Val' - le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder

Valentina De Luca

Le meilleur moyen de résister à la tentation, c’est d’y céder

Pièce d'identité

NOM ≈ De Luca, son nom d’épouse qu’elle a refusé d’abandonner lors du divorce – elle dira que c’est pour le boulot mais n’a même pas demandé son avis à Ugo - , Aguilar, son nom de jeune fille, un nom d’origine cubaine PRÉNOM(S) ≈ Valentina, Espéranza. ÂGE ≈ 46 ans, née le 5 mars 1977. LIEU DE NAISSANCE ≈ La Havane (Cuba). STATUT SOCIAL ≈ Divorcée d’Ugo depuis 2023, ils sont les parents de deux beaux adolescents de 15 et 12 ans, Roberto et Maya. MÉTIER ≈ Responsable des relations publiques de la filière Australie de LVMH, c’est le visage que vous voyez lors des conférences de presse. ORIENTATION SEXUELLE ≈ hétérosexuelle. GROUPE ≈ 40 ans mode d’emploi. AVATAR CHOISI ≈ Eva Mendes la queen. CREDITS GIFS ≈ our---graphics & piperrgifs

Les informations en vrac

Née à la Havane mais n’y a vécu qu’une seule année ≈ père diplomate et mère au foyer ≈ une sœur née un an après elle, et un frère né encore une année plus tard, dans sa fratrie c’est elle la voix de la raison ≈ très jeune son père lui a appris le pouvoir des paroles ≈ maîtresse d’elle-même, elle s’énerve rarement ≈ elle a un regard très expressif ≈ c’est une mère poule avec ses deux enfants ≈ elle est très fière lorsqu’on lui dit que sa fille Maya est son portrait craché ≈ carriériste, elle sait ce qu’elle veut et fait tout pour l’obtenir ≈ indépendante ≈ sa famille et ses enfants sont sa plus grande fierté ≈ intransigeante lorsqu’elle décide de quelque chose, elle s’y tient et n’y déroge pas. Tant qu’elle n’est pas parvenue à son but, elle ne lâche pas l’affaire, une vrai tête de mule ≈ Elle ne regrette jamais ses choix parce qu’elle y aura réfléchi beaucoup avant ≈ elle n’aurait jamais pensé atterrir dans la catégorie adultère, pour elle le mariage c’est du sérieux et c’est sacré ≈ Ugo c’était son mari mais aussi son amant, son partenaire de vie, le père de ses enfants, son meilleur ami, celui avec lequel elle pouvait baisser la garde, mais ces dernières années, il n’a été qu’un colocataire et un père, et ça l’a beaucoup fait souffrir. Elle souffrait de ne plus exister à ses yeux, de ne plus paraître désirable, de ne plus être sa femme ≈ elle a eu une aventure extra-conjugale qui a duré de longs mois avec un collègue de travail de plus de 10 ans son cadet qui lui faisait du rentre-dedans depuis beaucoup trop longtemps pour ne pas finir par céder. Elle a pourtant essayé Val’, mais elle se sentait vivante, désirable, sexy aux yeux de ce jeune homme et la frustration n’était que plus présente lorsqu’elle rentrait à la maison et qu’Ugo la regardait à peine. Avant il la regardait comme si elle était la femme la plus belle du monde mais à la fin de leur mariage, elle se sentait laide et c’est à peine s’il l’embrassait … et s’ils dormaient ensemble !! ≈ excellente danseuse de salsa et de batchata ≈ amatrice de vin et de Margarita ≈ un vrai requin dans son travail, elle sait remettre à leur place les journalistes avec une classe et une élégance sans pareille ≈ #teampetite elle mesure 1,64 m ≈ diplômée en communication et journalisme ≈ elle a toujours appelé Ugo Mi Amor, et elle lui disait souvent Me vuelves loco (tu me rends dingue), aujourd'hui il ne reste presque plus rien de cette complicité. ≈ elle colore ses cheveux depuis des années ≈ elle ne sort jamais sans avoir fait son brushing, elle est très coquette et elle aime prendre soin d’elle. Toujours tirée à 4 épingles, elle déteste être chiffonée, l’apparence avant tout ≈ Valentina n’a jamais cessé d’aimer son mari, même quand elle le trompait. Ce qu’elle voulait, c’était se sentir désirable aux yeux d’un homme – de son mari de préférence – mais il ne la regardait plus. Elle aurait aimé qu’il se batte pour leur couple et quand elle s’est rendue compte qu’il ne le ferait pas, elle a arrêté de s’en vouloir ≈ Val’ regarde en cachette des soap-opéra sur netflix en espagnol et en italien, c’est un secret !

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle Laura/Brisounours, mais appelez-moi Laura. J'ai 32 ans (pour encore quelques mois), et je viens de Occitanie. J'ai découvert 30YSY grâce à mon compte principal * sbaf*, et j'ai cédé à m'inscrire parce que je suis faible et surtout je pense qu’Ugo mérite d’avoir une Valentina pour lui faire la misère Val' - le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder 4222248358

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. Pour me faire ma place, j'ai pas besoin d'un parrain ou d'une marraine. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) 3fois/Semaine. Mon personnage est un scénario de @ugo de luca . Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et Du loooove cœur cœur coeur.

Pour recenser votre avatar

Code:: <pris>eva mendes ≈</pris> @"valentina de luca"

à remplir si vous refusez le doublon de prénom

Code:: <pris>VALENTINA</pris>

Il était une fois, mon histoire

Je te donne mes notes, je te donne mes mots
Quand ta voix les emporte à ton propre tempo …

« Signez ici Mme De Luca . » L’avocat me tendit un stylo hors de prix. Je sentais la présence d’Ugo, mon futur ex-époux dans mon dos. Je ne le montrais pas mais je voyais ce divorce comme un échec. Jamais je n’aurais pensé que je passerais par la case divorce. Le mariage c’était quelque chose que je prenais très au sérieux malgré ce que mes agissements puissent le laisser penser. Surtout qu’avec Ugo, ça avait été un véritable coup de foudre, un tsunami dans nos vies respectives. J’étais toute jeune diplômée en relations publiques et je cherchais du travail à Brisbane. J’avais réussi à prendre mon envol lorsque mes parents m’avaient annoncé qu’ils déménageaient à Canberra pour le travail de mon père, diplomate à l’ambassade de Cuba. Je me retrouvais donc sans famille dans cette grande ville. Bien décidée à rester dans cette belle ville, j’avais mis toutes mes forces à trouver un travail qui me plairait. Les relations publiques, c’était ma vocation. Sans me vanter, j’avais le physique pour, je parlais bien, sans le moindre accent et il paraît que dès mes débuts, j’avais déjà la langue acérée et que je savais remettre à sa place n’importe qui … en particulier la gente masculine. Pour l’instant, je n’étais qu’assistante d’assistante chez LVMH. Et puis cette soirée qui avait tout changé. Une rencontre banale dans un bar cubain où j’avais l’habitude de me rendre avec mes amies de la fac. Je croisais son regard et je peux dire que j’ai eu un coup de foudre pour lui. Mon monde s’était littéralement arrêté de tourner. Il s’était avancé et m’avait invité à danser. Je n’ai pas peur d’affirmer que la connexion se fit immédiatement. C’était comme si nos corps étaient fait pour fusionner, pour s’accorder, pour ne plus se quitter. Ce n’était pas que physique – même si, honnêtement, ça nous prenait 90% de notre temps ensemble – c’était une relation passionnée et on se comprenait. Vraiment. Il avait ce désir de devenir quelqu’un. Quelqu’un d’important et il respectait – il encourageait – mon désir de devenir quelqu’un moi aussi. Pas seulement, la femme de, l’assistante de …, non je voulais me faire un nom et qu’on sache qui j’étais. Ma carrière c’était le plus important dans ma vie. Ugo était devenu tout aussi important au fil des mois et c’est comme ça que le 17 mai 2008 nous nous sommes mariés. Une décision folle quand on sait qu’on ne se fréquentait que depuis 3 mois. J’étais persuadée que c’était l’homme de ma vie. Que j’avais trouvé le bon : mon meilleur ami, mon mari, mon amant, tout ça en une seule et même personne. Je tombe rapidement enceinte de notre premier enfant, Roberto, mais ça ne m’empêche pas de mener de front ma carrière en parallèle parce qu’avec mon mari, nous étions une équipe. Les décisions, on les prenait ensemble que ce soit pour notre couple ou notre famille. On gérait tellement bien que 3 ans plus tard, je tombais enceinte une deuxième fois. Et cette fois-ci d’une fille, Maya, Mi Vida. Le tableau était parfait. Ugo continuait son ascension professionnelle et j’étais très fière de l’homme qu’il devenait, de la famille qu’on formait. C’était ma plus grande fierté. Et moi, de mon côté j’atteignais enfin le poste tant convoité : responsable des relations publiques pour la branche Australie de LVMH. J’étais celle qui gérait les imprévus et les bavures des dirigeants. J’étais le visage de la marque. J’aimais ce rôle. Un rôle de composition selon moi.

Et puis la routine qui s’était installée, insidieuse, comme un poison. La complicité qui semblait s’étioler lentement mais inexorablement. Ugo était le père de mes enfants. Juste un père. Plus de tendresse, plus d’amour … Je ne dis pas que je voulais des déclarations d’amour quotidiennes mais un peu de tendresse, des regards, des gestes …Et puis, après la complicité, c’était l’intimité qui disparaissait peu à peu. Oubliés la sensualité, la sexualité… nous étions devenus des colocataires. Nous dormions ensemble mais il ne me touchait plus. Il n’embrassait plus tendrement ma nuque pour me réveiller, il ne me prenait plus dans ses bras ou ne saisissait plus mes hanches avec autorité pour m’embrasser. J’étais frustrée et malheureuse parce que je devenais invisible aux yeux de mon époux. Mais il y avait un autre homme qui, lui, me regardait. Il me regardait vraiment. Je voyais dans ses yeux qu’il me désirait et si, dans un premier temps, je me refusais de craquer, il y eut un énième jour où je n’avais pas de nouvelles de mon mari – pas même un texto, rien – et j’avais à répondre aux perches tendues par cet homme. De 10 ans mon cadet. Un jeu de séduction s’instaura entre nous, je jouais toujours plus près du feu … jusqu’à ce que je me brûle les doigts. Je crois que, durant ces longs mois, j’espérais qu’Ugo s’aperçoive de quelque chose, qu’il voit que je changeais, que je m’éloignais, que je ne tente plus d’approches envers lui. Mais ça ne changeait rien. Il ne voyait rien et ça ne faisait qu’attiser ma colère et ma frustration. Je finis par céder à cet homme et notre liaison dura de longs mois avant que je n’avoue la vérité à mon mari, lassée de jouer double jeu. Lassée qu’il ne voit rien. Il fallait que je divorce, que je me libère de ce mariage qui partait en lambeaux.

I can buy myself flowers

Write my name in the sand, Talk to myself for hours, Say things you don't understand. I can take myself dancing and I can hold my own hand ( ☽☽ )

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Mais que j'ai hâte ! hâte de hâte de hâte de hâte !
Je valide tout, encore tout, toujours tout.
viiiiiiiiiens.

Re bienvenue chez toi Val' - le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder 3922047296

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l'ex mariiiiii :fuhu:

Tellement hâte de jouer ça moi aussi Val' - le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder 674657830

merciiii swann Val' - le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder 2598156303

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Rebienvenue à la maison Val' - le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder 1949770018

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(re) bienvenue chez toi Val' - le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder 3922047296

merci les loulous <3

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rebienvenue par ici Val' - le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder 206649278

Bienvenue de nouveau ici :l:

i'm stronger now

Pretending now that we don't care but tension cuts, cuts the air we're more than scared so lost inside our eyes. We're terrified. Letting my fears show 'til I can face 'em. Letting my tears go 'til I can taste them hell, what do I know where you and I go? Damn it, I hope you come back home..

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Merciii vous deux Val' - le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder 674657830

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Rebienvenue à toi ! Amuses toi bien avec ce nouveau personnage ! Val' - le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder 662981832

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re bienv'nue à toi ^^

you and i — i have galaxies hidden between my bones and i will love you until the stars burn out

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(Re) Bienvenue chez toi. Val' - le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder 2523491165

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rebienvenue à la maison avec ce joli craquage Val' - le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder 3290930861

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