque chose de profond et de puissant, et elle croyait fermement qu'ils pouvaient surmonter n'importe quoi, tant qu'ils étaient ensemble.
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : PONY.
« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
flashback. août 2022.« Ne t'inquiète pas pour les visites surprises, Anthony. Je serais toujours ravie de te voir, quelle que soit la façon dont tu choisis de me surprendre. » Elle se blottit et l’étreinte devient douce, tendre. Les bras s’enroulent autour d’elle. Un cocon. Dans ses bras, elle doit se sentir en sécurité. Seulement dans ses bras. Il cale son menton sur le dessus de son crâne tout en la gardant un instant comme ça, contre lui, cherchant à sentir les battements de son cœur contre le sien. « Tu me manques aussi, chaque minute où nous ne sommes pas ensemble. » Il sourit. Un vrai sourire. Soulagé. Elle ne le voit pas mais il sourit. Il n’est pas fou. Elle aussi, elle aime sa présence et la désire plus que de raison. Être ensemble. Une simple chose dont ils sont hélas souvent privés. « Mais je crois en nous, Anthony. Nous trouverons un moyen de vivre notre amour pleinement, même si cela signifie être plus prudents. » Une main glisse sous sa chevelure, massant et caressant sa nuque. Elle le berce de jolies paroles, il la berce avec cette caresse. Ils se rassurent. « Peut-être qu'un voyage à Perth ne serait pas une mauvaise idée, Anthony. Mais veille à bien me mettre dans ta valise, sinon je pourrais faire des ravages dans ton bureau en ton absence. » Il tend légèrement le cou en arrière pour pouvoir l’observer sans avoir à desserrer son étreinte. « Aucun risque que je ne t’oublie » dit-il en acquiesçant d’un signe de tête, le sourire étirant ses lèvres. Un baiser sur son front. Un geste qu’il fera quelques années plus tard dans d’autres circonstances … avec le cœur brisé.
Finalement, il se sépare et la libère, prenant place sur une des chaises devant son bureau, essayant vainement d’effacer de sa mémoire le type qui avait posé ses fesses sur cette chaise quelques minutes plus tôt. Il pose les mains sur ses cuisses tout en tournant la tête vers elle. « Maintenant que je suis là et que j’ai pris le prétexte du. Boulot … on devrait peut-être bosser … », un sourire amusé aux lèvres, « et garde ce bureau entre nous pour éviter que je ne te saute dessus … » Un éclat de rire candide, criant de vérité.
Juliet se sentait réconfortée par les paroles douces et rassurantes d'Anthony. Elle avait eu peur, l'espace d'un instant, que la visite surprise de son mari ait eu un impact négatif sur leur relation naissante. Mais son amant semblait prêt à affronter tous les obstacles pour être avec elle, et cela la touchait profondément. Elle prit quelques instants pour se blottir contre lui, profitant de la chaleur de son étreinte. Elle sentit son cœur battre en harmonie avec le sien, comme si leurs âmes étaient liées d'une manière inexplicable. Lorsqu'Anthony évoqua l'idée de les mettre tous les deux dans sa valise pour un voyage à Perth, un sourire joueur étira les lèvres de Juliet. C'était un rêve audacieux, mais il semblait tout à fait capable de réaliser l'impossible pour elle. Elle se demanda comment serait leur vie si elle pouvait être avec lui en public, sans peur ni secret à cacher. Le baiser qu'il déposa sur son front la fit frissonner de plaisir. Elle savait qu'ils devraient continuer à être prudents, mais elle rêvait du jour où ils pourraient vivre leur amour au grand jour, sans crainte ni restriction. Lorsqu'il se sépara d'elle pour prendre place sur une chaise, Juliet le regarda avec un sourire taquin. Son charme et son humour étaient irrésistibles.
"Peut-être devrions-nous en effet nous concentrer sur le travail pour le moment," répondit-elle avec un petit rire. "Mais garde à l'esprit que ce bureau restera toujours notre petit secret, prêt à être utilisé lorsque l'envie nous prendra de nous laisser emporter." Elle s'approcha de lui, laissant ses doigts glisser sur son épaule. Son regard était empli de désir et de promesses. "Et tu ne sais pas à quel point je suis impatiente pour ces moments où tu décides de me sauter dessus," murmura-t-elle avec un sourire coquin. "Ils sont tout simplement délicieux." Juliet se pencha légèrement pour capturer ses lèvres dans un baiser passionné, savourant chaque instant où elle pouvait être près de lui. Elle était déterminée à profiter de chaque instant volé, jusqu'à ce qu'ils trouvent enfin un moyen d'être ensemble sans restrictions ni secrets.
Juliet s'installa à son bureau, le cœur encore empli des émotions de leur étreinte passionnée. Elle avait du mal à chasser les pensées de ce qu'elle aurait aimé faire avec Anthony dans ce bureau, mais elle savait que pour l'instant, elle devait se concentrer sur le travail. Elle ouvrit le dossier concernant Perth et commença à parcourir les documents. Son esprit vagabondait de temps en temps vers Anthony, mais elle se forçait à revenir à la tâche à accomplir. Le travail était important, et elle ne pouvait se permettre de laisser les distractions l'emporter. Pendant qu'elle lisait les clauses et les détails du contrat, elle se demandait si Anthony avait des idées sur la façon dont ils pourraient gérer leur liaison de manière plus discrète et sécurisée. Peut-être que lui avait des astuces ou des suggestions pour les aider à préserver leur secret. Juliet secoua la tête pour se remettre sur la tâche à accomplir. Elle devait rester professionnelle, du moins en apparence, même si son esprit était ailleurs. Perth était au centre de ses préoccupations en ce moment, et elle devait s'assurer que tout se déroule bien pour cette affaire. Juliet, reprenant son professionnalisme, se tourna vers Anthony qui était assis à proximité. Elle plongea son regard dans le sien et lui dit d'une voix sérieuse : " Perth est une affaire importante, et nous ne pouvons pas nous permettre de la négliger. Je suis déterminée à mener cette affaire à bien, même si cela signifie que nous devons être sage." Juliet retourna son attention aux documents devant elle, essayant de se plonger dans son travail malgré les distractions émotionnelles qui tournoyaient dans sa tête. Elle espérait que Anthony ferait de même et qu'ils pourraient continuer à travailler ensemble efficacement tout en maintenant une distance entre eux grace au bureau.
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : PONY.
« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
flashback. août 2022. « Peut-être devrions-nous en effet nous concentrer sur le travail pour le moment. Mais garde à l'esprit que ce bureau restera toujours notre petit secret, prêt à être utilisé lorsque l'envie nous prendra de nous laisser emporter. » Le regard de Tony passe des doigts de la belle à son sourire. Le bureau comme un nouvel endroit du péché. Sans doute, c’était une chose envisageable mais il en avait la frousse. La frousse le voir débarquer … ou alors peut-être que cette peur enfouie au fond de son cœur pouvait avoir quelque chose d’excitant. « Et tu ne sais pas à quel point je suis impatiente pour ces moments où tu décides de me sauter dessus. Ils sont tout simplement délicieux. » Un baiser vient donner un peu plus de puissance à ses paroles, un baiser qu’il appuie en venant poser sa main sur sa joue pour la garder près de lui ne serait-ce que quelques secondes de plus.
Elle prend place face à lui et il se redresse pour se rapprocher du bord de la chaise et pouvoir jeter un coup d’œil sur les papiers. « Perth est une affaire importante, et nous ne pouvons pas nous permettre de la négliger. Je suis déterminée à mener cette affaire à bien, même si cela signifie que nous devons être sage. » Son père le remerciera de ne pas mêler ses histoires d’amour au projet de toute une vie. Il leur faut plusieurs minutes pour se concentrer, se reconcentrer et se lancer sur la stratégie à adopter au cours des futures négociations. Anthony raconte ses inquiétudes. Elle rassure. Ils se mettent d’accord. L’harmonie privée est tout aussi professionnel. Il lui fait confiance … elle lui a déjà prouvé qu’il peut lui faire confiance. Les coudes posés sur le bureau, il l’observe finalement silencieux alors qu’elle semble rassembler les dernières pièces du puzzle. « Est-ce que je t’ai déjà dit que je te trouvais extrêmement sexy quand tu as ce petit sérieux et concentré ? », dit-il les mains posées sur ses joues et le regard toujours rivé sur elle. Un sourire amusé. Une voix rieuse.
Le bureau, avec ses dossiers dispersés et ses papiers à trier, était le seul refuge de Juliet pour l'instant. Les jours s'écoulaient rapidement, emportant avec eux des émotions contradictoires et des souvenirs de plus en plus flous. Les heures passées avec Anthony étaient une bouffée d'air frais dans une vie qui devenait de plus en plus étouffante. Elle s'était ressaisie, son professionnalisme reprenant le dessus, et elle se concentrait maintenant sur les tâches administratives. Anthony avait raison, la paperasse était une affaire importante, et elle ne pouvait pas se permettre de la négliger. La détermination brillait dans ses yeux, et elle était prête à tout mettre en œuvre pour mener cette tâche à bien. Les deux collaborateurs se concentrèrent sur les détails des dossiers, partageant leurs inquiétudes, discutant des stratégies à adopter pour organiser au mieux les documents. Il y avait une harmonie dans leur travail, une confiance mutuelle qui transcendaient les limites du professionnel. Anthony savait qu'il pouvait compter sur Juliet, et elle avait déjà prouvé qu'elle était digne de confiance. Alors qu'ils avançaient dans leur discussion, Anthony la complimenta sur son sérieux et sa concentration. Le sourire taquin qu'il arbora la fit sourire en retour, apportant une touche de légèreté à ce moment intense. Ses mains posées sur ses joues, son regard fixé sur elle, il ne put s'empêcher de la complimenter. "Est-ce que je t'ai déjà dit que je te trouvais extrêmement sexy quand tu as ce petit sérieux et concentré ?" Alors qu'ils se replongeaient dans la paperasse, les mots taquins d'Anthony résonnèrent dans l'air. Juliet leva un sourcil, feignant l'indignation d'une manière espiègle. Elle prit un air faussement choqué et répondit d'une voix théâtrale, "Oh, Anthony, tu es incorrigible ! Flirter au bureau, vraiment ?" Un sourire coquin s'étira sur ses lèvres alors qu'elle se rapprochait légèrement de lui, leurs visages à nouveau à quelques centimètres l'un de l'autre. "Mais, je dois admettre que ton compliment me fait très plaisir." Elle baissa légèrement les paupières, adoptant un regard séducteur, et murmura d'un ton taquin, "Et si tu veux que je sois sérieuse et concentrée, tu devrais peut-être cesser de me distraire." Leurs yeux se verrouillèrent dans un jeu de séduction malicieux. La tension entre eux augmenta, et un léger frisson parcourut l'échine de Juliet alors qu'elle savourait l'instant. Bien qu'ils soient au travail, il était difficile de résister à la tentation de la séduction entre eux. Le bureau était leur terrain de jeu secret, où ils pouvaient laisser libre cours à leurs désirs tout en maintenant un certain professionnalisme.