ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 214 POINTS : 360
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
She leads me through moonlight Only to burn me with the sun
Pièce d'identité
NOM ≈ à l'usage d'une épopée, syllabes au goût de voyage et d'adultère, au gré des vagues, des toiles de paysages épars, consonance épistolaire; (Lescaut), usurpatrice du conte profane, héroïne vénale en quête de son benêt chevalier. PRÉNOM(S) ≈ fragrance (dés)illusion, pique la curiosité, suinte le mensonge; l'identité n'est qu'un rôle, un masque de lettres sur son visage de poupée, porcelaine interchangeable à volonté. (Sibyl) persifle chez le psy', (Esmé') louange la bonne aventure au cabaret, (Freyja) se fait muse lascive contre une liasse de billets; elle jongle d'une vie à une autre, déforme les (mé)faits à son aise, outrepasse la bienséance et ne rappelle qu'à peine les niais, victimes de son indécence. (Danaë), la plus usitée, de naissance ou d'emprunt, quelle différence ? ÂGE ≈ tourne les avents en ridicule, jeunesse intemporelle à l'épreuve des expériences sempiternelles. (Vingt), a-t-elle affirmé lorsqu'elle en avait treize, (vingt-quatre) à vingt ans pour faire valoir son récit controuvé; décomptent (vingt-cinq) à présent, les escroqueries attendent les ridules pour promouvoir l'aube de la trentaine. LIEU DE NAISSANCE ≈ fille d'ailleurs, jouvencelle bohémienne venue d'une Atlantide dont elle conserve le secret, évoque les neiges chimériques de destinations fantasmées. Il est cinq heures, (Paris) s'éveille, chantonne-t-elle de bon gré, cultivant le romantisme de ses racines françaises; puis, à un autre, vend le folklore insulaire des châteaux hantés, du leprechaun dont elle aurait volé le chaudron. Simplement (Brisbane), parfois, pour la complaisance banale d'une vie chiante dénuée de toute mobilité; (San Francisco) en money time, golden girl érigée par la culture élitiste de Stanford, ou (Tijuana) pour s'donner un air de caillera et tirer les cordes sensibles d'une enfance misérable. Puis, existe un lac où flotta jadis son panier d'osier, une cigogne l'ayant portée pour exaucer le vœu maternel; l'(île de Reichenau), le berceau de son mythe. - Je suis une légende, apostrophe-t-elle. STATUT SOCIAL ≈ au venin de sa déraison, le sérum du (célibat). Au corps volage, l'épitaphe du cœur supplicié. Au regard de son train d'vie, place l'affect sur l'échafaud. Incapable d'être plus qu'un corps, incompatible avec la grâce de l'émotion, suit encore aveuglément les préceptes de sa mentor; une putain d'ironie qui lui tord le gosier, la fait jurer qu'elle aime papillonner, lui donne une bonne raison d'pas faire de choix, de compromis, les idylles sont futiles et faudrait pas ternir sa réputation: garce, amante, maîtresse briseuse de ménages, pétasse fiancée les 29 février, une vraie fantasmagorie. MÉTIER ≈ sur l'autel de leurs désirs, s'incarne-t-elle fruit du péché. Ils se consument, elle les consomme; dignité fourvoyée en basse besogne, ex-(dealeuse-escort) stipendiée par sa propre vanité. Dame du vice, perfide sylphide à l'oreille baladeuse, sous couvert de l'innocence dont elle se fait l'égérie, glane secrets et confidences, desseins et complots indiscrets, pour les mieux murmurer au songe de sa Madone - (hôtesse de l'Octopus). Joyeuseté excessive, conjugue (mal) ses folies nocturnes aux exigences estudiantines; histoire de l'art et archéologie, mineure en psycho', s'accroche à l'espoir d'faire plus tout en ayant la sensation d'couler. ORIENTATION SEXUELLE ≈
Mom: tu sais chérie, j'ai vu c'reportage l'autre jour, ils parlaient d'une maladie, la nymphomanie..
D': oui, et ?
Mom: tu t'sens pas malade, parfois ?
Poétique ou sauvage, rugueux et gracile, l'horizon de ses plaisirs prend chair sans restriction - (bisexuelle).
GROUPE ≈Au secours j'ai 30 ans. AVATAR CHOISI ≈Kaia Gerber CREDITS GIFS ≈fuckyougifs
Les informations en vrac
fume (presque) comme un pompier, les clopes et les tiges parfumées (non, pas de l'encens) - raconte toujours avoir fait plusieurs comas éthyliques, le plus mémorable à l'adolescence lorsque, endormie dans un buisson, elle s'est réveillée deux jours après - s'éprend généralement de personnes plus vieilles; le cercle des 34-40 ans reste son favori parce que "ils ne s'attachent pas en deux minutes", comme elle le dit si bien - le sexe est, pour Danaë, une tare autant qu'un besoin viscéral - c'est une joueuse-aguicheuse qui aime plaire autant que la spirale de séduction en elle-même; ceci étant, il est rare qu'on puisse l'approcher physiquement - n'embrasse jamais, à moins d'avoir deux verres dans le nez - même sa moitié, lorsqu'elle a le mérite d'exister, ne peut se vanter de réussir à obtenir de l'affection tangible; Danaë n'est pas câline, à moins d'être intime - elle porte parfois un septum, lorsque l'envie lui en dit - l'hiver, sa garde-robe est plutôt noire, avec des jeans et des vestes en cuir; l'été, robes et jupes sont à l'honneur, ses cheveux se drapent éventuellement d'un bandeau - elle se plaint régulièrement de ses doc martens "trop lourdes", mais ne s'en sépare jamais - elle pleure le matin, lorsque ses cours commencent à huit heures, "j'suis pas du matin, fiche moi la paix et fais du café !", qu'elle grogne si t'as l'malheur d'être dans le coin - elle fait environ la moitié de ses cours avec l'esprit si high qu'elle sourit bêtement et pianote sur son clavier comme un robot - a fait le souhait de se taper un ou une prof', juste pour le cliché - elle tient un agenda, bourré de ratures et de couleurs stabilo, qu'elle trimballe dans son sac à main; ça fait d'autant plus pester les gens, quand elle oublie les rendez-vous - sept fois sur dix, elle décommande ses plans le jour même; quand on la connait, faut toujours envoyer un message de confirmation, pour être certain de pas prendre un vent - elle ne croit à l'amour que dans la mesure où elle termine comme son anti-héroïne: mourir à l'aube, sous un arbre, dans les bras d'un chevalier qui l'aurait suivie jusqu'en enfer, elle qui ne savait pas l'aimer - c'est une excellente rédactrice, mais son talent est gâché par ses travers - elle parle couramment anglais, français, espagnol et allemand; "papa me parlait en allemand, je répondais en espagnol", qu'elle explique en haussant les épaules - grâce à l'université "et aux voyages", elle comprend des bribes d'arabe, de russe, puis des langues mortes, grec ancien et écriture hiéroglyphique - elle fait généralement semblant de ne maîtriser que l'anglais, pour suivre les conversations sans être remarquée - elle possède un attrait pour le monde funéraire antique, et exècre les représentations hypersexualisées de Cléopâtre - elle aime lire, mais ne s'en donne guère l'opportunité - "j'ai pas l'temps" est son refrain préféré - elle se moque des buveurs de cidre, et des "p'tits joueurs qui tournent au Monaco" - il parait qu'elle dessine pas trop mal, mais personne n'a encore vu son coup d'crayon - elle est censée jouer du violon, mais personne n'en a jamais vu la couleur - elle cuisine bien, vraiment bien, et est également capable de cuire son riz dans l'eau des pâtes, avec les pâtes - son alimentation est plutôt saine, mais elle mange toujours en décalé - DC over Marvel, all day (elle épouse Harley Quinn) - elle a la main verte, tant qu'ses plantes sont en plastique - elle chante plutôt bien, mais n'est pas remontée sur scène depuis le cabaret - son appart' est un lieu sacré, elle n'y ramène personne - elle aurait dû avoir les ronds pour vivoter tranquillement pendant les études, mais est incapable d'économiser; son argent, elle l'a dilapidé - deux solitudes dans sa vie : celle qu'elle cherche et celle qu'elle fuit; toujours le cul entre deux chaises, du coup - observe Amos et Raelyn avec envie, mais ricoche toujours sur les paroles de la blonde - elle a rêvé une fois qu'elle devenait maman, allongée sur un tapis d'sol avec un gamin à son côté.. elle n'en a jamais parlé, et a mis ça sur l'compte de la grossesse de sa mentor, qui l'aurait perturbée - possède des tatouages minimalistes, épars sur son corps - se fait une joie d'énerver Raelyn en tentant de la psychanalyser - la famille est une définition sur laquelle elle ne s'étendra pas - pretty good at bad decisions ; not super into giving a shit ; currently unable to give a fuck.
Le joueur derrière l'écran
Sur le net, on m'appelle Maâtkarê, mais appelez-moi Morgane. J'ai la vingtaine, et je viens de localisation changeante. J'ai découvert 30YSY grâce à une petite voix, et j'ai cédé à m'inscrire parce que pour vos beaux yeux. Pour me faire ma place, j'ai PAS BESOIN d'un parrain ou d'une marraine. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) 4/7. Mon personnage est un scénario de @Raelyn Blackwell. Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et mon perso' est une chieuse .
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she's like the wind
Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.
Dernière édition par Danaë Lescaut le Dim 3 Mar 2024 - 22:49, édité 2 fois
Danaë Lescaut
la petite mort
ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 214 POINTS : 360
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
2020, Brisbane. Boy un, à D': comment tu t'sens ? Quatre heures du mat' et l'gars est encore éveillé, incroyable.
D', à boy un: sale.
Boy un, à D': pourquoi ça ? Il sait déjà, mais peut-être qu'il veut les détails. Ou qu'il aime s'faire des nœuds au cerveau.
D', à boy un: tu sais c'que je fais. Et j'suis pas une pute.
**
Il se fait du soucis pour elle, et elle veut pas de ça. Pas de pitié, pas de leçons moralisantes, pas de propositions rocambolesques ou de sorties théâtrales - I don't need a savior, cutie. - tu pourrais bosser dans une pizzeria.. Ou même un p'tit restau' !
- Toucher quatre-cents balles pour ça ? Non merci. Le taff est pas fou mais ça rapporte bien, tu sais.
Elle lui en veut pas d'pas comprendre. Sacrifier son corps - si l'on veut - pour obtenir un train de vie qui détonne, c'est son choix. - Rappelle toi c'que tu m'as dit l'autre nuit.. ça en vaut vraiment la peine ?
- J'étais bourrée et fatiguée.. ça compte pas.
Il transpire l'inquiétude, le bougre. Mignon, mais déjà trop attaché. Le malheur de révéler les tares de sa profession, on l'y reprendra pas deux fois. Qu'est-ce qu'il espérait, de toute façon, avec une rencontre à la librairie ? Un cliché menant à l'autel, sait-on jamais. Mais Irène la menteuse n'est pas de cet acabit. Prise pour une érudite, puis une pauvrette à sauver; il aura payé la bouteille de rhum et les deux livres de son choix - trop bon, trop con, une marionnette entre ses doigts. Ghosté trois jours après, sans un regard, sans un regret - pour son bien, c'était nécessaire.
**
Gamine venue d'ailleurs, ou de nulle part en fin de compte. Jamais vraiment d'maison, jamais la sensation d'être à l'endroit, à la bonne place, toujours bancale et éphémère dans sa terminaison. Les draps froissés, les portes claquées à la volée, Danaë les accumule éhontément; personne ne sait d'où elle vient, quelque part tout l'monde s'en tape aussi. L'art de mentir est devenu sa vérité, son gagne-pain, une habitude telle qu'elle en a oublié sa première fois. C'était quoi, le bobard initial ? Sûrement une connerie délicieuse, un truc à faire rougir ses joues de petite fille. Seulement voilà, les récits s'entassent, se superposent et s'enchevêtrent; aussi s'accorde-t-elle à la leçon suivante : une bonne menteuse finit par croire elle-même à sa propre fabulation.
**
île de Reichenau, lac de Constance. Un incessant ballet se joue dans le manoir familial. Pendant que père chasse l'Eldorado - pour ne pas dire qu'il pille des ruines, mère s'improvise mécène d'artistes dont elle ne capte pas le tiers du talent. Un prétexte pour croquer de l'éphèbe, si vous voulez son avis. Peintres, sculpteurs et poètes se succèdent, inspirent les plus traîtres de ses intérêts : aux psychés viciées se conjuguent les meilleures toiles obscènes, de la synapse au pinceau, une fascination délétère pour le dérangeant. Le théâtre s'invite à la maison, sans doute est-ce là que tout a commencé. Entre les lignes d'un dramaturge, pose-t-elle les clefs de son identité. Tombée amoureuse du rôle, joyeux bovarysme, l'abandon à l'art du paraître est total; les planches ne suffisent plus, la vie entière est un terrain de jeu, une scène à ciel ouvert pour sa première incarnation.
Brunette ne décroche plus, et l'enfant du Malin cultive cette flamme pernicieuse. Pour Suzanne, il est Figaro; mais, au delà de la pièce, la passion s'anime et pousse le bâtard misérable à encourager sa muse dans le travers. - N'oublie pas de mentir, chérie, tu es si belle ainsi. N'est-il pas, de plus, le dépositaire de ses fantasmes inavoués ? Sous le carcan de l'herbe poison, les voluptés se délient; - take me to church, darling -, ronronne-t-elle, l'esprit si high lui donnant l'allure d'une poupée de chiffon. Il n'y comptait point, le beau Diable, voguait sournoisement sur la complaisance de son charme, exultant d'ainsi avilir la douce aristo'. La légende raconte ensuite que Daddy revint de voyage, les bras chargés de trésors; il trouva sa fille déshonorée, et entra dans une colère noire. Aussi chargea-t-il une caisse de plomb d'envoyer le mécréant par le fond du lac, où il reposerait encore à présent. Ne pouvant supporter la vision souillée de son infante, il l'aurait chassée de la demeure, quelques deniers à la main en guise de bonne fortune.
**
Tijuana, Lower-California. L'astre, rougeâtre, se lève sur l'océan paisible, sa surface moirée comparable à une mine de cristaux à ciel ouvert. Danaë émerge de concert, blottie sous un plaid, allongée sur la banquette de la voiture de sa mère. Le taudis faisant office de masure est occupé par (l'énième) amant dégénéré, dont le regard lubrique lui donne envie d'gerber; aussi occupe-t-elle le parking de la plage, avant d'pouvoir rentrer. Elle grille une clope sur le capot, marche ensuite sur le sable fin, puis soupire d'aise lorsque l'écume lui caresse la peau. Quelques minutes de tranquillité, puis l'effervescence. La misère, une loque qui lui sert de génitrice à demi-nue sur le canapé, les restes de ses abus étalés pêle-mêle du sol au plafond. Somnolente, même lorsque l'eau de la douche glisse sur son corps. Les rôles s'inversent, la p'tite éponge les dégâts, frotte les souillures avec l'espoir de la faire changer. D'la rendre neuve. - j'ai plus d'herbe.. chérie. T'irais m'en chercher ? - Soupir amer, la daronne est un déchet, son fournisseur, un connard qui cherche à s'attirer ses faveurs. - Okay, mama'. Mais à quel prix, cette fois ?
Mise au lit, en attendant la prochaine nuit d'folie. Le studio de danse est son étape suivante, sa paroisse, son jardin secret. Le ballet musical, l'aspiration élitiste, sa porte de sortie. Elle y a rencontré Tyler, son partenaire, une passion tenue enfouie pour ne pas lui dévoiler son quotidien. Contre lui, c'est la sécurité. Son cœur, alors, petit oiseau timide, fredonne une étrange mélopée contre les barreaux de sa cage d'ivoire. Tyler l'écoute chanter, avec et sans métaphore, mais ce n'est qu'une tare de plus pour une gamine habituellement contrainte au silence. Elle possède le talent, mais les étoiles ne descendent pas assez vite pour la venir chercher, contrairement à sa situation, dégradée en vitesse. Et Danaë n'aspire pas à une vie entre des murs de torchis, pas plus qu'à la réserve dont elle fait preuve pour survivre. Aussi, lorsque sa mère l'envoie dans les cordes, suite à un accès de rage, la décision tombe comme sonne le glas. Prendre ce qui lui revient de droit, et vendre le reste. Même sa mère, s'il le fallait, qui de toute façon n'en réchapperait pas. Le majeur aura salué la ville une dernière fois, la nébuleuse traçant un nouveau sillage, qu'importe la destination finale.
**
Australia. Bohémienne en voyage, jolie capricieuse pour copilote de son paternel, camionneur sur longues distances. Y a jamais eu d'maman dans cette version, rien qu'un papa qui s'coupe en deux pour subvenir aux exigences sans limites de sa fille ingrate. - Je veux ci, je veux ça, c'est comme ci ou comme ça, la petite peste qui s'offre le droit d'lire pour mieux confronter l'ignorance et tourner le père en dérision. Dénué d'ambition autre que d'rendre sa gamine heureuse, cette dernière le juge pathétique et simplet, pour cette même raison. Esmé' le cherche, provoque sa colère pour mieux le faire culpabiliser. C'est ainsi qu'elle obtient les faveurs suprêmes, passagères, futiles as fuck, pour lui donner les chances de s'faire pardonner. Un manège sans fin, probablement le profil détestable par définition, qui a le don de la débarrasser des gueux et lui confère une histoire banale, presque à dormir debout.
**
England.. or France. Depends on who's asking. Les phares luttent contre l'obscurité, le gyrophare orangé se fait feu-follet sur les méandres de la route. Assistante nocturne de papa, mission dépannage pour tous les fous du volant qui s'encastrent dans les arbres. - C'est moche, honey, reste à l'intérieur. - Mais la curiosité est plus forte, dévorante fascination morbide mène l'ado' au sépulcre d'acier. - Les secours vont pas tarder, qu'il dit, mais Sybil connait déjà le verdict : les voiles opaques qui ternissent le regard du chauffard suggèrent déjà une éminente fatalité. Il ne reverra pas l'bleu du ciel. Le souvenir hante ses esquisses, le carnet en est bourré; d'une étonnante précision, à la De Vinci, les macabres maquettes connotent son attrait décalé. Sybil, un génie incompris, foutu cancre sur les bancs de l'école; inutile de rêver d'la Sorbonne, c'est portes closes. Ses charmes, en revanche, ouvrent tout le reste : d'une boîte de nuit à un club privé, des services de plus en plus chers, une compagnie tout aussi quémandée. Faut bien subvenir à ses - démentielles - attentes, des besoins illusoires qui savent la rendre heureuse quelques heures durant; puis ça recommence, le temps d'trouver de nouveaux joujoux hors de prix. On raconte aussi qu'au détour d'une foire aux livres, la p'tite Sybil aurait trouvé un vieil exemplaire, jauni et partiellement déchiré, de Manon Lescaut, et qu'en définitive, en s'identifiant à l'anti-héroïne toxique et matérialiste, la douce vénale en serait devenue l'incarnation.
**
Harlem, New-York. Famille d'imposteurs volontairement noyée dans la masse d'une riche culture. L'arrondissement est un temple à ciel ouvert: entre théâtre, l'arène des Yankees et le chorus du gospel, c'est Ray Charles qui donne le rythme dans la rue, inépuisable tourne-disque qui instigue chez Danaë les meilleures chorégraphies. L'intégration fut difficile, mais le métissage a fini par l'emporter; New-York ne s'arrête jamais, c'était le coin idéal pour les magouilles. Pap's arnaque la terre entière, de père en fille, et mommy en est la première complice. Ce sont des voyageurs, oiseaux migrateurs animés par les courants de trouvailles exceptionnelles; un logement comme un cabinet de curiosités, de l'argent tout cuit, or et artefacts entre les doigts, pour Danaë, la raison de ses velléités. Gamine cultivée, animée par la folie des grandeurs, les gratte-ciel sont le terreau fertile d'une piste toute tracée vers l'éther; suffit d'lever les yeux, le rêve américain est là, massif, colossal, inépuisable. Les études sont inutiles pour l'avenir, qu'elle imagine gravé dans l'marbre; les doigts sont doués, le cerveau orchestre ses propres machinations et le minois complète les efforts des deux premiers. Prendra même le risque de tomber amoureuse, une fois, ultime déraison, relation saphique cachée dans les méandres d'un hôtel ou d'un quartier annexe, relation prohibée par l'âge, la bienséance, autant de mensonges tissés sur les draps de leur liaison impossible.
Puis, tout s'casse la gueule. Un jour vient la panique, les gestes affolés et les mesures radicales; - la police sera là d'une minute à l'autre. Partez maintenant ! - faux papiers, issue d'secours et aller simple pour une destination dont elle ne sait rien. L'aéroport indique Brisbane; de toute façon, elle ne le sait que trop bien : there's no turning back. La dynastie familiale s'effondre, ou presque, les deux filles ne sont pas sans savoir qu'on attend d'elles un héritage, une relève efficace. - qu'est-ce qu'on va faire maintenant ? demande Arsinoë.
- On va rester discrètes un temps. On va faire les choses à notre manière.
**
Brisbane. Débarquer en terre inconnue, et ravaler la peur qui lui nouait l'estomac. Les premiers jours furent laborieux, inacceptables au regard de leur train de vie habituel. Pas de logement sans boulot, pas de boulot sans compétences, sauf si.. - t'as une belle gueule, tu sais - Une boîte de nuit, d'abord, un cabaret ensuite. Les mains caleuses sur les contours de sa félinité, un appel aux généreux pourboires. La cupidité s'installe, repousse encore les limites et étiole sa dignité. Les semaines passent, les vêtements s'effacent peu à peu. D'un côté du comptoir, à servir les cocktails, Danaë passe de l'autre, érigée sur les talons qui accentuent l'élancement de sa silhouette, se déhanchant au gré des commentaires salaces. Elle en oublierait presque le reste, la raison de sa présence, et s'contente de compter les billets, parce que money is king.
Jusqu'à la Madone.
Son aura occultait aisément le ridicule des autres clients. Elle portait les effluves du changement, et avait la grâce d'une reine. Quelque part, deux personnalités destinées à se trouver. C'était l'évidence, un déclic au premier regard, l'idée que la blonde s'apprêtait à bouleverser son univers. Le magnétisme l'avait séduite, peut-être Danaë avait-elle projeté sur son apparition, l'idéal de son propre futur. Aussi, lorsqu'elle proposa de la rejoindre, de toucher le pactole en comparaison de ses bénéfices du moment, elle n'hésita pas. The devil is a lady, remember that my child. - tu comptes faire la pute longtemps..?
- J'fais pas la pute, parle pas comme ça.
- C'est pas c'que dit ton cul, ma vieille.
Certainement pas fière d'être tombée dans l'engrenage, quoique persuadée d'y trouver son compte, le train d'vie hors-normes étant censé en être la preuve; cinquante bonne raisons d'afficher le plein épanouissement, quand la réalité est, derrière le miroir, bien plus nuancée. - J'aime pas l'amour, j'suis pas faite pour Cupidon. et ça l'arrange bien de l'affirmer; comment rencontrer quelqu'un dans ces conditions ? Danaë vouait déjà un certain respect à Raelyn, mais sa loyauté connut l'apothéose lorsqu'elle lui sauva littéralement la peau. Jusqu'alors, peut-être songeait-elle n'être qu'un objet, une sorte d'atout dans sa poche; ce soir-là changea la donne, lorsque son intervention lui évita une fin sanglante et anonyme, elle qui se voyait finir dans un sac de plomb, jeté à la mer. La brunette, guère tactile par le passé, exacerba encore les distances, dressant le portrait paradoxal d'une séductrice voluptueuse, à l'image d'une forteresse sur la montagne, magnifique et imprenable.
2021. Le changement de régime est un fait étrange, qui met fin à des années d'une néfaste routine dans laquelle Danaë s'était plongée. Le monde s'ouvre, de nouvelles perspectives fleurissent. Les mois de lutte sont éprouvants pour chasser l'habitude tenace, qui voyait son corps entrelacé aux maudites vicissitudes de la gourmandise perverse. C'est un combat intense, interne, dont la trace subsiste toujours, rémanence pérenne incarnée par les quelques services, exceptionnels, rendus au compte-goutte. Puis, sont venues les aspirations. Mises en lumière avec Amos, entre deux soupirs d'exaspération, lorsque son timbre évoque plus le paternalisme que le conseil objectif; - si j'voulais un daddy.. - a-t-elle balancé cent fois, ne terminant que rarement sa réplique, lui préférant un silence désabusé. Longtemps s'est-elle persuadée que leur relation ne tenait qu'à la projection d'une silhouette fantôme sur son propre minois, le spectre de Sofia semblant lui tourner autour lorsque les céruléennes masculines l'observent; et elle déteste ça, Danaë, avoir l'air d'une fillette malingre qu'il faut couver, surtout lorsque la démarche est dirigée par le souvenir d'une autre, qu'elle ne sera jamais. - J'vais reprendre les études. Et on l'a r'gardée avec de grands yeux, comme s'il s'agissait de la nouvelle du siècle. Remarque, de prime abord, elle même ne croyait pas en être capable. - tu vas devoir faire des choix - lui a-t-on répété, mais l'insolente ne voulait rien entendre. Pas question de troquer sa vie princière contre une forme au rabais, sous prétexte de devoir lire des bouquins. Elle créerait une nouvelle case, s'il le fallait, "l'érudite excessive", pour satisfaire le moindre de ses désirs.
2024. Le train d'vie lui pète à la tronche tous les quatre matins. Be smart n'est pas suffisant, surtout avec quatre heures de sommeil; les amphét' ne sont que de l'intox', et les dix sur vingt accumulés, le reflet d'un double-cursus qui prend l'eau. Mais elle en démord pas, nie toute potentialité d'abandon quand l'idée la traverse une fois toutes les deux minutes. L'amour des antiquités, l'côté vénal peut pas s'empêcher d'imaginer qu'elle pillera les ruines et fera ériger des faux; peut-être même qu'elle proposera son service à Raelyn.. Mais pour cela, il faut faire mentir sa mentor, lui prouver qu'elle peut tenir toutes ses cartes de front. Puis, l'côté psy', l'ironie d'espérer poursuivre dans la criminalité alors qu'elle en côtoie la figure majeure; et le reste, tout le reste, les relations entamées, abandonnées, mises en pause, ghostées, les plans qu'elle tient pas et les lapins posés, le mirage qu'elle incarne et toujours cette question, la plaie de son instabilité:
- d'où viens-tu ? c'est quoi ton histoire ?
- Pick your favorite one.
she's like the wind
Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.
Dernière édition par Danaë Lescaut le Dim 3 Mar 2024 - 16:36, édité 13 fois
Swann Craine
la loi des sentiments
ÂGE : Trente quatre ans. (20/01/1990) STATUT : Il a épousé son amour de sept ans, Rory, le 2 juin 2023 après l’avoir longtemps aimé en secret. Aujourd’hui il ne pourrait être plus fier ni plus heureux de porter son nom. MÉTIER : Kinésithérapeute, il a un cabinet en ville. LOGEMENT : Une villa à Bayside accueille sa famille, loin du tumulte de la ville et de la curiosité des journalistes de bas-étage. POSTS : 52462 POINTS : 580
TW IN RP : adoption (passé: automutilation, pensées suicidaires) ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Père inconnu, mère absente, sujet tabou › Médiateur par excellence › A fui Londres pour Brisbane en 2016 en pensant y trouver son père: c'était un mensonge › Passionné par son métier › A eu besoin de six ans pour accepter sa bisexualité et son couple › Terrorisé à l'idée d'être différent › Deux tentatives de suicide au compteur › Poignets marqués par les cicatrices, aujourd'hui cachées par deux tatouages floraux › Ecoute beaucoup, se confie peu › Prêt à tout pour sa famille et ceux qu'il aime › Ne dites pas du mal de Doctor Who, il risque de froncer les sourcils › Pur produit anglaisCODE COULEUR : mediumpurple (plum pour design sombre) RPs EN COURS : (05) › rory #60 › rory #61 › scarlett #6 › greta #12 › arthur #18
rowann #60 › when i was a ghost inside, you were there for me. legend never lies, we were meant to be. i'm blessed to be alive when i'm in your company. memories we've made could fill a whole book. if we were a movie, we'd be in Hollywood. on my lowest days, you were all it took. you make my demons go away, bleach the sky on rainy days.
arwann #17 › why don't you just take what you want from me? i think you should take what you want and leave. you're changing everyday, you played me, you're taking everything. i let you run the game.
mccraine #7 › straighten up, little soldier. stiffen up that upper lip. what you cryin' about? you got me. i can see you're sad, even when you smile, even when you laugh. i can see it in your eyes, deep inside you wanna cry. we gon' pull together through it, we gon' do it.
swanta #10 › i learned that there's beauty i can't keep, learned that there's demons in stories. whenever she's calling, she'll call me. promise you'll smile off a memory. some summer night, I hope I see you again. you'll find your way.
RPs EN ATTENTE : ginny #7 › min-kyung #6 › lucas #3 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
cf. fiche de liens AVATAR : Evan Peters CRÉDITS : showmeyouricons (avatar) › harley (rowann, arwann) › fuckyou (ginny) › margotrobbie (scarlett) › haydenpanettieres (greta) DC : Auden & Ambrose PSEUDO : Kaelice INSCRIT LE : 01/08/2019
Bienvenue officiellement parmi nous, tu as bien fait de sauter le pas (et je viens souligner la beauté de la première image, voilà, c'est tout pour moi )
Bienvenue chez toi, bon courage pour la rédaction de ta fiche!
Olivia Welch
les bonnes intentions
ÂGE : 36 ans (06.11.1988) SURNOM : Liv, Livvie, Welch au travail (elle déteste entendre son nom de famille claquer ainsi au travers des urgences) STATUT : Mère célibataire de jumeaux de 7 ans, Lizzie et Lenny. Famille d'accueil pour Paul, un ado un peu paumé mais qui s'est plutôt bien adapté à leur vie de famille. Visiblement loin des jolies histoires et des rêves de bonheur. MÉTIER : Infirmière puéricultrice, postée aux urgences de l'hôpital Saint-Vincent LOGEMENT : Logan City, #503 Daisy Hill Road, une petite maison toute simple, qui suffit amplement à leur famille POSTS : 8785 POINTS : 1190
TW IN RP : Absence d'un père, famille d'accueil et violences familiales, grossesse, milieu hospitalier GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Olivia a longtemps été fumeuse - à se cacher dans les recoins du ranch pour ne pas se faire attraper par un de ses parents ≈ Elle a appris la langue des signes australiennes, ce qui l'aide énormément à son travail. ≈ Elle a failli se noyer quand elle était enfant et est toujours traumatisée par les grandes étendues d'eau. ≈ Elle ne cuisine pas très bien, mais connaît tous les restaurants de son quartier.CODE COULEUR : Répand de la douceur en #CC33CC RPs EN COURS :
Isyliv ∆ When you can't look on the bright side I will sit with you in the dark
Bienvenue avec cette petite chieuse qui trouvera tout à fait sa place par ici
I have to get out of this place but instead I'm at peace with staying (grow into love ; half moon run)
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13373 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
(je rejoins la population pour dire que la première image est très jolie )
Bienvenue officiellement parmi nous ! Tu vas être bien entourée là Bon courage pour rédiger ta fiche !
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Pénélope Danbury
la double surprise
ÂGE : 36 ans (14/07/1988) SURNOM : Pen le plus souvent ou Penny, Tony la surnomme Penne, STATUT : Mama Bear & surtout raide dingue amoureuse de son meilleur ami après une amitié platoniquement trop longue de 24 ans. Il était temps de passer la seconde MÉTIER : Directrice adjointe (12/2022) du planning familial à Toowong, psychologue de formation et étudiante en doctorat de psychologie à l’University of Queensland. Elle milite pour les droits des femmes, à la contraception, l’avortement et l’éducation à la sexualité. LOGEMENT : #432 Beachcrest Road, Bayside. Une maison de rêve, coup de cœur, c’est leur maison à eux avec Tony. POSTS : 3148 POINTS : 1730
TW IN RP : Maternité, parentalité, sexe, des sujets abordés dans un planning familial pourront être abordés & Anciennement : Grossesse gémellaire, évocation de monoparentalité, mention de fausse couche et d'avortement anciens, autoritarisme familial, père toxique, j’adapte mes rp si besoin et si d’autres tw apparaissent au fil de mes sujets, je le précise au début de mes posts TW IRL : Je préfère en discuter par MPGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : Mama Bear d’Eva & Mattéo Lewis (05/07/2024) ● Australo-américaine ● asthmatique ● sportive & complexée par son physique post-grossesse ● girl power & militante féministe ● Haut potentiel intellectuel, intéressée par beaucoup de choses et qui peut s’en désintéresser aussi vite ● hyperactive ● maladroite & bricoleuse, un vrai paradoxe ● nunuche romantique ● un syndrome de l’imposteur qu’elle tente de faire disparaître en reprenant son doctorat en psychologie ● prochain objectif : le semi-marathon de Brisbane en juin 2025 ● CODE COULEUR : Elle prodigue des conseils en #DB7093 (PaleVioletRed) RPs EN COURS : (06) › Axel › Riley (event) › Riley+Josh+Tony › Gayle#2 › Helen (UA Jurassique) › Oscar#1 (UA Jurassique) › Izan#1 (UA Jurassique) › Pony#32 › Helen#2 ›
@Danaë Lescaut Pas de problème pour l'activation de ton compte.
Bienvenue par ici et au plaisir de te lire évidemment
Alma Barton
le bonheur illusoire
ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620
TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déniDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7AA1D2 RPs EN COURS :
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly
JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car (scénario libre)
Bienvenue parmi nous Je pense que tu t'es déjà aperçue que tu vas être tès très très bien entourée, tu regretteras pas ton choix !
Bonne continuation pour ta rédaction
they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.
Trop hâte de découvrir ta miss et de te voir débarquer par ici, bienvenuuuue Et je vais pas faire dans l'original mais t'as toujours des aesthetic impeccables et une plume incroyable
Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1787 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove