Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’

IZAN GABRIEL MATEO DA SILVA

la plaie et le couteau, la victime et le bourreau

Pièce d'identité

NOM ≈ Da Silva, un héritage de son père qui résonne sur un ton glorieux dans le monde de la musique classique, au moins une chose dont il peut être fier PRÉNOM(S) ≈ Izan qui trébuche sur les lèvres d’autrui avec un mauvais accent, mais il ne s’en formalise plus trop, Izan, ayant depuis longtemps cessé de reprendre la prononciation écorchée de son prénom hispanique ÂGE ≈ (24.12.1991) Trente-deux ans qu’il écume les dédales de ce monde en se cognant trop durement aux parois de la cage qu’on lui impose LIEU DE NAISSANCE ≈ Brisbane, bien que ses racines, invisibles mais néanmoins soigneusement entretenues par ses ancêtres, s’étendent jusqu’à une petite ville de l’ouest du Mexique STATUT SOCIAL ≈ Bien trop amoureux de Ash pour se rendre compte qu'il y a un autre homme dans l'équation de leur couple, du coup les calculs sont pas bons mais il ne le sait pas (encore) MÉTIER ≈ Pianiste de renommée mondiale, compositeur et interprète qui est autant une bénédiction qu’une malédiction pour son label ORIENTATION SEXUELLE ≈ entre ferveurs et convoitises, son coeur accroche autant les mâchoires ciselées que les courbes pulpeuses, bisexuel qui ne s'en cache pas mais qui ne le revendique pas non plus GROUPE ≈ Au secours, j'ai 30 ans. AVATAR CHOISI ≈ Taylor Zakhar Perez. CREDITS GIFS ≈ perfectlyfuckingcivils & yrsonpurpose (gif histoire)

Les informations en vrac

Il a appris le solfège et manque de bol, il ne restait plus trop de place pour la retenue, donc il parle aussi franchement qu’il pense et il réfléchit (si, ça lui arrive) après, en se rendant compte qu’il a été maladroit ≈ Peur panique des chiens depuis qu'il a été mordu à l’âge de six ans, il pourrait changer de trottoir pour ne pas avoir à passer à côté de l’un d’eux ≈ Un amour sincère pour tout ce qui est sucré, surtout si ça ressemble de près ou de loin à des bonbons acidulés ≈ Insomniaque depuis des années, sujet aux crises d’angoisse mais plutôt crever sur place que de l’admettre, parce qu’il maîtrise totalement la situation n’est-ce pas ≈ Supporte très mal le silence qui laisse certaines pensées douloureuses vagabonder librement, c’est pourquoi il tente toujours d’avoir un fond sonore quand il est seul, même s’il n’écoute pas vraiment la musique ou ne suit pas le film, car c’est juste pour avoir une distraction ≈ Ambidextre, comme cela ne représente que 1% de la population mondiale, il estime qu’il fait partie des élus et vous feriez bien d’admettre sa supériorité aussi ≈ N’a pas du tout la main verte mais c’est important de croire le contraire, c’est sans doute pourquoi son appartement est un cimetière pour plantes déshydratées ≈ Insulte les gens en espagnol en pensant que ça le rend moins vulgaire, c’est d’une logique imparable (pour lui, oui) ≈ Ne fume pas et ne consomme pas de drogue, mais flirte avec l’alcool un peu trop souvent ≈ Bordélique, trop peu soigneux de ses affaires pour s’en soucier, mais heureusement qu’une personne est chargée de l’entretien de son logement, ça lui évite de vivre sous les livres et les carnets de partitions ≈ Joueur d’Échecs, mais sacrément mauvais perdant ≈ Est légalement en capacité de conduire mais, dans les faits, ne sortez pas dehors s’il est derrière un volant, c’est un conseil d’ami ≈ Ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ou nerveux ≈ Accroc au sport, pratique le running, la natation et l’escalade lorsque son emploi du temps lui permet ≈ Prompt à donner de l’affection mais peine à en recevoir, sans trop savoir pourquoi (si, il sait mais le déni est plus confortable) ≈ Vit avec deux chats : Sol & Luna ≈

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle IDRIL, mais appelez-moi PAS (LOL, QUEL HUMOUR JE SAIS). J'ai 24 ANS, et je viens de LA RÉGION DES CIGALES, DU PASTIS ET DE LA PÉTANQUE. J'ai découvert 30YSY grâce à TOPSITE JE CROIS, et j'ai cédé à m'inscrire parce que VOUS AVEZ L'AIR COOL MAIS HYPER NOMBREUX VOUS ÊTES EN MEUTE ICI. Pour me faire ma place, j'ai PAS BESOIN d'un parrain ou d'une marraine. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) (TROP) SOUVENT. Mon personnage est un INVENTÉ. Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et J'ESPÈRE QU'IZAN VOUS PLAIRA :l:

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Pour recenser votre avatar

Code:: <pris>Taylor Zakhar Perez ≈</pris> @"izan da silva"

à remplir si vous acceptez le doublon de prénom

Code:: <scena>Izan</scena>

Il était une fois, mon histoire

je m'en foutisme et arrogance, débauche et décadence

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Ayant poussé son premier cri le 24 décembre 1991 juste pour interrompre la fête du réveillon de sa famille très catholique, Izan a tout de suite donné un avant-goût de son tempérament de feu : il n’allait pas être un enfant facile et, des six bambins du couple Da Silva, l’avant-dernier fut effectivement celui qui leur a causé le plus de difficultés. Désobéissant, n’ayant aucun attrait pour les bonnes manières, se mêlant des affaires d’adultes et faisant preuve d’un cynisme qui n’épargnait personne, il fut un enfant aussi charmant qu’effronté, qu’on qualifiait poliment de « drôlement éveillé pour son âge », à défaut d’oser dire qu’il était tout bonnement ingérable. Si son père s’amusait volontiers de ses élans insolents, qu’il considérait comme ‘’la fougue de la jeunesse’’, sa mère, elle, considérait qu’il y avait quelque chose de gravement inquiétant dans le caractère détaché de leur fils, et elle se désolait de son air invariablement insouciant, tout en espérant que le passage à l’âge adulte l’aide à gagner en maturité. Cette perspective fut aussi stérile que vaine puisque, rien, en-dehors du piano, ne semblait pouvoir canaliser les accents impertinents de son esprit irrévérencieux.

La première fois qu’il vit un piano, Izan avoisinait les quatre ans ; la découverte de ce qui allait devenir son plus grand amour, la musique classique, se fit devant un épisode de Tom et Jerry, intitulé ‘’Le Concerto du Chat’’, qui inclue l’oeuvre de Franz Liszt par la Rhapsodie Hongroise n2. Il ne se souvient pas, lui, d’à quel point il avait été captivé, mais ses parents l’eurent suffisamment remarqué pour lui offrir un piano droit pour Noël, sans même songer, un seul instant, que l’instrument n’allait plus jamais le quitter. Inscrit au Queensland Conservatorium dans la foulée, il fut rapidement considéré comme un prodigue par ses professeurs, qui vantaient autant sa dextérité que sa capacité d’interprétation puisque, tout, dans la pratique du piano lui semblait être naturel, une évidence telle qu’il n’avait plus besoin de dicter l’ordre à son cerveau pour que sa main prenne le galbe ; paumes souples, comme une voûte, l’image de la pomme, le dos droit et les avant-bras à la bonne hauteur, près du corps. C’était une programmation orchestrée, innée, comme s’il était venu au monde pour valser entre les touches blanches et noires ; son corps était devenu l’instrument du piano, ses mains étaient les messagères de ses émotions dissimulées et ses yeux étaient l’écho d’un langage qu’il était, visiblement, le seul à comprendre.
Après avoir raflé plusieurs prix lors de concours juvéniles, c’est à l’âge de quatorze-ans, en 2006, qu’il remporta le premier prix du Concours International de jeunes pianistes à Ettlingen, en Allemagne, ainsi que deux ans plus tard, en 2008, le premier prix du Concours Tchaïkovski pour jeunes musiciens à Moscou, ce qui lui permit de se représenter en soliste lors d’un concert de l’Orchestre Symphonique de Sydney. Sa carrière étant lancée, plusieurs récompenses suivirent, dont un récital sur lequel son interprétation du Concerto pour piano n3 de Rachmaninov fut remarquée et saluée, si bien qu’il fut convié pour participer à l’élaboration d’un album de musique classique, enregistrant plusieurs morceaux pour la composition. L’année suivante, ce fut la consécration ultime puisqu’il fut nominé pour les ARIA Award for Best Children's Album et, juste après, put signer un contrat avec Sony Classical, tout en étant demandé sur les plus prestigieuses scènes à travers le monde.

En 2009, à l’âge de 18 ans seulement, il avait donc déjà une carrière prometteuse, une reconnaissance unanime de la sphère internationale, des récompenses à n’en plus finir, la sensation que l’avenir était glorifiée par avance, mais surtout la fierté dans les yeux de ses parents et de sa fratrie, alors, que pouvait-il craindre ? Avec son insouciance légendaire, il ne voyait pas, Izan, que le malheur s'apprêtait à renverser son monde et à faire voler en éclat l’équilibre si parfait de sa famille unie. Parce que s’il était incontestablement doué dans son domaine et qu’il n’avait besoin que de trop peu d’efforts pour réussir ce qu’il entreprenait, force est d’admettre qu’il avait également un goût prononcé pour l’ivresse et les soirées festives, dans lesquelles il a fini par traîner sa soeur aînée et leur cadet. Ils étaient naïfs, au prisme de la jeunesse qu’ils croyaient éternelle, porteur d’une désinvolture propre à leurs âges futiles, et ils s'étourdissaient sous les cacophonies des fêtes auxquelles ils participaient, et durant lesquelles l’alcool coulait à flot. Trop, peut-être. Est-ce un verre de trop qui a conduit le plus jeune de leur fratrie a manqué ce virage alors qu’il regagnait, seul et sans permis, le domicile familial ? ‘’C’est de ta faute’’ avait dit sa mère, entre deux sanglots douloureux, d’une voix étranglée mais suffisamment limpide pour qu’il puisse comprendre, sans doute aucun, que c’est à lui qu’elle s’adressait. ‘’J’étais là aussi’’ l’avait défendu sa soeur en passant une main câline dans son dos, faisant bloc physiquement et verbalement dans l’adversité qui s’imposait, sans que les yeux accusateurs de leur mère ne changent de cible. Il lui fallait un coupable. Elle l’avait trouvé. C’était lui.
Dès lors, Marta ne s’adressait plus à son fils autrement que par des regards qui traduisaient combien elle le considérait avec rancoeur, et il n’osait plus souffler le moindre mot de protestation pour plaider sa cause. On lui disait d’attendre, que l’orage allait passer et que la peine effroyable qu’éprouvait sa mère la rendait aveugle à la cruauté dont elle faisait preuve à son égard. Malgré les plaidoyers de son père pour le laver de cette accusation sévère, dont il subissait autant les foudres que les injustices, si bien qu’il avait pris son indépendance en emménageant dans un appartement du centre-ville, pour fuir l'animosité maternelle dont il savait être la cible. Cette distance physique fuit la continuité de l’éloignement émotionnel entre sa mère et lui et, progressivement, c’est de sa famille entière qu’il avait pris ses distances. Chaque fois qu’elle le voyait, Marta se remettait à pleurer le fils qu'elle avait perdu à cause de lui, et il avait songé que c’était une bien triste peine à imposer à celle qui lui avait donné la vie.

Des disputes qui en avaient découlé avec ses aînés, Izan avait fini par rompre tout contact avec les deux premiers, qui s’étaient rangés du côté de leur mère en arguant le fait que ‘’tout ceci ne serait jamais arrivé s’il ne l’avait pas mené avec lui’’ ce qui, dans les faits, n’était pas totalement faux. Mais il n’avait pas besoin qu’on lui rappelle, Izan, combien il avait été absolument inconscient de le perdre de vue sans chercher davantage à le retrouver, bien trop occupé à flirter avec une rousse dont il n’a même pas retenu le nom, et que si sa famille était désormais scindée en deux, c’était de sa faute. Il n’y avait alors, pour son esprit esseulé, que deux solutions possibles : se laisser sombrer sous la culpabilité ou se noyer dans le travail. Pour la première fois d’une longue série, ce fut le piano qui parvint à le sauver.
En 2014, à l’âge de 22 ans, il avait quitté l’Australie pour l’Allemagne, afin d’enregistrer pour la Deutsche Grammophon des concertos pour piano de Tchaïkovski et Mendelssohn qui lui valurent le Prix ECHO Klassik de 2015 ; pour cette récompense, il ne reçut des félicitations que de la part de sa soeur aîné et de son père, et s’il avait été déçu du silence des autres membres de sa famille, il s'était attaché à faire bonne figure puisque, de toute façon, ce n'était pas vraiment comme s’il avait vraiment le choix. Fort de cette réussite, la firme Steinway & Sons lui avait alors proposé une collaboration pour mettre au point trois nouveaux pianos, et c’est en parallèle de ce projet qu’il se mit à préparer son premier album en solo, intitulé Memory et qui visait le regroupement des oeuvres de Liszt, Schumann, Chopin et Mozart ; en trois semaines seulement, l’album prit la première place au classement classique du Billboard. Ce fut une victoire, certes, mais une victoire aussi amère que solitaire, puisqu'il n'avait personne avec qui la célébrer. Il ne lui restait, encore une fois, que son piano.

Entamant une tournée dans différents pays d’Europe et à travers les États-Unis pendant plusieurs mois, puis bifurquant dans des vacances prolongées et salutaire au Mexique en tâchant de se concentrer sur lui-même et s’adonnant à la reconstruction de son esprit en lambeaux, dont il avait grandement négligé les blessures, Izan fit son retour définitif à Brisbane en 2018, plus serein et apaisé que lors de son départ. Ne cherchant pas vraiment à renouer avec sa famille, il s’était plutôt penché sur la suite de sa carrière, qui prit une nouvelle dimension après son adhésion à une fondation visant à promouvoir la musique classique, et comme si cela ne suffisait pas, il fut également convié à animer des masterclass à la Sydney Conservatorium of Music ; tout pour occuper son esprit et ne pas penser, en somme. Étant l’une des têtes d’affiches récurrentes de l’Opéra de de Sydney et multipliant les représentations ici et là, son agent n’a eu de cesse de lui suggérer de déménager mais, bien qu’ayant avancé l’argument qu’il restait à Brisbane ‘’par habitude car il connaît la ville’’, c’est en réalité pour sa famille qu’Izan tient à rester dans les parages. La preuve qu’il est bien plus sentimental qu’il n’y paraît et qu’il ne le voudrait, et peut-être pas pour son bien d’ailleurs, puisqu’il est tombé amoureux pour la première fois de sa vie à la fin de l’été 2023, d’un homme qui n’est pas entièrement sien. Il y croit, Izan, à son histoire avec Ash, et le fait qu’ils approchent des un an de relation tend à le convaincre que leur couple ne peut souffrir d’aucune tare, d’aucune lassitude ni dissonance. La chute qui accompagnera la découverte de la vérité, et la fausseté de leur union, risque d’être une disharmonie aussi brutale que douloureuse.

Bienvenue parmi nous avec ce petit artiste Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ 3290930861

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Bienvenue

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ce gars me dit quelque chose, mais impossible de le resituer ! :brows:

it's gonna be weeks 'til I breathe again

Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.

Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ RKZDipO

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son équipement:

@Swann Craine merci beaucoup Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ 2523491165

@Helen Stenfield merci à toi Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ 206649278

kissing booth (2 & 3) ou my dear f prince ? :gla:

Aaaah voilà, Kissing Booth ! Merci, un tracas de moins avant de m'endormir ce soir Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ 2880102952

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Bienvenue parmi nous ! Bon courage pour rédiger ta fiche ! Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ 662981832

:

Invité Invité

Bienvenue sur le forum :l:

Les premiers mots, les prémices de l'histoire et une jolie bouille, ça promet Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ 2340009788

bienvenue par ici, au plaisir de découvrir ce bonhomme en jeu :l:

such a beautiful mess

she's in the clouds, heavy and dark, waiting to fall like rain ¤ she was both love and storms of pain, all heartbeats and hurricanes .•°¤ Mags.

Oh le joli monsieur! :gla:

bienvenue parmi nous ! Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ 674657830

Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ Ft7nFkZ

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Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ 1Ok5bCC

@Helen Stenfield j'ai eu l'impression d'être ton Rapeltout c'était un plaisir :drama:

(on a les références qu'on mérite, me juge pas stp)

@Ruben Hartfield merci beaucoup :l:

@Itziar Cortés de Aguilar merci demoiselle :l:

@Arsinoé Quinzel tu viens de me faire sourire vraiment comme ça :

Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ Cat-smile

merci beaucoup pour ton passage et tes mots absolument adorables :l:

@Asher Thornhill aha bonsoir, toi :gla:

~~on ne se serait pas déjà croisés quelque part ?~~ merci :l:

@Izan Da Silva je suis obligée de quémander un lien car cette référence a conquis mon p'tit cœur ! Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ 4251317097

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Invité Invité

Bienvenue

Le début donne envie d'en savoir plus, j'ai hâte de lire la suite :drama:

Bienvenue ! Hâte d'en découvrir plus sur ton personnage Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ 1949770018

I have to get out of this place but instead I'm at peace with staying (grow into love ; half moon run)

Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ 3I7AbvS

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Taylor

Bienvenue à toi avec ce début de fiche prometteur :l:

i'm blending in

so you won't even know me cause I've been housing all this doubt and insecurity and I've been locked inside that house all the while you hold the key and I've been dying to get out and that might be the death of me-byendlesslove

Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ KiVZVrG

Izan Da Silva ♩’’I said i’m fucking fine’’ VUa8Ud8

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