≈ ≈ ≈ {she's so successful} crédit/(raquelsgifs) ✰ w/@Jo Carter
(2016) "Par ici." Sac sur les épaules, tu hoches la tête et tu t'efforces de suivre la jeune femme qui ne s'est pas présentée il y a quelques minutes de cela, mais qui a dit qu'elle allait s'occuper de toi. Tu ne le prends pas personnellement, non tu es trop occupée à te tenir droite sur ta paire de talons aiguilles et à te demander si tu parais professionnelle ou pas. Tu as opté pour du noir, parce que c'est un truc que toutes les maquilleuses font, du bustier que tu portes sous ta chemise noire transparente, à ton pantalon en cuir... tu veux passer pour une pro, une experte, et pas pour la fille qui tente de joindre les deux bouts et qui s'est faite congédier d'un institut de beauté la semaine dernière. À cause d'un autre retard, alors que tes prestations étaient exemplaires et que toute la clientèle était satisfaite. Juste à cause d'une personne plus âgée et coincée qui ne peut pas comprendre que ce sont les meilleures années de ta vie. Et oui tu oublies ton réveil si tu es de sortie la veille. Mais pas de retard ici, non pas pour rejoindre Jo et la production de X-Factor, pas quand il s'agit de Jo et la chance de toute sa vie. C'est son opportunité, tu le sais, tu le sens dans tes os, tu sais que ça va lui apporter tout ce qu'elle mérite... En plus de toute la publicité et des fans qu'elle gagne maintenant, il y aura forcément un gros contrat, un album et quelque chose de plus. Tu n'as pas encore regardé tous les détails, mais tu fais confiance à Jo. Tu as toujours fait confiance à Jo, et cela ne peut pas être un hasard que vous vous soyez retrouvées à Sydney. Tu n'es pas religieuse ou quoi que ce soit de ce style, mais c'est bien un signe, non? Et ton appartement est devenu votre appartement, dans une sorte d'équilibre qui prend tout son sens avec la brune à tes côtés. Un appartement un peu vide depuis que Jo s'est lancée dans ce projet grandeur nature, mais tu sais que le silence est pour la bonne cause. Une très bonne cause vu que maintenant, grâce à Jo encore une fois, tu peux être là. Dans un endroit tenu secret d'après ce que tu as compris, pour entretenir le mystère et parce que c'est mieux pour rameuter les gens sur leur canapé tout le vendredi soir. "Et voilà où se trouve Miss Carter." Une porte s'ouvre, pour révéler Jo et tu lui adresses un petit signe de la main. Vous n'êtes pas encore seules alors tu te mords la lèvre inférieure pour contenir ton enthousiaste."Contentez vous de rester dans les zones que je vous ai montrées et portez votre badge, ça aide la sécurité, okay?" Ta baby-sitter, parce que c'est bien de cela dont il s'agit, s'efforce de croiser ton regard. Elle a besoin que tu verbalises tout ceci, pour dire que tu as bien compris et si tu te retiens un peu beaucoup de rouler des yeux, tu finis bien par hocher la tête, ton regard bleuté ancré dans le sien. "Message reçu cinq sur cinq." Que tu dis, tu fais de ton mieux pour garder le sarcasme au minimum. Ça n'a pas l'air de prendre, tu as tout de même le droit à un soupir avant qu'enfin, on te laisse seule avec Jo. La porte est bien fermée, tu vérifies, avant de te tourner vers elle. "Oh. Mon. Dieu." L'excitation est là, dans ta voix, sur ton visage et tu l'as rejoint en quelques pas, lui attrapant aussitôt les deux mains pour les serrer. Pas besoin de lui dire ce qui lui arrive est impressionnant et que tu vas te joindre à la masse des gens qui vont changer ses louanges."C'est sérieux tout ça ? Tu sais combien de trucs j'ai dû signer ?" Juste un petit détail, tu lui fais signe de se lever, pour que tu puisses l'observer sous tous les angles, elle et sa nouvelle célébrité."Regarde-toi Miss je passe à la télévision, merde à tous ceux qui ont osé douter de toi."
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Le marathon était réel. La tactique de Jo pour y survivre ? Se comporter comme si absolument rien de ce qui lui arrivait ne l’impressionnait. Elle le savait, ça la rendait redoutable auprès de ses concurrents d’agir comme si elle avait fait ça toute sa vie. Sauf que sur ce coup-là, c’était à peine de l’esbroufe. Les caméras et la frénésie de la médiatisation soudaine mises à part, elle avait effectivement fait ça toute sa vie. À une autre échelle bien sûr, il ne s’agissait plus du van de papa et des mariages bas de gamme des habitants du coin, mais bel et bien d’une putain de machine, un rouleau compresseur dans lequel elle avait accepté de s’insérer sans craindre une seule seconde de ne pas être assez bien pour en sortir vivante. Toutes les étapes des castings, elle les avait passées sans même s’essouffler, son charisme se répercutant sur la volonté des grands dirigeants de faire de l’audimat, son talent faisant briller les yeux de ceux qui cherchaient les stars de demain. Il fallait dire que ses concurrents étaient tous des clowns à l’exception du seul qui avait trouvé un intérêt certain à ses yeux à la seconde où elle avait rencontré les siens, et c’était ça aussi qui rendait la compétition plus intéressante encore que prévu. Elle pensait être la meilleure, elle pensait gagner cette saison sans aucun doute possible, la singularité de ce qu’elle proposait la rendant inoubliable, suffisamment sûre de son talent et de l’effet qu’elle provoquait sur le public, sur les jurés, sur le pays tout entier pour qu’une aura de providence ne l’entoure pas chaque fois qu’elle faisait une apparition télévisée… mais le doute se présentait à elle quand elle se retrouvait à répéter avec Midas et qu’elle acceptait de le traiter comme son égal parce qu’il l’était, indubitablement ; assez pour qu’on se serve de leur proximité pour vendre une romance maudite, pour s’arrêter sur leurs échanges de regards, sur, là encore, la providence d’une rencontre lors des castings pour se retrouver au même point aujourd’hui, à quelques heures de proposer un spectacle digne de ce nom au pays tout entier. Le grand classique de la téléréalité, et disons que c’était moins dérangeant que s'il avait ressemblé à un gros dégueulasse bedonnant, c’était clair.
Mais loin de ces considérations-ci sur l’instant, Jo tourna la tête vers la porte qui s’ouvrit "Elle sera avec moi, la sécurité sait qui je suis." qu’elle fit à la nounou qui accompagnait Laurie qu’elle accueillit en se levant de la causeuse installée dans la pièce dans laquelle elle était recluse depuis quelques minutes maintenant, attendant justement que la blonde la rejoigne. Elle n’était qu’en peignoir douillet Jo, des essayages l’ayant occupée une partie des heures précédentes, pourtant elle dégageait une énergie de diva qui lui valait déjà d’être traitée comme telle — au risque de se faire fusiller du regard de toute façon, le choix n’était laissé à pas grand-monde finalement. Elle s’éventa avec sa main, faisant virevolter les mèches ondulées retenues dans une queue de cheval haute qui dégageait son visage à peine maquillé, et ne put cacher le sourire qui fendit ses lèvres quand elle entendit Laurie s’émerveiller de ce qui était en train de se passer pour elle. Une partie d’elle savait qu’elle la jalousait. Ça lui plaisait "T’imagines pas à quel point c’est sérieux." Elle tenait à remettre l’église au milieu du village. D’accord, la franchise The X Factor n’était plus aussi rutilante que dans ses grandes années, elle restait un tremplin certain pour les jeunes artistes dans son genre. On crachait à la gueule de ceux qui osaient dépasser les portes des auditions, mais à l’heure actuelle, certains des anciens candidats des versions, notamment anglaises, étaient devenus des pointures, déjà à cette époque : elle voulait faire partie de ceux-là Jo, elle voulait faire saliver quiconque prétendait que ça ne la mènerait à rien d’avoir voulu se servir d’une opportunité pareille pour enfin percer. Battant des cils en soutenant son menton dans un éventail de doigts manucurés pour le grand soir, elle fit à Laurie qui insultait ceux qui l’avaient sous estimés "Ouais, ils vont s’en mordre les doigts quand ils verront ce qui se prépare pour le grand soir." Elle pensait à ses parents. Elle ne les mentionna pas pour autant, espérant juste qu’ils la haïraient un peu plus en la voyant briller à la télévision. Baissant les bras pour qu’ils reposent le long de son petit corps, elle ajouta "Tu dois te demander ce que tu fais là d’ailleurs." Elles en parleraient plus tard, rien ne pressait vraiment sur l’instant. A la place, elle lui demanda, saisissant brièvement le badge qu’elle avait autour du cou entre deux de ses doigts, ne faisant pas semblant de laisser un soupçon de mépris voiler ses traits parfaits le temps de se dire qu’elle, elle n’avait pas besoin de ce putain de badge pour être autorisée à entrer dans l’enceinte du studio, et fit à la jeune femme vers qui elle finit par relever les yeux "Tu veux voir le plateau ?"
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
≈ ≈ ≈ {she's so successful} crédit/(raquelsgifs) ✰ w/@Jo Carter
Même dans son peignoir et dans sa loge, Jo a la classe. C'est la première chose qui te vient à l'esprit, et si la jalousie te ronge une partie de l'estomac, tu sais que Jo est à sa place. Que d'une certaine façon, c'est logique qu'elle soit là. Tu ne peux pas encore l'expliquer avec tes mots de personne nouvellement adulte, mais il y en a qui sont fait pour briller, pour ce genre d'attention et qui ont du talent. C'est le cas de la brune, ça, tu l'as toujours pensé, tu l'as vu en grandissant et ne pas l'admettre serait encore plus idiot que tout. Es-tu jalouse de l'attention qui est mise sur elle maintenant ? Oui et non, tu es plus envieuse du fait qu'elle ait trouvé sa place, quelque chose qui lui correspond, qu'elle soit la seule à pouvoir faire. Tu as envie de trouver cela aussi, ta place, et si en prime, c'est avec une bonne dose de mascara sur les cils et des caméras... Tu ne vas certainement pas dire non. Mais tu peux être patiente et hors de question de ruiner les choses pour Jo, tu peux partager son enthousiasme, et ne pas ruiner les choses pour elle. Des notions qui sont difficiles à jongler mais tu as bien un sourire sur le visage alors que Jo s'évente. Et te confirme que c'est du sérieux. Tu sais que c'est pour te remettre les pendules à l'heure, et tu n'es pas stupide, tu ne peux pas tout te permettre parce que tu fais partie de l'entourage de Jo. Il ne faudrait pas que ce soit toi qui la freines, n'est-ce pas ? "Et n'est-ce pas ça le plus important au final ? Que tout le monde s'en morde les doigts ? Moi je dirais que si." En plus de l'attention des médias, les fans que Jo récolte aux passages et le fait de pouvoir vivre de son amour de la musique. Ouais, tout ceci est important. Tu abandonnes ton sac à côté de la chaise de Jo l'instant suivant, cela commence à devenir un peu trop lourd d'ailleurs et tu réponds à la brune. "Oui et non... je suppose que je ne suis pas là que pour le soutien moral. Genre, je sais ce qu'il risque de m'arriver si j'essaye de te faire un câlin." Tu tires la langue alors que tu dis cela, un rire léger s'échappe de tes lèvres la seconde suivante. Mais, sincèrement... Est-ce qu'elle a parlé à ses parents depuis le début de tout cela ? Tu as envie de lui demander s'il y avait des regrets dans la voix de son père, et ce, même s'il ne te paraît pas être le genre d'homme qui regrette quoi que ce soit. Tant pis pour lui, toi tu es là aujourd'hui, Jo t'a invitée et pas une autre personne et tu as décidé que ça comptait pour quelque chose. Tu as fait un geste pour désigner ton sac et expliquer à Jo ton train de pensée. "J'ai pris mon matériel et mes meilleures palettes au cas où, parce qu'on ne sait jamais et j'aime me dire que tu peux compter sur moi en cas d'urgence." La dernière phrase est plus vraie que jamais, ça, tu espères que Jo le sait, et tu n'es pas stupide au point de laisser passer ce genre d'opportunité. Tu l'as déjà dit à Jo, tu ne sais pas vraiment où tu vas, te servir de pinceaux et sublimer les autres, c'est la seule chose que tu sais faire et ça finira bien par t'ouvrir des portes un jour, non? Tu n'as pas son ambition, ça, c'est quelque chose que tu ne sais pas vraiment imiter ou copier et ce même après des années passées aux côtés de Jo, même comme ça. C'est une trop grosse responsabilité et croire en toi-même de cette façon-là? Cela te parait étranger, voilà ce que tu te dis alors que Jo attrape ton badge. Oui, tu es arrivée comme un cheveu sur la soupe, tu es là, elle devrait se concentrer sur ça et pas sur le reste? Ou alors elle devrait reposer ses cordes vocales ? Comme d'habitude quand tu es concernée: c'est Jo qui décide et pas une autre personne."Oh oui, je veux voir le plateau, et pas que le plateau, je veux tout voir, et tout ce que tu peux me montrer d'ailleurs !" Pour pouvoir frimer et dire que toi, tu as vu l'envers du décor de l'émission ? Oui, totalement, mais aussi parce que tu es curieuse et que tu veux voir comment Jo évolue dans cette machine très bien huilée et très bien organisée.
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
"Je suis certaine que le plus important, c’est que je gagne ce putain de télécrochet et que je devienne la meilleure chanteuse de tous les temps." Laurie avait des ambitions étranges, c’est ce que Jo se disait la plupart du temps. Coincée dans un monde dans lequel elle avait eu du mal à trouver sa place, elle restait une éternelle adolescente à ses yeux ; elle lui donnait le sentiment de ne pas avoir beaucoup évolué depuis qu’elles s’étaient rencontrées, même si elle avait avait fait quelques progrès niveau timidité. Elle ajouta, ses épaules se haussant en même temps "Mais you do you." qu’elle termina sans l’ombre d’un sourire, mais ses cils fendant l’air avec pointe de cynisme, aussi sérieuse que ce qu’elle disait, elle le pensait du plus profond de ses tripes. Que les autres la jalouse, elle s’en fichait autant que ça avait toujours été le cas de toute façon, alors elle ne s’en souciait plus depuis longtemps, aimant juste se dire qu’elle était universellement un modèle à suivre ; qu’elle gagne le droit de faire ce qu’elle voulait le plus faire au monde, c’était autre chose. Elle n’était pas comme Laurie, elle se foutait de l’avis des autres à un certain point, se sachant assez méritante pour trouver sa place et la garder, aussi que son entourage regrette de l’avoir sous-estimée, que ses parents s’en mordent les doigts et lui courent après, ce serait rien d’autre que la cerise sur le gâteau qu’elle finirait par engloutir dans tous les cas, pas du genre à laisser sa part à qui que ce soit, trop gourmande pour ça.
Elle ne répéta pas à la jeune femme qu’elle lui parlerait plus tard de la raison sous-jacente à sa présence aujourd’hui et lui rendit sa grimace quand elle parla de câlin. Jo n’était pas une tendre, elle ne le deviendrait qu’à petite dose, et surement pas à l’égard de la blonde qu’elle préférait garder à une distance sécuritaire de sa propre personne, pas amatrice des grandes effusions de sentiments "Tu peux laisser tout ça ici, on va pas en avoir besoin avant un moment." lui fit-elle, lui montrant d’un signe de tête la coiffeuse éclairée qui était mise à sa disposition, et qui était encore vide à cette heure de la journée, sa préparation n’étant prévue que pour plusieurs heures. Elle lui proposa une visite guidée du studio parce que ça lui faisait plaisir de le faire et que ça nourrissait son besoin de prouver à quel point ce qu’elle était en train de faire était important. Elle eut un léger rire, se prenant l’enthousiasme de Laurie en pleine face "Ça veut dire que tu veux rencontrer les autres candidats aussi ?" C’était sûr. Jo reprit avec assurance, resserrant juste un peu le décolleté de son peignoir qui en découvrait assez pour qu’on veuille en voir davantage. L’art de donner le sentiment qu’elle était prête à tout, Jo le maîtrisait au point de faire naître frustration et fantasme, et ce n’était guère donné à tout le monde, ça non plus "Je te préviens tout de suite avant que tu tombes amoureuse du premier qui passe, y en a pas un qui vaut le coup." Ou peut-être que si. Mais en l’occurence, il était trop bien pour Laurie qui tombait amoureuse de n’importe qui, donc le risque était assez élevé pour qu’elle se sente obligée de la mettre en garde, même si pour l’heure, ça restait plutôt bienveillant.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
≈ ≈ ≈ {she's so successful} crédit/(raquelsgifs) ✰ w/@Jo Carter
Maintenant que tu es aux côtés de Jo, votre dynamique habituelle peut de nouveau reprendre. Elle te dit quoi faire, tu hoches la tête et tu te contentes de suivre. Oui, même elle t'a déjà dit que ce n'était pas une manière viable de vivre, et on pourrait te reprocher d'être une vraie sangsue, mais cette tactique ne t'a jamais fait défaut jusqu'ici. Alors pourquoi prendre un autre rôle ? Pourquoi essayer de faire des vagues ? Pas besoin pour le moment, si tu dois être celle dans son entourage qui hoche la tête à tout et sa cheerleader personnelle, tu le feras sans aucune hésitation et sans aucun amour-propre maintenant que tu y penses bien."Okay et okay, jte fais confiance et jte suis." Jo t'expliquera tout par la suite, tu gardes juste ton téléphone dans une de tes mains, parce qu'on ne sait jamais, et que tu es en train de devenir une de ces personnes qui ne peuvent pas se passer de leur téléphone. Après tout, tu as bien une page pour ton maquillage et tous tes looks originaux sur Facebook, ainsi que sur Instagram, ton nombre d'abonnés n'est pas astronomique, mais il y a des gens intéressés. Certaines personnes qui commentent toutes les publications, et qui pourrait apprécier l'envers du décor. Ou savoir ce que les stars de la réalité utilise comme produit. Tu le sais, tu as une place de choix, grâce à Jo encore une fois, tu n'ignores pas que tout ça, c'est grâce à elle. Tu serais bien une ingrate si tu l'oubliais. "Oui, j'ai des photos à prendre et des mains à serrer... Puis faut que je sache si certains sont pareils à la télévision et dans la vraie vie, tu vois. C'est important." Tu ajoutes la dernière partie avec un rire, pour te moquer mais aussi parce que tu es curieuse. Et si tu ne doutes absolument pas des talents d'actrice de Jo et du fait qu'elle gère tout ceci avec brio, tu sais que tout le monde ne peut pas en dire autant. Et tu veux pouvoir le constater de tes propres yeux, pour pouvoir te dire que ouais, ils sont tous humains et ils ont la trouille. Ils devraient avoir la trouille, c'est Jo qui va gagner cette compétition de toute façon. Tu tires la langue alors que Jo te met en garde, la brune te connaît trop bien. Tu es capable de te faire des plans comme personne, il suffit d'un regard, d'une simple attention... et voilà que tu es prête à changer ton quotidien et toute ta personnalité, tu n'y peux tout simplement rien si ton palpitant démarre au quart de tour et ce, pour n'importe qui. Tu es autant une victime qu'autre chose dans l'histoire, mais si, tu en es persuadée. "Ah bon personne ? Pas même ton petit-ami?" Tu le dis sur un ton railleur, Jo verra très bien de qui tu parles. Il s'agit de Midas, oui, le nom revient souvent avec celui de ta meilleure amie, parce que les gens ont besoin d'une romance en plus de tout, parce que ça pimente la compétition et parce qu'on ne peut pas passer autant de temps avec quelqu'un sans que quelque chose ne se passe, n'est-ce pas ? Tu n'y crois pas une seule seconde personnellement, tant que ce n'est pas confirmé ou au contraire, mis de côté par Jo en personne. La brune n'est pas de celles qui se laissent distraire, pas comme toi, justement. "Ouais, les rumeurs vont vite, visiblement un certain Midas serait ta seule raison de continuer et de rester." Tu roules des yeux, de manière exagérée, ça te dérange un peu de répéter cela, si Jo était un bonhomme, comme l'autre, est-ce qu'elle aurait le droit à ce type de traitement? Tu connais déjà la réponse à cette question totalement hypothétique. "J'y crois pas une seule seconde, je te dis juste ce que j'ai entendu." Tu hausses les épaules, puis tu dis, tout aussi rapidement:"Mais tu devais déjà t'en douter en fait." parce que c'est bien Jo de se tenir au courant de tout ça, pour pouvoir en jouer et même en surjouer au cas où.
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Ce qui était important pour Laurie ne l’était pas pour Jo, c’était une évidence, aussi roula-t-elle des yeux en l’entendant prétendre que rencontrer les autres membres du casting l’était. Tu parles, ça l’était à peine tant ils semblaient, en grande majorité, débarqués du dernier cirque passé en ville, et elle ne le pensait pas uniquement parce qu’ils avaient des physiques rigolos. Parfois, elle se demandait vraiment pourquoi elles étaient amies tant elles étaient différentes, Laurie et elle. Et puis elle se souvenait de la gamine qu’était la blonde quand elle était plus jeune, la manière dont Jo était venue à sa rescousse plus souvent qu’à son tour, et elle comprenait qu’elle était surement ce qui se rapprochait le plus de son ange gardien. Elle ne s’attribuerait pas le mérite du fait qu’elle soit toujours en vie aujourd’hui, elle était toutefois persuadée que si elle n’avait pas été là à certains moments donnés, Laurie ne s’en serait pas sortie comme maintenant. De là à dire que Jo prenait soin d’elle, il ne fallait pas pousser, mais elle faisait attention à ce qu’on ne la bouscule pas autant que ça. Ça, c’était sa prérogative, celle sur laquelle elle se jetait quand elle avait l’impression que Laurie dépassait les bornes, et c’était le cas sur l’instant, alors qu’elle sous-entendait quelque chose qui fit brusquement tourner la tête de Jo dans sa direction.
A brûle-pourpoint, alors qu’elles remontaient doucement l’un des couloirs du studio jusqu’alors, Jo l’arrêta avec sa main posée à plat sur la gorge de Laurie. Elle se déporta devant elle pour bien l’avoir devant les yeux, leva la tête pour mieux la voir, à plat dans ses chaussons, et Laurie bien plus grande qu’elle ne le serait jamais. Est-ce que ça l’impressionnait ? Plutôt crever. Sans délai, elle la mis en garde, sa tête se secouant imperceptiblement à la négative, anticipant les paroles qu’elle lui donna enfin, le ton acerbe "Hé, fais pas ça." Là, son index se dressa dans sa direction, son visage s’avança près du sien sans menace, mais sans trace de malice non plus. Doucement, elle se hissa subtilement sur la pointe des pieds, comblant physiquement la différence notoire de taille qu’il y avait entre elles, pas pour asseoir sa dominance, elle savait qu’elle dominait dans tous les cas, que ce soit à plat ou pas, mais pour bien se faire comprendre, ses yeux sombres dans ceux de la blonde "Me fais pas honte en te comportant comme une putain d’adolescente attardée, tu m’as bien entendue ?" Parce que c’était ce qu’elle était en train de faire Laurie, en soulevant la possibilité que les rumeurs qui courraient déjà au sujet d’elle et de Midas soient vraies. Elle se serait mise à glousser comme une conne que Jo ne s’en serait pas étonnée, c’est pour ça qu’elle continua, déterminée à ce que le message passe et s’inscrive sur la durée "Je suis pas de passage ici, moi, alors t'éponges ta culotte, et tu fermes ta gueule. On est pas dans une cour de récréation, c’est ma crédibilité et ma réputation qui sont en jeu." Ici, on ne faisait pas circuler des mots doux, encore moins des potins pour s’attirer l’attention des populaires. De toute façon là, c’était Jo la populaire ; c’était elle qui faisait la pluie et le beau temps, elle n’avait pas besoin qu’on alimente davantage ce qui se disait dans les couloirs des rédactions pour apprécier que quelqu’un qu’elle connaissait vraiment vienne y mettre son grain de sel, et avec ironie, par-dessus le marché. Elle ne boudait pas les histoires qu’on racontait à propos de sa proximité avec son concurrent, peut-être même qu’ils en jouaient un peu tous les deux, allez savoir ; c’était de la bonne publicité à prendre. Mais somme toute, elle avait des limites, et le petit ton de Laurie en faisait partie. Elle soutint son regard un instant encore, s’assurant qu’elle avait bien compris qu’elle était sérieuse, qu’elle la ferait dégager par des membres de la sécurité si elle l’ouvrait encore, quand enfin, elle sembla revenir à la vie après une poignée de secondes à ne rien faire d’autre qu’à dévisager Laurie. Descendant de sa marche de fortune, elle se retourna comme si de rien n’était en faisant à la jeune femme qu’elle invita à la suivre alors qu’elle avait déjà effectué quelques pas de plus, ses doigts se perdant dans la masse épaisse de ses cheveux qu’elle replaça entre ses omoplates "Bouge tes fesses, c’est par ici."
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
≈ ≈ ≈ {she's so successful} crédit/(raquelsgifs) ✰ w/@Jo Carter
Ta vie à Sydney avant l'arrivée de Jo était bien plate et vide. Tu dois bien l'admettre, c'était juste toi, à essayer de percer dans le monde de la beauté, sans avoir par où commencer. En dehors de ta taille, tu fais plus gamine qu'autre chose. Mais tu peux apprendre et bosser, tu as plus d'expérience qu'il y a des années en arrière, c'est certain, quelques clientes satisfaites et des gens intrigués par ce que tu peux faire et l'image que tu renvoies. Sauf que ce n'était pas aussi intéressant, excitant ou même aussi médiatise que tout ce qui arrive à Jo. Tu ne sais pas si l'humour est ta façon de pouvoir envisager que ça lui arrive à elle, mais pas à toi, tu n'en sais rien. Pour toi, elle est toujours Jo, et tu es toujours Laurie, vous avez vos propres rôles et vos places bien attribuées, ça ne fait aucun doute à tes yeux. C'est ce que tu essayes de faire en lui parlant de ces rumeurs et quand Jo se retourne vers toi, la main qu'elle pose sur ta gorge, elle ne te prend pas tellement de court. Tu n'es pas aussi surprise que tu devrais l'être. "Hmm ?" C'est Jo, et tu l'as déjà vu remettre à sa place des gens beaucoup plus zélé que toi. Plus grands et plus importants que toi, comme si ce n'était rien du tout, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde à faire pour elle. Vos regards se croisent et Jo t'explique encore une fois, et te dit ne pas comment dépasser cette limite. Tu sais que tout ça c'est important pour elle, la chance de toute une vie. La vie de qui ? Celle de Jo bien évidemment, pas la tienne, et encore une fois, même si c'est la première fois que ça lui arrive, Jo est en contrôle. Tu ne sais pas comment elle fait ça, ça fait presque peur à voir, tant d'ambitions pour une personne si jeune. Rien ne fait de sens, mais sous son regard impérieux, encore une fois, tu t'écrases. Tu t'écrases parce que sans elle, tu ne seras pas là pour commencer. Tu t'écrases parce que tu préfères avoir une ligne de conduite que de te demander ce que tu comptes faire demain. "Je ne compta-" Je ne te comptais pas te faire honte, c'est ce que tu veux dire mais Jo te coupe, le ton de ta voix était à peine plus élevé qu'un murmure pour tout dire, mais la brune appuie son propos. Pas une cour de récréation, c'est la vraie vie, sa vie à elle. Et c'est toi qui es dans les tribunes, pas l'inverse. "Okay." Tu hoches la tête après le mot et c'est un peu plus fort que tu en laisses échapper un autre :"Compris." Oui, le message est plus que compris et ton sourire a définitivement disparu de ton visage alors que ton regard bleuté est toujours ancré dans celui de Jo. Tu hoches de nouveau la tête, réprimandée comme une gamine. Une gamine fautive, qui attend que Jo réagisse autrement que par ce type de regard, ça te donne vraiment l'impression d'avoir merdé, et ouais, putain de merde, de l'avoir déçue... Ce n'est pas une sensation plaisante, et tu ne veux même pas analyser ce que cela veut vraiment dire sur votre relation et sur votre amitié. Non, il te faudrait sûrement passer des heures sur ça, et une personne compétente et avec tout un tas de diplôme te dirait que ce n'est pas sain du tout. Mais tu n'as pas le temps pour de la thérapie, ce genre d'analyse poussée ou quoi que ce soit, tu préfères suivre Jo. Parce que ça ne t'a jamais défaut jusqu'ici, et c'est mieux que de se retrouver seule, et mieux que de tourner les talons. Tu garderas les réflexions pour toi et tu te contenteras d'être son ombre, celle qui observe et qui se tait, à moins que l'on s'adresse directement à elle. "Par quoi est-ce qu'on commence ?" Déjà, tu ne suis pas ta propre règle et tu l'ouvres, mais juste pour avoir une confirmation de la part de Jo. Et pour aussi pour t'assurer qu'elle te parle toujours, qu'elle veut toujours te parler, tu n'es pas sûre que tu te remettrais de l'alternative sinon. "Et est-ce que j'ai le droit de prendre des photos pour commencer ? Ou ça va à l'encontre des règles ?" Tu poses sincèrement la question, sur un ton plus bas, tu as toujours ton téléphone entre les mains, mais si ça pose un problème, tu peux le ranger dans ta poche et oublier ton idée foireuse.
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Remettre Laurie à sa place, c’était une habitude. Remettre tout le monde à sa place, c’était une habitude, Jo tenait ça de son père sans aucun doute. Elle ne laisserait personne empiéter sur son rêve, elle ne laisserait personne se l’approprier, elle ne laisserait encore moins personne se comporter comme si tout ça n’était qu’une anecdote, une ligne à ne pas prendre en compte sur son curriculum vitae. Elle était au casting du télé-crochet le plus regardé du pays, celui qui avait révélé tant de nouvelles stars de la chanson ici, mais aussi dans le monde entier, que si elle n’avait pas l'impression de le mériter, ça lui aurait donné le tournis d’en faire partie. Elle ne pouvait pas se permettre de laisser qui que ce soit trahir le prestige que ça lui donnait sous le prétexte que le courant passait bien avec l’un de ses concurrents. La production prenait déjà un malin plaisir à faire tourner toute cette histoire à leur avantage, elle attendait un tantinet plus de respect de la part de ceux qui la connaissaient vraiment. Et puis une partie d’elle n’avait pas envie de traîner Midas dans cette histoire plus qu’il ne l’était déjà, pas certaine que ce soit une bonne idée de s’amuser avec l’intérêt réel et le crédit qu’elle lui réservait déjà en tant que challenger de taille. Les autres ne comptaient pas parce que les autres n’étaient pas bons selon ses propres critères ; Midas était différent, et elle n’avait pas besoin qu’on lui demande pourquoi elle croyait en la seule conjoncture possible à ses yeux alors que les premiers directs n’avaient même pas commencé : si elle ne finissait pas l’émission contre lui, c’était que c’était truqué.
Personne d’autre ne pouvait rivaliser avec elle, point final. Elle redescendit en pression après avoir remis Laurie dans le droit chemin, marchant légèrement en avance pour ne pas avoir à supporter quoi que ce soit qui lui déplairait davantage et qui venait de sa bonne copine. La connaissant, elle serait capable de se mettre à chialer, et Jo n’avait pas la patience pour ça, concentrée sur son but, et uniquement sur ça. Elle arqua un sourcil et tourna la tête dans sa direction lorsqu’elle reprit la parole, la regarda avec l’air de s’adresser à une demeurée quand, un sourire craquelant l’expression revêche qu’elle se donnait, elle lui répondit avec malice "Par le dressing. Par quoi d’autre tu voudrais qu’on commence ?" Ici, on appelait le dressing, le placard. C’était un immense espace réservé où toutes les tenues disponibles pour les émissions étaient soigneusement rangées pour les essayages des candidats, ceux des danseurs et des musiciens. C’était une caverne d’Ali Baba réapprovisionnée chaque semaine en fonction des thèmes données aux émissions en direct, et en dehors de la salle de répétitions et du plateau, c’était l’un des endroits préférés de Jo. Les costumières étaient avenantes, attentives, maternantes : elles lui rappelaient sa grand-mère. Et les tenues ? Rien de moins que des belles pièces, parfois de grandes-marques dans lesquelles elle se glissaient dedans comme elle glisserait ses mains dans des gants de velours ; elle était facile à habiller, c’est ce que disaient ceux qui s’occupaient d’elle, et elle n’avait pas de mal à le croire, trouvant son compte à chaque fois, son exigence mise au service de l’avis des professionnels qui reconnaissaient déjà qu’elle avait du goût.
Elle fit signe à Laurie de la suivre sur quelques mètres encore, referma juste un peu son peignoir qui s’était desserré au niveau de sa taille et qui laissait entrevoir un décolleté plongeant qui ne la gênait pas au demeurant "T’es quoi, une putain de touriste ?" Laurie, merde à la fin. Jo roula des yeux, ne sachant comment gérer le fait que son amie se comportait comme la dernière des beaufs dans un endroit qui recevaient des stars internationales — heureusement qu’elle lui avait assuré ne pas vouloir lui faire honte parce qu’elle en aurait douté autrement. C’était quoi son putain de problème ? Elle passa l’éponge cependant, elle avait déjà été à ça d’avoir de la fumée qui lui sort des oreilles, elle n’avait pas envie de réitérer, alors même si ça lui faisait prendre de l’avance sur son programme comportant bien plus de suspens inutiles qu’elle ne l’admettrait jamais, adorant en faire des caisses pour pas grand-chose, elle se décida à mettre la jeune femme au courant de ce qu’elle lui avait réservé. Elle lui attrapa le poignet pour attirer son attention, étira le cou pour atteindre son oreille, mais dut se hisser sur la pointe des pieds dans la manoeuvre, marchant comme une ballerine à ses côtés. Enfin, elle lui glissa tout bas "T’as envie de me maquiller pour le premier prime ?" Jo vivait sur des certitudes. Parfois pour se convaincre de certaines choses et soigner ses doutes les plus enfouis, parfois parce qu’elle y croyait vraiment ; celle qu’elle avait là, elle était plutôt dans la seconde catégorie, et tandis qu’elle attendit que Laurie tourne la tête dans sa direction pour lui demander si elle était sérieuse, elle lui fit avec l’air de ne pas y toucher "Attention, tu feras pas toute ma mise en beauté, t’assisteras juste l'équipe qui s'occupe de moi." Avec un sourire en biais, elle ajouta "Vois ça comme un stage de fin d’année." Puisqu’elle se comportait comme une gamine de 15 ans, elle n’aurait pas de mal à s’imaginer dans ces conditions, si ?
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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Dernière édition par Jo Carter le Jeu 8 Aoû 2024 - 18:11, édité 1 fois
≈ ≈ ≈ {she's so successful} crédit/(raquelsgifs) ✰ w/@Jo Carter
Tu ne veux pas plomber l'ambiance ou être une source de stress supplémentaire pour Jo. Du tout. Ce n'est pas le but de ton déplacement et ça devrait même être le contraire quand elle est concernée, tu devrais lui rendre la vie plus facile, tu le sais ça. Tu peux faire semblant autant que tu veux, mais au bout du compte, c'est un univers qui te dépasse tout ça. Peut-être que c'est la raison pour laquelle ta plus vieille amie est en train de vivre un rêve éveillé et que toi, tu es littéralement et définitivement, sur la touche ? Jo a su faire quelque chose de sa vie depuis qu'elle a quitté Dalby et qu'elle est à Sydney, tu as beau avoir suivi le même processus, marché dans ses pas aussi, le résultat... il n'est tout simplement pas le même et il suffit d'un seul coup d'oeil pour s'en rendre compte. Enfin, c'est une réflexion que tu peux garder pour plus tard, alors que tu suis toujours Jo et son sourire. La brune a absolument tout prévu, il n'y a pas de hasard, même dans ce nouvel environnement, alors ça ne devrait pas t'étonner plus que cela. "Okay, oui, c'est logique, sans cela, impossible de faire une émission ou de faire saliver le public." Que tu dis à voix haute, n'importe qui voudra porter la tenue qu'il, elle ou iel a pu voir à la télévision, portée par une personne en train de devenir une star. Il n'y a pas mieux comme coup de publicité. Jo te fait ravaler ta dernière question cependant alors qu'elle roule des yeux, comme tu l'as vu faire des dizaines, voire des centaines de fois. "Personne ne pr-... okay, pas de photos." Personne ne prend de photos, que tu avais envie de lui demander, haut et fort, mais pas besoin d'une autre leçon de vie. Une seule suffit amplement et tu ravales la vive émotion dans un soupir et tu ranges ton téléphone dans la poche de ton pantalon en cuir. Cela sera mieux, pour toi, pour Jo, tu veux être là, tu ne veux pas la déranger ou pire qu'elle décide que tu n'as absolument rien à faire là et qu'elle te somme de rentrer. Pour retrouver votre appartement vide et la regarder évoluer sur le petit écran, comme une personne lambda. Qui ne la connaîtrait pas et qui ne fait pas partie de sa vie. Cela, ça serait tellement humiliant... tu ne veux pas y penser, tu n'y penses plus après la révélation de Jo. Est-ce une blague ? Tu t'arrêtes sur tes talons, dans tous les sens du terme, alors que Jo se met sur la pointe des pieds pour t'annoncer cela. Le secret le mieux gardé de la terre, il te semble, car personne ne t'a prévenu avant, du tout. Pas quand tu as passé la sécurité, ni même la personne qui t'a accompagnée jusqu'à Jo. "T'es sérieuse ?" Tu poses la question à voix haute, il faut que tu le fasses, pour t'assurer que tu ne rêves pas éveillée. Et puis Jo n'est pas du genre à faire une blague comme ça, du tout, est-ce bien pour cela qu'elle a autant insisté il y a quelques secondes d'avant ? Parce qu'ainsi, ce n'est pas juste sa réputation qui est en jeu, mais également la tienne ? Alors oui, comme ça, tout s'explique. "Jo c'est...." Tu n'as pas encore donné de vraies réponses, trop occupée à cligner des yeux, à te demander si c'est bien en train de t'arriver aussi... Si c'est bien ton moment. "Parfait ! Et bien sûr que oui que j'ai envie de faire ça !" Tu finis enfin ta phrase, avec un sourire. Et tu le gardes ton sourire, parce que c'est à des lieux de ce que fait Jo, véritablement, mais tu l'accaptes dans tous les cas et tu ne comptes pas tout faire capoter, du tout. "Je sais que tu te moques de moi, c'est amplement mérité, mais ça boosterait vraiment... tout." Ton CV, ta côte de popularité auprès des quelques clientes que tu as pu trouver et même sur le net. Ce qui n'est pas rien. "Merci." Tu te rapproches toi aussi, juste pour poser ta main sur l'épaule de Jo, un simple geste, mais tu espères qu'il dira tout ce que tu ne peux pas exprimer, car tu n'as pas les bons mots. Pas besoin de l'étreindre, vous ne faites pas trop ça, et ce n'est pas le lieu, tu le comprends encore mieux maintenant. "Merci d'avoir demandé et d'avoir pensé à moi, merci." Tu la relâches l'instant suivant."Je ne te ferais pas honte, promis."
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Difficile de garder son calme quand Laurie se comportait comme une enfant. Probablement que c’est d’avoir été trop longtemps à son contact qui la rendrait réfractaire à les côtoyer, ces petits choses, qui savait. En attendant, reprenant le sens de sa marche, à l’aise dans les couloirs du studio qu’elle connaissait déjà comme sa poche, elle ne fit que rouler des yeux face à sa naïveté. De toute façon, un plan bien établi s’était déjà durablement installé à l’arrière de son crâne lorsqu’elle attira son attention pour lui en parler.
Elle était dure, Jo. C’est vrai, elle avait des allures de poupée vivante, surtout à cet âge-ci, ce n’était pas pour autant qu’elle était douce et docile, bon nombre s’en était aperçu en tentant de lui souffler quoi dire, quoi faire, et comment penser. Toutefois, elle réussissait à surprendre ceux pour qui elle avait un tantinet de considération, malgré cette dureté qui la suivait, cette agressivité étonnante la suivant de près et donnant le sentiment qu’elle était toujours sur la défensive, prête à parer les coups pour les renvoyer avec force et robustesse. Malgré tout, Laurie faisait partie de ceux-là, des gens qui avaient un tantinet de considération à ses yeux. Certes, elle l’agaçait à ne pas se tenir droite, elle l’insupportait à toujours donner l'impression d’être sur le point de pleurer, elle restait tout de même sa plus vieille amie, celle qu’elle aiderait quoi qu’il arriverait parce qu’elle la connaissait, qu’elle savait d’où elle venait et ce qu’elle avait vécu — puis hé, elle ne s’était pas échinée à casser la gueule à ce petit connard de Adam Morris, le petit pouilleux avec des dents en moins qui se foutait d’elle tous les jours de sa vie depuis le cour préparatoire, pour qu’elle finisse clodo la Wright, merde. Jo avait commencé quelque chose, elle devait le finir, même si ça lui collait de l’urticaire d’être en charge d’une personne en plus d’elle-même.
Depuis qu’elles étaient toutes les deux à Sydney, Laurie n’avait pas brillé. Elle enchaînait les contrats minables, les opportunités bancales, et certainement que ça lui allait, appréciant sa toute nouvelle liberté. Sauf que si elle voulait rester dans le sillage de Jo, il fallait qu’elle aspire à mieux que ça parce qu’elle ne lui laisserait pas une seule occasion de lui foutre la honte devant qui que ce soit. Elle avait appris une chose, la chanteuse, c’était qu’on n’était jamais mieux servi que par soi-même, alors comme Laurie ne semblait pas motivée à faire autre chose de sa vie que de pleurer sur celle-ci, elle avait mis en marche son culot pour parler de son amie à ceux qui s’occupaient d’elle ici. Elle avait conscience qu’une grande partie des opportunités du milieu se faisait par du bouche à oreille, aussi elle qui avait le bouche plus grande que la moyenne (je vous vois venir avec vos insinuations, bande de pervers), elle n’avait pas hésité un instant. Elle n’avait pas tari d’éloges sur les capacités de son amie, montré ses oeuvres, grossi un peu le trait pour la vendre, voire la survendre ; elle avait été terre-à-terre aussi, insistant sur le fait qu’elle comprenait qu’elle ne pourrait pas complètement avoir les rênes, histoire de contraindre l’équipe d’accepter qu’elle participe à tout ça en tant qu’observatrice… bingo, on dit merci le charisme et le pouvoir de séduction.
"Grave sérieuse, ouais." Plus que ça encore, même si elle le dit presque sans aucune expression, les yeux posés sur la jeune femme qui s’émerveillait de la proposition qu’elle venait de recevoir. Jo savait déjà qu’elle ne refuserait pas, donc l’entendre lui confirmer qu’elle acceptait, c’était simplement normal, et quand bien même ça fit gonfler son petit coeur de pierre de la voir si heureuse, elle ne réagit pas vraiment autrement que pour lui faire, toujours sérieuse "C’est pour ça que j’ai demandé, je savais que ça t’aiderait bien. Mais encore une fois, c’est mes fesses que je vends là, alors t’as intérêt de pas déconner." Elle la remercia, Jo renchaina sans vraiment se soucier de la main qu’elle posa sur son épaule, pas du genre à apprécier les grandes effusions de sentiments, surtout à cette époque-ci — plus tard, elle consentirait à se faire étreindre et câliner, mais pour le moment, ça lui faisait ni chaud ni froid "Je plaisante pas, Laurie. Je pense pas qu’à ma réputation sur ce coup-là, je pense aussi à la tienne." Elle secoua la tête de haut en bas, affirmant cette pensée qu’elle lui offrit avec calme, ses yeux plongés dans les siennes "C’est une vraie bonne opportunité pour toi, et c’est important pour la suite de ta carrière." C’était bien toujours ce qu’elle voulait faire de sa vie ? Elle ne le lui demanda pas, mais elle l’espérait, sinon elles auraient des problèmes, toutes les deux "T’as pas le droit de te louper si tu veux évoluer." Elle ne lui mettait pas la pression, elle voulait juste lui faire comprendre qu’elle avait quitté Dalby pour quelque chose, et ce n’était pas pour se la couler douce. Elle ajouta "Ta mère est plus dans les parages depuis un moment maintenant, faut te réveiller, OK ?" Et là, elle était presque douce dans sa façon de la motiver à prendre tout ça comme un moyen palpable d’enfin se sortir les doigts de là où elle les avait profondément enfoncés, l’incitant à sa manière à voir un peu plus loin que le bout de son nez.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
≈ ≈ ≈ {she's so successful} crédit/(raquelsgifs) ✰ w/@Jo Carter
Ce n'est pas la première main qu'on te tend. Jo le sait, tu le sais, et encore une fois, tu saisis l'opportunité. Parce que personne ne t'a appris à dire pardon ou même à dire non quand on te donne quelque chose, et que tu ne comptes pas apprendre maintenant. Tu dis bien merci à chaque fois, c'est bien suffisant, pas vrai ? Tu en es persuadée, et tu dis même merci à la brune aujourd'hui, bien contente dans le fond de ne pas être laissée de côté. De ne pas juste être là en tant que simple observatrice ou même une fan lambda. Jo a pensé à toi, tu ne réalises même pas à quel point tu as de la chance, à quel point ce n'est pas un acquis, que tu ne mérites même pas à cette place. Ou que la brune n'est pas obligée de t'inclure dans ses plans, ou te donner un minimum l'occasion de briller. Dans des années, tu finiras par le regretter, tu te trouveras bien idiote, mais vous n'en êtes pas encore là. Tu n'as pas encore l'expérience, le trauma n'est pas encore là dans ton regard bleuté et tu penses encore, naïvement, que tout, absolument tout, t'est dû. C'est innocent, mais tu es plus motivée que jamais alors que tu hoches la tête. Jo a raison, Catherine n'est pas là. Pas là pour te secouer ou te dire que faire de sa manière impérieuse, pas là pour régir ta vie et en décider la direction. Tu es aux commandes, tu es en charge... avec beaucoup, beaucoup, d'aide de la part de ta meilleure amie, il ne faut absolument pas l'oublier. "Je ne compte pas déconner. Ou te faire honte." Il y a trop en jeu tout d'un coup, assez pour te faire paniquer, c'est vrai, mais tu ne comptes pas le faire. Jo te montre le bon exemple, elle ne panique pas, elle reste cool et en contrôle, c'est comme ça que tu dois être, ni plus, ni moins. "Surtout si les gens savent qu'on est amies toi et moi, hors de question de te causer du tort." Ouais, c'est une faveur, mais ça va être à toi de faire tes preuves. Le premier prime est important, tu sais que Jo n'aura pas le temps de te guider ou même de faire du baby-sitting quand l'enregistrement se fera... ou même quand elle sera devant les caméras et en même temps sur le petit écran des gens, en direct. "Okay." Tu hoches la tête avec un petit peu plus de détermination sur le visage. Tu sais faire ça, tu as passé des années à observer les traits de Jo, à la regarder se maquiller et se sublimer, tu sais ce qui lui va et ce qui ne lui va pas. Tu as un tas de questions maintenant que tu sais pourquoi tu es là et tu regrettes même de lui avoir fait perdre son temps il y a quelques minutes de cela. Il y a des choses qui sont plus urgentes en fait. "Okay, tu sais déjà quelle robe tu vas porter pour le direct ? Et quel vers quel look se dirige l'équipe de maquillage ? Je demande parce que je ne compte pas les ralentir et bien les assister." Pas besoin de trainer ou d'être à la ramasse, tu veux prouver que tu peux apporter ta petite touche personnelle, ton propre style et pas juste être celle qui tient les pinceaux et les palettes en restant dans son coin. Ce n'est pas toi déjà, ton style est beaucoup plus tape-à-l'œil et accrocheur, c'est ce que t'ont dit les quelques clientes régulières que tu as. Quelque chose que tu considères comme des compliments et décidément pas l'inverse. "Il va y avoir des changements de tenues ou pas ? Je suppose que oui, tu sais en combien de temps ça se passe tout ça ou pas ?" Est-ce que cela se fait pendant les publicités ? Pendant qu'une autre personne sera devant le micro et sur la scène ? Tout n'est que supposition pour toi, mais tu te dis que tout doit se faire à une vitesse folle et à un rythme effréné. Pour mettre en valeur Jo, pour ne pas ralentir et pour qu'elle puisse se concentrer sur sa performance de chanteuse en toute pérennité et pas autrement. "Je peux rencontrer le reste de l'équipe et des stylistes maintenant ou ce n'est pas dans ton tour ?" Tu te dis qu'il vaut mieux le faire maintenant, tu es déjà l'arriviste, tu n'as pas envie d'être celle qui est malpolie en plus de tout.
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
"T’as intérêt, ouais." Jo le dit sérieusement les premières secondes. Et puis doucement, très doucement, son air strict se craquela pour laisser entrevoir un sourire qu’elle dissimula dans le geste qu’elle fit pour faire pivoter Laurie sur ses pieds tandis qu’elle glissait son bras dans le creux du sien, la faisant avancer avec elle en la tirant sans méchanceté, la guidant simplement dans les couloirs. Son sourire perdura un temps, écoutant la jeune femme parler sans la lâcher, opinant juste pour adhérer à ce qu’elle disait et ajouter dans la foulée "C’est pour ça que tu dois tout donner, d’accord ?" Déterminée, Jo continua "Faut que tu laisses personne te dire que t’es là parce que je t’ai aidée, ou parce qu’on est copines." Jamais elle ne laisserait qui que ce soit prétendre qu’elle, elle était là grâce à quelqu’un d’autre. Elle avait assez entendu de la bouche de son propre père qu’elle lui devait absolument tout, elle n’était plus encline à dépendre de qui que ce soit si ce n’était d’elle, de sa force de caractère et de son ambition. Sa place à X Factor, elle l’avait obtenue à la force du poignet, et c’était tellement jouissif de pouvoir le revendiquer qu’au fond, pas aussi égoïste qu’elle le laissait croire pour parfaire le personnage qui était le sien, elle voulait que Laurie connaisse ça aussi : l’impression du travail accompli, récoltant les lauriers dûment gagnés après des années à ne faire que ça, travailler, encore et encore et encore. Elle tourna légèrement la tête vers Laurie, s’appliqua à poursuivre, encourageante, dressant ses doigts un à un chaque fois qu’elle mentionnait quelque chose que la jeune femme devait faire pour s’assurer une bonne presse auprès de ceux avec qui elle travaillerait bientôt "Faut que tu sois sérieuse et assidue : t’arrives à l’heure, tu fais ce qu’on te demande dans les premiers temps… ensuite, t’observes, tu prends un peu confiance en toi, tu fais des propositions, t’essayes de les faire passer en douceur avant de les imposer, et tu cartonnes, c'est clair ?" Encore une fois, elle avait intérêt à l’avoir bien entendue, parce que Jo ne la lâcherait pas si elle merdait sur son terrain de jeu, c’était clair.
Ce qui la rassura un peu, c’est la détermination qu’elle vit sur ses traits et la manière dont, soudainement, elle s’intéressa vraiment à ce qui se passait pour Jo "Non, pas encore. C’est pour ça que je t’emmène au placard, on m’attend pour d’autres essayages." Jo ne se laisserait jamais dicter quoi porter, mais qu’elle le veuille ou non, on essayait de lui faire endosser un rôle qu’elle ne tenait pas mal au demeurant ; c’était facile de la vendre comme une version nouvelle d’Ariana Grande, et pas uniquement parce qu’elles avaient les mêmes features : petites, brunes, le teint bronzé, vaguement exotique selon ce que ça voulait dire, la voix qui portait. Jo paraissait cela dit bien moins innocente que la chanteuse, et elle ne minaudait que pour la blague, alors forcément, ce n’était pas bien difficile de savoir quel genre de tenues on allait lui faire porter. Ça ne la dérangeait plus, elle avait cessé d’être farouche beaucoup trop tôt pour s’inquiéter d’un décolleté plongeant, ou d’une robe fendue — et puis tant qu’on parlait d’elle, c’était tout bénéf. Toutefois, les questions de Laurie s’enchaînaient, et si elle comprenait parfaitement où elle voulait en venir, elle était en train de se demander quelque chose qu’elle finit par vocaliser, fronçant les sourcils en lui serrant un peu plus le bras, comme pour la rassurer sans en donner l’air "Hé, t’es quand même pas en train de paniquer là ?" Si c’était le cas, il fallait qu’elle le lui dise pour qu’elles règlent ça rapidement. Elle l’observant de coin, elle trouva qu’elle agissait comme quelqu’un qui n’avait pas mangé depuis des jours et qui, soudainement, se trouvait devant un buffet succulent : elle ne savait pas où donner de la tête, prête à goûter à tout. Attention à l’indigestion, cependant : l’ambition c’était bien, mais quand elle était mal envisagée, ça menait à des catastrophes. Jo ne pouvait pas se permettre la catastrophe, aussi elle fit à la jeune femme en tendant de l’inviter à respirer un peu "Chaque chose en son temps. On va déjà rejoindre les habilleuses et faire le tour de ce que les stylistes ont préparé pour moi. Prête ?" lui demanda-t-elle finalement, levant le menton pour capter son regard, et voir la réponse dans ses yeux avant qu’elle ne la lui donne de vive voix.
rp terminé.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.