ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1787 POINTS : 220
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
(#) Sujet: end up on the floor (Atlas) Ven 14 Juin 2024 - 23:24
end up on the floor
Drink up 'cause a party ain't a party 'til you ride out through it. End up on the floor but can't remember, you clueless. Officer, like what the hell is you doing? Stumbling, fumbling, you wanna what? Come again. Give me Henn, give me gin, give me liquor. Give me champagne bubbles 'til I'm bent. What happens after that? If you inspired then tell a friend
Il y avait ce bruit. Un tic tic incessant qui agaçait l’oreille de Sergio et le tira de sa torpeur. Ses paupières se soulevèrent difficilement et il réalisa que ce n’était pas son principal problème, à cet instant. Une douleur lui vrilla les tempes à la vue de la lumière et au moindre effort de soulever la tête. Il avait la bouche pâteuse, la gorge sèche, l’estomac contrarié. La gueule de bois, une qu’il ne ravalerait pas avec du paracétamol et des électrolytes. La sensation duveteuse sous sa joue était douteuse et dans un effort surhumain, l’homme se redressa sur les coudes. Il était au sol sur un tapis en fausse fourrure. Ce n’était pas chez lui. Où était-il déjà la veille ? Il se souvenait d’une soirée en ville. Un acteur qu’il avait sous contrat qui avait voulu s’y montrer. Sergio avait voulu en faire une apparition promotionnelle, et la fête avait repris le dessus. Ils avaient insisté sur le bar. La facture ne devait pas être jolie à voir. Instinctivement, l’agent tâtonna le sol autour de lui pour trouver son téléphone, qui n’était nulle part dans son champ de vision. Ses vêtements non plus, d’ailleurs. Il n’y avait au sol que des résidus de bouteilles, de nourriture, de déguisements multicolores, et de ce qui avait un jour dû appartenir à la décoration de la chambre. Après bien une minute, le Gutiérrez trouva la force de se lever. Le monde tanguait encore et la douleur envahit sa boîte crânienne, lui faisant froncer les sourcils. Son premier réflexe fut de vouloir fermer les rideaux, sauf que la vue l’interpella. La fenêtre donnait sur un terrain vague. Pas de civilisation à la ronde, juste des terrains utilisés pour du dépôt sauvage. Ils n’étaient pas à Spring Hill, ou même au cœur de Brisbane. De même, la chambre était inconnue, au même titre que l’homme qui dormait sur le lit, avachi en étoile de mer. Cette fois, Sergio fronça volontairement les sourcils et se frotta le visage, profondément confus. Il ne se souvenait pas de comment il avait atterri ici, de pourquoi est-ce qu’il avait dormi en boxer sur le tapis, ou même de qui était ce gars. Il ne voyait ses affaires nulle part, que ce soit sur les meubles, au sol ou dans la salle de bain qui était -dieu merci-, vide. Le robinet sonna sa délivrance et le patriarche décida de remettre ses interrogations après avoir bu ce qui lui sembla être des litres. C’était assez pour calmer la sécheresse aride de sa gorge, pas pour atténuer la gueule de bois. Il rêvait juste de s’échouer chez lui, dans son lit, et de dormir jusqu’à ce que la sensation passe. Ce n’était juste pas une option. Il devait rentrer nourrir sa chienne. Il aurait aussi dû emmener Alejandro à l’école, il l’avait promis à Mari. Il était un homme mort. Non seulement pour avoir manqué à ses obligations, mais aussi parce que vu l’heure indiquée par le réveil -9h12-, elle devait maintenant être au stade où elle s’inquiétait. Alors, un peu plus nerveusement, il se mit à faire le tour de la chambre pour retrouver ce foutu téléphone. C’était peine perdue. En prime, il mit le pied dans une flaque suspicieuse, ce qui acheva le retour de sa nausée. C’était trop. Il n’allait pas partir sans ses affaires ou dans cette tenue, et plutôt mourir que d’enfiler ce qui leur avait vraisemblablement servi de déguisement cette nuit. Inévitablement méfiant, il attrapa l’oreiller tombé au sol -sans doute pour lui-, et le balança sur l’inconnu pour le réveiller. « Hé, la belle au bois dormant ! » Sa propre voix lui fit sonner le cerveau et grimacer. Le type ne bougeait pas. Si ce n’était pour ses ronflements, Sergio aurait eu peur d’avoir un cadavre sur les mains. Dépité, il s’approcha, lui attrapa l’épaule et le secoua jusqu’à vraiment le sortir de ce sommeil qui ne devait pas être si réparateur. « La sieste est finie. »
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Atlas Siede
le raz de marée
ÂGE : quarante et un an, né un soir d'halloween quatre-vingt-deux. SURNOM : Siede pour la plupart des gens, Capitaine pour ses frères d'armes. STATUT : sa vie sentimentale n'est qu'une série d'opportunités manquées MÉTIER : pilote de l'aéronautique navale, capitaine du squadron 816. en arrêt prolongé suite à son accident. LOGEMENT : il a accepter de partager son canapé de la déprime avec Ginny au #21 hardgrave road, west end. POSTS : 7331 POINTS : 260
TW IN RP : crise de panique/angoisse, excès de colère, accident, douleur physique. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : second né de la fratrie Siede › s'est engagé dans l'armée après le Lycée, il a n'a fait que grimper les échelons pour arriver au grade de capitaine › a eu un accident de vol fin novembre 2021 › il a perdu trois ans de souvenirs (période 2018 à 2021) › il aimerait être père mais n'a jamais su se poser dans sa vie, en attendant il est le tonton cool pour les enfants de ses amis › amoureux de Matilda depuis toujours. CODE COULEUR : Atlas donne des ordres en seagreen RPs EN COURS : (06)ginny #1 (fb) › ginny #2 › lewis #1 › louis › sergio › gayle
ginny #1 & #2 › i passed the pictures around of all the years that we stood there on the sidelines, wishing for right now. we are the kings and the queens. you traded your baseball cap for a crown. when they gave us our trophies, and we held them up for our town, and the cynics were outraged screaming, "this is absurd". 'cause for a moment, a band of thieves in ripped up jeans got to rule the world
lewis #1 › if i was dying on my knees, you would be the one to rescue me and if you were drowned at sea i'd give you my lungs so you could breathe. i've got you brother
L’ambiance se voulait familière, mais comme étrange. Atlas était vêtu de son uniforme le moins formel, les pieds plantés sur la piste d’un porte-avions, le regard fixé sur un horizon qui se voulait aussi instable que l’océan aux alentours. Il voyait son hélicoptère, à quelques mètres de là, porte du cockpit grande ouverte, n’attendant que lui. Mais ses pieds refusaient d’avancer. Comme si la semelle de ses rangers avait fondu pour ne faire plus qu’un avec le tarmac. Il se retrouvait figé sur place, incapable de parler, d’interpeller ceux qui l’entouraient et surtout dans l’incapacité du moindre mouvement. L’angoisse paraissait s’agrandir dans sa poitrine alors qu’une douleur venait à le lancer dans la cuisse. Il cherchait à bouger, à faire quelque chose, mais rien ne semblait s’avérer efficace. Et alors que l’océan paraissait avaler une tempête, il senti comme un coup sur son épaule. Un petit rien, qui se transforma en une secousse, tel un tremblement de terre étranger. La secousse repris accompagnée d’une voix qui le fit sortir de sa torpeur. « Hé, la belle au bois dormant ! » Dans un premier temps, Atlas enregistra la douleur qui provenait de son crâne. Avant qu’on ne le secoue à nouveau. « La sieste est finie. » Et finalement, ses instincts de militaire prirent le dessus. Dans un mouvement étrangement souple pour quelqu’un qui n’avait pas pratiqué le moindre sport depuis des mois, Atlas se redressa sur le matelas pour attraper la main posée sur son épaule. D’un seul geste, il entreprit de tordre le poignet de son assaillant, prêt à en découdre. Il lui fallut une seconde, et un hurlement de la part de l’homme qu’il tenait fermement, pour réaliser qu’il n’était pas en zone de combat, mais dans une chambre d’hôtel. Sous le coup de la surprise, Atlas relâcha son étreinte et se laissa tomber sur le matelas. « C’est quoi ce bordel ? » Il avait parlé trop fort, le mal de crâne qui s’était infiltré entre ses tempes lui rappela une triste réalité. Il releva les yeux pour tomber sur la silhouette d’un parfait étrange. Grand, brun et surtout à moitié à poil. « Mais t’es qui toi ? » Oh, il avait bu. Il ne pouvait plus en douter, entre sa gorge qui lui hurlait de boire de l’eau, sa langue pâteuse et ce terrible mal de tête qui lui vrillait le crâne. Il n’avait aucune idée de ce qu’il foutait là et fut rassuré de remarquer qu’il avait encore son caleçon et un tee shirt sur le dos. Pour le reste ? Il n’avait aucunes idées d’où il pouvait bien être et une nausée était en train de lui torturer l’estomac. Sans un mot pour l’inconnu, il se leva, trop rapidement au goût de ses muscles. Sa cuisse lui rappela qu’il ne pouvait plus être aussi vif et il manqua de s’écrouler sur le lit à nouveau. Il lui fallut une minute pour retrouver son équilibre et une de plus pour se rendre dans la salle de bain et s’asperger le visage d’eau froide. « Putain… » Il n’avait aucune idée d’où il pouvait être et l’autre continuait à le fixer comme s’il avait réponse à tout. « T’as un nom au moins ? » C’était quoi encore que cette histoire… Il n’avait quand même pas ramassé un mec dans un bar ? Il était bien dans un bar hier soir, non ?
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