ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Diego n’avait pas pour habitude de voler la vedette à quiconque célébrait un succès et puisqu’il s’agissait de Cesar, la règle était encore plus valide. Ses applaudissements et ses sourires étaient ceux d’un grand frère extrêmement fier et c’est tout ce qu’il serait ce soir. Cesar lui avait longtemps reproché de s’être accroché à ses études alors que tout s’écroulait autour d’eux, et le voir recevoir ce prix constituait une revanche, en quelque sorte. Il ne pouvait pas parler à la place de son frère mais voir ce sentiment d’accomplissement se refléter dans son regard créait un sentiment nouveau chez Diego qui passait l’une des meilleures soirées depuis un bien long moment. Tout était oublié, ils apparaissaient presque comme une famille unie, tous contraints de mettre leurs soucis de côté pour ne pas gâcher la grande soirée de Cesar. Et c’était dans cette optique que Diego s’était figé quant, alors qu’il riait de bon cœur avec les Gutiérrez, un coup d'œil rapide lui avait fait prendre conscience de la présence de Mateo. Le hasard commençait à le mettre dans une position extrêmement difficile et le sourire qu’il tentait de continuer à arborer était maintenant crispé. Il s’agissait de Mateo, probablement son secret le mieux gardé - ce dernier étant lui-même exclu de la confidence - et s’ajoutait à cette inquiétude de le voir évoluer au milieu de l’ensemble des membres de sa famille le fait que Diego ait annulé leur dîner au dernier moment quelques jours auparavant.
Son comportement avait changé et il était difficile de le dissimuler alors il avait profité d’un moment d’inattention de sa famille pour aller se poster aux côtés de Mateo. « Qu’est ce que tu fais là ? » Il n’était pas accusateur mais son ton trahissait un certain agacement malgré la façon dont il s’efforçait de chuchoter pour rester discret. « Ouais nan, bien sûr que t’es là. » avait-il finalement dit en soupirant et se pinçant l’arête du nez. Mateo était étudiant en histoire de l’art lorsqu’il l’avait rencontré et il semblait qu’il avait si bien réussi son parcours qu’il avait maintenant fait de sa passion son métier. Son regard s’était posé dans le sien alors qu’il tentait de vérifier s’il avait trahi la façon dont il en savait plus sur lui qu’il ne le prétendait - Diego savait pertinemment ce qu’il faisait ici alors qu’ils n’avaient pas discuté de leur profession au mariage. Le sentiment qui se lisait sur ses traits était pourtant différent, alors Diego s’était convaincu qu’il ne concluerait rien de tout cela et avait poursuivi. « Je suis désolé. Pour l’autre soir. » La nervosité de Diego avait déclenché un mécanisme de défense contre lequel il s’efforçait de lutter en adoucissant le ton de sa voix. Il ne servirait pas de fausses excuses, il n’avait aucune envie de mentir. L’étonnement de le voir ici, ce soir, en présence de sa famille, alors qu’il était incapable de se comporter de manière logique face à lui était un premier point mais il devait maintenant faire face au regard accusateur de Mateo qu’il pouvait sentir sur lui et qu’il comprenait tout à fait. Le comportement hostile du médecin ne pouvait avoir aucune logique pour le témoin de mariage de leur ami commun qui n’avait fait qu’entamer la discussion avec lui. Bien sûr il y avait cette impression étrange, la même qu’il avait ressentie des années auparavant, mais Mateo ne semblait réellement pas se souvenir et il était donc injuste de continuer à le repousser.
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always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove
Mateo Alvarez
le schtroumpf farceur
ÂGE : vingt six ans (18/02/1998) et pas encore peur de vieillir. SURNOM : certains de ses plus vieux amis l'appellent mat, comme quand ils étaient plus jeunes. "ce con d'alvarez" ça marche aussi. STATUT : sa priorité n'est clairement pas de trouver l'amour mais s'il pouvait comprendre ce qui est en train de se passer avec diego, ça l'arrangerait pas mal. MÉTIER : assistant conservateur à la qagoma (queensland art gallery and gallery of modern art) depuis la fin de ses études il y a presque deux ans, dans le bâtiment dédié à l'art moderne. LOGEMENT : il vit depuis septembre 2022 dans un appartement au n°29 hardgrave road, west end, dans une colocation dont il est le seul représentant de la gent masculine. POSTS : 2882 POINTS : 670
TW IN RP : consommation d'alcool, mort d'un proche, deuil, état dépressif. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne trouve aucun intérêt aux réseaux sociaux › joueur, il ne refuse jamais un défi surtout s'il croit pouvoir le gagner › n'a presque aucune nouvelle de sa mère depuis qu'il est parti pour faire ses études › son amie d'enfance, lucia, s'est suicidée suite à du harcèlement vécu après son coming-out. CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
maego › to tell the truth, i'm the fraud in the room and i know that, but you never will. i will be your shoulder to cry on, i will make you laugh if you need, i will play the part if you say so, but you'll never know what's broken inside of me.
Mateo ne pouvait nier qu'il aurait voulu être à la place de son responsable, tenu de remettre les prix ce soir et d'encenser ces talents qui venaient de se faire officiellement une place dans le monde de l'art. Au lieu de ça il avait passé son après midi et le début de la soirée dans l'ombre, à gérer les derniers détails d'organisation qui auraient pu ruiner l'évènement s'ils avaient été oubliés, mais qui passeraient inaperçu et pour lesquels personne ne le remercierait au final. C'était ainsi et il était bien conscient que pour l'instant il ne pouvait prétendre à mieux, mais il se languissait du temps où le micro serait sien. Quoi qu'il était presque heureux de ne tenir qu'un rôle de second plan alors qu'il avait aperçu une tête qu'il n'aurait pas pensé voir à ce moment là, et qu'il était content de pouvoir observer de loin. Alors qu'il aurait pu aller saluer Diego depuis longtemps déjà, Mateo s'était abstenu, pour tout un tas de raisons qu'il avait du mal à définir précisément. L'une d'entre elles - la première, sans aucun doute - résidait dans le fait qu'il n'avait aucune envie de se lancer dans un énième échange dont il ne pourrait comprendre tous les enjeux alors qu'il était dans un contexte professionnel. Et s'il refuserait de l'admettre ouvertement, une autre de ces raisons était l'agacement qu'il avait pu ressentir alors que Diego avait décidé d'avorter leur projet de sortie, aussi futile qu'il avait voulu la faire paraître. En bref, il n'avait eu encore envie de l'approcher ni de le déranger alors qu'il semblait être en famille, un peu par amertume, un peu parce qu'il ne savait pas vraiment comment il devait réagir. La foule s'était diffusée dans la galerie, s'éparpillant entre le buffet et les œuvres à découvrir. Et alors que sa collègue abandonnait Mateo à son sort, il fut rapidement rejoint par Diego. Machinalement, un sourire vint illuminer ses lèvres, mais il fut de courte durée au vu du ton choisi par son interlocuteur. « Qu’est ce que tu fais là ? » Lui qui avait décidé de rester discret et d'éviter d'entrer encore dans un jeu dont il ne connaissait pas les règles ne pu s'empêcher de s'y jeter à la seconde où l'opportunité s'était présentée à lui. « Salut à toi aussi. » Qu'il avait lancé en s'approchant quelque peu et en chuchotant lui aussi, mais d'un air presque séducteur. « Ouais nan, bien sûr que t’es là. » Il fronçait les sourcils, ne comprenant absolument pas pourquoi sa présence ici pouvait lui paraître si logique, mais s'abstenait de tout commentaire pour l'instant. Il avait besoin de savoir pourquoi Diego agissait de manière si étrange avec lui à cet instant. « Euh, oui, je bosse là. » Son habituel air nonchalant avait prit place sur son visage même s'il ne suffisait pas à masquer totalement son agacement. Il balayait la pièce du regard, inquiet de la tournure que la situation pourrait prendre - tout était possible avec Diego. « Je suis désolé. Pour l’autre soir. » Il croisait à nouveau le regard de Diego, se tournant légèrement vers lui. « Parce que t'es pas venu ? » Des tas de questions et remarques brûlaient ses lèvres mais il s'empêchait de les laisser en sortir, préférant retrouver une ambiance légère. Il avait du mal à saisir pourquoi chacun de leurs échanges, aussi banals pouvaient ils être en apparence, avaient le don de prendre des tournures dramatiques en un rien de temps. « T'inquiète pas, c'est mes colocs qui ont été contentes de me voir rentrer avec un sac plein de poulet épicé. » Bon en réalité les choix qu'il avait fait n'avaient pas faits l'unanimité, mais il était encore en train d'apprendre à connaître les deux dernières arrivées. « Je me suis dit que t'avais une urgence au boulot ou qu'on t'avait proposé un rencard de dernière minute. » Il avait essayé de se convaincre que l'annulation de dernière minute de Diego était venue d'une raison valable, et en même temps il détestait avoir été touché par son absence. « C'était lequel des deux ? »
when the goin' is getting tough, were all about giving up. things that we never thought we'd say gunna say em. games that we never thought we'd play gunna play em. it ain't perfect but its worth it.
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Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
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Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Il aurait pu être de passage à Brisbane, n’être qu’un étudiant qui parcourait l’Australie, quelqu’un que Diego n’aurait jamais eu à croiser une seconde fois. C’était ce qu’il avait cru jusqu’au mariage de Rafael où leurs chemins s’étaient croisés pour leur faire prendre conscience d’à quel point ils étaient finalement proches l’un de l’autre. Ils faisaient partie du même cercle et quand Diego avait pris conscience de cela, cette soirée imprévue ressemblait davantage à une impulsion du destin qu’à une coïncidence. Malgré tout, après toutes ces années sans revoir Mateo, il s’était imaginé pouvoir lui échapper, ou plutôt échapper à ce que le garçon faisait naître en lui. C’était dans cette optique que le médecin avait renoncé à sortir avec lui, il avait la possibilité d’une échappatoire et ce même si cela signifiait lutter contre l'irrépressible envie de le revoir et il l’avait empruntée. Mais ils n’en avaient pas fini, la présence de Mateo à cet événement venait une nouvelle fois de le lui prouver. « Salut à toi aussi. » Un murmure qui avait eu pour effet de lui hérisser le poil et qui contrebalançait l’amertume de ses propres paroles. Son attitude avait pourtant réussi à impacter l’attitude de Mateo dont les sourcils froncés laissaient imaginer ce qu’il ressentait : de l’incompréhension, certainement, mais aussi peut-être une pointe d’agacement. « Euh, oui, je bosse là. » Diego avait levé le menton pour venir acquiescer son propos, espérant que Mateo associerait sa certitude au simple fait qu’il portait un badge et s’était affairé toute la soirée. Malgré sa nervosité, Diego continuait d’afficher un sourire de façade destiné à sa famille qui évoluait dans l’immense salle et à quiconque aurait pu sentir cette tension qui s’était installée entre les deux garçons.
Comme si ce geste avait fini par raisonner en lui et l’apaiser, Diego avait accordé des excuses à Mateo et celui-ci s’était tourné vers lui pour l’observer. « Parce que t'es pas venu ? » Il avait haussé les épaules pour souligner à quel point la raison de ses excuses était logique et cela avait suffi à ce que Mateo poursuive. « T'inquiète pas, c'est mes colocs qui ont été contentes de me voir rentrer avec un sac plein de poulet épicé. » Diego avait levé un sourcil, intrigué tantôt par l’évocation d’une vie en collocation, tantôt par l’idée qu’il avait peut-être déjà passé commande pour eux deux avant qu’il ne choisisse de se dérober. « Je me suis dit que t'avais une urgence au boulot ou qu'on t'avait proposé un rencard de dernière minute. » Il avait tiqué au mot rencard, un mot qu'il détestait depuis qu'il avait été utilisé avec lui pour le mettre assez mal à l'aise et l'empêcher de se joindre à lui. « C'était lequel des deux ? » Il aurait été tellement simple d’utiliser sa profession pour justifier son absence, mais Mateo était la seule personne avec qui il s’autorisait à braver l’interdit et il ne méritait pas un énième mensonge. « J’ai pas envie de te sortir d’excuses, je vais même pas utiliser celles que tu me donnes. » Peut-être que le moment et l’endroit étaient mal choisis pour une pareille discussion mais pour Diego, ils étaient parfaits. Ils évitaient la possibilité d’une discussion trop houleuse et permettaient de trouver toutes les excuses pour s’effacer mais, de son côté, le médecin ne prendrait pas cette décision une seconde fois. Pas alors que tous les chemins semblaient le remettre face à lui. « Je suis pas venu. C’est tout. » Ses yeux s’étaient posés sur lui et seule l’agitation autour avait permis à Diego de reposer son attention sur la salle. Cesar et Emery leur faisaient face, leurs sourires plus radieux que jamais, et les lèvres de Diego s’étaient elles aussi étirées. Continuant à fixer la blonde, il s’était perdu dans ses pensées, assez pour briser une promesse qu’il s’était faite à lui-même. « Tu te souviens vraiment pas, hin ? » Parce que s’il souvenait, il comprendrait tout. Son comportement, ce qui s’installait inévitablement entre eux à chaque rencontre et la raison qui l’avait poussé à décliner l’invitation au dernier moment.
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Mateo Alvarez
le schtroumpf farceur
ÂGE : vingt six ans (18/02/1998) et pas encore peur de vieillir. SURNOM : certains de ses plus vieux amis l'appellent mat, comme quand ils étaient plus jeunes. "ce con d'alvarez" ça marche aussi. STATUT : sa priorité n'est clairement pas de trouver l'amour mais s'il pouvait comprendre ce qui est en train de se passer avec diego, ça l'arrangerait pas mal. MÉTIER : assistant conservateur à la qagoma (queensland art gallery and gallery of modern art) depuis la fin de ses études il y a presque deux ans, dans le bâtiment dédié à l'art moderne. LOGEMENT : il vit depuis septembre 2022 dans un appartement au n°29 hardgrave road, west end, dans une colocation dont il est le seul représentant de la gent masculine. POSTS : 2882 POINTS : 670
TW IN RP : consommation d'alcool, mort d'un proche, deuil, état dépressif. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne trouve aucun intérêt aux réseaux sociaux › joueur, il ne refuse jamais un défi surtout s'il croit pouvoir le gagner › n'a presque aucune nouvelle de sa mère depuis qu'il est parti pour faire ses études › son amie d'enfance, lucia, s'est suicidée suite à du harcèlement vécu après son coming-out. CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
maego › to tell the truth, i'm the fraud in the room and i know that, but you never will. i will be your shoulder to cry on, i will make you laugh if you need, i will play the part if you say so, but you'll never know what's broken inside of me.
Mélanger différents aspects de sa vie au même endroit n'était pas la chose dont Mateo était le plus friand. Avoir des amis mêlés à ce genre d'évènements dans lesquels il devait garder une posture professionnelle n'avait rien de plaisant pour lui, même s'il déciderait de ne pas le montrer si cela devait arriver. Le problème était encore plus présent puisqu'il s'agissait ici de Diego, quelqu'un qu'il n'avait même pas encore pu ranger dans une case de son entourage. S'il avait pu avoir l'espace de quelques secondes l'impression qu'il pourrait faire partie de sa vie, il avait aussi cru que le médecin préférait qu'ils restent deux inconnus. L'incompréhension qu'il avait pu ressentir de nombreuses fois face à lui - alors même qu'ils ne s'étaient vus que peu de temps - déstabilisait Mateo qui détestait la sensation de ne pas avoir le contrôle sur la situation. Il avait beau essayer de mettre ces incertitudes de côté pour ne surtout jamais les dévoiler, le chaud et le froid que soufflait Diego sans cesse lui laissait la sensation de marcher sur un sol qui pouvait se dérober sous ses pieds sans crier gare, à n'importe quel moment. Et alors même qu'il avait essayé d'en savoir plus sur son absence à leur sortie improvisée d'une façon qu'il avait voulue tout à fait désinvolte, il fut surpris une fois de plus par la réponse qu'il avait reçue. « J’ai pas envie de te sortir d’excuses, je vais même pas utiliser celles que tu me donnes. » Les sourcils de Mateo vinrent se froncer sans qu'il ne le décide consciemment, surpris tant par le changement de ton de son interlocuteur que par l'intensité qu'il avait dans son expression tout à coup. « Je suis pas venu. C’est tout. » Une fois de plus, la sensation qu'il lui en voulait pour quelque chose avait prit Mateo d'assaut. Une fois de plus, il était plus qu'agacé de ne pas savoir d'où venait à Diego cette amertume, de ne pas savoir comment il devait réagir face à ces changements de comportement qui sortaient de nul part. « Ok... donc j'ai droit au Diego de mauvaise humeur au bout de seulement deux minutes ? » Qu'il lançait sans essayer de cacher son agacement cette fois. Aujourd'hui, Mateo n'avait pas le loisir de jouer à un double jeu, son attention devant rester concentrée sur le fait de ne pas faire de vagues et de veiller à sa posture. « J'ai pas vraiment le temps pour ça aujourd'hui. » Ni le temps, ni l'envie, ni la possibilité. Diego avait mal choisi son jour pour venir miner l'ambiance de la soirée, même si le jeune conservateur était curieux de comprendre ce qui l'amenait à réagir ainsi. « Tu te souviens vraiment pas, hin ? » Alors il y avait bien une raison pour laquelle Diego agissait si bizarrement avec lui. Il y avait bien quelque chose à côté duquel Mateo était passé. Il s'était posé des questions plusieurs fois après avoir subi des remarques un peu trop pleines de sous entendus lors du mariage, s'étant même demandé si Diego n'avait pas juste un problème avec lui - ou un problème tout court. Une explication pour ces mystères existait bel et bien, et pourtant Mateo n'avait aucune idée de ce dont il voulait parler. Au risque de le vexer une nouvelle fois ou de passer pour un idiot, il se lançait. « De quoi je devrais me souvenir ? » Son expression trahissait le flou dans lequel il se trouvait, et la sincérité qu'il mettait dans son envie de comprendre ce qu'il se tramait.
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Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
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Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
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Il aurait dû rester à sa place, sagement posté auprès de sa famille à continuer de faire l’éloge de Cesar. C’était un exercice aisé parce que le succès de son cadet était réel : les acclamations étaient venues de toute part, des inconnus le félicitaient et le tableau était d’une beauté certaine. La soirée était la sienne, les Gutiérrez semblaient apaisés et enclins à mettre toutes les rancœurs de côté et tout se passait pour le mieux. Diego n’avait cependant pas réussi à chasser le malaise qui était en train de le gagner alors qu’il pouvait voir du coin de l'œil quelqu’un qu’il ne connaissait que trop bien s’agiter dans tous les sens. Il s’était dirigé vers Mateo, ses pas l’ayant guidé jusqu’à lui sans que son cerveau n’ait pu réussir à lui indiquer qu’il s’agissait d’une mauvaise idée. Ils se retrouvaient une seconde fois en un laps de temps bien trop court pour que les coïncidences ne soient que cela. Et, de la même façon qu’au mariage, Diego se sentait presque obligé de réduire la distance entre eux. Mais ses pensées n’étaient pas le reflet de son attitude parce qu’il détestait ce constat. « Ok... donc j'ai droit au Diego de mauvaise humeur au bout de seulement deux minutes ? » Ce n’était pas la réaction qu’il aurait pensé obtenir suite à ce qui avait tout l’air d’un aveu de son point de vue. Il avait été honnête, n’avait pas essayé de se trouver des excuses et il aurait apprécié que Mateo le réalise parce que cela avait été plutôt compliqué. Loin de lui l’idée d’ajouter de l’huile sur le feu, même si la remarque ne lui plaisait pas plus que cela, Diego avait choisi de l’écouter et de tenter de paraître un peu plus avenant - après tout, il était celui qui avait engagé la conversation. « Tu dis ça comme si tu me connaissais assez pour savoir quand je l’étais ou non. » Ce n’était pas une attaque, plutôt un doute qu’il laissait planer volontairement. Diego semblait pourtant avoir oublié qu’il n’existait aucune sorte de hiérarchie entre eux malgré cet avantage qu’il pensait détenir sur lui. Il savait. « J'ai pas vraiment le temps pour ça aujourd'hui. » Sa réponse l’avait pris de court mais elle était tout à fait légitime, ils se trouvaient sur son lieu de travail et la soirée était loin d’être terminée. C’était peut-être cette sensation de hâte et cet empressement qui avaient poussé Diego à poser la question qui n’aurait jamais dû franchir ses lèvres. « De quoi je devrais me souvenir ? » Déjà, il regrettait, et sa seule réaction avait été de planter ses yeux dans ceux de Mateo. De soutenir son regard et de le fixer comme il l’avait fait avant que celui-ci ne scelle entre eux quelque chose qu’il n’avait jamais été en mesure de comprendre. « De ça. De tout ça. » Sa mâchoire s’était serrée alors qu’il avait chuchoté sa réponse comme si elle était évidente. Mateo ne comprenait pas plus, mais Diego, lui, saisissait que tout cela n’avait aucune importance à ses yeux et la réalisation était difficile à accepter. « Laisse tomber, t’as pas le temps et tu ferais mieux de t’y remettre. Et moi je devrais être avec mon frère. » avait-il lancé en désignant Cesar d’un mouvement du menton, essayant de se concentrer à nouveau sur tout ce qui importait ce soir.
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Mateo Alvarez
le schtroumpf farceur
ÂGE : vingt six ans (18/02/1998) et pas encore peur de vieillir. SURNOM : certains de ses plus vieux amis l'appellent mat, comme quand ils étaient plus jeunes. "ce con d'alvarez" ça marche aussi. STATUT : sa priorité n'est clairement pas de trouver l'amour mais s'il pouvait comprendre ce qui est en train de se passer avec diego, ça l'arrangerait pas mal. MÉTIER : assistant conservateur à la qagoma (queensland art gallery and gallery of modern art) depuis la fin de ses études il y a presque deux ans, dans le bâtiment dédié à l'art moderne. LOGEMENT : il vit depuis septembre 2022 dans un appartement au n°29 hardgrave road, west end, dans une colocation dont il est le seul représentant de la gent masculine. POSTS : 2882 POINTS : 670
TW IN RP : consommation d'alcool, mort d'un proche, deuil, état dépressif. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne trouve aucun intérêt aux réseaux sociaux › joueur, il ne refuse jamais un défi surtout s'il croit pouvoir le gagner › n'a presque aucune nouvelle de sa mère depuis qu'il est parti pour faire ses études › son amie d'enfance, lucia, s'est suicidée suite à du harcèlement vécu après son coming-out. CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
maego › to tell the truth, i'm the fraud in the room and i know that, but you never will. i will be your shoulder to cry on, i will make you laugh if you need, i will play the part if you say so, but you'll never know what's broken inside of me.
Il n'aurait jamais osé l'admettre à voix haute, mais Mateo s'était toujours dit que l'univers finirait par mettre les bonnes personnes sur sa route. Celles qui lui donneraient les opportunités professionnelles dont il rêvait, celles qui feraient parti de sa vie à jamais. Il savait qu'il n'avait qu'à attendre le bon moment pour que les choses se réalisent comme elles le devaient, et le fait que leurs chemins à Diego et lui s'étaient croisés plusieurs fois en peu de temps prouvait, à ses yeux, que ce n'était pas sans raison. « Tu dis ça comme si tu me connaissais assez pour savoir quand je l’étais ou non. » C'était probablement présomptueux de sa part, mais bizarrement c'est la sensation que Mateo avait. Il ne prétendait pas tout connaître de Diego et de ses subtilités, ni de comprendre chacun des agissements qu'il avait eu en sa présence ; bien au contraire. Mais il aimait croire qu'il avait réussi à le cerner un peu malgré tout. Et ce qu'il avait décelé ici, c'était une pointe d'irritation, dont la raison lui échappait pourtant. Alors Mateo avait fini par tenter sa chance lorsqu'il avait senti qu'une porte s'était entre ouverte pour lui laisser toute latitude de comprendre cette fameuse raison. Pour seule réponse il n'eut droit qu'à un regard, profond, intense, intime. Un regard qui lui semblait familier et plein de sens, un regard dont il n'aurait su se détacher. « De ça. De tout ça. » Bien que cet instant suffisait à Mateo pour qu'il se confirme à lui même que Diego lui plaisait, il ne lui avait apporté aucune réponse concrète. « Laisse tomber, t’as pas le temps et tu ferais mieux de t’y remettre. Et moi je devrais être avec mon frère. » Si le mot frustration avait besoin d'une illustration, l'était actuel de Mateo aurait été parfait dans ce rôle. Diego avait un certain talent pour l'ambivalence et les mystères et cela avait une réelle propension à agacer Mateo. Il détestait le fait qu'il ne lui laisse qu'entrevoir qui il était et ce qu'il avait en tête sans pour autant se livrer complètement à lui. Sans qu'il ne sache pourquoi cela l'intriguait autant, l'assistant était bien décidé à satisfaire sa curiosité le concernant. « Non, arrête ça. » Il avait attrapé le poignet de Diego pour s'assurer qu'il ne déciderait pas de se dérober sous ses yeux sans qu'il ne puisse rien faire pour le retenir. Dans un monde idéal, Mateo aurait été celui qui aurait quitté cette conversation, un air nonchalant collé à son visage. Mais l'envie de résoudre l'énigme Diego et l'attirance qu'il pouvait ressentir pour lui étaient désormais plus forts que son besoin irrépressible de jouer au je-m'en-foutiste qui n'est jamais touché par rien. « Arrête de commencer à parler d'un truc pour faire comme si t'avais rien dit deux secondes après. » Ça sonnait à la fois comme un ordre et comme une supplication. Et alors qu'il venait de terminer sa phrase, il avait relâché le bras de Diego, reculant d'un pas en faisant mine de lisser son pantalon, au cas où quelqu'un les aurait aperçus. D'un regard rapide aux alentours il s'assurait que personne n'était en train de regarder dans leur direction, refusant de laisser à ses collègues et supérieurs la moindre excuse pour critiquer son comportement de ce soir. Et alors qu'il observait la salle, il avait posé ses yeux sur un visage qu'il connaissait - celui là même que Diego avait désigné quelques secondes auparavant. « Attends, attends, c'est ton frère ? Cesar ? » Il n'avait pas eu de mal à reconnaître le lauréat d'un des prix distribués ce soir, celui qu'il avait déjà croisé peu de temps avant ça au détour d'un atelier d'art aborigène. Juste à ses côtés il pu apercevoir une blonde, sa copine. Un visage qu'il était persuadé d'avoir déjà croisé mais qu'il n'arrivait absolument plus à resituer dans un contexte précis. C'est en reposant ses yeux sur Diego qu'il fit enfin le rapprochement. La soirée, le pari, le baiser, la conversation. L'impression qu'il avait eu pendant le mariage de connaître Diego, cette impression qui ne l'avait pas quittée mais dont il n'avait su trouver l'origine. C'était il y a des années, un vieux souvenir auquel il n'avait jamais repensé. « Et elle... c'est pas ton ex ? » Putain, le con.
when the goin' is getting tough, were all about giving up. things that we never thought we'd say gunna say em. games that we never thought we'd play gunna play em. it ain't perfect but its worth it.
make me feel this way so i can breathe again
Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Diego n’aurait pas dû être là parce que si pour Mateo tout cela aurait pu n’être qu’un échange entre deux connaissances qui se saluaient, pour lui, c’était bien plus. Il connaissait la vérité et il savait qu’il y avait un risque à aller entamer la discussion avec une personne qui avait un tel impact sur son humeur. Malgré tout, il n’avait pas pu se retenir, ne serait-ce que pour confronter un Mateo qui n’avait aucun tort à part celui d’accomplir les missions qu’impliquaient son travail. Diego se sentait idiot d’être venu le confronter alors qu’il n’avait rien à se reprocher, l’accusant d’être présent dans sa vie simplement parce que cela générait trop de frustrations pour lui. Il était irritable pour la simple et bonne raison qu’il n’avait aucune idée de comment gérer cette seconde apparition du garçon dans sa vie. « Non, arrête ça. » Il avait voulu se dérober, une nouvelle fois, après avoir semé un doute qui ne semblait plus être acceptable pour Mateo. Le regard du mexicain s’était baissé sur son propre poignet maintenant entouré par ses doigts et il avait finalement planté son regard dans le sien. Ce qu’il avait pu y voir avait ajouté à sa culpabilité, il semblait perdu. « Arrête de commencer à parler d'un truc pour faire comme si t'avais rien dit deux secondes après. » Ils s’étaient égarés assez longtemps probablement pour que les personnes autour prennent conscience du malaise entre eux mais Mateo s’était repris, libérant son bras et tentant de retrouver une posture convenable. Il avait lancé un rapide coup d’oeil vers sa famille pour s’assurer que tous étaient occupés à célébrer Cesar et qu’aucun d’entre eux ne remarquerait son absence. Qu’aucun ne remarquerait l’intensité de l’échange qu’il était en train d’avoir avec Mateo.
De nouveau face à face, Diego avait tout le loisir de prendre connaissance des différentes émotions qui parcouraient le visage de Mateo mais, malgré tout, il n’avait pas anticipé le premier étonnement de son interlocuteur. « Attends, attends, c'est ton frère ? Cesar ? » Il avait tourné vers lui un visage perplexe, bien peu convaincu que cela fasse avancer quoique ce soit.. « Euh, oui, pourquoi ? » Un étrange préssentiment était en train de s’emparer de lui et il détestait voir l’étau se refermer sur lui à ce point. Bien sûr, l’entendre citer son prénom n’avait rien d’illogique puisque le lauréat venait d’être récompensé mais quelque chose dans l’attitude de Mateo lui indiquait qu’il y avait quelque chose de plus à savoir. Cesar, sa famille mais aussi Emery étaient présents et c’était sur la blonde que leurs yeux s’étaient finalement arrêtés. « Et elle... c'est pas ton ex ? » Il avait simplement hoché la tête pour acquiescer puis il s’était figé. C’était bel et bien son ex et la raison de leur rupture personnifiée se tenait juste à côté de lui et Diego prenait enfin conscience du drame qui était en train de le menacer. « Faut pas qu’elle te voit enfin je veux dire faut pas qu’elle nous voit ensemble. » La panique était en train de le gagner parce que s’il pouvait balayer les interrogations de tout le clan Gutiérrez quant à cette attitude étrange qu’il avait avec l’assistant conversvateur, il n’aurait pas pu jouer le même jeu avec Emery. Elle était présente le fameux soir et il y avait fort à parier que le choc de ce qu’elle avait vu avait dû lui laisser un souvenir impérissable. « Dis-moi que t’as compris parce que c’est ni ici, ni maintenant que je peux te raconter quoi que ce soit. » C’était à son tour de le supplier du regard, il souhaitait plus que tout que Mateo lui indique qu’il avait compris et que Diego n’aurait pas à dire tout haut ce qu’il s’était passé des années auparavant. Surtout pas en présence de tous les siens.
always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
Je crois que je me suis jamais senti aussi bien de toute ma vie, et je pèse mes mots. Bien sûr j’ai de bons souvenirs, de très bonnes journées que je garde en mémoire mais aujourd’hui c’est comme un feu d’artifice. Je suis rempli d’énergie, euphorique et j’aimerais que cette soirée ne s’arrête jamais. J’ai enfin eu l’occasion de briller, de montrer de quoi j’étais capable à tout le monde et surtout à ma famille tout en rendant hommage à ma sœur, et ça, ça n’a pas de prix. Je serre des mains depuis un moment déjà, j’ai pu discuter avec tout un tas de personnes différentes qui avaient l’air très intéressées par ce que je fais et rien ne pourrait me faire davantage plaisir. J’ai abandonné un peu mes parents, mon frère, mes soeurs et Emery pour aller faire du relationnel comme je leur ai dit. Aucun ne m’en veut, ils comprennent bien que c’est aussi l’objectif de ce genre de soirée. A la différence de mecs qui viennent de familles d’artistes ou qui ont fait des études d’art moi j’ai pas leur carnet de contact ou leur réseau comme ils aiment l’appeler d’un air pompeux. Et je ne suis pas bête ou naïf, je sais bien que dans ce milieu comme dans la vie en général, le talent ne fait pas tout et sans connaître les bonnes personnes je n’y arriverais pas. Faire du relationnel donc c’est important pour la suite, parce que ça ne s’arrête pas juste à ce concours, ce serait trop simple sinon. J’ai passé le premier niveau du jeu et c’est tout, j’en suis bien conscient. Y a rien d’acquis, de figé dans le marbre et ce n’est pas parce que j’ai fait ma place que je vais pouvoir m’imposer sur la durée. Je passe donc de salle en salle, je discute avec des gens importants, d’autres lauréats et finalement je me retrouve dans un coin un peu moins bondé et au loin je reconnais Diego. En plissant un peu les yeux je reconnais Mateo qui discute avec lui et je décide d’aller les voir. Après tout, j’ai pas encore eu l’occasion de dire bonjour à Mateo et il faut bien que je passe un peu de temps avec Diego. Plus je m’approche d’eux et plus je me dis que c’est plutôt étrange de voir Diego discuter avec un des employés de la galerie, l’art ça n’a jamais trop été son truc, les relations sociales non plus. “Heey ! Salut !” Je lance avec enthousiasme à Mateo. “Comment tu vas ? Ca fait plaisir de te voir ce soir.” Je suis souriant, pour en pas dire radieux. L’ambiance est très étrange, pesante même et il y a comme un malaise. “...Je vous ai coupés dans votre discussion peut-être ?”
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Mateo Alvarez
le schtroumpf farceur
ÂGE : vingt six ans (18/02/1998) et pas encore peur de vieillir. SURNOM : certains de ses plus vieux amis l'appellent mat, comme quand ils étaient plus jeunes. "ce con d'alvarez" ça marche aussi. STATUT : sa priorité n'est clairement pas de trouver l'amour mais s'il pouvait comprendre ce qui est en train de se passer avec diego, ça l'arrangerait pas mal. MÉTIER : assistant conservateur à la qagoma (queensland art gallery and gallery of modern art) depuis la fin de ses études il y a presque deux ans, dans le bâtiment dédié à l'art moderne. LOGEMENT : il vit depuis septembre 2022 dans un appartement au n°29 hardgrave road, west end, dans une colocation dont il est le seul représentant de la gent masculine. POSTS : 2882 POINTS : 670
TW IN RP : consommation d'alcool, mort d'un proche, deuil, état dépressif. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne trouve aucun intérêt aux réseaux sociaux › joueur, il ne refuse jamais un défi surtout s'il croit pouvoir le gagner › n'a presque aucune nouvelle de sa mère depuis qu'il est parti pour faire ses études › son amie d'enfance, lucia, s'est suicidée suite à du harcèlement vécu après son coming-out. CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
maego › to tell the truth, i'm the fraud in the room and i know that, but you never will. i will be your shoulder to cry on, i will make you laugh if you need, i will play the part if you say so, but you'll never know what's broken inside of me.
Mateo avait beau passer souvent pour le méchant dans les histoires des gens, il n'aimait pas pour autant ce rôle. Il ne s'y était jamais réellement habitué. En fait, il était surtout du genre maladroit, et il regrettait que ce trait de caractère l'embourbe un peu trop souvent dans des complications. Mais il n'était pas idiot pour autant, et il venait de faire le rapprochement entre Diego et Cesar. « Euh, oui, pourquoi ? » « Rien, je savais pas. » S'il lui avouait maintenant qu'ils se connaissaient déjà, plus ou moins, il risquait de déclencher une crise de panique chez le médecin. « Faut pas qu’elle te voit enfin je veux dire faut pas qu’elle nous voit ensemble. » La réponse était donc oui : c'était bien son ex. Et oui, le souvenir qui venait de sauter à l'esprit de Mateo était bien réel et pas le fruit de son imagination. Le mariage n'était pas leur première rencontre, ils étaient même allés jusqu'à... s'embrasser. Et si Diego était ce soir là dans une passe difficile avec sa blonde, ils étaient encore officiellement ensemble, ce qui venait de propulser Mateo au rang de briseur de couple. « Euh, ok.. » Il comprenait bien la délicate situation dans laquelle se trouvait Diego, d'autant plus que si son ex était présente aujourd'hui, c'est qu'il y avait une raison. S'étaient-ils remis ensemble ? Si oui, pourquoi n'était elle pas sa +1 au mariage ? Il était dans le flou et le caractère officiel de cet évènement ne lui permettait pas de réagir comme il en aurait eu envie : en s'esclaffant devant le ridicule de la situation. « Dis-moi que t’as compris parce que c’est ni ici, ni maintenant que je peux te raconter quoi que ce soit. » Le sérieux de l'intention de Diego avait ramené Mateo les pieds sur terre, mais avant qu'il ne puisse confirmer, il aperçu Cesar qui s'approchait d'eux. « Panique pas, ton frère arrive. » Alors qu'il venait d'arriver à leur hauteur, Mateo le gratifia d'un sourire sincère. « Heey ! Salut ! » « Cesar ! » Il y avait peu de chances pour que Diego et Cesar soient frères. Peu de chances pour qu'il ait rencontré le benjamin au hasard à un atelier peu de temps avant ce jour. Encore moins de chances pour que ce dernier soit le lauréat d'un prix remis par le patron de Mateo, ce qui avait mêlé tout ce beau monde au même endroit. S'il prenait les choses plutôt bien et à la légère, il ne pouvait qu'imaginer le désarroi de Diego - quoi qu'il était inutile de chercher à l'imaginer au vu de la tête qu'il tirait. « Comment tu vas ? Ca fait plaisir de te voir ce soir. » Le plaisir était réciproque, même si les circonstances de leur échange n'étaient pas les meilleures. « Ça va et toi ? J'imagine que tu ne peux qu'aller bien, monsieur le lauréat. Encore félicitations. » Qu'il avait lancé en riant. « Désolé de pas être venu te saluer plus tôt, mon patron veut pas trop qu'on lui vole la vedette ce soir. » Un problème d'ego, comme en avaient beaucoup d'hommes de sa trempe, craignant que la nouvelle génération ne prenne leur place un peu trop rapidement. Une certaine gêne vint s'installer au sein du trio et Mateo craignait de voir Diego tourner de l'œil à cause du stress. « ...Je vous ai coupés dans votre discussion peut-être ? » Heureusement pour eux, Mateo était plutôt doué dans l'art de la nonchalance. « Non non du tout, je venais juste de réaliser que vous étiez frères en fait. » Ce qui n'était pas un mensonge en soit. « On s'est rencontrés au mariage de mon meilleur ami y'a pas très longtemps, avec Diego. Comme quoi le monde est petit. » Un peu trop, même.
when the goin' is getting tough, were all about giving up. things that we never thought we'd say gunna say em. games that we never thought we'd play gunna play em. it ain't perfect but its worth it.
make me feel this way so i can breathe again
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
Got me lookin' so dumb right now/ Something's gotta give, but I just don't get it upside down. I don't give a fuck 'cause I just don't get it. So wrong, murder of third degree, all gone, killin' the best of me
Cette soirée semblait irréelle et Emery avait du mal à se défaire du sourire qui étirait ses lèvres d’une oreille à l’autre. Elle avait tenté de ne pas paraître aussi niaise mais c’était plus fort qu’elle. Il n’y avait pas de mots pour exprimer combien elle était fière de Cesar, et combien elle était heureuse que tout le monde ici ce soir reconnaisse son talent. C’était le début d’une incroyable aventure qui s’offrait à lui, et pour rien au monde elle n’aurait voulu descendre du nuage sur lequel ils étaient tous. Accrochée au bras de l’artiste du moment, la blondinette avait du eu mal à se détacher de son petit-ami, trop concentrée à admirer son bonheur. Elle était surtout observatrice des interactions qui se multipliaient avec les convives, certains qui se présentaient comme des gens du milieu, d’autres qui n’étaient que des appréciateurs de son art. Les questions fusaient ; que ferait-il ensuite ? Allait-il ouvrir une galerie ? Participer à d’autres concours ? Quitter l’Australie ? Jamais Emery n’avait vu une telle confiance en soi chez le jeune Gutiérrez et rien que pour cette raison, elle était convaincue qu’absolument rien au monde ne pourrait venir troubler la perfection de cette soirée. A contre-cœur, elle avait toutefois fini par le laisser partir pour aller elle-même vaquer dans la galerie et discuter avec les quelques visages familiers qui étaient venus, ou même ceux qu’elle ne connaissait pas. Il fallait croire que l’art inspirait les discussions, car elle s’était retrouvée avec une totale inconnue dans un grand débat sur ce que l’un des tableaux gagnants pouvait bien représenter. Elles s’amusaient bien à partir dans des réponses absurdes, mais finalement, Emery s’était excusée pour chercher Cesar du regard. Elle le vit aux côtés de Diego, ce qui était idéal vu la situation, et marcha jusqu’à eux. « Euhm, je veux pas vous déranger, mais vos parents viennent de se mettre à parler. On doit évacuer la galerie ? » Elle avait le ton rieur, même si son inquiétude partait d’une bonne intention. Elle ne voulait pas que cette soirée soit gâchée et vu le potentiel des Gutiérrez à exploser, elle préférait se préparer à toutes les éventualités. Ironiquement, il fallut prononcer cette question pour réaliser que l’élément perturbateur de la soirée était juste devant ses yeux, et que l’esclandre ne dépendrait pas d’elle. Son sourire disparut instantanément, et ce pour la première fois de la soirée. Elle le reconnut tout de suite, ce type dont elle ne connaissait pas le prénom mais qui avait eu un tel impact dans sa vie quelques années plus tôt. Il était là, Diego à ses côtés. Ses prunelles claires glissèrent sur son ex petit-ami. Il avait cet air coupable, comme s’il savait qu’il venait d’être pris la main dans le sac. Cette expression acheva de faire naître cette sourde sensation de colère dans sa poitrine. Il avait osé, alors. Après toutes ces promesses que ce baiser ne signifiait rien, que le gars n’était personne. Em avait accepté la rupture depuis l’instant même où elle les avait vus dans ce bar, mais jamais elle n’aurait cru qu’elle pourrait être trahie une nouvelle fois, autant de temps après. Elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas faire de commotion, trop consciente de la présence de Cesar à leur côté. Elle ne voulait pas reproduire la scène du vernissage. Mais la seule vision des deux hommes la rendait physiquement malade. « Et ensuite tu oses prétendre que ta parole a la moindre valeur. Tu es vraiment un… » Elle se mordit l’intérieur de la joue plutôt que de continuer, sentant que si elle commençait à exprimer ce qu’elle pensait, elle ne pourrait pas s’arrêter. Alors elle fit un pas en arrière, se retira de cette situation. « J’ai besoin de prendre l’air. » souffla-t-elle à voix basse à Cesar avant de juste partir, trop heureuse de pouvoir se glisser dans la foule.
○○○○
On ne pourrait pas lui enlever sa volonté de faire des efforts car après une vingtaine de minutes dehors, Emery avait fini par revenir dans la galerie, se planter devant les œuvres exposées au total opposé d’où elle avait vu Diego et son copain. Elle avait retrouvé son sourire, s’était aidé de deux coupes de champagne supplémentaires pour prétendre que rien ne s’était passé. Elle avait offert cette parfaite comédie à Cesar quand il avait fini par la retrouver. Elle avait tenté d’éviter les questions, d’assurer que tout allait bien. Il était hors de question qu’elle ruine cette soirée, alors sa seule explication pour cette scène fut une explication condensée doublée d’un ton sec. « C’est à cause de ce type qu’on s’est séparé et je n’ai pas envie de voir sa tête quand ton frère m’a assuré que ça ne signifiait rien. Maintenant, je veux plus en parler. » Elle avait déposé un baiser sur les lèvres de son petit-ami et à nouveau, elle avait réorienté la discussion sur l’art. Tout sauf ressasser le fait que Diego l’avait bien prise pour une conne.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
« Cesar ! » Je souris à Mateo, franchement content de le voir dans le coin. « Ça va et toi ? J'imagine que tu ne peux qu'aller bien, monsieur le lauréat. Encore félicitations. » J’ai un petit rire quand il insiste sur le “monsieur”. C’est un mec vraiment sympa et il a raison, je vais plus que bien. “Merci très cher” Je plaisante avec lui aussi. « Désolé de pas être venu te saluer plus tôt, mon patron veut pas trop qu'on lui vole la vedette ce soir. » Je hoche la tête, ce n’est pas surprenant effectivement. “Non mais t’en fais pas, y a pas de soucis” Je tiens à le rassurer, je suis de trop bonne humeur pour me vexer pour si peu ce soir. J’ai décidé que c’était ma soirée et que tout me coulerait dessus pour une fois, je veux profiter de la soirée et puis c’est tout. « Non non du tout, je venais juste de réaliser que vous étiez frères en fait. » Ah oui, j’en avais presque oublié la présence de Diego. Présence que je n’explique pas vraiment, depuis quand il fait du relationnel lui aussi ? « On s'est rencontrés au mariage de mon meilleur ami y'a pas très longtemps, avec Diego. Comme quoi le monde est petit. » Tout s’explique et effectivement c’est énorme une coïncidence comme ça. Je ris avant de lui répondre. “Ah mais c’est génial ça ! Ca fait trop plaisir ça !” Ma réponse provoque un malaise encore plus grand dans la conversation. L’ambiance est plus que bizarre, Diego fait une tête d’enterrement, il est tout pâle et Mateo a l’air mal à l’aise. J’ai dit quelque chose de mal peut-être ? Ou peut-qu’ils ne sont amis ? A tous les coups ils se sont rencontrés à ce mariage et ils peuvent pas se supporter. Je n’ai pas le temps de dire quelque chose d’autre puisque c’est une voix que je connais bien qui se fait entendre. « Euhm, je veux pas vous déranger, mais vos parents viennent de se mettre à parler. On doit évacuer la galerie ? » Au moment où j’allais lui expliquer la situation, lui présenter Mateo comme un de nos amis en commun avec Diego même si a priori il n’y avait rien pour nous lier. Mais le sourire d’Em disparaît très vite et je la sens se tendre brusquement. « Et ensuite tu oses prétendre que ta parole a la moindre valeur. Tu es vraiment un… » Mais qu’est-ce qui lui arrive ? Je comprends rien à ce qui se passe, pourquoi elle pète un plomb contre Diego maintenant ? « J’ai besoin de prendre l’air. » Elle s’en va et je me retourne pour l’appeler. “Em ? EM ! Mais tu vas où ??” Je suis complètement perdu, mais qu’est-ce qu’elle a ? Je soupire et je secoue la tête avant de dire à Mateo et Diego d’un air agacé : “Bon vous m’excusez mais faut que j’y aille, je sais pas ce qu’elle a.” Et je les plante là avant d’appeler encore Em à travers la foule “Mais attends moi !” Mais je la perds des yeux et au même moment un homme en costume m’arrête pour discuter avec moi, fait chier.
***
Je retrouve Em quelques dizaines de minutes plus tard et je ne la lâche pas, je lui pose des questions, j’essaie de comprendre ce qu’il se passe, pourquoi elle change de comportement comme ça aussi subitement. Elle essaie de noyer le poisson. “Bon arrête de me prendre pour un con et de me faire croire que t’étais énervée pour rien, c’était quoi le problème ?” Je fronce les sourcils, j’ai l’impression qu’elle me cache quelque chose et ça m’agace profondément. « C’est à cause de ce type qu’on s’est séparé et je n’ai pas envie de voir sa tête quand ton frère m’a assuré que ça ne signifiait rien. Maintenant, je veux plus en parler. » Je fronce encore plus les sourcils, ça n’a aucun sens, je comprends rien à ce qui est en train de se passer. Comment est-ce que Mateo peut être à l’origine de la rupture d’Em avec Diego qui a eut lieu il y a plusieurs années alors que lui et Diego se sont rencontrés il y a quelques semaines à peine ? Et surtout pourquoi Mateo aurait fait un truc pareil ? Et comment ça “ça ne signifiait rien” ? J’en ai aucune idée, Em ne m’a jamais vraiment expliqué pourquoi ils avaient répondu. En tout cas une chose est sûre : je n’ai absolument pas la patience et la disponibilité pour des embrouilles ce soir. J’avais décidé que c’était une belle soirée, contrairement au vernissage qui avait été catastrophique. Alors je prends la décision de couper court à cette conversation pour ne pas finir la soirée dans un nouveau mélodrame incompréhensible. Elle m’embrasse pour noyer le poisson mais je ne lâche pas le morcea. “Bon je comprends rien à ce que tu m’expliques et j’ai vraiment pas le temps pour ça là. Tu m’expliqueras plus tard, en attendant essaie de rester loin d’eux et puis c’est tout. J’ai déjà l’angoisse que mes parents s’engueulent en plein milieu de la galerie alors j’ai pas envie d’avoir de nouveaux problèmes ce soir, et surtout pas avec un mec qui bosse pour le jury du concours ok?” Et on en reste là pour la soirée, à la place je retourne au milieu de la foule et j’attrape un verre pour essayer d’oublier les tensions que j’ai ressenties.
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Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Il ne croyait pas au destin, Diego, mais ces deux rencontres consécutives étaient difficiles à associer au hasard. Pourtant, il tâchait de ne pas y accorder trop d’importance, se concentrant plutôt sur la façon dont il s’exprimait à un Mateo qui ne méritait probablement pas de recevoir toute sa frustration au visage. Il avait tenté de rester calme même lorsqu’une énième coïncidence avait semblé apparaître dans l’équation pour la rendre encore plus compliquée. « Rien, je savais pas. » Le sourcil de Diego s’était arqué sans qu’il ne vienne pour autant ajouter quoique ce soit, s’il avait l’impression qu’il taisait une partie de son propos, il ne le connaissait pas assez pour se permettre d’en déduire quoique ce soit. Pas aujourd’hui, pas après l’avoir déjà fait trop de fois. Le visage d’Emery avait visiblement eu l’effet que Diego aurait voulu avoir sur lui depuis le début, mais il n’avait pas le temps pour les reproches. Il devait d’abord s’assurer que Mateo comprenait qu’elle ne devait pas les voir ensemble. « Euh, ok.. » Le voir étonné de cette demande laissait Diego penser qu’il n’avait finalement peut-être pas encore mis en lumière toutes les zones d’ombre qui existaient entre eux alors il avait posé la question. Il savait que l’endroit était mal choisi mais se sentait pourtant à l’abri là où ils avaient décidé de démarrer leur discussion et la piqûre de rappel n’avait pas tardé à arriver et elle prenait la forme de Cesar qui se dirigeait droit sur eux. « Panique pas, ton frère arrive. » Un sentiment qui n’avait pas eu le temps de s’installer complètement chez lui l’avait pris de court, il ressentait une profonde gratitude envers Mateo pour ces simples mots qu’il avait prononcé. « Heey ! Salut ! » « Cesar ! » Plutôt que de parler, Diego était resté là, les bras le long du corps et s’était contenté de ravaler sa salive. Il savait qu’il devait absolument se reprendre pour ne pas éveiller les soupçons de son petit frère, mais il était incapable de faire quoique ce soit d’autre. « Comment tu vas ? Ca fait plaisir de te voir ce soir. » Et malgré la position délicate dans laquelle il se trouvait, son regard passait de celui de Cesar à celui de Mateo et il avait compris qu’ils se connaissaient. « Ça va et toi ? J'imagine que tu ne peux qu'aller bien, monsieur le lauréat. Encore félicitations. » Ses yeux s’étaient finalement posés définitivement sur lui alors qu’il constatait l’aisance relationnelle du garçon, en totale opposition avec lui. “Merci très cher” Cesar était à l’aise avec lui, bien trop à l’aise, et l’évidence se vérifiait de plus en plus. « Désolé de pas être venu te saluer plus tôt, mon patron veut pas trop qu'on lui vole la vedette ce soir. » “Non mais t’en fais pas, y a pas de soucis” Il aurait pu s’échapper discrètement et les laisser discuter en leur accordant un simple sourire, Diego aurait eu des dizaines d’option bien plus simples pour désamorcer la situation que celle de rester là, les sourcils froncés alors qu’il bouillait intérieurement.
« ...Je vous ai coupés dans votre discussion peut-être ? » L’attention s’était de nouveau portée sur lui et il avait machinalement tourné le visage vers Mateo. « Non non du tout, je venais juste de réaliser que vous étiez frères en fait. » Alors que son malaise était palpable, un sourire s’était pourtant dessiné sur le visage de Diego sans qu’il ne sache à quoi il le devait. S’il s’agissait d’un réflexe nerveux, d’un mécanisme de défense ou simplement sa réaction face à l’aisance de Mateo qui était en train de lui sauver la mise. « On s'est rencontrés au mariage de mon meilleur ami y'a pas très longtemps, avec Diego. Comme quoi le monde est petit. » “Ah mais c’est génial ça ! Ca fait trop plaisir ça !” Il avait levé les yeux au ciel, discrètement, parce que Cesar avait toutes les raisons du monde d’être enthousiaste pour tout et n’importe quoi, lui qui venait de vivre l’un des meilleurs moments de sa vie. « Euhm, je veux pas vous déranger, mais vos parents viennent de se mettre à parler. On doit évacuer la galerie ? » Ses parents étaient le cadet de ses soucis à ce moment précis et tous les drames familiaux semblaient loin, très loin, de celui qui était en train de se jouer à ce moment précis et pour cause : il en était le protagoniste. « Et ensuite tu oses prétendre que ta parole a la moindre valeur. Tu es vraiment un… » Le ton d’Emery avait changé à la seconde où elle avait réalisé la troisième personne qui composait le trio qu’elle avait rejoint et Diego était maintenant seul, Mateo incapable de rattraper une situation qu’il ne comprenait pas. « J’ai besoin de prendre l’air. » avait-elle dit avant de s’échapper, Cesar à sa suite. “Em ? EM ! Mais tu vas où ??” Figé, Diego imaginait déjà tous les scénarios possibles qui suivraient cette altercation. “Bon vous m’excusez mais faut que j’y aille, je sais pas ce qu’elle a.” Le silence avait regagné la pièce et il pouvait sentir Mateo le regard baissé, plus perdu qu’il ne l’avait probablement jamais été. « Wow. Je… merci. » avait-il commencé, incapable de prononcer une phrase entière. Ses yeux s’étaient relevés vers lui avec un air désolé et contrarié. Posant ses mains sur son visage, Diego avait pris une grande inspiration. « Je suis désolé pour tout ça, je t’expliquerai tout, en détails mais pas là, je peux pas gâcher son moment. » Et il espérait qu’Emery en ferait de même. Même s'il voulait fuir, quelque chose l'en empêchait, probablement l'idée de laisser Mateo en plan après qu'il l'ait aidé et qu'il ait eu l'opportunité de se souvenir. « Je sais pas quoi te dire de plus à part que contrairement à toi, Emery et moi on se souvient très bien de ce soir là. » Il avait cessé de le regarder à l’évocation de ce souvenir qui était loin d’être quelque chose de positif pour Emery, il n’avait pas besoin de le dire pour que Mateo le réalise. Pour lui, en revanche, cela restait encore à voir.
always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove