| | | (#)Mer 28 Fév - 20:43 | |
| 5h20. Du bruit. Une sonnerie. Incessante, dérangeante. Mon bras s’extirpe de sous les draps pour taper sur mon téléphone jusqu’à stopper ce supplice. Mon visage retrouve l’oreiller. 5h25. De nouveau ce bruit, cette sonnerie. Cette fois ci c’est accompagné, Thésé mon husky grimpe sur le lit, sur moi pour être plus précis. Ces pattes sur mon corps étendu et son museau qui essaye de me chercher, sous mes draps qui me recouvre. C’est trop tôt pour la promenade. je me retourne, mes mains glisse dans les poils doux de mon chien. L’écartant de sur moi, je me redresse dans mon lit. Le regard perdu dans le noir. Pourquoi j’ai accepté ça moi. bonne question ça Malik. Je me traîne hors du lit. Retirant mon short sur la route. J’allume l’eau de la douche, j’attrape ma brosse à dent. Et je me glisse sous l’eau chaude, brossant mes dents alors que j’espère que l’eau suffira à m’éveiller un minimum. Quelques minutes, j’attrape la serviette et me sèche. Déambulant dans ma chambre, j’attrape un boxer, un jogging et un sweat. La capuche immédiatement mise, pour cacher ce visage et les cernes d’un homme n’ayant plus l’habitude de se lever si tôt. Je retourne près de mon lit, j’attrape le téléphone. Toujours pas de nouvelle. Un soupir. Ça fais plusieurs jours maintenant. Moi aussi je n’ai pas donné de nouvelle, je suis autant responsable. Sans doute. Je secoue mon visage, caresse une dernière fois Thésé, remplissant sa gamelle de croquette et celle d’eau avant d’enfin partir.
La musique à fond, ou presque dans la voiture. Une façon comme une autre d’essayer de me mettre dans le rythme, de me réveiller. 5h57. J’ai même de l’avance, c’est léger mais vu l’heure, c’est miraculeux. Je me gare, sort de ma voiture. Mon regard se porte sur le parcours qui semble nous attendre. Rien d’inquiétant, ce qui en revanche l’est beaucoup plus, c’est le soleil qui commence seulement à pointer le bout de son nez. Depuis combien de temps je ne m’étais pas aventurer aussi tôt pour faire du sport ? Je crois bien que la dernière fois, déjà, c’était avec Nieves. Quand nous étions ensemble et qu’elle a réussi par je ne sais quelle miracle à me sortir de son lit pour partir faire de l’escalade. À 7h30 du matin. Quand j’y repense, j’en viens à une conclusion assez simple. Cette fille cherche un moyen de m’assassiner. Non, vraiment, j’ai beau retourner le problème dans tous les sens. Parcours aux chemins sinueux, heure suffisamment matinal pour éviter que les lieux ne sois pas trop fréquenter. Je songe de plus en plus à une tentative d’homicide de la part de la jolie espagnole à mon égard. Crime passionnel sans aucun doute.
Bon, passons les bêtises qui me traverses l’esprit. Mes deux mains appuyer sur une barrière. Je relève la tête quand je l’entends arriver. La capuche toujours soigneusement installer. Je ne compte pas me dévoiler plus. J’espère que tu m’as prévue un sacré petit déjeuner. la avec elle, après, peu importe, c’est peut être la seul chose qui pourra me faire passer le fait que j’ai encore du mal à comprendre pourquoi je me suis lever si tôt. Tu va bien ? malgré tout, je n’en perd pas mes bonnes manières. Prenant quand même la peine de m’intéresser à celle que je vois beaucoup, ces derniers temps en tout cas.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
Les 'autres' : ♛ Sofia ; ♛ Lashana ; ♛ Sunny ;
AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Jeu 29 Fév - 9:30 | |
| Après la merveilleuse découverte de ce restaurant thaïlandais avec Malik, je n'avais pas fait long feu. J'avais mis de côté mon envie de lire un chapitre de mon ouvrage, présent sur ma table de nuit. Et, il était clairement avéré, que jamais, je ne me mettais au lit en scrollant mes réseaux sociaux, c'était une discipline que je m'étais instauré il y a longtemps de ça. Et pour tout dire, cela me réussissait. Cependant, alors que je prenais soin de ma peau en y apposant crème de nuit et sérum, j'en venais à repenser à son geste, un brin trop intrusif. Il avait, certes, effleuré ma cuisse l'espace de quelques secondes mais il l'avait fait. Et à vrai dire, je n'avais pas apprécié cet élan d'assurance, venant de sa part.
Heureusement cet acte n'avait été qu'éphémère sur ma peau et je lui en étais gré. Parce que cela ne signifiait rien du tout, même si, pour certains regards extérieurs nous nous côtoyons un peu trop souvent ces derniers temps. Ça ne me déplaisait pas, mais en ce qui me concernait moi, je n'avais pas d'autres idées en tête que celle de le faire sortir du lit avant que le soleil ne se lève. Et, je prenais un malin plaisir à l'imaginer ronchonner et insulter intérieurement tous les anciens dieux de la terre, pour avoir eu à entendre la sonnerie de son réveil, un peu trop tôt. Pour lui, en l'occurrence. Nullement pour moi.
Parce que moi, j'étais déjà en train d'assouplir mon corps et de faire travailler doucement mes articulations, dans une séance de yoga improvisée, au réveil. Je n'avais certes, pas dormi très longtemps, mais je m'enhardissais à m'imposer ces règles. Règles, qui avaient lieu souvent avant mes cours. Car, il n'était pas impossible que je puisse courir avant d'y aller, justement. Au moins, deux à trois fois par semaine, histoire de booster ma créativité ou au contraire, de me vider la tête. Après ma séance, j'allais sous l'eau tiède de ma douche, me séchant pour enfiler un ensemble de sport moulant à la teinte chocolat. Dans un sac à dos, j'y mettais de ce fait l'indispensable : une gourde d'eau fraîche, une serviette propre, un sweat de la même couleur qui laisserait entrevoir ma brassière lorsque je le porterais.
Empoignant ma ceinture noire spécialement conçue pour le running, que j'accrochais autour de ma taille, j'y glissais alors mon IPhone et mon étui pour mes AirPods. Enfilant mes baskets et faisant en sorte de rassembler mes longues mèches blondes en une queue de cheval haute, j'étais prête. Étant donné, que je n'avais pas fait appel à un chauffeur Uber, -tout comme mon futur interlocuteur, celui-ci aurait pu penser que je le tirais du lit ; ce qui en soit, n'était pas un mensonge-, je me dirigeais vers ma voiture. Un Range Rover Evoque noir, que je déverrouillais pour y mettre sur le siège passager, le restant de mes affaires.
Arrivée sur notre lieu de rendez-vous, je pouvais constater que mon partenaire de jogging était déjà présent et dans un état plus que déplorable. Sa capuche avait au moins le mérite de cacher cet air bougon qui traduisait à lui seul, le cruel manque de sommeil. Mais, ce n'était clairement pas ce spectacle qui allait m'amadouer. Surtout pas avec cette petite supplique qui résonnait comme un ordre dans sa bouche. Avec un fin sourire, je sortais mes AirPods de leur étui pour les mettre à mes oreilles et mon Iphone, pour choisir une playlist Spotify.
- On verra, si tu le mérites. Il le mériterait peut-être, non ? Vu que je lui devais un repas, et ainsi nous serions quittes. Nous irons au Little Hideout Cafe. Ils font le meilleur avocado toast et leur réputation n'est plus à faire. Et ... s'il ne se contentait pas de ça ? C'était pareil. Parce que c'était mon rituel, quand je revenais d'une course. Et, je vais bien. J'espère que pour toi aussi.
Un sourire. Une playlist parfaite dans mes oreilles, et je démarrais en petites foulées. De un, pour ne pas fatiguer mon coéquipier et de deux, pour préserver son petit égo blessé qui avait un mal certain à se lever trop tôt le matin.
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| | | | (#)Jeu 29 Fév - 23:33 | |
| Il y a des chose qu’on explique difficilement. Ce geste que j’ai eu. Un réflexe venu du passé, un instant d’égarement. J’aurai compris que la jolie blonde me gifle ou bien me plante aujourd’hui. Bien entendu, il n’y avais pas de mal dans mon esprit en faisant ça. Simplement une soirée agréable, qui m’a remémorer celle que l’on a pu passé ensemble il y a des années de ça. Celle que l’on partager comme un couple. Comme, parce que l’espagnole n’a jamais accepté que l’on se désigne comme ça, mais c’était tout comme. C’est implicite quand deux personnes se vois régulièrement, ont d’autres activités ensemble que de partager le plaisir de la chair. Enfin, c’est mon avis. Sans doute le sien aussi puisqu’elle a déserté au moment où ça commencer à potentiellement devenir trop sérieux. C’est bel et bien que petit à petit, nous étions sur cette pente qui mener à cet état pour nous qualifié. Un mal pour un bien. Comme je l’ai déjà dit, si elle n’était pas partie, elle aurai assisté à une chose vraiment pas belle à voir. Est ce que l’on se reverrai si elle m’avais vu dans mes pires jours ? Sous substances ? J’en doute.
En parlant de me voir sous mon pire jour, ça sera sans aucun doute sous mon plus mauvais visage, ça c’est certain. Le réveil matinal n’est pas digéré par ici, je prend ça comme une déclaration de guerre, comme une véritable envie de me nuire. J’exagère ? Oui, ok, sans doute. Le fait est que je ne suis pas du matin, quand je dit pas du matin c’est que je suis silencieux quand je me lève à 10h du matin par exemple. Je vous laisse devinez l’humeur massacrante dont je peut faire preuve quatre heures plus tôt. Et ça se vois. La dégaine que j’ai, loin d’être apprêter, loin d’être soigner. Alors que jusque maintenant, j’ai tout de même fais un effort à chaque fois que j’ai eu à voir la jolie blonde. Pourquoi ? Sans doute cette envie de lui plaire, encore ou de nouveau, j’en sais rien et au final, ça n’a pas vraiment d’importance je pense.
En tout cas, elle est là. Elle ne m’a pas fais faux bons. Hmm. un son qui sort plus ou moins de ma bouche en guise de réponse. Un son qui aurai pu ressembler à un grognement grognon d’un homme lever trop tôt. J’te répond d’ici une heure ou deux. non je ne vais pas bien. Le sourire charmeur, le regard malicieux, le côté séducteur. Tout ça est sans doute encore off, c’est même sur.
Elle commence, j’embraye le pas. Ça fais un petit moment que je n’ai pas fais de sport. Mais j’ai de bonne base, j’ai un micro carrière derrière moi. Et surtout, en terme de footing, je suis allé à l’école la plus dur de Brisbane. Jackson Mills. Agent fédéral, préparation militaire, une machine. Quand nous étions encore en bon terme, j’avais repris le sport à ses côtés suite à ma rééducation. Une activité qu’on a conserver. Si c’est souvent sur les terrains de basket que l’on se défier, il n’était pas rare que je l’accompagne dans ses longues et intenses course. Autrement dit, si vous survivez à Jackson, vous pouvez survivre à n’importe quel entraînement physique. Prenant une respiration régulière, je cours au côté de la jolie espagnole. Le rythme plutôt calme qu’elle semble suivre pour le moment me permet de contempler un peu l’environnement. La beauté de la nature, la beauté de Brisbane. Profiter de ces instants pour se ressourcer, pour se rappeler que parfois, c’est dans la simplicité que l’on trouve les plus belles merveilles. Au fur et à mesure de notre course à pieds. Je fini par faire tomber la capuche, découvrant mon visage et me retirant cette gêne sur le haut de mon crâne. Plus à l’aise pour continuer à courir, pour augmenter la cadence aussi. Si j’en oublis pas mon manque de sommeil, courir, se dépenser, transpirer. Ça fais du bien.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
Les 'autres' : ♛ Sofia ; ♛ Lashana ; ♛ Sunny ;
AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Ven 1 Mar - 10:40 | |
| Rien ne justifiait un tel geste, même si celui-ci avait été offert dans l'euphorie du moment. Enfin, euphorie, je n'irais pas jusque-là. L'instant partagé avait été somme toute assez agréable pour être relevé, mais ça s'arrêtait là. Malik Fleming avait été d'une charmante compagnie, -là encore, je faisais un effort en mentionnant cette idée-, mais je ne souhaitais aucunement remettre le couvert. Même si cette course partagée au petit matin pouvait porter très largement à confusion. Or, je considérais mon accompagnateur de la matinée, comme un accompagnateur justement. Rien de plus. Il était juste un petit plus (enfin grand, au vu de sa taille par rapport à la mienne), dans mon emploi du temps chronométré à la seconde près.
Il était donc fondamentalement râleur et outrageusement grincheux d'avoir été ainsi tiré des bras de Morphée à une heure aussi peu avancée de la journée ? Est-ce que cela m'importait ? Non. Parce qu'il avait accepté cet accord en toute connaissance de cause et je n'allais certainement pas l'en plaindre. Il avait dit 'oui' et c'était un peu comme pactiser avec le Diable. Il me vendait grassement son âme, et moi, j'en ferais mon affaire. Avec un sourire, j'initiais la course, lui se trouvant à quelques pas derrière moi. Pour ensuite me rattraper, le temps qu'il se remette. Ici aussi, j'eus un petit sourire alors qu'une musique de ma playlist Spotify était en train de me ravir les oreilles. Accélérant le rythme parce que nous n'étions pas ici pour paresser, j'étais satisfaite de cette parenthèse plus que sportive.
M'arrêtant même sur un spot qui serait idéal pour une photographie afin d'alimenter mon contenu Instagram. Compte privé qui se destinait alors à des instants éphémères partagés lors d'un jogging ou de la nourriture en abondance. Parce qu'évidemment, je n'avais pas oublié la 'récompense' qui nous attendait. Celle qui permettrait peut-être de dérider un tant soit peu l'artiste qui m'accompagnait. Car, jusqu'à présent ... Monsieur Fleming n'était pas un grand bavard. Bien au contraire. Repartant en foulées bien plus soutenues pour terminer le parcours, je venais de m'arrêter sur le parking, là où étaient garées nos deux voitures. Nous étions encore seuls, visiblement.
Avec un long soupir, je venais de me plier en deux, mains sur mes genoux, reprenant mon souffle tandis que je me redressais lentement pour essuyer du plat de ma main mon front, où perlaient quelques gouttes. Ça m'avait fait un bien fou et je ne tardais pas à étirer mes muscles qui avaient été soumis à cet effort, m'aidant de la barrière où mon vis-à-vis m'avait attendue presque deux heures plus tôt. Maintenant, je me dirigeais vers ma voiture, et déverrouillais cette dernière, pour récupérer mon sac à dos, où était caché ma précieuse gourde dont je bus quelques gorgées tout en jetant une œillade à mon partenaire.
- Moins ronchon ? Disposé à parler maintenant ? Est-ce que je le taquinais ? Peut-être. Est-ce qu'il y avait un fond de vérité ? Assurément. Prêt à aller prendre ton petit-déjeuner ? Parce que moi oui. Je me rendais présentable, alors que j'enfilais le sweat que j'avais prévu pour terminer ma tenue. De l'eau ? Je pouvais être cruelle, mais pas à ce point. Je te partage l'adresse et on se retrouve là-bas ?
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| | | | (#)Mar 5 Mar - 5:20 | |
| Y a pas à dire. Le sport est essentiel, c’est un vrai exutoire, c’est important, essentiel, primordial. J’ai malheureusement pas suffisamment de temps à y consacrer, je devrait. Toute ma jeunesse a été sportive, puis j’ai vieillis, je me suis sans aucun doute laisser aller, j’ai eu moins de rigueur, moins de motivation. Y aura eu deux tournants, la brouille avec Jackson et le départ de Louisa, mes deux partenaires de choix pour tout type de sport. Des militaires ou presque, j’ai jamais aimé la facilité et avec eux, j’ai toujours été servis. Chaque seconde d’une séance se transformer en une torture dont je n’avais que pour seul objectif, la voir se terminer. Nieves aussi semble s’y être mis à la torture. Si la course n’a rien d’impossible à réaliser, si je n’ai pas de mal à suivre l’espagnole. Ça malgré des muscles qui peine à se réveiller. C’est surtout l’heure qui joue beaucoup, une heure trop matinale qui viens bouleverser mes habitudes. Mes mauvaises habitudes certes, mais habitude quand même.
Ça doit beaucoup jouer sur mon silence, ou bien cette mine renfrognée que j’ai tout le long de la course. Concentrer et encore grincheux, je me contente de la suivre. Je m’adapte à son rythme, par moment, je force un petit peu. Il faut bien admettre que le sport est une discipline. Une discipline que je n’ai pas eu depuis des années et dont je ressent les effets par moment. Mais je ne laisse rien paraître, je pousse sur mes jambes, je force sur mes muscles pour finalement retrouver notre point de départ. Essoufflé, transpirant. Prenant de grande inspiration, je me contente de retirer mon sweat. Loin de moi l’idée d’offrir une vue sur mon torse. Mais simplement, le pull est chaud et je suis en remplir de sueur. J’ouvre le coffre de ma voiture, attrapant une serviette prévu pour l’occasion afin de m’essuyer un minimum. Attrapant un simple débardeur que j’avais emmener avec moi, l’enfilant.
Mon visage se relève vers la jolie blonde. J’aurai pu être pire. Nettement pire. c’est une certitude ça. Hochant la tête à l’affirmatif. Si cette course m’a bien réveillé, c’est la reprise d’une respiration normal qui se fais légèrement désiré. Merci. beaucoup plus prévoyante que moi. J’en bois plusieurs gorgés, avant de lui rendre, accompagné d’un sourire de remerciement. On fais comme ça.
Sur ces quelques mots, je grimpe dans ma voiture. Attendant l’adresse, je pose le téléphone de façon à l’avoir en ligne de mire. Et je me met en route vers le lieu sélectionné par Nieves. Quelques minutes de route, et je suis garé, quelques secondes, peut être minute après ma partenaire de sport. D’un coup d’œil, j’analyse brièvement l’endroit, lieu où Nieves semble avoir des habitudes si j’ai bien compris. Ça a l’air sympa. prenant place en sa compagnie, sur la terrasse, petit à petit, les effets du réveil se dissipe. J’ai une faim de loup. est ce surprenant ? Sans doute pas.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
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AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Mar 5 Mar - 13:30 | |
| Ça me faisait un bien fou, je ne pouvais pas le nier bien longtemps. C'était comme une échappatoire, une envie d'ailleurs. Que je m'offrais au moins deux à trois fois par semaine, si ce n'était plus. Quand l'envie s'en faisait sentir et que je ne pouvais passer outre. Ici, j'étais accompagnée, et il m'était toutefois difficile de minimiser mon rythme suite aux quelques foulées peu représentatives de mon invité. J'avais bien compris qu'il fallait qu'il se réveille, mais j'étais pour l'efficacité moi, et rien d'autre. Il devait être sur pieds rapidement, sinon je n'aurais aucun scrupule à le semer.
Néanmoins, la course commençait à porter ses fruits, même si fondamentalement, il avait été bien peu loquace avant de l'entamer. Au fur et à mesure des kilomètres parcourus, il était somme toute judicieux de le voir évoluer sur le circuit, jusqu'à ce qu'enfin, on arrive à la fin et qu'une pause était amplement méritée. Pause, que je lui offrais bien gentiment, tout en lui proposant une gorgée d'eau, qui serait à même de lui apporter un peu de vigueur et de vitalité. Mais, j'avais relativement faim. Ça, c'était certain. Discourir le ventre vide, ne me plaisait pas du tout. J'avais besoin de mon avocado toast relevé au piment et de mon matcha latte. Sinon, ce serait moi, qui allais être bientôt de mauvaise humeur.
- Je vois. Et, je n'avais pas envie de le voir. De rien. Que je lui soufflais tout en rangeant ma gourde à son emplacement premier et en lui envoyant l'adresse, par message. Pour que l'on puisse se retrouver, là-bas, sans tarder. Tu as dû la recevoir. À tout de suite.
Dans ma voiture, je ne perdais pas mon temps à vérifier l'adresser sur mon Iphone, étant donné que je la connaissais par cœur. C'était un rituel parfait que je me devais d'avoir après chaque course. Après chaque séance de sport, quand mon emploi du temps me le permettait. Me garant sur un emplacement, je pouvais constater que Malik m'avait suivi de près, arrivant peu de temps après moi. Réajustant ma queue de cheval, avant de descendre, j'empoignais seulement mon Iphone et mes clés, vu que ma carte bancaire était présente sur mon téléphone et que je comptais bien payer, cette fois-ci. C'était bien à charge de revanche, comme je me l'étais dit.
- Ça l'est. Que je lui affirmais, tout en m'asseyant en face de lui, sur une chaise en fer forgé, présente sur la terrasse. Tout comme je connaissais l'adresse, je connaissais parfaitement le menu, prenant toujours la même chose. Regarde ce que tu prends, si tu as une faim de loup. - Bonjour. Mademoiselle. Monsieur. Un sourire du serveur, qui était prêt à prendre la commande, par ailleurs. Nieves, toujours la même chose, je parie. Un sourire satisfait dans sa direction, alors que lui, restait concentré sur mon vis-à-vis. Il y a une formule pour les grandes faims. Juste au cas où.
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| | | | (#)Ven 8 Mar - 23:48 | |
| Beaucoup de personne ont tendances à minimiser l’importance et l’apport du sport dans un quotidien. Moi le premier. Ce n’est pas faute d’être un sportif accompli pourtant, d’être capable d’envisager des marathons ou des matchs de basket au rythme élevé. Mais je fais partis de ces gens qui n’y consacre pas suffisamment de temps, qui se trouve toujours une bonne excuse pour repousser le moment. Ce matin, même si je reste camper sur mes positions et que l’heure n’a été choisi que dans le but de me nuire. Ça reste tout de même une belle opportunité de s’y remettre, au moins un petit peu. Constater que malgré la trentaine qui approche à grand pas, il y en a encore sous le capot. Même si la fin de la course est bienvenue. J’aurai pu poursuivre, mais je sens déjà les effets d’une fatigue physique du au manque de pratique. L’eau fais également du bien, revigore juste ce qu’il faut mon corps, tandis que mon souffle reprend de manière plus stable. Juste ce qu’il faut pour communiquer un minimum avec ma tortionnaire.
De simple banalité sur la suite, ce petit déjeuner qui je l’espère, va permettre de le faire oublier que ça fais déjà quelques heures que je suis réveiller. Alors qu’habituellement, c’est à peine si je suis couché. Oui, j’ai un rythme de vie désastreux. La vie de star sans aucun doute (non). En tout cas, je la suis et arrive à destination. Juste après elle. Un regard curieux sur l’endroit où l’espagnole a ses habitudes. Prenant place, mon regard se pose sur la carte. M’en détachant à l’arrivé du serveur, qui confirme bien évidemment les habitudes de la jolie blonde. J’vais vous faire confiance. Mettez moi ça. a quoi bon réfléchir des heures. Nul doute que ce menu saura répondre à mes attentes et combler mon estomac qui réclame son du.
Déposant mon téléphone sur la table. Les bras détendu sur les accoudoirs de la chaise. Profitant du paysage alentours, faut bien admettre que Brisbane de beau matin est vraiment agréable. La tranquillité, l’espèce de calme ambiant, c’est presque plaisant. Tu t’infliges ça souvent ? le réveil tôt bien entendu. Est ce que je juge ? Bien évidemment. Même si je sais que c’est risqué. Et que dans le fond, son rythme de vie est largement plus saint et cohérent que le mien. Bon, j’admets. C’était plutôt cool. Un peu compliqué au démarrage. Mais une fois remis en selle. J’ai bien aimé. c’est quand même largement plus plaisant de courir dans la nature, de profiter un peu de ce que ça peut offrir. Que de se trouver au milieu de dizaine de machine juste pour sculpter son corps. J’pourrais presque me motivé a t’accompagner plus souvent. Quand mon emploi du temps me le permet.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
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AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Sam 9 Mar - 10:40 | |
| C'était une discipline à laquelle, je m'astreignais plus que souvent, je devais l'avouer. Si je courrais, c'était pour le bien de mon esprit et de ma créativité. C'était aussi dans la nature, que je parvenais à me ressourcer et à trouver les meilleures idées qui soient. Du moins, je m'en persuadais. Peut-être, que j'avais tort ? Mais, quelque chose me disait le contraire. Peut-être, cette petite voix que certains et certaines nommaient conscience, et qui, selon certain de mes détracteurs, me signifiaient que je ne l'utilisais pas à bon escient. Ou bien peu souvent, comme eux, l'espéraient du moins. J'aurais peut-être dû l'écouter en ne souhaitant pas prendre Malik avec moi à cette heure, -qui lui, ne lui plaisait pas-, et partir en petites foulées, seule ?
Hum. Je n'avais pas repoussé cette idée qu'il m'accompagne ce jour, parce que la soirée de la veille, s'était bien passée. Et, que j'avais apprécié découvrir un nouvel endroit qui serait dans mes favoris dans peu de temps. Or, constater qu'il était bougon et peu loquace, ça, ça avait le don de m'énerver. Après, je pouvais essayer de comprendre, qu'il n'était décidément pas du matin et que son mode de vie était totalement dissolu et ne se calquait pas du tout avec le mien ? Au moins, j'avais la réponse à ma question, tandis que je préférais filer devant lui, ayant tout de même hâte de me récompenser de ce jogging matinal avec cette habitude que j'avais aimé avoir, depuis le début.
Au moins, il n'était pas contre de se rendre avec moi dans ce restaurant que je prédilectionnais. Et, suivait mon conseil quand il s'agissait d'opter pour un plat délicieux de la carte, même si, je restais fidèle à mes convictions et prenais toujours le même. Tout comme la boisson, dont j'avais hâte qu'elle me soit servie, afin de me donner un nouveau coup de fouet. J'appréciais le soleil, qui venait réchauffer ma peau, bien que ce dernier n'avait rien à voir avec celui de Madrid et qui parfois, me manquait plus que je n'étais censé l'admettre. J'avais prévu d'y retourner mais je ne savais pas quand. L'occasion, ne s'étant pas encore présentée, devrais-je dire.
- Deux à trois fois par semaine. Et si je peux, ce sera plus. Mon attention s'était reportée sur mon interlocuteur, l'espace de quelques secondes. Inutile, que je te pose la question. J'avais déjà ma réponse en voyant ta tête de ronchon. Je ne pouvais m'empêcher de le taquiner à ce propos, avec un rire flûté. Et, oui. Je peux te confirmer que ça me semblait être bien compliqué au démarrage. Mais, je suis contente, si tu as tout de même apprécié ! Je m'exclamais, en souriant. Encore plus satisfaite quand je vis apparaître nos plats et nos boissons devant nous.
Une gorgée de mon matcha latte. Avant de fixer de mon regard vert, mon vis-à-vis sans ciller, qui, avait eu l'air de réellement apprécier cette sortie plus que matinale, vu qu'il souhaitait s'y inviter plus souvent, apparemment. Que répondre à ça ? J'étais partie du principe, que cette fois-ci était exceptionnelle et qu'elle ne serait pas suivie par d'autres. Mais le Fleming, eut tôt fait de bousculer quelque peu mes convictions et mon désir d'arpenter les parcs de Brisbane et de ses alentours, seule.
- Te lever aux aurores, ne serait plus une contrainte, alors ? Que je lui demandais, tout en coupant un morceau de mon avocado toast, afin de porter la bouchée à mes lèvres. Je salue l'initiative, en tout cas. Sache-le. Je n'étais pas fermée à l'idée qu'il m'accompagne, mais cet état de fait ne doit pas pour autant se réitérer quotidiennement. Que tu me fasses parvenir ton emploi du temps de ministre, alors. Et, que je case ça, dans mon agenda. Je n'étais pas une chanteuse avec un franc succès mais j'avais tout de même des obligations à tenir. Ne lui en déplaise.
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| | | | (#)Ven 15 Mar - 7:24 | |
| Je peut sentir que j’ai abandonné la pratique du sport depuis trop longtemps. Mon manque d’assiduité se fais ressentir dans les muscles de mes jambes. Sans avoir eu besoin de forcer pour suivre la cadence de la jolie blonde, il m’a fallu quand même être sérieux pour ne pas être distancé par celle, qui de toute évidence, c’est montré nettement plus rigoureuse que moi. Surpris ? Pas le moins du monde. Ça fais parti des qualités de l’espagnol, une rigueur a tout épreuve. Un sérieux qui m’a toujours impressionné et que parfois, j’ai envié. Parce que je suis assez lucide pour avoir conscience du monde qui sépare le sérieux dans ce genre de chose de Nieves, vis à vis du mien. C’est pas faute d’avoir été appliqué, plus jeune, quand le sport aurai pu débouché sur quelque chose. Et je le suis toujours, appliqué et rigoureux quand les choses comptent. J’ai juste tendance à avoir du laissé aller et un sens des priorités relatif. Du genre, privilégier le sommeil au jogging matinal. Un exemple choisi totalement au hasard.
Fort heureusement, après l’effort, le réconfort. Et si y a bien quelques choses capable de chasser ma mauvaise humeur matinal, c’est la nourriture. La nourriture est de toute façon le remède à beaucoup de mes problèmes. La chance d’avoir un métabolisme qui avec peu de sport, et malgré ce que je mange, je parviens à garder la ligne, voir même plus avec ce corps dessiné. Puis, le cadre est sympathique. Le soleil qui commence à briller, ça fais du bien. L’air matinal, le calme ambiant. Faut admettre que c’est agréable.
Mais. Tu sais que les parcours de course sont disponible à tout heure. Je veut dire, tu as le droit au sommeil. D’après certains médecins, c’est même précieux de bien dormir. oui Malik, c’est vrai. C’est bien pour ça qu’il préconise de ce coucher tôt, contrairement à toi qui pense que dormir autour des 2/3h du matin est tout ce qu’il y a de plus normal. Le sport, j’essaye de maintenir la forme quand je le peut. Mais ça fais des années que je n’avais plus vu Brisbane si tôt. ou alors c’est juste que je n’étais pas encore couché. Hey ! On se moque pas. Tu m’as pris au dépourvus et à froid. Laisse moi quelques séances, et tu me demandera de t’attendre ! c’est avec un grand sourire que je balance ça. Plutôt content de cette séance de sport au final. Ça a du bon. De là à m’étendre dessus et donner un peu plus raison encore à Nieves ? Hors de question.
Même si pour le coup, mon regard se plonge sur les plats apporter par le serveur. Un sourire pour le remercier, et je plonge dessus afin de me réconforter et de reprendre des forces. Ne constatant qu’au bout de plusieurs secondes que ma proposition semble avoir surpris mon interlocutrice.
Pourquoi pas. Au pire, je n’aurai qu’à pas me coucher. Je serai de nettement meilleur humeur comme ça. buvant quelques gorgés de mon jus de fruit, je hausse les épaules. Non plus sérieusement. Ça peut pas me faire de mal d’avoir un rythme de vie à peu près normal. Puis, ça fais du bien de se dépenser. Encore plus quand les lieux sont calme et désert comme ce matin. non pas que je veuille éviter le monde, mais avoir cette impression que le parcours n’est qu’à sois, de ne rien entendre d’autre que les bruits de la nature. C’est agréable, c’est ressourçant. Mademoiselle Del Pino qui me ferai presque un compliment. Ne serait tu pas mon oxymore matinale ? je la taquine, sourire au lèvre. Là où je suis rochon et fermer le matin, la belle serait elle au contraire plus douce aux aurores ? Je t’enverrai ça. En vérité, faut juste éviter les lendemains de date où je me produis. Généralement je ne finis bien trop tard pour envisager quoi que ce soit le lendemain. Mais sinon, c’est plutôt libre. c’est peut être là tout l’avantage de la vie d’artiste. Un calendrier sur mesure ou presque. Je reconnais. Que ce restaurant, suffis à lui seul à justifier que je me sois lever si tôt. C’est excellent. autant rendre à César ce qui appartient à César. Le choix est exquis, même si j’en douté peu pour connaître, un minimum les goûts de l’espagnole.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
Les 'autres' : ♛ Sofia ; ♛ Lashana ; ♛ Sunny ;
AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Sam 16 Mar - 11:00 | |
| J'avais pour habitude d'être seule et cela avait toujours été très bien ainsi. Je ne m'en étais jamais inquiétée ni formalisée et en quoi, cela serait-il une déviance au regard de la société ? Même lorsque je courrais, j'aimais être loin devant. Pour prouver que je pouvais très bien me débrouiller sans aide. Même si financièrement mon père avait toujours été là, c'était bien moins convaincant du côté de ma mère. Qui elle, demeurait une illustre inconnue. Jamais, je n'avais eu le loisir de partager une discussion mère-fille. Celles qui s'en rapprochaient le plus, je les devais alors à mes gouvernantes. Qui elles, étaient comme une véritable mère.
Alors, je n'aimais pas être 'collée'. Je n'appréciais pas les témoignages d'affection que l'on pouvait m'offrir en privé. Je n'en éprouvais certes, pas du dégoût, ce serait mentir ... mais je n'en étais pas demandeuse. Et surtout, lorsqu'il s'agissait d'un ex. Il avait sa vie, j'avais la mienne. Certes, nous avions eu quelques pas de danse en duo, mais ça s'arrêtait là et je n'en souhaitais pas plus. Reprendre quelque chose qui avait été, très peu pour moi. S'appesantir sur le passé, non merci. Je laissais cela aux autres, de toute manière. Si ça pouvait les rendre heureux, c'était tant mieux.
Mais aujourd'hui, j'étais accompagnée. Accompagnée par un jeune homme que j'aurais pu très bien laisser sur le bas côté, étant donné son expression bien peu enjouée. Or, il lui avait fallu un peu de temps pour se réveiller, -étrangement-, et il m'avait fait alors part que ça lui avait fait du bien. Dans un sens, il le réalisait déjà et c'était de ce fait, un pas en avant. Mais, il aurait pu très bien tirer cette conclusion tout seul. Sans que je ne l'y pousse.
- Je le sais et ne te préoccupes pas de mon sommeil. Étais-je cinglante ? Oui. Est-ce que je m'en formalisais ? Non. En quoi, cela le regardait-il ? En rien. Eh bien, Brisbane est encore plus magnifique aux premières lueurs de l'aube. Et surtout, il n'y avait personne à ce moment-là. Ou bien peu de monde qui arpentait le circuit de course au petit matin. Je ne crois pas non. Même pas en rêve. Il me défiait là, non ? Il était sûr et certain que je n'allais pas lui laisser le dernier mot.
Avais-je été à ce point idiote avec cette interrogation, pour qu'il croie que cela se reproduira à quelques reprises, entre nous ? Il semblerait. Et, ce n'était clairement pas mon intention. J'avais fait montre d'un peu trop de politesse à son encontre, je le crains. Toutefois, je n'avais pas pour habitude de revenir sur ma parole. Une fois, que celle-ci était prononcée, je ne faisais pas machine arrière. C'était une question de bienséance et de principe. Même si, je devais l'avouer, tout ceci prenait une tournure dont je n'étais pas friande. Ni coutumière.
- Je vois. Je buvais une autre gorgée de ma boisson, redevenant silencieuse. Parce qu'il avait entièrement raison sur un point : quand les lieux étaient calmes et déserts, c'en était plus que vivifiant ! Jusqu'à ce qu'il me pique au vif avec ses propos ! Ne t'emballe donc pas. Car comme tu l'as si bien dit, c'est presque. Nuance. J'avais été plus que factuelle et pragmatique, rien de plus. Bien. Voilà, qu'il me déroulait son emploi du temps en insistant bien pour les instants où ce ne serait pas possible. En effet, c'est excellent. J'avais encore envie d'une boisson, l'avocado toast m'ayant calée néanmoins. Mais je ne me refuserais pas à un appel d'un autre matcha latte. Tu veux encore boire quelque chose ? Parce que moi, oui.
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| | | | (#)Mar 19 Mar - 20:15 | |
| Ça fais bien des années que je n’avais plus connu pareil solitude. Enfin, fausse solitude. Le succès attire le monde, mais une fois que les lumières s’éteignent, que les paillettes se dissipe. Je suis seul avec moi même. Seul avec mon Husky. C’est la tout le paradoxe, avant de retrouver la gloire, j’ai navigué de boulot en boulot, enchaînant toute sorte de job. Mais j’avais des proches, j’étais entouré. Ma sœur, Jackson, Marley pour ne citer qu’eux. Ma sœur est partis, je suis responsable de la fracture avec Jackson et justement, par rapport à ça, il est logique de mettre une distance à celle qui est devenu mère récemment. Une solitude pesante, une solitude qui parfois me pousse à envisager de reprendre de mauvaise décision, de mauvais choix. C’est tellement facile de céder aux mauvaises tentations quand elle vous entoure et que rien dans votre entourage ne vous sert de corde de rappel.
Une pensée qui me traverse l’esprit en constatant le calme de Brisbane à cette heure matinale. Une heure que je n’ai plus vu au réveil depuis maintenant depuis plusieurs mois. C’est finalement la voix de l’espagnol qui me sort de mes pensés. La reprise du sport, seul ou non, ça peut être une solution. Il m’en faut, des solutions. Un soupir s’échappe de mes lèvres, mes yeux se lève vers le ciel. Tu es naturellement plus détestable que je peut l’être quand je suis réveillé trop tôt. Une sacré prouesse Del Pino. est ce que je le pense ? Allez savoir. Elle a son caractère la madrilène. Ça ne m’a jamais effrayé, ça ne commencera pas aujourd’hui. Ni jamais. Aussi cinglante et désagréable qu’elle pourra être, je ne me retiendrai jamais de lui répondre. Peu importe si ça engendre la fureur de la blonde. Nieves. Loin de moi l’idée de briser ton ego. Mais soyons réaliste. Tu n’as aucune chance. et la, je suis sérieux. Pas de galanterie ou autre. En terme de compétition, surtout si c’est face à elle. Je suis prêt à me surpasser. Et si je suis rouillée, je n’en reste pas moins un ancien sportif de haut niveau, enfin, presque. Peu importe la discipline sportif. Je suis meilleur. bon, là je suis surtout présomptueux. Y a sûrement des sports où je suis loin d’être doué. Le tennis de table par exemple, je suis désastreux. Et avant que tu ne me contre dise. Ou tu veut, quand tu veut, sur ce que tu veut. pas de parole inutile ou de bla bla qui nous mènerai à rien si ce n’est à un lutte d’égo. Je suis prêt à le prouver par des actes et du concret.
En revanche, je profite pleinement du remontant alimentaire qui est devant moi. Fidèle à ma réputation d’estomac sur patte. Je profite tout de même pleinement de chaque saveur, je ne suis pas un goinfre pour autant. Secouant mon visage, j’aurai pu rétorquer quelque chose, contre dire la jolie blonde, utiliser ses mots contre elle. Mais, je ne m’y prête pas. À quoi bon ? Pourquoi pas oui, merci. Un autre jus de fruit, ça sera parfait pour moi. et quand elle demande à nouveau, cette boisson pour elle. Je ne peut m’empêcher de sourire alors que j’utilise la serviette pour essuyer mes lèvres. T’as passion pour le matcha me fascine. oui, j’ai encore des goûts d’enfant par moment. Le matcha a clairement une saveur que mon palais a bien du mal à tolérer.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
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AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Mer 20 Mar - 9:30 | |
| Je n'avais pas pour habitude que l'on me tienne tête. Ou pire encore, que l'on me prenne de haut sans en subir les conséquences, de mon caractère plus qu'incendiaire. Même, Rafael del Pino, mon paternel, ne s'était jamais essayé à l'exercice, sous peine de représailles. Ma mère, si tant est que les maigres interactions que j'avais eu avec elle, relevaient d'un certain exploit, si je me mettais en colère. Or ici, la course qui m'avait permise de me vider la tête était bien loin derrière moi, maintenant. Peut-être, que je devrais y retourner, tant le Fleming était en train de m'agacer. Le faire taire, ne suffisait visiblement plus.
Pourquoi devrais-je falloir m'en soucier ? Lui, qui n'avait été que de passage dans ma vie ? C'était par fierté, seulement. Et par égo, surtout. Et aussi, Lourdes me dirait -et elle avait probablement raison-, par mauvais caractère. Mais en cela, je n'en avais rien à faire. Étant donné que mon interlocuteur appuyait sur ce fait indéniable : que j'étais détestable au petit matin. À qui la faute ? Sûrement pas la mienne. Et ça, je me ferais un malin plaisir de le lui rappeler :
- C'est toi, qui as réussi à me rendre détestable. En moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire. C'est donc ta prouesse inégalée, que je relève Fleming. Honnêtement, il se prenait pour qui ? Penchant ma tête blonde sur le côté et mes bras croisés sous ma poitrine généreuse, j'essayais vainement d'écouter la suite de son laïus tout en m'empêchant de l'étrangler. Ça aussi, ça devrait être souligné. Que c'était un fait d'armes à prendre en compte.
Cependant, mon vis-à-vis continuait sur sa lancée et moi, je ne pouvais qu'être encore plus énervée. Ce qui se traduisait notamment par un froncement de sourcils lent, et un regard vert, bien plus sombre. Mon inconscient ayant mis de côté depuis bien longtemps, ce jogging matinal qui m'avait fait un bien fou, pour ne me concentrer que sur cet imbécile qui m'empêchait de raisonner. Bien.
- Aucune chance ? Mais quel prétentieux, j'hallucine ! Je sais maintenant pourquoi, je préfère être seule. Pour le sport ou en général ? Qu'il en déduise ce qu'il veut, à ce stade-ci, je m'en fiche royalement. Mais bien sûr. Et meilleur, je ne le crois pas, non. Et, oui. Je vais me permettre de te contredire. Ajouté à mon silence, un claquement de langue contre mon palais plus que courroucé. Parce que je n'en avais pas fini. Et, qu'avec sa proposition, il m'était venu une idée : ... Logan City. Terrain de Soft Ball. Demain, sept heures. Du matin, je précise. En espérant que tu saches te lever. Un haussement d'épaules. Car, je comptais bien lui faire ravaler son orgueil. Et, ce serait un charmant prétexte pour lui prouver qu'en sept années de vie ici, j'avais eu du temps, pour m'entraîner à cette discipline.
Il aurait dû choisir. Trop tard. Cette fois-ci, je ne l'écoutais plus réellement. Toujours enfoncée dans ce qu'il avait réussi à provoquer comme sentiment chez moi. Toutefois, un nouveau matcha latte sera bienvenu, que je commandais avec un verre de glaçons à part. Histoire que s'il poursuit encore sur cette voie, je ne me priverais aucunement d'utiliser ce verre de glaçons pour calmer son impétuosité vaniteuse qui avait réussi à m'horripiler. |
| | | | (#)Mer 20 Mar - 19:58 | |
| Je sais. Avant même de le dire, je sais à quoi je m’expose. Je connais Nieves. Peut être plus qu’elle ne le pense, plus qu’elle ne s’en souviens. Notre passif n’est pas celui d’un couple, mais je fais attention aux personnes que je fréquente. Son caractère, je sais ce qu’il en est, j’ai pratiqué et aujourd’hui encore, je le constate. Il ne m’a jamais déranger. Quelle sois cinglante, si sûr d’elle, hautaine ou peu importe, j’estime que si l’on côtoie une personne, d’une façon ou d’une autre. On la côtoie telle qu’elle est. Jamais je ne chercherai à changé qui que ce soit. Tout comme jamais je ne songerai à changé qui je suis. Toutefois, tout ça ne veut pas dire que je ne suis pas capable de m’opposer à elle, de lui tenir tête, de lui répondre. Et si ça doit engendrer la fureur de son caractère enflammé, qu’il en soit ainsi. Je suis capable de faire face, bien plus qu’elle ne peut l’imaginer.
Sa réaction ne se fais d’ailleurs pas attendre. Et plutôt que de me faire soupirer de nouveau, ça étire mes lèvres en un sourire en coin. Jamais t’as faute. Toujours celle des autres. peut être que telle est la devise de la jolie blonde. Tu n’es pas la barbie parfaite que tu pense être Del Pino. jouer avec le feu ? Une seconde nature chez moi. Je me doute que la, je m’expose à de sacré représailles, voir même à un silence radio de la part de la jolie espagnole. Et si telle doit en être le cas, qu’il en soit ainsi.
Elle m’arrache même un léger rire. C’était sur. Elle ne vas pas accepté docilement le fait que je me juge meilleur qu’elle, bien meilleur qu’elle. Sur le domaine sportif rien d’autre. Tu préfère. C’est mignon. Tu pense que c’est un choix. elle y comprendra ce qu’elle veut. C’est une balle perdue gratuite. Je suis bien mal placé pour balancer ça alors que je les fréquenter. Je serai la. En forme. Et après les mots, je vais passer aux actes. je m’avance, peut être trop. La dernière fois que j’ai pratiqué du softball ? Au lycée peut être, je m’en rappelle à peine. Mais peu importe, j’irai voir deux trois vidéos sur YouTube et je vais tout miser sur mes aptitudes d’athlètes pour venir à bout de ma rivale improvisé. Et si on pimente les choses ? Mettons quelques choses en jeu. je suis joueur, je l’ai toujours été. Beaucoup trop d’ailleurs. Ça m’en a fais perdre de l’argent dans les casinos notamment. Mais peu importe. Je veux que tu te souvienne durant des année que Malik Fleming t’as surpasser. Sur le terrain et la discipline de ton choix. me renfonçant dans mon siège, bras croisé, regard rivés sur Nieves. Ma mine sérieuse démontre toute l’importance que j’accorde à ce duel. Promis. J’aurai le triomphe modeste. c’est faux. Je suis un crâneur, un vantard, un show man. Si je gagne, je serai insupportable pour sur.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
Les 'autres' : ♛ Sofia ; ♛ Lashana ; ♛ Sunny ;
AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Jeu 21 Mar - 11:40 | |
| Être seule plutôt qu'être très mal accompagnée, il était là, mon seul et unique crédo. Une histoire, et une mise en 'couple', très peu pour moi. Parce que je n'y accordais aucune importance réelle et que cela ne me tentait pas vraiment. À quoi bon s'attacher à quelqu'un, pour qu'il vous brise ensuite ? Là encore, mon leitmotiv était le suivant : briser avant de l'être potentiellement. Puis, ce n'est pas comme si l'Amour, me dégoûtait fondamentalement. Il ne me ravit pas, certes mais comme dirait Lourdes, je ne l'ai pas encore rencontrée, ma moitié d'âme. Qu'en savait-elle ? J'étais très bien toute seule et la vision de mon interlocuteur et de son attitude, me certifiaient à elles seules, de la véracité de mes pensées. Il était insupportable. Détestable à souhait. Me faisant presque culpabiliser, si telle était son approche. Totalement stupide, au demeurant. C'en était presque touchant, d'essayer, -vainement- de m'énerver encore plus avec ses propos. Je crois, que je l'étais assez pour le restant de la journée, il n'avait aucunement besoin de jeter de l'huile sur le feu ou en soufflant sur les braises de ma fureur. Mais, procéder à une telle tentative n'a eu qu'un effet chez moi : celui de me faire ricaner. Un sourire en coin, bras toujours croisés sous ma poitrine généreuse et mes jambes galbées mises l'une sur l'autre. - Bien résumé Fleming. Je te félicite. J'applaudissais pour attester de mes dires, avant de me remettre dans ma position initiale. Que c'est gentil. Ça ne m'atteignait aucunement. J'étais destinée à être parfaite et ce n'était pas une aventure du passé qui allait me prouver le contraire. Et, si cette même âme de passage souhaitait entrer sur un terrain aussi glissant que celui qu'il était en train d'emprunter, évidemment que j'allais l'y rejoindre. En étant bien plus froide et bien plus vexante ou blessante. Que cela érode sa petite fierté bien mal placée. Parce qu'à ce petit jeu là, -en plus du Soft Ball ; entendons-nous bien-, je ne lui laisserais aucun répit. C'était entièrement de sa faute, s'il venait à me chercher et qu'il allait me trouver. Je n'y pouvais strictement rien. - Ah mais, évidemment que je préfère être seule que très mal accompagnée. Ça permet de se rendre compte qu'au final, il n'y a certainement pas besoin de quelqu'un qui s'empresse de faire de bien mauvais choix au vu de son existence. Un haussement d'épaules, avant de poursuivre sur ma lancée, le fixant sans ciller de mon regard vert : ... elle ne me manquait clairement pas, cette attitude plus que détestable. Mais soit, un pari reste un pari. Même si j'ai bien plus envie de te gifler maintenant que d'avoir à t'affronter demain, au petit matin. Un silence, avant de l'entendre à nouveau, ce qui, sans qu'il ne le sache encore, se mit à décupler mon ire. Et, ce fut cet instant que choisit le serveur pour réapparaître avec nos nouvelles boissons et mon verre entier de glaçons. Si au départ, j'en mettais quelques-uns dans mon verre de matcha latte pour le refroidir, j'en conservais d'autres, pour cette idée que j'avais eu en tête, quelques temps auparavant et qui n'avait pas quitté mon esprit. Surtout pas après le laïus de mon vis-à-vis. Portant le breuvage clairement refroidi à mes lèvres pleines, j'en buvais une gorgée, me relevant pour m'approcher de ce sportif du dimanche qui pensait que la victoire lui était un brin trop aisée. Afin de murmurer à son oreille, faisant pencher honteusement le contenu de mon verre : - Il y a quelque chose que je vais mettre en jeu. Un autre silence. Ton aplomb. Et de déverser sur lui, mon pauvre matcha latte, dont j'avais pris qu'une gorgée. Ne t'en fais pas pour ma part, je l'ai déjà payée. Et toi, ça te permettra de comprendre, la fascination que j'ai pour cette boisson qui va te revigorer comme jamais et calmer ta prétention. Sois-en certain. Une révérence, alors que je prenais mes affaires pour me diriger vers ma voiture, un sourire satisfait. Quant à savoir, si je maintenais ce qui se passerait demain ... rien n'était moins sûr. - FIN - |
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