ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23730 POINTS : 270
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
RPs EN ATTENTE : damon #16
willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
(the burrow) Au fond, une part de moi trouve l’idée aussi ironique qu’amusante que quelqu’un puisse penser que ce rendez-vous avec Evelyn Pearson est supposé être caché de tous ou qu’il s’agit d’une idée que l’un de nous deux voudrait faire passer à l’autre entre deux verres d’alcool. Puisque j’ai cru comprendre qu’elle pouvait tout aussi peu que moi, cela ajoute encore une part d’amusement sincère à toute cette situation, surtout alors que je compte effectivement lui parler de ce qui est relatif au travail mais rien qui ne se résume à des discussions à la limite de la légalité. On aurait pu en parler dans son bureau, mais puisque monter dans les locaux de la MHI me donne de l’urticaire, mon plan s’est plutôt résumé à une autre proposition : un restaurant, un simple restaurant. Pas d’effusion d’émotions, pas de quoi que ce soit. Un plat, un verre, et un taxi, voilà à quoi se résumera la soirée, même si je pense qu’elle ressent autant que moi le besoin d’aborder le sujet.
Il est important pour elle et pour l’empire qu’elle dirige désormais, il est important pour moi parce qu’il s’agira toujours de mon frère, quoique puissent dire les liens du sang à ce sujet. On a grandi ensemble, j’ai calqué toutes mes mauvaises habitudes sur les siennes, j’ai fait tourner mon monde de gamin autour de sa figure de grand-frère. Il restera toujours cette personne malgré tout ce que je reproche à l’homme qu’il est devenu. « Désolé du retard, Sloan ne voulait pas me laisser partir. » J’annonce aussi sobrement que poliment au même moment où je me fais une place face à elle, une telle attitude me ressemblant particulièrement peu. Elle est pourtant la preuve que je suis capable de faire des efforts quand j’en ai envie. Le fait est que je n’en ai quasiment jamais envie, et ça je n’ai jamais eu la moindre vocation de le cacher. « Tu attends depuis longtemps ? » Je le demande non pour combler la discussion mais bien pour anticiper une possible colère qui pourrait légitimement être la sienne, même si elle n’a rien vu des larmes de mon petit garçon quand il a compris que je devais partir pour quelques heures et que j’ai eu l’audace de lui répéter deux fois et non dix.
« Je pensais que ce serait plus simple de discuter ici. » J’explique mon choix sans pour autant étayer mes arguments : elle connaît la situation tout aussi bien que moi, pour ne pas dire mieux, et elle sait au moins qu’il n’y aura aucune oreille indiscrète autour de nous. Même s’il n’y a rien de secret dans ce que nous partagerons, je n’ai pas à cœur d’être à la merci des curieux de bas étage. Ma famille a déjà bien assez de choses à gérer en cet instant pour ne pas avoir à en rajouter. « Si je l’avais su, je te l’aurais dit. » Je ne ressens pas le besoin de m’expliquer davantage sur la situation face à elle, mais je ressens au moins le besoin de lui dire que je ne manque pas de transparence. Elle n’aurait pas été le premier nom à me traverser l’esprit à ce moment-là, mais elle aurait au moins fait partie de la liste élargie. Et si je le précise, c’est aussi pour qu’elle comprenne que dans cette histoire, nous sommes tous les deux sur le même bateau : on l’a appris en même temps, de la même manière. Rien de tout ça n’est donc réjouissant. « Ca va ? Au boulot ? » La seule vision que j’en ai se résumant à des poules sans tête courant à tout va, elle en fera sans doute un portrait plus fidèle à la réalité que mon imagination ne tente de le faire.
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Alma Barton
le bonheur illusoire
ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620
TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déniDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7AA1D2 RPs EN COURS :
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly
JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car (scénario libre)
"Pas assez longtemps pour t’en vouloir, sois rassuré." Evie ne côtoyait pas beaucoup Auden, elle avait plus ou moins cerné le personnage néanmoins, et n’ignorait pas que dans tous les cas, qu’elle lui en veuille ou pas, il s’en fichait probablement comme tout d’un tas d’autres choses. Elle n’était là que depuis une vingtaine de minutes de toute façon, et elle en avait profité pour répondre à quelques mails qui nécessitaient sa syntaxe à elle, et sa syntaxe à elle seule. Quand Auden arriva, elle était donc en train de verrouiller son écran de téléphone portable, ses yeux vadrouillant aux alentours interceptant sa silhouette qu’elle suivit précautionneusement lorsqu’il s’installa face à elle. Il n’était pas différent d’avoir perdu quelqu’un de cher, bien qu’à l’époque de leur première rencontre, il avait insisté sur le fait que son frère ne comptait plus pour lui : il restait son frère, ça devait le toucher d’une façon ou d'une autre ce qui venait de se passer. Evie ? Ça ne le touchait pas. Elle était désolée pour les enfants de Saül, elle n’était pas désolée pour lui. Intransigeante, elle savait l’être quand c’était nécessaire, et elle jugeait que ça l’était dans la présente, s’appliquant à donner un discours politiquement correct à ceux qui l’interrogeaient sur le sujet. En résumé : c’était une réelle tragédie, mais il y en avait d’autres à notre époque, chacun s’accordait pourtant à dire que ça n’empêchait pas la terre de tourner.
"Je sais que tu préfères les endroits neutres, ce n’est pas un problème." lui fit-elle, posant ses bras au bord de la table qu’ils partageaient désormais "Tu vas détester ce que je m’apprête à faire, mais c’est une question de respect, alors je t’invite à ne pas t’offusquer, d’accord ?" Délicate, elle inclina la tête sur le côté juste pour lui faire, tout de même "Je te présente mes condoléances. C’est sincère." A défaut de pouvoir chanter les louanges de son frère, elle pouvait lui apporter son soutien pudique dans cette période. Parce que malgré tout, Auden restait quelqu’un pour qui elle avait un minimum de considération, même si cette dernière n’était basée que sur un lien épisodique, aussi distant qu’ils ne deviendraient jamais amis de toute façon. Elle leva la main devant elle, l’arrêtant dans ce qu’il était en train de lui dire "Je sais. Ne t’en fais pas pour ça non plus." Elle n’était pas complaisante, elle se débarrassait des points de pseudo-inquiétude d’Auden pour avancer dans la discussion qu’elle voulait éviter de rendre poussive alors que tous les deux savaient très bien pourquoi ils se voyaient ce soir. Elle lui fut reconnaissante d’enchaîner rapidement sur le sujet du travail, le seul vrai point qui les réunissait ici ce soir. Elle bascula doucement sa tête sur le côté, haussa les sourcils en lui expliquant "Kennedy a pris quelques jours de congés, les autres qui sont restés sont relativement sous le choc, et le conseil d’administration est sous tension." Tout comme elle. Auden devait déjà se le figurer pour lui proposer de se voir aussi vite après la divulgation de la nouvelle. Elle replaça le bracelet de la montre qu’elle portait à son poignet, marqua un temps de pause durant lequel elle se para d’un léger sourire qui accompagna ce qu’elle ajouta dans la foulée "Et si on entrait directement dans le vif du sujet ?" Pas en commandant un verre pour s’hydrater le gosier, encore que pour une fois, Evie ne rechignerait pas à prendre quelque chose de corsé, mais bel et bien pour éclaircir le point le moins net de toute cette histoire dans le fond : avec Saül définitivement hors du tableau, à quoi tenait l’avenir de la MHI exactement, et qu’est-ce qu’Evie risquait en n’étant rien d’autre qu’une pièce rapportée, aussi peu légitime qu’elle n’était au fond qu’une porte-parole, plus qu’une patronne ?
they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.
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Auden Williams
le complexe de Dieu
ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23730 POINTS : 270
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
RPs EN ATTENTE : damon #16
willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
"Pas assez longtemps pour t’en vouloir, sois rassuré." Je ne suis pas du genre à être inquiet pour une histoire de retard, mais je reste malgré tout rassuré qu’elle ne m’en tienne pas rigueur, simplement parce que nous avons bien d’autres sujets à gérer et qu’il vaut mieux débuter cette discussion sur un certain pied d’égalité. Cela ne l’empêche pas d’avoir un avis sur ma personne et inversement, mais je la sais bien plus mature que je le suis pour être capable de passer outre. "Tu vas détester ce que je m’apprête à faire, mais c’est une question de respect, alors je t’invite à ne pas t’offusquer, d’accord ?" Je relève ma tête en sa direction à peine installé, même si j’anticiper déjà la teneur de ses mots sans même avoir à faire le moindre effort pour ça. Je les entends depuis des jours, venant de tous les horizons. "Je te présente mes condoléances. C’est sincère." J’hoche simplement la tête. Elle a entendu mon discours au sujet de mon frère une première fois déjà, elle sait donc ce que je pense de l’homme qu’il est devenu. Le frère qu’il a toujours été, cependant, personne d’autre que moi n’a besoin d’en savoir davantage. Il représente son prédécesseur, et Evelyn n’a pas besoin de savoir comment je me sens pour que nous puissions mener cette discussion à bien. Je ne compte de toute façon pas m’étaler, comme à mon habitude.
Je précise simplement mon absence d’anticipation sur le sujet, et le fait qu’elle aurait été prévenue si je l’avais pu. Je ne suis pas du genre à me justifier, mais elle m’inspire assez confiance pour que je puisse l’envisager à ses côtés, sans pour autant me lamenter. "Je sais. Ne t’en fais pas pour ça non plus." Elle ne cherche pas à en savoir davantage sur le pourquoi du comment je n’étais même pas au courant de la mort de mon propre frère, mais tant mieux. Ce n’est pas un point que j’ai envie d’étayer, et elle s’en doute sûrement, surtout alors que je ne tarde pas davantage avant de basculer la discussion sous le seul point de vue du travail. Elle est là pour ça bien avant de l’envie de me partager ses condoléances, je ne me fais pas d’illusion et c’est tant mieux. "Kennedy a pris quelques jours de congés, les autres qui sont restés sont relativement sous le choc, et le conseil d’administration est sous tension." Ils savent simplement que la mort d’une icône n’est pas bonne pour les marchés, ou une connerie du genre que je suis le premier à ignorer. Une chose est sûre, c’est qu’ils ne pleurent pas la mort de leur ancien patron, et sur ce point je ne peux pas leur en vouloir. Ils craignent pour leur paie et leur avenir, et sur ça aussi je ne peux pas leur en vouloir, parce qu’il en serait de même pour moi si mon quotidien tenait à un petit poste dans un bureau. Petit ou grand poste, peu importe. Evelyn aussi est sous tension, de toute évidence. "Et si on entrait directement dans le vif du sujet ?" J’aime son audace, et cela prend la forme du sourire en coin naissant contre un coin de mes lèvres. « J’en sais pas plus que toi. » Par pure question d’ego, j’aurais aimé être capable de lui dire le contraire. J’aurais aimé venir avec la réponse à toutes choses, mais ce n’est pas le cas. « Je pense qu’Ornella non plus. » Ma soeur, éminemment mieux placée que moi dans cette entreprise, mais qui sait au moins se la fermer quand les règles hiérarchiques le lui demandent. « Tu penses que tu es un sur un siège éjectable ? » Je l’aurais sans doute pensé à sa place, alors ce serait une pensée que je juge légitime, comme tente de le prouver l’absence de jugements dans mes mots. « Il va y avoir besoin d’un temps d’adaptation. » Je souffle en même temps que je passe une main contre mon visage pour aider à lutter contre la fatigue. Saül ne travaillait plus pour l’entreprise, mais son ombre y régnait encore. Aujourd’hui, cela ne pourra plus jamais être le cas. « Tu comptes rester ? » Si on y va plus par quatre chemins, alors je ne me fais pas prier pour poser les questions qui m’importent.
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Alma Barton
le bonheur illusoire
ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620
TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déniDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7AA1D2 RPs EN COURS :
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly
JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car (scénario libre)
Il n’était pas question de se lamenter. Ce n’était pas la ligne de conduite habituelle d’Evelyn, c’était encore moins celle d’Auden qui acceptait ses condoléances avec dignité, sans en dire plus. Elle ne voulait pas en savoir plus, toute cette situation restant personnelle, intime, et ce n’était pas dans ses attributions que de le questionner à propos de tout ça : ils n’étaient pas proches, c’était une information à garder en tête, Auden n’étant pas du genre à vouloir lier davantage de rapports avec ceux qui gravitaient autour de l’entreprise de son frère, et quelque part, c’était tout à son honneur. En tout cas, Evie le comprenait sans se sentir obligée de ressentir le moindre sentiment négatif à ce sujet. Toujours est-il qu’elle, elle avait passé des années à devoir gérer un deuil difficile à faire, elle exécrait au plus haut point l’idée que ça avait été sous l’oeil curieux de ceux qui l’entouraient. La situation d’Auden était différente, la mort de son frère ne pouvant être plus éloignée de celle de Kai Pearson, il restait une personnalité publique qui avait fait vendre du papier à un moment donné : sous l’oeil des curieux, il l’avait toujours été, et maintenant qu’il n’était plus là, sa famille pâtirait sans aucun doute de ce qu'il avait laissé derrière lui et qui ne recelait pas que de bijoux et de trésors. Elle avait de la compassion pour les Williams : pour Auden, pour Damon, pour Ornella, pour tous les autres, dont les enfants de la famille qui, encore trop petits, ne devaient certainement pas comprendre grand-chose à ce qui se passait depuis des mois désormais. Elle n’en avait guère pour Saül qui, même dans la mort, semait le chaos autour de lui.
Elle ne faisait pas d’illusion sur les raisons de sa présence ici. Factuelle, elle préférait prendre les choses sous un angle tout bonnement professionnel, consciente de toute façon qu’Auden n’apprécierait pas qu’elle se porte garante du poids qui devait peser sur ses épaules après la perte de cet être cher pour qui il ressentait des sentiments sommes toutes ambivalents ; alors ils enchaînèrent vite, et c’était très bien comme ça. Elle opina du chef "Je te le confirme, elle n’en sait pas plus que toi." ajouta-t-elle aux mots du jeune homme, basant son ressenti sur un court entretien qu’elle avait eu avec sa soeur au cours des dernières heures. Elle n’en révélerait pas sa teneur, elle lui laissait la liberté de le faire de son côté si elle souhaitait en discuter avec sa famille, mais de son côté, Evelyn préférait ne rapporter aucune parole, tenant à rester responsable de la sienne, et de la sienne uniquement "Je pense que tout dépendra de si on retrouve ou pas le testament de ton frère." En d’autres termes "Oui, je pense que je le suis." Sur un siège éjectable. Elle avait été nommée selon le code strict d’un conseil d’administration dirigé par des héritiers désignés par défaut à cause du sang qui coulait dans leurs veines, mais désormais, la donne changeait : sans le connaître, elle était persuadée que Saül n’aurait pas quitté cette terre sans vouloir, une dernière fois au moins, imposer sa position sur quelque chose qu’il avait pourtant abandonné lâchement, tout comme il avait abandonné sa famille ; comme une dernière provocation, il aura surement pris le temps de coucher ses volontés sur papier, elle en était persuadée.
Elle leva les yeux vers Auden, le regarda se passer la main sur le visage et remarqua sa fatigue sans la souligner verbalement, inclinant simplement un peu plus la tête sur le côté pour en prendre toute la mesure. Elle croisa son regard lorsqu’il lui posa une question à laquelle elle n’avait même pas besoin de réfléchir "Bien sûr, ça ne change rien pour moi." lui affirma-t-elle, reprenant tout de suite après "Cela dit, tu n’es pas idiot. Tu sais qu’en fonction des volontés de ton frère, la mienne ne pèsera pas bien lourd dans la balance, surtout s’il a officiellement désigné son successeur dans un potentiel testament." Qu’on le retrouve ou pas, d’ailleurs. Elle poursuivit, réaffirmant sa pensée en même temps "En attendant, je me suis engagée, et j’ai travaillé dur ces derniers mois, que ce soit pour tacher de m’approprier le fonctionnement de l’entreprise, ou pour essayer de gommer les erreurs commises. Je n’ai pas fait semblant, j’ai fait plus que ce j’aurais pu." Ponctuant ses mots d’un regard fixe en direction d’Auden, elle ne s’arrêta pas, même si elle marqua un très court temps d'inspiration avant de reprendre "Je ne suis pas du genre à travailler pour rien, alors je me battrais s’il le faut, tu peux en être certain." Ça ne lui faisait pas peur. Ce qui lui faisait peur en revanche, c’est l’idée de se retrouver relativement seule face à la volonté d’un mort. Alors peut-être que ça faisait d’elle quelqu’un de moralement bancal de poser la question qu’elle s’apprêtait à poser à Auden, le plaçant peut-être dans une position délicate sans le vouloir, mais elle avait besoin d’assurance, et il pouvait la lui apporter. Elle se lança "Je pourrais compter sur toi ?" Si des voix devaient être données pour asseoir son statut au sein de l’entreprise, est-ce qu’Evelyn pourrait compter sur celle d’Auden ?
they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.
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Auden Williams
le complexe de Dieu
ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23730 POINTS : 270
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
RPs EN ATTENTE : damon #16
willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
Parler de ma famille n’est pas ce que je pensais faire auprès d’Evelyn, mais il faut bien avouer qu’elle est trop reliée à la Michael Hills pour que je puisse passer à côté. Saül a dirigé l’empire, Ornella n’est pas loin du trône à son tour. Moi, je vivote autour et je dois maintenant remplir un rôle qui ne m’enchante pas le moins du monde mais qui apporte un équilibre auquel je n’ai pourtant jamais aspiré. Je le fais pour Sloan. "Je te le confirme, elle n’en sait pas plus que toi." J’hoche la tête, ma confiance envers les mots d’Evelyn n’étant pas remise en question un seul instant. Ironiquement, elle parle sans doute bien plus à ma sœur que je ne le fais. Je suis le premier à ne pas avoir eu à coeur d’entretenir la moindre conversation au sujet de notre frère, et plus encore de l’entreprise. "Je pense que tout dépendra de si on retrouve ou pas le testament de ton frère." Elle reprend sans me laisser le temps de répondre, si bien qu’un seul rire amusé s’échappe de ma gorge dans l’entre-deux. "Oui, je pense que je le suis." Et moi, je ne sais même pas si mon frère a écrit un testament, et encore moins ce qu’il aurait pu laisser figurer dessus. J’oscille entre tout et son contraire, sans aucune nuance. Il en a toujours été ainsi avec Saül ; l’absence de nuance dont j’ai à mon tour hérité à un niveau différent, mais hérité tout de même. "Je pourrais compter sur toi ?" - « Je t’appuierai. S’il y en a besoin. » Ma voix n’est pas la plus forte, mais mon nom de famille l’est, ce qui est au moins un point dont nous avons tous deux connaissance. Ma seule voix ne suffirait pas à l’aider, mais c’est sans doute mieux que rien. Je me garde de parler au nom d’une petite sœur dont je connais l’ambition dévorante et qui pourrait toujours nourrir le désir de devenir calife à la place du calife. « Ou je montrerai la porte aux autres d’une façon ou d’une autre, ça marche aussi. » Je continue avec un rire en demi-teinte. Evelyn sait que je ne suis pas le meilleur pour me fixer des limites, à commencer parce que je n’en ai aucune envie et que je n’ai aucune raison de le faire. Et il y aurait bien des manières de leur montrer la porte pour préserver l’Empire familial.
Je n’ai pas besoin d’un laïus au sujet de sa motivation pour lui partager ma voix et mon soutien. Elle sait que l’entreprise n’est pas ma priorité et ne le sera jamais, mais elle a sans doute aussi compris que j’y voue un attachement à la con parce qu’il s’agit de la seule chose que mon frère a réussi à ne pas totalement détruire dans son existence, ce qui n’est pas rien. « Je vois pas qui il aurait pu désigner pour te remplacer. » Il n’y a plus personne ayant la moitié de son âge et qu’il se tape en secret, alors j’imagine qu’il n’y a personne dont il aurait pu écrire le nom sur son testament non plus, pas vrai ? Le peu de respect que je lui accorde encore m’empêche de partager ces mots à voix haute, bien que je n’en pense pas moins. « Il serait devenu fou qu’Ornella arrive au même niveau que lui. » Elle est une femme, elle est une petite soeur. Jamais il ne l’aurait nommée sur son testament à un tel sujet - ce qui me fait dire qu’il déteste Evelyn pour les mêmes raisons, mais passons. « Tout comme il l’était à ton sujet, mais il a eu un peu de temps pour le digérer, au moins. » Ou pas, à en juger par la façon dont il a finalement perdu la vie. Face à la brune, je préfère ignorer ce sujet qui appartient à la sphère familiale uniquement. « Ne t’en fais pas pour cette histoire, y’aura pas de problème. » Même si Saül avait désigné le pape sur son testament, je ferais mon possible pour rayer cette information de la carte. « Je m’en occuperai. » Pas par sympathie pour elle, mais bien parce que je pense qu’il s’agit de la bonne chose à faire. « Sa mort ne change rien pour toi. » J’annonce finalement, un brin sévère sans pour autant lui en tenir rigueur. Saül n’était qu’un nom, un prédécesseur. Un connard qui a bien merdé. « J’ai pas raison ? » Malgré tout, je finis par lui demander son avis sur la question.
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Alma Barton
le bonheur illusoire
ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620
TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déniDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7AA1D2 RPs EN COURS :
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly
JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car (scénario libre)
"Merci." Elle penchait vers la simplicité induite par le concept de l’économie de mots pour remercier le jeune homme qui se tenait en face d’elle, ressentant sincèrement de la gratitude envers la manière dont il n’hésitait pas à affirmer son soutien en cas de besoin. Elle avait entendu des histoires au sujet d’Auden, elle avait de temps à autre été confrontée à son caractère insupportable, elle n’était pas moins convaincue qu’il restait droit dans ses bottes quand il s’agissait de donner sa parole, et si ce n’était pas réconfortant comme tel, c’était au moins une garantie qui lui procurait une certaine forme de sérénité dont elle lui était franchement reconnaissante sur l’instant. Pas parce qu’elle avait peur de quoi que ce soit, elle n’était pas de ce genre-là, mais parce qu’elle avait au moins un allié qui l’était par volonté et non parce qu’il attendait quoi que ce soit de sa part en retour. Elle eut un léger sourire à ce qu’il ajouta "Je ne veux pas que ça se termine en guerre ouverte tu sais, alors si on pouvait éviter les coups d’état, ça m’arrangerait." Mais merci tout de même, se retint-elle d’ajouter, consciente mieux que personne que la répétition de bons sentiments n’étaient pas le fort d’Auden qu’elle respectait pour sa prise de position, mais qu’elle savait aussi suffisamment impulsif pour faire pire que mieux.
Elle ne voulait pas de ça. Rien ne serait profitable à l’entreprise de feu son frère si son avenir se construisait sur des conflits internes liés à sa mort. Elle pressa ses lèvres l’une contre l’autre, attendit un instant qu’il termine sa tirade pour profiter de la brèche laissée par sa respiration qu’il reprenait pour lui faire savoir, aussi lucide que sincère "Sans aucun doute. Mais je comprendrais qu’elle en prenne la tête par défaut. Je veux dire par là que si on doit échanger nos fauteuils, elle et moi, je l’accompagnerais si elle veut bien de moi." Non qu’elle doutait qu’Ornella ne soit pas capable de se débrouiller seule, mais elle n’avait pas menti tout à l’heure lorsqu’elle avait dit à Auden qu’elle se battrait pour rester au sein de la MHI malgré tout : elle ne se battrait pas contre ses membres, elle se battrait contre les volontés d’un homme qui avait préféré s’enfuir que de prendre ses responsabilités, aussi les armes qu’elle apporterait à la lutte ne seraient pas de trop pour déminer le terrain qu’il avait laissé derrière lui au travers d’un testament dont personne, à l’heure d’aujourd’hui, ne connaissait le contenu. Ça avait de quoi alimenter quelques interrogations. Ce fût à son tour de laisser un petit rire lui échapper "Je m’attendais à ce qu’il me fasse part de son mécontentement au sujet de ma nomination d’une façon ou d’une autre. Je ne serais pas surprise s’il a réservé à mon nom une place spéciale dans ses derniers écrits. Je n’en serais pas flattée, loin de là. Mais je m’y attends." fit-elle, consciente qu’effectivement, sa nomination avait dû rendre fou Saül au même titre que la possibilité que sa soeur prenne sa succession. Elle laissa un soupir soulager la pression relative qu’elle ressentait au niveau de sa poitrine, joignit ses mains en posant de nouveau son regard sur Auden qui, quelque part, semblait plus inquiet qu’elle au sujet de tout ça "Toi non plus, ne t’en fais pas pour cette histoire." s’autorisa-t-elle à lui faire, s’attendant à une rebuffade quelconque qu’elle repoussa en prenant le temps de réfléchir pour répondre à l’inflexion interrogative qu’il laissa poindre après avoir taché de se convaincre que tout irait bien "J’aimerais te dire que tu as raison, mais tu connais mieux ton frère que moi." Il était plus au fait des surprises qu’ils pouvaient semer derrière lui, Evie ne pouvait que les supposer sans imaginer un instant leur étendue tant il semblait clair qu’ils n’avaient pas le même esprit. Le sien n’était pas mauvais, elle l’avait prouvé plus d’une fois "Sa mort ne change rien à mon investissement dans tous les cas, et ça je te l’assurerais jusqu’à ce qu’on sache ce qu’il en est véritablement." C’était une assurance qui la concernait elle, et elle seule, elle pouvait donc la lui donner sans rougir, et elle ne le fit pas, affrontant son regard avec une détermination qui lui était propre, prête à donner de sa personne, comme elle l’avait fait ces derniers mois, s’il le fallait.
they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.
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Dernière édition par Evelyn Pearson le Lun 15 Juil 2024 - 14:43, édité 1 fois
Auden Williams
le complexe de Dieu
ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23730 POINTS : 270
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
RPs EN ATTENTE : damon #16
willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
"Je ne veux pas que ça se termine en guerre ouverte tu sais, alors si on pouvait éviter les coups d’état, ça m’arrangerait." Je n’ai jamais eu peur de me battre et la paternité n’a toujours pas retiré cet esprit bagarreur de ma personnalité, mais malgré tout je reste d’accord avec Evelyn. Les jeux politiques ne m’intéressent pas, et même balancer un coup de poing bien placé sur le visage finement rasé de l’un d’eux ne serait pas amusant tant ils chercheraient à répondre par des arguments et des mots et absolument rien d’autre. Qui plus est, cela desservirait une Evelyn que j’ai tout à y gagner à laisser au sommet de la chaîne alimentaire : elle fait se retourner Saül dans sa tombe, ce qui en fait une idée exquise. « Deal. » J’accepte, aussi sobrement que possible et surtout bien plus qu’à mon habitude.
"Sans aucun doute. Mais je comprendrais qu’elle en prenne la tête par défaut. Je veux dire par là que si on doit échanger nos fauteuils, elle et moi, je l’accompagnerais si elle veut bien de moi." Quand bien même Ornella est mon sang, ce n’est pas une idée que j’envisage, pas alors que je suis le premier à clamer que la génétique ne devrait pas se mêler à toutes ces histoires de travail et de promotion. Ornella travaille comme une acharnée et je ne le lui retirerai jamais (bien que je vois cela comme un défaut plus qu’autre chose vue ledit travail), mais Evelyn travaille encore plus dur. Ou tout du moins, elle travaille mieux ; assez pour être à la tête de cet empire gangrené. « Pas besoin de te faire des films sur ce point. » Elle n’a pas à utiliser le conditionnel. Cela n’arrivera pas, ni dans ce monde ni dans aucun autre. Je doute que Saül ait pensé à parler d’elle au moment de se tirer une foutue balle, qui plus est, mais je ne trouve pas de mots assez corrects pour partager ma pensée avec elle, raison pour laquelle je préfère encore la laisser se faire des films. Après tout, si je suis à peu près dans son camp, je ne suis pas là pour arrondir les angles et apaiser les cœurs - et elle le sait. Je veux qu’elle prospère. Qu’elle soit heureuse est un autre sujet. "Toi non plus, ne t’en fais pas pour cette histoire." Mon regard trouve le sien en silence, incapable de savoir ce que je pense de ses mots autant que de toute cette histoire, au final. Je ne m’insurge pas, je ne la traite pas de bonne femme qui devrait apprendre à connaître sa place. Elle est en droit de me partager ces mots, mais j’en suis encore au point où je me demande si elle est à sa place, dans le nous que nous ne formons pas le moins du monde. Au final, ce n’est qu’une discussion travail comme une autre, à peu de choses près. "Sa mort ne change rien à mon investissement dans tous les cas, et ça je te l’assurerais jusqu’à ce qu’on sache ce qu’il en est véritablement." - « Les investisseurs sont frileux des changements. » J’ai beau ne pas m’intéresser au milieu, et justement chercher à m’en tenir le plus éloigné possible, je sais au moins ça. Personne ne veut que la mort du directeur emblématique de l’entreprise se voit suivie d’un changement dans ses hautes strates, même pour un nom familier. « Ne t’y habitue pas, la famille passe avant tout. » Et je ne suis pas en train de la choisir au détriment de cette dernière. Si je fais le choix de la soutenir, justement, c’est parce que j’estime qu’Ornella n’aurait rien à y gagner à siéger sur cet empire bientôt englouti. « Tu viens de gagner une ennemie. » Et si elle vient peut-être de gagner un allié en ma personne, je ne suis pas le meilleur d’entre eux, là où Ornella peut se montrer particulièrement fourbe en retour. Je parlerai avec elle pour la contenir autant que possible. « Ne fais pas passer cet investissement avant tout. C’était l’erreur de Saül. » Parmi tant d’autres erreurs, certes, mais celle-ci en particulier l’a fait courir à sa perte : quand il a perdu l’entreprise, il a tout perdu, jusqu’à la vie. Si je peux donner un conseil à Evelyn, c’est de se tenir aussi loin que possible du sentier tout tracé par mon aîné.
Alma Barton
le bonheur illusoire
ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620
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Auden lui donna sa parole à sa façon, Evelyn l’accepta sans la discuter, certaine de pouvoir lui faire confiance. Encore une fois, elle avait entendu des histoires à son sujet, elle savait pour autant se faire une opinion de ceux qu’elle avait en face d’elle sans se sentir obligée de prendre les bruits de couloirs pour acquis — trop peu pour elle, merci. Sa nonchalance au sujet de la MHI étant ce qu’elle était, le fait qu’il oeuvre avant tout pour assurer un avenir à sa progéniture la touchait et lui faisait croire que, sa parole donnée, il ne reviendrait dessus que s’il jugeait que Sloan risquait quelque chose. Ça ne serait probablement jamais le cas, pas uniquement parce qu’il était un enfant, malgré tout elle estimait avoir gagné un allié sur la durée. Elle y croyait, peut-être tomberait-elle de haut, mais elle avait envie de croire qu’Auden Williams avait plus d’honneur que son aîné. L’avenir le lui dirait, elle plaçait ses espoirs dans ce dernier, prête à s’adapter en fonction des décisions qui seraient prises, des changements qui seraient opérés. Elle ferait entendre sa voix, c’était une certitude devant laquelle elle ne plierait pas, mais elle se montrerait arrangeante, intelligent plus encore ; il en allait de quelque chose d’assez important pour que chacun mette de l’eau dans son vin, elle la première.
Elle inclina la tête lorsque Auden lui rappela que la famille passait avant tout. Dans un léger sourire, elle lui fit "Tant mieux pour toi." Ce n’était pas son cas, elle ne s’en cachait pas. Ceci dit, elle ne s’habituerait pas à sa clémence à son sujet, elle avait compris qu’elle venait de son envie réelle que rien de pire que la mort de son frère n’arrive, et non d’autre chose. Tous les deux ne deviendraient jamais amis, ça ne chagrinait pas Evie qui lui fit remarquer dans la foulée "Je t’ai demandé si je pouvais compter sur toi, mais je ne t’ai rien demandé de plus que ça. Je pense que tu es assez grand pour savoir ce que tu fais, et que je le suis tout autant pour ne pas attendre de toi plus que ce que tu consens à me donner." Elle affronta son regard, ayant le sentiment que chez Auden, la moindre subtilité passait par ce biais-là plutôt que par les grandes tirades. Néanmoins, après un instant, elle ajouta, pince-sans-rire "Sois sans crainte, tu ne recevras pas d’invitation pour mon mariage." Dans l’hypothèse que… il n’avait pas besoin de savoir que ce n’était même pas un projet, ce mariage, ils n’étaient pas là pour discuter rond de serviette. Elle haussa les épaules à la suite de ses mots, sa bouche s’affaissant doucement vers le bas lorsqu’il présenta sa soeur comme l’ennemie potentielle d’Evie "J’en ai eu d’autres." Elle disait vrai. Elle s’en était dépêtrée avec grâce, elle tint à lui faire remarquer. Pas par orgueil — encore que "Je suis toujours là, est-ce que ça te rassure sur l’idée que je suis capable de le supporter ?" Elle marqua une très courte pause qu’elle instilla avec un index brièvement dressé devant son nez, se corrigeant dans la foulée pour mieux lui faire "Mieux encore, que je suis capable de m’en remettre ?" Malgré son choix de carrière à un moment de sa vie, Evelyn n’avait pas évolué dans le tulle et le coton : la haute-société n’existait pas sans luttes, sans adversaires, sans suppliciés. Elle arqua un sourcil, se préparant à répondre à ce qu'il ajoutait "Sauf que je ne suis pas Saül, Auden." Auden, l’emphase était douce, presque délicate, mais son regard était fixe et sa tête était droite "Si tu le penses, et ce avec tout le respect que je dois au lien qui vous unissez, je vais le prendre comme une insulte." Et peut-être que c’est lui qui deviendrait son ennemi finalement.
they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.
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Auden Williams
le complexe de Dieu
ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23730 POINTS : 270
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"Je t’ai demandé si je pouvais compter sur toi, mais je ne t’ai rien demandé de plus que ça. Je pense que tu es assez grand pour savoir ce que tu fais, et que je le suis tout autant pour ne pas attendre de toi plus que ce que tu consens à me donner." Je prends un instant de recul sur ces mots. Pendant une seconde, j’oublie tout le contexte autour de notre rencontre et je me focalise uniquement sur le bout de femme qu’elle représente et, au-delà de ça, qu’elle est réellement. Ma tête se penche légèrement, signe qu’elle a toute mon attention - et j’ose espérer qu’elle sait à quel point obtenir mon attention est une chose aussi rare que précieuse. « On est au clair. » Notre alliance est éphémère, instable. Elle n’existe que dans ce contexte précis qui nous arrange tous les deux, mais elle n’a pas vocation à faire de nous des alliés redoutables. On aspire à la même chose pour des raisons différentes, et cela nous suffit pour que je ne veuille pas mettre une autre personne à la tête de l’entreprise et qu’Evelyn, de son côté, ne cherche pas à laisser la place pour aspirer à une vie plus simple. Je ne dis pas qu’elle n’a pas tort d’agir de cette façon, mais c’est un point qui ne me concerne pas le moins du monde. J’agis pour mes sœurs, non pour elle.
"Sois sans crainte, tu ne recevras pas d’invitation pour mon mariage." Le sourire sincère que j’étire à la suite de cette nouvelle aurait pu en vexer plus d’un mais j’ai bon espoir que ce ne soit pas le cas de la brune, qui me connaît maintenant assez pour au moins savoir que je ne suis pas en recherche d’amitiés, d’attention, ou Dieu sait quoi encore. "J’en ai eu d’autres. Je suis toujours là, est-ce que ça te rassure sur l’idée que je suis capable de le supporter ?" - « Je n’étais pas inquiet. » Et je n’ai de fait pas besoin d’être rassuré sur un quelconque sujet. « Mais tant mieux pour toi. » Il s’agit bien plus d’elle que de moi dans cette histoire, et j’en suis parfaitement conscient.
"Je ne suis pas Saül, Auden." « C’est la meilleure chose qui puisse t’arriver. »
Ne pas être Saül, ne pas totalement marcher dans ses pas, n’avoir de commun avec lui que l’empire qu’il laisse à moitié en ruines derrière lui. Elle sait que je ne cherche pas à lui faire plaisir uniquement pour lui faire plaisir - ou la mettre dans mon lit, pour ce que ça vaut. Je pense chaque mot et, pour une fois, je pèse presque autant mes paroles aussi. "Si tu le penses, et ce avec tout le respect que je dois au lien qui vous unissez, je vais le prendre comme une insulte." J’étire un sourire amusé. Je n’aimerais pas l’avoir en ennemie, c’est un fait, mais je ne reculerais pas non plus pour de simples mots comme ceux-là. « Il n’y a plus de lien, maintenant. » Plus non plus de personne qui devrait se sentir insulté d’un fait ou d’un autre, donc. « Je crois qu’on a fait le tour, on peut au moins se permettre de boire un verre. » Et le mien se lève en moment de trinquer avec elle, sans pour autant attendre en retour qu’elle décide ou non d’allier son geste au mien. Assez parlé de Saül et de sa foutue entreprise pour la soirée.