ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1331 POINTS : 2440
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
you've got a friend in me @Aubrey Thornhill - ♬ - crédit/disneyisfullofmagic
’’Tu trouves que ça ressemble à un arbre ?’’ il le demande parce qu’il n’est pas sûr, Izan, alors que c’est sa propre main qui a tracé l’ébauche du dessin sur la petite toile blanche qu’il tient de celle qui est libre, et qu’il tourne lentement vers la jolie brune en tordant sa bouche dans une grimace hésitante, puisque même lui n’est pas convaincu par ce qu’il lui montre. ’’Sois honnête, vas-y.’’ il se sait bien plus habile derrière un piano que tenant un pinceau, et quand bien même est-il ambidextre, aucune des deux n’est visiblement suffisamment douée en dessin pour qu’Aubrey puisse clairement identifier la masse informe qui trône sur le milieu de son tableau : heureusement, c’est vert, il y a au moins ça de cohérent pour aider la jeune femme. ’’Non mais, après…’’ commence-t-il à dire dans un élan audacieux, ramenant sa toile en sa direction pour la contempler sans grande certitude, mais avec la volonté de défendre son talent (inexistant) ’’Ça peut être de l’art contemporain.’’ dit-il dans une sentence qui est à la fois une affirmation et une interrogation, alors qu’il lève brièvement les yeux vers sa comparse comme pour jauger de son avis sur la question mais, craignant qu’elle ne réfute son hypothèse sans délai, il rajoute, avec une voix encore plus incertaine ’’Ou de l’art abstrait. Ou même les deux.’’ il ne sait pas trop si c’est possible mais il tente de défendre son oeuvre, quand bien même ne peut-il pas s’empêcher de froncer les sourcils quand il repose ses iris mordorés sur cette dernière. Définitivement, il n’est vraiment pas taillé pour dessiner quoi que ce soit, puisqu’il fait encore des oiseaux en forme de V, et les deux barres du V en question ne sont même pas de taille similaire. ’’La prochaine fois, on fait des jeux de société, ok ?’’ Mordillant l’intérieur de sa joue, le musicien plisse légèrement ses paupières en guidant son pinceau jusqu’à la palette de couleurs, trempant l’extrémité dans une teinte marron avant de rapporter les pigments sur sa toile pour commencer à tracer l’écorce de l’arbre qui n’a pas l’air d’en être un, avant de se pencher vers Aubrey pour tenter de voir ce qu’elle est en train de peindre, et qui est assurément bien plus admirable ’’Je peux voir ?’’ il le demande mais puisqu’il lève légèrement le menton pour voir par-dessus son épaule, il se donne l’autorisation lui-même.
Décrétant qu’il est temps de faire une pause — c’est sans nul doute préférable pour tout le monde, il abandonne sa toile et son pinceau sur le côté, piochant plutôt quelques bonbons qu’il apporte à ses lèvres en balayant la plage du regard, avant de déposer ses prunelles malicieuses sur celle qui l’accompagne, ne résistant pas à l’envie de lui suggérer, en feignant un air tout à fait sérieux qui est trahi par les accents rieurs de son regard ’’J’pense que tu devrais exposer ma toile, elle se vendrait à prix d’or.’’ une douce hilarité vient rompre l’étau de ses lèvres tandis qu’il attrape sa veste pour la replier sous sa nuque, s’allongeant à côté de l’artiste — la vraie, sans cesser de glisser ses bonbons entre ses lippes, profitant simplement de la légèreté du moment. Aubrey n’est pas seulement la soeur de, puisqu’il éprouve une réelle et sincère affection pour elle, et cette affection n’est nullement liée à la personne qu’ils ont en commun. ’’Comment ça se passe à la galerie, en ce moment ?’’
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
Lorsque Izan t'avais proposé une activité peinture au bord de plage, tu avais sauté sur l'occasion. Il n'en fallait pas plus pour te mettre de bonne humeur. En plus de passer du temps avec une personne que tu affectionnes particulièrement (et autant dire qu'ils se font rares), tu vas pouvoir faire ce que tu aimes par dessus tout, peindre. Alors forcément, tu ne perds pas trop de temps à préparer ton matériel, prenant grand soin de ne rien oublier, le but étant de ne pas te créer une frustration une fois sur place.
Une fois sur la plage, vous vous installez dans un petit coin à l'ombre, l'endroit est juste parfait et tellement relaxant par le bruit des vagues qui claquent l'une contre l'autre avant de s'échouer sur le sable fin. Une fois tout ton matériel étalait dans un bazar que tu juges assez bon pour t'y retrouver facilement, tu ne tardes pas à commencer ta peinture, te laissant inspirer par la beauté de l'endroit. ’’Tu trouves que ça ressemble à un arbre ?’’ Tu te mets à rire en regardant sa toile, tournant la tête de tous les côtés possible pour essayer de voir ce qu'il prétend avoir voulu représenter. ’’Sois honnête, vas-y.’’’ Petite grimace qui passe furtivement sur ton visage, ton regard se plantant dans le sien. " Hm.. peut-être qu'en ajoutant un peu de texture par ici et par là... " Finis-tu, sourire amusé sur tes lippes tandis que tu pointes les extrémités de son arbre. ’’Ça peut être de l’art contemporain.’’ Acquiesce ses propos d'un hochement de tête. " ah mais totalement, attention nous avons ici un futur Picasso. " Tu te mets à rire en prononçant ces quelques mots. C'est pour ça que tu aimes autant passer du temps avec Izan, tout est tellement plus léger avec lui, tu te sens terriblement bien à ses côtés. ’’Ou de l’art abstrait. Ou même les deux.’’ Tu t'arrêtes de peindre, ton menton qui se relève pour pouvoir le regarder. " Ou alors tu vas nous inventer un nouveau style encore inconnu jusqu'à présent. " Tu continues à le taquiner gentiment, appréciant cet instant à ses côtés. ’’La prochaine fois, on fait des jeux de société, ok ?’’ Tu termines le trait de peinture sur ta toile, avant de lui répondre. " T'en es sûr ? J'suis mauvaise perdante alors à tes risques et périls. " T'as toujours tendance à prendre les jeux de société beaucoup trop au sérieux et à devenir rapidement mauvaise lorsque tu perds. ’’Je peux voir ?’’ Qu'il te demande alors que sa tête se tourne déjà vers ta toile, ce qui te fait émettre un petit rire. Tu tournes la toile vers lui, dévoilant ainsi le début de ta peinture. Il s'agit tout simplement de la plage, un oiseau s'envolant au loin dans le ciel.
’’J’pense que tu devrais exposer ma toile, elle se vendrait à prix d’or.’’ Tu le regardes, avant de jeter de nouveau un rapide coup d'oeil à sa peinture. " Qui sait, peut-être que l'on deviendrait millionnaire grâce à ça. " Que tu lui réponds, continue à rentrer dans son jeu. ’’Comment ça se passe à la galerie, en ce moment ?’’ T'inspire un bon coup, dépose ton pinceau, regard qui se perd dans l'océan à perte de vue. " J'adore ce que je fais, mais c'est tout de même vachement fatiguant quand même. " Mais tu savais dans quoi tu t'engageais en ouvrant cette galerie, bien que parfois il t'arrive encore d'être tellement submergée de travail que tu ne sais plus où donner de la tête. " Mais je ne regrette rien, c'est toujours un bonheur de pouvoir aider des artistes à se faire connaître à leur tour, c'est vraiment gratifiant. "
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1331 POINTS : 2440
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
you've got a friend in me @Aubrey Thornhill - ♬ - crédit/disneyisfullofmagic
Le rire mutin qui s’extirpe des lèvres de la jolie brune et qui vient répondre à sa première question lui fait courber les sourcils avec un brin de déconvenue, et le musicien lui lance un regard faussement attristé avant de cligner des cils pour porter ses prunelles sur sa toile, en comprenant peut-être pourquoi la jeune femme a eu cette prime réaction, si bien que ses lèvres se collent l’une à l’autre dans une petite moue aussi boudeuse qu’hésitante " Hm.. peut-être qu'en ajoutant un peu de texture par ici et par là... " de la quoi ? est ce qu’il se demande sans oser le formuler, même si ses paupières qui clignent plusieurs fois à la suite quand il la fixe sont un bon moyen de savoir qu’il ne voit pas vraiment où elle veut en venir ’’De la texture pour moi ça veut dire un « gros aplat de couleur » mais j’imagine que c’est pas vraiment ce que tu veux dire…’’ il a compris qu’il n’avait pas compris, mais cela ne l’empêche pas de tremper l’extrémité de son pinceau dans une teinte verdâtre plus foncée, traçant ensuite des lignes - au hasard, c’est important - sur les contours de ce qu’il croit être des feuilles mais qui, dans les faits, ressemblent plus à des nuages. La piètre qualité de son oeuvre ne l’empêche pas de défendre celle-ci avec le plus grand des sérieux et, heureusement, la belle est suffisamment affable pour ne pas lui faire remarquer qu’un enfant ferait mieux que lui. ’’ah mais totalement, attention nous avons ici un futur Picasso.’’ il relève sa main en même temps que le menton, prenant une posture de fierté pendant quelques secondes avant de mêler son rire, plus grave, à celui d’Aubrey, sans la quitter des yeux. ’’Et tu pourras dire que tu m’as connu avant tout le monde ! C’est quand même la classe, non ?’’ il ne se prend pas au sérieux, Izan, mais c’est sûrement l’une des choses qu’il apprécie le plus en côtoyant Aubrey ; tout est léger, simple, et il n’a pas l’impression de devoir être quelqu’un d’autre pour lui convenir. ’’Ou alors tu vas nous inventer un nouveau style encore inconnu jusqu'à présent.’’ leurs yeux se rencontrent et il grimace alors en fronçant le milieu de son nez, marmonnant un ’’T’es jalouse de mon talent, c’est tout.’’ qui courbe ses lèvres avec amusement tandis qu’il en revient à sa peinture, son arbre ressemblant encore moins à un arbre qu’avant, et c’est presque un exploit parce qu’il ne pensait pas que c’était possible. ’’Même moi j’sais pas trop ce que je suis en train de faire.’’ il l’avoue dans un petit rire, poursuivant son tableau mais notant le fait que, la prochaine fois, ils feront des jeux de société ; au moins c’est un domaine qu’il maîtrise. ’’T'en es sûr ? J'suis mauvaise perdante alors à tes risques et périls.’’ - ’’Moi aussi’’ rétorque-t-il aussitôt, commençant à dessiner de l’herbe sous l’arbre, parce qu’il n’y avait définitivement pas assez de vert dans cette peinture. ’’On évitera donc de le faire à la plage, sous peine que l’un de nous deux finisse noyer.’’ après l’herbe, c’est le ciel bleu qu’il dessine, en prenant garde à ne pas dépasser sur son arbre-qui-ne-ressemble-pas-à-un-arbre, mais il se redresse d’un seul coup pour zieuter la peinture de sa comparse et, assurément, elle est bien plus douée que lui, même si ce n’est pas franchement difficile de l’être ’’C’est super beau,’’ inclinant son menton sur le côté pour la regarder, il poursuit, amusé ’’Tu devrais travailler dans l’art, je pense. C’est un conseil.’’
Ce qui, après le bref rire qui vient séparer ses lèvres, le conduit au sujet suivant : la galerie tenue par Aubrey. Allongé aux côtés de la belle, il glisse des bonbons entre ses lèvres tout en fermant parfois les yeux, profitant simplement de la présence de sa comparse et des remous des vagues qui se froissent en échouant sur le rivage. ’’J'adore ce que je fais, mais c'est tout de même vachement fatiguant quand même.’’ entrouvrant les yeux pour la regarder, même s’il ne discerne que son profil, il passe la pointe de sa langue sur ses lèvres avant de lui répondre ’’J’imagine, mais tu as la chance de faire ce que tu aimes. Ce n’est pas tout le monde qui peut dire la même chose, malheureusement.’’ lui tendant des bonbons, il referme ses paupières tout en restant allongé encore quelques minutes, l’écoutant parler sans l’interrompre, sincèrement soucieux de sa personne. ’’Mais je ne regrette rien, c'est toujours un bonheur de pouvoir aider des artistes à se faire connaître à leur tour, c'est vraiment gratifiant.’’ - ’’Peut-être que tu pourrais embaucher quelqu’un pour t’aider à la galerie ? Cela te soulagerait.’’ il serait totalement perdu sans Lynda, alors déléguer les choses pénibles ça le connait ! ’’Si tu veux que je vienne jouer pour une de tes expos, tu me dis, d’ailleurs, ce sera avec plaisir.’’
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
’’De la texture pour moi ça veut dire un « gros aplat de couleur » mais j’imagine que c’est pas vraiment ce que tu veux dire…’’ Tu te mets à rire en regardant son visage, comprenant bien qu'il est dans l'ignorance totale. Faut dire que la peinture ce n'est pas son domaine de prédilection, donc pas vraiment étonnant qu'il ne sache pas vraiment ce que cela veut dire quand tu emploies des mots un peu plus.. complexes. " C'est plus ou moins ça, en langage plus grossier je dirais. " Sourire amusé qui étire tes lèvres alors que tu le regardes ajouter de la couleur sur sa toile. L'effort y est, c'est déjà un très bon début. Tu finis par le comparer à Picasso, beaucoup plus pour la blague que pour ce que sa toile dégage en réalité mais la comparaison te fait vachement rire en tout cas. ’’Et tu pourras dire que tu m’as connu avant tout le monde ! C’est quand même la classe, non ?’’ Yeux écarquillés qui se tournent directement vers lui, mine faussement choquée par ce qu'il vient de dire. " OH. MON. DIEU. " Que tu dis, enchaînant tout de suite avec une autre phrase. " Quelle chance j'ai de connaître le Picasso 2.0, vraiment, je ne m'en remets pas. Toujours dans l'humour lorsque vous êtes ensemble, tu ne te prends jamais au sérieux quand tu es avec lui, ce qui est bien rare, toi qui a toujours tendance à être beaucoup trop sérieuse. Il faut croire qu'il arrive à faire ressortir le meilleur chez toi, cette partie de toi que tu as trop souvent enfouie au plus profond de toi et que tu devrais faire ressortir un peu plus souvent. ’’T’es jalouse de mon talent, c’est tout.’’ Tu ne peux t'empêcher de rire à nouveau devant la répartie de ton ami. " T'as découvert mon plus sombre secret, je suis trop jalouse de tes talents.. " Continue à vous taquiner, comme bien souvent entre vous. Sujet des jeux de société qui est mis sur la table, tu le préviens que t'as tendance à être très mauvaise perdante. ’’On évitera donc de le faire à la plage, sous peine que l’un de nous deux finisse noyer.’’ Tu hoches la tête tout en posant ton regard sur l'océan devant vous, comme si tu songeais vraiment que ce qu'il venait de dire pouvait être une possibilité. " Effectivement, on est pas à l'abri d'un accident. " Petit air machiavélique que tu prends tout en le regardant, te remettant ensuite à peindre, finissant quelques traits sur ta toile avant de la lui présenter, malgré le fait qu'elle ne soit assurément pas terminée. ’’Tu devrais travailler dans l’art, je pense. C’est un conseil.’’ Tu secoue la tête de gauche à droite, ton regard qui se plante dans le sien. " Peine perdue je pense, j'suis pas aussi douée que toi. Tu tire la langue en sa direction, avant d'attraper un bonbon dans le paquet et de le porter à ta bouche.
Sujet qui dérive rapidement sur ton travail, te demandant comment cela se passe là-bas pour toi. ’’J’imagine, mais tu as la chance de faire ce que tu aimes. Ce n’est pas tout le monde qui peut dire la même chose, malheureusement.’’ Il n'a pas tort, tu ne peux pas être plus heureuse en ce moment, bien que tu sois très fatiguée. " Je sais bien et c'est uniquement pour cette raison que je ne baisse pas les bras, j'ai la chance de faire ce qui me passionne, ce n'est vraiment pas donné à tout le monde. " Bien que tu viens de manger un bonbon, tu ne te fais pas prier pour prendre ceux qu'il te donne, n'en faisant qu'une bouchée. ’’Peut-être que tu pourrais embaucher quelqu’un pour t’aider à la galerie ? Cela te soulagerait.’’ Tu te fais aider uniquement lors des gros évènements, mais peut-être que tu devrais penser à prendre quelqu'un pour t'aider à temps plein, ce ne serait pas une mauvaise idée. " Pour le moment j'ai quelqu'un qui m'aide lors de vernissages et autres évènements, mais j'vais garder ton idée dans un coin de ma tête, ça pourrait me permettre de me soulager un peu et de passer plus de temps à peindre mes propres œuvres. " Ce qui est loin de te déplaire, bien au contraire. ’’Si tu veux que je vienne jouer pour une de tes expos, tu me dis, d’ailleurs, ce sera avec plaisir.’’ Un grand sourire qui se dessine sur tes lèvres. " Ce serait vraiment génial, je te tiens au courant pour la prochaine soirée, c'est sûr " Avoir Izan pas très loin de toi pourrait carrément te rassurer en plus, ce serait juste parfait.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1331 POINTS : 2440
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
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SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
you've got a friend in me @Aubrey Thornhill - ♬ - crédit/disneyisfullofmagic
L’avantage, avec ses piètres talents de dessinateur, est qu’il fait rire Aubrey, et elle a un rire aux accents suffisamment charmants pour qu’il veuille bien s’illustrer dans un domaine qui n’est pas le sien, puisque son coeur s’attendrit assurément chaque fois qu’il entend son éclat jovial, qui le conduit inconsciemment à sourire à son tour. ’’C'est plus ou moins ça, en langage plus grossier je dirais.’’ du coup, ce n’est pas qu’il a compris qu’il n’a pas compris, c’est qu’il n’a pas compris qu’il a compris, vous me suivez ? ’’J’savais même pas que je savais.’’ ça veut sûrement dire quelque chose mais il ne tente pas vraiment d’éclaircir sa pensée, préférant rester sur l’idée qu’il est un Picasso qui s’ignore, même si son arbre prend davantage l’allure d’un bonhomme Michelin qui se serait trompé de costume. ’’OH. MON. DIEU.’’ l’excès théâtral lui fait lever le nez - et les yeux, de sa toile, pour toiser celle qui se moque de lui depuis le début, et comme il devine que la suite ne sera pas à son avantage, il espace ses lèvres de quelques degrés en envoyant la pointe de sa langue contre ses dents du fond, prêt à encaisser l’attaque ’’Quelle chance j'ai de connaître le Picasso 2.0, vraiment, je ne m'en remets pas.’’ - ’’Pff…’’ qu’il rétorque en secouant faiblement son menton de gauche à droite, ne trouvant aucun autre argument à brandir sinon celui de la jalousie ; personne ne peint comme lui (et heureusement, oui) alors, forcément, ça attire toutes les convoitises (non) "T'as découvert mon plus sombre secret, je suis trop jalouse de tes talents.." puisqu’un élément de la phrase lui plaît particulièrement, il fait danser ses sourcils sur son front en minaudant, avec une fausse assurance : ’’Mes talents, on est donc d’accord que j’en ai des tas !’’ ce n’est pas lui qui l’a dit, c’est Aubrey, et il est trop poli pour la contrarier, voilà tout.
Décision est prise de jouer aux jeux de société dans un endroit où ils ne pourront pas s’entretuer, ce qui laisse peu de possibilités certes, mais cela ne l’empêche pas de sourire d’un air réjoui en imaginant déjà les querelles futiles qu’ils auront au détour d’un plateau, et l’acharnement avec lequel ils essayeront de s’arracher mutuellement la victoire. S’il ne doute pas du fait qu’il va gagner, Izan s’amuse surtout et par avance des élans contrariés de sa comparse le moment venu. ’’Peine perdue je pense, j'suis pas aussi douée que toi.’’ roulant des yeux, il fait glisser la pointe de sa langue sur ses dents du haut avant de menacer, d’une voix espiègle ’’Méfie-toi, je vais t’offrir mon tableau et tu seras obligée de l’exposer dans ton appartement.’’
Désormais allongé à côté d’elle, il glisse une main sous sa nuque en plissant les paupières pour supporter les assauts du soleil, non sans piquer des bonbons dans l’un des sachets ramenés avec eux. Il note que l’ouverture de sa galerie lui permet de s’épanouir, non sans laisser un sourire quiet envahir ses lèvres puisque, de toute évidence, c’est la seule chose qu’il lui souhaite : faire ce qu’elle aime. "Je sais bien et c'est uniquement pour cette raison que je ne baisse pas les bras, j'ai la chance de faire ce qui me passionne, ce n'est vraiment pas donné à tout le monde." c’est une chance qu’ils partagent, et tout insouciant qu’il est, Izan n’oublie jamais que sa réussite n’est pas seulement le fruit de son travail, mais aussi due à un facteur chance constitué de toutes les bonnes rencontres qu’il a pu faire au cours de sa vie. "Pour le moment j'ai quelqu'un qui m'aide lors de vernissages et autres évènements, mais j'vais garder ton idée dans un coin de ma tête, ça pourrait me permettre de me soulager un peu et de passer plus de temps à peindre mes propres œuvres." entrelaçant ses doigts sur son ventre plat, il hoche brièvement son menton de haut en bas, contemplant le ciel sans plus de concentration puisque celle-ci est entièrement allouée à la jeune femme. ’’Faut pas que tu t’oublies dans cette histoire, c’est important. J’sais pas pour toi…’’ se perchant sur ses coudes pour avoir une hauteur plus conséquente, il fronce légèrement ses sourcils en essayant d’organiser son discours d’abord dans ses pensées, se sachant bien trop malhabile lorsqu’il s’agit de parler de ce qu’il ressent ’’…J’adore jouer pour les autres, faire des représentations, voir l’émotion que je transmets derrière mon instrument mais… Ce que je préfère, en réalité, c’est quand je joue uniquement pour moi.’’ il est presque sûr qu’il aurait pu le formuler autrement, mais il est également certain qu’elle va comprendre ce qu’il veut dire, même si cet aveu ne contrarie nullement la proposition évoquée. ’’Ce serait vraiment génial, je te tiens au courant pour la prochaine soirée, c'est sûr.’’ - ’’Promis, je serais à l’heure.’’ mais qui croit encore à cette promesse, c’est plutôt ça la vraie question !
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
Il est vrai que depuis le début, tu te moques pas mal de ton dessin, mais ta moquerie reste bon enfant, tu sais que tu peux te permettre ce genre de blague avec lui, il ne risque pas de mal le prendre. ’’Mes talents, on est donc d’accord que j’en ai des tas !’’ Tu ne peux t'empêcher de rire en voyant ses sourcils dansaient de la sorte, t'aime tellement cette légèreté qui s'est installé entre vous, t'as l'impression de pouvoir tout lui dire, qu'il trouvera toujours les mots pour réussir à te faire rire. C'est certainement pour cette même raison que tu t'es vraiment attaché à lui, même s'il est avant tout le petit ami de ton frère, il compte beaucoup à tes yeux. " Tu es parfait Izan, dois-je encore te le rappeler ? " Personne n'est parfait, certes, mais Izan est vraiment une bonne personne, donc c'que tu viens de lui dire est en grande partie vrai quand on y pense.
Une compétition de jeux de société qui se confirme, tu sais déjà que tu vas devoir tout donner pour combattre ton adversaire qui semble être redoutable, mais tu ne comptes pas te laisser faire, tu peux être une vraie peste quand tu le veux et comme t'adores gagner, cela fait ressortir ce mauvais côté de ta personnalité, oups, bon courage pour supporter ça Izan. ’’Méfie-toi, je vais t’offrir mon tableau et tu seras obligée de l’exposer dans ton appartement.’’ À ses mots, tu fais mine d'avoir reçu une balle en plein coeur, te laisse tomber sur le sable avant de te relever quelques secondes après. " pitié, tout mais pas ça. " Que tu finis par dire, te mettant à rire une nouvelle fois.
Sujet qui dérive finalement sur la galerie, ce dont t'es le plus fière dans ta vie en ce moment. Même si cela te demande beaucoup de travail, tu n'as jamais été aussi heureuse et épanouie qu'en ce moment. En y repensant, le fait de travailler dans une galerie t'aide même à t'ouvrir aux autres, en particulier aux inconnus, ce qui était très difficile pour toi auparavant. Peut-être que bientôt tu vas devenir cette Aubrey que seule tes proches connaissent, cette fille qui rayonne, qui n'a peur de rien et surtout pas du ridicule. T'aimerais vraiment devenir cette sorte d'Aubrey 2.0, parce que celle que tu es en ce moment te bloque un peu dans tes relations, tu le sais. ’’Faut pas que tu t’oublies dans cette histoire, c’est important. J’sais pas pour toi…’’ Tu acquiesce d'un mouvement de la tête, ton regard plongeant dans le sien, écoutant le reste de ses pensées. ’’…J’adore jouer pour les autres, faire des représentations, voir l’émotion que je transmets derrière mon instrument mais… Ce que je préfère, en réalité, c’est quand je joue uniquement pour moi.’’ Il n'a pas tort, tu devrais réellement songer à embaucher quelqu'un à temps plein à la galerie, cela te permettrait de pouvoir te retrouver, ce qui est très important. " Tu as tellement raison, l'art est une manière de laisser parler mes émotions, j'me sens tellement plus détendue quand je peints, j'crois que c'est la meilleure thérapie. " Pour toi en tout cas, ce n'est peut-être pas ce qui fonctionne le mieux avec d'autres personnes mais sur toi, la peinture a un effet relaxant. ’’Promis, je serais à l’heure.’’ Tu secoues la tête de gauche à droite. " hm.. j'te dirais de venir une heure plus tôt que l'heure à laquelle j'veux que t'arrives, ça marche à tout les coups. " Parce que tu le connais trop bien Izan, tu sais très bien que sa spécialité n'est pas d'être à l'heure, c'est même tout le contraire.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1331 POINTS : 2440
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
you've got a friend in me @Aubrey Thornhill - ♬ - crédit/disneyisfullofmagic
’’Tu es parfait Izan, dois-je encore te le rappeler ?’’ bien qu’il sache pertinemment que ce n’est rien d’autre que l’essor malicieux qui répond à son propre élan, Izan prend brièvement une posture de grande fierté, son menton se levant tandis qu’il redresse l’une de ses mains pour la tendre en direction de son visage, comme s’il présentait son propre portrait élogieux ’’Est-ce que je peux t’enregistrer pendant que tu le redis ? Juste pour garder une preuve, ça pourrait être utile…’’ qu’il argue avec un faux air affligé, comme s’il tâchait de l’apitoyer sur son sort, pauvre petit malheureux qu’il est (non) avec sa petite moue attristée, bien qu’il trahisse rapidement son masque d’innocence avec la menace de son tableau tout à fait abjecte, qu’il observe lui-même d’un oeil peu satisfait, tout en sachant pertinemment qu’il ne pourrait faire mieux ’’pitié, tout mais pas ça.’’ le ton plaintif - légitime vu la tronche de la peinture - le fait lentement sourire et il renverse sa nuque en arrière pour lui lancer un regard amusé, avant d’abandonner son tableau (horreur ?) sur le côté, ne trouvant pas suffisamment de choses positives à dire pour défendre son oeuvre’’C’est pas grave, je vais l’offrir à ton frère, je suis sûr qu’il saura l’apprécier, lui !’’ a-t-il seulement le choix, le pauvre anglais qui doit plus ou moins subir les caprices de son petit-ami ? ’’Bon, en vrai, vu que je suis quand même pas mal chez lui… Ce serait me torturer aussi.’’ il se ravise finalement en zieutant sur le dessin effroyable qu’il a engendré, grimaçant avant de s’appuyer sur son coude pour se tourner vers la belle brune, retrouvant une expression bien plus assagie que précédemment car le sujet l’exige. S’il ne va pas jouer la carte de l’apitoiement, puisqu’il sait très bien que sa condition de musicien mondialement reconnue est aussi rare que privilégiée, il tend à soumettre l’idée que son métier a quand même sacrément entaché sa relation avec l’instrument qui l’a accompagné, presque, depuis ses premiers pas. Il aime toujours autant en jouer, Izan, mais en avoir fait son métier a donné une dimension obligatoire à sa pratique, et les six à huit heures qu’il passe quotidiennement à s’entraîner se confondent parfois à la contrainte, et le plaisir de jouer s’oublie ; cela doit être la même chose pour l’artiste qui se tient devant lui, non ? ’’u as tellement raison, l'art est une manière de laisser parler mes émotions, j'me sens tellement plus détendue quand je peints, j'crois que c'est la meilleure thérapie.’’ il comprend parfaitement la comparaison, et il hoche son menton en ce sens, baissant un instant ses longs cils sur la serviette de plage sur laquelle ils sont installés, sa main libre venant jouer avec l’un des pinceaux abandonnés par simple distraction, avant qu’il ne fasse une promesse que lui-même n’est pas sûr de tenir : être à l’heure pour jouer à la galerie de la brune. Et puisqu’il n’y croit pas lui-même, difficile de la convaincre en retour. ’’hm.. j'te dirais de venir une heure plus tôt que l'heure à laquelle j'veux que t'arrives, ça marche à tout les coups.’’ remontant un regard hautement réprobateur sur sa belle-soeur, il affiche une mine boudeuse avant de rétorquer, pour tenter de se défendre ’’Donc tu avoues que tu me manipules ouvertement ?’’ le faux reproche est prononcé avant qu’il s’empare du pinceau avec lequel il jouait pour venir effleurer la mâchoire de la jeune femme avec, au départ, la simple idée de la chatouiller mais… D’où sort cette grosse trace rouge ? De la peinture contenue par les poils du pinceau, sans doute… ’’Oh merde !’’ qu’il lance en se retenant quelques secondes de rire, mais le barrage de ses lèvres ne tient pas longtemps et il s’esclaffe finalement avec la candeur d’un enfant qui vient de faire une bêtise, mais qui n’a pas suffisamment de maturité pour s’en inquiéter ’’J’suis vraiment désolé, j’ai pas fait exprès…’’ qu’il lance avec malice en lui redonnant un coup de pinceau plus haut sur la joue, affichant un air bienheureux qui ne restera pas longtemps, peut-être… La vengeance d’Aubrey sera-t-elle terrible ?
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all
Taquinerie qui continue, on dirait deux gamins en train de se chamailler, et c'est souvent le cas entre vous. Izan arrive à sortir le meilleur de toi-même, tu arrives à être la vraie Aubrey en sa compagnie, c'est tellement agréable. ’’Est-ce que je peux t’enregistrer pendant que tu le redis ? Juste pour garder une preuve, ça pourrait être utile…’’ Tu le regardes, d'un air faussement suspicieux. " J'suis pas certaine, tu vas t'en servir contre moi un jour ou l'autre, c'est certain. " Ouais, on est jamais trop prudent il paraît, non ? Il fini par te proposer, non, plutôt t'obliger à afficher son tableau chez toi. En soit, ça ne te dérangerait pas, tu pourrais facilement lui trouver une place où tu ne le verrais pas trop souvent, ou alors un endroit bien visible où l'on te demanderait à chaque fois que quelqu'un vient chez toi si tu t'es mises à faire du babysitting en voyant ce chef d'oeuvre. ’’C’est pas grave, je vais l’offrir à ton frère, je suis sûr qu’il saura l’apprécier, lui !’’ Tu ne peux t'empêcher de pouffer de rire, t'essaye même pas de garder ton sérieux ne serait-ce que deux secondes, c'est impossible de toute façon. " Oh, Ash serait fou de joie, il en prendrait le plus grand soin, c'est certain. " Ou il risque de se moquer lui aussi en se disant que son petit ami a les talents artistiques d'un enfant de huit ans. Mais bon, on ne peut pas être doué partout et Izan l'est avec son piano, ce qui est déjà très bien. Il joue merveilleusement bien, t'es à chaque fois envoutée lorsque tu l'entends jouer. ’’Bon, en vrai, vu que je suis quand même pas mal chez lui… Ce serait me torturer aussi.’’ Petite grimace que tu lui accordes. " Tu pourrais peut-être y trouver certains aspects positifs à force de la regarder.. " Toujours être positif, c'est pas ça le secret ? Bon, ça semble être un peu difficile là, mais pas impossible, tu supposes.
’’Donc tu avoues que tu me manipules ouvertement ?’’ Oups. Petit sourire désolé qui apparaît sur ton visage. " Moi ? Non, je n'oserais pas faire une telle chose, c'est tout simplement abominable. Comment peux-tu penser une telle chose ? " Voyons, t'es pas du tout ce genre de nana, tu comprends pas comment il peut penser une telle chose. Bon.. Ok, tu viens peut-être de l'avouer ouvertement. Les poils de son pinceau qui viennent chatouiller ton visage, en voyant sa tête, tu comprends bien trop rapidement qu'il vient de faire une bêtise. ’’Oh merde !’’ T'attrapes ton téléphone pour regarder ton visage à travers le caméra de ce dernier, grosse trace de peinture rouge au niveau de ta mâchoire, s'il te cherche, il va finir par te trouver. ’’J’suis vraiment désolé, j’ai pas fait exprès…’’ T'aurais presque pu y croire s'il ne venait pas de t'attaquer de nouveau avec son pinceau, sur la joue cette fois-ci. Sans hésiter une seule seconde, tu trempes tes doigts dans la peinture, et t'avances vers lui, doigts qui effleurent son front pour y laisser deux belles traces de peinture. " J'ai trébuché, oups. " Alors que t'étais assise, ton excuse n'a pas de sens, vraiment. Tu finis par te lever, le met au défi de venir se venger, déjà prête à courir pour éviter sa prochaine attaque. " J'compte pas me laisser faire Izan, cours si tu l'oses. " Que tu dis tout en riant, attendant qu'il se lève à son tour.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1331 POINTS : 2440
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ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
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SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
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’’J'suis pas certaine, tu vas t'en servir contre moi un jour ou l'autre, c'est certain.’’ l’accusation portée à son encontre lui paraît si honteuse qu’il en prend une mine outragée et offusquée, ses sourcils se haussant en même temps qu’il espace ses lèvres de quelques degrés, franchement amusé de cette complicité naturelle et évidente qui le lie à la soeur de son petit-ami ; avec Aubrey rien n’est faussé ni maquillé, et c’est agréable de pouvoir être lui-même sans craindre de voir son regard changer ’’Je vois que tu me connais bien…’’ qu’il rétorque d’une voix plus calme mais baignée d’une affection certaine, ayant l’impression de côtoyer la jeune femme depuis des années alors que, dans les faits, cela ne fait que quelques mois qu’ils se connaissent ’’Après, techniquement, si tu penses vraiment ce que tu dis, tu n’as rien à craindre à ce que je le ressorte comme un argument…’’ l’art et la manière de tourner la situation à son avantage : il lance un regard suspicieux en direction d’Aubrey, plissant légèrement ses paupières comme si cela lui permettait d’avoir une meilleure vision des intentions de la jeune femme, sans accorder le moindre sérieux à cet échange pour le moins enfantin. Mais il défroisse rapidement son visage en examinant la toile hautement discutable qu’il tient dans sa main, et qui n’a assurément pas la noble qualité de la peinture de sa complice du jour, et même si petit-ami, aussi amoureux soit-il, ne pourrait se convaincre qu’il s’agit d’une oeuvre quelconque ’’Oh, Ash serait fou de joie, il en prendrait le plus grand soin, c'est certain.’’ le doute est permis, et il s’installe brièvement sur son visage quand il l’incline sur le côté en ayant l’air d’évaluer la gentillesse du concerné face à l’horreur de l’estampe ’’Mouais…’’ si lui-même n’y croit pas, difficile de convaincre les autres, n’est-ce pas ? ’’u pourrais peut-être y trouver certains aspects positifs à force de la regarder..’’ un petit rire s’extirpe de ses lèvres quand il abandonne son tableau sur le côté, songeant que ’’Une éternité d’examination ne suffirait pas, je pense.’’ non, en réalité, il en est sûr ! Tout comme il est (presque) sûr qu’il n’a pas vraiment voulu repeindre le profil d’Aubrey avec de la peinture rouge mais, comme il est plutôt fier de son attaque involontaire, il n’hésite pas à ouvrir les hostilités en réitérant l’affront du pinceau vermeil sur la peau lisse de la jeune peintre ; qui ne tarde pas à riposter avec ses doigts qui viennent laisser de belles tracs sur le front du musicien, entachant jusqu’aux boucles brunes qui retombent sur ce dernier ’’Eh !’’ s’écrit-il entre deux hoquets de rire, essayant de reculer sur la serviette pour fuir la menace que représente sa belle-soeur ’’J'ai trébuché, oups.’’ - ’’Tu mens t’es encore assise !’’ elle ment mal, Aubrey, mais il a suffisamment conservé son âme d’enfant pour attraper un tube de peinture, qu’il utilise comme une arme en l’ouvrant pour effectuer un rapide geste de la main, lançant des éclaboussures de peinture sur celle qui ne se démonte pas pour autant ’’J'compte pas me laisser faire Izan, cours si tu l'oses.’’ mis debout sur ses jambes, il attrape un autre pot de peinture - sait-on jamais qu’il soit à sac de munitions -, un large sourire ornant ses lèvres alors qu’il lance, comme un enfant pris dans un jeu trop divertissant pour vouloir le cesser ’’Tu crois vraiment me faire peur ?’’ haussant l’un de ses sourcils avec un air de défi, il lui ne résiste pas bien longtemps avant de réutiliser son tube de peinture bleue pour lézarder sa cible avec, tâchant aussi bien son visage que le haut de son buste féminin, prenant ainsi le risque de s’approcher même s’il risque de le regretter, le gamin qui a plus de trente ans…
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’’Après, techniquement, si tu penses vraiment ce que tu dis, tu n’as rien à craindre à ce que je le ressorte comme un argument…’’ Tu hausses un sourcil tout en le regardant, qu'est-ce qu'il essaye de faire au juste ? " Je rêve ou t'es en train d'essayer de me manipuler, là ?! Tu prends un air faussement choquée, alors qu'en réalité tu n'en as que faire. Vous ne vous prenez presque jamais au sérieux, mis à part lorsqu'il s'agit de sujet de conversation très important mais là pour le coup.. cela ne semble pas l'être du tout.
Il ne semble pas convaincu lorsque tu lui dis que ton frère (qui est aussi son petit ami) apprécierait grandement cette oeuvre d'art. ’’Une éternité d’examination ne suffirait pas, je pense.’’ Sa réponse t'arrache un nouveau rire. " À tout moment je l'affiche à ma galerie et il se vend rapidement. " Ou pas. Tu t'avances peut-être un peu trop, à moins de dire qu'il s'agit là du premier tableau d'un peintre désormais célèbre, ça pourrait peut-être avoir son effet sur ta clientèle.
Une bataille semble prendre place désormais. Vous vous retrouvez tous les deux avec des traits de peinture sur le visage, Izan qui se venge de ce que tu viens de lui faire en ouvrant un pot de peinture et en balançant sur toi. Malgré le fait que tu te retrouve pleine de peinture, tu éclates de rire, fini par te lever pour être une cible plus difficile à toucher. T'attrapes des munitions, le nargue pour qu'il vienne te trouver. ’’Tu crois vraiment me faire peur ?’’ Bah bien sûr que tu fais peur voyons, c'est l'évidence même. " Ne me sous estime pas. " Et voilà qu'il t'asperge à nouveau de peinture. Lorsque tu le vois assez proche de toi, tu attaques à ton tour, vise un peu et n'atteint qu'une partie minime de ses cheveux et un de ses pieds. Oups, faut vraiment que tu te concentres. Pour être encore plus efficace, te fichant pas mal de te retrouver pleine de peinture, tu enduis tes deux mains de peinture avant de t'approcher de lui, tes mains qui viennent se poser sur sa joue, glissant sur sa nuque. " Tu vas être ma plus belle oeuvre d'art, c'est certain. " Que tu finis par dire, tout en t’esclaffant de rire.
Izan Da Silva
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ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes — collabore depuis peu avec maxime, est le meilleur pour lui faire vivre le pire LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1331 POINTS : 2440
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
ASHAN ¤ take my heart, don't break it, love me to my bones, all this time i wasted you were right there all along, you and i stargazing, intertwining souls, we were never strangers, you were right there all along
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home
you've got a friend in me @Aubrey Thornhill - ♬ - crédit/disneyisfullofmagic
Les malices verbales ont laissé place aux jeux d’enfants qui, bercés par l’inconscience du moment, oublie les choses futiles auxquelles les adultes s’attachent trop : dans la bataille colorée que les deux grands gamins ont entrepris, leurs cheveux et leurs vêtements se parent de pigments froids et liquides qui glissent sur les tissus comme sur leurs peaux, mais ce sont leurs rires mêlés que l’on remarque surtout puisque, malgré leur grand âge respectif, ils ont l’air de deux âmes candides qui s’ébattent dans le sable sans même se préoccuper des regards parfois interloqués qu’on pose sur eux ’’Ne me sous estime pas.’’ il redresse un sourcil en immobilisant aussi bien ses mains que ses jambes, même si la menace de ses tubes de peinture est toujours suffisamment haute pour qu’il puisse s’en servir si sa cible effectue une nouvelle attaque, et c’est bien ce qu’elle fait ; dans un nouvel éclat de rire, il fronce aussi bien ses sourcils que la peau fine ses paupières, effectuant un geste de repli en répondant, sans pouvoir la discerner dans le décor ’’Tu triches !’’ qu’il scande sans la moindre honte, ayant passé trop de temps à éponger la peinture autour de ses paupières our la voir se rapprocher, presque comme un félin guettant sa proie ; avant même qu’il ne réalise leur soudaine proximité, elle pose ses mains froides sur ses joues en lui faisant ouvrir la bouche de quelques degrés, tant par la désagréable sensation du liquide sur sa peau que par la défaite qui se profile, et qu’il ne peut admettre aussi facilement ’’Tu vas être ma plus belle oeuvre d'art, c'est certain.’’ il grimace de refus et d’amusement, en fronçant le milieu de son nez avant qu’une idée lumineuse ne vienne faire pétiller ses yeux qui évaluent le rapprochement effectué entre leurs deux corps ; la laissant croire qu’elle a l’avantage, il émet un petit rire espiègle en donnant l’impression de rendre les armes, relevant même ses mains auprès de son visage barbouillé comme si cela allait être un geste de reddition mais… ’’On fera un beau duo, dans ce cas.’’ qu’il prononce en profitant d’avoir les bras relevés pour presser ses mains autour des tubes de peinture, déversant ainsi une bonne quantité sur les cheveux de la demoiselle, sans cesser de rire puisque le liquide dégringole déjà sur ses tempes, le milieu de son front et même sur ses épaules. ’’Ton frère vient toujours nous chercher ? Parce que j’crois qu’on va ruiner sa voiture…’’ la gravité de leurs bêtises enfantines ne l’atteint pas tellement, le pianiste qui continue de rire comme s’ils n’étaient pas entièrement recouverts de peinture, puisque c’est suffisamment amusant pour qu’il oublie qu’ils n’ont plus l’âge de se rendre coupables de telles manoeuvres. ‘’Je lui dirai que c’est toi qui as commencé.’’ Visiblement, il a toujours l’âge, lui…
tryna hold on, did-didn't even know, i wasted it all just to watch you go, i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart what it meant to me will eventually be a memory of a time when, i tried so hard and got so far but in the end, to remind myself how i tried so hard, it doesn't even matter i had to fall to lose it all