| (elliot) life is a mosh pit |
| ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640 TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocier DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
(feu charlie) › barbie&ken #6
(feu lily) › alfly #18
›› scenario petit-frère (t. chalamet)
›› scenario antagoniste
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
cf. fiche de liens
AVATAR : Damiano David CRÉDITS : vesperart (avatar) › chelsearph (gif ruben) › summer (gif mavis) › harley (gif cassie) DC : Swann & AudenPSEUDO : Kaelice INSCRIT LE : 28/08/2022 | (#)Lun 20 Mai 2024 - 21:12 | |
| @Elliot Sorensen (abc studio) Le plateau s’est bien passé. Les débats étaient intéressants mais personne n’a cherché à le coincer à un quelconque niveau personnel, ce qui est tout ce qui l’intéresse. Il s’est entraîné toute sa vie pour être capable de débattre et argumenter la tête haute, mais il est bien incapable de rester fier lorsqu’on touche à des pans de sa vie privée, qu’il s’agisse de sa famille ou de la seule raison pour laquelle il a un jour été propulsé en tête d’affiche : l’affaire Williams. Aujourd’hui, cet homme est mort et il nourrit l’impression que la vie reprend peu à peu son cours. Le faux mariage avec Cassie n’aura jamais lieu et il n’est même plus un homme officiellement/officieusement marié, alors il peut agir comme bon lui semble et simplement respirer sans avoir à se demander s’il s’agit d’une bonne idée. Dans ses oreilles, un autre programme radio tourne plutôt qu’une musique qu’il aimerait pourtant bien plus, au fond de lui. Il doit rester informé en continu, il doit savoir ce qui se dit partout. C’est une partie de son travail et il a toujours signé pour ça, tout comme il a toujours su, au fond de lui, que sa passion pour la musique ne resterait justement qu’une passion.
« Pardon. » Il annonce à l’instant même où son épaule percute celle d’un inconnu, sa main se levant dans le même élan pour souligner qu’il est réellement désolé de son inattention. Son regard se pose un instant sur l’inconnu, qu’il n’a aucun mal à reconnaître malgré la volatilité de l’instant. Plutôt que de continuer sa route, Ambrose s’arrête même un instant, les immenses locaux d’ABC se dessinant à un simple mètre derrière lui. Il a à peine eu le temps d’en sortir pour se retrouver sur les immenses rues pavées de l’endroit. « On s’est déjà vus, non ? » La question n’en est pas vraiment une. Il a la mémoire des visages, et il a déjà rencontré celui-ci, au moins brièvement. Il n’a nul besoin de le dévisager des pieds à la tête pour le savoir. « Vous étiez à ABC. Pour... ? » Il n’est pas devin non plus, il doit bien l’avouer. Il connaît cet homme mais simplement de visage, du reste il ne sait rien de sa vie ni même des raisons l’ayant poussé à se trouver à son tour dans les locaux de la chaîne. Ce qui l’étonne, surtout, c’est le hasard les faisant désormais sortir au même moment ou presque. Il nourrit l’impression d’avoir été suivi pendant un instant mais se montre bien plus terre à terre dès l’instant suivant quand, justement, il se rassure en se disant qu’il a vu bien trop de films et que rien ne se passe de cette manière dans la vraie vie. Ils avaient rendez-vous au même endroit pour des raisons différentes et maintenant ils retournent tous deux vaquer à leur quotidien, sans rien de plus étrange ni même réellement intéressant à cela. |
| | | | (#)Mer 22 Mai 2024 - 22:05 | |
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Il ne s'attendait pas à grand-chose donc il n'avait pas forcément été déçu. Avant tout, avoir été invité à ABC studio était un honneur pour Elliot, mais parler de son métier de surveillant était quelque chose d'assez compliqué. S'il avait pu, il aurait préféré parler de son ancien métier, basketteur professionnel pour lequel il s'était sincèrement donné à fond, il fut un temps. Mais les choix de vie qu'il avait choisis ne lui avaient pas permis de continuer ainsi. Cela dit, il avait appris à aimer ce qu'il faisait malgré les aléas peu agréables, les horaires infinis et parfois une violence à laquelle il était confronté, pouvant alors déformer sa propre réalité des choses.
Après avoir terminé l'interview, Elliot était tellement éreinté que son visage ne montrait aucune émotion, seuls des cernes quelque peu violacée s'étaient étendues en dessous de ses yeux. Il s'avança dans les locaux qui lui paraissaient immenses et interminables. Il fut soudainement interrompu à deux pas de la sortie, par une personne qui l'avait quelque peu bousculé, Elliot se retourna toujours avec ce visage pâle et sans émotion "Pardon" il n'avait pas eu le temps de réagir le premier. "ce n'est rien" il finit par enfin s'exprimer après quelques secondes de vide intense qui laissait une atmosphère pesante. Elliot resta quelques instants sur ses pas et observa le jeune homme qui était présent en face de lui. Un air de déjà-vu et un ressenti presque familiale lui parcourait tout le corps, qu'était-ce dont ce sentiment ? " on s'est déjà vus, non ?" qu'il laissa sans réponse. Ses yeux s'étaient écarquillés, quelque chose d'étrange était entrain de se passer. Il n'avait pas su dire s'ils s'étaient déjà rencontrés, il avait laissé la question en suspens. L'inconnu reprit aussitôt "vous étiez à ABC. Pour...?" L'asiatique se reprit et se questionna réellement sur les intentions de cet homme au regard funeste." ce n'était pas vraiment important." qu'il répondit avec froideur, il n'avait pas réellement l'intention de parler plus longtemps avec lui, il avait déjà assez puisé d'énergie en répondant à un tas de questions concernant son métier de surveillant pénitentiaire dans les prisons pour mineurs. Choses qui, étaient assez souvent épuisantes du côté psychologique, bien qu'il ne pouvait pas juger ce pourquoi ces jeunes étaient là. Lui aussi aurait pu finir ainsi, entre son père qui était parti au ciel si tôt dans sa vie de jeune homme, sa mère qui s'était volatilisée avec un autre, laissant seul Elliot à un très jeune âge être automne, et sa mère qui se servait d'excuse d'avoir eu ses enfants hyper tôt, de ce fait, elle n'avait pas pu vivre une jeunesse normale, comme tout le monde. Sans le savoir, il avait toujours été confronté à de la violence autant morale que physique.
Tout comme l'inconnu, Elliot tourna lui tourna et le dos et était entrain de chercher la sortie, lorsque soudain... Comme un flash, ou bien le destin... Il s'était souvenu, en seulement deux pas de souris. C'était comme si son cerveau voulait lui dire quelque chose... "si, je me souviens..." il hocha la tête en direction du jeune homme " La péniche...?" il avait hésité de longues secondes avant de le dire, de peur de raviver quelque chose de douloureux et de heurter sa sensibilité. Il se souvenait de ce jour comme si c'était hier... Finalement. Seulement, cela s'était enfoui dans un coin lointain de sa tête et il ne fallait que quelques détails pour que cette étincelle douloureuse se ravive. Cette dispute avait été tellement violente qu'il en avait été presque touché. Alors qu'il se baladait simplement, Elliot avait pu assister à quelque chose de terrible, alors qu'il venait d'arriver à Brisbane, il ne connaissait pas encore les coins en ce temps-là et en avait donc profité pour visiter. Et toute cette scène c'était vraiment quelque chose... Que même son métier ne lui avait pas posé autant de difficultés. Il avait été seulement spectateur de cela, regardant du coin de l'œil et se sentant impuissant.
Il se gratta le haut du crâne, quelque peu mal à l'aise, ses pupilles marron quasiment noires étaient grandes ouvertes comme deux billes qui se percutaient l'une et l'autre. Il ne savait pas trop s'il avait dit quelque chose qu'il ne fallait pas. Mais bon, après tout, il n'attendait pas grand-chose de cet inconnu ni de cette rencontre. Comme il en avait tant d'autres à chaque fois, tout était assez ordinaire et ça se finissait par un au revoir sans lendemain.
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| | | ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640 TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocier DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
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amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
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AVATAR : Damiano David CRÉDITS : vesperart (avatar) › chelsearph (gif ruben) › summer (gif mavis) › harley (gif cassie) DC : Swann & AudenPSEUDO : Kaelice INSCRIT LE : 28/08/2022 | (#)Sam 25 Mai 2024 - 10:01 | |
| « Ce n'était pas vraiment important. » Ambrose s’arrête avec une certaine surprise sur la réponse de l’inconnu. Il ne comprend sincèrement pas comment une visite dans les locaux de la première chaîne de télévision du pays peut être sans importance, raison pour laquelle il s’attarde un instant de plus sur l’inconnu face à lui, lequel se retrouve sans doute dévisagé plus qu’il ne l’aurait voulu ou même pensé. Il n’y a rien à redire face à une telle réponse, et si Ambrose comprend bien qu’il semble esquiver le sujet, il n’a à sa disposition aucun moyen de gratter davantage la surface sans mettre à mal sa propre image. Si l’homme ne veut pas en dévoiler davantage sur sa personne, il serait malvenu de lui forcer la main, raison pour laquelle le brun se retourne malgré lui à son tour, prêt à reprendre son chemin tout en continuant tout de même à se triturer les méninges.
Ambrose n’a pourtant pas le temps de faire beaucoup de pas avant d’entendre à nouveau la voix de l’inconnu, dont il reconnaît le timbre simplement parce qu’il l’a entendue il y a bien trop peu de temps pour avoir pu l’oublier. « Si, je me souviens… » Le politicien se retourne, sincèrement curieux et sans doute aussi plein d’espoir à l’idée de découvrir la solution à une question dont il ne connaissait même pas l’existence il y a quelques minutes de ça. « La péniche...? » Il a besoin de toute son expérience et son entraînement médiatique pour ne pas jurer face à l’inconnu. De tout ce qu’il aurait pu lui répondre, la péniche est bien loin de tout ce à quoi il aurait pu s’attendre, ce qui signifie aussi que ce n’est pas le moins du monde un point sur lequel il a pu s’entraîner à répondre, et pas même à réagir. Après une seconde qui était déjà un temps de réaction bien trop long, le brun sourit mécaniquement, faussement poliment. « Non, je pense que vous faites erreur. » Et s’il n’avait pas lui-même été sur une péniche, à se faire remarquer par la faute de Ruben et James, alors il aurait réellement pensé que l’inconnu face à lui se trompait de personnes. Pourtant, le seul mot-clé est bien trop précis pour qu’il puisse penser un instant à une coïncidence. Il se souvient parfaitement de ce jour où il a repris contact avec Ruben et n’a jamais cessé d’envahir les messages de son téléphone depuis ce temps, à grappiller la moindre attention possible de sa part, sans même parler de ses baisers et de son amour-qui-n’est-pas-de-l’amour. « Mais j’ai entendu dire qu’il y avait de très bon bars sur les péniches. » Il reprend avec un sourire plus affirmé, plus confiant aussi. Changer de sujet est sans doute son seul espoir, là où simplement fuir le terrain ne serait qu’une preuve de sa culpabilité - quand bien même il n’y a aucune culpabilité d’aucun côté. Il brouille d’autant plus les pistes que la bagarre entre son frère et Ruben ne s’est pas passée sur une péniche bar mais bien à l’occasion d’une soirée particulière, ce qui fait de lui l’ingénu qui ne sait pas ce à quoi il fait référence. Et avec un peu de chance, au final, ils ne font pas référence à la même chose. « De bons souvenirs sur des péniches, alors, j'ose espérer ? » Il déteste l’idée de ne pas simplement pouvoir laisser l’inconnu là avec ses idées à étouffer dans l'œuf, mais ce sont les faits. |
| | | | (#)Dim 26 Mai 2024 - 17:42 | |
| Si Elliot n'avait pas désiré en dire plus concernant son invitation, c'était tout simplement car il ne ressentait guère le besoin de se justifier, en tout cas, rien de personnel là-dedans. Il avait déjà pas mal appréhendé cette journée, il avait préparé un tas de réponses, ce n'était donc pas forcément le bon moment. Même si Elliot avait regretté sa réponse assez froide, il était cependant bien trop tard pour se rattraper, l'asiatique senti un froid glacial lui parcourir le corps , l’atmosphère se faisait de plus en plus pesante, ce qui le laissa assez perplexe et ce qui allait suivre n'allait pas arranger les choses.
Après s'être de nouveau retourné face à lui, le jeune homme sentit un regard noir, suivi d'un sourire presque sarcastique, et ce qu'il ressentait à ce moment précis était assez indescriptible. ” Je vois, j'imagine que vous avez raison. ” Elliot ne voulait pas creuser un peu plus, car il sentait que ce n'était pas quelque chose dont il fallait réellement parler et même s'il avait vraiment fait l'erreur de le confondre avec une autre personne. Pourquoi alors Elliot sentait que ses paroles toucher un point sensible jusqu'à deviner une rage intérieure? ” J'ai dû vous confondre avec quelqu'un d'autre. Je suis à Brisbane depuis deux ans, et votre question m’a ravivé quelques souvenirs qui m'ont marqué lorsque je venais de poser un pied-à-terre sur Brisbane, navré si je vous ai offensé… ” il finit en clôturant ses yeux, sincèrement désolé pour ce malencontreux ”accident” et les rouvrit quelques secondes après. Mais il était toujours face à cet inconnu qui avait d'ailleurs changé de sujet rapidement après tout ça. Elliot n'arrivait plus à faire le rapprochement entre sa question précédente et celle-ci. Preuve que finalement, il n'avait pas tout à fait tort mais chercher à savoir davantage creuserait d'autant plus sa tombe alors, il s'était contenté de lui répondre le plus calmement possible car bizarrement, le jeune homme sentait que ça pouvait dégénérer n'importe quand. Enfin, il n'était pas devin mais son ressenti et le regard qu'il avait... C'était quelque chose d'assez compliqué à expliquer… Elliot voulait se faire petit. ” Il me semble que oui, j'y suis allé quelques fois pour faire plaisir à des amis , et parfois j'aime juste passer devant en souvenir de bons moments passés là-bas” totalement incertain, Elliot lui confia tout cela, c'était simplement pour libérer cette pression qu'il avait depuis tout à l'heure et pas seulement à cause de cet homme. Sur un timbre de voix plus affirmé, Elliot reprit ” de bons souvenirs plus ou moins. Disons qu'il y a eu des moments ou je me suis demandé si je devais intervenir ou non. Parfois je ne décroche pas assez de mon travail et j'en viens à me demander si je n'aurai pas dû faire autrement” il lui répondit de manière sincère, bien qu'un peu nerveux de lui avoir fait part de tout ça, il se gratta de nouveau l'arrière de son crâne. Tous ces souvenirs lui ravivaient des regrets de ne pas être intervenu. En général, il essayait souvent de dissocier son taff et sa vie personnelle mais lorsqu'une dispute violente était sur le point d’éclater, le jeune surveillant ne pouvait s'empêcher de se mêler de ce qui ne le regardait pas. Il avait notamment eu de l'entraînement de self-défense sinon il y aurait longtemps qu'il ne serait plus ici même. Et ses connaissances, il ne voulait pas s'en servir en dépit de son travail. Malheureusement, il n'avait pas souvent le choix. Et tout ça le hantait. Quelques gouttes de sueurs dégoulinaient sur son visage au teint blafard, il ne savait pas jusqu'où cette discussion aller mener , mais Elliot ne pouvait s'empêcher de se montrer curieux. Tout ça était bizarre. Il attendait sagement les reponses de l’inconnu. Il n’y avait aucun bruit dans les couloirs , seuls les bruits de respiration se faisaient entendre, l'ambiance était de plus en plus tendue à son plus grand regret. |
| | | ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640 TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocier DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
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| L’attitude d’Ambrose change du tout au tout à la seconde où il est mention de la péniche et, par extension, à la seconde où il comprend lui-même ce dont il est justement question. S’il l’a rencontré sur la péniche, alors il a sûrement eu vent de ce qu’il s’est passé entre Ruben et James, ce qui n’est en rien pour arranger son attitude face à l’inconnu. “Je vois, j'imagine que vous avez raison.” Dans la situation dans laquelle ils sont, il ne se risquera pas à laisser le bénéfice du doute à l’homme face à lui, même pour le rassurer ou l’aider à se sentir un brin moins coupable. Il vaut mieux qu’il ne se doute de rien, absolument rien. “[...] navré si je vous ai offensé… ” - « Il n’y a pas de mal. » Et s’il n’y a pas de mal à ses yeux de le laisser avec des informations contradictoires, Ambrose ne souhaite pas le laisser avec l’impression qu’il ext vexé, en colère, ou Dieu sait quel autre sentiment encore. Ce n’est pas tant pour apaiser les possibles remords de l’homme face à lui mais surtout pour qu’il n’ait aucune raison de se questionner sur la raison même de l’existence de ces derniers, justement.
L’inconnu a au moins le coeur à répondre aux questions de plus jeune et s’épancher sur ses souvenirs en lien avec la péniche, ce qui est une nouvelle discussion à laquelle Ambrose se raccroche avec coeur : ils changent de sujet, ils s’éloignent de tout ce qui fâche et, ma foi, il apprend à connaître un inconnu qui ne lui est pas antipathique outre mesure. “De bons souvenirs plus ou moins. Disons qu'il y a eu des moments ou je me suis demandé si je devais intervenir ou non. Parfois je ne décroche pas assez de mon travail et j'en viens à me demander si je n'aurai pas dû faire autrement” Et parfois, Ambrose a de son côté l’impression que l’univers n’arrête pas de se moquer de lui et surtout de lui jouer des tours. Il embraye sur le seul point de son affirmation qui ne risque pas de devenir une impasse pour lui. « Quel métier ? » Il demande alors avec curiosité, ne pouvant pas le deviner à la simple vue d’un inconnu, même s’il est bien souvent à associer les costumes à un travail de bureau et tout autre indice pouvant faire de lui un mentaliste de bas niveau - ça a au moins le mérite d’être amusant. « Je suis sûr que c’était rien de grave, il ne faut pas s’en faire. » Ruben est passé par la case hôpital, certes, mais il n’a rien de cassé et pas même son joli minois. Aujourd’hui, à part se plaindre régulièrement de cette histoire, il n’en tient aucune séquelle. Même Ambrose a fini par pardonner à son aîné pour son excès de zèle, il pense donc plus que jamais que ce n’est pas à un inconnu de se mêler. « Il vaut souvent mieux se mêler de nos propres affaires, je crois qu’on nous rend assez mal l’inverse. » Dans le cas présent tout particulièrement, Ambrose sait de source sûre qu’il le lui rendrait mal : les histoires de coeur restent sa vie privée, les histoires de famille sont d’autant plus privées encore. Le reste ne regarde toujours pas les inconnus. « Et puis on a tendance à s’en faire pour rien quand on ne connaît pas le contexte, pas vrai ? » Une fois n'est pas coutume, la question n'est que rhétorique. |
| | | | (#)Lun 17 Juin 2024 - 21:56 | |
| tw : - Spoiler:
mentions obésité et harcèlement. C’était assez bizarre comment l'atmosphère avait changée lorsque l’asiatique avait prononcé le mot “péniche” et même s’il se questionnait sur ce passage qui semblait être quelque chose d’assez intriguant à ses yeux, il ne cherchait guère à en savoir plus. L’idée de créer des problèmes là maintenant n’était pas vraiment quelque chose de très optimal pour sa carrière et le but n’était pas non plus de s’immiscer dans la vie personnelle des inconnus. Elliot se rendit bien compte qu’il avait été maladroit et qu’il devait désormais faire attention aux moindres mots. Bon, en général, il était assez prudent sur son lieu de travail car il savait pertinemment que le moindre geste malencontreux pouvait être interprété comme étant “persécuteur” alors peut-être qu’il l’avait été envers l’inconnu qui était en face de lui. il en était presque désolé. Il souffla d'exaspération et ne put s’empêcher de rouler des yeux. “ Je vous remercie de ne pas avoir tenu rigueur de mes propos précédents.” il se racla la gorge, un brin nerveux, ne sachant pas réellement quelle attitude adopter avec le jeune homme.
Les deux hommes se regardèrent sans vraiment comprendre ce qu’il se passe, ou du moins, c’est ce que ça donnait comme impression. Elliot n’était toujours pas très à l’aise, il ne savait absolument pas comment partir de là bien qu’il avait engagé une énième conversation, suite à cela, l’inconnu lui demanda quel métier il pratiquait. Mais, que dire…? Elliot était une personne assez discrète et renfermée et il n’aimait pas trop étaler son métier, il avait peur des jugements et souvent les gens n’avaient pas forcément confiance en ses capacités alors que l’asiatique avait quand même suivi des cours de sel-défense et ne pas oublier également qu’il avait été harcelé par le passé, à l’école parce qu’il était obèse. Alors, il n’avait eu d’autre choix que de trouver un moyen de se défendre. “ Je suis… Je suis un simple surveillant pénitentiaire" qu’il bafouilla de peu, hésitant alors à chaque mot.. La peur l'envahissait. “ Je surveille des jeunes dans les prisons pour mineurs. Et j’avoue que ce n’est jamais simple, et vous, si puis-je me permettre?” il détourna le regard et de nervosité, il gratta la paume de sa main, une manière pour lui d’évacuer tout ce malaise.
Même si Elliot aurait aimé en savoir plus sur cette histoire encore mystérieuse à ses yeux, il ne pouvait pas se permettre de poser davantage de questions et la phrase prononcée par l’inconnu en disait long “C’est vrai. Et ça paraît simple dit ainsi mais je suis une personne qui est assez altruiste et qui n’arrive pas à passer outre lorsque quelque chose de grave se produit. Je pense surtout à une déformation professionnelle. ” un petit rire s’échappa d'entre ses lèvres mais c’était pas vraiment quelque chose de joyeux, c’était plutôt pour tenter de toujours évacuer tout ce qui le titillait depuis tout à l’heure, soit, le stress.
“En soi je suis d’accord, mais il y a des choses qui vous marquent sans savoir pourquoi. Et puis une fois rentré chez vous, vous vous refaites le scénario cent fois dans la tête en vous posant un milliard de questions, et vous vous demandez si vous avez le bon choix ! Vous n’avez jamais eu cette sensation de vôtre côté ?” il vint ancrer ses deux grosses billes noires dans les iris du jeune homme. Il ne savait pas vraiment à quoi il jouait, mais Elliot ne pouvait se résigner à rester là sans rien faire. Il sentait bien que quelque chose n’allait pas, même si ça ne le regardait pas et qu’il allait sûrement se brûler les ailes, pouvait-il vraiment rester sans rien faire? De plus, un retour en arrière était désormais impossible, Elliot était comme pris au piège et c’était comme s' il attendait que le compte à rebours soit à zéro. |
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