ÂGE : 37 ans (05/12/1986) SURNOM : Clay pour ses proches. Charming dans le poste de soins. Le vase pour une autre. STATUT : Veuf. L'or qui orne toujours son doigt malgré les années. Le coeur qui se débat entre deux brunes. MÉTIER : Médecin urgentiste à l'Hôpital St Vincent. Ancien chef de mission pour médecins sans frontières. Rentré au pays pour sa fille, même si un bout de son âme restera à jamais là-bas. L'envie de repartir jamais bien loin. LOGEMENT : Logan City #134 Third Avenue. Une grande maison blanche sur 2 étages. Avec sa fille Emilia et Ethel (trop) souvent. POSTS : 1959 POINTS : 1750
TW IN RP : veuvage - décès - trauma - TCA - mélancolie - abandon - Violence physique et verbale. TW IRL : AucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : A toujours un paquet de bonbons sous la main depuis qu'il tente d'arrêter de fumer. ≈ Foutu électron libre qui en fait qu'à sa tête. ≈ Surnommé "Charming" à l'hôpital ≈ Père d'une petite fille de 6 ans prénommée Emilia. ≈ Faux calme, il est façonné dans cette ambivalence qui le rend imprévisible. ≈ A le cœur sur la main, mais peut se comporter comme le pire des connards (surtout avec Wild... Ouais bon avec Ethel aussi. Avec tout le monde en réalité.) ≈ rivière douce, parfois trop calme qui peut facilement se troubler. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #996666 RPs EN COURS : - Ethel (2 -3) - Wild/Chris (1) - Wild/Ethel (1) - Nina (1) - Ruben (1) - Eden (1) - Helen (2) - Alienor (1) - Wild (4)
Ethel
You don't know how lovely you are. I had to find you, tell you I need you. Tell you I set you apart. Tell me your secrets, and ask me your questions. Do no speak as loud as my heart. Oh and I rush to the start.
Wild
It's easy to push me away from you. Easy to say you want to be left on your own. Yet somehow I can't help but see. How your eyes shy away. Your hands seal the entrance and path to your heart. Anger kept fear and the sadness you feel. Under the surface for so long. Locked that room, you keep it inside.
Eden
Parce que je sais qu' tu t' sous-estimes, tu ris trop fort et la pièce s'illumine. Tu fais des concessions sans les souligner, héroïne de tous les dessins animés.
Alienor
UC RPs EN ATTENTE : - Chris (1) - Albane (1) - Landry (1) - Lily (1) RPs TERMINÉS : -Ethel (1) - Wild (1 - 2 - 3) - Wild FB (1) - Helen (1) - Chris Wild (1)AVATAR : Robert Pattinson CRÉDITS : avatar@Mooncalf signature paroles @Yuston XIII icons@M. Gif: @Noiram (Willay) userbar:@mystery-man Header@Girasois DC : Un vase, c'est bien suffisant. PSEUDO : Noiram INSCRIT LE : 12/05/2024
— Tu n'as même pas hésité un seul instant. T’es monté dans ta voiture, sous le joug de ce cœur qui est venu aliéné ta raison. Tu fais gronder le moteur avant de démarrer en trombe. Les rues du quartier pavillonnaire d’habitude si calmes deviennent le terrain d’une inquiétude que tu t'efforces de rationaliser. Mais tu peux sentir tes mains se crisper autour du volant alors que tu appuies sur l’accélérateur en arrivant sur la portion d’autoroute rattachée à Fortitude Valley. Tu suis les directives du tableau de bord où tu as rentré l’adresse du lieu qu'Ethel t’a indiqué. Tu peux encore entendre sa voix fluette enivrée par l’alcool. Dans un premier temps, ça te fit sourire de l’entendre ainsi divaguer, avant qu’un timbre plus grave vienne s'immiscer dans votre discussion. Couper court à votre échange sans approbation. Ses dernières paroles ont presque résonné en toi comme une menace. Comme un danger auquel la brune pourrait être exposée. Étouffant totalement la simple idée que c’est un autre vice qui pourrait t’animer. Cette jalousie cachée derrière ton orgueil et cette réserve que tu viens ébranler.
L’enseigne lumineuse de l’electric playground se met à briller et tu mets seulement quelques secondes à repérer la jeune femme dans la foule campée face à l’établissement. Tu fais crier tes freins avant de te garer. Tu sors de la voiture, avec ce visage sombre où ton océan se givre en observant la scène qui se joue devant toi. Tu marches vers eux en les fixant avec une rage que tu peines à dissimuler. La brune qui ne t’a pas encore remarqué semble enlisée dans une situation où elle a perdu tout contrôle. Un homme se tient devant elle et la dévore avec un regard que tu aimerais lui faire ravaler, mais c’est un autre geste qui te fera perdre pied. Sa main vient épouser sa mâchoire en tentant maladroitement de l’embrasser. T’es cette rivière trop calme et pourtant si imprévisible. Toi qui n’as pas pour habitude de laisser ta voix éclater, ton cœur frappe violemment dans ta poitrine pour t’y obliger. « HEY ! » Ça résonne presque comme un coup de tonnerre prêt à le foudroyer. Tu arrives à leur niveau quand ton regard se tourne instinctivement vers Ethel. Tu ne peux t’empêcher de remarquer ce maquillage qui souligne à la perfection les traits délicats de son visage et sa tenue dessinant ses courbes qu’elle ose rarement dévoiler. Tes yeux s’égarent un court instant, avant de sombrer dans ses iris. Comme pour l’interroger. Pour lui demander ce qu’il se passe, alors qu’elle serait dans son bon droit de te retourner la question.
Ton regard se glisse vers l’inconnu et se brode dans une noirceur que tu n’as pas pour habitude de dessiner en présence de la jeune femme. Tu poses une main contre ses reins pour l’inciter à t’écouter. « Ethel, monte dans la voiture. » Tes yeux percent toujours l’inconnu dans un dédain que tu rêverais de lui cracher au visage. « Mais tu te prends pour qui connard ? » Il s’approche de toi, putri de provocation pour te faire reculer. Il vient de faire flamber les braises en une simple phrase plus lourde de sens pour toi. Elle était censée être que la nounou, alors pourquoi tu sens ton sang brûler dans tes entrailles ? Et ça te fout encore plus en rage qu’il puisse toucher cette fragilité par une simple menace. Tu vas trop loin et tu dépasses toutes les bornes que tu tentais encore de préserver. Qu’importe, ce soir t’es complètement aveuglé. T’es à deux doigts de lui en foutre une pour le faire ployer.
J'ai des bleus sur tout le cœur. Je crois qu'j'ai grandi, j'crois qu'j'ai des remords. Tout le monde dort mais moi je danse sous la pluie. Je m'enfonce dans la brume. Je deviens nocif, là je me perds dans des ruines. Et je suis loin du monde, loin de tout. Loin de vous, loin de nous. Loin de moi.
Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
— Cette soirée s’était organisée à l’improviste. Un SMS d’une vieille copine d’université que tu n’avais pas vu depuis bien des mois pour une virée à l’electric playground et tu étais sortie de ton appartement trop vide et trop silencieux. Ça te faisais du bien de sortir ton fou, de danser, d’enfiler les verres, de ne pas penser à être responsable. Bien rapidement, tu as eu l'impression d’être de retour à tes vingt ans, lorsque tu ne te souciais pas de l’heure à laquelle tu allais te coucher et encore moins de l’état dans laquelle tu te retrouverais le lendemain matin. Lorsque ce n’était pas un shot que tu descendais, c’était un verre de vodka-canneberge. Le dancefloor t’appartenait. Tu ne te souciais pas des gens autour de toi, de ce mec qui s’approchait de plus en plus et qui tentait de t’attirer dans ses bras. Cette fois-ci, tu te foutais bien de faire bonne impression sur les autres, tu n’avais pas dans la tête de rentrer avec un homme comme lorsque tu étais à l’université. Lorsque la sonnerie de ton téléphone retentit dans ton sac à main, tu te dirigeais dans un coin plus tranquille pour tenter de comprendre ce que la personne à l’autre bout du fil te disait. Ton sourire s'agrandit en entendant le timbre de la voix de Clarence. Tu ne comprenais pas trop ses paroles, trop occupée à te dire que la soirée serait encore meilleure s’il était avec toi et pour ensuite tenter de réprimer un fou rire en essayant de l’imaginer sur un dancefloor bondé de gens. Tu étais pratiquement certaine que ce n’était pas son genre du tout de fréquenter ce genre d’endroit. Le même mec qui t'avait approché plus tôt arriva derrière toi alors que tu étais en train de tenter de déchiffrer les paroles de Clarence. Il te tira à l’extérieur et ne te laissa pas le temps de faire quoi que ce soit avant de te retirer ton portable des mains, de couper la communication et de le remettre dans ton sac à main. Tu étais trop affecté par l’alcool pour comprendre que ses agissements ne faisaient pas de sens. Il t’allumas une cigarette ainsi qu’à lui et s’approcha tranquillement de toi. Tu rigolais à ses paroles sans trop comprendre ce qu’il te disait. Si tu avais pris le temps d’analyser, tu aurais été mal à l’aise. Tu n’aurais pas aimé ses avances, ses phrases pré-faites et bien pourries pour tenter d’allumer les femmes. Tu baissais les yeux pour laisser tomber les cendres de ta clope dans la rue et lorsque tu les relevas, il avait une main sur ta mâchoire. Tu n'eus pas le temps de te reculer qu’il se penchait vers toi pour tenter de t’embrasser. Tu te retrouvas figé dans le temps, ne sachant pas trop si tu étais en désaccord avec son geste, mais une chose était sûre, c’était que tu n’étais pas consentante à ce baiser. « HEY ! » Clarence. Tu étais convaincue que c’était lui qui avait crié. Ton coeur, qui battait déjà rapidement, se mit à cogner aussi fort qu’il le pouvait dans ta poitrine. Il arriva rapidement près de toi et planta son regard dans le tien. Tu voyais les questionnements dans ses yeux, mais tu ne comprenais pas trop ce qu’il faisait là. Tout ce que tu savais, c’était que tu étais contente de le voir. La main qu’il posa contre tes reins était brûlante. Ton corps aimait beaucoup mieux le contact de Clarence que celui de cet inconnu un peu lourd qui tentait de profiter de ton état alcoolisé. Le regard qu’il lança à l’homme te glaça le sang. Sa colère était perceptible. « Ethel, monte dans la voiture. » L’homme que tu connaissais normalement si doux avec toi, compréhensif et attentif à sa fille n’était pas présent à ce moment. Tu avais peur de ce qu’il pouvait faire si tu le laissais seul. Tu réussissais à lire dans ses yeux la rage qu’il ressentait même si tu n’étais pas dans ton état habituel. Tu lui attrapa son autre main avec la tienne et tira du mieux que tu étais capable sans tomber au sol. Tout ce que tu voulais, c’était qu’il te suive. « J’y vais que si tu viens avec moi. » Ta voix qui se voulait assurée ne l’était pas du tout. Tout d’un coup, tu regrettais la quantité d’alcool ingérée dans ta soirée.
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Clarence Aldridge
l'électron libre
ÂGE : 37 ans (05/12/1986) SURNOM : Clay pour ses proches. Charming dans le poste de soins. Le vase pour une autre. STATUT : Veuf. L'or qui orne toujours son doigt malgré les années. Le coeur qui se débat entre deux brunes. MÉTIER : Médecin urgentiste à l'Hôpital St Vincent. Ancien chef de mission pour médecins sans frontières. Rentré au pays pour sa fille, même si un bout de son âme restera à jamais là-bas. L'envie de repartir jamais bien loin. LOGEMENT : Logan City #134 Third Avenue. Une grande maison blanche sur 2 étages. Avec sa fille Emilia et Ethel (trop) souvent. POSTS : 1959 POINTS : 1750
TW IN RP : veuvage - décès - trauma - TCA - mélancolie - abandon - Violence physique et verbale. TW IRL : AucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : A toujours un paquet de bonbons sous la main depuis qu'il tente d'arrêter de fumer. ≈ Foutu électron libre qui en fait qu'à sa tête. ≈ Surnommé "Charming" à l'hôpital ≈ Père d'une petite fille de 6 ans prénommée Emilia. ≈ Faux calme, il est façonné dans cette ambivalence qui le rend imprévisible. ≈ A le cœur sur la main, mais peut se comporter comme le pire des connards (surtout avec Wild... Ouais bon avec Ethel aussi. Avec tout le monde en réalité.) ≈ rivière douce, parfois trop calme qui peut facilement se troubler. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #996666 RPs EN COURS : - Ethel (2 -3) - Wild/Chris (1) - Wild/Ethel (1) - Nina (1) - Ruben (1) - Eden (1) - Helen (2) - Alienor (1) - Wild (4)
Ethel
You don't know how lovely you are. I had to find you, tell you I need you. Tell you I set you apart. Tell me your secrets, and ask me your questions. Do no speak as loud as my heart. Oh and I rush to the start.
Wild
It's easy to push me away from you. Easy to say you want to be left on your own. Yet somehow I can't help but see. How your eyes shy away. Your hands seal the entrance and path to your heart. Anger kept fear and the sadness you feel. Under the surface for so long. Locked that room, you keep it inside.
Eden
Parce que je sais qu' tu t' sous-estimes, tu ris trop fort et la pièce s'illumine. Tu fais des concessions sans les souligner, héroïne de tous les dessins animés.
Alienor
UC RPs EN ATTENTE : - Chris (1) - Albane (1) - Landry (1) - Lily (1) RPs TERMINÉS : -Ethel (1) - Wild (1 - 2 - 3) - Wild FB (1) - Helen (1) - Chris Wild (1)AVATAR : Robert Pattinson CRÉDITS : avatar@Mooncalf signature paroles @Yuston XIII icons@M. Gif: @Noiram (Willay) userbar:@mystery-man Header@Girasois DC : Un vase, c'est bien suffisant. PSEUDO : Noiram INSCRIT LE : 12/05/2024
— Tu peux sentir son océan sur toi se teinter de surprise et d'inquiétude. Ethel n’a pas pour habitude de te voir dans cet état. De voir la colère te défigurer ainsi. À ses yeux, tu es seulement cet homme calme et réservé qu’elle a su dompter. T’es ce père aimant et rayonnant de bonheur lorsque sa fille est à ses côtés. Sa douceur et ses sourires ont réussi à démêler les fils de ton masque pour dévoiler ce cœur dissimulé sous le marbre. Elle est devenue cette âme qui apaise le trouble de tes pensées. Mais ce soir, Ethel est spectatrice de cette impulsivité qui vient sournoisement te posséder. Cette rage qui gronde dans ta poitrine et qui voudrait te faire plier. Tu regardes l’inconnu de haut alors qu’il vient te provoquer. L’alcool se distyle à travers chacun de ses pores et les vapeurs de son souffle qui viennent effleurer ton visage. T’as en horreur ce genre de mecs que tu juges sans même connaître de pauvres types paumés qui mériteraient de crever. T’es trop aveuglé par cette colère qui vient fulminer ce flegme qui t’anime au quotidien. Tu le fixes avec ce dédain que tu sais si bien dessiner. Il te fait pitié. Tu pourrais presque lui cracher à la gueule ce mépris que tu ressens en le dévisageant telle une vermine que tu serais prêt à écraser. La tête que tu fais de plus te permet de le surplomber, mais ce n'est pas pour autant que ce rat se laisse impressionner. T’as juste envie d'emmener Ethel loin d’ici. T’es criblé d’une jalousie que n’est pas censé éprouver. Tu te débats intérieurement avec une haine démesurée qui commence à s’étioler lorsque la main d’Ethel vient épouser la tienne. Tes opales se tournent automatiquement vers elle lorsque tu sens sa peau affaiblir le feu qui était sur le point de t’embraser.
Elle tente de jouer de son emprise pour te faire reculer. Sa voix faussement autoritaire te laisse sceptique le temps d’un flottement, puis tu finis par te noyer dans son océan et tu sens ce brasier en toi devenir un simple tas de cendres. Ton corps, qui était complètement tendu finit par se relâcher. Tu restes silencieux lorsque ta tête se baisse pour signifier que tu es prêt à abandonner. Tes doigts viennent se nouer un peu plus fort contre ses phalanges et tu relèves vers elle un regard lui faisant comprendre que tu étais prêt à partir avec elle. « Bah alors ma belle, on commençait simplement à s’amuser. » L’homme se rapproche d’Ethel et ce simple mouvement fait rougir les braises qui viennent à nouveau t'incendier. Tu l’attrapes par le col de son t-shirt avant de t’interposer. « Le consentement, c’est trop subtil comme notion pour toi ? » C’est une question à laquelle tu connais déjà la réponse. Ta voix se veut faussement calme et on peut sentir ton agacement claquer entre tes dents. Tu l’obliges à s’écarter en relâchant ton emprise tout en le projetant brusquement en arrière. Il est tellement alcoolisé qu’il se met à tanguer pour ne pas tomber. « On s’en va d’ici, si tu veux bien. » Ça sonne plus comme un ordre qu’une réelle suggestion. Tu n’oses pas la regarder, mais tes doigts s'égarent sur son bras avant de se glisser contre sa paume pour l’accompagner jusqu’à la voiture. Tu sens qu’elle vacille sous l’effet de l’alcool. Ta main encore libre vient se poser sur celle que tu tenais déjà pour libérer la première qui vient se poser contre sa taille pour la soutenir.
Vos corps se frôlent au fil de vos mouvements. Vous n’avez jamais eu cette promiscuité et t’es presque gêné que ce soit dans ces circonstances. Tu finis par lui ouvrir la porte de la voiture du côté passager avant de partir t’installer à ton tour. Tu lances un dernier regard à l’inconnu qui peste seul de l’autre côté du trottoir. Tu attaches la ceinture de la jeune femme qui ne semble pas assez lucide pour le faire. « Je te raccompagne chez toi. » Tu fais gronder le moteur pour démarrer. Vous n’êtes pas bien loin de ses quartiers. Ton regard reste fixé sur la route, mais tu ne peux t’empêcher de la regarder. Tu tentes de retrouver ton calme en soupirant toute cette colère que tu voudrais faire redescendre. Vous mettez peu de temps à vous garer juste en bas de son immeuble. Lorsque tu termines la manœuvre, ton regard vient capter le sien avec cette tendresse qui te colle à la peau quand tu es avec elle. « Est-ce que ça va ? » Tu n'as pas envie de la laisser seule. C’est maintenant l’inquiétude qui vient raidir tes lèvres. « Tu veux que je te raccompagne jusqu’à ta porte au moins ? »
J'ai des bleus sur tout le cœur. Je crois qu'j'ai grandi, j'crois qu'j'ai des remords. Tout le monde dort mais moi je danse sous la pluie. Je m'enfonce dans la brume. Je deviens nocif, là je me perds dans des ruines. Et je suis loin du monde, loin de tout. Loin de vous, loin de nous. Loin de moi.
Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
— Lorsque tu avais vu Clarence arriver, tes lèvres s’étaient dessinées en un doux sourire, heureuse de le voir apparaître. Rapidement, tu avais ressenti sa colère envers l’homme qui avait tenté de t’embrasser et tu ne comprenais pas ce qu’il lui prenait. À ce moment-même tu souhaitais ne pas être autant affectée par l’alcool pour pouvoir analyser son non-verbal adéquatement, pour être capable de l’apaiser et qu’il redevienne ce Clarence doux que tu connaissais. La main dans la sienne, tu exerçais une certaine force pour le tirer vers la voiture, pour qu’il ignore l’homme et qu’il porte son attention sur toi. Lorsque son regard croisa le tien, tu sentis ses muscles se détendre, ses yeux s’attendrirent. Ses doigts se fermèrent autour des tiens et tu lui adressa un petit sourire qui, t’espérait, allait l’inciter à oublier l’homme et ses agissements. « Bah alors ma belle, on commençait simplement à s’amuser. » Clarence t’échappa à ce moment. La panique envahit tout ton être lorsqu’il saisit l’homme par le col de son chandail. L’air que tu avais dans tes poumons sembla les quitter d’un coup, te donnant l’impression qu’un poids énorme se trouvait sur ta poitrine. Tu avais peur que les amis de l’homme en question arrivent en même temps, qu’ils donnent une raclée à Clarence. « Clarence, arrête s’il te plaît ! » Tu le suppliais de laisser tomber, de laisser l’homme derrière vous. Il ne t’était rien arrivé malgré qu’il était moins une lorsque le Aldrige était arrivé et c’était l’important. Tu continuais à tirer tant bien que mal sur sa main, espérant que ton contact allait contribuer à l’apaiser encore une fois. « Le consentement, c’est trop subtil comme notion pour toi ? » Le ton de sa voix te donnas froid dans le dos. Il tentait d’avoir l’air calme, mais tu le sentais prêt à exploser d’une seconde à l’autre. Tu avais peur. Pas de Clarence, tu avais peur pour lui. Il relâcha soudainement l’homme en le poussant vers l’arrière. Tu étais toujours agrippée à sa main dans un ultime espoir qu’il se rappel ta présence à ses côtés. « On s’en va d’ici, si tu veux bien. » Un seul hochement de ta tête fut ta réponse et tu te dirigeas vers sa voiture avec lui. Tu avais de la difficulté à marcher droit, à suivre le rythme un peu trop rapide des pas de Clarence. Un coup assit dans la voiture, il se pencha vers toi pour boucler ta ceinture. Sa proximité, son odeur te donnèrent la chair de poule. « Je te raccompagne chez toi. » Tu ne t’attendais pas à ressentir cette déception qu’il n’ait pas décidé de te ramener chez lui. Tu n’avais pas envie d'être seule alors que cette soirée devait te donner l’occasion de t’amuser, d’oublier toutes tes responsabilités. Pendant tout le trajet, tu ne pouvais t’empêcher de le regarder et tu constatais qu’il faisait de même. Tu sentais encore une fois la colère dans son corps et tu ne comprenais pas elle venait d’où. Tu n’arrivais pas à savoir s’il était en colère contre toi ou contre l’inconnu du bar. « Je suis désolé, je ne voulais pas te raccrocher la ligne au nez tout à l’heure. J’aurais dû te rappeler dans un endroit plus tranquille. » Parce que pour toi, s’il était arrivé au bar, c’était forcément parce qu’il était en colère que tu n’ais pas prit le temps de lui parler lorsqu’il t’avait appelé sinon il serait resté tranquille chez lui, à profiter d’une soirée sans travail et sans sa fille. Tu posas ta main sur celle de Clarence qui était posée sur le levier de la transmission. Tu te sentais nerveuse et sans t’en rendre compte, ton index se mit à faire des petits ronds sur le dessus de sa main, dans un geste que tu voulais surtout réconfortant pour toi. « Est-ce que ça va ? » Tu relevas les yeux vers lui, hocha de la tête. « Et toi ? » Elle était là la vraie question. Est-ce qu’il allait bien ? Est-ce qu’il était toujours en colère ? Tu commençais à avoir de la difficulté à le lire, ton taux d’alcoolémie étant encore assez élevé dans ton sang. « Tu veux que je te raccompagne jusqu’à ta porte au moins ? » L’idée qu’il parte et qu’il te laisse toute seule te répugnais. Tu ne voulais pas rentrer dans ton appartement vide, sans bruit et sans âme. « Laisse-moi pas. » Quasiment comme une supplication, ta phrase était lourde de sens. Tu entrepris de te libérer de la voiture de Clarence et de monter tranquillement les escaliers menant à la porte de ton appartement. Tu réussis tant bien que mal à trouver tes clés, à les faire entrer dans la serrure et à ouvrir la porte de ce logis que tu détestais tellement. Rendu à l’intérieur, tu enlevas tes chaussures et te dirigeas directement dans la cuisine, ouvrit ton réfrigérateur qui ne contenait pas vraiment de nourriture et en sortit une bière pour Clarence ainsi que du jus de canneberge pour te faire un verre de vodka canneberge. Tu n’avais pas l’intention de terminer ta soirée sur cette mauvaise fin. Tu débouchas la bière tant bien que mal et fit ton verre, mettant pratiquement le tiers en vodka et le reste en jus. « On va prendre un verre sur le balcon, vient. » Attrapant une cigarette en passant, tu allas prendre place sur une des deux chaises qu’il y avait à l’extérieur, sortant pied nue dans la fraîcheur de la nuit du mois de juin.
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Clarence Aldridge
l'électron libre
ÂGE : 37 ans (05/12/1986) SURNOM : Clay pour ses proches. Charming dans le poste de soins. Le vase pour une autre. STATUT : Veuf. L'or qui orne toujours son doigt malgré les années. Le coeur qui se débat entre deux brunes. MÉTIER : Médecin urgentiste à l'Hôpital St Vincent. Ancien chef de mission pour médecins sans frontières. Rentré au pays pour sa fille, même si un bout de son âme restera à jamais là-bas. L'envie de repartir jamais bien loin. LOGEMENT : Logan City #134 Third Avenue. Une grande maison blanche sur 2 étages. Avec sa fille Emilia et Ethel (trop) souvent. POSTS : 1959 POINTS : 1750
TW IN RP : veuvage - décès - trauma - TCA - mélancolie - abandon - Violence physique et verbale. TW IRL : AucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : A toujours un paquet de bonbons sous la main depuis qu'il tente d'arrêter de fumer. ≈ Foutu électron libre qui en fait qu'à sa tête. ≈ Surnommé "Charming" à l'hôpital ≈ Père d'une petite fille de 6 ans prénommée Emilia. ≈ Faux calme, il est façonné dans cette ambivalence qui le rend imprévisible. ≈ A le cœur sur la main, mais peut se comporter comme le pire des connards (surtout avec Wild... Ouais bon avec Ethel aussi. Avec tout le monde en réalité.) ≈ rivière douce, parfois trop calme qui peut facilement se troubler. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #996666 RPs EN COURS : - Ethel (2 -3) - Wild/Chris (1) - Wild/Ethel (1) - Nina (1) - Ruben (1) - Eden (1) - Helen (2) - Alienor (1) - Wild (4)
Ethel
You don't know how lovely you are. I had to find you, tell you I need you. Tell you I set you apart. Tell me your secrets, and ask me your questions. Do no speak as loud as my heart. Oh and I rush to the start.
Wild
It's easy to push me away from you. Easy to say you want to be left on your own. Yet somehow I can't help but see. How your eyes shy away. Your hands seal the entrance and path to your heart. Anger kept fear and the sadness you feel. Under the surface for so long. Locked that room, you keep it inside.
Eden
Parce que je sais qu' tu t' sous-estimes, tu ris trop fort et la pièce s'illumine. Tu fais des concessions sans les souligner, héroïne de tous les dessins animés.
Alienor
UC RPs EN ATTENTE : - Chris (1) - Albane (1) - Landry (1) - Lily (1) RPs TERMINÉS : -Ethel (1) - Wild (1 - 2 - 3) - Wild FB (1) - Helen (1) - Chris Wild (1)AVATAR : Robert Pattinson CRÉDITS : avatar@Mooncalf signature paroles @Yuston XIII icons@M. Gif: @Noiram (Willay) userbar:@mystery-man Header@Girasois DC : Un vase, c'est bien suffisant. PSEUDO : Noiram INSCRIT LE : 12/05/2024
— Le soleil semblait ne plus vouloir se lever. Il faisait nuit noire sur tes jours sans aucune étoile pour te guider. T’es rentré dans ce pays qui n’a jamais été le tien lorsque ta vie s’est effondrée. T’as perdu tous ces repères que tu as mis tant de temps à te forger. T’as perdu le pilier de ton monde lorsqu’elle s’est écroulée. T’étais qu’une épave à la dérive qui survivait pour sa fille. Ce père célibataire qui tentait de lier sa carrière à sa vie de famille. Et t’avais l’impression de ne rien savoir gérer. D’être si seul et à la fois trop orgueilleux pour demander de l’aide à tes proches. Alors t’as préféré passer une annonce et faire confiance à une simple inconnue. Rien n’était calculé. Ethel est ce doux imprévu venu dessiner l'aurore inespéré.
Quand tu entends le supplice briser sa voix à cause de toi, ça te ronge presque jusqu’au sang. Car tu as cru durant un temps que c’était seulement ton monde qu’elle adoucissait. Mais en réalité, Ethel a le pouvoir de calmer cette tempête à la fois trop sourde et sinueuse qui semble toujours plus te consumer. Elle est la seule à savoir t’apaiser. Un simple regard, la chaleur de sa peau contre la tienne suffisent pour que ton cœur se mette à battre une douce mélodie qu’il ne pensait pas pouvoir chanter. Elle a créé un manque chez toi que seule sa présence arrive à combler. Un message, quelques paroles ou un sourire échangé, tu as toujours ce besoin de tirer sur ce fil qui vous lie pour te rassurer. Alors tu te sens coupable d’être venu t'immiscer dans sa vie sans y être invité. D’être la source de la frayeur que tu peux percevoir au fond de ses yeux.
Elle hoche simplement la tête en guise de réponse lorsque tu lui proposes de vous évaporer et ça te suffit pour resserrer l’emprise de tes doigts contre les siens pour la guider jusqu’à la voiture. Tu te mets en route pour la raccompagner chez elle et pour la première fois depuis votre rencontre, c’est un silence pesant qui s'abat sur vous. T’essayes de te concentrer sur la route, mais ton océan ne peut s’empêcher de voguer vers elle. Et lorsque vos regards se croisent, tu préfères l’éviter et détourner le tien vers l’extérieur. T’essayes d’évacuer la colère qui brûle encore dans tes entrailles. Ses paroles résonnent jusqu’à toi et tu ne sais pas quoi lui répondre sur l’instant. Une fois de plus, Ethel se croit coupable alors qu’elle est d’une innocence déconcertante. Ça t’aurait certainement fait sourire dans d’autres circonstances. La brune a le don pour remettre toute son existence en question et à croire que tous les maux du monde de sa faute. T’aimerais qu’elle puisse se faire un peu plus confiance et qu’elle puisse se voir à travers tes yeux. Sa main se pose sur la tienne avant que l’un de ses doigts ne dessine ce qui semble être des cercles sur ta peau. C’est presque futile, instinctif. Comme un rituel qui pourrait dissiper l’angoisse que tu peux sentir dans ce simple effleurage. Tu la laisses faire, comme si de rien était. Pourtant, ça vient réveiller cette tendresse que tu ressens pour elle.
Lorsque vous arrivez, tu ne peux t’empêcher de lui demander comment elle va. Ethel à pour seule réaction un simple oui silencieux que tu répètes par mimétisme quand elle te retourne la question. Ton regard se baisse pour ne pas qu’elle puisse déceler le trouble qui t’habite encore et qui pourrait remettre en doute ton honnêteté. Après un court silence, tu finis par relever un océan fragile sur elle et laisser cette proposition qui vient déborder sur tes lèvres. C’est plus fort que toi. T’as pas envie de l’abandonner ici après tout ce qu’il vient de se passer. Sa réponse sonne presque comme un supplice doux et sincère cette fois. Ton visage s’orne d’un sourire rassuré avant de sortir de la voiture. Tu suis Ethel sans rien ajouter, tu restes juste derrière dans les escaliers pour éviter qu’elle puisse tomber. Tu connais sa maladresse légendaire, alors tu te prépares à réagir au moindre tangage qui pourrait la faire brusquement vaciller. Elle fait chanter les clés dans la serrure et tu viens seulement de réaliser que tu n’es jamais venu chez la brune. Lorsque la porte s’ouvre, ton regard sillonne entre les murs qui ont l’air quelque peu défraîchis. Tu restes un instant planté sur le pallier et tes yeux dérivent sur la silhouette délicate de la jeune femme avançant vers la cuisine. Tes dents viennent mordre cette lèvre un brin amusée et gênée. Ta tête se baisse et se secoue dans un mouvement presque imperceptible pour tenter de te ressaisir. Tu sais qu’en rentrant, vous allez une fois de plus encore ce soir tout transgresser, renforcer ce lien entre vous qui t’incite à la rejoindre. Ton regard se perd sur l’intérieur un brin modeste, sans fioriture qui te ramène à une vie plus modeste que tu as connue par le passé. Tu t’avances en retirant tes chaussures à côté des siennes et tu te retournes pour l’observer dans son environnement. Dans un étonnement silencieux, tu arques un sourcil devant ce frigo vide et ce qu’elle s’apprête à servir. Et il y a cette inquiétude qui vient se greffer à toi.
Tes yeux se focalisent sur ce fichu verre et cette cigarette lorsque la brune passe devant toi en t’invitant à la suivre sur le balcon. Tu restes immobile le temps d’une courte réflexion. Ta poitrine se soulève et retombe lourdement sous le poids d’une profonde inspiration avant que tes jambes ne se remettent en mouvement. Tu la retrouves à l’extérieur et la brune est déjà installée sur une chaise. Cigarette allumée entre les doigts et verre de vodka dans l’autre main. La scène qui se joue devant toi te fait gronder un râle d’agacement au fond de ta poitrine. La jeune femme s’apprête à prendre une première gorgée, mais tu la devances en lui retirant délicatement le verre dans un mouvement qui se veut presque ferme. « Je pense que vous avez eu votre quota d’alcool pour la soirée, Mademoiselle Hartfield. » Ta voix se veut quelque peu provocatrice et désabusée. Tu lui lances un léger sourire moqueur tandis que ton bras se lève vers le ciel pour faire refléter la lune à travers le verre. Le rendant totalement inaccessible pour sa petite taille avant de le jeter son contenu sur une plante morte depuis certainement plus d’une éternité. Ton visage prend ce masque faussement navré. Tu profites de sa surprise pour lui retirer sa cigarette et la faire rougir entre tes lèvres. « C'est à moi de m'excuser, pas à toi. » Tu fais référence à ce qu'elle t'a dit quand vous étiez encore dans la voiture. « J'étais tellement inquiet pour toi.. » Tes mots sonnent comme des aveux griffés par la douleur. Par une jalousie que tu n'oses t'avouer. La nicotine s'évapore lentement en une fumée qui accentue ton regard posé sur elle. Tu lui tends sa cigarette pour la lui rendre. « J'ai complètement dépassé les bornes, pardonne moi. »
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Quand j'brûle, j'deviens meilleur
J'ai des bleus sur tout le cœur. Je crois qu'j'ai grandi, j'crois qu'j'ai des remords. Tout le monde dort mais moi je danse sous la pluie. Je m'enfonce dans la brume. Je deviens nocif, là je me perds dans des ruines. Et je suis loin du monde, loin de tout. Loin de vous, loin de nous. Loin de moi.
Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
— Clarence dans ton appartement, tu n’aurais jamais cru ça possible. Tu ne laissais jamais personne entrer chez toi, par honte de ce lieu que tu essayais de déserter le plus possible. Tu ne t’étais jamais senti bien dans ce petit trois pièce et demi qui sentait l’humidité et qui n’avait pas d’eau chaude pour la plupart du temps. Tu avais honte d’habiter dans un lieu qui manquait de charme, qui ne collait pas du tout à ta personnalité, mais tu n’avais pas les moyens de trouver mieux. Tu devais payer tes dettes d’étude que tu trainais depuis trop longtemps avant de penser à déménager. Toutefois, depuis que tu travaillais chez Clarence à temps plein, tu ne ressentais plus un besoin aussi pressant de partir de cet immeuble que tu détestais jusqu’au plus profond de ton être. Tu avais maintenant un espace où tu étais en train de te créer des souvenirs heureux et qui resteraient gravés longtemps dans ta mémoire. Si tu n’avais pas été autant intoxiqué par l’alcool, tu aurais donc refusé qu’il monte jusqu’à chez toi. Tu n’aurais pas voulu qu’il constate l’état de cet endroit, de peur que son opinion sur toi change. Toutefois, tu n’avais pas envie de terminer cette soirée seule. Tu avais besoin de sa présence autour de toi, besoin que tu réussissais normalement à réprimer. Tu le regarda mettre ses chaussures à côté des tiennes à côté de la porte et un léger sourire apparut sur tes lèvres. Sans savoir pourquoi, ça te faisait plaisir de voir ses choses là, à côté des tiennes comme si c’était normal. Tes gestes pour te servir ce verre de vodka n’étaient pas fluides, tu te cognas la hanche contre le comptoir en essayant de sortir pour aller sur le balcon, mais tu n’avais qu’une idée en tête et c’était de continuer cette soirée avec Clarence. Tu pris place sur ta chaise, ramena un pied sur le bord de l’assise de celle-ci. Comme tu approchais ton verre de tes lèvres où tu avais appliqué une couleur rouge foncée, tu le sentis glisser de tes mains. ”Je pense que vous avez eu votre quota d’alcool pour la soirée, Mademoiselle Hartfield.” Tu te retournas vers lui, surprise qu’il ose t’enlever ton verre de cette manière. Ta main s'étirait vers lui pour le reprendre, mais tes mouvements étaient trop lent et lui trop rapide. Le verre fut hors de ta portée rapidement, sans que tu puisses y changer quelque chose. Il se retourna et le vida dans le pot de la plante que tu avais mis là il y avait quelque mois sans jamais vraiment l’arroser. ”Hey ! Ma plante !” L’idée d’aller te refaire un verre avec un air de défi sur le visage te passa par la tête. Tu décida toutefois de te donner un répit puisque tu sentais que les derniers shots que tu avais pris juste avant l'arrivée de Clarence au bar commençaient à faire leur effet. Et aussi vite que ton verre avait disparu, ce fut maintenant au tour de ta cigarette de quitter ta main. Tu l’observais prendre tirer sur cette cigarette et te surpris à penser à quel point il était beau posé là, nonchalant, dans sa veste de cuir sur ton balcon. ”C'est à moi de m'excuser, pas à toi.” Il te tira soudainement de tes réflexions. Tes yeux quittèrent ses lèvres pour se diriger dans son regard. Tes sourcils se froncèrent dans un mouvement d’incompréhension. Tu ne comprenais pas pourquoi il s’excusait. ”J'étais tellement inquiet pour toi.. J'ai complètement dépassé les bornes, pardonne moi.” Tu soutenais son regard, tentais de comprendre pourquoi il était inquiet pour toi. Tu tiras sur ta cigarette, souffla la fumée doucement. ”J’espère bien que tu es désolé. Cette pauvre plante ne se remettra probablement jamais d’avoir reçu ce verre qui m’était destiné.” Un sourire espiègle prit place sur ton visage. Tu ne lui en voulais pas d’être venu te chercher au bar. Tu étais certaine que tu passerais une meilleure fin de soirée avec lui. ”J’ai bien cru que vous alliez vous battre. C’était la première fois que deux hommes se disputaient pour moi.” Tu lui fis un clin d’oeil pour lui montrer que tu le taquinais avant de remettre ta cigarette entre tes lèvres et de diriger ton regard vers le ciel étoilé. C’était rare que de ton appartement tu étais capable de les distinguer puisque la lumière des lampadaires de ton quartier éclairaient trop la nuit. Toutefois, il y en avait un de grillé depuis quelques jours et ça te permettait de voir les petits points scintillants dans sur la toile noire. ”Tu étais inquiet de quoi ? Je ne passais qu’un moment avec d’anciennes amies… Merde, je ne leur ais pas dit que j’étais partie.” Tu te levas brusquement de ta chaise pour rentrer dans ton appartement et aller envoyer un SMS à Jessy et Kate que tu étais désormais chez toi. Une fois de plus, tu ne regardas pas ce que tu faisais. En essayant de passer devant Clarence, tu te pris les pieds dans le barreau de sa chaise et tomba à la renverse par-dessus lui, le visage suffisamment près du sien pour sentir son souffle sur tes lèvres. ”Je suis désolé.” Que tu lui chuchotait sans toutefois faire le moindre mouvement pour te relever.
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Clarence Aldridge
l'électron libre
ÂGE : 37 ans (05/12/1986) SURNOM : Clay pour ses proches. Charming dans le poste de soins. Le vase pour une autre. STATUT : Veuf. L'or qui orne toujours son doigt malgré les années. Le coeur qui se débat entre deux brunes. MÉTIER : Médecin urgentiste à l'Hôpital St Vincent. Ancien chef de mission pour médecins sans frontières. Rentré au pays pour sa fille, même si un bout de son âme restera à jamais là-bas. L'envie de repartir jamais bien loin. LOGEMENT : Logan City #134 Third Avenue. Une grande maison blanche sur 2 étages. Avec sa fille Emilia et Ethel (trop) souvent. POSTS : 1959 POINTS : 1750
TW IN RP : veuvage - décès - trauma - TCA - mélancolie - abandon - Violence physique et verbale. TW IRL : AucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : A toujours un paquet de bonbons sous la main depuis qu'il tente d'arrêter de fumer. ≈ Foutu électron libre qui en fait qu'à sa tête. ≈ Surnommé "Charming" à l'hôpital ≈ Père d'une petite fille de 6 ans prénommée Emilia. ≈ Faux calme, il est façonné dans cette ambivalence qui le rend imprévisible. ≈ A le cœur sur la main, mais peut se comporter comme le pire des connards (surtout avec Wild... Ouais bon avec Ethel aussi. Avec tout le monde en réalité.) ≈ rivière douce, parfois trop calme qui peut facilement se troubler. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #996666 RPs EN COURS : - Ethel (2 -3) - Wild/Chris (1) - Wild/Ethel (1) - Nina (1) - Ruben (1) - Eden (1) - Helen (2) - Alienor (1) - Wild (4)
Ethel
You don't know how lovely you are. I had to find you, tell you I need you. Tell you I set you apart. Tell me your secrets, and ask me your questions. Do no speak as loud as my heart. Oh and I rush to the start.
Wild
It's easy to push me away from you. Easy to say you want to be left on your own. Yet somehow I can't help but see. How your eyes shy away. Your hands seal the entrance and path to your heart. Anger kept fear and the sadness you feel. Under the surface for so long. Locked that room, you keep it inside.
Eden
Parce que je sais qu' tu t' sous-estimes, tu ris trop fort et la pièce s'illumine. Tu fais des concessions sans les souligner, héroïne de tous les dessins animés.
Alienor
UC RPs EN ATTENTE : - Chris (1) - Albane (1) - Landry (1) - Lily (1) RPs TERMINÉS : -Ethel (1) - Wild (1 - 2 - 3) - Wild FB (1) - Helen (1) - Chris Wild (1)AVATAR : Robert Pattinson CRÉDITS : avatar@Mooncalf signature paroles @Yuston XIII icons@M. Gif: @Noiram (Willay) userbar:@mystery-man Header@Girasois DC : Un vase, c'est bien suffisant. PSEUDO : Noiram INSCRIT LE : 12/05/2024
— C’est presque trop beau pour être vrai. C’est presque trop doux, ce bonheur que tu ressens auprès d’elle. Cette alchimie qui t’enivre entre les murs délabrés de son logement au charme désuet. C’est presque trop simple et trop spontané, mais qu’importe, tu te laisses porter par l’étrangeté de ce moment commencé dans les affres d’une jalousie indomptée. Alors tu la regardes se mouvoir avec ce naturel brodé de maladresse qui a le don d’esquisser les prémisses d’un sourire sur tes lèvres. Et tu sens ton cœur danser, valser avec cette légèreté qu’il pensait avoir oublié. Seulement confus par ce besoin toujours plus impérieux de la sentir à tes côtés. Mais il y a cette ombre au tableau que tu voudrais pouvoir un jour effacer. Elle est jamais bien loin, cette inquiétude que tu gardes scellée dans ta gorge qui se noue en la voyant si maigre. T’aimerais lui avouer tes doutes sans avoir peur de la froisser. De venir réveiller des blessures que tu ne serais pas âme de pouvoir guérir.
Alors tu la regardes s’en aller sur le balcon, avec ce verre de trop et certainement le ventre vide depuis longtemps. Tu pourrais ne pas réagir, rester sans rien dire en la apercevant s’installer ainsi en toute impunité. Alors pourquoi tu ressens ce besoin si vorace d'interférer ? C’est plus fort que toi, Clarence. Tes pensées s’emballent en même temps que tes jambes te ramènent à elle pour venir lui arracher ce verre que tu voudrais balancer. Ses yeux brodés d’étonnement, ont le don d’adoucir cette colère qui t’envenime maladivement. Tu la regardes essayer tant bien que mal de reprendre son dû avec un amusement qui illumine ton visage normalement insondable. Tu jettes le liquide dans un pot accroché à la rambarde et tu l’entends s’offusquer. « Vu son état, ça la fera peut-être ressusciter… » Tu soutiens son regard en silence et tu peux y déceler sa vile tentative de vouloir préméditer une rébellion que tu es prêt à étouffer. « Heureusement que tu t’occupes mieux des enfants que de tes plantes, sinon j’aurais du souci à me faire. » Et c’est presque un rire qu’elle peut entendre retentir dans ta poitrine. Ton océan se noie dans le sien quand tu viens lui emprunter dans un geste trop spontané sa cigarette que tu fais crépiter entre les lèvres. La nicotine t’aide à t’apaiser, alors qu’un silence vous entoure lorsque tu ressens son regard sur tes lèvres. Et tu la dévores avec tes opales teintées d’une gravité qui se faufile à travers la fumée et tes paroles cousues de regret. Tu soutiens son regard qui se débat dans une incompréhension que tu as du mal à interpréter.
Et à ton tour, tes yeux se posent sur ses lèvres qui embrassent cette foutue cigarette qui était auparavant entre les tiennes. Et ça te laisse presque la sensation d’un baiser échangé. T’aurais presque le goût de la lui retirer à nouveau pour pouvoir à nouveau la savourer. Tes sourcils se froncent alors que tes cils s’efforcent de dissiper cette émotion alors que tu t’assois sur la chaise juste en face de la sienne.
Sa première réplique dépose un sourire sincère et complice alors que tu la scrutes du coin des yeux. « J’ai bien cru que vous alliez vous battre. C’était la première fois que deux hommes se disputaient pour moi. » Tu accueilles d’un subtil mouvement de tête cette information avant de faire suivre ton regard dans la même direction que le sien. Les étoiles te rappellent toujours Eden et vos soirées passées à les contempler. À vous allonger tout en profitant du peu de moments d’accalmie que votre vie vous offrait. Sa question te sort de tes pensées. Et tu as à peine le temps d’y réfléchir, que ton océan tente de suivre Ethel qui se lève précipitamment avant de tomber sur toi. Ta chaise tangue légèrement alors que tes bras viennent spontanément l’entourer pour la rattraper. « Je suis désolée. » Son visage est si près du tien que tu peux sentir la chaleur de ses paroles contre ta peau. Tu restes immobile le temps d’un flottement, en la regardant avec ce trouble que tu ne peux effacer. Le poids de son corps contre le tien t’est étrangement agréable. Vos océans se mélangent et tu tentes de déglutir pour trouver la force de faire résonner ta voix. « Et bien, votre centre de gravité semble encore plus détraqué que d’habitude, Mademoiselle Hartfield. » Tes bras ne la quittent pas, mais tu te relèves assez pour lui donner l’impulsion nécessaire pour qu’elle suive le même mouvement. Une fois debout, tu relâches ton emprise sans la moindre envie. « Petite information et pas des moindres, ton téléphone est dans ta poche, Ethel. » T’avais pu le sentir également contre toi lors de votre étreinte. « Alors évite de tomber à nouveau pour rien. » Tu lui lances un regard amusé tout en essayant de ne pas être gêné. « Rassure tes amies, avant qu’elles ne s'imaginent que je t’ai enlevée contre ton gré. » Ta voix se veut douce et presque feutrée. « En attendant, je vais essayer de nous préparer un truc à manger. Tout ça m'a ouvert l'appétit. » T'as ce large sourire presque espiègle tout en t'évaporant brusquement vers la cuisine pour fouiller sans lui demander son accord.
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Quand j'brûle, j'deviens meilleur
J'ai des bleus sur tout le cœur. Je crois qu'j'ai grandi, j'crois qu'j'ai des remords. Tout le monde dort mais moi je danse sous la pluie. Je m'enfonce dans la brume. Je deviens nocif, là je me perds dans des ruines. Et je suis loin du monde, loin de tout. Loin de vous, loin de nous. Loin de moi.
Dernière édition par Clarence Aldridge le Jeu 12 Sep 2024 - 22:01, édité 1 fois
Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
— Toi, lui, sur le balcon de ton appartement. Tu n’aurais jamais cru cette scène possible. Tu avais une certaine pudeur sur l’endroit où tu vivais, n’étant pas fière d’être locataire de ce bâtiment laissé à lui-même. Les dettes de tes études dans lequel tu n’avais jamais travaillé écrasaient ton budget, ne te laissant pas la chance de pouvoir t’installer dans un endroit plus douillet qui reflétaient un peu plus ta personnalité. L’envie de ne pas être seule ou plutôt, de garder Clarence avec toi et pour toi seule cette soirée-là l’avait emportée sur la gêne qu’il se rende compte que tu ne vivais pas dans un palace. Tu savais très bien que vous n'appartenez pas à la même classe, mais l’alcool avait fini d’effacer cette pudeur que tu avais tenté d’ériger entre toi et lui. Tu devais toutefois t’avouer que tu n’avais plus envie de cette séparation, de le tenir à l’écart de toi. Pas pour ce soir du moins. Cette petite flamme amusée que tu avais eu la chance de percevoir dans son regard lorsque tu protestais contre ton verre vider dans le pot de ta plante te fit chaud au coeur. Tu savais qu’il avait tenté de te tenir à l’écart de lui lors de ton embauche, de garder cette distance que ton statut d’employé exigeait normalement, mais tu avais réussi à le percer, tu le sentais. Et il aurait été faux de dire que le contraire n’était pas vrai. Tu avais l’impression de te remettre à respirer lorsqu’il était présent, que peu importe ce qui pouvait arriver, ce n’était pas grave, que vous étiez ensemble, prêt à faire face à vents et marées. « Vu son état, ça la fera peut-être ressusciter… Heureusement que tu t’occupes mieux des enfants que de tes plantes, sinon j’aurais du souci à me faire. » Un sourire espiègle prit place sur ton visage. C’était rare cette atmosphère légère et détendue entre vous deux, ayant toujours l’impression d’être dans les sous-entendus, mais tu profitais énormément du moment. Tu aimais qu’il te taquine, que tu puisses faire de même. Cette impression que le temps s’était arrêté autour de vous et qu’il n’existait maintenant que vous deux étaient tout à fait délectables. « Je te rappellerais que je ne mets plus aussi souvent les pieds ici hein. Il faudrait que je la ramène chez toi pour pouvoir m’en occuper comme il faut. » Parce qu’effectivement, depuis que tu travaillais à temps plein chez Clarence, ton appartement était plus souvent qu’autrement inhabité. Ce que tu ne lui disais pas, c’était que cette plante était probablement morte depuis l’année dernière et que tu ne t’étais toujours pas résolue à la jeter, te disant qu’il y avait probablement encore quelque chose à faire alors que tu ne lui donnais pas plus les soins qu’elle nécessitait. L’instant d’après, sans crier gare, tu étais sur lui, le poids de ton corps par dessus le sien. Il avait refermé ses bras sur toi, te tenant fermement. Tu n’arrivais pas à déterminer si c’était seulement pour t’empêcher de tomber plus bas ou bien à la manière d’un étreinte, mais tu n’avais aucune envie d’interrompre ce moment. « Et bien, votre centre de gravité semble encore plus détraqué que d’habitude, Mademoiselle Hartfield. » Tu sentais la chaleur de son corps, son souffle effleurer tes lèvres à chaque mot qu’il disait. Était-ce l’effet de l’alcool qui te donnait l’impression que tous tes sens étaient en alerte ? Il fut le premier à bouger, à faire en sorte que tu te retrouves sur tes pieds, dans un équilibre toutefois encore un peu précaire. « Petite information et pas des moindres, ton téléphone est dans ta poche, Ethel. Alors évite de tomber à nouveau pour rien. » Tu fronçais les sourcils, tapota les poches de tes shorts en cuir et réalisa qu’effectivement, ton portable était à l’intérieur de ceux-ci. Tu l’attrapas avec un sourire au visage et ouvrit la conversation que tu avais eu avec tes amies pour prévoir la soirée. Leur écrire un message n’était pas facile, considérant les lettres que tu accrochais avec tes doigts maladroits et engourdis par l’alcool. « Rassure tes amies, avant qu’elles ne s'imaginent que je t’ai enlevée contre ton gré. En attendant, je vais essayer de nous préparer un truc à manger. Tout ça m'a ouvert l'appétit. » Tu relevas le regard juste à temps pour le voir s’engouffrer dans ton appartement. Tu étais plutôt convaincue qu’il n’y avait pas de quoi se constituer quelque chose de satisfaisant avec le contenu de tes placards. C’est en titubant que tu réussis à le suivre, non sans te cogner le genou contre la chaise sur laquelle Clarence était assis quelques secondes auparavant. « On peut commander quelque chose tu sais ! » Tes yeux tombèrent sur ton portable que tu tenais toujours dans tes mains, ouvert sur le message plutôt incompréhensible que tu avais essayé d’écrire à tes copines. Tu pris plutôt la décision de leur envoyé un message vocal pour que ce soit plus compréhensible. Tu portas le téléphone au niveau de ta bouche avant de commencer à leur parler. « Les fiiiilles, je suis partie avec Clay, cherchez-moi pas, j’suis plus là. On se rappelle bientôt ! » Tu posa alors ton téléphone un peu brutalement sur l'îlot central que vous aviez construit quelques jours plus tôt toi et Ruben. Tu attrapas le menu du petit restaurant de type restauration rapide qu’il y avait non lui de chez toi. Ce dernier était retenu sur le devant de ton réfrigérateur par un aimant, au milieu de photos de ta famille. Celle qui était plus grande que les autres en était une de toi avec Jackson. Tu avais les joues un peu plus rondes, un teint plus rosé que présentement. Ton frère te tenait dans ses bras et vous faisiez tous les deux face à la caméra et on pouvait deviner facilement que vous étiez en train de rire. Vous aviez les mêmes yeux bleus, ceux si caractéristiques des Hartfield. « Choisis ce que tu veux là-dedans et après on met de la musique et on danse ! »
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Clarence Aldridge
l'électron libre
ÂGE : 37 ans (05/12/1986) SURNOM : Clay pour ses proches. Charming dans le poste de soins. Le vase pour une autre. STATUT : Veuf. L'or qui orne toujours son doigt malgré les années. Le coeur qui se débat entre deux brunes. MÉTIER : Médecin urgentiste à l'Hôpital St Vincent. Ancien chef de mission pour médecins sans frontières. Rentré au pays pour sa fille, même si un bout de son âme restera à jamais là-bas. L'envie de repartir jamais bien loin. LOGEMENT : Logan City #134 Third Avenue. Une grande maison blanche sur 2 étages. Avec sa fille Emilia et Ethel (trop) souvent. POSTS : 1959 POINTS : 1750
TW IN RP : veuvage - décès - trauma - TCA - mélancolie - abandon - Violence physique et verbale. TW IRL : AucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : A toujours un paquet de bonbons sous la main depuis qu'il tente d'arrêter de fumer. ≈ Foutu électron libre qui en fait qu'à sa tête. ≈ Surnommé "Charming" à l'hôpital ≈ Père d'une petite fille de 6 ans prénommée Emilia. ≈ Faux calme, il est façonné dans cette ambivalence qui le rend imprévisible. ≈ A le cœur sur la main, mais peut se comporter comme le pire des connards (surtout avec Wild... Ouais bon avec Ethel aussi. Avec tout le monde en réalité.) ≈ rivière douce, parfois trop calme qui peut facilement se troubler. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #996666 RPs EN COURS : - Ethel (2 -3) - Wild/Chris (1) - Wild/Ethel (1) - Nina (1) - Ruben (1) - Eden (1) - Helen (2) - Alienor (1) - Wild (4)
Ethel
You don't know how lovely you are. I had to find you, tell you I need you. Tell you I set you apart. Tell me your secrets, and ask me your questions. Do no speak as loud as my heart. Oh and I rush to the start.
Wild
It's easy to push me away from you. Easy to say you want to be left on your own. Yet somehow I can't help but see. How your eyes shy away. Your hands seal the entrance and path to your heart. Anger kept fear and the sadness you feel. Under the surface for so long. Locked that room, you keep it inside.
Eden
Parce que je sais qu' tu t' sous-estimes, tu ris trop fort et la pièce s'illumine. Tu fais des concessions sans les souligner, héroïne de tous les dessins animés.
Alienor
UC RPs EN ATTENTE : - Chris (1) - Albane (1) - Landry (1) - Lily (1) RPs TERMINÉS : -Ethel (1) - Wild (1 - 2 - 3) - Wild FB (1) - Helen (1) - Chris Wild (1)AVATAR : Robert Pattinson CRÉDITS : avatar@Mooncalf signature paroles @Yuston XIII icons@M. Gif: @Noiram (Willay) userbar:@mystery-man Header@Girasois DC : Un vase, c'est bien suffisant. PSEUDO : Noiram INSCRIT LE : 12/05/2024
— À quoi bon continuer de faire semblant. À quoi bon ignorer cette évidence que tu peines encore à comprendre. T’as essayé de garder tes distances. D’être simplement pour elle un père comme un autre qui a besoin d’aide. Qu’elle ne soit à tes yeux qu’un simple pion de plus sans importance dans l’échiquier de ta vie. De ceux que l’on renverse sans une once de culpabilité. Aveuglé par ce refus catégorique de laisser à une inconnue la possibilité de t’approcher. Tu te souviens encore de ces premières semaines passées à l’observer. À la sentir déstabilisée lorsque ton regard venait presque inconsciemment la fusiller. Puis il y a eu ces premiers sourires échangés lorsque tu voyais ta fille irradier au moment de la retrouver. Ces soirées où elle se perdait à rester discuter avec toi jusqu'à tard dans la nuit au lieu de rentrer. Ce sentiment toujours plus grand d’apaisement lorsque Ethel est là. Elle a comblé un vide qui n'existait pas jusqu’à ce que son absence soit toujours plus difficile à supporter. Alors ce soir, votre lien prend une tournure que ni elle ni toi n’auraient pu deviner. Il y a à peine deux heures, tu n’aurais jamais imaginé te retrouver au volant de ta voiture, putri d’une jalousie déplacée et prêt à casser la gueule du premier venu qui oserait la toucher. T’as débarqué sans y être invité. T’es reparti avec elle sans lui laisser le moindre choix, tel le putain d’égoïste et possessif que tu sais être.
Et malgré cette culpabilité qui se faufile dans une conscience encore embrumée par ces événements, t’es à la fois heureux et curieux de rentrer dans son jardin secret. D’apprendre à la connaître sous un autre angle que ton quotidien rythmé entre ton boulot, Millie et ces instants volés. Ce quotidien qui devient chaque jour un peu plus le sien et pour ainsi dire, le vôtre. T’en as rien à foutre de voir dans le regard de ceux qui s’attardent à vous observer, ces questions qui leur brûlent les lèvres. De celles que tu ne t’es jamais posées. Tu ne sais pas ce qu’elle représente pour toi et à vrai dire, tu n’as jamais pris le temps d’y réfléchir réellement. Mais t’es comme ça, tu ne calcules jamais rien. Tu te laisses porter par ces émotions pourtant si bien muselées qui tambourinent parfois trop fort dans ta poitrine et ce destin qui aime tirer les ficelles à ta place et faire de toi son éternel pantin. Toi, Clarence, tu foules cette fichue Terre sans te soucier réellement des répercussions que tu peux repousser au lendemain. Encore et encore. Mais son océan si proche et plongé dans le tien te déstabilise plus que tu ne veux te l’avouer. Et au fond, t’es bien conscient que tout ceci va trop loin. Que tu joues avec le feu en montant jusqu’ici. En lui décrochant un rire entre deux moments complices. En la serrant peut-être un peu trop fort contre toi lorsqu’elle tombe dans tes bras. Mais les rôles se sont inversés ce soir. Lorsque vous étiez encore dans la voiture, t’as pu sentir dans sa voix qu’elle avait besoin de toi. Et tu ne sais pas à quel point ça t'effraie, que vous soyez tous les deux si attachés l’un à l’autre.
Et ce soir, t’es cet autre Clarence qui ose se révéler. Cet homme au regard tendre et au sourire un brin malicieux. Que l’on peut effleurer sans pour autant avoir peur de te voir reculer. Mais là, c’est surtout ton estomac creusé par la faim qui te pousse à aller trouver de quoi te sustenter dans sa cuisine sans y être invité. T’as pas le temps d’apercevoir le vent de panique dans son regard que t’es déjà en train de fouiller dans les placards. Tu t’aperçois très vite que tout est pratiquement vide. Des aliments de premières nécessités et encore, certains placards post-apocalyptiques seraient certainement plus fournis que cela. Tu ouvres à peine le frigo dont tu avais déjà pu constater le néant de loin en arrivant. Et c’est une autre douleur qui vient te tordre les entrailles, cette angoisse qui devient toujours plus réelle. Tu te mords inconsciemment les lèvres, trop tenté de lui demander comment une femme qui aime autant faire à manger se retrouve avec une cuisine si sommaire. Mais tu sais que la brune en profitera pour te relancer dans les dents le fait qu'elle habite pratiquement chez toi. «On peut commander quelque chose tu sais ! » Tu te retournes vers elle et sa façon de tituber efface naïvement toutes ces questions qui te rongent. « Mais je vais littéralement mourir en attendant le livreur. » Tu dis ça presque sérieusement, avec un air tragique et fataliste. Tu te retournes vers le placard où tu attrapes le paquet de céréales que tu avais aperçu. T’écoutes Ethel faire son vocal avec un amusement ostentatoire tout en plongeant la main dans le paquet pour y sortir une poignée de ce riz soufflé sans goût. « Alors comme ça, tu me surnommes Clay devant tes copines, mais jamais quand tu t’adresses à moi, hein. » T’as ce sourire provocateur alors que tu gobes une autre dizaine de riz soufflé qui te font cette fois-ci grimacer. « Mais comment peux-tu manger ça ? C’est infâme ce machin. » Tu regardes à nouveau le carton que tu as entre les mains pour être sûr de ne pas t’être trompé. Ethel passe à côté de toi pour attraper un flyer perdu parmi les autres prospectus ou photos qui décorent la porte du frigo. T’es vite attiré par cette image d’une Ethel plus juvénile et radieuse aux côtés d’un garçon qui partage les mêmes traits qu’elle et étrangement, tu y vois également ceux de Ruben. Il te faut peu de temps pour comprendre qu’il s’agit certainement de Jackson. « Choisis ce que tu veux là-dedans et après on met de la musique et on danse ! » Tu attrapes le papier en question tel un robot qui se fige la seconde d’après. « Danser ? » Ton océan la dévisage avant de rigoler nerveusement. « Hors de question. » Tu sais qu’il faudra qu’elle essuie plus d’un refus avant d’abandonner. « Tu tiens à peine debout et tu voudrais danser ? » Tu l’incrimines pour essayer de passer sous silence cette réserve qui te rend si mal à l’aise dans ce genre de situation. « J'ai pas envie que tu te casses quelque chose… » Tu serais bien tenté de boire pour te désinhiber, mais tu as bien trop peur de laisser le champ libre à une impulsivité qui pourrait te faire déraper. « On a qu’à se prendre une grande pizza pour deux avec tous les légumes que tu souhaites dessus, histoire que tu éponges le trop plein d’alcool qui coule dans tes veines… » Histoire d'être sûr qu'elle ait quelque chose dans le ventre ce soir.
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Quand j'brûle, j'deviens meilleur
J'ai des bleus sur tout le cœur. Je crois qu'j'ai grandi, j'crois qu'j'ai des remords. Tout le monde dort mais moi je danse sous la pluie. Je m'enfonce dans la brume. Je deviens nocif, là je me perds dans des ruines. Et je suis loin du monde, loin de tout. Loin de vous, loin de nous. Loin de moi.
Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
— Tout était parti d’une petite annonce dans un journal et d’un besoin d’un boulot supplémentaire pour arrondir tes fins de mois. Tu le savais qu’en offrant tes services pour être la nounou d’un père seul que tu allais t’attacher à cet enfant. Le rire et l’amour que ces petits humains pouvaient démontrer t'avaient toujours rendue vulnérable. S’attacher au père n’avait toutefois pas été dans les prévisions. Tu t’étais rendue compte que Clarence était beaucoup plus important dans ta vie lorsque tu avais perdu ce boulot avec Hassan et que la peur de ne plus pouvoir être aussi disponible pour être avec Emilia t’enlève cette relation que tu commençais à développer avec lui. Au final, ça n’avait que contribuer à ce que tu passes encore plus de temps dans cette maison de Logan City, dans ce quartier que tu avais toujours cru inaccessible pour ton maigre budget. Toutefois, ce soir-là, vous étiez dans ton appartement, dans ton quartier un peu pourri et ton appartement plus que pourri. Vous étiez là tous les deux, à passer un moment léger, à vous taquiner sans les inhibitions qui te faisais parfois trop réfléchir à ce que tu lui dirais pour ne pas le blesser ou pour créer un froid entre vous deux. L’alcool t’apportait cette liberté dans tes paroles, dans tes actions qui te les feraient peut-être regretter le lendemain matin. « Mais je vais littéralement mourir en attendant le livreur. » Tu avais toutefois entreprit de laisser le message vocal à tes amis avant même de vraiment comprendre ce qu’il t’avait dit. De dos à lui, tu ne pouvais pas voir qu’il était en train de fouiner dans tes armoires, de constater qu’il n’y avait rien vraiment à manger à l’intérieur. Tu aurais probablement tenté de le dissuader si ça avait été le cas, essayant qu’il ne puisse pas faire le lien avec ton trouble alimentaire. « Alors comme ça, tu me surnommes Clay devant tes copines, mais jamais quand tu t’adresses à moi, hein. » Tu te retournas vers lui les joues rouges de t’être fait prendre en flagrant délit. Tu n’avais jamais osé utiliser son surnom, ne sachant pas vraiment si tu avais le droit où si cette familiarité était réservée à ceux qui le connaissait depuis longtemps. Tu haussas les épaules en essayant d’avoir l’air désinvolte. « Je peux prendre cette habitude de t’appeler Clay si tu préfère. Et ne va pas croire que je parle de toi à mes amies souvent. » Un petit mensonge blanc pour qu’il ne s’imagine pas à quel point tu étais important dans sa vie. Parce que tes amies avaient déjà comprit à quel point tu étais attachée à lui, que tu n’arrivais pas à lui dire non. Elles avaient compris qu’entre Clarence et Jonathan, la décision était souvent difficile à prendre, passant le choix du Aldridge sous les arguments de son travail et de l’impossibilité pour lui de dire non à l’hôpital. Tu ne voulais pas t’avouer toi-même que tu étais mieux chez ton patron que dans l’appartement de ton copain, celui-là qui t’avait fait flancher par son côté maladroit comme le tien, par sa facilité d’approche et les petites attentions qu’il pouvait avoir envers toi. Ces mêmes comportements qui te donnaient souvent l’impression d'étouffer quelques mois plus tard. « Mais comment peux-tu manger ça ? C’est infâme ce machin. » Tu pouffas de rire à voir le visage qu’il faisait lorsqu’il mit une poignée des céréales de riz soufflées dans sa bouche. Ça goûtait le carton et tu n’aimais pas vraiment ça, mais il y avait pratiquement pas de calorie à l’intérieur et tu étais capable d’en manger une quantité que te remplissais l’estomac sans avoir à te soucier du gras que tu venais d’ingérer. « Y’a des fibres là-dedans ! Et avec du lait d’avoine ça rajoute un petit côté sucré qui est délicieux. » Tu n’étais pas certaine que l’argument du lait d’avoine serait suffisant pour lui faire comprendre pourquoi tu mangeais ces céréales comme petit déjeuner, régulièrement pour le déjeuner et quelques fois au dîner. Même si ta consommation d’alcool de la soirée jouait sur ta capacité à analyser les paroles et les actions de Clarence, tu constata à quel point il s’était figé lorsque tu lui avais parlé de danser et ça te fit rigoler. « Danser ? Hors de question. Tu tiens à peine debout et tu voudrais danser ? » Tu éclata d’un rire franc. Tu ne savais pas qu’il n’aimait pas danser alors que toi, même si tu n’étais pas la meilleure pour avoir le rythme, tu adorais te laisser aller sur la piste de danse. Tu avais même prit à quelques reprises des cours de danse en ligne sur de la musique country. « J'ai pas envie que tu te casses quelque chose… » Tu arrêta de rire, et feignit un visage outré. « J’aimerais bien que tu crois en moi. Tu vois, il n’est rien arrivé ce soir. » Tu tentais de passer sous silence ta hanche qui avait cogné contre le coin du comptoir et la chute dans ses bras. Quoique cette dernière, elle ne t’avait pas déplu puisqu’il avait resserré ses bras autour de toi. « On a qu’à se prendre une grande pizza pour deux avec tous les légumes que tu souhaites dessus, histoire que tu éponges le trop plein d’alcool qui coule dans tes veines… » Tu savais qu’il avait raison, que tu devais manger et l’alcool faisait en sorte que tu étais plus détendue, que tu arrivais à ne pas penser à ces calories qui entrait dans ton corps sans que tu puisses les contrôler. Tu attrapas ton portable et composa le numéro du petit resto sans concerter Clarence. « Bonjour, je vais prendre une grande pizza pepperoni et fromage, avec tous les légumes d’une végétarienne sur le dessus. En livraison au 372 doggett street. » Tu raccrocha et tu te tourna vers Clarence. « Quinze minutes ! Juste assez pour t’apprendre la dernière danse en ligne que j’ai appris. » Tu te dirigeas vers ton salon, alluma ce haut-parleur bluethooth et connecta ton portable dessus pour faire jouer A bar song de Shaboozey. Tu te mis à danser au rythme de la musique en décrivant tes mouvements. « À droite, en avant, à gauche, en arrière, à droite, à gauche, à droite, croisé à droite… » Tu relevas les yeux, vit qu’il était resté derrière le petite ilôt de cuisine. Tu te dirigeas rapidement vers lui, attrapa son bras avec tes deux mains et tira pour tenter de l’attirer vers ton salon. « Viens, je te jure que c’est facile et personne ne peut te voir ici. » Tu lui fis ce regard suppliant que tu avais habitude de sortir à tes frères pour obtenir ce que tu voulais.
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Clarence Aldridge
l'électron libre
ÂGE : 37 ans (05/12/1986) SURNOM : Clay pour ses proches. Charming dans le poste de soins. Le vase pour une autre. STATUT : Veuf. L'or qui orne toujours son doigt malgré les années. Le coeur qui se débat entre deux brunes. MÉTIER : Médecin urgentiste à l'Hôpital St Vincent. Ancien chef de mission pour médecins sans frontières. Rentré au pays pour sa fille, même si un bout de son âme restera à jamais là-bas. L'envie de repartir jamais bien loin. LOGEMENT : Logan City #134 Third Avenue. Une grande maison blanche sur 2 étages. Avec sa fille Emilia et Ethel (trop) souvent. POSTS : 1959 POINTS : 1750
TW IN RP : veuvage - décès - trauma - TCA - mélancolie - abandon - Violence physique et verbale. TW IRL : AucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : A toujours un paquet de bonbons sous la main depuis qu'il tente d'arrêter de fumer. ≈ Foutu électron libre qui en fait qu'à sa tête. ≈ Surnommé "Charming" à l'hôpital ≈ Père d'une petite fille de 6 ans prénommée Emilia. ≈ Faux calme, il est façonné dans cette ambivalence qui le rend imprévisible. ≈ A le cœur sur la main, mais peut se comporter comme le pire des connards (surtout avec Wild... Ouais bon avec Ethel aussi. Avec tout le monde en réalité.) ≈ rivière douce, parfois trop calme qui peut facilement se troubler. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #996666 RPs EN COURS : - Ethel (2 -3) - Wild/Chris (1) - Wild/Ethel (1) - Nina (1) - Ruben (1) - Eden (1) - Helen (2) - Alienor (1) - Wild (4)
Ethel
You don't know how lovely you are. I had to find you, tell you I need you. Tell you I set you apart. Tell me your secrets, and ask me your questions. Do no speak as loud as my heart. Oh and I rush to the start.
Wild
It's easy to push me away from you. Easy to say you want to be left on your own. Yet somehow I can't help but see. How your eyes shy away. Your hands seal the entrance and path to your heart. Anger kept fear and the sadness you feel. Under the surface for so long. Locked that room, you keep it inside.
Eden
Parce que je sais qu' tu t' sous-estimes, tu ris trop fort et la pièce s'illumine. Tu fais des concessions sans les souligner, héroïne de tous les dessins animés.
Alienor
UC RPs EN ATTENTE : - Chris (1) - Albane (1) - Landry (1) - Lily (1) RPs TERMINÉS : -Ethel (1) - Wild (1 - 2 - 3) - Wild FB (1) - Helen (1) - Chris Wild (1)AVATAR : Robert Pattinson CRÉDITS : avatar@Mooncalf signature paroles @Yuston XIII icons@M. Gif: @Noiram (Willay) userbar:@mystery-man Header@Girasois DC : Un vase, c'est bien suffisant. PSEUDO : Noiram INSCRIT LE : 12/05/2024
— Insondable, c’est ainsi que certains aiment te décrire. Cet océan calme, limpide en surface, mais aux profondeurs parfois trop sombres pour que l’on ose s’y aventurer. De ceux qui peuvent se transformer sous un seul nuage en une tempête incontrôlable. De l’immobilité parfaite avant de se déchaîner. Et par moments, en l’observant, tu as cette même sensation. Comme un fil tendu entre vos lumières et vos ombres. Comme s'il y avait sous sa douceur presque magnétique, un voile subtil qui dissimule ce qu’elle ne révèle qu’à demi-mot. Qui la rendrait presque hors de ta portée, même lorsque tu penses t’en approcher. Son sourire semble en dire des milliers, mais tout aussi bien les taire dans une forme de peur sourde, impalpable, que tu ne parviens pas à percer. Et toi, t’es fasciné. Fasciné par cette femme qui laisse deviner sous cette simplicité spontanée une profondeur que tu n’as pas encore touchée. Tu cherches dans le moindre de ses gestes, dans ses inflexions de voix, une clé, un indice, quelque chose qui t’ouvrirait l’accès à cette part d’elle que peu de personnes ne semblent avoir décelée. Alors, tu restes là, dans cette attente douce et un brin amère, prêt à lire entre les lignes, à entendre ce qu’elle ne dit pas. Ton regard la perce tendrement en la voyant rougir, prise au dépourvue face à cette remarque tout sauf innocente. « Je peux prendre cette habitude de t’appeler Clay si tu préfères. Et ne va pas croire que je parle de toi à mes amies souvent. » Sa voix qui se veut faussement désinvolte te fait étouffer un léger rire entre deux grains de riz avant de lever les mains furtivement pour signaler que tu ne te fais aucune illusion. Tu grimaces silencieusement lorsqu’elle insiste sur les soi-disant bienfaits de cette chose que tu t’es résigné à manger. Préférant lui confier cette vérité presque trop intime sans vraiment savoir pourquoi. « À vrai dire, je n’ai jamais aimé que l’on me surnomme Clay. » Parce que ton prénom est l’une des rares choses que tu aimes chez toi. Il est vieux, certainement un peu désuet, mais tout aussi singulier. « Alors ne prends pas le fait que je ne t’ai jamais demandé de m’appeler ainsi pour une quelconque forme de distance, au contraire… » En réalité, ça la rendait encore plus précieuse. Tu détournes ton regard, peut-être pour dissimuler ce léger trouble avant de revenir soudainement te plonger dans son océan. Le temps semble s’étirer, et dans ce silence habité, tu ressens l'écho de cette connexion presque invisible. Cette danse légère entre ouverture et retenue.
Son rire franc devant ton refus total de danser écorche malgré toi un sourire renfrogné sur tes lèvres. « J’aimerais bien que tu crois en moi. Tu vois, il n’est rien arrivé ce soir. » Ton regard se pose sur elle, brodé dans une ironie affectueuse. Tes sourcils se veulent outrés et s'arquent de façon incontrôlée. Tu aurais bien envie de lui énumérer toutes les fois où, simplement ce soir, elle a failli trébucher, où elle a heurté les meubles avec cette maladresse qui semble presque la définir. Puis ton sourire s’efface un instant, et dans un souffle, tu revois ces images. Elle, presque vacillante, son pas trop rapide et son équilibre fragile qui l’ont poussé dans tes bras. Et ses comme si tous tes sens te poussaient à revivre ce moment. Où ton cœur battait plus fort, pris de court par cette proximité soudaine. Tu pouvais sentir son souffle, le léger tremblement de ses épaules, et puis ce regard qu’elle a levé vers toi alors que vos visages n’étaient qu’à quelques centimètres. Ce silence suspendu qui semblait tout dire sans qu’aucun de vous n’ose bouger. Ses yeux, brillants et surpris, ont rencontré les tiens et semblaient vouloir poser dans ton regard quelque chose de doux, de vulnérable, de désarmant.
Ton regard la suit, presque à la dérobée, en l’entendant commander une pizza qui va certainement ressembler à pas grand-chose. Mais qu’importe, t’es soulagé de la savoir motivée à manger quelque chose de plus consistant ce soir. Soulagement qui s’étiole très vite en la voyant partir dans le salon en articulant des mots trop enjoués alors que tu peines à sortir de tes pensées. Une musique country se met à retentir et Ethel se met à danser. De la country ? « À droite, en avant, à gauche, en arrière, à droite, à gauche, à droite, croisé à droite… » La scène te paraît presque lunaire et t’es agacé qu’elle puisse si aisément toucher ta corde sensible. Ton regard croise le sien, un sourire incertain sur tes lèvres. Et merde. Tu sais déjà ce que la brune a en tête. Ton cœur bat un peu plus vite à chaque pas qu’elle fait vers toi avec ce sourire joueur et cet éclat de défi dans ses yeux. Quelque chose d’infiniment doux te paralyse, te maintient planté là, derrière l’îlot central, incapable de détourner le regard alors qu’elle approche d’un pas déterminé. Ton océan, faussement impassible la transperce durant toute son ascension jusqu’à toi. Se baissant à son niveau lorsqu’elle se perd à tirer vainement sur ton bras. « Viens, je te jure que c’est facile et personne ne peut te voir ici. » Sa voix est enjouée, mais dans ses yeux, il y a un éclat plus tendre, presque suppliant, comme si danser avec toi signifiait bien plus qu’une simple impulsion passagère. Ton regard qui se veut indifférent, se brouille et trahit ces sentiments qui te dépassent. Elle a cette manière de briser toutes tes défenses, sans même en avoir l’air.
Tu la fixes encore un instant et tu sens presque ta résistance s’effondrer. Sans un mot, tu te détaches d’elle, tes mouvements se veulent lents et mesurés. Laissant planer entre vous cette musique en boucle. Tu enlèves ta veste tout en continuant de l’observer, tel un aveu silencieux. T’as gagné. Le cuir laisse apparaître ce simple t-shirt blanc légèrement ajusté qui souligne discrètement ta musculature. Tu avances doucement vers elle, et sans une once d’hésitation, tu lui prends la main. Ton geste est sérieux, empreint de quelque chose de profondément intime. Tu ne dis rien, mais tes doigts qui se referment doucement autour des siens parlent pour toi. Elle te suit, ses doigts serrés dans les tiens, et vous vous dirigez lentement vers le salon. Tu laisses un sourire se dessiner malgré toi, un sourire à la fois tendre et grave, alors que tu te figes avant de la faire tournoyer et de l’attirer délicatement près de toi. « Très bien Mademoiselle Hartfield, dansons. » Tu lui lâches la main, prêt à la suivre et pas très à l’aise non plus. « Après tout, si tu es capable de danser là-dessus sans tomber, ça doit être à ma portée. » Tu prends un air insolent, alors que tu regrettes déjà de ne pas avoir pris une gorgée de cette bouteille dans la cuisine qui sera la seule spectatrice de tes exploits. La musique redémarre et tes yeux sont rivés sur ses pieds pour tenter de la suivre. Votre danse oscille entre maladresse et complicité. Comme si ce moment valait mille conversations ou mille silences partagés.
Vous dansez côte à côte, vos pas sont de plus en plus fluides. En voyant vos mouvements presque synchronisés, l’ombre d’un sourire s'étire sur tes lèvres. Et c’est là que tu comprends que votre bulle ne se résume pas aux murs de ta maison, mais bien à vous deux. Seulement vous deux. À elle. Quand soudain, le son d’une sonnette brise ce moment suspendu. Instinctivement, tu t’immobilises sous le joug de cet estomac encore affamé. Ethel encore dans son élan, continue son mouvement une seconde de trop. Elle trébuche et se heurte contre toi. Sans réfléchir, tes bras se referment autour d’elle, la capturant dans une étreinte improvisée. La sonnette retentit à nouveau, vous rappelant à la réalité. « Pizza ? » Comme tout chat sauvage qui se respecte, l’appel de la faim finit par prendre le dessus. Tu relâches Ethel avec délicatesse et sans ajouter un mot, tu te détournes et te diriges vers l’entrée d’un pas rapide, ton visage encore marqué par un léger sourire. À la porte, tu récupères la pizza en échangeant un billet et des remerciements précipités avec le livreur, comme si tu avais hâte de retourner auprès d’elle. Tu t’approches, posant la boîte de pizza sur la table basse avec un sourire espiègle, essayant de détendre un peu l’atmosphère. « Bon, je pense qu’on l’a bien méritée, non ? »
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Quand j'brûle, j'deviens meilleur
J'ai des bleus sur tout le cœur. Je crois qu'j'ai grandi, j'crois qu'j'ai des remords. Tout le monde dort mais moi je danse sous la pluie. Je m'enfonce dans la brume. Je deviens nocif, là je me perds dans des ruines. Et je suis loin du monde, loin de tout. Loin de vous, loin de nous. Loin de moi.