| | | (#)Jeu 21 Mar 2024 - 10:17 | |
| Il fait beau. Comme bien souvent en Australie me direz vous. Ayant un quotidien relativement remplis par un poste à responsabilité, je ne manque jamais l’occasion de me détendre. Généralement en bonne compagnie, comme ce qui est prévu aujourd’hui. On a beau vivre ensemble, j’ai l’impression que ça fais une éternité que je n’ai pas croisé mon cousin. Alors la veille, on se met d’accord. Rendez vous à 9h sur le practice du club de Golf afin de pouvoir discuter autour d’une partie. Même si la pratique de ce sport ne sera qu’un prétexte pour passer un moment ensemble à discuter, se raconter nos dernières péripéties croustillantes et surtout, s’évader des lourdes responsabilités qui pèse sur les épaules de chaque Cavendish. Même si cette pression est devenu de plus en plus légère avec le temps. Ou plutôt, en vieillissant j’ai appris à la gérer plus facilement. Et dans le monde dans lequel on vie, savoir faire abstraction de la pression est un élément essentiel. Ce monde ne laisse aucune chance aux tendre. C’est malheureux, mais c’est indéniable. Bouffe ou fais toi bouffer, peu importe le nom que tu porte, si tu ne t’impose pas, ça peut vite devenir un enfer.
Ponctuel, je me retrouve sur le gazon du terrain. Munis de mon sac de club de Golf. D’une tenue soigneusement choisi pour l’occasion. D’autant plus quand je dois voir ma star de Cousin. Égérie royal, il ne se priverai pas pour utiliser la moindre faute de goût pour me charrier. Sauf qu’il n’est pas là. C’est étrange, ce n’est pas son genre d’être en retard. Mon regard se pose sur mon téléphone qui viens de vibrer et le couperet tomber. Carmine ne peut pas être là. Empêchement de dernières minutes, rendez vous important. Chose que je peut comprendre. Mais qui me laisse seul sur le Green, et jouer au golf seul n’a rien de bien palpitant selon moi.
C’est là que le bruit d’une de ces petites balles blanches frapper par le club de golf attire mon attention. Relevant mon visage, mon regard sur pose sur l’origine de ce bruit. Jolie Swing. m’approchant de la jeune femme, j’arrive à sa hauteur. Restant à ses côtés, je lui tend ma main. Connor Cavendish. mon cousin me l’a dit. Les bonnes manières sont importantes dans notre monde. Les parents aussi me l’ont souvent rabâché. Alors, je m’y applique, parfois. Vous seriez partante pour partager une partie ensemble ? après tout, c’est la première fois que je vois cette frimousse blonde dans le coin. Et si je ne joue pas tout les jours, je passe presque chaque semaine ou presque. Mon très cher cousin m’a délaissé à la dernière minute.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
Les 'autres' : ♛ Sofia ; ♛ Lashana ; ♛ Sunny ;
AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Jeu 21 Mar 2024 - 22:25 | |
| J'avais envie de me changer les idées. Étant donné, ce qu'il était advenu de ma vie et de mes fréquentations, dernièrement. En plus de ces nouveaux paradigmes, qui ne me ravissaient pas vraiment, s'ajoutait la venue de mon très cher paternel qui restait encore évasif, là-dessus. Je n'avais aucune date précise, ni même un mois. Tout était nébuleux et flou, et je n'aimais pas cela. Cependant, j'étais sa fille unique et il était le mieux placé pour prétendre me connaître, n'est-ce pas ? Or, il semblerait que cela ne soit pas le cas et que je me sois (encore) trompée.
Rien ne pouvait plus m'étonner de la part de Rafael del Pino, de toute manière. Il était tellement prévisible au demeurant, que c'en était à ce stade, réellement maladif. Or, je devais me plier à ses désirs, et ceux-ci me portaient préjudice. Alors, je me devais de momentanément les oublier, m'octroyant de ce fait, une journée seule. Dans un lieu, où pourtant, j'étais parrainée par une connaissance très appréciée de mon géniteur, -décidément ; encore lui !-, Gina Rinehart qui était une grande pratiquante de golf, tout comme elle pouvait adorer dévaliser les boutiques de grand joaillers. Dont ma mère, Manuela Carrera, en était une représentante.
Garant mon Range Rover Evoque noir, sur le parking du Royal Queensland Golf Club, je m'emparais de mon sac de sport griffé présent sur le siège passager de ma voiture, pour me diriger vers le terrain de golf en premier lieu. Ensuite, j'irais probablement profiter du sauna et sûrement du jacuzzi pour ensuite terminer mon escapade par un massage, amplement mérité. Même si je ne venais pas souvent, j'y avais quelques habitudes. Demandant toujours la même masseuse, par ailleurs. Une quarantenaire à la fois douce et quelque peu sauvage, qui pouvait s'enorgueillir de posséder des doigts de fée.
Habillée d'une tenue réglementaire d'un grand couturier, j'arpentais le green. Satisfaite de profiter d'un instant en ma seule compagnie, pour venir faire un swing parfait. Réajustant ma casquette avec un sourire plus qu'appréciateur, je remarquais alors que ma solitude serait de courte durée. En effet, un autre pratiquant de ce sport réservé à l'élite et aux nantis, venait de s'approcher, ce qui me permit de lui offrir une inspiration vive, avant d'accepter cet instant. S'il était venu jusqu'à moi, c'était pour en saluer ma prouesse et ça, ça me plaisait. Même si, je n'étais pas une Nancy Lopez au demeurant, je restais tout de même à un niveau assez correct, sans pourtant être excellent.
- Merci. Au moment où j'allais lui demander son identité, mon mystérieux interlocuteur me prit de court en se présentant lui-même. Me rappelant alors, à l'évocation de son nom de famille, une ressemblance avec un membre très élégant du club. Si ce ne fut le Roi, en personne. Nieves del Pino. Enchantée. Avec un sourire empreint d'une forme de politesse, j'acquiesçais à ses bonnes manières. Oh ? J'avoue que je pensais que celle qui m'avait intronisée ici, me rejoindrait. Mais, ce n'est pas le cas. Alors, je suis disponible et partante pour une partie. Un rire flûté à l'évocation de ce très vilain cousin, par ailleurs. Cavendish ? Comme Carmine ? Même si je ne lui ai jamais réellement parlé, je peux déceler quelques bonnes manières appréciables. Un sourire fugace étirant mes lèvres pleines alors que mon regard vert, quant à lui, jaugeait mon vis-à-vis, sans ciller d'un iota. |
| | | | (#)Jeu 21 Mar 2024 - 23:58 | |
| Disons le franchement. L’absence de Carmine est un mal pour un bien. Il est un bien meilleur joueur de Golf que je ne le suis. Et j’aurai entendus parler de son énième victoire durant des jours à la Villa. En contre partie, je suis sans aucun doute un meilleur joueur de Tennis. Chacun sa discipline après tout, non ? Toutefois, je ne me vois pas jouer seul. Si j’apprécie le golf, que j’apprécie d’autant plus le complexe dans lequel on est et qu’il est agréable de se perdre dans les différents lieux de bien être que nous sont proposés. L’idée de rentrer me traverse l’esprit, jusqu’à me souvenir que mon père et ma mère, alors que j’approche la quarantaine, n’ont de cesse de me traquer afin de m’imposer un sujet de discussion que j’estime avoir clos et ça, depuis longtemps. Autrement dit, voir cette jeune femme swinguer est une aubaine. L’occasion de faire une nouvelle connaissance tout en échappant à ce qui m’attends de retour chez moi. Puis, je le sais, chaque personne présente ici est trier, sélectionner, parrainer. On ne viens pas ici si on est personne. C’est snobe et prétentieux de dire ça, mais ce n’est que la vérité. L’élitisme fais partis intégrante de ce milieu, milieu dans lequel je baigne depuis gamin. Comme la plupart des personnes présentes ici. Même si je suis persuader que ce n’est pas ça qui définis qui nous sommes. Le libre arbitre permet de faire son propre chemin, d’une certaine manière.
Mon regard croise celui de la golfeuse. Mes bonnes manières sont de mise. Ses mots, rapidement le soupçon d’accent qui en résulte me permette de deviner les origines de la jolie blonde. Un détail, j’aime m’accrocher au détail. Ma curiosité sans doute. Mais, qui est celle qui a oser vous faire ça ? Je peut la faire radier pour un tel affront si vous le souhaitez. mon sourire montre bien entendu la légèreté de mes mots et en aucun une réel proposition. Carmine Cavendish. Le roi des lieux et prince des Green. Il n’est pas aussi parfait qu’il n’y paraît comme vous pouvez le constater. Démunis de cœur, il abandonne son cousin seul à son triste sort. croisant de nouveau le regard de celle qui va devenir ma partenaire de golf pour l’après midi. Un léger rire avant de reprendre. Je plaisante. Il est aussi appréciable qu’il n’y paraît. Il a une vie bien remplis tout simplement. Un mal pour un bien.
M’avançant au côté de Nieves. Jusque l’air de départ. Plaçant la balle sur le socle prévue pour. Honneur au dame. galant, je me place au côté de la jeune femme. L’observant jouer d’un œil attentif. Dites moi, Nieves, que faites vous dans la vie ? alors qu’elle semble avoir jouer son coup. Je ne peut m’empêcher de rajouter. Quand vous n’êtes pas occupé à faire passé Nancy Lopez pour une amatrice. oui, je suis un beau parleur. C’est dans ma nature, je suis comme ça. Je suis agréable et courtois, j’aime avoir les petits mots qui sauront faire sourire mon interlocutrice. Et même si la comparaison est certes exagéré, je conteste sincèrement que le niveau de la jolie blonde est plutôt bon. Elle semble douée. Vous pratiquez depuis longtemps ?
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
Les 'autres' : ♛ Sofia ; ♛ Lashana ; ♛ Sunny ;
AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Ven 22 Mar 2024 - 14:10 | |
| Seule, j'aimais bien l'être. Même si être accompagnée par quelqu'un qui partageait les mêmes centres d'intérêts, serait certainement un plus sans équivoque. Mais ici, je n'en avais que faire. Consciente d'apprécier, ce temps que je m'étais alloué. Loin des études, ou de toute autre forme de distraction. Évidemment, mon Iphone n'était pas relégué au second plan, parce que j'aimais avoir un œil dessus et que cela m'était important. Même si, cela concernait mon père ou d'autres représentants de la gente masculine.
Qui pour certains d'entre eux, avaient été rapidement mis de côté. Nulle envie d'avoir à me questionner à leurs propos, j'avais présentement, bien d'autres choses à faire. Le green était en train de m'appeler et je répondais à son appel. Consciente que j'allais passer un agréable après-midi au sein de ce complexe, idéalement conçu pour les personnes fortunées ou qui avaient, somme toute, quelques privilèges plus qu'appréciables dans leurs vies. Comme ce quarantenaire, qui était venu me parler et s'était présenté à moi, comme un membre de l'illustre famille Cavendish. Et qui, tout comme moi, avait été 'abandonné' à la lisière d'une partie de golf.
- Je ne peux dès lors, vous divulguer son identité. Un ton à la fois confidentiel et mystérieux. ... sinon ... je me verrais dans l'obligation de vous tuer. Évidemment, je plaisantais. Demeurant sérieuse, l'espace de quelques secondes, cependant. Avant d'offrir à mon interlocuteur, un léger rire flûté. Je ne le connais pas personnellement, mais j'apprécie réellement cette aura, qu'il offre au commun des mortels. Un autre rire, parce que le dit Carmine, n'était clairement pas déplaisant à regarder. Bien au contraire. Et, être très bien élevé avec d'élégantes manières était certainement un plus appréciable. Pour moi, du moins. Pauvre cousin, abandonné sans vergogne par l'hôte de ce lieu !
Je le taquinais, là encore. Même si, je me faisais la réflexion silencieuse que je devrais converser avec l'autre blond. Ainsi, nous pourrions discourir sur divers sujets ? En plus de profiter des opportunités offertes par l'établissement ? Assurément.
- Je pense qu'il l'est. Un haussement d'épaules, car je m'en ferais probablement ma propre opinion, à un moment donné. Merci. Il était temps d'entrer dans cette discipline sportive pour venir putt, une jolie petite balle de golf. Non sans réfléchir à l'opportunité de me diriger prochainement vers le rough ou un bunker. Je ne pensais pas subir un interrogatoire de cet acabit en faisant une partie de golf. Un silence, alors que je me prêtais tout de même au jeu. Eh bien ... je suis une étudiante en cursus artistique. Avec une nette préférence pour la période romantique, dont Francisco de Goya est issu. Mais, je n'apprécie aucunement l'art contemporain, bien que je reste toujours à même de me documenter avec les nouvelles avancées et les nouveaux courants de pensée.
Et lui ? Parce que j'avais peut-être, un peu trop monopolisé la conversation, en fin de compte.
- Et vous ? À part être le cousin de Carmine Cavendish ... que faites-vous dans la vie ? Une œillade, dans sa direction. Loin de moi, l'idée d'avoir le même niveau que Nancy Lopez. J'en suis encore loin. Mais ... je pratique depuis un certain temps sans pour autant en être assidue. C'en est même tout l'inverse. Un sourire avenant, alors que c'était à lui, d'officier. Et vous ? C'est une prédisposition présente dans les gènes des Cavendish ? Oui. Je devais avouer que je l'étais assez. Curieuse. |
| | | | (#)Ven 22 Mar 2024 - 20:27 | |
| C’est essentiel. Réussir a ce couper du monde l’espace d’une après midi, de temps en temps. Depuis ma tendre enfance, la pression est de mise, j’en ai fais une force au fil des années. C’est obligatoire si vous voulez survivre dans ce monde de toute façon. Mais pour ne pas devenir fou, aigris et totalement isoler, j’ai besoin de m’autoriser ce genre de temps libre, de moment où je suis libre de mes mouvements, libre de mes paroles, libre tout simplement. Une liberté qui aurai pu être solitaire si je n’avais pas aperçu cette jeune femme. Je fréquente bien assez souvent les lieux pour savoir quand je croise un nouveau visage. Non pas que l’espagnole sois une nouvelle adhérente, simplement nos visites qui ne sont jamais croisé. Jusqu’à aujourd’hui.
J’ai un sourire en coin quand elle conclu sa réplique. Si je peut me permettre. Attendez quelques trous. Nous serons à l’abri des regards. Vous aurez tout le temps de vous échapper sans être prise la main dans le sac. sur un ton plus bas, la voix teinté de légèreté, mon regard croise le vert du sien. Je ne peut que acquiescer, mon cousine a du charisme. Est ce que je suis objectif ? Absolument pas. C’est ma famille. La partie avec laquelle j’ai le plus d’atome crochue. Je mettrait toujours Carmine sur un pied d’estale. La vie est loin d’être aussi belle qu’on pourrait le croire. une plainte accompagner d’une fausse moue déçu. Il va de sois que je survivrai à cet abandon.
Les choses se mettent en place, et la partie peut commencer. Un simple prétexte dans l’absolu, une manière de faire quelque chose alors que l’on fais connaissance. Ne rencontrez jamais mes parents. Ce n’est pas un interrogatoire qu’ils proposent aux nouvelles connaissance. Mais une véritable mise à l’épreuve ! un rire échappe à mes lèvres alors que forcément, cette anecdote est dicté par la soirée que j’ai passé la veille, dîner avec eux et subissant leurs mise en examen mensuel pour savoir où en est ma vie. Toutefois, j’écoute avec intérêt et attention les mots de l’étudiante. Confirmant ce que les traits fins de son visage semble indiqué, la trentaine pas encore franchis a priori par la jolie blonde. Elle éveille ma curiosité avec le domaine qu’elle étudie. Je suis loin d’être un connaisseur. Simplement un observateur curieux. J’ai eu l’occasion de contempler Le Dernier Voyage du Téméraire par William Turner. À Londres. Il m’a marqué. Agréablement marqué. l’histoire de ce navire joue sans doute sur mon appréciation de l’œuvre, j’ai toujours eu la fibre marine. Ce n’est pas pour rien que des que j’en ai eu l’occasion, j’ai fais l’acquisition d’un Yatch. Ma façon de prendre la mer dès que l’envie m’en dit. Je ne connais Francisco de Goya que nom. Je serai curieux d’en découvrir plus à l’occasion. un réel intérêt. Si je ne suis pas un fin connaisseur, encore moins un expert. J’apprécie les chef d’œuvre qui ont de grande histoire. Je me laisse captiver et embarquer par ce que les toiles peuvent raconter pour peu qu’on y prête l’attention qu’elle mérite.
Ce qui est une activité à plein temps pour être totalement franc ! même si fort heureusement, qui je suis né se résume pas à ce lien de parenté. Je suis en passe de prendre la direction de Cavendish mines and mineral. c’est une question de temps avant que mon poste de Vice président se transforme en président. Je ne suis pas si pressé que ça. Mais je suis prêt. Des projets plein la tête. Jetant des coups d’œil à mon interlocutrice, je prend place pour prendre mon tour. Un silence quand à sa question, juste le temps de venir abattre mon club sur la balle blanche qui s’envole pour venir s’écraser plusieurs mètres plus loin. De toute évidence. Concernant la branche britannique de notre famille tout du moins. Ils naissent avec un club de golf dans les mains. En Australie, on a hérité d’une raquette de tennis. avançant doucement, mais sûrement vers notre prochain coup. Ceci dit. Nous sommes amener sur le Green dès notre plus jeune âge. On nous apprend à manier le club avant même de savoir marcher. j’exagère, mais pas tant que ça. Les disciplines de ce type sont presque une obligation familial. Il est hors de question de faire tâche. Mais en toute honnêteté, le Golf aussi agréable ça puisse être n’est qu’un prétexte. Ce sont plutôt les services de ce complexe qui nous pousse à y revenir si souvent.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
Les 'autres' : ♛ Sofia ; ♛ Lashana ; ♛ Sunny ;
AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Sam 23 Mar 2024 - 9:30 | |
| Je devais m'avouer, après quelques minutes à converser avec ce jeune homme que sa compagnie m'était agréable. Qu'elle ne m'était pas dérangeante. Même si, je m'évertuais à préférer rester seule, dans quelques endroits que je côtoyais, faire connaissance ne me déplaisait pas. Le blond avait de la répartie et de la conversation et quelques manières, qui étaient sûrement imputées à sa lignée familiale. Carmine Cavendish étant réputé pour être considéré comme un Roi, évoluant dans son royaume. Et y offrant une attention toute particulière, observant sûrement chaque détail, afin que tout soit à son goût.
C'était du moins, ce que je pouvais en penser. On n'était pas à la tête d'un complexe de ce genre, sans y être un minimum investi, n'est-ce pas ? C'était ce que je croyais et quelque chose, me disait que j'étais sûrement à des lieues de me tromper. Cependant, l'échange avec mon interlocuteur avait pris une tournure malicieuse ponctuée d'une certaine menace que je ne mettrais évidemment pas, à exécution. Sauf, s'il était trop entreprenant ... et là, il serait prévenu. Du moins, en filigrane de notre échange cordial.
- Si jamais, il y a le sable où je pourrais enterrer votre corps. J'eus un rire, moi qui étais adepte des documentaires de true crime et ce qui s'y rapportait. C'était un de mes plaisirs coupables. Mon pauvre Connor ... dois-je seulement vous plaindre ? Encore un rire élégant, occulté par une main gracieuse, avant d'êre interloquée, -sans me cacher-, par la mention de ses parents et de leur méthode quelque peu envahissante. Je ne crois pas avoir l'intention de les rencontrer mais ... j'aimerais savoir tout de même, ce qu'est une véritable mise à l'épreuve. En quoi, elle consiste ?
Je voyais très bien ses parents à lui, assis à leur grande table de la salle à manger, et mon vis-à-vis lui, ayant pris place avec l'une de ses conquêtes. Et, ces mêmes géniteurs qui ne se privaient aucunement de vouloir savoir le parcours de vie de la demoiselle ou du jeune homme qui l'accompagnait ! Heureusement que mon père, n'était pas ainsi ! Bien qu'il n'hésitait tout de même pas, à mettre le nez dans quelques-unes de mes fréquentations. Mais toutes étaient triées sur le volet. Toutes, étaient rencontrées dans une sphère privilégiée dont je ne m'écartais jamais. Or, l'Art étant un sujet bien plus intéressant que des parents contrôlants, ceci étant dit.
- Oh, je vois. Je marquais un silence, connaissant l'œuvre dont il faisait mention. De cet artiste, j'apprécie beaucoup Pluie, vapeur et vitesse mais ... il y a une œuvre certaine de William Blake qui me parle réellement. Le Grand Dragon Rouge. Cette série d'aquarelles, dont l'une d'entre elles en particulier est magnifique. Je n'apprécie pas les trois autres, alors que cela reste le même personnage qui y est représenté. Qu'est-ce qui vous parle dans le tableau que vous m'avez cité en exemple ? C'était une manière de connaître le pourquoi, mais aussi ses quelques goûts, même s'il venait de m'avouer qu'il ne connaissait pas Goya. Je vous montrerais.
Je n'étais jamais contre de faire découvrir à un néophyte, l'Art. Surtout, s'il en était demandeur. Pour moi, il fallait toujours un minimum d'intérêt à avoir pour la cause. Sinon, ce serait bancal. Alors que de voir, que cela avait piqué la curiosité du cousin de Carmine Cavendish, ça me plaisait.
- Une activité difficile ou vous n'avez pas à vous en plaindre ? Il n'en avait pas l'air en tout cas. Par contre pour le reste ... il avait une place de choix dans cette firme, visiblement. Et ça, ça ne vous fait pas peur ? Mon regard vert suivait ses mouvements, alors qu'il venait d'envoyer la petite balle blanche au loin, ce qui me faisait penser que le golf était réellement un incubateur idéal pour de nouvelles rencontres choisies précautionneusement. Oh ? Donc si, je résume ... Carmine, lui, a eu un club de golf greffé à sa main depuis sa naissance et vous, si vous êtes australien de pure souche, c'est une raquette de tennis qui remplace le club de golf, c'est bien cela ? Ou bien, avez-vous des gènes britanniques ici et là ? Je lui souriais, alors que c'était à mon tour de me mettre en place, pour tirer un nouveau coup. Mais avant : ... j'apprécie de faire quelques parties mais dios mio, que je préfère le restant des services de cet établissement ! D'ailleurs, le sauna et le jacuzzi n'attendent que moi. Ainsi qu'Olga, ma masseuse.
J'avais mes habitudes. Bien que je ne buvais pas d'alcool, il n'y avait qu'ici que je faisais une exception à ma propre règle : un Negroni. Préparé à la perfection. |
| | | | (#)Sam 23 Mar 2024 - 13:02 | |
| Contrairement à ce que l’on pourrait croire. Il n’est pas impossible de faire de mauvaise rencontre ici même. Par mauvaise, on se comprends, pas de mauvaise personne. Mais certaines moins intéressantes que d’autre, selon les points de vu j’imagine. Chacun peut avoir son opinion et je conçois totalement, que certaine personne ont pu me classer dans cette catégorie à un moment donné. Mais ce n’est pas le cas de l’espagnole. Captivante, cultivée et non pas dans un certain sens de l’humour. De quoi me donner raison d’être venue m’aventurer à ses côtés suite au changement de plan de mon très cher cousin.
Mieux vaut éviter le sable. Les enquêteurs irons retourner cette partie là en propriété ou presque. Là où le gazon a été fraîchement tondu peut être une bonne alternative. même si dans le fond, je doute qu’un Green de golf sois le lieux idéal ou dissimulé un corps sans vie, si vraiment nous voudrions pousser le raisonnement, il y a sans doute beaucoup d’endroit de Brisbane plus adéquat à ce genre de cache cache macabre. Non, inutile d’en arriver jusque là. J’y survivrai. malgré toute l’affection que je porte à mon cousin, je parviens à vivre en son absence. Toutefois, je n’imagine pas le quotidien à la villa sans sa présence dans les parages. C’est là où ils excellent. Elle n’est jamais pareil ! Une chose est sûr, pour peu que vous aillez le malheur de ne pas être solide et après un dîner avec eux, vous remettez vos choix de vie en question. je suis leur fils et pourtant, j’ai moi aussi régulièrement le droit à leur intrusion. Ils me connaissent mais espère toujours certains changement dans ma vie privé. Fort heureusement, je les pratique depuis ma naissance, leurs aptitudes n’ont plus d’effet sur moi.
C’est un sujet que je ne maîtrise pas. Pas parfaitement. Je suis curieux, je suis intéressé, mais pas connaisseur. Pour autant, je n’ai aucun mal à en parler, j’estime que si un domaine vous intéresse, c’est à vous de faire en sorte de développer votre culture à son égard. L’art est vaste, je dirai presque infini tant ça en finis jamais et qu’il reste, restera toujours des choses à contempler. Et laquelle des quatre vous parle le plus ? J’ai envie de me risquer à un essai. Le Grand Dragon Rouge et la Femme vêtue par le Soleil ? une tentative faites de hasard, rien de plus. Je ne connais pas suffisamment mon interlocutrice pour avoir la prétention de savoir les goûts qu’elle peut avoir en matière de peinture. J’apprecie énormément le parallèle qui est représenté. La mise en scène avec le soleil, spectaculairement coloré qui contraste avec le déclassement du vieux vaisseau de guerre. Le changement de couleur brusque. Passant de clair au foncé. comme je l’ai dit. Pas connaisseur mais curieux, cette toile à capter toute mon attention.
La meilleur des activités. Mais je ne suis pas objectif. Je juge la compagnie de mon cousin comme étant l’une des plus agréable. Que voulez vous, la famille, c’est important. pas pour rien que je considère plus Carmine comme un frère qu’un cousin. Que je le protège tout comme et que notre vie commune se passe aussi bien. Absolument pas. Ça aurai pu. Mais j’ai été conditionné pour ce moment depuis que j’ai commencé les études. À ma naissance, ce destin m’a été tracé et le voyage touche à son but. Ça en serai presque triste. Fort heureusement, mes projets me permettent de saisir cette opportunité pour en ouvrir d’autre. grandir et être élever dans un but précis. Ne pas avoir de réel libre arbitre sur la direction que votre vie va prendre. Ça pourrai sonner déprimant. Et ça, même avec toute la fortune du monde. Mais oui, c’est une étape, une de plus qui me rapproche de mon véritable rêve. Celui de récolter les minerai spatiales. Un projet d’envergure, mais j’y parviendrai. C’est joliment résumé. Je suis bel et bien un australien pur souche. Si je me débrouille sur un Green, j’excelle sur un cours de tennis. J’ai un faible tout particulier pour la terre battue espagnole. Bien que loin d’approcher de près ou de loin le niveau du maître en la matière. Rafael Nadal. simple coïncidence mais oui, mes aptitudes de tennisman m’ont souvent permis de briller sur ce type de surface, peut être plus familière au yeux de la jeune femme puis qu’en Espagne c’est peut être la surface préférentiel de la plupart de leurs joueurs de haut niveau en tout cas. On est bien d’accord ! J’ai tendance à être vue comme un vacancier quand j’avance ce genre de parole. Mais sincèrement, je pourrai passer des jours et des jours ici, à voguer de service en service et ça, sans jamais m’en lasser. le cadre, le service, les installations. Oui, j’en exagère pas en disant que je pourrai rester à en profiter sans voir le temps passé. Vous aussi vous sollicitez les services d’Olga ? Je pense qu’il n’y a pas meilleur qu’elle. Vous pouvez arriver nouer comme jamais. Épuisé et courbaturer de partout. Vous ressortirez en pleine forme après être passé entre ses mains. il faut rendre à César ce qui appartiens à César, cette femme a un talent incomparable dans ce domaine. Loin de moi l’idée de vous accaparez plus qu’il ne le faut. Mais nous avions réserver un en-cas pour conclure notre partie avec Carmine. Et ça va faire beaucoup pour un seul homme.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
Les 'autres' : ♛ Sofia ; ♛ Lashana ; ♛ Sunny ;
AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Dim 24 Mar 2024 - 17:55 | |
| Jusqu'à, il y a quelques instants, jamais je n'aurais parié sur une telle compagnie rencontrée au sein même de ce complexe haut de gamme. L'Inconnu, qui n'en était plus un, désormais, répondait à mon humour quelque peu noir, que j'avais décidé d'emprunter. La faute à tous ces documentaires où s'illustraient certaines méthodes de tueurs en série, connus à leur époque. Et, de séries policières, où il était alors aisé d'occulter un corps. Certaines surfaces étaient bien mieux que d'autres, et mon interlocuteur semblait avoir saisi le concept. Ce qui me fit pétiller mes iris verts, alors que je tentais de conserver un tant soit peu de sérieux ... mais, c'était ma foi, peine perdue.
Peu de personnes avaient ce mérite de me faire pouffer de rire assez aisément. Ou du moins, elles se comptaient probablement sur les doigts d'une seule main. Car, je n'étais pas facile à contenter, ordinairement. Je privilégiais un sérieux maîtrisé avec une certaine expertise ainsi qu'une méfiance accrue. Je n'aimais pas me dévoiler, et ça ne s'était jamais modifié. Depuis toute petite, j'agissais ainsi. C'était plus fort que moi et il fallait croire que jusqu'à présent, ça m'avait très bien servi.
- Mon plan, n'est malheureusement pas infaillible. J'en serais presque déçue. Décidément, je conservais un air sérieux, mais j'étais trahie par cette lueur taquine dans mes prunelles vertes. La prochaine fois. Tout sera parfait. Ce n'était pas une invitation pour se revoir, loin de là. C'était juste pour préciser que j'aurais réfléchi à mon plan et celui-ci sera élaboré avec application. Alors ... je retire ma compassion. Un haussement d'épaules, alors que ma curiosité s'en trouvait piquée avec ses parents et leurs méthodes peu orthodoxes. Cependant, elle ne fut qu'attisée et non récompensée, car le grand blond restait assez évasif à ce propos. Et cela, c'était fort dommageable ! À ce point là ? Ne pus-je m'empêcher de demander, étonnée que ses géniteurs en viennent à faire reconsidérer à certaines connaissances de mon interlocuteur, leurs parcours de vie.
Mais, je préférais largement échanger sur un sujet qui me plaisait bien mieux qu'une famille étouffante. L'Art, était mon domaine de prédilection. Tant et si bien, que j'en avais fait mes études et mon emploi futur. Tout comme je n'étais pas une grande consommatrice d'art contemporain, j'y préférais une recherche picturale bien plus aboutie. Une réflexion artistique conditionnée par l'ère de l'artiste lui-même et les méthodes qu'il avait pu employer de son vivant. J'étais alors bien plus attirée par la technique que par une branlette intellectuelle effectuée sans aucune âme.
- Juste celle du Grand Dragon Rouge. Les autres, aussi étrange que cela puisse paraître, ne me parlent pas vraiment. Elles sont magnifiques mais, cela reste différent. Je ne peux que saluer le travail immense qu'avait fourni William Blake lors de la création de ses quatre aquarelles. Cependant, seule l'une d'entre elles avait su capturer mon intérêt. Oh ? J'aime beaucoup la description que vous m'en faites. Même si cela reste assez ... basique ... je peux dire avec certitude que je vois où vous voulez en venir. Que rajouter d'autre ? Rien.
Oubliant momentanément le pourquoi de ma venue ici, j'écoutais Connor Cavendish me relater sa vie. Et des obligations qui pouvaient en retourner. À l'évocation d'une génétique conditionnée par le golf et les bonnes manières, j'eus un sourire des plus discrets. Même s'il portait le même patronyme que Carmine et qu'ils étaient seulement cousins, -on aurait pu facilement y voir un lien fraternel-, il y avait sûrement des singularités à constater.
- Hum. Si la famille, c'était important ? Par expérience, je ne pouvais pas rebondir sur ses propos. Parce qu'en terme de famille, la mienne n'en était pas vraiment une. Mais soit. Heureusement, qu'il avait bifurqué sur une autre thématique. Un destin tracé, dont il vous est difficile de vous en défaire ? Ou vous n'en avez pas envie ? Parce que ... je trouve ça un peu triste. D'entendre le terme voyage et but, dans la même phrase. Comme si, c'était inéluctable. Après tout, il avait choisi son sort, en même temps qu'on le lui avait imposé visiblement. Un étrange mélange. Du tennis et de la terre battue ? En plus, vous mentionnez le dieu Rafael Nadal ? Indépendamment que le tennisman était un dieu vivant espagnol, j'appréciais ce sport. Bien que je ne l'avais jamais pratiqué, malheureusement. Et ... vous avez un bon niveau ?
C'était intéressant de le connaître ? Peut-être bien. Or, j'étais plus à même de préférer les à-côtés de cet établissement, que le green en lui-même. Tout était sensiblement parfait et préparé avec soin. Étrangement, l'homme qui me tenait compagnie avait l'air de penser la même chose. Bien qu'il avait quelques prédispositions pour le golf, le restant était bien meilleur. Je ne pouvais l'en blâmer.
- C'est bien pour ça, que je ne manifeste pas mon point de vue, à qui souhaiterait l'entendre. Et, je suis d'accord. En ce qui concerne les services offerts. Comme ceux d'Olga. Notre masseuse en commun, apparemment. Pour ça, elle est idéale. Une véritable déesse aux doigts de fée. Et, je crains qu'on va devoir se battre en duel, à un moment donné. Je comptais bien passer sous les doigts, de l'Allemande. Et, ce serait aujourd'hui. Mais avant, je fus quelque peu saisie par sa proposition, même si je n'avais rien de prévu pour l'instant. Dois-je y voir une invitation à déjeuner ? Et ... si votre cousin refait surface, il y a des chances qu'il le prenne mal ? Même s'il était absent, l'autre Cavendish avait sûrement son mot à dire. Surtout en ce qui concernait, le déroulé de cette journée. Non ? |
| | | | (#)Dim 24 Mar 2024 - 18:43 | |
| C’est du coin de l’œil que j’observe l’espagnole rire. Le sourire qui étire mes lèvres depuis de longue seconde montre que moi aussi, cette conversation m’amuse. Cette légèreté qu’on a d’aborder ce sujet montre bien à quel point tout ça n’est qu’une plaisanterie. Enfin, je l’espère. Si j’ai bien vécu, je pense encore avoir encore quelques belles années devant moi avant de succomber et d’être dissimulé sur un Green de Golf. Je vais devoir garder un œil par dessus mon épaule au cours de mes prochaines partie de Golf ? une question qui n’en n’est pas vraiment une. Pour le coup, ce n’est même pas une façon de savoir si oui ou non je vais être amener à recroiser la route de la jolie blonde en ces lieux. Je part du principe que oui. Pour une raison évidente, quand on est membre, on essaye de venir profiter de l’endroit de temps en temps au moins. Me concernant, je suis le cousin du Roi. Il va de sois qu’au moindre événement organiser par ici, je serai la, à ses côtés. C’est peut être bien la, l’une des seuls obligations familiales que j’apprécie sincèrement. À ce point la. Un mouvement de tête, comme pour confirmer. La pression Cavendish peut être difficilement supportable. Paradoxalement, ils font ça pour le bien de la personne. Mais ça peut être sacrément déstabilisant si vous n’avez pas un mental d’acier. faut dire que dans la famille, nous sommes extrêmement regardant sur qui nous approche les uns les autres. Rien ne doit être laisser au hasard et les erreurs ne sont pas vraiment permise. Me concernant, je n’ai pas présenter grand monde à ma famille. C’est bien pour ça que mes parents ont décidé de se mettre sur mon dos à ce sujet là. Et quand ils mettent leurs nez dans ce genre d’affaire, ça a tendance à m’inquiéter, je le reconnais.
Et plutôt que de s’étendre sur la pression que mes parents sont capables d’infliger. Évoquer l’art en cette nouvelle compagnie me captive d’autant plus. Certaines choses ne s’explique pas. la préférence de Nieves à l’égard de cette œuvre là et non des autres par exemple. Mais même dans la vie en général, tout n’a pas d’explication rationnel. Et c’est bien là l’essentiel. Je ne suis qu’un observateur curieux. Intéressé. Loin d’être un fin connaisseur. penchant mon visage quelques secondes, j’ajoute tout de même. Pour le moment. quand je m’intéresse à quelque chose. Je le fais vraiment. Jamais je ne deviendrai un expert dans le domaine, je n’ai pas cette prétention. Mais je veux être capable de discerner et comprendre beaucoup plus de chose. Et pour ça, il y a pas de secret, il faut s’en donner les moyens.
Elle marque un point. À tel point que je m’arrête un instant. Club de golf en main alors que je croise son regard quelques secondes. J’ai passé ma jeunesse à essayé de m’en défaire. Je me suis rebellé contre toute forme d’autorité et obligation familiale pendant des années. une vérité que peut connaissent, pourquoi en parler à Nieves ? Je ne sais pas, l’espagnole sait manier les mots, est intelligente de ce que j’en aperçois. Puis, c’est loin derrière moi, suffisamment pour que je puisse en discuter sans gêne. Mais je me suis pris de passion pour l’astronomie. Accepter mon destin, c’est m’ouvrir des portes pour réaliser des rêves. voilà le pourquoi du comment. Tout le paradoxe de ma vie, ayant passé des années à vouloir la fuir pour finalement la rejoindre pour y réaliser mes rêves. Certains diront qu’on échappe jamais vraiment à sa destiné. Difficile de leur donner tort.
Bien vite, les mots de la jolie blonde nous sorte du sérieux de cet échange. Je ne peut que sourire. Une légende vivante si vous voulez mon avis. un avis que tout bon fan de tennis devrait partagé selon moi, mais ça, c’est un autre débat. Avant de lui répondre, j’officie, venant de nouveau frapper la balle de golf qui ne tombe pas loin du trou, sans pour autant y entrer. En tout les cas, bien meilleur qu’au golf. accompagné d’un léger rire. Je me débrouille plutôt bien ceci dit. Vous avez eu l’occasion de pratiquer ? a dire vrai, je suis aussi curieux de savoir si en Espagne, on enseigne le tennis dès le plus jeune âge. Ce pays regorge de talent dans cette discipline. Suffis de voir Carlos Alcaraz qui a tout pour être l’un des nouveaux visage du tennis mondial, qui est espagnol.
Enfin quelqu’un qui n’a pas peur de le dire. Enfin, de me répondre plutôt, me faisant bien comprendre que c’est un avis qu’elle garde secret ou presque. Inutile d’en arriver à de tel extrême. Promettez moi de ne pas trop réfléchir à la façon de dissimuler mon corps et elle est toute à vous ! c’est de nouveau avec un grand sourire que je lui propose ce marché qui n’a rien de bien sérieux. Combien même je ne tenterai pas de priver l’espagnole de son massage. Plutôt une façon de vous remerciez de m’avoir offert cette partie en votre compagnie. Ainsi que d’être une interlocutrice pleine d’intérêt. les fois où j’ai pu évoqué des sujets comme je les fais avec Nieves, ça se compte sur les doigts d’une main. Absolument pas. Je suis certain qu’on trouvera en cuisine de quoi avoir suffisamment de quoi faire pour trois. ce qui malheureusement, a peu de chance d’arriver au vu des obligations du blond. Et, nous sommes sur son domaine. Les personnes présentes sont soigneusement choisi. Il n’est jamais contre de nouvelle rencontre captivante.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
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AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Lun 25 Mar 2024 - 10:30 | |
| Avec mon interlocuteur nous partageons quelques idées sombres concernant l'éventualité de dissimuler un crime et donc un corps, à la vue de toutes et de tous. Cette légèreté, bien qu'un peu mortifère cependant, me fait agréablement sourire. Parce que bien peu de personnes, rencontrées en aussi peu de temps peuvent se permettre de réagir ainsi à quelques propos qui pourraient résonner comme étant réellement sérieux. Or, il n'en était rien. Je n'avais clairement aucune envie de prétendre me transformer en une criminelle en devenir ou de passer un séjour à l'ombre. Ça ne m'irait sûrement pas au teint.
J'avais besoin de soleil pour m'épanouir et quelque chose me disait qu'entre les quatre murs d'une prison, ça ne serait pas le cas. Alors, je conservais pour moi d'autres idées qui auraient pu valoir au blond, une fin bien moins glorieuse. Je l'avais dit : c'était la faute de tous ces documentaires que je dévorais le soir, après avoir été en cours, histoire de me détendre quelque peu. Avec en main, une tasse de thé ou un jus de fruits frais préparé par Lourdes, qui elle, détestait ce genre de vision déprimante de la réalité humaine. Alors, elle s'éclipsait. Jurant dans notre langue natale, sur tous ces êtres humains qui avaient été -selon elle-, possédés par le Diable, à un moment donné. Je ne répondais généralement jamais, à ses élucubrations. Bien que ça pouvait poser question.
- Tout à fait. Vous n'avez aucune idée de quand je vais frapper. Une menace, assortie d'un éclat de rire. Mais, la menace, elle ne venait clairement pas de moi. Elle venait de ces personnes avec qui, il avait vécu un tournant de son existence. Ses propres parents. Mon père, n'avait jamais rencontré les quelques personnes qui avaient partagé ma vie. Parce que je ne les avais jamais jugées comme étant importantes pour qu'il s'y intéresse. J'imagine le dîner de l'enfer, pour une personne que vous leur auriez présenté comme étant une ... petite amie ? Si tel était le cas, la pauvre. Je la plaignais sincèrement. Si tant est, que vous leur avez déjà présenté quelqu'un. Et qu'ils veulent juste jeter un œil à vos fréquentations. Après, il était libre de m'en dire plus ou non. Ça n'engageait que lui.
Parce qu'il était sûr et certain, que je restais évasive sur certains sujets. Dont ma propre personne, en l'occurence. Mais, quand il s'agissait d'art, je pouvais être tout à coup bien plus loquace. Car là encore, je pouvais ne pas parler de moi et c'était somme toute parfait. Seulement de mes ressentis face à certaines œuvres. Celles qui ont l'audace de marquer l'âme. De broyer le cœur. De faire écho pour certaines vérités qui seraient arrivées dans une vie.
- En effet. J'eus un sourire à cette conclusion. C'est comme tout. Ça s'apprend. Fronçant lentement mes sourcils, je le voyais se pencher vers moi, avec une intention dans la voix et dans le regard. Qu'est-ce que c'était comme idiotie, ça encore ? Je vois. Gardant mes sourcils froncés, j'écoutais mon interlocuteur m'en raconter plus sur sa vie. Et, visiblement, j'en avais fait une assez bonne analyse. S'affranchir des règles établies est une preuve de courage. Un silence. Parce qu'en plus d'une passion récente pour l'art, il en possédait une autre pour l'astronomie ?! L'astronomie ? Et, qu'est-ce qui vous attire là-dedans ? Je vous pensais bien plus terre à terre. Plus pragmatique. Et bien moins, la tête tournée vers les étoiles. Comme quoi ... la première impression, quoique l'on puisse en dire, n'était pas toujours la bonne. C'est joliment résumé.
Avais-je face à moi, une sorte de poète ? Tout ce que j'en déduisais pour l'instant du moins : c'était un séducteur, qui avait une appétence concernant quelques thématiques qui résonnaient en moi. L'Art de prime abord. Et, mentionner Rafael Nadal ensuite. Je faisais partie de toutes ces personnes de mon pays, qui étaient depuis de nombreuses années, à suivre la carrière du tennisman hispanique. En plus d'être excellent, il était beau. Ce qui ne gâchait strictement rien. Même si, je ne l'avais jamais rencontré. Pas même à Madrid. Ni à Roland-Garros. Ou même ailleurs.
- Je suis de votre avis. En plus d'être un sportif talentueux dans son art, il est très bel homme. Les gènes ibériques, ça. Personne ne peut aller contre. Alors ... j'ai déjà vu des matches mais je n'ai jamais pratiqué. Et, pour être tout à fait honnête, je crois que ça ne m'aurait pas déplu, d'essayer. C'était la vérité. Alors que je venais de donner un léger coup sur la petite balle blanche, pour qu'elle aille aisément se loger dans le trou adéquat. Satisfaite, je me retournais à nouveau vers mon comparse du moment, qui tout en connaissant Olga, m'offrait l'opportunité d'un repas en sa compagnie.
Hum. Soit.
- J'ai déjà réservé son créneau. Donc, je ne vois pas l'utilité d'en arriver à de tels extrêmes, vous concernant. Au moins ça. Mais ... en ce qui concernait le reste ? Merci. Mais, je vous préviens déjà. Je vous abandonnerais à un moment certain, pour profiter des plaisirs de ce complexe. En plus des massages d'Olga, ceci étant dit. M'étirant, féline, je devais reconnaître que cette partie de golf sans nul enjeu toutefois, m'avait quelque peu ouvert l'appétit. Je vous suis, si jamais. Et, je serais enchantée de parler au Roi. Ce qui ne serait plus un fantasme. Décidément, quelle famille ! |
| | | | (#)Lun 25 Mar 2024 - 14:13 | |
| Si je n’ai jamais vraiment réfléchis au dénouement de mon existence, une chose est sûr, je n’imagine pas que ma vie sois ôter par une jolie espagnole, aussi charmante soit elle. Fort heureusement, je pense qu’il y a peu de chance que ça arrive. Même si l’amatrice de fait divers semble être bien rencarder sur le sujet. Ce petit jeu est bien amusant, faut l’admettre. Cette pseudo menace proférer par la jolie blonde me fais sourire de plus belle. Est ce réellement si problématique de savoir qu’à tout moment ma partenaire de golf pourrait surgir ? Tant que ce n’est pas pour réellement mettre à exécution les fausses menaces. Jusque maintenant j’ai réussi à épargner mes fréquentations de ce moment. ce n’est pas totalement la vérité, seulement une partie oui. Le manquant, c’est que je n’ai jamais trouvé celle qui me sortira de mon célibat, celle qui me donnera envie de voir plus moi que quelques instants à droite à gauche entre couper de moment charnel. Oui je suis un coureur, j’apprécie la liberté total du célibat, j’apprécie encore plus faire ce que bon me semble, avec qui je le veux, quand je le veux. Mais personne ne m’a jamais marqué au point d’envisager de changer d’avis. Mais je suis certain qu’ils complotent, l’un comme l’autre, à une façon de remédier à mon célibat. si moi j’approche la quarantaine, mes parents semblent désespérer à l’idée de devenir grand parent. Les pauvres, je suis presque certain qu’à ça n’arrivera pas dans un avenir proche.
Je n’ai jamais été pudique me concernant, de toute façon, je ne répond que quand je le veux bien. Elle a bien raison, ça s’apprend. Suffis de le vouloir. Je lui offre un sourire quand elle parle de courage, pour s’opposer aux règles établies. Difficile de lui donner tort. Je ne m’étends pas sur le sujet, mais bon dieu qu’est-ce que ce fut laborieux, des années tumultueuses et compliqué. Sur bien des points. Forte heureusement, l’espagnole rebondis sur un sujet qui me tiens bien plus à cœur. Absolument tout. L’astronomie est vaste et infinie. Pour peu qu’on s’y intéresse, il y a des nouvelles découvertes chaque jour. Pourtant, tant de chose reste inexploré. Tout reste à faire, ou presque. collecter des minéraux sur la lune ou même sur Mars par exemple. J’ai un plan bien établis pour ça d’ailleurs, reste à voir si la NASA y sera réceptif. Mais je sais être convaincant.
Une chose est certaine, au de la de certains point commun, discuter avec Nieves est agréable. La blonde a du répondant et de la répartie. J’ai ce sourire en coin quand elle loue le qualités de Nadal. N’omettant pas l’aspect physique du tennisman. Un détail qui je l’avoue ne m’a pas vraiment traversé l’esprit malgré bon nombre de match que j’ai pu voir du madrilène. Il y a un début à tout. les beaux jours australien sont d’ailleurs particulièrement propice au tennis, en tous cas, je trouve. Il est d’ailleurs prévu que je réserve un cours avec mon cousin dans un avenir proche. L’abattage médiatique autour de lui redevenu plus calme, on va pouvoir reprendre nos activités.
Je n’aurai malheureusement pas pu m’éterniser. Je suis attendu dans l’après midi à l’autre bout de la ville. rien de tel qu’un début de journée dans ce complexe afin de s’aérer l’esprit. Ça permet d’arriver frais aux différents rendez vous qui m’attendent. A ce point là ?! alors que nous nous dirigeons vers le lieux de restauration. Mon sac de club de golf par dessus l’épaule, mes lunettes de soleil sur le col de mon polo. La fascination que suscite mon cousin m’amusera toujours, autant que je la comprend. Si il n’y a que ça. Nous pourrions faire d’une pierre deux coups. une fois sur place, je tire délicatement la chaise de la jolie blonde, avant de prendre place face à elle. La serveuse se présentant à nous. Nous préparons votre commande Monsieur Cavendish. Souhaitez vous un rafraîchissement en attendant ? mon regard oscille entre la serveuse et celle qui a pris la place de mon cousin. Je vais vous prendre un thé glacé. Nieves, qu’est ce qui vous ferez plaisir ? attendant qu’elle puisse commander de quoi se désaltérer. J’adresse un dernier sourire à la serveuse qui repart avant de reporter mon attention sur l’espagnole. Organisons un double au tennis. Je vous laisse choisir une de vos connaissances et nous pouvons planifier ça. mon cousin ou moi même allié à Nieves, l’autre à la personne ramener par la jolie blonde. De quoi partager un moment sur le cours. Puis, par la suite, échanger autour de rafraîchissement ou autre.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
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AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Mar 26 Mar 2024 - 18:00 | |
| Peut-être que même soumise à la torture, j'avouerais à demi-mots, que j'appréciais cette compagnie nouvellement trouvée. Le cousin de Carmine Cavendish était un trentenaire pour le moins intéressant et cultivé, avec qui, il était réellement aisé de converser. En même temps, si ce dernier devait donner le change au sein de cette famille plus que racée, il n'avait pas vraiment le choix que de s'y adapter. Et, mon intuition me soufflait, qu'il se débrouillait assez bien. Même s'il semblerait que des géniteurs soient assez regardants au sein même de sa vie. Acte que moi, je ne tolérais pas des miens. Ou du mien, pour être plus exacte.
Dios mio ! Que cela devait être vraiment embêtant ! Que de devoir rendre des comptes sur des prétendues fréquentations ! Encore fallait-il, qu'il ne soit pas frileux de les présenter, mon interlocuteur. Personnellement, je ne prendrais pas ce risque. Je vivais ma vie, comme je l'entendais. Et ... peu m'importait les réflexions de mon père à ce propos. Parce qu'il savait pertinemment que je ne souhaitais pas d'enfants, et que me marier dans un avenir proche était clairement sujet à débat. Perdre mon nom de famille, au profit d'un autre ? Jamais de la vie.
- Je vois. Une légère grimace contrite où transparaissait une once de compassion sincère. Ah ? Peut-être qu'un jour, ils vous trouveront un bon parti ... sans que vous n'ayez quelque chose à y redire ? Je parlais peut-être un peu pour moi, en lui posant cette interrogation. Car, je voyais bien Rafael agir ainsi et à mes dépends. Sans que je ne puisse être en mesure de le voir venir. Et ça, pour être totalement impolie : ça m'emmerdait assez bien. Moi, qui demeurais tranquille, jusqu'à présent.
Heureusement que le sujet bifurquait sur quelque chose de bien plus passionnant que les velléités de ses parents, de lui trouver une personne à marier prochainement. Parce que discuter noces et préparatifs, très peu pour moi. Hors de question, d'en venir à cet état de fait. Déjà, pour moi, 'non'. Alors pour les 'autres', aucune envie de l'entendre se plaindre ou discourir à ce propos. Ça ne regardait que lui. Et, c'était parfait comme ça.
- C'est donc l'Infini qui vous passionne ? Cette notion, du moins ? Parce que ... c'est à la fois magnifique et totalement angoissant. Rien que le fait de savoir que nous ne sommes que de passage sur cette terre, il y a moyen que ça effraie. Et, je faisais partie de ces personnes qui n'aimaient pas ce concept. Même si, je le mettais de côté quand j'y pensais. Pourquoi n'avoir pas fait astronaute alors ? Vous seriez aux premières loges, en terme de territoires inexplorés ! Mars ou la Lune, il n'y avait qu'à faire un choix, après tout. Non ?
Tout comme le fait d'opter un jour pour jouer au tennis. Alors que ce n'était pourtant pas mon sport préféré et que j'y préférais largement la course à pieds. Je laissais ses exploits au beau Rafael Nadal. Mais, rien ne m'empêchait d'essayer pour autant ! Peut-être que je serais douée ? Ou peut-être que ce sera la chance du débutant qui parlera pour moi ? Il n'y avait après tout, qu'à se laisser tenter.
- En effet. Et, ça m'arrangeait aussi, -nettement même-, que le blond soit attendu autre part. Je n'aurais pas à rester et à me sentir obligée de converser par politesse seulement, alors que je n'en aurais aucune envie. Ah mais ... Carmine est plus que charmant. En dehors du physique, je veux voir ce qui se passe sous ses jolies mèches blondes. Un haussement d'épaules, parce que j'avais échangé quelques mots avec Connor, il me fallait en faire de même avec Carmine. Et ... s'il nous rejoignait, c'était encore mieux. C'est parfait. Bien que je fus partie sur une idée autre, au vu de la boisson, je me rangeais à l'avis de mon accompagnateur. La même chose. Alors, qu'il était galant dans sa manière de me faire asseoir à table, -manière à laquelle je répondais par un sourire-, il m'imposa l'idée de ce double au tennis, qui ne l'avait visiblement pas quitté.
Ah. Ainsi donc, je pouvais prétendre choisir une autre personne. Réfléchissant, j'en voyais peut-être bien une ... parce qu'après tout, il n'en avait pas précisé le sexe. Celui qui me venait en tête, c'était le Docteur Hartmann. Loan. Évoluant dans la même sphère sociale que la mienne. Alors, ce n'était peut-être pas si impossible, qu'il pratique, n'est-ce pas ? Et, s'il n'était pas disponible ou s'il ne jouait pas ... eh bien ... je devrais alors me rabattre sur quelqu'un d'autre. Assez prestement.
- Bien. Je n'aurais plus qu'à le lui demander. Mon choix ayant déjà été fait, je n'allais clairement pas revenir en arrière. |
| | | | (#)Mar 26 Mar 2024 - 21:10 | |
| Je ne suis pas du genre à faire semblant. Si la personne ne m’intéresse pas, n’est pas de bonne compagnie et n’a pas un minimum de répartie, alors, je ne m’éternise pas. Beaucoup vois cette attitude comme de l’arrogance, comme une façon de ce montrer hautain. Mais je ne supporte pas perdre mon temps. Et j’estime que c’est pareil pour mes interlocuteurs dans le cas où je viens à ne pas les intéresser. Dès lors que nous avons engagés différentes conversations avec l’espagnole, j’ai pu constaté que la blonde fais partis de ces personnes avec qui il est agréable d’échanger. Et ce n’est pas surprenant que je sois encore sa compagnie, allant même jusqu’à lui proposer de prolonger ce moment autour d’un en-cas un peu plus tard.
Face à sa supposition, mon regard se relève sur le sien. Mon index se pose sur mes lèvres. Ne le dites pas trop fort ! me penchant légèrement en sa direction, juste de façon à lui glisser quelques mots sur un ton un peu plus bas. Nous sommes sur les terres de ma famille. Ils ont un œil et une oreille partout. Vous pourriez leur donner des idées. pour conclure, c’est un léger rire qui s’échappe de mes lèvres. J’en fais des tonnes. Mais la blonde n’a pas totalement tord. C’est une pratique loin d’être étrangère à notre milieu social. Je suis d’ailleurs loin de m’imaginer que le paternel de ma partenaire de jeu est capable d’avoir ce genre d’idée. De mon point de vue, il n’y a rien de pire. On dois choisir avec qui vivre, ou non. Personne n’est en droit de s’en mêler, d’une façon ou d’une autre. Il est claire que personnellement je m’opposerai totalement aux moindres tentatives de ce genre si par malheur mes parents y pensent vraiment.
Bien heureusement, la conversation s’oriente sur un domaine qui me plais et me passionne nettement plus. Exactement. j’ai alors un sourire quand je l’entends mettre des mots sur ça façon de voir l’infini. C’est une bien belle façon de voir les choses. Contrasté et partagé. Nuancer. C’est ce qui en fais sa beauté selon moi. Nous sommes dans un monde où on est poussé à tout contrôler, de A à Z. plus vous avez de l’importance et de la fortune, moins le hasard a le droit à sa place. Prendre conscience de l’immensité de l’univers et de ses possibilités. C’est effrayant. Mais tellement grisant. et encore, l’espagnole fais mouche. Comme mon sourire le montre. Vous ne croyez pas si bien dire. C’est une possibilité que je n’écarte pas totalement à dire vrai. a quoi bon se fixer des limites ?
Je n’en ajouterai pas plus. Je ne serai pas objectif. De plus. Rien n’est en mesure d’être plus parlant qu’un avis personnelle. et même si je suis certain qu’il est difficile de ne pas apprécier la présence de mon cousin, je sais aussi que rien ne vaux une opinion personnelle. Le concret, ce que l’on vois de ces propres yeux, ce que l’on vie sois même. Faire sa propre expérience. Installer, puis servis dans la foulée ou presque. D’abord le thé glacé demandé, puis ensuite l’encas. Avocat, œuf, tomates, et après réjouissance impeccablement présenté. Un buffet de chose toute plus saine les unes que les autres qui se dresse devant nous. Par politesse, j’attend que mon « invité » prenne la première bouchée pour à mon tour, me servir.
Parfait. comme il s’agit d’un en-cas, même en étant plus que raisonnable sur le rythme. Il ne faut pzs des heures pour que petit à petit, les plats ce vide. Essuyant délicatement mes lèvres avec la serviette à ma disposition. Je me relève. Je vais devoir vous abandonner Nieves. lui tendant la main afin de serrer la sienne. Ce fut un plaisir. et avant de lui faire congé de ma présence, j’ajoute. Mon cousin n’est pas des plus disponibles à court terme. Si vous souhaitez vous essayez à quelques échanges sur un court, je suis certain que vous trouverez comment me contacter. offrant un ultime sourire à la blonde. Je m’éloigne. La balle est dans son camps. Ce n’est pas une invitation, encore moins une proposition. Une possibilité que je lui ouvre. Je suis pas du genre à m’imposer. J’estime que si les gens le souhaite, alors, ils sauront où me trouver. Je suis partisan de parfois, laisser les autres faire les démarches. Si ils le souhaitent.
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| | | ÂGE : 26 ans - 09.11.1998 SURNOM : étrangement, peu s'y risquent à en donner STATUT : célibataire et autant dire que c'est parfait comme ça MÉTIER : étudiante en cursus artistique et mannequin depuis le début de l'année pour la maison de couture prestigieuse Weatherton. Autant dire, que ça fait pas mal d'occupations, tout ça. LOGEMENT : 250 Spring Hill - Edward Street - dans une immense villa accompagnée de Lourdes qui parvient (un peu) à combler la solitude POSTS : 654 POINTS : 40 TW IN RP : termes vulgaires - sexe - famille dysfonctionnelle - TW IRL : Aucun GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : amatrice de true crime et de paranormal - mange essentiellement épicé (là où il y a des épices, il y a de la vie) - a un problème assez flagrant quand il faut accorder une certaine confiance - déteste quand elle n'est plus le centre de l'attention (#drama queen) - petite fille de riche qui confond l'affection et l'argent DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Nieves trouve généralement des excuses ou s'emporte -au choix- en #257D4C RPs EN COURS : ♛ Valentina ; ♛ Loan #2 ; ♛ Loan #3 ; ♛ Norah ; ♛ Asher ; ♛ Emery ; ♛ Sergio ; ♛ Ambrose ; ♛ Izan ; RPs EN ATTENTE : Savannah ; James RPs TERMINÉS : ♛ Malik #1 ;♛ Malik #2 ; ♛ Malik #3 ;♛ Malik #4 ; ♛ Connor ; ♛ Loan ;
Les 'autres' : ♛ Sofia ; ♛ Lashana ; ♛ Sunny ;
AVATAR : Ester Exposito CRÉDITS : showmeyouricons DC : Axel Hartmann aka la Torche Humaine INSCRIT LE : 19/02/2024 | (#)Jeu 28 Mar 2024 - 10:35 | |
| D'ordinaire je ne m'embarrasse pas de discussions, lorsque la personne souhaitant échanger avec moi, ne m'intéresse pas. Je préférais et de loin, prendre congé. Histoire de ne pas avoir à souffrir de cet état de fait et que l'autre puisse vaquer à ses occupations, sans que pour autant, j'y sois invitée. C'était ainsi, que se passaient mes 'relations amoureuses', au terme 'amour', j'y mettais d'énormes guillemets, toutefois. Parce que là aussi, -et surtout dans ce domaine-, il fallait vraiment que je sois intéressée pour partager ne serait-ce que quelques instants intimistes. Évidemment, le physique y jouait un rôle malgré tout mais, si le jeune homme en face de moi n'avait aucun répondant et était somme toute trop investi dans l'affaire : je disparaissais aussi rapidement que j'étais venue. Ici le blond, avait semble-t-il un humour semblable au mien. Et qui était, dès lors, un bon point pour lui. Et, sur ses épaules, -probablement musclées ; je n'avais certes aucune envie de les voir dans un futur proche-, se plaçaient un destin propre à ce nom de famille, qu'il partageait avec le Roi de cet espace. Les Cavendish, avaient un rôle à jouer, c'était du moins, ce que je pouvais en déduire. Sans l'affirmer pour autant par des certitudes, mais mes hypothèses s'en rapprochaient. Puis, un tel parti de la sorte ... il était sensiblement convoité, n'est-ce pas ? - Je vais essayer ! M'exclamais-je en riant, une main élégante devant mes lèvres pleines et maquillées. Ils seraient certes heureux, de ne plus vous voir comme étant le célibataire le plus convoité de Brisbane. Lui, et son cousin, évidemment. Moi, j'étais encore libre de faire ce que je souhaitais. Sans que Rafael, ne vienne y mettre son grain de sel ou en arrivant avec ses gros sabots d'Espagnol. Parce que ... c'était sûr et même presque certain, qu'un jour et ce, par écrans interposés et impersonnels, il me présentera à l'un de mes prétendants. Prétendant qu'il aura réussi à trouver parmi son impressionnant carnet d'adresses et qui, selon ses dires à lui, réussira quelque peu à amoindrir mon caractère bien trop indiscipliné et flamboyant. Non. Hors de question, que je m'abaisse à vivre cela. Chassant ces pensées parasites par un autre sujet, -merci bien Connor-, nous dérivions vers celui qui m'avait toujours fascinée. Ou du moins, perturbée. Si l'Art en lui-même était tangible, l'Infini quant à lui, ne l'était pas vraiment. Il demeurait un concept abstrait qui avait pour vocation soit de me faire peur, soit de me séduire. - Ça me perturbe vraiment, mais vu comme vous, vous en parlez, c'est réellement charmant ! C'était la vérité. Pleine et entière. Oh et bien ... j'aimerais être tenue au courant, si jamais, vous explorez l'espace un jour prochain ! Si cela était son rêve, autant tout faire pour réussir à le concrétiser, non ? Tout comme celui de rencontrer l'autre inconnu qui brillait par son absence. Je compte bien m'en faire un avis personnel. C'est certain. Je n'écoutais jamais celui que les autres avaient. Non pas parce que je n'y apportais aucun crédit, -cela dépendait de la personne qui me soumettait l'avis en question-, mais plutôt parce que dans l'idéal, nous étions nous, notre meilleur juge. Comme cette future partie de tennis, où j'avais trouvé un partenaire qui ne serait certes, pas assuré de venir nous rejoindre. Ça restait du domaine de l'incertitude. Mais, j'avais envie que le Docteur Hartmann soit présent, sans savoir vraiment pourquoi. Mon regard vert, s'étant momentanément perdu dans le vague, remis sur le droit chemin par mon interlocuteur qui lui, était obligé de prendre congé. J'avais alors adoré les mets proposés qui s'étaient étalés devant nous. Tous certainement plus délicieux les uns que les autres. - Le plaisir fut partagé. Un signe de la main après avoir serré la sienne, alors que je terminais la dernière gorgée de mon thé glacé, n'ayant même pas eu le temps de demander son numéro de téléphone à mon vis-à-vis, tant il s'était éclipsé à la hâte. Tant pis. Un haussement d'épaules plus tard et je me retrouvais à profiter des extras du complexe. Non sans oublier de passer sous les mains expertes d'Olga, qui savait dénouer les tensions, comme personne. - FIN - |
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