(money #1) i'm not gonna go down with my hometown in a tornado
Harleen Honeywood
la muse éthérée
ÂGE : 27 ans bientôt 28, elle souffle ses bougies avec enthousiasme tous les 3 août. SURNOM : ça va de Harls à Honey en passant par Harley et Woody - elle aime changer d'identité selon la personne devant elle. STATUT : célibataire/mariée/divorcée/etc : toutes ces réponses, plusieurs fois par semaine. Harls et Ollie ont une relation pleine de relief, on dira ça comme ça. MÉTIER : de jour, elle vend des vinyles et des fringues vintage dans un petit commerce qui sent bon le thé à la menthe et les fleurs sauvages. De soir, elle se crée des boutiques Etsy selon ses envies. Savons faits main, bijoux naturels, sacs à main brodés, Harley moule sa carrière à ses hobbies. LOGEMENT : son van sert de petite cachette sous les étoiles à qui le veut bien, mais elle est docile et domiciliée la plupart du temps dans une modeste villa au #343 beachcrest road à bayside. POSTS : 60 POINTS : 0
TW IN RP : opinions arrêtées sur l'avortement, la vaccination, la médecine, la contraception, entre autres. TW IRL : rien à signaler.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. CODE COULEUR : rosybrown RPs EN COURS : olive (fb) + ollie #1 + midas #1 + cleo (fb) + bffs
MONEY - take your silver spoon, dig your grave. see, your sunrise loves to go down. lousy babies pick their prey but they never cry out loud.
OLLIWOOD - hey kid, you're gonna hear electric music, solid walls of sound. have you seen them yet? oh, but they're so spaced out, oh, but they're weird and they're wonderful.
RPs EN ATTENTE : pen la parfaite + daisy jones + the six
AVATAR : margaret qualley. CRÉDITS : nuit d'orage (avatar) PSEUDO : hub INSCRIT LE : 27/05/2024
« Est-ce que tu m’as entendu dire que Ollie était invité ? » sans même s'étonner, Harleen laisse à Midas toute la place pour faire sa petite crise de nerfs du jour. « Jusqu’à preuve du contraire. Je lui dois rien à ce type. Et vu qu’il a un boulot qu’il a même pas été foutu de se trouver lui-même, » il lui reste encore pas mal de venin à cracher sur le cas de Ollie, il n’a pas crevé suffisamment l’abcès plus tôt, il en bouille sur sa langue et elle assiste, impassible, au monologue d’un Midas qu’elle ne voit dans cet état que très, très rarement. Blablabla. « il peut se débrouiller comme un adulte pour mettre de l’argent de côté et se les payer tout seul, ses vacances en Europe. » elle l’a entendue, la tirade d’insultes et de reproches, elle la connaît par coeur, elle n’y porte plus grande attention. Un tube de baume 100% organique 100% vegan est apparu dans ses mains, Woody s’applique à hydrater ses lèvres le temps que le rythme d’inspirations et d’expirations de Midas redevienne normal. Peu importe ce qu’il dit aujourd’hui, sa colère est injustement dirigée vers Ollie, vers Jo et peut-être même vers Honey. Midas ne passe pas une bonne journée, et Woody a depuis longtemps décidé que ce n’était pas l’expérience de vie des autres qui allait teinter la sienne. Pinçant ses lèvres l’une contre l’autre, elle remonte ses yeux dans ceux du musicien. La voix aussi douce que possible, le regard qui s’y agence à merveille. « S’il-te-plaît? » qu’il refuse aujourd’hui, qu’il refuse demain et les jours d’après, elle trouvera comme à chaque fois l’angle pour qu’Ollie les suive le moment venu. Midas sera occupé avec sa tournée et avec Posy, il n’aura même pas le temps de croiser Ollie, ne le verra jamais, s’en portera aussi bien. Oui, Harleen est persuadée qu’il descendra de ses grands chevaux et qu’Ollie fera le vol à ses côtés à elle et à ceux de sa fille. Un passage sur un nouveau continent leur fera du bien.
Passée derrière, Harls profite des instants entre sommeil et songes de Posy pour lui chuchoter des mots d’amour et des secrets qu’elles seules connaissent à l’oreille. Elles sont belles, à s’aimer comme des amies, comme des complices. Ce lien si précieux qu’Harleen chérit plus que n’importe quoi d’autre. Ce lien que Midas essaie de mieux en mieux de construire avec la gamine. Elle lui dira, un jour, qu’elle est contente qu’il prenne plus souvent sa place aux côtés de Posy. Qu’elle est fière de dire qu’il est son père. Pour l’heure, elle reparle de ce qui l’intéresse, aussi désintéressée puisse-t-elle être. Midas reste quelqu’un qu’elle aime et aimera probablement toujours, l’amour étant un concept vaste et flou, indéfinissable et beau parce qu’il en est tel selon elle. Harls insiste. « Moi, elle, ça a pas vraiment d’importance. Ça concerne notre relation, dans tous les cas. » relation pour laquelle Honey se contentera de soupirer, dans les mèches d’une Posy endormie. Jo a l’air trop compliquée, Woody s’est toujours vantée de se tenir loin de ces gens-là. Sans le moindre jugement, bien entendu. « Mais merci. C’est délicat de ta part de le dire. » délicat? Harls ne voit pas ce qui pourrait être délicat, elle dit ce qu’elle pense, elle le dit quand cela monte de son ventre à sa langue, et ça lui semble aussi simple que cela. Midas se met tellement la pression, ajoute tellement de filtres et de limitations, a l’air de succomber à ses cernes et à ses multiples angoisses. Elle déteste le voir ainsi, mais n’est pas intrusive au point où elle ne voit pas qu’il clôt la conversation aussi sec. Se jurant de lui réserver un massage et un enveloppement aux algues purifiées avec la carte de crédit familiale, elle s’assure de réveiller officiellement Posy en l’attaquant de bisous sur le front et les tempes. La gamine éclate de rire et est déjà prête à filer pour de nouvelles aventures, quand la voix de Midas les interpelle, au loin.
« Tu m’envoie des photos d’elle, hein ? » évidemment. « Je te ferai un album aussi. Y’en aura des jolies. » la main de Posy dans la sienne, Harleen s’élance à la course vers la foire et vers tout le reste.
(money #1) i'm not gonna go down with my hometown in a tornado