ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 214 POINTS : 360
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
- Il va falloir qu'on en discute, Naë ! C'est important, et tu l'sais.
- Ah oui ? Pourquoi ? J'vois pas ce qui te dérange.
Oh, wait. 'Cause I suck dicks for a living. Austin est à deux doigts de le lui cracher au visage. Ça et mille autres reproches qui n'attendent qu'un point de rupture - imminent - pour exploser dans tout l'appartement. Elle n'est pas assez tactile, pas assez romantique, elle ne démontre guère son affection et ne lui apporte pas la suffisance sexuelle escomptée - le comble pour une p*te, il doit le penser.
Le fond du problème n'a pourtant rien à voir avec une histoire de cul. Ou même d'argent, puisque l'un semble intimement lié à l'autre. Fondamentalement, comme elle l'avait mis en garde - mais t'inquiètes babe, j'peux encaisser, te supporter - Danaë ne sait pas comment aimer. Les standards lui sont étrangers, et les disquettes des courtisans s'étiolent bien vite, lorsqu'ils découvrent l'envers du décor. Pourtant, Austin est là. Il est là parce qu'il n'est pas encore parti, voilà tout. Ce n'est qu'une question de temps.
On ne l'aime pas, Danaë, on la désire.
Des semaines qu'une conversation lui pend au nez. Il voudrait qu'elle arrête, abandonne ce train d'vie pour la simplicité, moins de billets mais plus de temps à son côté. De l'argent gagné sans perdre en retour sa dignité. Mais la brunette prétend toujours qu'il ne s'agit là que de vocabulaire; dignité, vénale, catin, bonheur, ce ne sont que des mots. Des mots forts, qui connotent un impact dans le quotidien, et qu'elle tente donc d'effacer, pour ces mêmes raisons. Elle s'en persuade devant les autres, revêt son plus beau masque et devient intouchable; dans les coulisses, néanmoins, c'est bien Austin qui, deux fois par semaine, tient ses mèches folles au dessus de la cuvette. Sa proximité rend sa requête légitime, et agace profondément Danaë.
Le portable vibre, et sonne la fin des hostilités. Ou plutôt le début. L'huile sur les braises d'un foyer en pleine implosion. Raelyn. Il sait reconnaitre les appels du club, la mine à moitié désolée de sa copine, dont il ne peut qu'imaginer les prochaines actions. A chaque fois, c'est le même manège; comme un round d'orgueil, les pulsions du au revoir qui pointe lentement à l'horizon. Austin la désire, et vient toujours la chercher. Elle se laisse faire, lui donne l'assentiment; sa violence lui fait payer son affront, il ne le fait qu'à titre symbolique, pour prendre ce qui n'est point encore souillé. A son retour, il la laissera de côté. Les premières heures, il n'osera même la regarder. Et elle ne saurait lui en vouloir. Au fond, elle attend juste qu'il s'en aille. - Sauve toi de moi, honey.
Ce soir, c'est elle qu'on attend. Pour une raison qu'elle ignore, pour un motif quelconque; si le club appelle, sa frêle carrure débarque. C'est la première règle. Et s'il s'agit de Raelyn, plus encore, puisque la blonde est à l'origine de sa présence dans l'organisation, puisqu'elle rendait déjà service, avant d'être "intronisée". A défaut de posséder le moindre recul sur cette position, Danaë évite les miroirs; mieux vaut ne pas se regarder, même si le paraître reste charmant. Seule la perspective d'une liasse conséquente de liberté l'intéresse, et motive sa démarche. Money is king, bitch. Deux clopes pour le trajet : la première est rituelle, la seconde sert d'anti-stress; vient ensuite le poème, une aspiration futile, la beauté mélancolique, celle qui lui ressemble. A une passante. Écrirait-on pareil hymne à la gloire de sa démarche ? Peut-être serait-elle l'allégorie vivante de ces vers, la chimère de ces messieurs.
La poésie détache son esprit de toute contrainte, la porte toujours à distance des actes effectués. Elle ne sait ni comment, ni pourquoi; comme une Fleur du Mal, prête à joindre l'ignoble et l'agréable, ce recueil est sa Bible, les vers d'infortune du poète, son chemin de croix personnifié. Habituellement drapée de noir, jeune lady se présente à la porte et appuie sur l'interrupteur. Les mains canalisent la nervosité dans les poches de cuir, le visage se veut neutre, impassible, éternellement nonchalant. Sa marque déposée. - Bonsoir.. C'est Danaë.
code par EXORDIUM. | Images par Oblivion
she's like the wind
Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
while your lips are still red Raelyn Blackwell & @Danaë Lescaut ☆ crédit/fuckyougifs
Les discussions durent depuis dans heures et je commence à ressentir un élan de lassitude. L’offre que je fais à mon interlocuteur – gros fournisseur de came de la région – est plus qu’intéressante. Sa marchandise ne s’écoulera jamais aussi vite sur Brisbane que dans les mains du Club et, après des heures de négociation, le tarif sur lequel nous sommes presque tombés d’accord est intéressant pour les deux partis. Un peu trop onéreux à mon goût, mais la qualité se paye. « Ce que tu nous propose est intéressant Raelyn. Mais je pense que j’ai besoin… d’un petit peu d’aide pour prendre ma décision… » L’homme se penche vers moi, pose une main sur ma cuisse dénudée. "Nous y voilà." Les hommes sont tous les mêmes. J’ôte sa main de ma peau, éclate de rire, puis le dévisage, cherchant à comprendre ce qui a pu le pousser à croire qu’il s’agit du genre de négociations auxquelles je suis ouverte. « Je suis pas à vendre Oliver. » Peut-être n’est pas clair pour lui, mais je n’ai jamais couché pour atteindre mes objectifs. Et je ne suis certainement pas prête à être réduite à ce genre de chose. Je tire une cigarette de mon paquet, l’allume, et dévisage mon interlocuteur. « Mais si tout ce dont tu as besoin pour prendre ta décision c’est ce genre de coup de pouce, je peux effectivement faire quelque chose pour toi. » Je marque une pause, jaugeant sa réaction. « Je te contacte dans la soirée. Reste disponible. » Il acquiesce d’un signe de tête, sa curiosité piquée au vif par ma proposition et, de mon côté, je me lève, lui serre la main, et quitte l’arrière-salle du restaurant de Mitchell dans laquelle j’ai l’habitude de recevoir certains fournisseurs.
Le fait que je ne suis pas prête à vendre mon propre corps ne signifiant pas que je suis fermement opposée à ce genre de pratique, sur le chemin du retour jusqu’à mon loft, je pianote un message sur mon téléphone à la jeune Danaë. "Aujourd'hui, 19:30. 606 Spring Hill" Inutile de préciser que si elle avait des plans, elle peut les annuler ; la brune sait comment les choses fonctionnent. La jeune femme était loin d’être un oisillon innocent lorsque je l’ai rencontrée ; j’ignore ce qui m’a poussée à lui proposer de bosser pour moi, pour nous, je l’ignore encore. Les contours de son engagement envers le Club sont vagues et cela ne me pose aucun problème : elle finira par être happée par la toile d’araignée qu’est l’organisation criminelle. Son culot et sa détermination peut-être. Sa nature retorse que je sentais dissimulée derrière son minois de petit ange. C’est ce qui me pousse en tout cas à faire appel à elle pour ce genre de jobs particuliers, lorsque des fournisseurs me font le même type de demandes voilées que celle qu’a formulée Oliver ce soir. Le Club a son lot d’escort mais, pour mes affaires, je préfère trier les ressources sur le volet.
Et c’est ce que la demoiselle était devenue, une ressource. Et une ressource qui jusqu’ici s’est révélée d’une utilité certaine. Le bruit de l’interphone me tire de mes pensées. Très bien, elle a suivi mes consignes sans poser de question : une qualité que j’apprécie particulièrement. « Bonsoir. C’est Danaë. » Vérifiant à l’écran que c’est bien la demoiselle qui est en bas de mon immeuble, j’ouvre en me contentant de lui indiquer l’étage, sans un mot de plus. Je déverrouille la porte d’entrée et, attendant qu’elle gagne mon appartement, j’allume une cigarette, me dirige vers la baie vitrée que j’entrouvre, et cale mon dos contre le cadre de la vitre ouverte, mon corps à moitié à l’intérieur de l’appartement. « Installe-toi. » Mon ton dénote autant de l’ordre que de l’invitation. « Si t’avais des plans ce soir, annule-les. » Cette fois, le doute n’est plus permis : il s’agit d’une injonction. Je tire une latte supplémentaire de ma cigarette, avant de reprendre. « J’ai besoin que tu me rendes un service. » Le terme ne pourrait pas être plus mal employée : c’est de sale besogne qu’il s’agit. Finalement, je fais un pas à l’intérieur afin de lui tendre mon paquet de cigarette et, le bras dans sa direction, j’attends une réaction de la jeune femme.
:
Danaë Lescaut
la petite mort
ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 214 POINTS : 360
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
Son avis ne compte pas vraiment de toute façon. Elle a perdu le droit de s'exprimer en choisissant l'argent, en allant compromettre sa liberté. Pour une autre, avait-elle pensé, songeant à tout ce qu'elle pourrait s'offrir par la suite. Pour sa sœur - même si cette dernière n'a aucunement besoin de son aide, et pour elle-même. Surtout pour elle d'ailleurs. Égoïste créature douée pour se créer des travers tout en prétendant aller de l'avant. Arsinoë ne la comprend pas vraiment, et Austin non plus. Ni eux, ni les autres, les prétendants, toute la clique des beaux-parleurs et des soit-disant amis; Danaë évolue seule, dans cette robe ténébreuse qui suinte le vice et crée pourtant l'aura envoûtante. En bref, le serpent-poison se mord la queue, et repart pour un tour.
C'est une nouvelle dose qu'elle vient chercher. A sa façon, auprès d'une Dame de qualité. Il fallait qu'elle soit femme, pour que cela fonctionne; peut-être s'y est-elle identifiée, comme à une figure supérieure qui impose, de concert, le respect. Peut-être une réminiscence maternelle, l'attrait puissant et corrompu d'une impitoyable lady, le genre qu'elle rêve de devenir, le genre dont il faut apprendre lorsque cela est permis. Aussi avait-elle choisi de s'en approcher. De lui tourner autour et de lui laisser à loisir, le droit de l'utiliser. Tu seras fière. Tu ne le diras pas, mais tu seras fière. Gonflée d'orgueil quoique toujours empreinte de sa caractéristique désinvolture, celle qui agace et fascine tout à la fois, la sirène persifleuse rejoint sa maîtresse. Guère de politesse, mais une forme de bienséance tout de même. Après avoir refermé, Danaë s'avance, garde les mains dans les poches de sa veste et s'immobilise dans l'entrée. S'installer rime probablement avec cela. Pour l'instant. Aucun commentaire, d'abord, juste la contemplation des lieux, du type de luxe dont elle ne peut que rêver. Elle vaincra pour arriver là, pour décrocher les étoiles et les hauts-plafonds. Une observation discrète, et un hochement de tête; - C'est déjà fait. par anticipation, parce qu'elle aurait - dans le pire des cas, posé un lapin à ses rendez-vous; personne ne passe avant Raelyn, pas même elle. C'est son seul compromis, pour obtenir ce que l'avenir se doit de lui fournir: répondre présente et s'oublier pour la blonde, toujours et en toute heure.
Crédule aurait-elle été de croire que l'invitation se portait à un dîner. Heureusement, elle ne l'est pas. Pas tant, tout du moins. En l'absence de réponse verbale, c'est la tige ôtée à son paquet - jamais deux sans trois - qui fait office de réaction; Danaë l'invite à poursuivre, et rejoint à son tour la vitre ouverte. Le face à face peut commencer. - Qui, où et quand ? comme un mercenaire stipendié à la tâche, la demoiselle prend finalement les devants. Et tacitement offre la moitié de son assentiment. - Par contre.. Mes tarifs vont augmenter. l'argent est sa seule condition, et la muse vénale ne s'en cache pas; pire, elle en joue, se donne un air de maîtrise qui voudrait l'élever dans la conversation.
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Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
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Je détaille la jeune femme lorsqu’elle entre dans l’appartement, comme si, au-delà d’une personne, elle était une énigme à résoudre. Et c’est certainement ce qu’elle est aux yeux de beaucoup – je suppose que c’est volontaire – mais moi, je la devine ou plutôt, je crois la deviner. M’étant toujours targuée d’être un bon juge de caractère, il y a toutefois un mystère qui demeure à mes yeux concernant Danaë, et il est question de son assurance. Parfois, j’ai elle me donne l’impression que rien ni personne ne peut l’impression et, à d’autres moments, j’ai la sensation de sentir sa confiance en elle se morceler, comme si elle n’était qu’un masque destiné à l’esbrouffe plus qu’une conviction profonde. Elle me rappelle une jeune femme que je connais bien, une que j’ai bien connue, plutôt. Contrairement à ce que beaucoup de filles du Club pensent, peut-être parce que j’arbore en permanence un air hautain, je ne les regarde pas avec dédain. Ce que je ressens à leur égard s’apparente bien plus à de l’indifférence mais je ne méjuge pas leur valeur simplement parce qu’elles vendent leur corps. Je suis lucide sur ce que j’aurais terminé de la même façon sans la main sauveuse de mon ex tendue dans ma direction. Parce qu’il s’est entiché de moi, il m’a évité le pire des destins. Sans lui, j’aurais tapiné, pas pour m’offrir des sacs Hermès ou des robes Valentino, mais pour pouvoir mettre la main sur mon prochain pochon de cocaïne.
Tout ça pour dire que je suis bien incapable de deviner ce qui traverse l’esprit de la rose noire et que c’est aussi frustrant que c’est excitant, d’avoir à faire à ce genre de personnage.
« C'est déjà fait. » De la discipline. Un vague sourire s’affiche sur le coin de mes lèvres. Résignation ou discipline ? Difficile à dire, mais dieu que j’aime cette putain de sensation de contrôle. J’y suis accro, aussi bien dans mes relations professionnelles que personnelles : une caractéristique qui me rend difficile à apprécier, j’en ai bien conscience. « Qui, où et quand ? » A nouveau, la brune ne cille pas, elle ne montre pas la moindre hésitation et me tire un rire clair. « Aucun scrupule, hum ? » Il s’agit d’une question rhétorique, pas d’une réelle interrogation. Elle m’amuse et, puisqu’elle m’amuse, elle ne s’en tirera pas aussi "efficacement". « Détends toi princesse, j’ai l’impression d’être un tyran. » Bien sûr, je n’en rougirais pas si c’était réellement le cas, mais je ne l’avoue pas à voix haute. Quoi qu’il en soit, que je sois bourreau ou pas, elle n’est pas victime : elle sera grassement rémunérée, elle l’est à chaque fois que je fais appel à elle. « Par contre... Mes tarifs vont augmenter. » Un rire amusé me soulève la poitrine et, d’un geste nonchalant, j’écrase ma cigarette dans le cendrier posé sur la rambarde du balcon. Rejoignant l’intérieur de l’appartement, je me dirige vers le bar, que j’ouvre pour sortir deux verres ainsi qu’une bouteille de scotch. Un pas vers le frigo américain pour faire tomber quelques glaçons dans les verres plus tard, et je dépose les deux verres sur la table basse avant de les remplir. Je fais glisser une gorgée du premier dans ma gorge et, si le second est bien pour la prostituée, je ne m’abaisse pas à le lui tendre. Si elle le veut, elle devra me rejoindre et s’installer face à moi, sur l’un des fauteuils du salon. Si c’est elle qui vient à moi, le rapport de force ne sera on ne peut plus clair. Il l’est déjà.
Je pose finalement mon verre sur la table basse, après une seconde gorgée puis, croisant mes jambes, je m’enfonce dans le canapé gris, une main sur les genoux et l’autre calée à la naissance de ma nuque. « Ne deviens pas trop gourmande. » C’est un conseil autant qu’un ordre ; j’ai l’art et la manière de toujours mélanger l’un et l’autre. « Je suis désolée si je t’ai donné l’impression que c’était une négociation. Ce n’est pas le cas. » C’est à prendre ou à laisser. « Si je t’ai traité avec trop d’indulgence et que tu as pris de mauvaises habitudes, rappelle-toi que tu n’es pas irremplaçable. »
:
Danaë Lescaut
la petite mort
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Aucun scrupule, en effet. Il n'y en a jamais eu, pas plus maintenant que dans sa vie passée, et encore moins dans celle "à-venir". La muse vénale, encore une inspiration tordue tout droit tirée des méandres du recueil Baudelairien. Danaë se charge personnellement de rendre les mots vivants, en usant des tares de l'humanité; des maux à fleur de peau, le langage de la perversité. Seulement, malgré son jeune âge et son arrivée récente dans le milieu, l'ambition se fraie déjà un chemin et alimente le foyer de ses attentes. Elle n'est pas en position de force, surtout pas quand le vis-à-vis est une figure emblème, presque allégorique, de la puissance féminine. Mais là où d'autres s'inclineraient de bon gré, elle en décide autrement; ce n'est pas tant par affront, mais parce qu'elle le peut, parce que sa soif ne connait - vraisemblablement - aucune limite. Je veux plus, toujours plus.
Il n'en fallait cependant pas plus pour faire rire la Madone. Bien sûr, brunette doit avoir l'air d'une gamine prétentieuse, irrévérencieuse, assez sotte pour se prétendre maître du jeu, assez crédule pour ne serait-ce qu'imaginer avoir son mot à dire. Peut-être ne l'a-t-elle pas, sûrement d'ailleurs, mais Danaë ne saurait en démordre; elle l'ouvre, toujours de trop, assez pour qu'on la remarque. Et si Raelyn imagine qu'elle va suivre sa démarche, selon l'ordre établi et hiérarchique, pour la rejoindre et venir lui faire face, il n'en est rien. Le rapport de force n'en demeure pas moins clair, évident; mais Danaë reste éhontément assise à la fenêtre, tournée vers le dehors autant que sa maîtresse. La clope se consume doucement, à mesure qu'elle tire dessus; sans se presser, sans laisser présager d'une quelconque volonté de s'abaisser aux rouages en vigueur; - Je sais, je sais.. Un vagin est un vagin. Un d'perdu, dix de retrouvés. le sien ou un autre, quelle différence pour un contrat ? Mais c'est justement là, dans ce caractère tout à fait banal, remplaçable d'un claquement de doigts, qu'elle file son meilleur coton. Lorsque le visage se tourne, baigné d'arrogance, la cadette entend faire comprendre que son rôle n'a rien de commun, tout comme elle n'a rien d'une fillette quelconque. - Combien d'fois t'as pu conclure grâce à moi, déjà ? Combien de clients te sont fidèles grâce à la promesse d'une nuit en ma compagnie, mmh ? le rictus s'étire, les lippes jouent avec la fumée, les volutes imitant les courbes d'une grâce dénudée. Peut-être qu'une autre pourrait faire de même, très probablement. Mais c'est elle qui est appelée. - Aucune autre de tes putes n'est comme moi, tu le sais bien. Certains de tes clients le savent aussi.. Et ce n'est qu'un début. par son incarnation, par son histoire et ses mystères, elle est une plus-value. Même s'il fallait perdre la négociation - même si ce n'en est pas une, son mordant est mis à l'épreuve; soyons honnêtes : une femme de caractère, ça a d'la gueule.
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Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
while your lips are still red Raelyn Blackwell & @Danaë Lescaut ☆ crédit/fuckyougifs
Je note que la brune ne me rejoint pas, qu’elle reste résolument appuyée le dos contre l’encadrement de la porte fenêtre plutôt que de s’asseoir face à moi sur l’un des fauteuil crème du salon. Je ne suis pas assez naïve pour penser qu’il s’agit d’un problème de compréhension ou qu’elle lit mal la situation : je sais qu’il s’agit d’une rebuffade volontaire. Elle me provoque en refusant de se soustraire à la hierarchie naturellement en place, et elle m’extirpe un sourire amusé qui ne restera accroché à mes lèvre qu’un temps. Maintenant qu’elle a prouvé qu’elle était une forte tête, plus les minutes m’amuseront, plus sa délicieuse insolence m’irritera, moi qui suis habitée à être obéi au doigt et à l’oeil. Pour l’instant, je sirote le verre de scotch que je me suis versée en me disant que c’est tant pis pour elle : le délicat et exigeant breuvage ambré est un délice en bouche. « Je sais, je sais.. Un vagin est un vagin. Un d'perdu, dix de retrouvés. » Espère-t-elle que sa vulgarité me choquera ou est-ce uniquement sa façon de de parler naturelle ? Dans le second cas, j’ose espérer qu’elle sait se contenir et enfiler un masque de sophistication face à ses clients. Si d’aventure ma première supposition était la bonne, alors cela signifierait qu’elle se trompe lourdement sur le genre de personne que je suis. Je ne suis pas une grande dame, habituée à un niveau de langue soutenu et aux choses les plus distinguées. Comme beaucoup d’entre elles - les filles de Steven ou autre vendeuses de charmes en tout genre - je viens de la rue. J’emploie un langage fleuri bien plus souvent que je ne fais preuve du genre de distinction propre à la noblesse et aux bourgeois.
« Combien d'fois t'as pu conclure grâce à moi, déjà ? Combien de clients te sont fidèles grâce à la promesse d'une nuit en ma compagnie, mmh ? » - « Je ferais bien mal mon boulot si la seule chose qui les retenait, c’est ce que tu as entre les cuisses. » Amusée par sa répartie, je ne me démonte pas. Qu’elle ne se fourvoie pas : elle est à leur yeux un délicieux bonbon, pas le plat de résistance. Ce dernier, il s’agit de tout l’argent que mes fournisseurs et distributeurs tirent de nos accords. Elle est la cerise sur le gâteau, et ce qu’on attend de la cerise, c’est de ne pas franchir la fine limite entre l’amusante insolence et l’insubordination. « Aucune autre de tes putes n'est comme moi, tu le sais bien. Certains de tes clients le savent aussi.. Et ce n'est qu'un début. » Ce ne sont pas mes putes, ai-je envie de lui siffler avec mépris. Je ne suis pas mère maquerelle, je laisse ce genre de tâche répugnante à ce rustre de Steven. Moi, je pioche simplement dans les ressources à disposition. Toutefois, elle marque un point : je ne pioche plus si souvent depuis que j’ai rencontré la brune. Avec elle, le travail est bien fait. Vais-je céder à sa grossière tentative de m’escroquer quelques dollars Australiens de plus pour autant ? Certainement pas. « Tu as du caractère Dani. On a compris. » Je rétorque, peu impressionée. « Je te paye pratiquement le double de ce que tu gagnes lorsque tu baises l’un des clients de Steven dans un motel pourri. » Moi aussi je peux parler cruement jolie fleur. « C’est bien d’avoir de l’ambition. » Je n’en avais pas assez, à son âge. Aujourd’hui, j’en ai à revendre. « Mais c’est dangereux de vouloir brûler des étapes. » Ma conclusion lui signifie clairement qu’à mes yeux, le débat est clôs. Retourne faire le tapin si tu n’es pas satisfaite. J’admire son cran, mais je n’ai pas l’intention de la laisser emporter ce bras de fer amusant. Je bois une gorgée de plus de mon verre en cristal, avant d’ajouter. « Rien de bien original ce soir. Un homme riche et imbu de lui même classique. Trop fier pour admettre qu’il paye pour qu’une jolie poupée dans ton genre couche avec lui. » Elle posera autant de questions qu’elle a envie de poser. Ce qu’elle comprendra, c’est que sa "cible" préfèrera qu’elle entre dans un innocent jeu de rôle le temps d’une soirée, qu’elle prétende être sous son charme.
:
Danaë Lescaut
la petite mort
ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 214 POINTS : 360
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
Jouer dans la cour d'une Reine, l'occasion idéale pour tester ses propres compétences. Si Raelyn demeure indéniablement au delà de toute atteinte, son jeu n'en demeure pas moins intéressant. Outrecuidant, mais définitivement fort d'un potentiel à entretenir. L'assentiment n'est pas pour ce soir, mais il viendra. Avec l'expérience et les contrats signés, les clients satisfaits et les murmures à son sujet, Danaë le visualise déjà : ses lauriers trouveront chemin jusqu'à son crâne, et celle qui n'était qu'une petite pute s'élèvera dans la chaîne alimentaire. - Il n'est pas question de ta capacité à convaincre.. Celle-là tient de l'évidence. voici venir le temps des jeux de mots; ceux qui agacent, les subtiles nuances qui donnent à son sourire, l'arc effronté, source de ses charmes. - Moi, je parle de la conclusion. me vois-tu venir, lady ? La clope est balancée par la fenêtre; enfin, pourrait-on dire, elle rejoint l'hôte et ose lui faire face, s'empare du verre et en descend la moitié, comme pour affirmer son assurance. - C'est sur l'oreiller que ça se passe, la finalité. avec elle, dans ses bras, entre ses cuisses, au creux de ses draps; pas autour d'une table avec celle qui incarne pourtant le contrôle.
Mais la négociation n'en est plus une, et son timbre tient désormais plus du rappel que d'une requête d'augmentation. Elle a perdu, aujourd'hui. Mais ici repose la vérité. Aussi s'incline-t-elle à l'évocation d'un fait, sa façon d'imiter Icare en se promenant près du soleil; à trop en vouloir, elle se cramerait les ailes. - J'risquais pas grand chose, à part un "non". fait-elle remarquer, un haussement d'épaules la replaçant dans cette nonchalance prégnante; plutôt à l'aise malgré les apparences, l'index sillonne le contour du verre, sans qu'elle ne lâche Raelyn du regard. - Pis j'ai même obtenu de ta part une grossièreté.. C'est presque une victoire. taquinerie gentille, peut-être une manière de tester leur rapport, une éventuelle complicité, ou un froid et une distance qu'elle lui imposerait. Alors, pour être certaine, Danaë essaie.
Un autre hochement de tête. Oui Madone, je sais ce que j'ai à faire. Simplement être moi-même. Porter un masque ne la rebute pas, bien au contraire; c'est la partie amusante de l'instant, et le prétexte idéal pour confronter ses talents d'actrice. - Je flatterai son égo, c'est pas un soucis. J'aurais sûrement droit à une bouteille de champagne en prime.. Les plus classes pour lesquels tu m'sollicites me font parfois des cadeaux. des bijoux, des conneries hors de prix, des trucs qu'elle revend ou refile à sa sœur; même une robe, une fois, pour un dîner galant. Tout pour lui rappeler que, même dans ce travail de bas-étage, dans la condition la plus vulgaire, Danaë n'en demeure pas moins une princesse, un véritable joyau de luxe. - Comment tu fais pour.. Mmh, concilier ta vie privée et ta vie pro' ? s'autorise à demander, à rechercher son expérience, ce recul qu'elle ne saurait inventer, et qui lui fait actuellement défaut.
code par EXORDIUM. | Images par Oblivion
she's like the wind
Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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while your lips are still red Raelyn Blackwell & @Danaë Lescaut ☆ crédit/fuckyougifs
« J'risquais pas grand chose, à part un "non". » Un sourire presque sauvage étire mes lèvres face à la rhétorique de la demoiselle. Non, en effet, elle ne risquait pas grand-chose, ce qui ne sera pas toujours le cas si elle décide de prendre l’habitude d’engager avec moi des bras de fer du genre. Si d’aventure elle me donnait l’impression de jouer les fortes-têtes avec moi ou, pire, si elle décidait de se mesurer à moi bien plus directement en tentant de saper mon autorité d’une façon ou d’une autre, les risques seraient bien plus élevés, mortellement élevés dans le cas le plus extrême, si j’ose dire. Se doute-t-elle que, au-delà des apparences et de l’aura de laquelle je m’entoure, je suis réellement dangereuse ? Que les gros bras, les physiques imposants et les minois repoussants ne sont pas toujours ceux dont il faut le plus se méfier et que, derrière mes airs de princesse aux ongles manucurés, je suis prête à me salir les mains ? Que je ne cille pas plus devant un corps froid qu’à l’idée d’envoyer une jeune femme tout juste majeure se prostituer pour le bien de mes affaires ? « J’ai hâte de voir où ce raisonnement nous mènera. » La mènera. Quitte ou double pour elle, moi, je ne prends pas beaucoup de risques. Si j’avais des crocs, je les dévoilerais d’un sourire carnassier. « Pis j'ai même obtenu de ta part une grossièreté. C'est presque une victoire. » Je lève un sourcil, toujours amusée, pas agacée par sa subtile insolence. « Puis qui tu me prends exactement ? » Pour être surprise ou en tout cas considérer la chose comme un exploit. « Une lady ? » Je jure comme une charretière lorsque l’on me met hors de moi. Cependant, j’admets et concède qu’il est rare de me voir sortir de mes gonds, et qu’il s’agit d’un spectacle auquel elle n'a jamais eu droit. Toutefois, je n’ai pas le langage châtié de ces femmes désireuses de ne faire aucune vague, de ne pas choquer, de rester dans les limites de la bienséance. Diable, la bienséance ne m’a jamais préoccupée. J’aime choquer, si bien que, si la chose la choque, je m’emploierai à user davantage de mon langage fleuri en sa présence.
« Je flatterai son égo, c'est pas un soucis. J'aurais sûrement droit à une bouteille de champagne en prime… Les plus classes pour lesquels tu m'sollicites me font parfois des cadeaux. » - « Tu dois jouer un rôle plutôt que flatter son égo. » Personne ne tombera dans le panneau mais les hommes sont d’une simplicité effrayante : il arrivera à se convaincre de tout ce dont il veut se convaincre si tant est qu’elle y mettre un peu du sien. « Tu seras… » Je mouline de ma main gauche, lui faisant signe de décliner l’identité qu’elle a décidé d’utiliser pour cette mission. « … Une amie de longue date. » Je songe un instant à notre différence d’âge assez marquée pour que la chose ne soit pas tout à fait crédible en l’état. « Une amie américaine - » C’est "exotique", et je ne suis pas idiote, l’accent de Dani, lorsqu’elle ne prend pas garde à le dissimuler, n’est pas celui d’une Australienne ou d’une Européenne. « - qui est de passage, une fille frivole qui veut faire la fête et s’amuser. » Un rôle simple pour la bonne actrice qu’elle est.
« Comment tu fais pour.. Mmh, concilier ta vie privée et ta vie pro' ? » La question – plutôt personnelle – me surprend. Elle ne me refroidit toutefois pas, je m’interroge simplement sur son objectif. Cherche-t-elle à briser la glace parce qu’elle pense que c’est ce que j’attend d’elle, ou bien est-elle réellement curieuse. « Je ne baise pas pour le travail, ça aide. » Je porte mon verre à mes lèvres, verre que je déguste, contrairement à elle. On ne descend pas cul-sec un scotch de cette qualité. Elle voulait de la vulgarité ? En voilà. « Et je ne tape pas dans les mufles du Club. » Le qualificatif indique que la chose n’a rien d’un sacrifice non plus. « La réponse à la question t’intéresse-t-elle réellement ? » Et ma vie privée ?
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Danaë Lescaut
la petite mort
ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 214 POINTS : 360
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
Sa désinvolture lui coûtera sa tête, comme elle coûta celle de ses parents, voilà maintenant quelques années. Danaë ne s'en est jamais excusée, prenant les figures d'autorité pour exemple; ils n'ont jamais bronché, même lorsque le couperet est tombé. Ce sont les gènes de la famille, et un subterfuge efficace pour justifier ses agissements; nul besoin de changer, autant vivre d'audace et de confiance excessive, quitte à le payer plus tard au prix fort. Pour l'heure, le débat est clos; néanmoins, rien ne l'empêche de viser plus haut. En temps voulu, l'échelon suivant se déploiera à portée de main. Bien sûr, Danaë s'empresse d'opiner, hochant rapidement la tête pour confirmer le terme, parfaitement approprié à la représentation projetée de sa Madone; tu aurais presque ta place sur une peinture de la Renaissance, mais elle gardera cette pensée secrète, pour le bien de l'instant présent. - On admettra quand même que t'es plus proche de la lady que de la demoiselle.. La différence est prégnante. puisqu'elle représente l'image de la jeune fille, facile et tout juste élevée; un constat assumé, presque tourné en dérision.
- Je joue un rôle pour flatter l'égo. l'un va avec l'autre dans sa conception; c'est bien là ce que viennent chercher les hommes: une charmante compagnie prête à rentrer dans l'illusion, à offrir le mirage d'une vie exceptionnelle, d'un sex-appeal qu'ils ne possèdent pas vraiment. Mais soit. Un hochement de tête souligne l'assentiment, et la bonne compréhension du sujet : je jouerai mon rôle, Madone. - Ainsi soit-il. ce sera presque naturel, tant pour le côté américain que le penchant frivole, pleinement assumé. - La prochaine fois, tu peux aussi me mettre des instructions par message; le reste est de mon ressort, et je sais exactement quoi faire. autant appuyer le professionnalisme qui est le sien, et faire valoir son efficacité - je ne décevrai pas, Madone. Finalement, ce ne sont que des détails, un script qu'elle aurait même été en mesure d'improviser.
Mais Danaë n'est pas simplement venue pour peaufiner ce qui tourne déjà, comme une horloge bien réglée; Raelyn l'intrigue, la fascine aussi et ce, depuis le jour où les regards se sont croisés. Alors elle ose, sans prendre de gants, poser la question qui l'interpelle - et n'attendait pas moins de son retour, piquant à juste titre. De quoi la faire sourire, d'un amusement non feint, d'une légèreté qu'elle irait jusqu'à revendiquer. - Pan. Bien joué. l'insolente joue l'effet miroir, porte le verre à ses lèvres, mais sans déguster le breuvage. L'alcool n'est jamais fait que pour faciliter les contacts, la parole, les blackouts et les vieilles gueules de bois; elle n'apprécie pas, se contente de consommer. - Je ne pose pas la question si je me moque de la réponse. tranche-t-elle, avant de rectifier, levant brièvement les yeux au ciel, - enfin, sauf pour le travail.. Cela va de soi. les obsidiennes reviennent à la charge, détaillent éhontément le visage de sa semblable, nouvelle figure de prestance dont elle pourrait s'inspirer. - Si tu préfères les échanges concis, un simple sms est suffisant. le buste, jusqu'alors enfoncé dans l'assise, se redresse; les coudes prennent appui sur les cuisses, le corps s'implique dans la conversation. Réponds moi vraiment, Madone.
code par EXORDIUM. | Images par Oblivion
she's like the wind
Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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« On admettra quand même que t'es plus proche de la lady que de la demoiselle.. La différence est prégnante. » Je l’observe un instant, l’ombre d’un sourire sur les lèvres, songeant que personne parmi ceux qui me fréquentent ou me côtoient simplement de loin au sein du Club, personne ne songerait à me qualifier de telle. Je ne suis pas douce, je ne suis pas disciplinée, pas plus que je ne suis empathique et généreuse et je suis tout sauf courtoise. « Une lady ou une demoiselle, ce sont les deux seules possibilités, c’est ce que tu penses ? » Ce serait terriblement réducteur, trop manichéen pour que je n’espère pas une réponse différente, même une pirouette ou un trait d’esprit pour se tirer de cette joute verbale. Parfaitement consciente de ce que je fais ou essaye de faire, j’aspire à la voir de débattre avec ses mots comme si elle était prise dans des sables mouvants. Force est de constater qu’elle me prive de ce plaisir : pour l’instant, sa répartie est intéressante. Je ne suis pas plus une lady que je suis une demoiselle. Je suis une louve. Cruelle, méthodique, sauvage et solitaire.
« Je joue un rôle pour flatter l'égo. » J’admets d’un léger hochement de tête qu’elle n’a pas tort. Jamais avare d’efforts lorsqu’il s’agit d’avoir le dernier mot, je l’interroge. « Et là - » Avec moi, en ma présence. « - quel rôle tu joues ? » Si elle est au moins à moitié aussi maligne qu’elle a l’air de l’être, elle a certainement deviné que flatter le mien, d’égo, est une approche fructueuse. Le fait-elle ? Se concentre-t-elle simplement sur le fait de ne pas flancher et de ne m’accorder aucun round ? Me laisse-t-elle au contraire prendre l’avantage parce qu’elle aura deviné que j’aime sortir gagnante d’une joute verbale ? « Ainsi soit-il. La prochaine fois, tu peux aussi me mettre des instructions par message; le reste est de mon ressort, et je sais exactement quoi faire. » Je note sa remarque, presque froide, trop factuelle, d’un froncement de sourcils presque imperceptible. Toutefois, je me tais, je la laisse pour l’instant venir à moi. Si elle ne cherche qu’à se rebiffer sous prétexte que je l’ai faite déplacer pour rien, elle joue à un jeu dangereux. Je lui ai demandé de se déplacer parce que j’en avais le pouvoir. Parce qu’en un message, je peux la forcer à annuler tous ses plans et venir ramper jusqu’à moi. Je n’ai jamais eu besoin d’une raison particulière, ou d’une instruction particulière à transmettre.
La jeune fille profite de l’occasion pour m’interroger sur un sujet plus personnel. L’angle d’attaque est intéressant. La question l’est moins, mais je lui laisse le bénéfice du doute ; peut-être commence-t-elle doucement pour tâter le terrain sur lequel elle s’engage. « Pan. Bien joué. » La simple vérité a été efficace, dans le cas de figure présent. Pour les hommes – habitués à réfléchir avec leur queue – il est surement bien plus tolérable de se savoir aux côtés d’une dealeuse, même sans la moindre conscience, même cruelle, plutôt que d’une pute. « Je ne pose pas la question si je me moque de la réponse. Enfin, sauf pour le travail... Cela va de soi. » Elle s’interroge réellement donc, quand la réponse me semble d’une évidence enfantine. « Si tu préfères les échanges concis, un simple sms est suffisant. » - « Deux fois que tu le répètes. » Si je n’ai pas cillé la première, cette fois je saisis la perche au vol. « Cela t’agace que je t’ai demandé de te déplacer jusqu’ici ? Tu as le sentiment que je te fais perdre ton temps ? » De sa réponse dépendront beaucoup de choses, à commencer par mon intérêt à son égard. « Tu as mieux à faire ? » La provocation est évidente. Je prie – pour elle – pour que ce soit sa façon de m’arracher une réponse convenable plutôt que ce que j’évoque. Je suis ouverte d’esprit quant aux limites que j’impose en termes d’insolence, mais je ne respecte pas l’oisiveté. « Je n’ai pas vraiment répondu à ta question parce qu’elle est décevante : la réponse est sous ton nez. » Qu’elle observe les murs blancs et vierges du salon, de tout l’appartement, qu’elle note l’absence d’une quelconque photo sur les meubles en bois – à l’exception d’un petit cadre posé à l’angle de la télé au sujet duquel seuls les fous m’interrogent puisqu’il me représente avec mon défunt compagnon – et qu’elle tire la conclusion qui s’impose : je concilie avec aisance ma vie professionnelle et ma vie personnelle parce que cette dernière n’existe pas. Parce que je n’en ai pas, parce que je donne tout ce que j’ai au Club, aux frères Strange, depuis des années.
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Danaë Lescaut
la petite mort
ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 214 POINTS : 360
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
L'idée même de sa propre réponse lui donna un frisson. Une simple lady ? Non, ce n'était pas là toute l'envergure que conférait l'aura de sa patronne. C'était volontairement réducteur, comme pour atténuer la prestance qui, elle en aurait aisément convenu, pouvait l'impressionner. Les mots devaient avoir ce pouvoir, rendre sa beauté à la laideur et, de concert, rendre tolérables les peurs les plus insidieuses, ne point laisser les cauchemars dominer. - Non. se contenta-t-elle de répondre, avant de se lever. La nervosité lui donnait la bougeotte, comme s'il fallait conjurer le sort en dégourdissant ses membres et surtout, en évitant le face à face. - Je n'ai pas le bon mot pour te décrire.. Ce ne serait que des métaphores. Ce serait.. elle laissa couler une seconde, osa un regard empreint de sérieux, comme pour lui rendre sa couronne, rendre la grandeur à son statut tout en admettant sa propre faiblesse. - Biblique. une conclusion connotée par le plus grand phénomène religieux, un mot pour décrire mille sentiments, du plus sombre au plus violent, son respect en simple terminaison.
Cette partie d'échec est, sans nul doute, la plus stressante jamais entreprise. La bouche, jusque là si loquace, pèse désormais ses paroles sur la balance de la hiérarchie. Effrontée sans être suicidaire, Danaë reprend sa place, sa petite place. - Je suis celle que tu as besoin que je sois. ta fille facile, ta marionnette, celle qui accourt quand tu le souhaites. Le ton a changé, la gamine rejoint son rang; après la tentative de s'élever, elle préfère encore garantir sa propre sécurité : Raelyn possède tout pouvoir, autant se ranger de son côté. Il faut néanmoins se justifier. Aller au bout de son raisonnement, perché entre deux cordes sensibles, en évitant les balles d'une mauvaise réponse. Rappelle toi, Danaë, de parfois bien vouloir la fermer. L'embarras est prégnant, doublé d'une volonté sincère, qui va finalement plus loin que le travail, ou le rapport boss-employée. - Mon temps est le tien, Raelyn. rectifie-t-elle sur l'instant, comme pour éviter le malentendu; la silhouette s'éloigne une seconde, comme pour contempler l'environnement - trop - immaculé, pratiquement impersonnel, qui compose sa demeure.. Serait-ce donc là le secret du métier ? - Sans vouloir te manquer de respect.. comme pour prévenir qu'elle s'apprête à titiller un autre fil tendu, sans désir aucun de la contrarier; - C'est la conversation qui est décevante. le cœur s'offusque dans la poitrine, tant la remarque est salée, tant le risque lui semble grand; aussi se permet-elle d'aller au bout de son idée. - J'veux dire.. Tu peux avoir des conversations superficielles avec n'importe laquelle des filles. j'aspire à plus, Madone. - Je te donne déjà tout ce que je suis. Mon temps, mon corps.. Tu sais. Tout ce que je voudrais, venant de toi, c'est plus que des banalités. Je veux apprendre, je veux comprendre. la superficialité n'est donc pas la seule ambition; il ne suffit pas de porter des diamants pour être une Reine, et nulle ne saurait mieux que Raelyn, lui donner les ficelles pour se hisser encore, prétendre à la voie lactée.
code par EXORDIUM. | Images par Oblivion
she's like the wind
Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
while your lips are still red Raelyn Blackwell & @Danaë Lescaut ☆ crédit/fuckyougifs
« Non. » Dieu que c’est édifiant que de la voir se débattre pour me faire comprendre que non, ce n’est pas ce qu’elle a voulu dire, certainement au fond terrifiée à l’idée de s’attirer mes foudres ou de perdre mes faveurs. Ce serait mentir que de prétendre que je n’aime pas ça, avoir du pouvoir sur autrui. J’en ai sur elle, résolument. Peut-être pas envers et contre tout mais, pour l’instant, j’ai le sentiment qu’elle danserait si je lui demandais de danser, qu’elle marcherait sur la tête si je claquais des doigts et que, sur un ordre de ma part, elle sauterait par la fenêtre de mon loft au sixième étage. « Je n'ai pas le bon mot pour te décrire.. Ce ne serait que des métaphores. Ce serait. Biblique. » J’éclate d’un rire cristallin face au mot employé. Biblique. Aux yeux de ceux qui brandissent leur bible comme bouclier ainsi que comme arme, je suis une impie. Ma vie n’est régie que par des préceptes que j’ai moi-même définis, des valeurs qui n’ont de sens que pour moi et je ris au nez des bigots. Je suis pétrie par le luxe, le péché et l’orgueil. Si j'appartenais au paysage biblique, ce serait certainement dans le rôle de l’un de ses antagonistes. « Biblique. » Je secoue la tête, sincèrement amusée par ce qui pourrait passer pour de la candeur. Je ne suis toutefois pas persuadée que cela en soit. Danaë est difficile à percer à jour, compliquée à lire, même pour quelqu'un comme moi. « Je brûlerais si je passais la porte d’une église. » Et tu le sais aussi bien que moi. Je ne l’ai jamais donnée de ma main, mais je sème la mort sur mon passage sans éprouver le moindre remords. La vision des choses de la brune est donc… Particulière.
« Je suis celle que tu as besoin que je sois. » « Je ne parle pas de ce soir. Je ne parle pas des missions que je te donne. Là, maintenant, avec moi, qui es-tu ? »
Elle peut jouer autant de rôle qu’elle le désire, mais si elle me donne l’impression de ne jamais montrer un visage authentique, elle n’aura jamais ma confiance dans son entièreté. J’ai foncièrement besoin de croire que je l’ai percée à jour. Qu’elle n’a plus de secret pour moi, dans la mesure du raisonnable. « Mon temps est le tien, Raelyn. » Bien. A ce sujet, je ne tolérerais aucune insubordination. « Sans vouloir te manquer de respect. C'est la conversation qui est décevante. » J’écarquille les yeux, surprise et même un tantinet choquée par son toupet. Prends garde Danaë, je suis capable d’être aussi agréable et séduisante qu’impitoyable. Je lui laisse une chance de se rattraper, d’aller au fond de sa pensée pour se raccrocher aux branches. Toutefois, tout sourire s’est effacé de mon minois. Fermé, glacial, je pose sur elle un regard pénétrant. « J'veux dire.. Tu peux avoir des conversations superficielles avec n'importe laquelle des filles. » - « Tu me trouves superficielle, Danaë ? » En équilibriste, elle marche en cet instant sur un fil tendu au-dessus du vide. Je n’ai pas besoin d’entendre que je ne le suis pas, il n’est pas question d’amour propre, en tout cas. En revanche, elle ferait mieux d’arriver rapidement là où elle veut en venir. « Je te donne déjà tout ce que je suis. Mon temps, mon corps.. Tu sais. Tout ce que je voudrais, venant de toi, c'est plus que des banalités. Je veux apprendre, je veux comprendre. » - « Alors pose des questions plus intéressantes. » Je hausse les épaules, toujours parfaitement détachée et distante ou, du moins, en surface. « Tu n'écoutes pas, si tu penses que je t’ai donné une réponse toute faite. Ou que je n’ai pas répondu à ta question. » Mes doigts caressent le cristal du verre que je tiens dans ma main. « Tu es belle, jeune et idéaliste : tu penses certainement que tu peux tout avoir. » Le luxe, la richesse, une vie qui la fait frémir, qui lui donne l’impression de se mettre en danger et la sécurité des bras d’un amant. « J’ai appris que c’était impossible quand j’étais encore plus jeune que toi. » L’amertume qui voile ma voix laisse entendre que je l’ai appris “à la dure”. Toutefois, mon ton dissuaderait aussi les inconscients de me demander à quoi je fais référence. Les gens parlent, au Club. Si elle veut entendre parler de mes démons, elle en a les moyens, mais ce ne sera pas de ma bouche. « J’ai fait des sacrifices. Voilà comment j’arrive à concilier ma vie pro et perso. » Quelle question digne d’un putain de magazine féminin. « Et tu devras en faire aussi si tu veux devenir quelqu’un. »
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Danaë Lescaut
la petite mort
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Les jeux de rôles distillés ça et là, à tour de bras, n'auraient pas la moindre emprise sur Raelyn. Seule Danaë compte, et seule Danaë, sous son visage premier, saura la tirer au bourbier de l'échange fatalement instigué. Son maigre recul et sa piètre expérience du genre humain ne font pas le poids pour que cille la Madone; c'est un champ de barbelés qui l'étreint, et la griffe un peu plus à chaque syllabe prononcée. La gamine tente pourtant d'édulcorer, de donner en spectacle des métaphores, mais sur l'échiquier de la vie, sa patronne semble voir toutes les issues d'avance, de quoi la piéger sans bouger ne serait-ce que le petit doigt. Tu as tant à apprendre, petite, siffle son esprit, tourné en ridicule par le labyrinthe dont elle ne parvient à s'extraire; les mots sont justes, elle le jurerait, mais insuffisants pour avoir une quelconque incidence envers sa semblable.
C'est tout juste si je ne lui donne pas envie de m'en coller une. Peut-être est-ce là une réaction censée, pour qui côtoie Danaë. Sa prétendue psychologie agace autant qu'elle fascine, et cette pseudo-érudition lui donne le toupet de toujours renvoyer la balle. Même lorsqu'il s'agit uniquement de la fermer. Le silence est une vertu étrangère, too bad. - Oui, bon.. En soit, Belzébuth aussi. à ce stade, cela tenait plutôt du compliment; néanmoins, elle se rappellera de ne point revenir à ce style de comparaison, voir de s'épargner toute tentative sur le sujet. Do not mess with the Power. - Je suis Danaë.. Cela va de soit. mais qui est-elle, Danaë ? L'interrogative plane en suspension, quoique elle n'est pas de son ressort. C'est une autre problématique, inhérente à sa question. Elle est Danaë, sa forme la plus simple ou la plus compliquée.
Apprends à te taire, deuxième avertissement. Bientôt, les branches manqueront pour la rattraper au vol, pour lui éviter cette chute vertigineuse, qu'elle provoque de son arrogance. Le sol est friable, et ce n'est pas faute de le savoir. Là est sa nature, prodigieusement insolente, - jusqu'à l'excès - et ce qui pouvait amuser Raelyn devient à présent délétère. - Ce n'est pas ce que j'ai dit. Tu fais un raccourci. mais se justifier revient désormais à lui tendre un flingue chargé, et les issues sont minces. Une main se risque à trembler, elle la cache aussitôt dans sa veste, envisage même une clope, tel un exutoire de fortune. Malgré l'envie flagrante de se tirer d'affaire, brunette ne bouge pas; intimidée, exceptionnellement forte de respect, l'oreille se contente d'écoute, et tente de percer le voile des maux, à demi-exposés. Qu'as-tu donc traversé ? Qu'as-tu vécu, sur la route ? Diable, ses parents n'ont jamais fait la moindre allusion au parcours qui l'attendait, et Raelyn n'a rien d'une mère improvisée.
Le discours l'aura calmée, semble-t-il. Elle se rassoit posément, torture doucement un élastique à son poignet. - J'en fais déjà, même si c'est de bon gré. son corps, une partie de son âme, si tenté est que cette chose là existe, son couple aussi, qui fonce inexorablement vers le précipice. Serait-ce assez ? Le regard se fait hésitant, lorsqu'il se redresse, peine à maintenir un eye contact, assailli par le doute. Comme escompté, Raelyn l'emporte, le petit oiseau a cessé de chanter. Danaë divague un instant parmi les mots, dans une leçon absconse lourde de non-dits. - Et maintenant ? rebondir ne lui paraît pas opportun, et l'heure sera bientôt au rendez-vous. La réponse n'en est finalement que plus évidente : now, do your fucking job.
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« Oui, bon.. En soit, Belzébuth aussi. » Cette fois, la brune i]parvient à me tirer un éclat de rire. Il est authentique et franc plutôt que retenu. Belzébuth me convient bien plus que de me faire appeler Lady ou Madone, de toute évidence. La brune est maligne, mais devrait éviter de mettre les mauvaises personnes sur un piédestal, pas même moi. Certainement pas moi. Ce serait bien dangereux pour elle de s’y risquer. Belzébuth aussi donc, je lui concède de bon gré ce point-là sans chercher à obtenir le dernier mot. La chose est assez rare pour être soulevée. « Je suis Danaë.. Cela va de soi. » - « Et je connais si bien Danaë, hum ? » Non, la brune est volubile lorsqu’il s’agit de détails sans valeur, loin d’être avare en métaphore grandiloquente, mais j’ai toutefois noté qu’elle utilise sa verve pour dissimuler le peu de détails qu’elle donne concernant son passé et ses origines. Ce serait hypocrite de le lui reprocher : je ne parle pas non plus de Rachel-Lynn et de qui elle était avant de mettre pour la première fois un pied à Brisbane. Je n’ai pas honte de mon passé. Je ne le dissimule pas à tout prix, mais elle était à mes yeux une autre personne, une étrangère dont il n’est guère intéressant de converser. Du reste, la plupart aux Club n’ignorent pas que je suis une ancienne junkie.
« Ce n'est pas ce que j'ai dit. Tu fais un raccourci. » Le petit oiseau se démène pour tenter de s’extirper d’une situation délicate et, malgré l’affront qu’elle a rapidement lavé, je m’amuse de la voir se rattraper comme elle peut. Si la situation était plus cartoonesque, n’énormes gouttes de sueur perleraient sur son front et je serais malhonnête si je prétendais que je ne jubile pas dans la présente situation. Avec un peu de chance, cette tape sur le dos de la main apprendra à la jeune femme à faire attention à ce qu’elle dit et à qui. Avec moi, si l’outrage avait été plus tangible, elle aurait passé un mauvais quart d’heure mais n’aurais pas perdu de plume pour autant, pas pour si peu. Cette enflure de Steven l’aurait corrigée – les homme comme lui pensent que la violence et la force physique sont les seuls moyens de punir quelqu’un et de le faire rentrer dans le rang – et l’aurait certainement malmené en lui confiant les pires clients et contrats.
« J'en fais déjà, même si c'est de bon gré. » Elle a l’air nerveuse, Danaë. Malgré l’assurance qu’elle tente de projeter dans la pièce, je note qu’elle joue avec un élastique passé à son poignet, tout comme je note qu’elle s’exprimer avec bien moins d’assurance dans la voix. Est-ce parce qu’elle a peur, ou parce qu’elle est courroucée d’avoir reçu une leçon comme si elle était une gamine ? « Et maintenant ? » - « Tu te refermes. » Je le note sans que cela ne sonne comme un reproche. Elle est en droit de le faire ou, en tout cas, je le lui octroie. « Je ne te fais pas la leçon pour le simple plaisir de te faire la leçon. » L’écraser ne m’intéresse pas. Le couper les ailes non plus. La discipliner est autant l’objectif que de l’aider à aiguiser son jugement et son sens de l’observation. Lorsque l’on prête attention aux détails, il n’est pas nécessaire que s’égosiller avec d’inutiles questions. De plus, de cette façon, on ne révèle pas à son interlocuteur ce que l’on sait et ce que l’on ignore. « Retrouve-moi à 19h au bar de l’Emporium. » L’hôtel luxueux colle au genre d’établissement qu’une femme de mon standing fréquenterait avec l’une de ses amies de longue date. Le client de la brune ne s’attend pas à nous retrouver dans un vulgaire bar de quartier qui sert de la bière de premier prix. « Sois séduisante, mais pas provocatrice. » Ne ressemble pas à une pute. « Je m’éclipserai rapidement pour vous laisser tous les deux. » Je n’ai pas envie de passer une seconde de plus que nécessaire en compagnie de ce rustaud. « Tu mettras les consommations sur mon ardoise en partant. » Qu’il s’agisse de simples cocktails ou de bouteilles de champagne ou de scotch hors de prix. Ce que cette soirée va me coûter, la rétribution de la brune comprise, n’est rien en comparaison du chiffre d’affaire que je fais avec la future conquête de Dani.
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la petite mort
ÂGE : vingt-six non exhaustives, jouvencelle ou lady au gré des circonstances. SURNOM : 'Naë, éventuellement; Esmé, Sibyl ou n'importe quel autre sobriquet - it's not really her anyway. STATUT : too many dates & too many lies - so many reasons to blow things up. (single) MÉTIER : oiseau d'malheur (hôtesse de l'Octopus), succube (some kind of escort); maybe more ? (L3 histoire de l'art & archéologie, DU botanique) LOGEMENT : Atrium Vestae (which means you can't come in) - with her sista POSTS : 214 POINTS : 360
TW IN RP : Mensonge compulsif, travail du sexe, addictions (drogues & alcools), relation à une orga' criminelle, sexualité débridée, liste non exhaustive. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ancienne prostituée du Club, vend encore quelques services à des privilégié.es ☾ n'est pas tactile sans avoir bu au préalable ☾ n'embrasse pas en public, même son éventuelle moitié ☾ légère tendance à la nymphomanie ☾ possède un bon coup d'crayon ☾ joue parfois du violon ☾ - uc - ☾ amoureuse de poésie, Baudelaire et Allan Poe ☾ attachée à son train d'vie hors-normes ☾DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
Un simple haussement d'épaules. Connait-on jamais si bien les gens ? Danaë reste partagée sur la question, et ne prétend d'ailleurs pas se comprendre totalement elle même. Impossible donc d'affirmer que Raelyn puisse soulever l'entièreté du voile qui occulte son identité. Les regards croisés en disent long : elles connaissent toutes deux la réponse, sans juger là d'un quelconque affront envers l'autre. C'est la nature, tout simplement. A l'inverse, la face cachée de la Madone l'intrigue sans qu'elle ne puisse tirer au jour l'étendue de son chemin de croix; peut-être est-ce finalement là toute la beauté de l'humain, sa singularité primordiale, le goût du mystère.
La tension est montée d'un cran. Difficile de rester de marbre, de conserver son assurance du haut de sa flagrante inexpérience; sa semblable culmine au sommet de la chaîne alimentaire, tandis qu'elle n'en écume que les bas-fonds. Les vingt pernicieuses qui composent sa minuscule durée d'vie sont écrasées par le poids d'une prestance, par l'image et le pouvoir de Raelyn, qu'elle visualise parfois comme la Dame de Brisbane plutôt qu'en simple qualité de patronne. The iron lady, mais cette dénomination psychologique se passe de tout commentaire. L'adrénaline manque au corps pour repartir de plus belle, l'oiseau s'essouffle et repose à présent au creux de sa main. Une chance qu'elle ne souhaite pas l'écraser, sans quoi la gamine pourrait voler en éclats. Sous l'armure, derrière la chrysalide, c'est un papillon de verre qui menace de se briser. Un autre hochement de tête, la répartie silencieuse qui entend - et comprend - le message sous-jacent, souligné de sa remarque; aiguise ton regard, l'observation est à elle seule un puits de connaissance. - Entendu. concise, brise la série du clapet fermé d'un laconique assentiment, songeant d'un sourire léger, que l'Antiquité ne cesse d'inspirer les contemporains. L'Emporium, pense-t-elle, ce sera une sortie historique, comme s'il fallait qu'un détail édulcore les motivations de la soirée. - Il n'aura d'yeux que pour moi, tu n'as pas de soucis à te faire. impossible de passer outre le charme fracassant de Raelyn, et d'imaginer qu'un type tel que son futur amant ne l'ait pas remarqué; peu importe, Danaë s'assurera qu'il n'ait guère d'autre convoitise que ses sombres mirettes. - À ce nouveau contrat, Raelyn. faire fi de la clause qui la désigne, elle, comme gage de conclusion voluptueuse, et lever son verre - à moitié vide - à la réussite de sa Madone.
code par EXORDIUM. | Images par Oblivion
she's like the wind
Un éclair… puis la nuit! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? .•°¤ Mags.