ÂGE : 27 ans (12 février 1997) SURNOM : On l'appelle souvent Leo. Sur scène, en drag, elle devient Supernova. STATUT : tout juste sortie d'une relation abusive avec son ex-copain, développe des crushs sur environ toutes les filles qui lui sourient. MÉTIER : Elle enchaîne les petits boulots qui lui permettent de continuer ses projets artistiques à côté : les performances drag, la couture, la musique, etc. Étonnamment, de formation, elle est infirmière - c'était pour faire plaisir à ses parents, ça. LOGEMENT : Une petite chambre ultra décorée de babioles et d'affiches, dans une colocation. POSTS : 1070 POINTS : 480
TW IN RP : homophobie internalisée et familiale, drogues, alcool, religion, viol conjugal, relation abusive. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : infj › cleo la timide à la ville, supernova l'extravagante sur scène › touche-à-tout et ultra créative, son univers artistique est poétique, décalé, absurde et sombre › people-pleaser, angoissée, généreuse › un peu trop fêtarde, elle affirme rattraper des années de conformisme › maquillage coloré, strass et paillettes à gogo › ses tenues extravageantes font se retourner les mamies dans la rue › collectionne les boîtes d'allumettes › passion fait-main, dyi, vintage, kitsch & maximalismeDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS : (08)Phenix 01 › Ciel 01 › Jo 02 › Ollie 02 › Primrose 01 › Shiloh 02 › Albane 01 › Eve 01
PRIMROSE › you were my partner in crime, it was a welcome waste of time, eating cherries on the bridge, feet dangling, throwing the pits and stems into the racing current below, i get vertigo looking down and looking in
OLLIE › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
SHILOH › is it cool that I said all that? is it chill that you're in my head? cause I know that it's delicate
ALBANE › but if you get married, i'd object, throw my shoe at the altar and lose your respect, i'd rather lose my dignity than lose you to somebody who won't make you happy
Lorsque Madison ouvre les yeux, elle sent cette sensation qui la prend parfois, au réveil, quand elle a oublié où et quand elle s’est couchée, ce qu’elle a fait de sa soirée. Elle cligne des yeux, ayant du mal à s’habituer au clair obscur qui la sort de sa nuit sans songes, et observe autour d’elle la pièce. Habituellement, lorsque sa mémoire est en fragment, c’est à cause de l’alcool qu’elle a bu et il n’est pas rare qu’elle se réveille avec le crâne lourd ou l’esprit encore ivre. Mais en cet instant, ce n’est pas les verres enchaînés qui tirent son cerveau ou sa peau. Elle sent une douleur diffuse dans sa main, sur sa joue, dans sa poitrine - elle le réalise tandis qu’elle inspire et qu’elle grimace. Où est-elle, se demande-t-elle naïvement pendant quelques secondes. Il lui faut un moment pour remettre en place les éclats, certains sont manquants, coupants. Sur la table de chevet, il y a un verre d’eau, et une pochette kraft dans lequel elle trouve plusieurs médicaments, des anti-douleurs principalement. Elle inspire. Les images sont floues, mais elle reconnaît les contours d’Oliver, sa voix, sa colère, elle sent l’odeur aséptisée de l’hopital dans ses narines, qui se mêle au parfum de Jo, sa main dans la sienne, cette maison comme un refuge. Madison a envie de vomir. Elle regarde les pilules colorées dont elle ne connaît pas encore la posologie et s’imagine les avaler toute une à une jusqu’à qu’elle soit complètement effacée. Elle repousse la pensée, ferme les yeux. Elle voudrait que la couverture l’avale toute entière.
A la place, elle se penche pour attraper son petit sac qui est posé au pied du lit. Son téléphone y est rangé, sagement verrouillé. Elle ne sait pas l’heure qu’il est, se souvient à peine du jour - dimanche, non ? Elle est censée aller bruncher avec Albane… Elle déglutit difficilement, tout son corps ankylosé, et finit par déverrouiller l’appareil. Sur l’écran des notifications, 12 messages non-lus d’Oliver s’entassent. Immédiatement, un spasme prend Madison, et elle jette le téléphone à l’autre bout du lit, sentant qu’elle n’arrive déjà plus à respirer.
Le temps se distend, elle a toujours du mal à reconstituer la soirée de la veille. Elle n’ose pas sortir de la chambre, n’est pas sûre exactement d’où elle loge et si Jo est encore là. Assise sur le lit, son dos appuyé contre le mur, Madison ramène ses genoux à contre sa poitrine, les entoure de ses bras, et pose le menton dessus. Devant elle, elle a posé son téléphone, l’écran noir, et elle le fixe, essayant de se donner le courage d’ouvrir les messages d’Oliver, de les supprimer, de le bloquer - non, ça serait pire, il risquerait de venir chez elle, non ?
Une petit toc la tire de ses pensées, et la porte de la chambre s’entrouvre, laissant apparaître la silhouette de Jo. Madison sent à nouveau son coeur s’emballer et la honte colorer ses joues. « Bon- » sa voix se grippe dans sa gorge, et elle doit toussoter pour cracher le mot en entier, « Bonjour. » Ah, ça commence bien, se dit-elle, gênée. « Encore merci de m’avoir ramenée ici. » La nervosité est coincée dans chaque syllabe. Madison est toujours prostrée dans le lit devant le téléphone ; elle secoue la tête, gênée d’être prise sur le vif. Elle se redresse, lâche ses genoux, et s’assoit maladroitement en tailleur.
won't make my mama proud, it's gonna cause a scene, she sees her baby girl, I know she's gonna scream, god, what have you done? you're a pink pony girl and you dance at the club, oh mama, I'm just having fun, on the stage in my heels, it's where I belong down at the, Pink Pony Club, Im gonna keep on dancing at the Pink Pony Club
:
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
no words appear before me in the aftermath @Madison Kwanteen ☆ crédit/ssoveia
Elle n’avait pas eu à parlementer beaucoup avec le personnel des urgences pour obtenir l’autorisation de sortie de Madison. La condition d’un accompagnant ayant été respectée, elles avaient pu quitter cet enfer assez vite finalement, protégée par un Marcus qui connaissait la marche à suivre, et qui n’avait posé aucune question, si ce n’était pour s’assurer que son instinct était le bon quand, son regard croisant celui de Jo dans le rétroviseur intérieur de sa berline, elle lut dans le sien chez Midas ? avant de démarrer sous le hochement de tête de Jo. Elle assura à Midas par texto qu’elle n’allait pas tarder à arriver, que si Posy était présente, elle ferait en sorte de ne pas la mentionner, qu’elle pourrait même ne pas mentionner chez qui elle emmenait cette fille qu’elle disait vouloir aider et qui avait besoin d’un endroit sûr pour passer la nuit, et qu’elle lui expliquerait tout en détails, ne se sentant pas obligée de lui mentir, n’en n’ayant jamais eu l’intention de toute façon. Après tout, c’était chez lui, il avait le droit de savoir ; ce serait sa justification si on l’accusait d’être ce cliché de la copine qui promet de ne rien dire à personne, mais qui dit tout à son petit ami. Il ne croiserait surement pas la jeune femme dans tous les cas, la maison n’en étant une que parce que c’était le bon terme à employer quand, en réalité, toute la propriété ressemblait davantage à un château moderne qu’à ce qu’on s’attendait à trouver quand on vivait une vie normale. Celle de Jo l’était de moins en moins, mais Madison ne se rendrait compte de rien, assommée par le chagrin et par les anti-douleurs qu’on lui avait donné, elle serait juste bonne à se glisser sous le draps de la chambre préparée pour elle, où la salle de bain attenante lui offrirait le luxe de prendre une douche, ou un bain, si elle voulait se débarrasser des vestiges de l’horreur qu’elle avait vécue. Jo l’avait laissée seule par pudeur, mais elle lui avait répété à de maintes reprises que si elle avait besoin de quoi que ce soit, elle n’avait qu’à lui faire un signe par texto, et elle rappliquerait — la maison était grande au point que quiconque aurait pu s’y perdre, c’en était presque ridicule. Jo ne s’y perdait plus désormais, alors elle laissa Madison à son état comateux, espérant au plus profond d’elle-même qu’elle réussirait à trouver le sommeil. Elle, elle était soumise au décalage horaire, aussi elle ne ferma pas l’oeil après avoir tout résumé à Midas qu’elle avait laissé dormir lui aussi, profitant du silence pour vaquer à ses petits habitudes sans se presser, et accusant le coup de la succession des événements qui la ramenaient presque trop brutalement à la réalité.
C’est après avoir terminé sa skincare et vérifié l’heure sur son téléphone que Jo jugea que c’était le moment d’aller s’assurer que tout allait bien du côté de la jeune femme. Elle vaporisa quelques gouttes de parfum sur ses poignets, les frottant l’un contre l’autre, avant de fermer son peignoir, serrant la ceinture qui dessina la courbe de ses hanches sous l’épaisseur du tissu éponge dans lequel elle était emmitouflée, puis elle roula ses lèvres enduites d’huile hydratante pour l’estomper tout en se dirigeant vers la chambre occupée par Madison en espérant, qu’à défaut d’avoir vraiment dormi, elle n’avait pas trop souffert des douleurs infligées par ses blessures. Elles étaient les pires, les bleus devenant douloureux qu’après quelques jours seulement, il fallait en suivre la progression en vérifiant leur couleur, donnant au processus une petite touche ludique, comme si c’était une partie de plaisir de se faire cogner par un bonhomme ; des conneries tout ça, elle savait de quoi elle parlait "Je peux entrer ?" C’est ce qu’elle demanda après avoir doucement frappé à la porte, et bien qu’elle resta à l’embrasure de cette dernière, la hanche appuyée contre le chambranle, elle finit par opérer quelques pas pour s’arrêter à mi-chemin, et ajouter, les volets solaires s’activant en même temps qu’elle s’avançait, la lumière du jour dardant au travers de l’immense vitre "Il est encore très tôt. Si tu préfères te reposer encore un peu, je peux te laisser." lui fit-elle, cessant enfin d’estomper ce qu’elle avait sur les lèvres pour, les sourcils légèrement froncés et ses épaules se haussant, répondre à ses remerciements "J’allais pas te laisser là-bas. Leur literie craint." Pas comme ici, même si Jo craignait que Madison n’avait pas vécu la nuit de sa vie. Elle lui demanda tout de même, s’autorisant à s’asseoir au bord du lit après avoir resserré l’entrebâillement de son peignoir au niveau de son décolleté, puis dégagé ses épaules de ses cheveux maintenus par un bandeau sur le devant "T’as réussi à récupérer ?" Elle ne se faisait pas d’illusion Jo, c’était toutefois un bon moyen de réengager la conversation.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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Cleo Baker
la tête dans les étoiles
ÂGE : 27 ans (12 février 1997) SURNOM : On l'appelle souvent Leo. Sur scène, en drag, elle devient Supernova. STATUT : tout juste sortie d'une relation abusive avec son ex-copain, développe des crushs sur environ toutes les filles qui lui sourient. MÉTIER : Elle enchaîne les petits boulots qui lui permettent de continuer ses projets artistiques à côté : les performances drag, la couture, la musique, etc. Étonnamment, de formation, elle est infirmière - c'était pour faire plaisir à ses parents, ça. LOGEMENT : Une petite chambre ultra décorée de babioles et d'affiches, dans une colocation. POSTS : 1070 POINTS : 480
TW IN RP : homophobie internalisée et familiale, drogues, alcool, religion, viol conjugal, relation abusive. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : infj › cleo la timide à la ville, supernova l'extravagante sur scène › touche-à-tout et ultra créative, son univers artistique est poétique, décalé, absurde et sombre › people-pleaser, angoissée, généreuse › un peu trop fêtarde, elle affirme rattraper des années de conformisme › maquillage coloré, strass et paillettes à gogo › ses tenues extravageantes font se retourner les mamies dans la rue › collectionne les boîtes d'allumettes › passion fait-main, dyi, vintage, kitsch & maximalismeDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS : (08)Phenix 01 › Ciel 01 › Jo 02 › Ollie 02 › Primrose 01 › Shiloh 02 › Albane 01 › Eve 01
PRIMROSE › you were my partner in crime, it was a welcome waste of time, eating cherries on the bridge, feet dangling, throwing the pits and stems into the racing current below, i get vertigo looking down and looking in
OLLIE › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
SHILOH › is it cool that I said all that? is it chill that you're in my head? cause I know that it's delicate
ALBANE › but if you get married, i'd object, throw my shoe at the altar and lose your respect, i'd rather lose my dignity than lose you to somebody who won't make you happy
Le cerveau de Madison est fatigué, ses pensées confuses, mais elle relève tout de même à quel point Jo est douce dans sa façon de faire, à demander si elle peut rentrer, à respecter son espace physique. Après qu’il ai été complètement froissé par Oliver, Madison est reconnaissante de cette sollicitude, même si elle n’arrive pas encore à l’exprimer complètement. Comment pourra-t-elle un jour remercier Jo pour ce qu’elle a fait pour elle ? "Il est encore très tôt. Si tu préfères te reposer encore un peu, je peux te laisser." Madison secoue la tête vivement, murmure un petit non rouillé, sa voix lui échappant. Elle est contente que Jo soit venue. Madison n’aurait jamais osé lui envoyer un texto, elle, parce qu’elle est trop timide, mais aussi qu’elle n’ose pas ouvrir son application de messageries, de peur de tomber sur les excuses et explications d’Oliver. "J’allais pas te laisser là-bas. Leur literie craint." Madison a un petit rire, et passe sa main sur les draps, reconnaissant du cocon de qualité, le même que ses parents ont toujours acheté. Elle essaye d’esquisser un petit sourire, avant de répondre : « Le lit est très confortable, oui. Tu… Tu pourras remercier le propriétaire de la maison ? » Elle n’a pas demandé chez qui Jo l’amenait, respectant sa vie privée de ce côté-là. Elle s’imagine être chez un membre de sa famille, ou peut-être Midas, avec qui Jo sort depuis apparemment quelques mois. Madison suit toujours ses actualités de loin, évidemment.
Jo s’installa à côté d’elle sur le lit, portant simplement un peignoir. Madison a presque envie de rire de l’étrangeté de la situation. A une époque, l’idée d’être assise à côté d’une Jo Carter en peignoir l’aurait envoyée dans une spirale de panique, court-circuitant son cerveau et son estomac. Aujourd’hui, elle se sent simplement soulagée d’être à côté d’elle, soulagée. "T’as réussi à récupérer ?" Madison pince les lèvres, cherche ses mots. « Hmmmm. J’ai le cerveau emmêlé, c’est bizarre. J’ai l’impression d’être un peu désorientée. Je ne me souviens toujours pas de toute la soirée », elle avoue avec une petite voix. « Et j’ai super mal aux côtes », elle grimace. Elle se rappelle que le médecin lui a dit que deux étaient fêlées. Elle a peur de regarder, de voir les immenses bleus formés. Elle se tourne vers Jo et demande malgré elle, comme pour faire la conversation : « Et toi, le décalage horaire, ça va ? » Une question comme une autre, comme si elles n’étaient pas toutes les deux dans une situation étrange, comme si Jo n’était pas venue la chercher à l’hôpital alors qu’elles ne s’étaient pas parlé depuis des mois après s’être quittées plutôt en mauvais terme, et qu’au demeurant, elles ne se connaissaient même pas tant que ça. « Il… » Elle commence, hésitant, n’arrivant pas à prononcer son prénom. « Il m’a envoyé des textos. Je n’arrive pas à les lire », elle avoue, pointant du menton son téléphone. « Je ne sais pas comment faire, je voudrais juste qu’il disparaisse. »
won't make my mama proud, it's gonna cause a scene, she sees her baby girl, I know she's gonna scream, god, what have you done? you're a pink pony girl and you dance at the club, oh mama, I'm just having fun, on the stage in my heels, it's where I belong down at the, Pink Pony Club, Im gonna keep on dancing at the Pink Pony Club
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Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
no words appear before me in the aftermath @Madison Kwanteen ☆ crédit/ssoveia
"C’est déjà fait." Elle ne proposerait pas à Madison de remercier Midas elle-même. Pas parce qu’elle jugeait ça inopportun de le faire, pas pour préserver son intimité et respecter la limite tacite qu’il y avait entre les deux mondes diamétralement opposés des célébrités et du reste du commun des mortels non plus, mais parce qu’elle ne voulait pas embarrasser Madison en la confrontant à une figure masculine tout de suite, même si cette dernière était loin, très loin, de celle qui l’avait mise dans cet état la nuit dernière. Elle lui adressa un léger sourire, s’asseyant bien au bord du lit pour ne pas envahir son espace, mais en même temps lui montrer que si elle avait besoin d’elle, elle était là, à proximité. Elle ne savait toujours pas quoi faire en vérité, elle n’était pas souvent dans cette position, mais elle essayait de garder à l’esprit que sa brutalité instinctive serait forcément de trop dans cette conjoncture. Elle, elle se souvenait qu’elle avait besoin d’un peu de douceur après que son père s’en prenait à elle. Ça ne passait pas par des étreintes, de sa mère ou de ses frères, lesquels n’étaient de toute façon pas disposés à le lui donner, mais simplement en se retirant dans une bulle où elle pouvait décompenser sans se sentir mal à l’aise — en pleurant quelques fois, mais pas souvent, puisqu’au bout d’un moment, c’était d’une normalité qui vous faisait survoler les événements et qui vous désensibilisait presque, malheureusement.
Madison n’en était pas au point de pouvoir survoler les évènements "C’est à cause des anti-douleurs, c’est plutôt costaud ce qu’ils t’ont prescrit." Elle n’était pas médecin, elle avait toutefois eu son lot de bobos, elle aussi. Comme Madison, elle pinça les lèvres, sa tête restant tournée dans sa direction pour l’observer tandis qu’elle se retenait aussi de préciser qu’après s’être fait cogner comme ça avait été son cas, on avait tendance à être un peu désorienté. Inutile d’en rajouter, elle se concentra sur le reste, sur l’expression du mal qu’elle ressentait aux côtes et qui fit dire à Jo "Il faut leur laisser le temps de se ressouder. C’est pas un remède miracle, mais il y a un spa ici." Elle trouva ça presque ridicule de le dire à voix haute, mais à dire vrai, elle commençait à se faire à ce genre de choses alors que sa vie était entrecoupée par des moments où le luxe dans lequel elle évoluait lui paraissait indécent — mais pas de trop pour quelqu’un comme elle, c’était une évidence. Elle continua "A défaut d’en sortir toute neuve, ça te fera sans doute du bien de prendre une heure ou deux pour te détendre un peu." Elle le lui assura en hochant la tête et en retirant le bandeau qu’elle avait dans les cheveux pour les secouer par la racine, et balayer d’un haussement d’épaules la question qu’elle lui posa ensuite "Je vais bien, t’en fais pas pour moi." Le décalage horaire, c’était le moins pire des maux, il suffisait de regarder Madison pour s’en rendre compte. Par réflexe, Jo roula de nouveau ses lèvres l’une contre l’autre, l’épaisseur de l’huile qu’il y avait dessus formant un léger voile agréable et réconfortant pendant que ses yeux dérivaient vers le téléphone de Madison. Elle le désigna du menton, et dans sa voix, Jo sentit le peur — celle qu’elle-même connaissait bien, qui se manifestait bien trop souvent pour qu’elle ne sache véritablement comment la gérer, comme tout un tas d’autres choses. Elle s’efforça pourtant de réfléchir pour Madison, et reprit quelques secondes après, ses yeux se reposant sur elle en même temps "J’ai pas de conseils à te donner, mais tu sais par quoi tu devrais commencer ?" La question était rhétorique, puisqu’elle continua juste après, un ton en-dessous, presque dans un murmure "Bloquer son numéro. Ce sera déjà un pas, le temps que tu trouves comment faire les autres, petit à petit."
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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Cleo Baker
la tête dans les étoiles
ÂGE : 27 ans (12 février 1997) SURNOM : On l'appelle souvent Leo. Sur scène, en drag, elle devient Supernova. STATUT : tout juste sortie d'une relation abusive avec son ex-copain, développe des crushs sur environ toutes les filles qui lui sourient. MÉTIER : Elle enchaîne les petits boulots qui lui permettent de continuer ses projets artistiques à côté : les performances drag, la couture, la musique, etc. Étonnamment, de formation, elle est infirmière - c'était pour faire plaisir à ses parents, ça. LOGEMENT : Une petite chambre ultra décorée de babioles et d'affiches, dans une colocation. POSTS : 1070 POINTS : 480
TW IN RP : homophobie internalisée et familiale, drogues, alcool, religion, viol conjugal, relation abusive. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : infj › cleo la timide à la ville, supernova l'extravagante sur scène › touche-à-tout et ultra créative, son univers artistique est poétique, décalé, absurde et sombre › people-pleaser, angoissée, généreuse › un peu trop fêtarde, elle affirme rattraper des années de conformisme › maquillage coloré, strass et paillettes à gogo › ses tenues extravageantes font se retourner les mamies dans la rue › collectionne les boîtes d'allumettes › passion fait-main, dyi, vintage, kitsch & maximalismeDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS : (08)Phenix 01 › Ciel 01 › Jo 02 › Ollie 02 › Primrose 01 › Shiloh 02 › Albane 01 › Eve 01
PRIMROSE › you were my partner in crime, it was a welcome waste of time, eating cherries on the bridge, feet dangling, throwing the pits and stems into the racing current below, i get vertigo looking down and looking in
OLLIE › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
SHILOH › is it cool that I said all that? is it chill that you're in my head? cause I know that it's delicate
ALBANE › but if you get married, i'd object, throw my shoe at the altar and lose your respect, i'd rather lose my dignity than lose you to somebody who won't make you happy
"C’est à cause des anti-douleurs, c’est plutôt costaud ce qu’ils t’ont prescrit." Madison se demande déjà si elle supportera que ses pensées redeviennent plus claires. Elle se demande aussi comment les médicaments vont interagir avec l’alcool dans lequel elle a déjà hâte de se noyer pour désinfecter ses pensées. Pourrait-elle aimer l’effet des anti-douleurs autant que ceux de l’ivresse ? Elle pourrait en avoir peur, mais en cet instant, elle se dit simplement qu’elle pourrait avoir une bouée de sauvetage en plus. Et cela lui va très bien. "Il faut leur laisser le temps de se ressouder. C’est pas un remède miracle, mais il y a un spa ici." « Un spa ? Mais où est-ce qu’on est », elle demande à haute voix, avant d’agiter ses mains pour repousser la réponse de Jo en avance. « Non, ne me dis pas, ça ne me regarde pas. » Elle a bien compris qu’elle était dans un lieu particulier, que Jo ne voulait pas trop ébruiter l’adresse. Madison a un espèce de rire étrange, parce qu’elle a du mal à intégrer ce qu’elle est en train de vivre. « Je… Hier j’étais aux urgences, et là je pourrais aller au spa ? What the fuck is my life », elle marmonne, riant à nouveau, à moitié perdue, à moitié amusée. "A défaut d’en sortir toute neuve, ça te fera sans doute du bien de prendre une heure ou deux pour te détendre un peu." La proposition est tentante, évidemment. « C’est un peu abuser de ton hospitalité, non ? » Elle demande, réfléchissant à voix haute. Madison n’a jamais été douée pour accepter les mains qu’on lui tend.
Mais Madison a du mal à s’imaginer se détendre, en cet instant, quand son téléphone est rempli de messages d’Oliver qu’elle se sent incapable d’ouvrir. Elle ne sait même pas quoi faire. "J’ai pas de conseils à te donner, mais tu sais par quoi tu devrais commencer ? Bloquer son numéro. Ce sera déjà un pas, le temps que tu trouves comment faire les autres, petit à petit." Madison hoche la tête, essaie d’entendre et d’accepter ce que lui dit Jo. Mais en réalité, elle a l’impression qu’une série d’obstacles insurmontables l’attendent, elle se sent prise d’un horrible vertige. Elle a mal quand elle inspire, ne sait plus si c’est l’angoisse qui la plie en deux, ou les côtes fêlées que lui a infligé la personne qui disait l’aimer. Elle s’imagine bloquer Oliver, prétendre qu’il n’a jamais exister, vivre sa vie ainsi, avancer, tout oublier. Elle a l’impression que c’est impossible, d’être au fond d’un puit si profond qu’elle ne voit plus la lumière. Elle secoue la tête, fatiguée, défaitiste. « Je ne suis pas sûre que ça soit si simple, je… On a des amis en commun, toute… toute une vie ensemble, je peux pas la rayer en le bloquant sans jamais… Rompre, pour de vrai, je crois ? » Elle bégaye, ses pensées mal organisées. Elle sent que l’émotion remonte en elle, elle voudrait l’enterrer et ne plus rien ressentir. Elle se sent à la fois trop épuisée pour pleurer, mais trop épuisée pour lutter aussi. Elle a l’impression d’être une coquille vide et trop pleine. « Je sais que c’est stupide, mais… On a été ensemble pendant plus de deux ans. Je peux pas juste… je… » Son menton tremble et elle recommence à pleurer. « Je suis désolée, je suis trop conne, mais j’arrive juste pas à comprendre comment j’en suis arrivée là, à devoir rompre par sms parce qu’il m’a envoyé à l’hosto, à avoir peur que si je le bloque simplement, il se pointe chez moi et recommence. »
won't make my mama proud, it's gonna cause a scene, she sees her baby girl, I know she's gonna scream, god, what have you done? you're a pink pony girl and you dance at the club, oh mama, I'm just having fun, on the stage in my heels, it's where I belong down at the, Pink Pony Club, Im gonna keep on dancing at the Pink Pony Club
:
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
no words appear before me in the aftermath @Madison Kwanteen ☆ crédit/ssoveia
Jo ne répondit pas à la première interrogation de Madison, songeant cette fois que ça la mettrait très certainement mal à l’aise d’apprendre qu’elle se trouvait dans la maison de quelqu’un qu’elle ne voyait que dans les magazines et à la télévision. Elle avait besoin de souffler, et l’immense propriété de Midas lui en offrait l’opportunité, c’était encore tout ce qu’elle devait savoir. Dans la journée, si elle voulait rester quelques heures de plus, Jo consentirait peut-être à lui dire où elle avait pris le temps de se ressourcer. Pour l’heure, ce n’était pas dans ses projets. Elle était en sécurité, c’était ça le plus important à retenir "Bienvenue dans ma vie." lui fit-elle avec un léger sourire, ses mains désignant le cadre de la chambre dans laquelle Madison avait passé la nuit. D’ordinaire, elle aurait sans aucun doute roulé des mécaniques avec bien plus d’insolence et de provocation que ça, même si cette maison n’était pas la sienne, toutefois elle s’en abstint ici "Si tu préfères le cinéma, y a une salle de projection aussi. Je peux te faire une visite guidée, mais je te garantie pas qu’on retrouve notre chemin sans boussole." Elle exagérait, elle réussissait mieux à se repérer désormais. Madison avait besoin de légèreté, et malgré tout, Jo pouvait la lui donner sans trop forcer, pas la dernière à user de dérision sur une base plus que régulière "Tant que t’auras besoin de te sentir en sécurité, considère que t’abuses de rien." la rassura-t-elle ensuite, sentant que c’était ce dont la jeune femme avait besoin. Elle ajouta "Même si tu veux pas rester ici plus longtemps, je te trouverais un endroit tranquille, où personne aura l’idée de te chercher avant que tu le décides." Elle appellerait des gens, elle verrait ce qu’elle peut faire et elle accompagnerait Madison. Une fois engagée, difficile pour Jo d’abandonner. Elle avait déjà l’impression de l’avoir fait en laissant la jeune femme s’accrocher à cet amoureux qui lui avait fait du mal, elle n’avait pas envie de recommencer.
Alors elle essaya de la conseiller. Elle remarqua aussi vite la panique dans l’attitude de Madison, ça la poussa à lui demander, pointant du doigt la place vide du lit dans lequel elle était recroquevillée "Je peux m’installer à côté de toi ?" Comme cette nuit à l’hôpital, elle préférait rester prudente sur la manière dont elle voulait rogner son espace, et attendit qu’elle lui donne son approbation pour se hisser à ses côtés un petit peu par un petit peu, à genoux sur le matelas, qu’elle remonta jusqu’à elle pour ensuite se retourner et s’adosser à la tête de lit. Juste à côté de la jeune femme, elle passa ses jambes sous la couverture, et fit passer ses longs cheveux bruns d’un côté à un autre de sa tête, un gros soupir lui échappant en même temps "C’est pas simple, mais c’est nécessaire." Elle hocha la tête qu’elle tourna finalement vers Madison "T’es encore toute jeune Madison, ta vie sera pas détruite si tu vas de l’avant et que tu le rayes de ta vie." Est-ce que c’était judicieux de continuer sur cette lancée ? Jo n’en était pas sûre, mais elle s’y risqua tout de même, parlant en connaissance de cause "Par contre, ce qui la détruira, c’est si tu restes avec lui — je sais, j’ai pas besoin que tu me dises que c’est difficile à envisager pour toi." Elle ne la coupa pas avec agressivité, elle voulait juste qu’elle la laisse terminer ce qu’elle mûrissait depuis qu’elles étaient rentrées de l’hôpital. Instinctivement, elle posa une main sur son propre coeur, dissimulé sous le peignoir épais qu’elle portait, comme pour donner une certaine portée à ses paroles qui sortaient tout droit de là "Jamais je prétendrais que c’est donné à tout le monde de quitter un environnement violent. C’est faux, c’est la chose la plus dure à faire, surtout quand on croit aimer celui qui nous martyrise." Et d’après ce que Madison avait dit à Jo, elle aimait Oliver, même si elle n’en était pas amoureuse "T’es pas trop conne, ça peut arriver à n’importe laquelle d’entre nous." Même les plus fortes, celles qui donnaient l’impression d’être incapables de se laisser maltraiter pour un mot ou un regard de travers. Ne sachant pas quoi faire face aux nouvelles larmes de Madison, elle attendit un court instant, et puis finalement, elle chassa simplement la goutte qui dégringolait de son menton avec la bosse de son index en ajoutant "Tu vas passer par plusieurs stades jusqu’à ce que tu comprennes pour de bon que t’y es pour rien. En attendant, t’as le droit de pleurer si c’est ce qui te fais du bien, la solution peut attendre quelques heures de plus — donne-moi ton téléphone, d’accord ?" Et elle tendit la main en direction de la jeune femme en espérant qu’elle accepte de le lui donner pour qu’elle puisse au moins l’éteindre à sa place.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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Cleo Baker
la tête dans les étoiles
ÂGE : 27 ans (12 février 1997) SURNOM : On l'appelle souvent Leo. Sur scène, en drag, elle devient Supernova. STATUT : tout juste sortie d'une relation abusive avec son ex-copain, développe des crushs sur environ toutes les filles qui lui sourient. MÉTIER : Elle enchaîne les petits boulots qui lui permettent de continuer ses projets artistiques à côté : les performances drag, la couture, la musique, etc. Étonnamment, de formation, elle est infirmière - c'était pour faire plaisir à ses parents, ça. LOGEMENT : Une petite chambre ultra décorée de babioles et d'affiches, dans une colocation. POSTS : 1070 POINTS : 480
TW IN RP : homophobie internalisée et familiale, drogues, alcool, religion, viol conjugal, relation abusive. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : infj › cleo la timide à la ville, supernova l'extravagante sur scène › touche-à-tout et ultra créative, son univers artistique est poétique, décalé, absurde et sombre › people-pleaser, angoissée, généreuse › un peu trop fêtarde, elle affirme rattraper des années de conformisme › maquillage coloré, strass et paillettes à gogo › ses tenues extravageantes font se retourner les mamies dans la rue › collectionne les boîtes d'allumettes › passion fait-main, dyi, vintage, kitsch & maximalismeDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS : (08)Phenix 01 › Ciel 01 › Jo 02 › Ollie 02 › Primrose 01 › Shiloh 02 › Albane 01 › Eve 01
PRIMROSE › you were my partner in crime, it was a welcome waste of time, eating cherries on the bridge, feet dangling, throwing the pits and stems into the racing current below, i get vertigo looking down and looking in
OLLIE › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
SHILOH › is it cool that I said all that? is it chill that you're in my head? cause I know that it's delicate
ALBANE › but if you get married, i'd object, throw my shoe at the altar and lose your respect, i'd rather lose my dignity than lose you to somebody who won't make you happy
L’oppulence du lieu impressionne Madison, qui est pourtant habituée à un certain standard de vie. Enfant, elle a pensé naivement que l’argent de sa famille lui donnerait une vie de rêve, parce qu’elle n’a grandi en manquant de rien, à part peut-être un peu de bienveillance de la part de ses parents. Ce n’est que lorsque Lola est morte que Madison a compris que la richesse ne protégeait d’aucun aléas de la vie, encore moins de la mort - la chose la plus terrifiante qui soit à ses yeux d’enfant, qui a depuis assez grandi pour savoir qu’il existe des choses pire que de disparaître. "Si tu préfères le cinéma, y a une salle de projection aussi. Je peux te faire une visite guidée, mais je te garantie pas qu’on retrouve notre chemin sans boussole." Madison a un petit rire, soulagée de la légèreté que lui offre Jo avec cette simple plaisanterie. Elle ne sait toujours pas pourquoi la chanteuse lui offre une telle douceur, mais Madison s’y aggrippe comme une naufragée dans la tempête. "Tant que t’auras besoin de te sentir en sécurité, considère que t’abuses de rien." « Merci, Jo », elle bredouille les yeux baissés, ne sachant pas comment articuler toute la reconnaissance qu’elle a envers la chanteuse en cet instant. Pourquoi disait-on qu’il ne fallait pas rencontrer ses idôles, pensa Madison avec un sourire en coin, malgré tous les aléas de sa relation avec Jo. "Même si tu veux pas rester ici plus longtemps, je te trouverais un endroit tranquille, où personne aura l’idée de te chercher avant que tu le décides." Madison cligne des yeux plusieurs fois, légèrement submergée par la bienveillance dont fait encore preuve Jo à son égard. Elle a l’impression que petit à petit, le nœud dans sa poitrine coulisse pour se défaire. A nouveau, elle se sent à court de mots pour remercier Jo.
Jo lui demande à nouveau la permission de s’asseoir à côté d’elle, et Madison a l’étrange pensée qu’elle est dans un lit avec Jo Carter, et que ça serait presque drôle si la situation n’était pas aussi affreuse. Elle ne rougit plus, ne se sent pas gênée de leur proximité. Au contraire, elle a l’impression que la présence de Jo la rassure. "T’es encore toute jeune Madison, ta vie sera pas détruite si tu vas de l’avant et que tu le rayes de ta vie. Par contre, ce qui la détruira, c’est si tu restes avec lui — je sais, j’ai pas besoin que tu me dises que c’est difficile à envisager pour toi." Jo devine ses mots et ses défenses, et Madison l’écoute avec attention. Elle sait que les mots ont du mal à pénétrer son cerveau, mais qu’elle a besoin de les entendre. Tout à coup, elle se sent si fatiguée qu’elle a l’impression de placer toute sa confiance en Jo, le temps d’une discussion, comme si Madison avait besoin qu’on lui dise exactement quoi faire. "Jamais je prétendrais que c’est donné à tout le monde de quitter un environnement violent. C’est faux, c’est la chose la plus dure à faire, surtout quand on croit aimer celui qui nous martyrise." Madison boit ses paroles, avec l’étrange impression que Jo s’y connaît presque trop, que ses mots ont le poids de ceux qui connaissent le fardeau. Mais Madison ne s’autoriserait jamais à poser la question. "T’es pas trop conne, ça peut arriver à n’importe laquelle d’entre nous." Madison fait la moue, secoue la tête, et avoue : « Je sais pas, j’ai l’impression d’être la vict- » le mot victime se coince dans sa gorge, elle a du mal à le prononcer, « la cible parfaite. Trop molle, trop passive, qui a accepté tous les dysfonctionnements jusqu’à… Jusqu’à l’explosion », une métaphore pour cacher la réalité d’hier soir. "Tu vas passer par plusieurs stades jusqu’à ce que tu comprennes pour de bon que t’y es pour rien. En attendant, t’as le droit de pleurer si c’est ce qui te fais du bien, la solution peut attendre quelques heures de plus — donne-moi ton téléphone, d’accord ?" Madison hésite une demi-seconde, son menton encore tremblant, et tend le téléphone à Jo. A l’instant où elle le lâche dans sa paume, elle entrouvre malgré elle sa bouche pour inspirer de soulagement, sentant un poids quitter ses épaules temporairement. « Oh wow », elle bredouille. « C’était une bonne idée. » Elle inspire, renifle, et essuie ses larmes du dos de la main. Elle plisse les yeux, repense à ce que Jo lui a dit plus tôt. « Je crois que, euh, j’aimerais bien regarder un film, oui, penser à autre chose pendant deux heures », elle dit d’une petite voix gênée de faire une demande à voix haute. « C’est quoi ton film préféré pour remonter le moral ? » Elle demande, espérant que Jo ne soit pas le genre de personnes qui, comme Saddie, regarde des documentaires de true crime pour se changer les idées.
Mais Madison n’a pas envie de juste changer de sujet brusquement, parce que Jo a fait l’effort d’être honnête, de lui dire les choses qu’elle a besoin d’entendre. Alors Madison inspire et continue : « Je.. J’ai du mal à organiser mes pensées, et c’est peut-être la faute des médicaments, mais je sais que tout ce que tu me dis, là… » Elle regarde ses mains, plante l’ongle de son pouce dans la pulpe de son index, nerveuse. « Je… Enfin, je veux dire, merci de me le dire. » Avec douceur mais fermeté. « Je prends peut-être pas toujours les bonnes décisions, mais j’ai vraiment eu une illumination, hier soir, quand j’ai donné ton numéro à l’infirmière », elle murmure avec un petit sourire. « Même si, euh, je m’excuse que ça soit tombé sur toi », elle ajoute précipitamment.
won't make my mama proud, it's gonna cause a scene, she sees her baby girl, I know she's gonna scream, god, what have you done? you're a pink pony girl and you dance at the club, oh mama, I'm just having fun, on the stage in my heels, it's where I belong down at the, Pink Pony Club, Im gonna keep on dancing at the Pink Pony Club
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Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
no words appear before me in the aftermath @Madison Kwanteen ☆ crédit/ssoveia
Elle n’avait pas besoin des remerciements de Madison. Elle ne lui apportait pas son aide pour être couverte de fleurs et de reconnaissance, elle gardait ça pour la scène et les cérémonies de remise de prix. C’était juste qu’elle savait ce que ça faisait, et que dans une certaine mesure seulement, pas assez bien ajustée pour prendre tout le malheur du monde sur ses épaules, ça lui faisait pourtant de la peine de voir Madison dans cet état, aux prises d’une histoire qu’elle savait néfaste pour elle, mais dont elle ne réussissait pas à s’échapper parce qu’elle avait peur de tout un tas de choses irrationnelles, de tout un tas d’autres qui l’étaient moins, le prouvaient les coups qu’elle avait reçu. Ça tapait trop près de la maison, ça la mettait dans la position de celle qui ne voulait pas faire ça, mais qui mettait tout de même en place un comparatif en songeant que, si à l’époque, quelqu’un s’était rendu compte de ce qu’elle vivait sous le toit de ses parents, elle serait peut-être bien plus heureuse aujourd’hui. Jo ne ferait pas offense aux personnes qui faisaient partie de cet entourage qu’elle avait choisi avec le temps et qui pour la plupart ignoraient une bonne partie de sa vie qu’elle s’appliquait à ne pas relater par pudeur étonnante, restait qu’elle n’ignorait pas ce que ça faisait de ne recevoir d’aide de personne. Si ça l’avait forgée, ça l’avait aussi contrainte à mettre en place des mécanismes de défense qui lui pourrissaient la vie et qui, dans une moindre mesure, ayant le mérite d’exister, pourrissaient aussi la vie de ceux qu’elle aimait. Curieusement, elle ne voulait pas que Madison se sente obligée de faire la même chose en se débrouillant seule, en gérant les retombées de son traumatisme seule. Elle l’autoriserait surement à l’aider que dans un temps donné, la remplaçant par ceux qui constituaient son cercle proche une fois qu’elle se sentirait prête, mais ce n’était pas grave. Le plus important pour l’heure, c’était qu’elle se sache soutenue.
"Tu penses vraiment ce que tu dis, ou tu répètes ce qu’il a essayé de te faire croire tout au long de votre relation ?" La tête posée contre la tête de lit, le menton posé sur sa propre épaule remontée l’air de rien, Jo observa le visage mouillé de larmes de Madison sans avoir besoin d’essayer de comprendre son raisonnement. Sur l’instant, elle s’entendait à nouveau dire à Midas qu’elle avait bien mérité les quelques gifles qu’elle avait reçues étant donné qu’elle était une gamine effrontée, difficile à canaliser "Les cibles parfaites, ça n’existe pas, et t’as rien accepté de tout ça, tu l’as subi parce que t’avais peur, parce qu’il te fait peur." Et parce que ce serait le cas toute sa vie, qu’importe ce qu’elle mettrait en place pour guérir de lui, de ce qu’il lui avait fait. Si elle était de nouveau confrontée à Oliver dans dix ans, elle se liquéfierait, exactement comme Jo se liquéfiait chaque fois qu’elle laissait l’opportunité à son père de s’impliquer dans la vie qu’elle avait pourtant construite sur l’idée qu’elle devait ne plus jamais laisser avoir l’ascendant sur elle. Jo donnait des conseils parce qu’elle savait de quoi elle parlait en effet, et bien qu’elle avait beaucoup de mal à les appliquer elle-même, elle n’y croyait pas moins cependant.
Madison lui donna son téléphone, Jo le glissa dans la poche de son peignoir en prenant soin de l’éteindre avant toute chose, consciente que ce n’était pas un remède miracle. En attendant, ça ferait l’affaire "Alors on va regarder un film. Je vais te préparer un truc à manger, tu dois pas avoir le ventre vide pour prendre tes médocs." Elle désigna du menton la boîte de médicaments qui trônait sur la table de chevet du côté de Madison, et se redressa de la tête de lit pour en sortir les jambes et se lever en souriant à moitié à la question qu’elle lui posa à propos de son film préféré pour remonter le moral "Fais pas l’étonnée si je te dis que ce sera forcément un musical. J’en aime des tas, je saurais pas te donner une réponse tout de suite, tu me laisses réfléchir jusqu’à ce qu’on y soit ?" Dans sa liste, il y avait Cabaret, My Fair Lady, Footlose, Moulin Rouge, Chicago — elle ne proposerait pas High School Musical pour protéger sa crédibilité. Elle coinça ses cheveux à deux mains derrière ses oreilles, replaça le col de son peignoir sur sa poitrine, puis elle resserra sa ceinture en même temps pendant que la jeune femme reprenait plus sérieusement la parole. Jo secoua la tête, ses traits démaquillés s’animant par anticipation "T’as pas besoin de me remercier Madison." Elle le disait sincèrement, sans que son ton ne dénote aucune impatience, même si ses sourcils se froncèrent un peu et que sa main se dressa devant elle dans un geste naturel, plutôt du genre à parler avec les mains "Je sais quel genre d’image je projette, et je sais que j’ai pas toujours été tendre avec toi, mais y a pas un monde où je t’aurais laissé rentrer chez toi seule après ce qui t’es arrivée hier soir." Si ça avait été moins grave que ça, sûr qu’elle l’aurait fait, mais ce n’était pas utile de le souligner — comme elle le disait, elle savait quelle image elle projetait, elle ne faisait pas souvent en sorte qu’on voit autre chose "J’ai pas besoin que tu t’excuses non plus. Y en a qu’après une seule personne que je suis en colère, et c’est pas après toi." Dans la seconde, c’était après Oliver qu’elle n’avait jamais senti de toute façon. Elle hocha doucement la tête, son regard toujours posé sur la jeune femme qu’elle incita silencieusement à ne plus lui dire merci ni lui demander pardon. Pour ça, elle changea subtilement de sujet, et lui demanda en faisant quelques pas pour contourner le grand lit au milieu de la pièce "Tu bois quoi, le matin ?"
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
:
Cleo Baker
la tête dans les étoiles
ÂGE : 27 ans (12 février 1997) SURNOM : On l'appelle souvent Leo. Sur scène, en drag, elle devient Supernova. STATUT : tout juste sortie d'une relation abusive avec son ex-copain, développe des crushs sur environ toutes les filles qui lui sourient. MÉTIER : Elle enchaîne les petits boulots qui lui permettent de continuer ses projets artistiques à côté : les performances drag, la couture, la musique, etc. Étonnamment, de formation, elle est infirmière - c'était pour faire plaisir à ses parents, ça. LOGEMENT : Une petite chambre ultra décorée de babioles et d'affiches, dans une colocation. POSTS : 1070 POINTS : 480
TW IN RP : homophobie internalisée et familiale, drogues, alcool, religion, viol conjugal, relation abusive. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : infj › cleo la timide à la ville, supernova l'extravagante sur scène › touche-à-tout et ultra créative, son univers artistique est poétique, décalé, absurde et sombre › people-pleaser, angoissée, généreuse › un peu trop fêtarde, elle affirme rattraper des années de conformisme › maquillage coloré, strass et paillettes à gogo › ses tenues extravageantes font se retourner les mamies dans la rue › collectionne les boîtes d'allumettes › passion fait-main, dyi, vintage, kitsch & maximalismeDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS : (08)Phenix 01 › Ciel 01 › Jo 02 › Ollie 02 › Primrose 01 › Shiloh 02 › Albane 01 › Eve 01
PRIMROSE › you were my partner in crime, it was a welcome waste of time, eating cherries on the bridge, feet dangling, throwing the pits and stems into the racing current below, i get vertigo looking down and looking in
OLLIE › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
SHILOH › is it cool that I said all that? is it chill that you're in my head? cause I know that it's delicate
ALBANE › but if you get married, i'd object, throw my shoe at the altar and lose your respect, i'd rather lose my dignity than lose you to somebody who won't make you happy
“And he cries and cries, cries for everything he has been, for everything he might have been, for every old hurt, for every old happiness, cries for the shame and joy of finally getting to be a child, with all of a child's whims and wants and insecurities, for the privilege of behaving badly and being forgiven, for the luxury of tenderness, of fondness, of being served a meal and being made to eat it, for the ability, at last, at last, of believing a parent's reassurances, of believing that to someone he is special despite all his mistakes and hatefulness, because of all his mistakes and hatefulness.” (h. yanagihara)
"Tu penses vraiment ce que tu dis, ou tu répètes ce qu’il a essayé de te faire croire tout au long de votre relation ?" Madison pince les lèvres. Elle ne sait pas si ce sont les médicaments, la fatigue, l’anxiété, mais elle n’est plus sûre d’à qui appartiennent ses pensées, ses mots. Elle a toujours été le fair-valoir d’Oliver, mais ces derniers mois, elle a l’impression qu’il a vraiment pris possession de son cerveau, sa personnalité, elle a du mal à être elle-même. Alors peut-être que Jo a raison, que Madison n’est qu’une coquille vide, la projection d’une petite-amie. "Les cibles parfaites, ça n’existe pas, et t’as rien accepté de tout ça, tu l’as subi parce que t’avais peur, parce qu’il te fait peur." La peur. Voilà une émotion que Madison a anesthésié avec l’alcool, aux côtés d’Oliver. Elle s’est dit qu’elle était angoissée, stressée, mais c’est Jo qui a raison : elle avait peur. Peur de ses sautes d’humeur, peur qu’il la force à coucher avec lui quand elle essayait de se trouver des excuses, peur qu’ils se crient dessus, peur qu’elle pleure et se sente affreuse..
"Alors on va regarder un film. Je vais te préparer un truc à manger, tu dois pas avoir le ventre vide pour prendre tes médocs." Madison a de nouveau les larmes aux yeux, mais pas d’angoisse cette fois-ci, mais bien d’émotions. Elle a les larmes aux yeux parce que la gentillesse de Jo la transperce tant qu’elle ne sait pas quoi en faire. "Fais pas l’étonnée si je te dis que ce sera forcément un musical. J’en aime des tas, je saurais pas te donner une réponse tout de suite, tu me laisses réfléchir jusqu’à ce qu’on y soit ?" Madison hoche la tête avec un petit sourire, reniflant, un peu gênée de son émotivité. « C’est un programme de rêve », elle murmure, malgré toute l’étrangeté de la situation. Elle fait complètement confiance à Jo pour le choix du film.
"T’as pas besoin de me remercier Madison." Jo le répète et pourtant, Madison continue de la remercier. Quoi que dise la chanteuse, Madison lui doit des remerciements dont elle n’arrive même pas à articuler l’importance, c’est trop frais, elle n’arrive pas à complètement réaliser le cadeau que Jo lui a offert - celui de la douceur et du non-jugement dans un moment si critique. "Je sais quel genre d’image je projette, et je sais que j’ai pas toujours été tendre avec toi, mais y a pas un monde où je t’aurais laissé rentrer chez toi seule après ce qui t’es arrivée hier soir." Madison repense à leurs disputes - elle lui doit des excuses aussi, de ce côté-là. "J’ai pas besoin que tu t’excuses non plus. Y en a qu’après une seule personne que je suis en colère, et c’est pas après toi." Madison se demande si elle est en colère, elle aussi, contre Oliver. Elle a l’impression qu’un vortex dans le trou de sa poitrine l’empêche de réfléchir. Jo se lève et contourne le lit. "Tu bois quoi, le matin ?" Madison cligne des yeux, chasse la pensée intrusive qui lui dise qu’en cet instant, ce qu’elle voudrait, c’est un immense verre de vin blanc. « Du thé, s’il-te-plaît », elle répond en se raclant la gorge. Elle a lu, ado, que le thé noir aidait le mal de tête, et depuis qu’elle a commencé à enchaîner les gueules de bois, elle se convaint que le thé aide à faire passer les migraines.
Jo fait quelques pas pour sortir de la chambre, et Madison sent une bouffée de gratitude qui la pousse à être courageuse. « Jo ? » Elle appelle, timide. « Je suis désolée de t’avoir repoussée, à cette soirée, alors que tu essayais juste de m’aider. » Elle s’en veut, même si elle essaie de se dire qu’elle ne pouvait pas faire autrement - elle sait qu’elle était dans un gouffre trop complexe pour y voir clair. « Et, euh, tu n’es pas obligée de me croire, mais je t’assure que je n’ai pas voulu travailler avec toi pour un quelconque crush. C’était vraiment par admiration », elle murmure. « Et je sais qu’on dit qu’il ne faut pas rencontrer ses idoles mais… » Elle hausse les épaules, gênée. Elle ne sait pas faire des compliments, pas quand elle est sobre et le cœur encore en bouilli de la veille. Mais elle essaie. « Mais la Madison qui utilisait son crédit téléphonique pour envoyer 2 pour voter Jo Carter, elle s’est pas trompée. »
won't make my mama proud, it's gonna cause a scene, she sees her baby girl, I know she's gonna scream, god, what have you done? you're a pink pony girl and you dance at the club, oh mama, I'm just having fun, on the stage in my heels, it's where I belong down at the, Pink Pony Club, Im gonna keep on dancing at the Pink Pony Club
:
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
no words appear before me in the aftermath @Madison Kwanteen ☆ crédit/ssoveia
Elle ignorait combien de temps Madison resterait ici, elle ignorait même si elle réussirait à détourner son attention assez longtemps pour qu’elle trouve la force de reprendre sur elle de la bonne façon et mette en perspective les meilleures décisions à prendre pour elle, pour son avenir. Jo estimait cependant que ce n’était pas urgent dans tous les cas, qu’elle avait toute la journée, toute la semaine, s’il le fallait. En attendant, elle lui vendait un programme de rêve composé d’images criardes, de chansons niaises et de paillettes, et une partie d’elle espérait sincèrement que ça pourrait suffire à apaiser ce qu’elle avait dans le coeur sur l’instant ; ce n’était pourtant pas un remède miracle, le prouvait les larmes qu’elle voyait briller dans les yeux de Madison chaque fois qu’elle lui offrait une nouvelle démonstration de gentillesse commune, qui s’apparentait d’ailleurs davantage à de la politesse. Elle savait toutefois que dans l’état dans lequel elle était, c’était difficile de faire le tri entre les petites attention qu’on recevait, et elle ne voulait pas la juger pour s’émouvoir qu’on la traite comme un être humain.
Elle prendrait soin d’elle, elle lui ferait sentir qu’elle n’était pas seule, elle essaierait de lui insuffler le courage nécessaire pour qu’elle sorte de l’état dans lequel elle se trouvait maintenant et qui n’était qu’une coquille faite de la culpabilité qu’elle ressentait, de la tristesse qui l’assaillait, et de la douleur qui la rongeait. Elle s’y prendrait bien ou pas, elle ne préférait pas anticiper la suite des événements, mais elle savait qu’elle avait un avantage sur quelqu’un d’autre pour l’heure ; elle maîtrisait plutôt bien la descente d’une soirée comme celle que Madison venait de passer, elle savait plus ou moins comment traiter avec les images difficiles, les douleurs fantômes, et la crainte que ça recommence, encore et encore. Personne ne méritait de vivre ça seul "On part sur du thé." répéta-t-elle à la suite de la jeune femme qu’elle avait interrogé pour connaître ses goûts en matière de boissons chaudes. Elle se dirigea vers la porte en replaçant ses cheveux sur ses épaules, les tenant d’abord à deux mains pour les rassembler avant de les laisser lentement couler entre ses omoplates qu’elle redressa quand Madison l’appela. Hissée sur la pointe des pieds par habitude, ne supportant pas sa petite taille, Jo se retourna, les sourcils haussés dans un hm ? silencieux, prête à entendre à ce qu’elle avait à lui dire sans se douter que ça puisse partir de leur mésaventure passée, celle qui avait coupé court au contact qu’elles avaient à l’époque. Elle regarda en l’air, mais pas de façon dédaigneuse, essayant juste de se remémorer exactement ce qui s’était passé, et dont elle n’avait pas seulement été la victime, mais aussi partiellement la coupable, pas du genre à prendre des pincettes quand il s’agissait de se jeter à corps perdu dans quelque chose qui l’interpellait "Je me suis mêlée de quelque chose qui me regardait pas, et je l’ai pas fait avec douceur, je comprends que tu te sois défendue." Madison s’était cependant trompée d’ennemie, et si la fierté de Jo s’en trouvait ragaillardie, elle étouffa l’envie qu’elle avait de le lui faire remarquer en la regardant tout simplement continuer à s’exprimer, bien qu’elle la coupa au milieu de ce qu’elle lui disait avec un léger sourire et un hochement de tête à la négative "C’est pas important, je t’assure. Je démarre souvent au quart de tour, c’est pas quelque chose dont je suis particulièrement fière, mais c’est comme ça, ça veut pas toujours dire que je suis vraiment en colère, c’est juste un réflexe." tint-elle à lui expliquer sans gêne au demeurant, mais elle disait vrai : surtout ces derniers temps, cette partie de sa personnalité, elle ne la rendait pas satisfaite d’elle-même, bien au contraire "C’est pas important." rabâcha-t-elle, y croyant vraiment, bien qu’elle ajouta pour faire le clown, ses paupières se terminant par de longs cils naturels papillonnant alors que son épaule se releva comme la diva qu’elle était, prête à dégainer son profil sans défaut pour illustrer son propos "Puis soyons honnêtes, tout le monde à le béguin pour moi, tu m’as bien regardée ?" Encore une seconde ou deux, elle emprunta sa mine des grands jours, aussi sérieuse qu’elle était hautaine, puis retrouva une mine plus en adéquation avec le moment ; douce. Sa tête se secoua cette fois à la positive, et enfin, elle s’inclina face à ce que Madison ajouta ensuite. Jo ne sut quoi lui répondre, elle devait l’admettre. Elle était touchée, elle était un peu gênée aussi, cette fois, et ce sans vraiment savoir pourquoi, mais elle ne ressentait pas le besoin de résoudre cette énigme là. Elle avait agi comme chacun devrait le faire face à une situation pareille, à partir de ce constat-là, elle estimait qu’elle n’avait pas besoin de recevoir des louanges. Pendant un instant encore, elle resta silencieuse, ses yeux étant la seule chose chez elle qui parlait, remplis de reconnaissance et de bienveillance, posés sur Madison qui se tenait à distance d’elle, et à qui elle finit par dire simplement, après lui avoir donné un léger signe de tête pour la remercier à son tour "Allez, reste bien près de moi. Je compte pas partir en expédition type exploration dans la forêt amazonienne si tu te paumes dans les couloirs." Se retournant avec grâce, elle tendit la main derrière elle pour que Madison la saisisse avant d’ouvrir la porte.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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Cleo Baker
la tête dans les étoiles
ÂGE : 27 ans (12 février 1997) SURNOM : On l'appelle souvent Leo. Sur scène, en drag, elle devient Supernova. STATUT : tout juste sortie d'une relation abusive avec son ex-copain, développe des crushs sur environ toutes les filles qui lui sourient. MÉTIER : Elle enchaîne les petits boulots qui lui permettent de continuer ses projets artistiques à côté : les performances drag, la couture, la musique, etc. Étonnamment, de formation, elle est infirmière - c'était pour faire plaisir à ses parents, ça. LOGEMENT : Une petite chambre ultra décorée de babioles et d'affiches, dans une colocation. POSTS : 1070 POINTS : 480
TW IN RP : homophobie internalisée et familiale, drogues, alcool, religion, viol conjugal, relation abusive. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : infj › cleo la timide à la ville, supernova l'extravagante sur scène › touche-à-tout et ultra créative, son univers artistique est poétique, décalé, absurde et sombre › people-pleaser, angoissée, généreuse › un peu trop fêtarde, elle affirme rattraper des années de conformisme › maquillage coloré, strass et paillettes à gogo › ses tenues extravageantes font se retourner les mamies dans la rue › collectionne les boîtes d'allumettes › passion fait-main, dyi, vintage, kitsch & maximalismeDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS : (08)Phenix 01 › Ciel 01 › Jo 02 › Ollie 02 › Primrose 01 › Shiloh 02 › Albane 01 › Eve 01
PRIMROSE › you were my partner in crime, it was a welcome waste of time, eating cherries on the bridge, feet dangling, throwing the pits and stems into the racing current below, i get vertigo looking down and looking in
OLLIE › out in the park, we watch the sunset, talking on a rusty swing set, after a while you went quiet and i got mean, i'm always pushing you away from me but you come back with gravity, and when i call, you come home, a bird in your teeth
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ALBANE › but if you get married, i'd object, throw my shoe at the altar and lose your respect, i'd rather lose my dignity than lose you to somebody who won't make you happy
En cet instant, Madison sent le besoin vital de s’excuser auprès de Jo, de s’expliquer, parce qu’après tout ce qu’elle a fait pour elle, en venant la chercher, en l’accueillant, en lui offrant cet espace sans jugement, Madison déborde d’une gratitude qu’elle ne sait pas trop comment exprimer ou où ranger. Les mots lui échappent, elle a peur de froisser à nouveau Jo, mais elle a besoin de le dire, que Jo accepte ses excuses ou non, croit ses explications ou non. Etonnemment, le visage de Jo reste ouvert et adouci, calmant légèrement le rougissement de celui de Madison. Dans sa poitrine, son coeur remué réduit son rythme cardiaque. "Je me suis mêlée de quelque chose qui me regardait pas, et je l’ai pas fait avec douceur, je comprends que tu te sois défendue." Madison voudrait encore s’en excuser, essayer de traduire ce qui l’a animé, en cet instant, mais elle sait que son anxiété et sa timidité l’empêcheraient de bien l’exprimer. Jo dit la comprendre, et semble apaiser, et c’est peut-être tout ce qui compte, se dit Madison. Pas besoin de s’emmêler dans ses explications encore plus. Elle tient tout de même à dire à Jo que cette histoire de crush était aussi un malentendu. "C’est pas important, je t’assure. Je démarre souvent au quart de tour, c’est pas quelque chose dont je suis particulièrement fière, mais c’est comme ça, ça veut pas toujours dire que je suis vraiment en colère, c’est juste un réflexe. C’est pas important." Pour Madison, cela sera toujours important, parce qu’elle ne sait pas calmer son anxiété sociale et son besoin d’être parfaite, mais elle hoche maladroitement la tête, décidée à croire Jo, juste une minute de plus, parce que cela la calme. Et après la soirée de la veille, elle a besoin de cela. "Puis soyons honnêtes, tout le monde à le béguin pour moi, tu m’as bien regardée ?" Madison eut un petit rire étranglé, elle est trop gênée de tout ça pour vraiment plaisanter ouvertement, mais l’attitude de Jo la pousse à sortir un peu de sa coquille. « C’est le risque quand on est aussi belle, c’est sûr », elle offre d’un ton mi-sérieux mi-amusé, parce qu’elle est toujours un peu en équilibre, sur le fil.
Madison se lève du lit, lisse ses vêtements, et secoue légèrement sa tête, avec l’impression désagréable d’être une petite enfant perdue dans une grande maison, pas tout à fait prête à retrouver le monde réel. Jo semble silencieuse le comprendre, car il lui dit avec un sourire : "Allez, reste bien près de moi. Je compte pas partir en expédition type exploration dans la forêt amazonienne si tu te paumes dans les couloirs." avant de lui tendre la main. Madison regarde cette main tendue, une demi-seconde, à nouveau un peu surprise par cette douceur, mais elle suit son instinct et la prend, inspire, et affirme : « Je te suis. »
won't make my mama proud, it's gonna cause a scene, she sees her baby girl, I know she's gonna scream, god, what have you done? you're a pink pony girl and you dance at the club, oh mama, I'm just having fun, on the stage in my heels, it's where I belong down at the, Pink Pony Club, Im gonna keep on dancing at the Pink Pony Club