ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : PONY.
« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
flashback 2018« Tone », la jolie brune fronce les sourcils alors qu’il vient de se lever d’un bond de son canapé, « tu dois partir ? Maintenant ? » Elle a l’air surprise. Elle peut l’être. L’idée de passer la soirée chez elle, à regarder un film tout en se cocoonant sur son canapé vient d’imploser. Il doit partir. Maintenant. Tout de suite. Un message sur son téléphone. « Un truc urgent à régler, ouais. Je suis désolé. » Un demi-mensonge. Il pose les mains sur l’accoudoir pour tendre le cou et déposer un baiser sur ses lèvres. « On remet ça au plus vite, c’est promis et je serais me rattraper d’être un parfait abruti … le pire des petits amis. » Elle sourit, candide, alors qu’il souffle ça contre ses lèvres. « Des fois, je me demande si tu n’es pas un super héros ou un médecin ou un agent secret en mission … » Le début du doute. Une très mauvaise idée. Il le sait. Il lâche un rire amusé, se redressant en prenant une fausse pose de super héros. « Si ton fantasme est de me voir en collants fluo et portant une cape, on pourra arranger ça très vite ... » Il tente la boutade alors qu’elle met le doigt sur cette double-vie. Double-vie car même s’il est en couple avec Rox, il n’a pourtant pas arrêté de voir Juliet. Elle est toujours dans un coin de son esprit, de son cœur … et quand il voit son nom s’afficher dans son téléphone plusieurs fois, Anthony courre … même si ces derniers temps, elle semblait ne pas avoir vraiment le temps pour lui, pour eux. Le boulot. Des vacances en couple, des réunions de famille, qu’importe. Comme un enfant capricieux, il avait eu le sentiment d’être mis de côté. Un énième baiser et elle le laisse disparaître, le cœur malmené mais elle croit en sa gueule d’ange, son sourire.
Il ne sait pas pourquoi il se hâte. Pourquoi se dépêcher ? Pourquoi ne pas lui rendre la monnaie de sa pièce et la faire attendre elle-aussi ? Pourquoi ne pas lui répondre qu’il ne peut pas !? Il ne peut pas venir. Il ne peut pas tout mettre sur pause pour elle. Vraiment ? Il ne peut pas alors pourquoi c’est toujours ce qu’il fait, instinctivement, sans qu’elle ne lui demande vraiment. C’est la simple conséquence de leur addiction l’un pour l’autre. La conséquence de leur folie. Le cœur galope dans son torse. Il est en colère. Contre lui. Contre elle. Contre eux. Il s’en veut de laisser Rox toute seule chez elle tout comme il s’en veut de ne pas se battre pour n’avoir que Juliet. A vrai dire, il se perd dans ses pensées et ne sait plus vraiment ce qu’il veut ou désire. Avancer … mais sans jamais s’éloigner de Juliet. Impossible.
Quand il la voit … tout reprend son sens. Mais, la colère grogne. La frustration règne et domine. Il referme la porte de leur fameux cocon d’amour derrière lui. La chambre d’hôtel est leur maison. « On ne peut pas continuer comme ça, Juliet. » Mauvais départ pour commencer une conversation. Il balance sa veste sur la chaise la plus proche sans lui laisser le temps de répondre. « A chaque fois que je viens ici, j’ai le sentiment de mettre ma vie toute entière sur pause et tu fais la même chose, je le sais. On met tout et tout le monde sur pause … et ça commence à me rendre dingue. Vraiment. J’en ai marre de devoir venir jusqu’ici, en me planquant presque, en espérant ne pas attirer l’attention de qui que ce soit, en espérant ne pas croiser qui que ce soit … parce que putain, qu’est-ce que tu fous dans un hôtel Tone, tu vis pas à Brisbane ? Et tu serais là, et je serais même pas capable de dire : eh, c’est Juliet, ma … ma quoi ? » Il soupire, il parle vite, fort et surtout il ne prend pas la peine de respirer. Drama queen est un mauvais terme, vous le voyez maintenant, un homme peut tout aussi bien se transformer en drama king quand le jeu en vaut la chandelle. Il pose les mains sur sa tête pour finalement la regarder, se rendant compte qu’il a tout balancé sans passer par l’introduction.
« Hi », qu’il finit par lui dire d’une voix plus calme, plus basse.
Dernière édition par Anthony Lewis le Lun 4 Nov 2024 - 12:17, édité 1 fois
Lorsque la porte de la chambre d'hôtel s'était refermée derrière Anthony, Juliet avait senti un poids s'abattre sur ses épaules. Les mots qu'il venait de prononcer résonnaient dans sa tête comme une accusation. La colère qu'elle avait vue dans son regard avait laissé place à la frustration, à la déception. Elle comprenait sa frustration, mais elle ne pouvait s'empêcher de se sentir coupable. La jeune femme avait regardé en silence Anthony jeter sa veste sur une chaise, sans lui laisser le temps de répondre. Il était en colère, c'était évident, et sa colère était dirigée autant contre lui-même que contre elle. Il s'en voulait de laisser Roxanne seule chez elle, mais il s'en voulait tout autant de ne pas se battre pour leur relation secrète. Les paroles d'Anthony avaient fusé rapidement, exprimant sa frustration, son désir de ne pas continuer ainsi. Il avait l'impression de mettre sa vie en pause à chaque fois qu'il venait la voir, et il savait que Juliet ressentait la même chose. Ils sacrifiaient tout pour être ensemble, mettant tout et tout le monde sur pause. La jeune femme avait écouté en silence, sentant les larmes lui monter aux yeux. Elle savait qu'Anthony avait raison, que leur relation était devenue insoutenable, mais elle ne pouvait pas s'empêcher de l'aimer de tout son cœur. Elle se sentait piégée dans ce jeu dangereux, et elle ne savait pas comment en sortir. Puis, dans un moment de calme après avoir exprimé sa frustration, Anthony avait salué Juliet d'un simple "Hi", sa voix plus douce, plus basse. Le contraste avec sa colère précédente était frappant. Juliet avait baissé les yeux, incapable de soutenir son regard. Elle se sentait déchirée entre son amour pour lui et le désir de préserver sa relation avec son mari. Elle savait que la situation ne pouvait pas durer éternellement, mais elle ne savait pas comment mettre un terme à cette spirale destructrice. Les larmes avaient commencé à couler sur ses joues, silencieuses, trahissant sa détresse. Elle voulait lui dire qu'elle l'aimait plus que tout, qu'elle ne voulait pas le perdre, mais les mots restaient coincés dans sa gorge. Elle ne savait pas quoi faire, comment résoudre ce dilemme impossible. La chambre d'hôtel, qui avait été leur refuge secret, était devenue le témoin silencieux de leur désarroi. Juliet se sentait piégée, perdue, incapable de prendre une décision. Elle savait que quelque chose devait changer, mais elle ne savait pas par où commencer. Leurs regards se croisèrent finalement, et Juliet vit dans les yeux d'Anthony la même douleur, la même confusion qu'elle ressentait. Ils étaient tous les deux perdus dans ce jeu dangereux qu'ils avaient créé, et elle se demandait si un jour ils trouveraient une issue à cette impasse. La seule chose qu'elle savait, c'était qu'elle ne voulait pas le perdre, même si cela signifiait sacrifier une partie d'elle-même. Elle savait que leur amour était intense et réel, mais elle ne savait pas si cela suffisait pour les rendre heureux dans cette situation impossible. Juliet resta silencieuse, les larmes continuant à couler sur ses joues. Elle se sentait impuissante, déchirée entre son désir d'être avec Anthony et son devoir envers son mari. Elle se demandait si un jour ils trouveraient une solution à leur dilemme, ou s'ils étaient condamnés à continuer de vivre cette double vie destructrice.
Finalement, elle avait chassé ses larmes d'un revers de la main, essuyant ses larmes avec frustration. Puis, elle avait laissé échapper un rire amer, un rire teinté de colère. Elle ne pouvait plus se taire, elle devait lui dire la vérité. "Tu veux que je te dise, Anthony ?" commença-t-elle d'une voix tremblante. "Je sais pour elle. Je vous ai vus en ville, tous les deux." Elle avait fixé son regard dans celui d'Anthony, sa colère prenant le dessus sur sa tristesse. "Tu es venu ici pour régler quelque chose pas vrai ? Tu as juste trouvé mieux et tu veux me jeter ?" Sa voix était chargée de reproche, de douleur, mais aussi de colère. Elle ne pouvait plus continuer à jouer ce jeu. Elle méritait mieux que ça. Elle qui avait toujours été honnête. "Je suis fatiguée de cette situation, Anthony," poursuivit-elle, sa voix devenant de plus en plus forte. "Fatiguée de vivre dans l'ombre, de cacher notre amour comme s'il était une honte. Si tu veux vraiment mettre fin à tout ça, alors dis-le moi clairement. Mais ne me laisse pas espérer que tu veux être avec moi, que tu m'aimes, et ensuite me repousser comme si je ne comptais pas pour une fille insignifiante." Les larmes avaient laissé place à la colère dans les yeux de Juliet.
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
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« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
Elle pleure. Il fait pleurer Juliet. Sa Juliet. Cette vision l’anéantit et aussitôt il devient minuscule. Ses épaules s’affaissent, son air désolé s’empare de ses traits. Il est désolé. Désolé d’avoir dit à voix haute ce qu’ils pensent. Désolé de ne pas avoir su comment en parler, avec les mots justes, le bon ton. Il se refuse néanmoins de l’approcher, de la prendre dans ses bras. Il a les lèvres pincées, fait les cent pas mais se retient. Une première ! Son rire le stoppe et il se tourne aussitôt vers elle, les sourcils froncés. « Tu veux que je te dise, Anthony ? Je sais pour elle. Je vous ai vus en ville, tous les deux. » Il lève un sourcil, surpris. Il ne sait pas vraiment de quel événement elle parle, il ne se souvient pas l’avoir croisé en ville. Il la fixe, attend la suite de son sort. « Pour qui ? » « Tu es venu ici pour régler quelque chose pas vrai ? Tu as juste trouvé mieux et tu veux me jeter ? » Il soupire, étouffant un rire tout aussi amer que le sien. L’ambiance est différente à celle qui les unit ici normalement. Ils ne sont pas avec l’autre, ils sont contre l’autre. « Quoi ? Qu’est-ce que tu racontes ? » « Je suis fatiguée de cette situation, Anthony. » Il lève les bras au ciel de manière théâtrale, en soupirant. « Au moins, nous sommes deux. » « Fatiguée de vivre dans l'ombre, de cacher notre amour comme s'il était une honte. Si tu veux vraiment mettre fin à tout ça, alors dis-le moi clairement. Mais ne me laisse pas espérer que tu veux être avec moi, que tu m'aimes, et ensuite me repousser comme si je ne comptais pas pour une fille insignifiante. » Oh, elle parle donc de Rox.
« Attends … attends … tu me parles de Roxanne, là. Je te rappelle que tu es mariée, que je te partage avec un type qui partage ta vie tous les jours, qui s’endort et se réveille avec toi chaque putain de jour … et je n’ose même pas penser à ce qui peut vous unir chez vous. Chez vous, bordel. Tu es en couple, Juliet. Tu es mariée. Tu ne peux pas me demander d’être dans l’ombre, attendre que tu aies le temps, la possibilité de me voir et penser que je ne peux pas, moi aussi, avoir quelqu’un … rencontre quelqu’un … » Il s’énerve. La voix s’élève et il soupire. « Et le pire dans tout ça, j’en ai rien à foutre de cette nana, je suis là, je suis venu à la minute où tu as envoyé ton deuxième message … je l’ai laissé derrière moi, seule, lui balançant des mensonges à la tronche comme pas possible … alors non Juliet, je n’ai pas arrêté de t’aimer en un clin d’œil … je t’aime toujours autant. Je t’aime au point de venir ici et me comporter comme ça … » et il se désigne lui-même.
Les paroles d'Anthony la frappèrent comme un coup de poignard en plein cœur. Elle avait pensé qu'il était au courant, qu'il avait compris la complexité de leur situation, mais apparemment, il était aussi confus qu'elle. Ses yeux embués de larmes rencontrèrent les siens, et elle pouvait voir l'agitation dans son regard, le tumulte de ses émotions. "Pour qui ?" demanda-t-il, confus. Juliet secoua la tête, incapable de répondre. Elle ne pouvait pas lui dire la vérité sur ce qu'elle avait vu. Cela ne ferait qu'empirer les choses, et elle ne voulait pas le blesser davantage. Mais sa colère ne diminua pas, bien au contraire. Elle se sentait trahie, utilisée, et cela la rendait folle. "Attends … attends … tu me parles de Roxanne, là. Je te rappelle que tu es mariée, que je te partage avec un type qui partage ta vie tous les jours, qui s’endort et se réveille avec toi chaque putain de jour … et je n’ose même pas penser à ce qui peut vous unir chez vous. Chez vous, bordel. Tu es en couple, Juliet. Tu es mariée. Tu ne peux pas me demander d’être dans l’ombre, attendre que tu aies le temps, la possibilité de me voir et penser que je ne peux pas, moi aussi, avoir quelqu’un … rencontre quelqu’un …" Sa voix montait en intensité, et Juliet se sentait submergée par un mélange d'émotions. Elle était en colère contre elle-même pour avoir permis à cette situation de se prolonger, en colère contre Anthony pour ne pas comprendre à quel point tout était compliqué pour elle. "Je sais que je suis mariée, Anthony, mais tu penses que c'est ce que je veux ? Tu crois que je suis heureuse dans cette situation ?" répliqua-t-elle avec amertume. "Je ne peux pas simplement mettre fin à mon mariage du jour au lendemain, c'est compliqué, c'est difficile. Et je ne peux pas non plus te laisser aller avec quelqu'un d'autre. Je suis égoïste, je le sais, mais je t'aime." Les larmes coulaient à présent librement sur son visage, et elle essuya ses joues du revers de la main. "Je ne te demande pas de vivre dans l'ombre, Anthony, je te demande de comprendre que je suis piégée entre deux mondes, deux hommes. Alexander, je ne l'ai pas choisi, je suis liée à lui. Si tu ne peux pas accepter cela, alors peut-être que nous devrions mettre fin à tout ça." Elle détourna le regard, incapable de supporter de le voir dans cet état, incapable de continuer cette discussion qui ne faisait que les blesser davantage.
Juliet sentait la colère bouillonner en elle, mais elle ne voulait pas montrer à quel point elle était blessée. Elle avait toujours été la maîtresse de ses émotions, mais cette fois-ci, tout semblait lui échapper. Anthony ne comprenait pas, ne semblait pas réaliser à quel point elle souffrait. Juliet se se mit brusquement à faire les cent pas, sentant la rage monter en elle. Elle se tourna vers Anthony, le regardant droit dans les yeux. "Tu n'as aucune idée de ce que c'est que de me partager avec un autre homme, de devoir cacher notre relation, de devoir mentir et tricher. Tu penses que tu es le seul à souffrir dans cette histoire ? Tu crois que tu es le seul à être jaloux ?" Elle s'approcha de lui, le doigt pointé vers son torse. "Je ne suis pas qu'un jouet que tu peux ranger quand ça t'arrange, Anthony. Je suis une femme avec des sentiments, et je souffre aussi. Mais je t'aime, putain, je t'aime tellement que ça me dévore de l'intérieur. Si tu ne peux pas comprendre ça, si tu ne peux pas accepter que je ne puisse pas tout laisser tomber du jour au lendemain, alors peut-être que tu devrais partir et me laisser en paix." Sa voix était tremblante de colère et de chagrin. Elle se sentait piégée dans un tourbillon d'émotions contradictoires, incapable de trouver une issue à leur situation impossible.
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : PONY.
« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
« Je sais que je suis mariée, Anthony, mais tu penses que c'est ce que je veux ? Tu crois que je suis heureuse dans cette situation ? » Anthony, en mode drama queen, hausse vainement les épaules. « Je ne peux pas simplement mettre fin à mon mariage du jour au lendemain, c'est compliqué, c'est difficile. Et je ne peux pas non plus te laisser aller avec quelqu'un d'autre. Je suis égoïste, je le sais, mais je t'aime. » Il serre les dents tout en la fixant. L’entendre lui dire qu’elle aime est encore plus que l’entendre lui dire qu’elle le déteste. Qu’elle l’aime, qu’ils soient coincés ici, dans cet entre-monde. C’était une torture. Il prend une profonde inspiration. « Je ne te demande pas de vivre dans l'ombre, Anthony, je te demande de comprendre que je suis piégée entre deux mondes, deux hommes. Alexander, je ne l'ai pas choisi, je suis liée à lui. Si tu ne peux pas accepter cela, alors peut-être que nous devrions mettre fin à tout ça. » « Parce que ce n’est pas vivre dans l’ombre ? », qu’il demande en ouvrant les bras, désignant l’endroit dans lequel ils se trouvent.
« Tu n'as aucune idée de ce que c'est que de me partager avec un autre homme, de devoir cacher notre relation, de devoir mentir et tricher. Tu penses que tu es le seul à souffrir dans cette histoire ? Tu crois que tu es le seul à être jaloux ? Je ne suis pas qu'un jouet que tu peux ranger quand ça t'arrange, Anthony. Je suis une femme avec des sentiments, et je souffre aussi. Mais je t'aime, putain, je t'aime tellement que ça me dévore de l'intérieur. Si tu ne peux pas comprendre ça, si tu ne peux pas accepter que je ne puisse pas tout laisser tomber du jour au lendemain, alors peut-être que tu devrais partir et me laisser en paix. » « Quand, bordel ? Quand est-ce que je vais pouvoir avoir le droit de t’embrasser en public, pouvoir te considérer comme partie intégrante de ma vie ? Je refuse de te poser un ultimatum, Juliet, je le refuse car j’ai accepté les règles du jeu mais ce n’est pas parce que je les ai acceptés que j’en suis pourtant satisfait … » Le regard se plante dans le sien. Ils se déchirent car ils s’aiment. Le comble. « Tu n’es pas un jouet », il soupire, la voix est basse, il semble fatigué, « je ne t’ai jamais vu comme un jouet, je ne te verrais jamais comme un jouet. Tu es plus que ça, plus que tout, Juliet … si ça ne tenait qu’à moi, il n'y aurait aucun moment où je dois te cacher, mentir ou me priver de toi … » Il relève la tête.
La colère et la douleur continuaient de tourbillonner en elle. Les mots d'Anthony ne faisaient que raviver les flammes de son ressentiment. Elle voulait qu'il comprenne, qu'il ressente ne serait-ce qu'un fragment de la souffrance qu'elle endurait. Leurs voix s'élevaient, le ton montait, mais aucune solution ne semblait se profiler à l'horizon. "Je ne veux pas vivre dans l'ombre, Anthony, crois-moi, je donnerais n'importe quoi pour que tout cela soit différent, pour que nous puissions être ensemble sans avoir à nous cacher, à mentir, à tricher", murmura-t-elle d'une voix tremblante. Elle avait les yeux embués de larmes, mais elle refusait de les laisser couler devant lui. Elle ne voulait pas qu'il la voie faible, vulnérable. Elle voulait qu'il comprenne qu'elle souffrait autant que lui, peut-être même davantage. "Je t'aime, Anthony, tu es tout pour moi. Mais je suis piégée, je suis enchaînée à cette vie que j'ai choisie, que j'ai construite avec mon mari. Je ne peux pas tout laisser tomber du jour au lendemain, ça n'arrivera pas comme ça, c'est impossible." Elle se mordit la lèvre inférieure, essayant de retrouver sa voix. Elle ne voulait pas que leur dispute se termine ainsi, en impasse. Elle voulait qu'il comprenne ses sentiments, sa détresse. "Je veux que tu comprennes, Anthony, que je ne veux pas te partager. Je veux être à toi, rien qu'à toi. Mais je ne peux pas tout sacrifier, pas maintenant. J'ai besoin de temps, de trouver le bon moment, la bonne façon de tout régler. S'il te plaît, essaie de comprendre, essaie de patienter encore un peu. Je t'aime tellement que ça me déchire de vivre cette situation, mais je ne veux pas te perdre." Les mots sortirent de sa bouche avec une sincérité désespérée. Elle priait pour qu'il puisse voir la vérité dans son regard, pour qu'il puisse ressentir l'intensité de ses émotions. Mais au fond d'elle-même, elle craignait que leur amour ne soit condamné à rester dans l'ombre pour toujours, piégé entre deux mondes qui semblaient s'effondrer autour d'eux.
La tension dans la pièce était palpable, mais au milieu de leur dispute, Juliet ne pouvait s'empêcher de penser à une vérité qu'elle gardait profondément enfouie en elle. Une vérité qui la hantait chaque jour, chaque nuit depuis qu'ils avaient commencé cette relation secrète. Elle avait terriblement peur. Peur du jour où Anthony tomberait amoureux d'une autre, d'une femme qui n'était pas elle. Cette pensée la torturait, la hantait, la faisait frissonner d'effroi. Elle savait qu'Anthony était un homme formidable, qu'il avait toutes les qualités pour être aimé et désiré par d'autres femmes. Et un jour, cela finirait par arriver. Comment pourrait-elle rivaliser avec ces femmes qui pourraient lui offrir une relation ouverte et publique, sans le poids de la clandestinité ? C'était une vérité douloureuse qu'elle avait toujours refusé de confronter, même à elle-même. Elle aimait Anthony bien trop pour envisager de mettre un terme à leur liaison. Elle préférait la folie à l'oubli, la passion à la réalité. Elle avait déjà tant sacrifié pour cet amour secret, pour ces moments volés, pour ces instants de bonheur fugaces. Elle ne voulait pas tout perdre. "Anthony...", murmura-t-elle, les larmes coulant à présent sur ses joues. "Tu es tout pour moi, tu le sais. Mais je sais que tu es un homme merveilleux, et un jour, tu pourrais rencontrer une femme qui pourrait t'offrir tout ce que je ne peux pas. Et je... j'ai peur, Anthony. Peur de te perdre. Peur de ne plus être celle que tu veux." Déambulant dans la pièce, incapable de rester assise à le regarder dans les yeux. La vérité était brutale, elle la poignardait en plein cœur. "Je préfère vivre cette folie avec toi que de te perdre complètement. Je préfère être à moitié tienne que de ne plus être du tout dans ta vie. Peut-être que c'est égoïste, peut-être que c'est insensé, mais c'est la réalité de ce que je ressens, Anthony. Je t'aime trop pour tout arrêter, même si je sais que c'est la seule solution raisonnable." Elle se tourna vers lui, le visage marqué par la tristesse et la vulnérabilité. Ses yeux rougis par les larmes le suppliaient de comprendre, de ne pas la laisser partir, même s'il devait trouver un amour ailleurs. "Ne me quitte pas, Anthony, je t'en prie. Même si ça doit rester ainsi, même si nous devons continuer à vivre dans l'ombre. Je ne veux pas te perdre, je ne veux pas perdre ce que nous avons."
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
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« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
« Je ne veux pas vivre dans l'ombre, Anthony, crois-moi, je donnerais n'importe quoi pour que tout cela soit différent, pour que nous puissions être ensemble sans avoir à nous cacher, à mentir, à tricher. Je t'aime, Anthony, tu es tout pour moi. Mais je suis piégée, je suis enchaînée à cette vie que j'ai choisie, que j'ai construite avec mon mari. Je ne peux pas tout laisser tomber du jour au lendemain, ça n'arrivera pas comme ça, c'est impossible. » Il roule des yeux. Juliet est son histoire d’amour la plus longue. Il bat selon lui des records à toujours être là, à ce qu’elle soit toujours dans le décor de sa vie. Ce n’est pas quelque chose qui se passe du jour au lendemain. Cela dure et s’éternise. Du moins, selon lui. « Je veux que tu comprennes, Anthony, que je ne veux pas te partager. Je veux être à toi, rien qu'à toi. Mais je ne peux pas tout sacrifier, pas maintenant. J'ai besoin de temps, de trouver le bon moment, la bonne façon de tout régler. S'il te plaît, essaie de comprendre, essaie de patienter encore un peu. Je t'aime tellement que ça me déchire de vivre cette situation, mais je ne veux pas te perdre. Anthony... » Et, il doit affronter son regard, les larmes. Son cœur se serre dans sa poitrine. Il se mord l’intérieur de la joue. « Tu es tout pour moi, tu le sais. Mais je sais que tu es un homme merveilleux, et un jour, tu pourrais rencontrer une femme qui pourrait t'offrir tout ce que je ne peux pas. Et je... j'ai peur, Anthony. Peur de te perdre. Peur de ne plus être celle que tu veux. » Il secoue la tête de gauche à droite, l’écoutant raconter des folies. « Je préfère vivre cette folie avec toi que de te perdre complètement. Je préfère être à moitié tienne que de ne plus être du tout dans ta vie. Peut-être que c'est égoïste, peut-être que c'est insensé, mais c'est la réalité de ce que je ressens, Anthony. Je t'aime trop pour tout arrêter, même si je sais que c'est la seule solution raisonnable. Ne me quitte pas, Anthony, je t'en prie. Même si ça doit rester ainsi, même si nous devons continuer à vivre dans l'ombre. Je ne veux pas te perdre, je ne veux pas perdre ce que nous avons. »
Le regard de l’un s’ancre dans celui de l’autre. Il y perçoit les doutes, la peur, l’angoisse, la frustration, l’amour et la colère. Les sentiments rendent le regard brillant. Ils ne pétillent pas. Ils brillent de larmes, et pourtant il s’y noie de la même manière … car une fois encore, elles répondent à ses propres démons. Il est dans la même impasse. Ils sont dans cette impasse. Elle lui avait dit je t’aime. Elle lui avait dit l’aimer. Elle lui avait dit ne pas vouloir le perdre et c’était ce qu’il voulait entendre, c’était ce dont il voulait entendre. Il avait besoin de se sentir étant au cœur de sa vie … alors que soyons honnêtes, elle lui annonçait qu’il allait devoir rester encore dans l’ombre. Mais quand on aime, on fait le tri des informations … c’est bien connu, non ? Il prend une profonde inspiration, se redressant même. Les petites amies comme Roxanne avaient aucune passion, aucune saveur, aucune ressemblance à ce qui les animaient eux. Elle n’avait aucune concurrence. Pas encore. Il secoue la tête de droite à gauche en soufflant et il abandonne. Reddition. Ses pas franchissent la chambre pour la rejoindre et ses mains viennent se poser sur ses joues mouillées par les larmes pour l’embrasser avec passion. Le baiser est presque brusque. D’un amour brut. Il en perdrait son souffle.
Les larmes roulaient silencieusement sur les joues de Juliet tandis qu'elle maintenait le regard intense d'Anthony. Elle se sentait comme une poupée fragile, exposée à toutes les tempêtes de l'émotion. Tous les doutes et les peurs qu'elle avait gardés enfouis étaient maintenant devant elle, dans les yeux d'Anthony, reflétés dans son propre regard. Lorsqu'il prit une profonde inspiration et se redressa, Juliet se prépara à affronter la fin de leur relation, à entendre les mots qu'elle redoutait depuis si longtemps. Elle ne pouvait pas le blâmer de se sentir frustré et de vouloir plus. Elle le comprenait parfaitement, mais elle ne savait pas comment résoudre cette énigme. Cependant, ce qui se passa ensuite la prit totalement au dépourvu. Les mains d'Anthony se posèrent doucement sur ses joues humides, et il l'embrassa avec une passion brusque qui la laissa presque sans souffle. Le baiser était intense, une déclaration d'amour brute, une promesse d'être là malgré les obstacles. Les larmes de Juliet s'apaisèrent lentement alors qu'elle répondait au baiser avec une ferveur égale. Elle sentit son cœur s'emballer, et pour un instant, elle oublia tous leurs problèmes et leurs incertitudes. Elle s'accrocha à cet amour brut et passionné, à cette connexion unique qu'ils partageaient. Lorsqu'ils se séparèrent finalement, leurs fronts se touchèrent, leurs souffles mêlés. Anthony était toujours là, à la regarder avec cet amour dans les yeux, cet amour qui défiait les conventions et les obstacles. Leurs mots étaient peut-être en désaccord, mais leurs cœurs battaient au même rythme. "Anthony..." chuchota Juliet, sa voix tremblante. Elle voulait lui dire combien il comptait pour elle, à quel point elle l'aimait, mais les mots semblaient toujours insuffisants. Elle se perdit dans ses yeux, cherchant des réponses dans ce regard qui avait le pouvoir de la calmer même dans les moments les plus tumultueux. Elle espérait que, d'une manière ou d'une autre, ils trouveraient un moyen de surmonter leurs obstacles, de transformer leur amour brut en quelque chose de plus stable, de plus satisfaisant. Le futur restait incertain, mais pour l'instant, ils étaient là, ensemble, unis par cet amour passionné et indomptable qui brûlait entre eux. Dans un élan de passion irrépressible, Juliet se jeta sur les lèvres d'Anthony, l'embrassant avec une ferveur dévorante. Leurs bouches se rejoignirent dans une étreinte brûlante, leurs langues dansant ensemble comme si elles essayaient de communiquer ce que les mots ne pouvaient pas exprimer. C'était un baiser qui transcendait tout, un baiser qui disait "je t'aime" d'une manière plus profonde et plus sincère que n'importe quelle phrase. Les larmes de Juliet avaient disparu, remplacées par une passion ardente qui brûlait en elle. Ils étaient perdus dans ce baiser, emportés par l'ouragan de leurs émotions. Rien d'autre n'importait, ni les doutes, ni les peurs, ni les obstacles. Ils étaient là, dans cet instant, unis par un amour indomptable qui refusait de s'éteindre. Finalement, ils se séparèrent, leurs souffles saccadés et leurs cœurs battant la chamade. Leur amour pouvait être compliqué, mais il était aussi puissant que l'océan, capable de tout submerger sur son passage. Juliet plongea son regard dans celui d'Anthony, ses yeux brillants d'amour et de détermination. Peu importait les défis qui les attendaient, ils les affronteraient ensemble, mains dans la main, parce que leur amour était plus fort que tout, enfin c'est ce qu'elle pensait. "Je t'aime, Anthony," murmura-t-elle, ses mots chargés de toute la vérité de son cœur. Elle espérait que, d'une manière ou d'une autre, ils trouveraient un moyen de faire fonctionner leur relation, de surmonter les obstacles qui se dressaient sur leur chemin. Parce que pour elle, il n'y avait personne d'autre que lui.
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : PONY.
« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
Un baiser à en perdre son souffle. Un baiser à en perdre la raison. Un baiser à en bousculer le monde. Il s’accroche à elle tout comme il s’accrocher à ce semblant de relation qu’ils se sont créée et qu’ils entretiennent, quitte à se torturer. Ce baiser remplace de potentielles promesses, de potentielles paroles. Ce baiser, c’est un cri du cœur, du plus profond de son cœur. Il l’aime. Il l’aime au point d’accepter la douleur, la colère, la jalousie, tout. Il l’aime au point de ne pas vouloir l’entendre ne serait-ce que formuler une potentielle séparation. Il ne peut pas se l’imaginer. Il ne peut plus. Il est lui aussi coincé dans cette relation. Juliet répond à son baiser avec la même intensité. Front collé aux siens, lèvres rougies par les siennes, il plante son regard dans le sien et ses pouces effleurent et effacent les dernières larmes dont il est le complice. « Anthony… », chuchote-t-elle et il souffle dans le même murmure sur un ton apaisant : « shhh » Il n’a pas besoin d’entendre des mots. Il a juste besoin d’elle. Et, c’est cette alliance, cet accord qui les unit de nouveau quand elle capture ses lèvres dans un baiser tout autant brut d’amour. Les mains quittent ses joues pour venir la serrer, la presser tout contre lui. « Je t’aime, Anthony, » murmure-t-elle et les paroles viennent envelopper le palpitant de l’amant à l’aile blessée. Il recule légèrement et vient de nouveau ses mains sur ses joues rosées avec cette fois-ci la plus grande douceur. Tenant son visage entre ses mains, il vient planter son regard dans le sien, « il n’y a que toi Juliet. Depuis le jour où tu es entré dans ma vie, il n’y a eu que toi … », la voix est un murmure et il vient coller son front au sien sans ôter ses mains de ses joues.
Les lèvres de Juliet étaient encore chaudes des baisers passionnés qu'elle avait échangés avec Anthony. Son cœur battait avec une intensité qu'elle n'avait pas ressentie depuis longtemps, et son esprit était enfin apaisé. Elle pouvait sentir les mains fortes d'Anthony sur ses joues, le contact doux de son front contre le sien, et cela la faisait se sentir en sécurité et aimée. Elle se perdit dans les yeux d'Anthony, ses prunelles d'un bleu profond qui semblaient contenir tout l'amour du monde. Elle avait besoin de voir cette affection dans ses yeux, de savoir que tout ce qu'ils traversaient en valait la peine. Parce qu'au fond d'elle, elle savait que c'était vrai. Anthony était l'homme qu'elle aimait, et elle ne pouvait pas imaginer sa vie sans lui. Lorsqu'il parla, ses paroles résonnèrent en elle comme une douce mélodie. "Il n'y a eu que toi, Juliet. Depuis le jour où tu es entré dans ma vie, il n'y a eu que toi ..." Les mots étaient simples, mais ils portaient tellement de poids, tellement de vérité. Elle se rendit compte à quel point elle avait besoin de l'entendre dire ces mots, de les sentir vibrer dans son âme. Elle posa doucement ses mains sur les bras d'Anthony, sentant la chaleur de sa peau sous ses doigts. Elle ne pouvait pas s'empêcher de sourire, même si des larmes d'émotion se formaient dans ses yeux. "Anthony, je sais que je me lève auprès d'Alexander, que je partage son quotidien, sa vie.. mais mon coeur tu l'as depuis que j'ai posé les yeux sur toi. Mes pensées sont à toi.." murmura-t-elle, sa voix tremblant légèrement. Ils restaient là, les fronts collés, se perdant l'un dans l'autre. Le temps semblait suspendu, et Juliet ne voulait que cet instant dure éternellement. Elle avait l'impression que tout était à sa place, que toutes les inquiétudes et les doutes s'étaient évanouis pour laisser place à cet amour puissant et indéniable. Bien sûr leur amour avait ses failles, ses blessures, mais aucun d'eux n'avait jamais vécue quelque chose d'aussi fort, intense.
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : PONY.
« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
« Anthony, je sais que je me lève auprès d'Alexander, que je partage son quotidien, sa vie… mais mon cœur tu l'as depuis que j'ai posé les yeux sur toi. Mes pensées sont à toi… » Et, il s’en suffira. Une fois encore, il se contente de n’être que l’amant, celui qui doit attendre dans la pénombre le bon moment pour sortir de sa cachette et l’emporter dans un tout autre univers. Une fois encore, il accepte son sort car dans ses yeux, il croit en leur avenir, en un avenir et surtout il s’aveugle par leur amour, la passion avec laquelle ils composent cette relation. L’égo de l’amant brisé est rassuré. Il est là, même quand il n’est pas là. Ses lèvres forment un sourire, minuscule sourire. « Je ne veux pas entendre son nom, je ne veux pas entendre parler de lui ou considérer son existence … », souffle-t-il à voix basse, « ce soir, il n’y a que toi, il n’y a que moi, il n’y a que nous … je veux qu’il n'y ait que nous … au moins pour cet instant … » Encore une fois, il se contente de cet instant suspendu dans le temps. « Laisse-moi, laisse-nous oublier … », Alexander, Roxanne, les autres, tout le monde. Les lèvres se rapprochent des siennes pour y déposer un tendre baiser qui a l’effet d’une simple caresse. « Laisse-moi t’aimer et prétendre qu’il n’y a que nous … », qu’elle l’aide à prétendre, à ignorer la vérité, à se créer un univers parallèle où ils peuvent s’aimer. Il accompagne ses paroles d’un geste de la tête pour acquiescer ses dires. Et ses lèvres se glissent dans son cou. Il ferme doucement les paupières se laissant enivrer par son parfum. Un parfum dont il avait été trop longtemps privé.
« Tu m’as manqué, juliet » murmure-t-il contre sa peau, les paupières toujours closes. « Tellement manqué que j’en devenais fou … » et il se laisse tomber sur le lit, assis au rebord de celui-ci. Le regard se pose sur la jeune femme qui lui fait face. Les mains se tendent pour venir rejoindre les siennes sans la quitter du regard. Le temps est sur pause. Ô bien sûr il la désire ! Mais, il a surtout envie de pouvoir parler de tout, de rien, comme le font les autres couples. Qu’elle lui raconte les anecdotes idiotes de sa vie de tous les jours. Il l’attire vers lui, les mains se posent sur ses hanches et il relève la tête pour pouvoir la regarder. « Ne me laisse plus aussi longtemps sans te voir, sans pouvoir te voir … j’ai besoin de te voir … » qu’il souffle comme une prière.
Les paroles douces d'Anthony firent fondre le cœur de Juliet. Elle savait qu'il acceptait leur situation complexe, qu'il comprenait les limites qu'ils devaient respecter, mais son amour pour lui était si fort qu'elle ne pouvait s'empêcher de désirer un futur différent. Elle ressentait le besoin de lui montrer à quel point il comptait pour elle, à quel point il était le centre de son monde. Ses mots doux et son tendre baiser dans son cou la firent frissonner. Elle ne le quittait pas des yeux, leurs mains entrelacées, leurs regards se perdant l'un dans l'autre. "Tu m'as manqué aussi, Anthony," murmura-t-elle, caressant doucement sa main de son pouce. "Tout ce temps sans te voir a été une torture. Mais tu sais que je ne peux pas être toujours là comme je le voudrais. Mais il n'y a personne d'autre qui compte autant que toi." Elle se pencha pour l'embrasser tendrement, laissant ses lèvres se fondre aux siennes. Elle pouvait sentir le désir qui montait en elle, l'envie de se rapprocher encore plus d'Anthony, de se perdre complètement en lui. "Mais je te promets que je ferai de mon mieux pour te voir plus souvent," chuchota-t-elle contre ses lèvres. "Je ne veux pas que tu souffres à cause de moi, Anthony. Je veux que tu sois heureux, parce que tu le mérites." Ils étaient si proches, si intimes, que chaque moment qu'ils passaient ensemble était précieux. Elle voulait profiter de chaque instant, même s'ils étaient rares et fugaces.
Juliet sentait le désir monter en elle, mais elle savait que ce moment intime avec Anthony était également l'occasion de se connecter émotionnellement avec lui. Après leur tendre échange de baisers, elle glissa lentement pour se retrouver allongée sur le lit, les bras ouverts et une invitation silencieuse dans les yeux. "Viens ici," murmura-t-elle doucement, tendant ses bras vers lui. Anthony la rejoignit, se blottissant dans ses bras avec une douceur qui reflétait tout leur amour et leur désir mutuel de se sentir proches. Elle caressa ses cheveux d'une main douce, son autre main serrée contre son dos. "Comment s'est passée ta journée, mon amour ?" demanda-t-elle doucement, laissant ses doigts glisser le long de son épaule. "Comment va ta famille ?" Elle voulait qu'il se sente important, qu'il sache qu'elle se souciait de sa vie et de son bien-être. Elle savait que leur relation était complexe, mais elle était déterminée à lui montrer à quel point il était spécial pour elle, à quel point il comptait dans sa vie. "J'aimerais tout savoir de toi," murmura-t-elle, son souffle chaud caressant son oreille. "Tout ce que tu veux bien me dire, Anthony."
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
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« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
«Tu m'as manqué aussi, Anthony. Tout ce temps sans te voir a été une torture. Mais tu sais que je ne peux pas être toujours là comme je le voudrais. Mais il n'y a personne d'autre qui compte autant que toi. » Il entend, silencieux. Il sait. Cela fait également partie des règles non dites qui les unissent. Ils ne peuvent pas se voir quand ils le désirent. Ils sont dépendants d’autres personnes, de tant de possibles et de situations. Il sait. Mais l’entendre le lui dire a quelque chose de réconfortant, de rassurant. « Mais je te promets que je ferai de mon mieux pour te voir plus souvent. Je ne veux pas que tu souffres à cause de moi, Anthony. Je veux que tu sois heureux, parce que tu le mérites. » Les mains caressent doucement la silhouette de la jeune femme alors qu’elle l’hypnotise avec ces douces paroles. Quand il la revoit, quand ils se revoient, il en oublie les douleurs, les peurs et la rancœur. Il parvient à tout oublier pour se concentrer sur cet instant, cet instant qui ne leur appartient qu’à eux.
La tête se tourne vers elle et un sourire pointe le bout de son nez sur son visage. Juste quelques secondes après avoir entendu son «viens ici », il la rejoint, venant prendre place dans ses bras, se laissant réconforter, dorloter par celle qui possède son cœur. Il vient caler sa tête contre elle, un bras s’enroulant autour de sa taille pour pouvoir se sentir encore plus proche. «Comment s'est passée ta journée, mon amour ? » Un semblant de normalité. «Comment va ta famille ? J’aimerais tout savoir de toi, tout ce que tu veux bien me dire, Anthony.» Il relève la tête vers elle. «Tout le monde va bien … enfin … tout le monde va bien pour comment on peut aller quand c’est un bordel monstre.» Il tente un sourire. Cameron, il se faisait toujours du souci pour son cadet. « Tu sais que c’est ce que je veux … c’est tout ce que je veux …», il caresse doucement sa peau, «parler de tout, de rien, parler de toi, parler de nous … » Il tend le cou pour déposer un baiser sur sa joue. «Que tu fasses partie de mon quotidien … », et il dépose de nouveau un baiser sur sa joue avant de reprendre place tout contre elle. et soudain, il ne veut plus parler. Juste rester avec elle. près d’elle.
Juliet écouta attentivement les mots d'Anthony, ses doigts continuant doucement à caresser son dos. Elle pouvait sentir la tension en lui, la complexité de sa vie familiale et de ses sentiments. Son sourire sincère face à la réponse d'Anthony montra qu'elle appréciait vraiment ses mots, même s'ils étaient empreints de difficultés. "Tout le monde va bien... enfin... tout le monde va bien pour comment on peut aller quand c’est un bordel monstre," répondit Anthony avec un sourire qui masquait clairement certaines des luttes internes qu'il devait affronter. Elle resserra doucement son étreinte, sentant le besoin de le réconforter encore plus. "Je suis contente d'entendre que tout va bien dans l'ensemble, même si ça peut être chaotique parfois," murmura-t-elle doucement. Lorsqu'il parla de ce qu'il désirait, elle sentit son cœur s'emplir d'amour et de tendresse pour lui. Elle savait que leur relation était complexe, mais elle était déterminée à être là pour lui, à le soutenir et à l'aimer autant qu'elle le pouvait. "Anthony, tu fais déjà partie de mon quotidien," dit-elle doucement, un sourire chaleureux sur son visage. Elle déposa un baiser tendre sur le front d'Anthony, savourant le moment de calme et de proximité qu'ils partageaient. Elle n'avait pas besoin de plus en ce moment, juste la certitude que leur amour était réel et qu'ils étaient là l'un pour l'autre.
Le silence s'étendit entre eux, une douce intimité dans laquelle leurs cœurs pouvaient s'exprimer sans mots. Juliet caressa doucement le dos d'Anthony, sentant son rythme cardiaque sous sa paume, une mélodie apaisante qui semblait les unir encore plus. Ses doigts glissèrent sur la peau de son dos, tracèrent des motifs invisibles et apaisants, exprimant tout l'amour et le réconfort qu'elle ressentait pour lui. Leurs souffles se synchronisèrent naturellement, créant une harmonie parfaite entre leurs corps. Puis, doucement, comme une douce promesse d'amour, Juliet glissa son doigt sous le menton d'Anthony, relevant son visage pour qu'il puisse la regarder. Leurs regards se croisèrent, l'intimité dans leurs yeux reflétant la profondeur de leurs sentiments. Sans un mot, elle inclina la tête et captura ses lèvres avec une tendresse infinie. Leurs bouches se rejoignirent dans un baiser doux et passionné, une déclaration silencieuse de l'amour qu'ils partageaient. Elle pressa son corps contre le sien, les enveloppant l'un l'autre dans une étreinte chaleureuse et réconfortante. Dans ce moment, il n'y avait pas besoin de paroles. Leurs cœurs avaient déjà tout dit.
ÂGE : 36 ans (16 février 1988) SURNOM : Tony, Tone, sans compter la tripotée de surnoms que trouve sa fratrie pour l'emmerder. c'est ce qui arrive quand on est l'aîné. STATUT : En couple avec sa meilleure amie, sa partenaire de chic et de choc depuis qu’il a l’âge de compter et écrire. Une folie pour lui que de se dire en couple … MÉTIER : associé du paternel au Tasty Tazzy & chef en cuisine LOGEMENT : bayside, il vient d'emménager avec penelope POSTS : 1189 POINTS : 880
TW IN RP : aucun en particulier, il y aura toujours une information dans le texte du rp au besoin TW IRL : transphobie et violence envers les animaux. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : PONY.
« true love doesn't happen right away; it's an ever-growing process. it develops after you've gone through many ups and downs, when you've suffered together, cried together, laughed together. » RPs TERMINÉS : cf, fiche de liensAVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : brisounours (avatar) KLM (gif #2) DC : molly (e. purnell) PSEUDO : éms, émilie INSCRIT LE : 11/12/2023
« Je suis contente d'entendre que tout va bien dans l'ensemble, même si ça peut être chaotique parfois. Anthony, tu fais déjà partie de mon quotidien. » Il la presse davantage contre lui, il se blottit davantage contre elle. Ils se laissent envelopper par un silence, cherchant et conserver le contact avec l’autre. Il se laisse bercer par les caresses de Juliet. Il se concentre doucement sur cette caresse, cette main qui touche doucement son dos. Elle l’apaise. Ce simple geste doux et tendre efface la peur qui le ronge, la frustration qui le dévore. Ils s’apaisent. Les paupières se ferment jusqu’à ce qu’elle vienne poser son doigt sous son menton. Il finit par relever la tête vers elle, croise son regard et il se laisse emporter par ce doux baiser. La douceur du baiser s’embrase lentement pour davantage l’attirer contre elle et il y répond. Une invitation à s’unir, s’allier, communier. Encore et toujours, au sein de cette chambre d’hôtel.
Les mains se glissent sous le tissu pour rencontrer sa peau et davantage l’attirer contre lui. « Je n’ai même pas pris le temps de te demander si on avait toute la nuit ou si tu devais rentrer rapidement … », qu’il souffle contre ses lèvres alors que sa main remonte le long de son dos. Les paupières à demi-closes. « J’ai la folie d’espérer pouvoir m’endormir et me réveiller à tes côtés aujourd’hui … » Un baiser sur la commissure de ses lèvres, sur son menton, dans son cou. Il a tellement envie de la dévorer. Envie de pouvoir l’avoir dans sa vie, s’imprégner de sa présence, de son parfum … se recharger les batteries avant de la laisser de nouveau s’échapper et s’éloigner. Sa présence devient un besoin vital. Il est accro. Elle est son obsession. Son addiction. N’est-ce pas les bases pour une relation toxique ? Possible mais il suffit de voir la manière dont ils se regardent pour se dire que c’est de l’amour. Le vrai amour.