ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
Un coup d'oeil jeté à l'horloge du salon indiquait à Maritza que Sergio n'allait pas tarder à arriver. Son ancien compagnon lui avait en effet écrit la veille pour lui signaler qu'il avait en sa possession les papiers rédigés par son avocat concernant la garde d'Alejandro. Ils avaient tous les deux convenus de se voir pour les lire ensemble et pour que Maritza finisse par les signer. La mexicaine était plus nerveuse qu'elle ne s'y était attendue et cela l'agaçait de réagir de la sorte. La dernière fois qu'elle avait vu son ex, ils s'étaient mis d'accord pour s'arranger à l'amiable concernant la garde de leur fils, rien ne pourrait donc mal tourner. Sergio avait – après des années – enfin reconnu Alejandro comme étant son fils et souhaitait prendre ses responsabilités, Maritza ne pouvait être que ravie par la tournure que prenaient les événements pourtant elle avait la gorge nouée.
Lors de son dernier tête à tête avec Sergio, elle avait perdu ses moyens, avait dévoilé des choses qu'elle aurait préféré garder pour elle. Une chose en entraînant une autre, la mère de famille avait fini par lui avouer qu'il était l'homme de sa vie et que quoi qu'il arriverait, elle l'aimerait toujours. Si cette déclaration aurait dû sauver leur relation, elle avait eu l'effet inverse. Tous les deux s'étaient rendus compte qu'ils ne pouvaient pas être ensemble, qu'ils étaient incapable de se côtoyer sans se faire du mal, qu'ils n'apprenaient pas de leurs erreurs. Après ses aveux, Maritza avait trouvé le temps terriblement long. La réaction de Sergio avait tardé avant d'arriver mais au final il lui avait fait comprendre qu'il était d'accord avec elle et qu'il la comprenait. Le baiser qu'il avait déposé sur son front lui avait retourné l'estomac à tel point que lorsqu'il était parti, elle était allée se coucher sans dîner. Depuis ce jour-là, ils n'avaient échangé que très brièvement par message et à chaque fois c'était pour parler d'Alejandro ou d'un autre de leurs enfants, rien de plus.
Leur relation semblait apaisée, à moins qu'elle n'existe plus désormais, seulement à travers leurs enfants. La Gutiérrez savait donc que tout allait bien se passer, elle ne voyait pas pourquoi ils partiraient dans une énième dispute. La seule possibilité pour qu'une telle chose se produise serait que Sergio l'ait trahie en ajoutant des clauses plus que douteuses dans le contrat qu'elle allait signer mais elle doutait sincèrement qu'il ait pu lui faire une telle chose. La nervosité qu'elle ressentait l'agaçait donc au plus haut point. Elle ne comprenait pas pourquoi elle était dans tous ses états alors qu'il ne s'agissait que d'un court moment à passer avec son ancien compagnon.
Il était presque dix-neuf heures, Sergio n'allait pas tarder à arriver, Maritza se dirigea donc dans la cuisine et sortit du placard deux verres à vin. Ils étaient des adultes, ils pouvaient bien boire un verre ensemble sans que cela ne tourne au drame non ? Alors qu'elle débouchait la bouteille de vin rouge, elle entendit que l'on sonnait à la porte. Elle fronça les sourcils en se demandant qui pouvait débarquer à ce moment-là. Lorsqu'elle ouvrit la porte, ses lèvres s'entrouvrirent de surprise. Depuis quand Sergio n'entrait plus de lui-même dans la maison ? « Tu peux entrer tu sais... » lui dit-elle calmement. Peut-être avait-il fini par comprendre qu'elle avait besoin de son espace privé et qu'il ne pouvait plus débarquer comme bon lui semblait. Elle le laissa passer puis retourna dans la cuisine. Elle lui montra la bouteille de vin et proposa : « Un verre ? » Elle essayait de se comporter comme la plus normale des femmes mais au fond d'elle elle se sentait perdre ses moyens. Encore gênée de lui avoir avoué qu'elle ne pourrait jamais aimé quelqu'un d'autre que lui, Maritza n'osait pas le regarder dans les yeux. Elle remplit les deux verres puis précisa à l'attention de l'agent : « Alejandro passe la nuit chez un copain d'école, ça nous permettra de regarder les papiers dans le calme. » Cela lui paraissait logique mais en réalité cela ne l'était pas. Sans s'en rendre compte, Maritza venait presque d'inviter Sergio à passer du temps avec elle. Son inconscient avait sans doute parler alors que son regard cherchait toujours à éviter le sien.
Une lecture, un verre, une signature, et ce serait réglé. Rien de plus.
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You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be
❝Cry me a river ; Justin Timberlake❞
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Everyone was someone else before feelings flood the room like the wine we'd pour. I was yours before you called me mine, but that now feels like another life. It seems as though time has made things worse. I know I said it healed woes, but that was time ago
Garé devant l’entrée de la maison, Sergio repoussait consciemment le moment où il quitterait sa voiture, la pochette de documents à la main. Il n’avait pas remis les pieds dans cette maison depuis sa dernière discussion en face à face avec Mari. Au mieux, il s’était arrêté sur le pallier pour dire au revoir à Alejandro. C’était étrange de songer que cette maison avait été la sienne pendant de nombreux mois. Une nécessité qui était rapidement devenu un confort, avant que tout explose durant la tempête. Cette période lui manquait sincèrement. Les tensions apaisées également. Il n’était pas ravi de devoir tourner la page et pourtant, il fallait se rendre à l’évidence. Il n’avait pas sa place là-bas. Les enfants avaient tous commencé à quitter le nid, il ne restait plus qu’Ale pour vivre là à temps plein avec sa mère. Une femme qui avait rendu extrêmement clair le fait que l’amour ne suffirait plus entre eux. Le patriarche avait préféré prendre totalement ses distances que de se lancer une nouvelle fois dans une cause perdue. Car même si par un miracle du sort, ils pouvaient enfin avoir un peu de répit, ce ne serait que jusqu’à sa prochaine erreur, passée ou future. Dans un soupir, l’homme trouva enfin le courage résigné de quitter son véhicule pour retrouver la fraîcheur de fin de journée. Il s’avança jusqu’au porche et sonna, attendant de voir quelle silhouette lui ouvrirait. C’était Maritza, dont l’air surpris le fit hausser un sourcil. « Bonsoir. » Ils avaient convenu de se voir, non ? Puis, il comprit que l’étonnement venait surtout des habitudes qui avaient irrémédiablement changées, générant un sourire discret chez l’agent. « Ironiquement, je n’ai plus les clés. » Il avait claqué le trousseau sur le meuble d’entrée le jour où il était parti et n’avait jamais cherché à les récupérer, malgré le fait qu’il soit celui qui paye les factures. A l’invitation de son ex-femme, il s’avança dans le salon qui était désert et rangé, chose très inhabituelle quand Alejandro était présent. La proposition du verre le surprit, tant l’homme s’attendait à un échange expéditif. La bouteille de vin rouge semblait séduisante. « Avec plaisir. Merci. » Il errait dans la pièce sans savoir où se mettre, avec cette sensation viscérale d’être un intrus. C’était incroyablement désagréable, bien qu’il appréciât la distraction de ne pas avoir à regarder Mari. Dieu sait qu’il en était devenu friand, ces derniers mois. Sauf que ce soit, il faudrait bien s’affronter. Il n’y aurait pas d’enfant pour les interrompre. « Si ça peut te rassurer, ce devrait être assez rapide. Mon avocat a mis des post-its aux endroits qui demandent notre attention. » Il posa la poche de documents sur la table basse, laissant tout le loisir à Mari de s’y atteler dès maintenant si elle le souhaitait. « C’est étrange de voir la maison si calme. » finit-il par commenter, à la fois dans un besoin de faire la conversation, mais aussi comme un constat. Il l’avait connue bien plus grouillante de vie quand il y était. Il y avait même des jours où ils avaient l’air de tous s’entendre.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
« Ironiquement, je n’ai plus les clés. » Elle s'était mordue silencieusement et discrètement la langue lorsque Sergio lui avait fait remarquer cette évidence. Qu'elle pouvait être stupide ou tête en l'air parfois ! Évidemment qu'il lui avait rendu ses clé le jour de la tempête. Elle avait mis quelques jours avant de comprendre à qui le trousseau appartenait mais après avoir fait le tour de tous ses enfants, elle avait pris conscience qu'il s'agissait de celui de son ancien compagnon. Elle faillit lui faire remarquer que la dernière fois il était entré sans rien dire mais s'était ravisée. S'il avait agi de la sorte c'était parce qu'il ramenait Alejandro, il n'allait tout de même pas sonner pour lui demander l'autorisation d'entrer avec leur fils. Au lieu de lui adresser un énième reproche – futile et injustifié – Mari avait détourné le regard et s'était focalisée sur la bouteille de vin qu'elle avait ouverte quelques minutes plus tôt. Aussi naturellement que possible, elle avait proposé à Sergio de se joindre à elle. La mexicaine tenait tant à ce que tout se passe bien qu'elle avait l'impression de marcher sur des œufs. Jamais elle n'avait été ainsi en compagnie de l'agent : si peu sûre d'elle, si fébrile et si en contrôle. Elle ne remarqua même pas la gêne dans laquelle il se trouvait lui aussi, entendant simplement qu'un verre lui plairait. Elle en profita donc pour leur servir à boire tout en prenant grand soin de lui tourner le dos quelques secondes de plus. Elle se retourna finalement, un verre dans chaque main et croisa son regard. Elle sentit son cœur louper un battement. Dieu qu'il était beau et séduisant. Elle ne laissa transparaître aucune émotion, du moins elle l'espérait mais ne pouvait s'empêcher de se maudire de toujours penser et réagir de la même manière. Malgré toutes les années qui s'étaient écoulées, malgré le fait qu'ils aient enfin pris la décision de mettre un terme à leur histoire chaotique, elle restait inlassablement attirée par le mexicain.
Elle fut sortie de ses pensées lorsqu'il lui précisa : « Si ça peut te rassurer, ce devrait être assez rapide. Mon avocat a mis des post-its aux endroits qui demandent notre attention. » Elle hocha la tête comme pour insinuer que c'était une très bonne idée mais au fond d'elle quelque chose clochait. Une pointe de déception peut-être ? Elle aurait dû être ravie de savoir que leur entrevue allait être rapide et brève pourtant ce n'était pas le cas. Sans doute que la discussion qu'elle avait eu avec Diego quelques jours plus tôt y était pour quelque chose. Contre toute attente, son fils avait tenté d'arrondir les angles, il avait même plaidé en faveur de son père, arguant qu'il n'était pas quelqu'un de mauvais et que peut-être elle devrait lui lâcher du lest et cesser de lui en vouloir pour tous les problèmes de la terre. Maritza regarda la pile de documents posée sur la table basse et en profita pour tendre son verre à Sergio. Lorsqu'il lui fit la remarque concernant la maison calme, elle se pinça les lèvres et lui dit : « C'est de plus en plus souvent ainsi. » Si elle avait toujours rêvé d'avoir du calme et de la tranquillité, elle devait bien admettre que la solitude ne lui plaisait pas tant que cela. Elle se sentait inutile lorsqu'il n'y avait personne autour d'elle. Elle se rendait aussi compte qu'à part sa famille et son travail, elle n'avait pas grand monde autour d'elle. Elle s'installa sur le canapé, invitant du regard Sergio à faire de même puis poursuivit : « Je n'aurais pas l'audace de dire que les cris et les disputes me manquent mais... » un peu. Un sourire mi-amusé, mi-coupable se dessina sur son visage alors qu'elle approchait son verre de ses lèvres. Elle jeta un coup d'oeil aux documents qu'elle devait lire mais n'eut pas la force de les prendre entre ses mains. Au lieu de cela, elle souhaita engager un peu plus la conversation : « Ca n'a pas été trop difficile à rédiger ? » Elle savait que c'était l'avocat de Sergio qui s'en était occupé mais peut-être lui avait-il dit qu'il y avait des points qui posaient problèmes. « En tout cas Ale est ravi de passer du temps avec toi. » acheva-t-elle sans le moindre reproche ou sans la moindre pointe de jalousie. Le fait que ses parents se soient mis d'accord semblait avoir apaisé leur fils qui se montrait moins têtu et colérique que par le passé.
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Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Everyone was someone else before feelings flood the room like the wine we'd pour. I was yours before you called me mine, but that now feels like another life. It seems as though time has made things worse. I know I said it healed woes, but that was time ago
La pochette cartonnée posée sur la table avait un goût amer, comme le rappel sombre que sa relation avec Maritza n’était plus que transactionnelle. Ils parlaient quand il s’agissait des enfants mais pour le reste, ils n’avaient plus la moindre relation. Il n’aimait pas cela. Il détestait combien cette femme lui manquait. Pourtant, c’était un choix auquel il avait dû se résoudre, en dépit de ce qu’il pouvait bien vouloir. C’était ironique, venant de l’homme qui avait fait passer ses désirs et besoins avant celui de sa famille, et donc d’une vie entière à leur côté. C’était le moins qu’il puisse faire que de respecter la décision de Mari. Alors pourquoi fallait-il que la proposition d’un simple verre de vin lui semble risquée ? C’était comme si subitement, ils ne savaient plus comment se parler. Ou plutôt, préféraient éviter de le faire, de peur de la tournure que cela pourrait prendre. Ils n’étaient pas les meilleurs quand il s’agissait d’instinct de préservation, surtout quand la maison était déserte et sans enfants pour les inciter à tenir leurs distances. Imaginer que ce soit la nouvelle normalité paraissait étrange pour un endroit qui avait connu tellement de vie. La maison paraissait juste bien trop grande avec les aînés partis, ou sur le départ. Sergio comprenait le sentiment de solitude qui pouvait s’installer et un sourire compatissant étira ses lèvres. « Je comprends que ça te manque. » Il ne l’avait pas expérimenté bien longtemps, mais les quelques mois à vivre ici, à balayer rires, cris, disputes et scènes de vie suffisaient à le rendre nostalgique. Force était d’admettre que le retour à sa maison froide et sans vie était difficile, même si la quantité de travail qu’il avait était une distraction idéale. Il garda cette pensée pour lui. Il n’était pas venu pour faire dans le sentimentalisme et le sujet des documents arriva inévitablement sur le tapis. L’agent n’avait pas pris le temps de les regarder pour le moment. Il avait donné les informations à son avocat qui s’était occupé du reste. « Pas que je sache. C’est très… standard. » Ils n’avaient pas de demandes particulières et ne cherchaient pas à se mettre de bâtons dans les roues. C’était surtout pour se protéger, Sergio étant resté sur l’idée qu’ils s’arrangeraient à l’amiable. Ils n’avaient pas besoin d’un contrat pour leur dicter des dates et des horaires. Cela dépendrait aussi des envies de leur fils, et le patriarche ne retint pas un léger sourire à entendre que le garçon était content de la tournure des événements. Mari ne lui dirait pas cela si ce n’était pas vrai. « Je suis content aussi. J’aurai juste probablement besoin de ton aide pour savoir comment aménager la chambre d’un jeune ado. » Car il était invraisemblable qu’il le laisse dans une chambre impersonnelle. C’était important qu’il se sente chez lui. Si deux ans plus tôt, on avait dit à Sergio qu’il transformerait ses deux chambres d’ami en chambre pour bébé et chambre pour ado, il ne l’aurait sans doute pas cru. « Le point positif est que tu pourras prendre du temps pour toi. » Pour la première fois, elle n’aurait plus à s’occuper de qui que ce soit d’autre que d’elle-même. L’homme ne pouvait qu’imaginer le travail qu’il lui avait imposé en ne prenant jamais la responsabilité d’une telle tribu et même s’il ne mettrait probablement jamais les mots sur cette pensée de peur que cela se retourne contre lui, il était admiratif de la manière dont elle avait réussi à élever ces enfants. Verre de vin en main, il se résigna à ouvrir le dossier pour découvrir les documents où leurs noms étaient déjà inscrits, et où les post-its réclamaient une signature. « Ça donne un air de déjà vu, non ? » Eux face à des documents officiels à renvoyer à l’avocat. Ils avaient fait ça environ vingt ans plus tôt pour leur divorce, incapables de se parler ou de se regarder dans les yeux. Déjà à l’époque, il savait qu’il ne voulait pas quitter sa femme, seulement la vie qu’ils s’étaient construits. Maintenant, il était prêt à tout pour y revenir, et sa seule restreinte se basait sur la certitude qu’il trouverait un moyen de blesser Mari à nouveau, même contre son gré. Il n’avait plus le droit d’être égoïste et pourtant, maintenant qu’il la regardait dans les yeux, il en avait cruellement envie. Que risquaient-ils à se bousiller encore un peu ?
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Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
L'attitude de Maritza avait bien changé depuis la dernière fois où elle s'était retrouvée seule dans ce même salon en compagnie de l'agent. Elle était plus calme, plus apaisée, plus soucieuse de faire en sorte que tout se passe bien. Elle était évidemment tendue, ses gestes parlaient pour elle : main qui passait régulièrement dans ses cheveux, regard fuyant, cœur qui battait un peu trop vite, ou encore frissons qui parcouraient sa peau. Elle n'avait aucunement envie de se disputer, d'entrer une nouvelle fois dans un combat qu'ils perdraient tous les deux. Ce fut la raison pour laquelle elle s'abstint de tout commentaire lorsqu'il lui dit avec un petit sourire : « Je comprends que ça te manque. » Quelques semaines plus tôt, elle aurait sans l'ombre d'un doute balancé au visage de Sergio qu'il ne savait pas ce que c'était, que ce n'était pas parce qu'il avait vécu avec eux quelques mois qu'il pouvait comprendre. Après tout, c'était cette cacophonie qu'il avait pris grand soin de fuir durant de nombreuses années. Au lieu de cela, Maritza se contenta de lui faire un petit sourire. C'était difficile à admettre mais il avait raison, l'agitation autour d'elle lui manquait. Sans doute lui faudrait-il un peu de temps pour s'en accommoder et apprendre à vivre ainsi.
Sachant la raison qui avait conduit Sergio chez elle, la mère s'était alors intéressée au contrat qu'elle devait signer. En réalité, elle n'avait aucun doute concernant ce qui figurait sur les papiers. Elle savait que tout était en règle et que jamais son ancien mari n'aurait glissé des petites lignes qui pourraient la mettre en porte à faux. Ils avaient eu bien des désaccords par le passé mais elle lui faisait assez confiance pour savoir qu'il ferait passer les besoins d'Alejandro avant les leurs, avant les siens. Elle ne fut donc pas le moins du monde surprise lorsqu'elle l'entendit dire : « Pas que je sache. C'est très standard. » Elle hocha la tête pour approuver et but une gorgée de vin. Tout irait très vite dans ce cas-là et c'était pour le mieux n'est-ce pas ? C'était ce qu'elle se répétait en boucle pourtant les nœuds qu'elle avait dans l'estomac sous-entendaient le contraire. Que se passait-il ? Pourquoi se sentait-elle aussi fébrile en sa compagnie ? Afin de chasser ses questionnements, Maritza avait fini par avouer à Sergio qu'Alejandro était particulièrement heureux de la situation ce qui sembla faire plaisir à l'homme assis à ses côtés. Lorsque Sergio lui demanda son aide pour la chambre, elle ne put s'empêcher de rire doucement avant de répondre : « Oula, ça fait bien longtemps que je ne comprends plus vraiment ce qu'un ado attend. » Tout allait si vite qu'elle perdait peu à peu le fil. L'écart générationnel se creusait et même si elle tentait de rester à la page, Maritza devait admettre que bien souvent elle était à côté de la plaque. « On ira dans la chambre si tu veux. » La phrase résonna dans la pièce et dans sa tête avant qu'elle ne se précipite pour rectifier : « Dans sa chambre ! » Ses joues s'empourprèrent une nouvelle fois alors qu'elle fixait obstinément les papiers entre les mains de Sergio. Ne pas croiser son regard, ne pas montrer son trouble, ne pas lui laisser entrevoir la flamme qui brûlait toujours en elle. Une nouvelle gorgée de vin lui donna la force de relever le visage alors que Sergio lui faisait remarquer : « Le point positif est que tu pourras prendre du temps pour toi. » Elle se pinça les lèvres et haussa machinalement les épaules. Elle en avait toujours rêver mais : « Pour faire quoi ? » souffla-t-elle un peu dépitée. Elle était seule. En-dehors de ses enfants et de son travail, elle n'avait rien. Ce temps libre, elle s'était toujours imaginée l'occuper avec Sergio, mais ils n'étaient plus rien l'un pour l'autre si ce n'était d'anciens époux.
Sergio finit par ouvrir le dossier qu'il posa devant eux. Instantanément les yeux de la mexicaine glissèrent sur leurs noms accolés l'un à l'autre. « Ca donne un air de déjà vu non ? » Les pupilles de la brune accrochèrent celles du cinquantenaire alors qu'elle sentait une boule de tristesse gonfler sa gorge. Evidemment qu'elle savait de quoi il parlait. Jamais elle ne pourrait oublier cette journée où ils avaient décidé de balancer leur mariage par la fenêtre. Elle s'était sentie impuissante, vidée, comme si on lui avait prélevé une partie d'elle. Sans quitter son regard elle murmura : « Cette fois-ci c'est plus agréable. » Elle marqua une courte pause et murmura : « Ca fait moins mal. » Elle n'avait jamais caché la souffrance qu'elle avait eu en mettant un terme à son mariage, jamais dissimulé le fait qu'elle avait mal à en crever. Ses doigts glissèrent jusqu'à la table afin d'attraper le stylo qui s'y trouvait mais lorsqu'à la place ils frôlèrent la main de Sergio, elle laissa durer le contact un peu trop longtemps pour que cela ne puisse être véritablement considéré comme un accident. Son souffle se coupa l'espace de quelques secondes avant qu'elle ne retrouve ses esprits et qu'elle signe en-dessous de son nom. Elle finit par une nouvelle fois planter son regard dans celui de Sergio et lui tendit le stylo avant de murmurer : « Cette fois-ci tu ne pourras pas faire marche arrière. » De quoi parlait-elle ? S'agissait-il du partage de la garde ? Ou bien faisait-elle référence à leur mariage dissolu ? A moins qu'il ne s'agisse de cet instant, de ce moment où leurs regards ne parvenaient pas à se détacher l'un de l'autre ? Maritza ne savait pas, ne savait plus. La seule chose qu'elle savait c'était que son cœur battait toujours trop vite en compagnie de Sergio et qu'elle n'avait aucune envie de voir cette sensation disparaître.
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ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Everyone was someone else before feelings flood the room like the wine we'd pour. I was yours before you called me mine, but that now feels like another life. It seems as though time has made things worse. I know I said it healed woes, but that was time ago
Sergio n’aurait jamais imaginé qu’ils se retrouveraient dans cette situation, à officialiser cette relation de co-parents. Il mesurait la symbolique à prendre officiellement la responsabilité de leur fils, le tout avec la bénédiction de Mari. Il aurait pu être touché si ce moment ne marquait pas aussi fortement leur séparation. Alejandro était heureusement résilient, sans doute trop peu habitué à la vie avec ses deux parents ensemble. Il voyait probablement les avantages à avoir deux maisons, deux chambres, deux modes de vie distincts. Et il devait un minimum apprécier son paternel pour être aussi enthousiaste. C’était difficile à dire quand il n’avait pas encore la maturité émotionnelle pour voir la situation comme elle l’était vraiment. « Et encore, par miracle, c’est un ado assez cool. » Il n’avait pas le caractère sanguin de certains des hommes de cette famille et le patriarche ne pouvait qu’espérer que cela continuerait. La proposition de Mari le tira instantanément de ses pensées, son esprit associant immédiatement la chambre à des souvenirs qui revenaient le hanter bien trop souvent. Il avait beau savoir que ce n’était pas ce qu’elle signifiait, il resta silencieux pendant un instant à observer son ex-femme, déjà consciente de la tournure de sa phrase. Cela finit par le faire sourire, légèrement amusé. Pas assez à l’aise pour faire un commentaire déplacé à ce sujet, cependant. « Sa chambre. Évidemment. » Pour la décoration et l’idée générale, afin qu’il puisse préparer l’arrivée officielle du garçon. Ils passeraient certainement du temps ensemble à acheter ce qui lui ferait envie ensuite, loin des soins de Mari qui aurait sa liberté rien que pour elle. Sergio ne put nier que la réponse spontanée de la brune lui serra un peu le cœur. Elle avait passé ces dernières décennies à être une mère parce qu’il l’avait laissée seule pour assumer le rôle. Elle n’avait pas fait ce choix, et il ne voyait pas comment il aurait été humainement possible de trouver sa place en tant que femme dans toutes ces responsabilités. Il pesa donc précautionneusement ses paroles. « Ce qui te fait envie. C’est l’occasion d’essayer de nouvelles choses. » C’était supposé être exaltant, représenter une forme de liberté. Pas être une fatalité. A l’instar de ce document devant eux qui avait une saveur bien plus amère qu’il ne le faudrait. C’était formel, officiel, passerait entre les mains d’un avocat pour être examiné par un juge. Cette fois, ce fut à son tour de fuir le regard de son ex-femme. Les souvenirs de leur divorce étaient encore vivaces dans son esprit. Il avait été l’initiateur de cette décision mais il se remémorait parfaitement de la sensation de tout perdre le jour où il avait apposé sa signature sur le document. Il n’était toujours pas certain que cela n’ait pas été la pire erreur de sa vie. Mais Mari avait raison, c’était différent ici. Ils s’engageaient ensemble, quand bien même il n’y avait plus d’eux. « C’est vrai. » Son attention fut happée par leurs doigts qui se frôlèrent, et son regard s’y accrocha pendant plus de temps qu’il ne l’aurait fallu avant de suivre son mouvement. C’était solennel, la preuve qu’il restait encore un peu de confiance entre eux. A moins qu’elle s’assure qu’il ne puisse plus partir sans se retourner une nouvelle fois. Il ne sut pas comment interpréter ses paroles. « Je n’en ai pas l’intention. J’espérais avoir fini par t’en convaincre. » Il n’avait rien fait pour reculer une nouvelle fois. Il croisa son regard pour appuyer ses mots et récupéra le stylo pour signer également là où son nom était écrit. « Je veux ce qu’il y a de mieux pour Ale, tu n’as pas à t’en faire pour ça. » Il le leur devait. L’homme reposa le stylo et récupéra son verre pour en boire une gorgée. Il avait fait ce pour quoi il était venu, il pourrait repartir, sauf que quelque chose l’en empêchait. Il ne pouvait juste pas rester sur ces non-dits et sur cette distance. Il ne le supporterait pas davantage. Alors il pivota vers Mari pour capter son attention. « Mais si on doit être honnête, je ne voulais pas ça. J’ai eu l’espoir que l’on puisse reformer une famille ici et que la question de la garde alternée n’ait jamais à se poser. » Il s’était senti poussé à partir quand la tempête avait éclaté, parce que rester aurait été pire. Il n’était pas heureux d’avoir dû en arriver là. « Je respecte ta décision de vouloir garder tes distances parce que je sais que je ne mérite plus de seconde chance. Ce n’est pas pour autant que je l’accepte. » Ils ne s’étaient pas réellement donné une chance. La peur et la rancœur avaient étouffé tout ce qu’ils pourraient potentiellement avoir. « Je voulais vraiment bien faire cette fois-ci. » Il n’avait pas été parfait, il avait été rattrapé par son passé. Mais il aurait été prêt à n’importe quoi pour qu’ils fonctionnent et qu’il puisse enfin la rendre heureuse.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
« Et encore, par miracle, c'est un ado assez cool. » Elle avait penché la tête sur le côté tout en faisant une petite grimace. Cool... C'était un bien grand mot. Bien sûr Alejandro était loin d'être un enfant pénible, irrespectueux, violent ou dangereux mais il avait son petit caractère et il en avait fait voir de toutes les couleurs à Maritza. Evidemment la Mexicaine ne lui en tenait pas rigueur. Il avait grandi sans la figure d'un père, avait perdu une sœur beaucoup trop jeune et se retrouvait au milieu d'une famille totalement dysfonctionnelle. Rien d'étonnant donc à ce qu'il soit parfois en crise. Amusée elle avait soufflé : « Attends qu'il t'envoie balader quand tu lui demanderas d'éteindre la console et on en reparlera. » Un petit rire avait ponctué sa phrase avant que Sergio n'aborde le sujet de la chambre à décorer et à installer. C'était rassurant de voir le Mexicain prendre les choses à cœur de la sorte. Il semblait vouloir que tout se passe pour le mieux et que leur enfant se sente à l'aise et à sa place chez lui. Mari ne demandait rien de mieux. Sa langue avait néanmoins fourché lorsqu'elle avait proposé d'aller voir la chambre et si elle s'était sentie instantanément gênée, le petit sourire de son ancien compagnon ainsi que sa remarque : « Sa chambre. Evidemment. » ne la soulagèrent absolument pas. La dernière fois qu'ils avaient partagé la même chambre et le même lit lui paraissait bien lointaine même en même temps si proche. Maritza n'avait rien oublié des caresses de Sergio, de son corps, de ses mots doux ou encore du bonheur qu'elle avait ressenti à passer la nuit avec lui. A voir la réaction de l'agent, lui non plus n'avait rien oublié. Elle n'ajouta rien, le remerciant mentalement de ne pas avoir fait d'autres remarques et d'avoir choisi d'enchaîner le plus naturellement possible. Le nouveau sujet abordé ne parvint néanmoins pas à détendre Mari ou à lui rendre le sourire. Savoir qu'elle allait avoir du temps pour elle parce qu'elle allait se retrouver seule la tétanisait autant que cela la rendait triste. Elle n'était pas faite pour être isolée, pas faite pour ne pas être entourée. « Ce qui te fait envie. C'est l'occasion d'essayer de nouvelles choses. » Elle avait hoché la tête en silence, préférant garder pour elle ses tracas et ses appréhensions. Il n'était pas question qu'elle s'épanche sur ses angoisses auprès de son ex qui n'était ici que pour signer des papiers.
Devant les fameux documents, aucun des deux adultes n'assumait véritablement ce qui s'était passé par le passé. Ni Mari ni Sergio ne semblait à sa place ou à l'aise. Pour preuve, le cinquantenaire détournait désormais le regard alors que son ex-femme lui faisait clairement comprendre que leur divorce l'avait détruire et que jamais elle ne pourrait oublier ce triste jour où elle avait dû signer les papiers mettant un terme à leur relation. « C'est vrai. » Il n'y avait rien d'autre à dire à tel point que Maritza avait voulu prendre le stylo mais s'était égarée au contact de la peau du brun. « Je n'en au pas l'intention. J'espérais avoir fini par t'en convaincre. » Le regard empli de sincérité de Sergio la bouleversa et elle comprit qu'il croyait sincèrement en ce qu'il disait. Elle murmura néanmoins avec douceur : « Tu ne peux pas m'en vouloir d'avoir peur. » Elle aurait tout donné pour pouvoir lui faire aveuglément confiance, pour pouvoir se laisser aller à ses promesses mais les déceptions avaient été trop nombreuses tout comme les mauvaises surprises pour que la brune ne puisse s'abandonner à lui. « Je veux ce qu'il y a de mieux pour Ale, tu n'as pas à t'en faire pour ça. » Il venait de signer le document, mettant ainsi un point final à ses propos. « Je sais. » lui affirma-t-elle avec un petit sourire rêveur. Combien de fois avait-elle rêvé qu'il lui dise cela ? Elle avait longtemps espéré qu'il changerait d'avis mais pourtant il lui avait fallu des années pour accepter de reconnaître son fils, des années pour désirer faire partie de sa vie. Les papiers étaient désormais signés et Mari en profita pour reprendre son verre. Presque de manière synchronisée, l'ancien couple but une longue gorgée de vin, gardant le silence. Il allait se lever et partir. Elle le savait. C'était le moment pour lui de quitter la pièce et sans doute aurait-elle dû se lever pour l'inviter à faire de même mais elle en était incapable. Son inaction encouragea Sergio à emprunter une pente glissante puisqu'il se tourna dans sa direction captant à nouveau toute son attention : « Mais si on doit être honnête, je ne voulais pas ça. J'ai eu l'espoir que l'on puisse reformer une famille ici et que la question de la garde alternée n'ait jamais à se poser. » Les lèvres de Maritza s'entrouvrirent mais aucun son ne sortit. Au lieu de cela, elle le dévisageait, les sourcils quelque peu froncés. Elle avait toujours cru qu'il ne voulait pas de cette famille, que c'était elle qu'il voulait sans tout ce qui allait avec. Entendre qu'elle s'était trompée lui serrait le cœur. Quel gâchis. Elle n'avait rêvé que de cela : que les Gutiérrez ne fassent plus qu'un. Pourtant dans ce salon elle avait bien conscience que c'était loin d'être le cas. « Je respecte ta décision de vouloir garder tes distances parce que je sais que je ne mérite plus de seconde chance. Ce n’est pas pour autant que je l’accepte. » Elle eut un léger sursaut comme s'il venait de la sortir de sa léthargie. Maritza ne savait plus quoi dire ni quoi faire. Elle se contentait de le regarder dans les yeux se répétant en boucle ce qu'il venait de lui dire. Elle avait cru que leur dernière conversation avait sonné le glas de leur relation mais force était de constater que rien ne serait véritablement terminé entre Sergio et elle. « Je voulais vraiment bien faire cette fois-ci. » Elle ferma les yeux, un long moment, ses doigts se resserrant sur le pied du verre qu'elle tenait encore entre ses doigts fins. « Ne fais pas ça... » souffla-t-elle, les paupières closes. Tout se chamboulait dans son esprit, elle tentait comme elle le pouvait de se raisonner mais elle le savait sincère. Il n'avait pas demandé à ce que tout explose avec l'arrivée surprise d'un fils dont il ignorait tout, il n'avait pas demandé à partir de la maison, elle l'avait poussé à le faire. Elle finit par ouvrir les yeux et chuchota : « Ne me regarde pas comme ça. » Elle allait flancher, à tout moment elle allait craquer. Son self-contrôle ne tenait plus qu'à un fil. Elle posa son verre sur la table basse et poursuivit : « Je... » Elle ne savait même plus ce qu'elle avait envie de lui dire ou plutôt ce qu'elle devait lui dire. Au lieu de cela, elle attrapa doucement sa main et l'amena sur sa poitrine, au niveau de son cœur qui battait beaucoup trop vite. Elle n'avait pas les mots mais son corps parlait pour elle. « Tu vois ce que tu me fais ? » avoua-t-elle sans jamais le quitter du regard. Ses doigts couvraient ceux de Sergio alors que son cœur tentait désespérément de s'échapper.
Elle l'aimait. C'était un fait qu'elle ne pourrait jamais nier.
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Cry me a river♛
You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be
❝Cry me a river ; Justin Timberlake❞
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Everyone was someone else before feelings flood the room like the wine we'd pour. I was yours before you called me mine, but that now feels like another life. It seems as though time has made things worse. I know I said it healed woes, but that was time ago
Ils étaient devenus relativement doués pour se comporter en parents. Quand il s’agissait de parler des enfants, ils parvenaient bien plus facilement à avoir une discussion posée, voire même complice à de rares occasions, comme quand ils parlaient de Alejandro et de ses jeux-vidéos. Mais dès que le sujet revenait sur eux, sur leur relation, tout foutait le camp. S’éviter avait été bien plus simple que d’affronter les sentiments qui subsistaient. La colère était une bonne alliée pour mettre de la distance entre eux et vouloir tirer un trait sur leur relation, sauf qu’elle ne durait jamais réellement. Sergio n’avait pas su tourner la page depuis leur dernière discussion, où il avait appris qu’il n’y avait eu personne d’autre que lui. Il était resté bloqué sur les paroles de Maritza qui refusait de redonner une chance à leur couple, et surtout sur l’absence de conviction qu’il avait ressentie. Il voulait respecter le choix de son ex-femme, se montrer respectueux à rester loin. Il voulait ce qui était le mieux pour elle. Mais il était également profondément égoïste de nature et savait pertinemment qu’il ne faudrait pas grand-chose pour le faire ployer. Il refusait que leur vie actuelle soit leur nouvelle normalité, chacun dans leur coin. Quand il était revenu, presque trois ans plus tôt, il s’était juré de se battre pour cette famille. Il espérait enfin une unité, et non une famille scindée en deux clans. Il avait frôlé ce que pourrait être un idéal pendant les mois où il avait habité ici et était tout bonnement incapable de tirer un trait sur cette période. S’il n’était pas l’homme le plus doué qui soit pour communiquer ses émotions, il était hors de question qu’il quitte cette maison sans avoir tenté le tout pour le tout. Encore une fois, il laissait à Maritza la responsabilité de lui dire non, de le repousser. Il le respecterait, quand bien même une partie de son être savait exactement ce qu’il était en train de faire. Il jouait avec la corde sensible, incapable de détourner le regard de cette femme qu’il aimait tant. Elle le connaissait assez pour savoir qu’il ne reculerait pas tant que la porte était ouverte. Ils en avaient envie, avaient gaspillé bien trop d’énergie à être sûrs de se saborder. Il posa son verre à son tour en un geste mimétique, le souffle court à attendre un verdict qui mettait bien trop de temps à arriver. Il en oublia presque de respirer quand elle prit sa main pour la déposer tout contre sa poitrine, où il pouvait sentir son rythme cardiaque affolé. Le contact de sa peau était électrisant, la chaleur de ses doigts contre les siens, tout autant. C’était un terrain dangereux sur lequel s’aventurer. Ses prunelles happées par celles de son ex-femme, Sergio peinait à garder la tête froide. Il ne savait pas ce qu’elle cherchait ou ce qu’elle attendait de lui, mais si elle espérait qu’il serait la personne raisonnable entre eux deux, alors c’était voué à l’échec. Elle ne pouvait pas lui demander de rester loin quand elle initiait le contact, tout juste après qu’il a admis vouloir la refaire sienne. « Pourquoi est-ce qu’on se fait ça ? » souffla-t-il, sa main remontant lentement pour se nicher dans le cou de la brune, son pouce caressant délicatement sa joue. Lui résister était peine perdue, et juste à la regarder, il pouvait sentir ses résolutions s’envoler. Le langage de son corps parlait pour lui et instinctivement, il s’était rapproché sur le canapé, comblant la distance qui les séparait. « Je suis fatigué de devoir te résister Mari. Tu rends ça absolument impossible. » Incapable de résister à l’envie encore longtemps, Sergio céda, envoya voler tout ce qu’il venait de dire pour venir cueillir les lèvres de son ex-femme. Un baiser doux et léger, un qu’elle aurait pu repousser si elle avait voulu. Un qui relevait de la tentation pure également, et l’agent ne put se retenir d’y revenir, sa deuxième main trouvant place sur l’autre joue de la belle. Ses baisers se firent plus langoureux, plus demandeurs. Cela faisait trop longtemps qu’il rêvait de ce moment pour pouvoir reculer. Il priait juste qu’elle ne l’y force pas.
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Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
Les supplications de Maritza n'avaient eu aucun effet. Sergio n'avait en rien changé son attitude. Il n'avait pas détourné le regard. Au contraire, la mexicaine avait pu lire dans ses prunelles ce qu'elle attendait mais redoutait tant. Il l'aimait toujours. Elle avait supplié une nouvelle fois de manière si peu convaincante qu'elle-même savait qu'à la place de Sergio elle n'aurait pas reculé. Le peu d'entrain et d'énergie qu'elle mettait à le repousser était risible. La mère de famille n'avait tout simplement pas envie de ça. Assise sur ce canapé, le regard plongé dans celui du cinquantenaire, Mari envoyait balader toutes ses résolutions, envoyait balader sa raison. Elle n'était plus capable de lui parler, articuler le moindre mot lui paraissait insurmontable. A quoi bon chercher de nouvelles excuses pour le repousser alors que tout en elle invitait l'homme à franchir la ligne rouge ? Alors sans plus attendre, elle avait pris sa main qu'elle avait posée sur sa poitrine, à l'endroit-même où son cœur battait à tout rompre. Sa bouche s'était asséchée alors qu'elle sentait déjà la chaleur des doigts du brun réchauffer son sein. « Pourquoi est-ce qu'on se fait ça ? » lui avait-il demandé à voix basse alors qu'il glissait sa main libre dans son cou. Instinctivement Mari vint frotter son visage contre la paume ferme de l'agent cherchant plus de contact, toujours plus. Elle aurait voulu répondre quelque chose mais elle n'avait pas l'ombre d'un début de réponse à lui accorder. Elle ne savait plus elle-même pourquoi elle mettait tant d'énergie à le pousser hors de sa vie quand tout prouvait qu'elle avait besoin, qu'elle avait envie qu'il soit à ses côtés. Le fait qu'elle garde le silence, qu'elle ne détourne aucunement le regard et qu'elle maintienne le contact avec sa main encouragea sans doute Sergio puisqu'il se rapprocha d'elle, accélérant subitement la respiration de la brune. « Je suis fatigué de devoir te résister Mari. Tu rends ça absolument impossible. »« C'est de ta faute » parvint-elle à souffler avant de sentir les lèvres de l'homme se poser sur les siennes. C'était de sa faute à lui. Il était gravé dans sa peau et dans son cœur. Elle l'aimait trop pour ne plus vouloir lui plaire, trop pour tirer un trait sur lui. Elle l'aimait trop pour ne pas lui rendre son baiser. Et c'est ce qu'elle fit. Les yeux clos, elle répondit avec tendresse à cet échange dont elle n'osait même plus rêver. Elle sentit la deuxième main de Sergio encadrer son visage et ne put s'empêcher de sourire tout contre ses lèvres. Tant pis si elle se plantait encore une fois, tant pis s'il s'avérait qu'il s'agissait une nouvelle fois d'une erreur. A cet instant, Maritza n'avait envie que d'une chose : retrouver l'homme qu'elle aimait.
Les baisers de l'agent devinrent alors plus pressants, plus langoureux, plus tentateurs aussi. A aucun moment Mari ne le repoussa, bien au contraire. Elle glissa ses mains dans sa nuque, l'encourageant à se rapprocher encore plus d'elle. La poitrine de la cinquantenaire grondait de plaisir alors que ses mains glissaient dans la chevelure ébène de Sergio. Elle n'osait pas détacher sa bouche de la sienne de peur qu'il ne réagisse, qu'il ne se rende compte qu'il faisait peut-être une erreur. Au lieu de ça, elle se laissa glisser un peu plus sur le canapé, s'allongeant entre les coussins et attirant l'homme tout contre elle.
Alors que ses mains glissaient sous le tee-shirt de Sergio et qu'elle s'apprêtait à le lui enlever, la matriarche marqua une courte pause. Le souffle coupé, elle planta son regard dans le sien et murmura : « Je n'ai aucune envie de m'arrêter. Aucune envie de nous trouver la moindre excuse. Et toi ? » Il fallait qu'elle sache. Elle lui ouvrait une porte, la dernière qu'elle se sentait capable de pousser, il ne tenait qu'à lui de la franchir. Les doigts de la brune agrippés au morceau de tissu venaient appuyer ses dires : Elle ne reculerait pas. Et cette fois-ci, personne ne viendrait les déranger.
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Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
Ce fut le corps pantelant, la peau couverte de sueur et le cœur battant à tout rompre qu'elle se laissa tomber sur le dos sur le canapé. Sergio gisait à ses côtés. La brune avait les yeux clos, un sourire béat accroché au visage. Distraitement sa main parcourait le torse de son ancien mari. « J'veux plus... » souffla-t-elle en marquant une courte pause. « J'veux plus qu'on se déchire. J'le supporterai pas. » Elle finit par soulever ses paupières et se tourna en direction de Sergio. Installée sur le flanc, elle continua de lui caresser le torse tout en se pinçant les lèvres. Elle hésita quelques secondes puis murmura : « Je suis prête, vraiment... Mais je ne sais pas si toi... » A demi-mots la Mexicaine avouait à son ancien mari qu'elle était prête à se relancer dans une histoire avec lui, qu'elle en avait envie mais elle n'était pas certaine que cela soit réciproque. Sans doute que ces petites parties de jambes en l'air suffisaient au bellâtre... C'était plus que plaisant certes, mais Mari avait besoin de plus, Mari voulait plus : Elle le voulait lui.
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Cry me a river♛
You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be