ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
You have to promise not to tell anyone. Secrets seem to find their way out the dark all the time. The dirty details that you never want brought to the light. If I tell you mine, then know that I'm walking the line I can't say too much, I'm facin' the edge of a knife
Pour un homme qui avait voyagé dans le monde entier grâce à sa carrière, Sergio était devenu relativement sédentaire ces deux dernières années. Il n’était plus autant sur le dos de ses talents à les suivre n’importe où pour leurs activités promotionnelles ou pour les invitations aux événements. Ce n’était pas pour autant qu’il ne supervisait pas, au contraire, il était au courant d’absolument tout. Mais il avait dû apprendre à déléguer pour en échange avoir plus de temps libre à Brisbane. C’était la contrepartie de vouloir s’occuper de ses enfants. Parfois, cela le confortait dans l’idée qu’il n’aurait jamais pu avoir une telle carrière s’il était resté. Pendant des années, cette réalité avait été réconfortante. Aujourd’hui, plus tellement. Quoiqu’il en soit, la semaine passée avait été l’exception. L’un des jeunes acteurs dont il s’occupait devait assister à l’avant-première de son dernier film à New-York. Il avait su attirer l’attention et pas un mais deux producteurs avaient demandé à le rencontrer pour des propositions de contrats. Cela pouvait être soit un jackpot, soit une perte de temps absolue. Dans les deux cas, Sergio avait décidé de se déplacer en personne, abandonnant l’Australie un peu à la dernière minute. La visite sur le sol américain n’avait pas été vaine ; l’avant-première avait été un succès, les soirées privées qui avaient suivi lui avaient permis de nouer quelques nouveaux contacts, il avait pu passer un peu de temps avec quelques fréquentations qu’il n’avait pas vu depuis un moment, signer un contrat potentiellement intéressant, et même faire un peu de tourisme sur le temps qui lui restait. En somme, c’était un homme épuisé, jetlagué mais satisfait qui était revenu à Brisbane. Il avait immédiatement sauté dans un taxi à l’aéroport pour rentrer chez lui où dans le jardin, il eut droit à une fête d’enfer de la part de sa chienne et, dans une certaine mesure, de Tulum. En son absence, il avait demandé à Diego de s’occuper du doberman en s’installant dans la maison quelques jours, un service qui lui avait tiré une sacrée épine du pied. Il ne faisait pas confiance à n’importe qui pour s’occuper de sa chienne, qu’il considérait un peu comme sa fille. Une mauvaise distribution des priorités certainement car au bout de plusieurs minutes accroupi à caresser l’animal, il vit la porte d’entrée s’ouvrir sur Diego. Le patriarche lui fit un signe de la main et se résigna finalement à se lever pour tirer son bagage jusqu’au porche. « Bonjour Diego. Désolé, je ne savais pas si tu serais là où à l’hôpital. » Il entra chez lui, déposa ses affaires dans le coin de l’entrée. Bien que généralement maniaque, il était trop épuisé pour avoir envie de ranger quoique ce soit maintenant. « Merci encore d’être resté ici. Tout s’est bien passé ? » Il retira sa veste qu’il déposa sur le porte-manteau. Un coup d’œil sur l’horloge du salon lui indiqua qu’il était presque 19h. Il avait passé les dernières 26h soit dans un avion, soit en escale. Son cœur balançait sincèrement entre son lit, sa salle de bain ou sa cuisine. Mais au point où il en était, il se voyait mal abandonner Diego immédiatement, et la fatigue accumulée serait une bonne chose pour l’aider à retrouver son rythme. 14h de décalage horaire, ce n’était pas rien. « Est-ce que tu veux rester dîner ? Je connais un restaurant grec qui livre et fait des spanakópita fabuleuses. » Même si dans les faits, n’importe quel menu lui conviendrait dès lors que ce n’était pas frit.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Dernière édition par Sergio Gutiérrez le Lun 24 Juin 2024 - 17:28, édité 1 fois
Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Il y avait quelque chose d’extrêmement ironique à se prélasser dans le canapé de Sergio avec sa chienne et Tulum après une longue journée de travail, en sachant pertinemment qu’il n’aurait probablement plus aucun droit d’être chez lui s’il était au fait des derniers événements dans la vie de son fils. Malgré cette pensée qui ne le quittait pas, Diego profitait de ce lieu dénué de tous liens avec ce qui le contrariait actuellement sans pour autant y voir un quelconque refuge. L’idée qu’il s’y sente bien signifiait à quel point sa vie avait pris un tournant ridiculement dramatique, et il s’était ainsi décidé à tenter de donner un ton plus positif à tout cela. Il n’avait pas mis longtemps avant de prendre ses marques chez Sergio, où il avait déjà posé ses valises le temps que l'électricité soit rétablie chez lui après la tempête. Puisqu’il était absent, les choses auraient dû être encore plus évidentes, et pourtant, il ne se sentait que peu légitime à évoluer dans un endroit qui n’avait de cesse de lui rappeler les faux pas de son père. Le médecin n’avait pas cherché lorsqu’il avait posé les yeux sur un papier négligemment posé et c’était en prenant conscience de l’en-tête qu’il avait mis toutes les valeurs qu’on lui avait inculquées de côté. De l’index, il avait surélevé le papier pour lire le résultat du test et prendre conscience du drame qui avait été créé sur des bases infondées. Une enième preuve pour lui qu’il pouvait décider d’arrêter d’en subir un supplémentaire. Et si sa découverte aurait pu s’arrêter là, le papier surélevé avait laissé l’opportunité à Diego d’entrevoir des lettres en caractère gras - injonction d’éloignement. Et c’était avec le sentiment d’avoir triché, d’avoir une nouvelle fois mal agi, qu’il avait passé les derniers jours de son séjour à attendre le retour de Sergio.
Il avait eu du temps pour penser à ce qu’il lui dirait, mais au moment où sa silhouette était apparue dans le jardin, aucun des scénarios imaginés ne semblait adapté. « Bonjour Diego. Désolé, je ne savais pas si tu serais là où à l’hôpital. » « J’avais ton heure d’atterissage en tête alors j’ai essayé de rentrer à temps. » avait-il commencé avec un sourire qu’il n’avait plus eu envers son père depuis longtemps. Il n’était pas hypocrite et destiné à prétendre que tout allait bien, il était sincère, parce que malgré le pétrin dans lequel Diego s’était mis, il était soulagé de voir que cette histoire allait prendre fin. Si Sergio réussissait à expliquer le reste des documents qu’il avait vu. « Et je crois que tu as plus manqué à Etna, sans vouloir t’offenser… » Son rire était venu appuyer la plaisanterie alors qu’il était évident que la réaction de la chienne était bien plus enthousiaste que celle de Diego qui, finalement, n’aurait vu aucun inconvénient à fuir son appartement encore quelques temps. « Merci encore d’être resté ici. Tout s’est bien passé ? » Pour les chiens ? Oui. Pour le séjour ? Egalement. Mais son visage trahissait probablement déjà ces pointes de culpabilité et de curiosité que Diego avait dû réfréner depuis plusieurs jours déjà. Il n’avait eu de cesse de se dire que quelqu’un d’aussi méticuleux que Sergio n’aurait pas laissé des documents aussi importants sur un meuble s’il n’avait pas voulu qu’ils soient découverts. Pourtant, cette idée ne réussissait pas à calmer la nervosité que ressentait le fils face à son père. « Est-ce que tu veux rester dîner ? Je connais un restaurant grec qui livre et fait des spanakópita fabuleuses. » « Allez mais je rentre directement après manger alors, je pense qu’on à tous les deux besoins de repos. » Sergio un peu plus que lui, probablement, mais il ne pouvait pas réellement refuser l’invitation de son père alors qu’il devait absolument aborder un point avec lui. Son regard ne cessait de retourner à ce meuble où gisaient encore les papiers et il s’était râclé la gorge. « Alors ce voyage ? Tout s’est passé comme tu veux ? » Rien n’était naturel dans cette question dont la réponse lui importait pourtant mais s’il avait l’habitude de crever l’abcès le plus vite possible avec les autres, l’exercice était bien plus difficile avec l’homme d’affaires.
always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove
Dernière édition par Diego Gutiérrez le Mer 7 Aoû 2024 - 10:55, édité 1 fois
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
You have to promise not to tell anyone. Secrets seem to find their way out the dark all the time. The dirty details that you never want brought to the light. If I tell you mine, then know that I'm walking the line I can't say too much, I'm facin' the edge of a knife
Sergio ne se souvenait pas de la dernière fois où il était rentré d’un voyage d’affaire avec quelqu’un d’autre qu’Etna pour l’accueillir. Il devait bien admettre apprécier la présence de son fils et le service rendu, même si la fatigue accumulée n’inspirait pas forcément les longues discussions. Le fait que Diego ait même fait un effort supplémentaire pour être rentré à temps lui faisait bien plus plaisir qu’il ne pourrait l’exprimer. « Je suis content de voir que tu as moins de mal à quitter l’hôpital. » Il ne savait pas si Diego était sortie de sa période compliquée avec son travail, de cette sensation de culpabilité et de perte de repères qui avaient suivis la disparition de Maria. Mais pendant un temps, il lui semblait que son fils vivait uniquement pour son travail, chose qui n’était vraiment pas rassurante. Il fallait croire que la vie avait repris son rythme et que, dans un tour du sort inattendu, cela menait à la maison du paternel. Etna, sans aucun doute, était la plus heureuse de ces retrouvailles. Sergio eut un léger rire en finissant de gratter la tête de sa chienne. « Je ne suis pas offensé, c’est probablement vrai. Si ce n’est pas la même chose quand tu rentres auprès de Tulum, c’est que tu fais quelque chose à l’envers. » Les chiens avaient cette loyauté et cet amour inconditionnel pour leur maître qui les rendaient étrangement irremplaçables. La preuve était que du temps où il vivait dans la maison familiale, il aurait presque soupçonné Maritza d’avoir fini par s’attacher au doberman. Dieu sait que ce n’était pas gagné vu son amour pour les chiens. Il n’avait pas de preuves. Ce n’était pas comme si son ex-femme lui avait un jour reparlé de l’animal. Le sujet était tabou depuis qu’Alejandro s’était mis à réclamer un chien, lui aussi. La pensée quitta rapidement l’esprit du patriarche alors qu’il retrouvait son salon, se délestant enfin de ses affaires pour se concentrer sur les priorités du moment : un repas avant de se payer le luxe d’une douche et d’un sommeil jetlagué. Les quelques heures de sommeil dans l’avion n’avaient pas suffi à lui offrir un regain d’énergie. Le besoin de repos, au vu de leurs têtes, le fit doucement sourire. « C’est un euphémisme. » Lui était déjà sur son téléphone à parcourir la page du restaurant, remplissant le panier des options familières qui pourraient ravir les papilles ce soir. Il ne se souciait pas de trop commander, pas fâché à l’idée d’avoir des restes dans le frigo pour le lendemain. Il releva juste les yeux sur Diego pour lui répondre. « C’était intensif mais pour les bonnes raisons. Je suis content d’être rentré quand même. » Il n’avait décidément plus la fougue de la jeunesse ou la capacité de récupération. Comme si ces dernières années l’avaient rendu quelque peu sédentaire. Il ne se plaignait pas d’enfin avoir droit à tout ce qu’il avait raté pendant deux décennies, ceci dit. Quoiqu’il en soit, il n’assommerait pas Diego avec les détails de son voyage, de ce qu’il avait fait, de ce qu’il avait vu. Mais quelque chose dans l’air de son fils l’interpella. Il y avait cette sorte de malaise palpable, comme s’il tournait autour du pot avant d’oser entrer dans le vif du sujet. « Je sais que ce n’était que quelques jours mais connaissant cette famille, rassure moi, je n’ai rien raté durant cette absence ? » Il le prenait sur un ton léger, mais sa curiosité était désormais piquée au vif, tous les scénarios possibles.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Ses émotions divergeaient, il serait mentir de dire qu’il n’était pas un minimum content de voir son père sur des bases un peu plus solides qu’elles n’avaient pu l’être. Mais il était surtout nerveux à l’idée de pouvoir briser le peu de complicité qu’ils avaient réussi à insuffler dans leur relation mais malgré tout, l’option de mentir n’était pas envisageable. Parce qu’il ne voulait plus de mensonges et qu’il ne savait de toute façon pas mentir, pas à son père. « Je suis content de voir que tu as moins de mal à quitter l’hôpital. » « Je peux pas te dire que ça deviendra une habitude. » Il l’avait fait pour accueillir Sergio qui, il le savait, aimait que les choses soient précises et qu’il aurait à cœur que ses clés lui soient rendues au plus vite. Il avait aussi profité de l’opportunité de ne pas traîner plus que de raison dans son bureau, c’était une certitude, il avait besoin de se ménager mais il savait qu’il lui serait impossible de toujours couper court à ses journées compte tenu des cas qu’il traitait en ce moment. Et au final, l’idée ne lui faisait plus aussi peur qu’avant. « Je ne suis pas offensé, c’est probablement vrai. Si ce n’est pas la même chose quand tu rentres auprès de Tulum, c’est que tu fais quelque chose à l’envers. » Il ne savait pas dans quel sens il faisait les choses mais il faisait de son mieux, depuis que l’animal était arrivé dans sa vie sans qu’il n’ait pu s’y préparer. Mais il ne regrettait jamais d’avoir sa présence lorsqu’il rentrait et de le voir venir doucement vers lui lorsqu’il craquait parfois, seul à l’appartement. Sans le savoir et sans en avoir la volonté, Cesar lui avait apporté quelque chose d’extrêmement bénéfique. Mais malgré toute leur bonne volonté, les chiens ne pouvaient rien contre la fatigue de leurs maîtres. « C’est un euphémisme. » Diego se sentait presque coupable de se mettre sur un pied d’égalité avec son père : il avait les heures de vol et le jet lag et de nombreuses années de profession pour prouver que son fils n’était pas le plus à plaindre. Mais Sergio, ironiquement compte tenu de leur relation encore fragile, était le seul qui savait à quel point Diego pouvait être fatigué - physiquement et mentalement. Ce dernier s’était cependant intéressé au voyage de son père, comme pour tenter toujours un peu plus de lui rendre l’humanité qu’il avait perdu à ses yeux au fil des années d’absence mais aussi et surtout pour comprendre comment lui indiquer ce qu’il avait découvert. « C’était intensif mais pour les bonnes raisons. Je suis content d’être rentré quand même. » Son sourire était de ceux que l’on utilisait pour dissimuler une gène et qui étaient lancés sans la moindre conviction. « Je sais que ce n’était que quelques jours mais connaissant cette famille, rassure moi, je n’ai rien raté durant cette absence ? » Malgré le fossé qui s’était creusé entre eux, Sergio avait gardé certaines habitudes qu’un fils connaissait mieux que personne. Son ton avait changé, son intonation et son regard l’invitant à lui exposer ce qu’il était en train de cacher. Il en était sûr, parce qu’il l’avait fait à de nombreuses reprises lorsqu’il était encore un enfant et c’était probablement ses souvenirs les plus enfouis qui ressurgissaient. « Non, non, rien. » Il avait caché sa bouche avec son poing pour tousser légèrement et venir s’appuyer sur le meuble où trônaient les fameux documents. « T’as juste reçu du courrier et je l’ai posé là. » Sur des papiers déjà présents. Visibles. Son regard avait croisé celui de son père et il avait pu voir qu’il s’était assombri alors il s’était comporté comme il aurait voulu qu’il le fasse, avec tout le courage que pouvait montrer un Gutiérrez. « Je suis désolé, j’ai pas cherché, j’ai simplement vu. Tu comptais nous le dire, que c’était négatif ? » Il avait anticipé sa demande et l’avait devancé avec une question claire et précise qu’il était en droit de demander. Pour le reste, Sergio choisirait comme à son habitude ce qu’il souhaitait partager ou non avec son fils.
always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
You have to promise not to tell anyone. Secrets seem to find their way out the dark all the time. The dirty details that you never want brought to the light. If I tell you mine, then know that I'm walking the line I can't say too much, I'm facin' the edge of a knife
Ce n’était qu’une discussion lambda pour rattraper les événements de ces derniers jours mais malgré la fatigue et l’envie pressante d’aller se coucher, Sergio appréciait ce moment. Que Diego ait fait l’effort de rentrer ce soir, qu’il ait accepté de garder la maison et Etna, et qu’il se lance volontiers dans la conversation représentaient beaucoup pour le patriarche. Cela avait presque un goût de normalité et lui donnait une raison supplémentaire de rester à Brisbane plutôt que de repartir dans ses voyages d’affaires. Il avait l’impression d’avoir fait les bons choix récemment, ainsi que les bons sacrifices. Malheureusement, cette sensation de légèreté et la satisfaction d’être de retour à la maison ne durèrent pas longtemps. Il sentait Diego tendu, un peu mal à l’aise, et si ce n’était pas une nouvelle affaire familiale, alors les options n’étaient pas réjouissantes. Le suspense ne dura pas bien longtemps. L’agent pouvait sentir que les mots brûlaient les lèvres de son fils et il n’y eut qu’à suivre son langage corporel pour deviner où il voulait en venir. Il y avait des documents sur le meuble, des enveloppes fermées. Mais Sergio reconnut immédiatement l’en-tête de la feuille dessous pour se rappeler de quoi il s’agissait. « Hum. » Son air s’assombrit quelque peu. Il n’avait pas envie de gérer cette affaire. Son avocat était sur le coup, et les derniers jours sur un autre continent avaient contribué à changer les idées de l’homme. Malheureusement, c’était la réalité qui l’attendait ici. Il n’était pas en colère ou quoique ce soit. L’éreintement prit juste une tout autre tournure. Il soupira, se frotta le visage. Il aurait pu tout balayer d’un revers de la main mais il faudrait enfin donner des réponses. « Oui. C’était prévu. J’avais juste besoin de régler certaines choses avant. » Il faisait allusion à l’injonction d’éloignement mais surtout au procès qui pendrait au nez du gamin indésirable si jamais il osait se repointer. Son licenciement était presque complété pour grave faute professionnelle, les accords de confidentialité en béton armé parés pour la signature. En d’autres termes, Sergio attendait que la nuisance soit pieds et poings liés avant de bouger. Des documents dans la pile trahissaient cette décision mais il était prudent, incertain de ce que Diego avait lu ou non. « Je sais que je n’aurais pas dû traîner mais si je dois être honnête… j’apprécie le calme. » Le conflit le jour de la tempête l’avait drainé. Tourner les talons, quitter la maison familiale pour rentrer chez lui, la tension qui subsistait depuis. Sergio avait été bien plus blessé qu’il ne voudrait l’admettre et il n’était pas prêt à se mettre face à l’évidence que la vérité pourrait ne rien changer. « Et même si Logan a menti sur toute la ligne, il y a certaines paroles qui ne peuvent pas être retirées. » L’insinuation était claire. Maritza comme les enfants avaient laissé savoir ce qu’ils pensaient de lui ce jour-là. Il y avait un fond de vérité qui ne pourrait jamais être oublié. Surmonté, peut-être, avec un peu de temps. Sergio accusait encore le coup de cette rupture familiale qu’il n’avait cette fois pas demandé. Il pouvait voir sur le visage de Diego que ses mots ne le satisfaisaient pas totalement, ce qui arracha un soupir las au patriarche. « J’imagine que tu as vu le reste ? »
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Il aurait probablement été davantage nerveux si un positif en caractères gras avait été la première chose qu’il avait vue. A la place, c’était un négatif ou la promesse d’un peu plus de tranquillité pour une famille déjà énormément chamboulée. Il l’espérait, car il cherchait encore à anticiper les réactions d’un père qui l’avait déjà trop surpris par le passé. « Hum. » A ce moment, il aurait plutôt imaginé qu’il exploserait de constater que Diego avait été un peu trop curieux, ne se contentant pas de croire qu’il avait simplement posé les yeux sur ce papier par négligence. Mais si son regard était devenu noir, Sergio était resté relativement calme et ce même lorsqu’il l’avait mis devant le fait accompli. Quand il avait posé la question qui fâchait, celle qui cherchait à comprendre s’il comptait briser le silence un jour ou l’autre. « Oui. C’était prévu. J’avais juste besoin de régler certaines choses avant. » Il n’était pas du genre à faire les choses à moitié, et encore une fois, Diego se surprenait à prendre en pitié ce gamin perdu qui avait été assez fou pour penser qu’il était un Gutiérrez. Il faisait déjà parti du passé pour Sergio qui l’avait probablement même déjà supprimé de sa mémoire, là où Diego aurait besoin d’un peu plus de temps pour comprendre ce qu’il venait de se passer. « Je sais que je n’aurais pas dû traîner mais si je dois être honnête… j’apprécie le calme. » Son rire l’avait surpris lui-même alors qu’il avait réagi en un réflexe nerveux, s’étonnant d’être sur la même longueur d’ondes que Sergio sur ce point. Il y avait eu trop de problèmes, les uns s’enchaînant après les autres à une vitesse qui en aurait donné le tournis à quiconque était extérieur à cette famille chaotique. Si son père acceptait qu’il ait fouiné, il pouvait accepter qu’il se soit accordé du temps sur un sujet aussi sensible et il était bien plus disposé à rester calme maintenant qu’il était sûr qu’une autre erreur du passé n’allait pas leur revenir en plein visage. « Et même si Logan a menti sur toute la ligne, il y a certaines paroles qui ne peuvent pas être retirées. » Il aurait sûrement indiqué qu’il était désolé, mais il était bon pour ce père absent de comprendre le mal qu’il avait causé tout autour de lui. Un revers de la médaille qui ne frappait que lui, laissant les autres Gutiérrez à l’abri. Il ne jubilait pas, même s’il était satisfait de la tournure des événements. « J’imagine que tu as vu le reste ? » « J’ai vu. Je suis pas convaincu qu’il était nécessaire d’arriver jusque là. » Il avait haussé ses épaules pour indiquer qu’il exprimait un point de vue sur lequel il ne valait mieux pas s’attarder : ils étaient tous les deux épuisés. « C’est l’issue que tout le monde préférait, j’aurais pensé que tu t’empresserais de clore le dossier. » Apporter une bonne nouvelle après qu’un véritable raz-de-marée se soit abattu sur eux. Devant le haussement de sourcil du mexicain, Diego avait poursuivi. « Je sais, je sais. Il est clôt. On dîne ? » Logan n’existait plus, et ce n’était pas un aurevoir mais un adieu à ce môme devenu insignifiant dans leur histoire.
always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove