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Jo Carter
Jo Carter
la folie des grandeurs
la folie des grandeurs
  
(ollie #1) invisible string MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
(ollie #1) invisible string F5b1ca38b4110555ff67218bf2c4ddfbdb5fac7a
POSTS : 10245 POINTS : 810

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
(ollie #1) invisible string 5c953f317a3937162e191f0bf27014c01d7a275b
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
(ollie #1) invisible string E57cb698023adbe437469fd4b2ea21ceb402aaba
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
(ollie #1) invisible string 8d627d8c728930629f9a32540521788cd1a0bd36
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

mabel#8 ◦ isabel (fb 2018)midas#34megan#14cleo#2pennyninamicah#10harleenkendall

RPs EN ATTENTE :
(ollie #1) invisible string Eb5602d06ee5f3b382f45b87b6feb42d85162dcb
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(ollie #1) invisible string 5kwj
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
(ollie #1) invisible string 3b2ae8580c66cd938666a10764be7e9f5141e4cd
JERRY ◦ my boy only breaks his favorite toys i'm queen of sand castles he destroys 'cause it fit too right puzzle pieces in the dead of night i should've known it was a matter of time oh oh my boy only breaks his favorite toys (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©lomapacks (gif jerry) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
https://www.30yearsstillyoung.com/t42752-jo-carter

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Message(#)(ollie #1) invisible string EmptyVen 21 Juin 2024 - 12:32

Ollie Gallagher adore ce message



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@Ollie Gallagher (crédit gif/kreacher)

L’effervescence des backstage restait à peu près la même partout. Concerts, festivals, plateaux télévisés, c’était un chaos millimétré au centre duquel Jo se complaisait sans mal, même quand elle n’était pas concernée. Le ballet des techniciens était plutôt agréable à regarder tant qu’on ne restait pas dans leurs pattes, alors elle avait son petit coin attitré, se faisant presque trop petite pour qu’on ne puisse pas lui reprocher de vouloir attirer l’attention. C’était moins le cas depuis son retour d’Ibiza de toute façon, la préparation de sa propre tournée de la lose se préparant sans qu’elle ne réussisse à réellement se faire une idée précise de ce que ça donnerait dans sa finalité. Bien sûr, elle avait son décor, elle avait ses tenues, elle avait le soutien de ses musiciens, et elle avait même quelques danseurs… mais elle se souvenait des arguments de son label pour expliquer la taille réduite de ses dates, des endroits dans lesquels elle se produirait, et ça la rendait plus monotone (mais pas déprimée, plus autant que ça, en tout cas), même si elle était reconnaissante de la chance qu’on lui donnait. Laisse-toi le temps, ce n’est que le début, qu’on lui répétait sans cesse, et une partie d’elle l’acceptait sans mal ; l’autre trouvait injuste que son succès ne pas récompensé à sa juste valeur, les chiffres ne mentant pas pourtant. C’était moins pire qu’autre chose, elle en prenait conscience et apprenait à faire avec, trouvant dans les petites choses de quoi sincèrement se réjouir de ce qui se passerait bientôt pour elle. Assister à des représentations sporadiques de Midas, ça l’inspirait assez pour la rendre plus encline à accepter que ce serait bientôt son tour. Elle ne cacherait pas que ça lui faisait un pincement au coeur quand elle songeait au temps qu’elle avait perdu depuis sa première participation à The X Factor, mais si elle avait bien appris quelque chose au cours du mois passé, c’était que son impatience était un frein à son évolution. Jo, elle se mettait des bâtons dans les roues toute seule à vouloir viser la lune d’emblée, ne se laissant pas de marge suffisante pour échouer comme c’était parfois nécessaire pour affirmer sa destinée.

Les lèvres pressées l’une contre l’autre, suivant des yeux les allers et venues de ceux qui s’activaient pour que Midas rentre sur scène à l’heure, elle était juchée sur le couvercle d’un caisson de matériel à l’arrière de la scène. De là, elle entendait la ferveur du public impatient de l’autre côté, sentant leur excitation, l’électricité provoquée par l’attente d’un moment qu'ils avaient anticipé avant de s’y rendre pour vivre un instant qu’ils n’oublieraient jamais. Ils connaissaient les chansons, ils connaissaient la musique, ça ne les empêchait pas de s’émerveiller de tout ce qu'ils seraient susceptibles de voir ce soir, à l’image d'un enfant qui découvre ses cadeaux le matin de Noël. En parlant d’enfant, Jo savait que Posy et sa maman ne tarderaient pas à débarquer pour assister elles aussi à ce concert, et elle l’appréhendait. Elle savait qu’elle ne rendait pas indifférente la petite-fille qui voudrait la solliciter, elle-même de la rendait pas indifférente, réussissant même à admettre qu’elle lui avait beaucoup manqué durant son périple en Espagne, mais quand sa mère était à proximité, Jo ne préférait pas s’y risquer. Peut-être aurait-elle dû leur laisser le champ-libre et battre en retrait pour ce soir, toujours un peu fragile au niveau de ses émotions, mais elle restait une adulte, non ? Et elle se sentait capable de prendre sur elle, surtout après avoir passé une putain de tempête au Fidji auprès d’une femme qu’elle méprisait par principe.

Tout à coup, elle souffla une énorme bulle de son chewing-gum à la cerise en faisant comme son psy lui avait appris : relativiser, prendre une profonde inspiration, et songer à la fierté qu’elle alimenterait en réussissant à se contenir. Aussi vite, sa bulle de chewing-gum éclata. Elle cligna des paupières en l’inspirant d’un coup, roulant des yeux en les tournant vers la source d’un mouvement pas anormal sur sa gauche, qui attira pourtant toute son attention. Elle s’anima, se redressant en même temps "Hey. Ouais, toi." Sans délai, elle claqua des doigts en direction de la silhouette qui venait d’apparaître au milieu des techniciens, qu’elle savait être celle du mec de Harleen, histoire de le faire venir, un peu comme un psst-psst auprès d’un chat de gouttière qui la rendait curieuse plus qu’il ne l’intéressait vraiment. Ils n’avaient jamais été présentés, elle savait toutefois déjà que Midas lui accordait une inimité profonde qu’elle soupçonnait — à tort ou pas, elle ne préférait même pas avoir la réponse à cette question-là — d’être alimentée par un soupçon de jalousie. Mais elle avait du temps à tuer avant le début du concert, et elle imaginait sans mal qu’à l’instant-même, Midas devait être en train de passer un moment avec sa fille avant de monter sur scène. Elle lui laissait ce privilège là, elle aurait son moment plus tard, sans aucun doute. Attendant qu’il s’approche plus près, elle suivit son chemin en le regardant avancer, balançant ses pieds au-dessus du sol qu’elle ne touchait même pas un peu, toujours bien assise sur son caisson. Finalement, le toisant sans scrupules, le jugement s’échappant de ses yeux soulignés par le maquillage, c’est en mastiquant son chewing-gum et en haussant un sourcil qu’elle lui dit "Je savais pas que tu serais là." Et en vrai, ça lui en touchait une sans faire bouger l’autre "Elles sont avec toi ?" Elle connaissait déjà la réponse à sa question, celle qu’elle lui posa juste après étant moins rhétorique, mais qui lui fit froncer très fort les sourcils pour mieux se rappeler "C’est quoi ton nom déjà ?"


    - i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more. i was grinning like i'm winning, i was hitting my marks, cause i can do it with a broken heart -












    :sing::
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Ollie Gallagher
Ollie Gallagher
la fureur de vivre
la fureur de vivre
  
ÂGE : vingt-sept ans (04.08)
STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours.
MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères.
LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs
(ollie #1) invisible string SZ0Qd
POSTS : 346 POINTS : 90

TW IN RP : suicide, dépression, violence
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
RPs EN COURS : (03) harleen #1oliveandrew › cleo #2 › harleen #2

(ollie #1) invisible string 665b7d9311f5e54e3d88db3c3f9f2be19d4092e9
olliwood #1it's coming

RPs TERMINÉS : (2024) jo #1cleo #1
AVATAR : paul mescal
CRÉDITS : harley (avatar), conjuringgifs (gif signa & profil), loonywaltz (ub)
DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › arthur coventry (ft. françois civil) › nina sterling (ft. suki watherhouse)
PSEUDO : paindep
INSCRIT LE : 29/05/2024
https://www.30yearsstillyoung.com/t54479-i-would-rather-take-my-whiskey-neat-ollie
https://www.30yearsstillyoung.com/t54553-ollie-spare-the-sympathy

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Message(#)(ollie #1) invisible string EmptyJeu 4 Juil 2024 - 21:16

Jo Carter adore ce message



(c) ssoveia
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@JO CARTER & OLLIE

lieu: on the road

Il n’avait strictement aucune idée de ce qu’il faisait là. Le monde paraissait oppressant autour de lui et, si ce n’était pas pour la petite main moite qui collait à la sienne, il aurait fait demi-tour depuis dix minutes déjà. Mais elle ne cessait de tirer sur ses doigts Posy, l’entraînant à gauche puis à droite, un immense sourire dessiné sur ses lèvres, les yeux emplis d’étoiles face au ballet incessant de gens, de matériels et de paillettes. « Tu crois que papa va faire ma chanson préférée ? » Elle s’adressait à lui, mais Ollie n’avait aucune idée de ce que pouvait être la chanson ou même le programme de la soirée. Il haussa les épaules sans s’attarder. « J’sais pas. » Une chose est certaine, il n’avait aucunement l’intention de s’attarder pour le découvrir. Devant eux, Harleen paraissait dans son univers, elle s’arrêtait pour tout regarder, pour tout commenter et pour entamer la conversation avec le premier inconnu. Il aurait dû se contenter de les déposer dans le parking, mais Posy avait longuement insisté et dans ce genre de situation, Ollie ne savait pas vraiment lui dire non. Surtout quand, la veille encore, il avait laissé ses impulsions prendre le dessus sur sa patience, haussant le ton sans réelle raison. La gamine était heureuse de voir ses deux mondes se rencontrer, inconsciente des enjeux d’adultes et des tensions dans les relations. Ollie n’avait aucunement envie de croiser Midas et son air supérieur, mais il pouvait bien continuer à slalomer dans les backstages. Peut-être que son regard s’était déjà posé sur quelques éléments qu’il pourrait dérober quand tout le monde aura les yeux rivés sur la scène. Il planifiait sa propre contre-soirée, ce ne serait pas la première et ce n’est pas comme si Harls allait le chercher. Elle savait qu’il ne ferait pas long feu dans les parages, il lui avait promis de ne pas provoquer l’autre idiot. 

Son instinct le força à lâcher la main de la gamine avant de s’approcher d’entrer dans le territoire de la star de la soirée. Il se libéra du fardeau, collant le casque anti-bruit, qu’on lui avait demandé de ne pas oublier dans la voiture, dans les mains d’Harleen. Les mains à nouveau libres, il porta deux doigts à ses lèvres, geste universel du mec qui signalait vouloir s’en griller une. L’excuse était toute trouvée, il n’aurait plus qu’à trouver le chemin le plus court pour rejoindre l’extérieur sans jamais se retourner. Il n’aimait rien de ce qui l’entourait, les hurlements des groupies dans la fosse, les ordres aboyés par une femme minuscule avec un casque sur les oreilles et tous ces poulets sans tête qui paraissaient s’agiter sans la moindre organisation. Ce n’était pas son monde, il ne voulait guère s’y retrouver associé. Il n’avait rien à faire ici et il n’avait pas l’intention d’attendre le moment où on finira par lui signaler. 

Fouillant ses poches à la recherche de son briquet, il fut presque surpris de se retrouver interpellé par une voix féminine. Est-ce que la folle au casque allait lui réclamer quelque chose ? « Hey. Ouais, toi. » Pas de monstre donneur d’ordre, mais juste une fille assise sur un caisson. Son visage lui paraissait vaguement familier sans qu’il ne remette un nom dessus. Sa curiosité l’emporta, l’amenant à se rapprocher de la brunette qui continuait à mastiquer son chewing-gum d’une manière agaçante. Et avant qu’elle n’ouvre à nouveau la bouche, il percuta : La nouvelle bimbo de Midas ou un truc comme ça, au prénom qu’il n’avait jamais retenu et qu’il ne retiendra jamais, car rien de tout cela n’avait son importance. « Je savais pas que tu serais là. » Il eut un rire presque amusé. « La prochaine fois, je ferai une annonce publique, tu préfères quoi, Twitter, Instagram ? » Il n’avait aucun réseau social à son nom, mais il pouvait bien se moquer de l’intérêt qu’elle paraissait lui porter si soudainement. Avait-elle été missionnée par le pantin pour midinettes ? « Elles sont avec toi ? » Il s’efforça de ne pas lever les yeux au ciel, de ne pas manquer de respect à une femme, même quand elle ne cessait de poser des questions idiotes. « Non, je suis venu tout seul. » Qu’il avance sans jamais perdre son air renfrogné. « Tu crois qu’il voudra bien signer mon tee-shirt ? » Son marcel, plus si blanc que cela, qu’il avait couplé à un jean usé jusqu’à la corde. Rien qui ne collait avec le décor et l’allure si plastifiée de la demoiselle. « C’est quoi ton prénom déjà ? » - « Ollie. » Jouant avec sa cigarette éteinte entre ses doigts, il releva les yeux vers elle, prenant le temps d’observer chacune de ses courbes d’un air amusé. « Et toi, c’est… Josepha, c’est ça ?! » Posy en avait parlé, la nana de son père, celle qu’elle trouvait si chouette. Ce n’est pas comme s’il écoutait réellement tout ce que la petite avait à dire. « La gamine va te voler la place de première groupie ce soir. » Comme ça, elle saura, que la progéniture est dans les parages et qu’il faut se tenir à carreau ou quelque chose comme ça.





Spoiler:
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Jo Carter
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LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
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CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
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JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

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DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
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Message(#)(ollie #1) invisible string EmptyVen 5 Juil 2024 - 19:42

Ollie Gallagher adore ce message



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@Ollie Gallagher (crédit gif/kreacher)

"Mais nan, t’as internet dans ton van pourri ?" Ses grands yeux s’ouvrirent devant la rhétorique du gaillard qui s’avança vers elle avec une dégaine à faire peur. Les talents d’actrice de Jo lui permettaient de n’engager personne pour jouer dans les clips vidéos qui accompagnaient la sortie de ses titres. Décidément, elle avait tout ce qu’il fallait pour épater la galerie. L’expression de surprise qui avait teinté ses traits à la réponse d’Ollie se mua en mépris, exacerbé par la manière dont elle mâchait son chewing-gum, et qui, lui, n’était pas joué lorsqu’elle ajouta, le toisant sans juger nécessaire de se retenir, prompte à se foutre de la gueule du monde parce qu’en plus du reste, elle savait particulièrement bien faire ça aussi "Putain, ça a bien changé les hippies." À se faire payer des maisons à plusieurs boules sous le prétexte qu’il y avait une gamine au milieu, mais à se trimballer dans des caisses dignes de poubelle pour faire genre, et bien coller au cliché rapporté par la glorification d’une époque où la musique était excellente, mais pas le reste.

Pas impressionnée par sa répartie, sagement assise sur son caisson de matériel qui, avec elle dessus, prenait des allures de trône qu’elle investissait fièrement, Jo arqua un sourcil en se demandant comme il le vivait lui, toute cette situation avec Posy. Ce n’était pas tant la gamine qui était dérangeante, et la chanteuse ne l’avait jamais, jamais pensé de cette manière. Elle avait parfois pensé que ce serait moins douloureux pour elle si elle n’existait pas, c’est vrai, mais elle n’avait jamais contraint Midas à envisager de choisir entre elle et sa gamine. Elle ne pourrait pas se regarder dans le miroir autrement, et en plus de ça, elle ne trouvait pas l’intérêt qu’il portait à sa fille anormal, bien au contraire. Il était un bon papa, ça la remuait de s’en rendre compte un peu plus chaque fois qu’elle le voyait passer du temps avec la petite ; elle n’avait rien à exiger de lui à ce sujet-là, elle tenait simplement à l’encourager à s’investir dans sa vie, elle tenait à ce qu’il reste le père bienveillant qu’il était avec elle parce qu’en contrepartie, elle savait ce que ça faisait d’avoir un père qui craignait et qu’elle ne souhaitait ça à personne, surtout pas à une gosse aussi adorable que Posy.

Non, elle, ce qui la dérangeait, c’était Harleen, et elle ne s’en était jamais cachée. Elle ne s’en cacherait pas plus là, même si elle était prête à faire des efforts pour cohabiter histoire d’éviter qu’on ne lui reproche pour la énième fois de ne pas savoir faire la part des choses. Le relent d’injustice là-dessous était quand même putain d’irritant, mais elle était dans une démarche de lâcher du lest, alors c’était entre elle et ce qu’elle était prête à faire pour préserver sa santé mentale et rien d’autre. Elle pressa ses lèvres l’une sur l’autre, les faisant claquer en les relâchant sans délicatesse lorsque l’homme en face d’elle répondit à sa question au sujet de la présence de Posy et sa mère. Elle, elle ne se retint pas de rouler des yeux qu’elle finit par poser sur lui pour lui faire, sans pitié "Et pourquoi tu demandes ? Tu comptes le revendre à quel prix ? Les virements sont plus suffisants, t’as besoin d’argent de poche en rab pour la déco de ta garçonnière ?" Elle ne connaissait rien des arrangements financiers entre Midas et Harleen, elle ne connaissait rien des arrangements tout court entre Harleen et son mec, ça ne l’empêchait pas de spéculer gaiement sur le profit évident que tous engrangeaient sur le dos de son petit ami qui était trop bonne pâte pour s’en offusquer, soucieux du bien-être de sa fille, et de ça seulement ; pas de souci, elle pouvait le faire à sa place. Encore que ce soir, ce n’était ni le lieu ni l’endroit, aussi s’abstint-elle d’ajouter quoi que ce soit à ce sujet-là, grattant enfin le prénom du jeune homme à qui elle demanda à la suite, sautant de son caisson avec une légèreté induite par sa prestance et son poids-plume "Ollie, pour Oliver ?" A ça de faire une référence à Dickens qu’elle aurait trouvé très opportune compte tenu de sa dégaine de clodo, elle la ferma pour mieux lui attribuer un plissement d’yeux quand il écorcha son prénom tout en la reluquant d’un peu trop près à son goût. Elle avait l’habitude, elle comprenait l’intérêt, vraiment. Mais non merci "Tu tiens pas à ce que je te corrige autrement qu’avec un joli sourire, alors range ta paire d’yeux, espèce de gros dégueulasse." Juré, ce n’était pas l’odeur qu’elle commentait, c’était son attitude qui jurait avec le côté défoncé à l’éther de l’autre illuminée qui servait de co-parent à Midas. Elle contourna Ollie qui parlait de groupie, trouva ça plutôt ironique quand tous les deux savaient parfaitement comment sa meuf avait mis le grappin sur Midas. Elle n’en dit rien, à la place, elle lui répondit avec un léger sourire, ses doigts venant replacer l’ourlet finement brodé du corsage de la robe qu’elle portait sous sa veste en cuir "Elle sait que je lui laisse la première place, mais seulement pour les jours de concert." Le clin d’oeil qui lui échappa lorsqu’elle se détourna de lui faisait partie de la panoplie de Jo, ce n’était pas une invitation à quoi que ce soit d’autre si ce n’est à la suivre pour dégager de là et ne pas s’attirer les foudres des roadies qui foutraient Ollie dehors s’ils s’apercevaient qu’il fumait aussi près des câbles. S’assurant qu’il la talonnait, elle lui demanda, aussi curieuse que malicieuse "Ça va, pas trop dég de pas être le centre de son attention quand son père est dans les parages ?"


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Dernière édition par Jo Carter le Jeu 25 Juil 2024 - 20:50, édité 1 fois
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Ollie Gallagher
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la fureur de vivre
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ÂGE : vingt-sept ans (04.08)
STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours.
MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères.
LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs
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TW IN RP : suicide, dépression, violence
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
RPs EN COURS : (03) harleen #1oliveandrew › cleo #2 › harleen #2

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olliwood #1it's coming

RPs TERMINÉS : (2024) jo #1cleo #1
AVATAR : paul mescal
CRÉDITS : harley (avatar), conjuringgifs (gif signa & profil), loonywaltz (ub)
DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › arthur coventry (ft. françois civil) › nina sterling (ft. suki watherhouse)
PSEUDO : paindep
INSCRIT LE : 29/05/2024
https://www.30yearsstillyoung.com/t54479-i-would-rather-take-my-whiskey-neat-ollie
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Message(#)(ollie #1) invisible string EmptyMer 24 Juil 2024 - 22:34

Jo Carter adore ce message



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@JO CARTER & OLLIE

« Mais nan, t’as internet dans ton van pourri ? » S’il avait pour habitude de s’offenser face au ton utilisé, il devait tout de même avouer que la brunette allait lui plaire si elle enchaînait avec une telle répartie. « Et même l’eau courante ! » Ses yeux s’écarquillèrent dans un élan de jeu de surprise, poussant l’exagération à son comble. « Je sais, ça surprend. » Cette blague, il l'avait entendue à de nombreuses reprises. Elle ne jouait pas vraiment avec l’originalité de la petite brune. « Putain, ça a bien changé les hippies. » Il ne s’abstint pas de lever les yeux au ciel. Cela aussi, il l’avait entendu toute sa vie. Le cliché vers lequel tous les bien-pensants s’amusaient à le classer. Un esprit libre se voulait forcément d’être un hippie, du genre incapable de s’intégrer en société. Il n’était pas impressionné et n’allait pas donner de crédit à un jugement aussi futile. Elle était la compagne du chanteur à midinette, il lui avait sûrement dépeint une image assez vulgaire de sa personne et Ollie n’en avait que faire. Qu’elle s’amuse à le catégoriser dès la première rencontre, ce n’est pas ce qui allait l’empêcher de dormir.

Il n’avait pas l’intention de s’attarder dans le coin. Il aimait la musique, encore plus lorsqu’il pouvait entendre des artistes live, mais Midas jouait dans la cour de récréation des petites filles à couettes, excité par un sourire refait et quelques paroles bancales. « Et pourquoi tu demandes ? Tu comptes le revendre à quel prix ? Les virements sont plus suffisants, t’as besoin d’argent de poche en rab pour la déco de ta garçonnière ? » Il ricana face à l’attaque. Elle était petite, mais elle avait du mordant. « J’ai un train de vie à respecter. » Celui qu’elle peignait probablement dans son esprit. Ollie étant réduit à un profiteur. Ce qu’il était, il n’allait pas le cacher. Est-ce qu’il était nécessaire de l’étaler sur la place publique ? Pas vraiment. « Ça aurait été canon dans la vitrine de la boutique du patron, pourtant. » Patron qui l’avait embauché puisqu’il connaissait personnellement Midas. « Ça m’aurait assuré le titre d’employé du mois, pour sûr ! » Comme s’il cochait les cases nécessaires, lui qui décidait de ses horaires et qui envoyait chier les clients quand ces derniers se voulaient un peu trop encombrants à son goût. Elle n’avait pas l’air d’amuser la demoiselle, mais Ollie n’allait pas s’en aller juste parce qu’elle avait décidé de l’observer avec tout son dédain.

« Ollie, pour Oliver ? » - « Juste pour Ollie. » Il détestait que l’on emploie son véritable prénom. Oliver se réservait aux patrons, aux remontrances et par définition, aux emmerdes. Il serait dommage d’immédiatement la classer dans la catégorie des gens qui ne lui apporteront que des emmerdes. Parfois, il accordait le bénéfice du doute. « Tu tiens pas à ce que je te corrige autrement qu’avec un joli sourire, alors range ta paire d’yeux, espèce de gros dégueulasse. » Il lui adressa un autre sourire avant de lever les mains au ciel en signe de paix. « S’cuse. » Il n’était pas un pervers qui matait les jolies filles avec la bave aux lèvres. Qu’importe ce qu’elle pouvait penser, il savait se tenir. Un peu. Pas assez pour réellement se retenir de vouloir allumer la cigarette avec laquelle il ne cessait de jouer. « Elle sait que je lui laisse la première place, mais seulement pour les jours de concert. » Est-ce que la gamine se devait de lui être reconnaissante ? Alors qu’elle était déjà le secret le mieux gardé de la décennie ? Ollie ne voulait pas se mêler à cela. Il n’était là que par affiliation, pour faire plaisir à Harls, pour jouer un semblant de paix ou une connerie dans le genre. Il n’avait aucune idée de ce qui le poussa à suivre la brunette alors qu’elle l’entraînait loin des techniciens qui commençaient à lui jeter des regards de travers. À l’écart, il put au moins actionner son briquet pour allumer sa clope. « Ça va, pas trop dég de pas être le centre de son attention quand son père est dans les parages ? » Il ricana à nouveau. Parfois, il aimerait ne pas faire partie du centre de l’attention de Posy. De manière permanente. Elle avait débarqué dans sa vie sans qu’il n’ait son mot à dire, elle avait tout mis sans dessus-dessous et désormais, il devait prétendre devoir assumer les erreurs des autres. « Je préfère quand elle me pose pas dix mille questions à la minute. » Elle grandissait, la petite, et avec l’âge, sa curiosité ne faisait que grandir, la transformant en véritable moulin à parole. C’était incessant parfois et il devait se rappeler de respirer pour ne pas lui hurler dessus, pour ne pas perdre patience. Elle jouait avec toutes ses limites. « Je suis son pote pour regarder les dessins animés, ça suffit déjà largement. » Il ne fallait pas abuser non plus. Il voulait bien zoner devant Peppa Pig, mais il était hors de question d’en faire plus. « Me dis pas que t’es jalouse d’une gamine de six ans. » Il arqua un sourcil dans l’attente d’une réaction. Après tout, entre eux deux, s’il y en a bien une qui semblait vouloir toute l’attention de Midas, c’était la demoiselle.




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Jo Carter
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la folie des grandeurs
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ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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POSTS : 10245 POINTS : 810

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
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CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
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JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

mabel#8 ◦ isabel (fb 2018)midas#34megan#14cleo#2pennyninamicah#10harleenkendall

RPs EN ATTENTE :
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LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
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DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
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JERRY ◦ my boy only breaks his favorite toys i'm queen of sand castles he destroys 'cause it fit too right puzzle pieces in the dead of night i should've known it was a matter of time oh oh my boy only breaks his favorite toys (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©lomapacks (gif jerry) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
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Message(#)(ollie #1) invisible string EmptyJeu 25 Juil 2024 - 21:38

Ollie Gallagher adore ce message



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@Ollie Gallagher (crédit gif/kreacher)

Le nez de Jo se fronça quand elle renifla ostensiblement en direction d’Ollie qui lui assurait que son van était équipé de l’eau courante. Mouais "On dirait pas." Heureusement que son parfum à elle était assez cher pour couvrir l’odeur qu’il dégageait, sinon ils auraient eu un plus gros problème que ça. Elle haussa les épaules, décidée à ne pas mieux se comporter que d’habitude, aussi revêche qu’elle était ironique, passée maîtresse dans l’art de faire valoir sa grande gueule et sa façon bien particulière de juger tout et son contraire. Bien sûr qu’elle jugeait Ollie, elle était même tentée de le comparer à Midas. Elle comparait à peu près tous les bonhommes à Midas, et ça ne datait pas d’aujourd’hui. C’était drôle d’ailleurs, qu’elle pensa sans le dire, qu’ils se retrouvent à cultiver le même vice — soit la clope —, et que leurs yeux avaient une nuance similaire, à croire que la grognasse qui leur servait de dénominateur commun avait un type. Lequel d’entre eux cherchait-elle dans l’autre ? Jo n’avait même pas envie de le savoir dans le fond, pas certaine de supporter la possibilité que c’était Midas qu’elle cherchait dans Ollie parce que cet abruti n’avait pas une seule once de charisme, même si elle avouerait peut-être un jour qu’elle le trouvait vaguement drôle.

Pas ce soir en tout cas "Et comment elles se portent tes couilles quand tu fais le point sur l’idée que tu vis aux crochets d’un autre ?" Ah, Jo et sa manière si particulière d’appuyer sur le nerf sensible et de le faire sans aucune subtilité. Son train de vie, Ollie le devait plus à Midas qu’il le devait au boulot qu’il occupait et qui lui avait été déniché par le chanteur lui-même. Décidément, il n’était bon à pas-grand chose quand elle y pensait. Était-ce sa place dans la vie de la mère de sa fille et de sa fille qui poussait Midas à le prendre en pitié ? Certainement. Est-ce qu’elle avait son mot à dire là-dessus ? Absolument pas, et elle ne le ferait pas, se contentant de ses pensées pour ne pas être taxée de mêle-tout, déjà bien assez au fait de n’avoir aucune vraie place au milieu de tout ça pour vouloir qu’on la juge de s’intéresser à tout ça. Elle le faisait à peine à dire vrai, elle aimait juste emmerder le monde, et le pire c’était que la plupart du temps, ça fonctionnait. Là, Ollie prenait plutôt bien son sarcasme, et ça ne lui faisait pas encore monter la moutarde au nez. À voir dans quelques minutes si le son de cloche n’allait pas évoluer, pour l’heure elle s’en accommodait, l’oreille aguerrie, le rythme de ses pas la menant doucement en dehors du périmètre des coulisses qu’ils traversèrent pour les quitter ensemble.

"OK, Oliver." L’air de sale gosse qu’elle avait sur le visage vint donner une nuance en plus au sourire espiègle qu’elle lui attribua en vérifiant s’il la suivait. Elle n’avait pas envie de faire du baby-sitting ce soir, mais c’était soit lui, soit Harleen. Autant dire qu’elle préférait encore se faire couper la tête que de s’imposer sa présence, au moins son mec ne jouait pas les grands naïfs en battant des cils et en faisant avaler à celui qui mettait du beurre dans les épinards que ses intention étaient pures. Un bon, très bon point pour Oliver. Marchant jusqu’à une porte coupe-feu qu’elle actionna avec la paume de sa main, qu’elle poussa avec l’arrondi de sa hanche, Jo se tourna vers lui pour lui accorder un regard et continua son chemin à reculons pour accueillir la réponse à la question qu’elle venait tout juste de lui poser ; difficile de deviner autre chose que les contours du lien qu'il avait avec la petite Sterling, ce qu’il avait dans la voix lorsqu’il parla d’elle la laissant plutôt perplexe tant elle ne savait pas déceler s’il s’agissait de réserve ou d’agacement. Elle la défendit presque instinctivement "Elle a six ans, c’est de son âge de poser des questions." Comme si elle en savait quelque chose putain, elle ne faisait que répéter ce que Midas lui disait quand elle-même faisait preuve d'un sens critique injuste en vers une gamine de cet âge-ci. C’était comme ça qu'il avait justifié sa crainte de monter dans l’avion pour les rejoindre aux Fidji et qui avait CoNtrAinT sa mère à monter avec elle — ces putains de Fidji, qu’elle pensa, en roulant des yeux intérieurement "T’en peux plus de te taper dix épisodes de Peppa Pig à la suite, avoue ?" Cette salope de Peppa et son rire à la con. Si Jo était son petit-frère, elle lui aurait déjà taillée le bide aux ciseaux pour s’assurer une réserve de bacon jusqu’à la fin de sa vie. Elle se repositionna aux côtés d’Oliver, se mordit brièvement l’intérieur de la joue avant de lui demander, curieuse "T’es là depuis combien de temps, toi ?" Depuis combien de temps gravitait-il autour de Posy ? Midas n’en parlait pas, Jo devinait que ça le dérangeait au plus haut point qu’il puisse passer plus de temps avec lui que lui n’en passait avec elle, et sans totalement le comprendre, elle saisissait au moins pourquoi à ses yeux c’était aussi dérangeant. Jo roula les siens pour de vrai, cette fois "Ouais, bien sûr. Je projette tous mes daddy issues sur une gamine qui a rien demandé à personne en la traitant comme ma pire ennemie et en essayant de lui voler son père par-dessus le marché." lui dit-elle, d’une voix monocorde, le visage tourné dans sa direction trahissant des traits aussi mornes que l’intonation de sa voix. Elle ajouta, se calant contre un mur de brique, talon tout contre, à l’abri des regards, à l’abri du grabuge à l’intérieur de la salle "T’as pas mieux comme cliché à m’offrir, Oliver ?" Essaye encore, disait son regard qu’elle posa sur lui avec défi, toujours pas impressionnée qu’il puisse la juger, pressée de pouvoir le juger lui encore un peu plus.


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Message(#)(ollie #1) invisible string EmptyDim 11 Aoû 2024 - 0:45

Jo Carter adore ce message



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@JO CARTER & OLLIE

Avec son regard perçant et son menton relevé droit, elle lui tient tête et même s’il ne l’avouera jamais à haute voix, il faut admettre que cela lui plaît. Elle semble être du genre à n’avoir besoin de personne pour se défendre et il n’aimerait pas devenir le numéro un sur la liste de ses ennemis. En attendant, ils se jaugent l’un et l’autre. Elle reste sur ses gardes et il ne lui en voudra pas. Il est conscient de n’être que la pièce rapportée, celui que personne ne souhaite réellement voir dans le coin, et s’il n’était pas sujet d’une gamine de six ans qui avait largement insisté pour le voir les accompagner, il ne serait même pas là. « Et comment elles se portent tes couilles quand tu fais le point sur l’idée que tu vis aux crochets d’un autre ? » Elle pense avoir trouvé le nerf de la guerre, LA remarque qui le fera vriller. Un instant, il est tenté de marcher dans son jeu, de s’offusquer et donner la version qu’elle s’attend à recevoir. Mais si Ollie sait être un excellent acteur, il n’a pas l’intention de mentir à la jeune femme. « Si tu penses que j’en ai quelque chose à faire, t’es mal tombé. » Visiblement, Joséphine est restée coincée sur les images archaïques servies par la société. Il devrait donc être celui qui ramène de l’argent dans le foyer pour être un homme. L’idée le fait doucement rire. « On va s’éviter les clichés sexistes, c’est pas vraiment ton genre, pas vrai ? » Sinon il sera bien capable de lui demander pourquoi elle ne reste tout simplement pas dans sa cuisine. Et dans ce cas, il n’est pas certain que la discussion s’achève sur une note positive. Midas s’entêtait à vouloir les rincer, ce n’est pas Ollie qui allait refuser. Si elle a un quelconque problème avec la situation, qu’elle voit cela avec son mec.

Au final, ils n’ont réellement qu’un seul point en commun : le rôle qu’ils ont à jouer dans la vie de Posy. Il n’a aucune idée de la position de la jeune femme sur la question, mais visiblement elle paraît prête à sortir les griffes pour défendre la gamine. « Elle a six ans, c’est de son âge de poser des questions. » Il lève les yeux au ciel, déjà las du ton qu’elle ne cesse d’employer. Est-ce que tout est une agression à ses yeux ? Est-ce qu’elle cherche à compenser sa petite taille en aboyant plus fort que les autres ? Il était prêt à pousser tous ses boutons en même temps, juste pour le découvrir. Mais en attendant, il n’avait qu’une seule envie : lui répondre du tac au tac. « Si t’as la réponse à pourquoi le ciel est bleu et pourquoi les avions ne battent pas des ailes comme les oiseaux, je t’en supplie, éclaire-moi. » Il n’avait rien contre la curiosité de Posy, mais il n’appréciait guère de ne pas amener une réponse aux yeux pétillants de vie de la gamine. « T’en peux plus de te taper dix épisodes de Peppa Pig à la suite, avoue ? » Il ne peut s’empêcher de rire face à la remarque. « Je pourrais lui tailler le bout de gras à celle-là. » Il ne supportait plus les rires faits de bruits de cochon, les chansons sans rythme et aux paroles bien trop entêtantes. « Je préfère encore les chiens pompiers et tout là. » Posy avait une légère obsession pour Stella même s’il ne se rappelle plus vraiment laquelle ça peut bien être et qu’elle lui rappelle à chaque nouveau visionnage. C’est le genre de moment où Ollie accepte de se poser à côté d’elle. Adossé contre le mur, sa cigarette enfin allumée, il relève les yeux pour croiser le regard de Jo quand elle ose poser une question bien différente. « T’es là depuis combien de temps, toi ? » Il aurait voulu rire, mais le cœur n’y était pas. Derrière son air de dur à cuir, la question allait relever ce qu’il préférait que personne ne sache. « Depuis toujours. » Il voit au regard de la brune qu’elle n’a pas réellement compris, qu’elle se moque presque, à croire qu’il lui lance un défi. « C’est pas une blague, je connais Harleen depuis qu’on a cinq ans. » Elle comprendra donc. Qu’il était là avant Posy, avant Midas et avant qu’on lui impose un rôle qui n’aurait jamais dû être le sien. « Je suppose que t’es arrivée bien après. » Une femme de sa trempe n’aurait jamais accepté une tromperie, pas vrai ? Ce n’est pas comme si Harleen l’avait trompé, ils s’étaient encore séparés, pour la énième fois de leur vie. Et il prétend n’en avoir rien à foutre, mais le pincement existe malgré tout.

Et bien sûr, qu’il a sorti la première connerie qui lui passait par la tête pour faire virer la conversation. « Ouais, bien sûr. Je projette tous mes daddy issues sur une gamine qui a rien demandé à personne en la traitant comme ma pire ennemie et en essayant de lui voler son père par-dessus le marché. » Il ricane face à la manière dont elle s’est soudainement emportée. « T’as pas mieux comme cliché à m’offrir, Oliver ? » - « Appelle moi encore une fois comme ça et je vais te servir tous les clichés du bouquin. » Même les pires. Il pouvait voir son air de défi, elle allait continuer à l’appeler ainsi et il ne fera rien, parce qu’il aimait trop qu’on lui tienne tête de cette manière. « Je sais qu’elle a rien demandé. » Il était parfaitement au courant de cela même. « C’est pour ça que je regarde les dessins animés, que je la laisse colorier mes tatouages et que je viens à ce genre de soirée stupide parce qu’elle m’a joué la carte du regard plein de larmes. » Alors, est-ce qu’ils jouent dans la même cour désormais. « Et je suis persuadé que pour les mêmes raisons, tu la laisses te coller une dizaine de barrettes sur le crâne. » Est-ce qu’elle allait oser le contredire maintenant ?




Spoiler:
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Jo Carter
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la folie des grandeurs
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ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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POSTS : 10245 POINTS : 810

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
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CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
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JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

mabel#8 ◦ isabel (fb 2018)midas#34megan#14cleo#2pennyninamicah#10harleenkendall

RPs EN ATTENTE :
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LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
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DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
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JERRY ◦ my boy only breaks his favorite toys i'm queen of sand castles he destroys 'cause it fit too right puzzle pieces in the dead of night i should've known it was a matter of time oh oh my boy only breaks his favorite toys (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©lomapacks (gif jerry) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
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Message(#)(ollie #1) invisible string EmptyDim 11 Aoû 2024 - 15:52

Ollie Gallagher adore ce message



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@Ollie Gallagher (crédit gif/kreacher)

"C’était pas mon propos, mais OK." Elle ne s’inquiétait pas de la santé de ses bijoux de famille selon les termes d’un cliché sexiste quelconque, elle voulait juste appuyer sur l’idée qu’il profitait largement de la fortune de quelqu’un qui avait plus d’ambition qu’il n’en aurait jamais, et elle se demandait ce que ça faisait, de vivre avec sa ça sur la conscience. C’était ça le gros problème avec les hippies : ils fumaient tellement de trucs qu’ils n’étaient plus capables de bon sens quand il s’agissait d’interagir avec les autres. Elle roula des yeux et haussa les épaules. Elle ne se battrait pas pour rétablir le sens de sa parole, elle laissa couler parce qu’encore une fois, les arrangements financiers entre Midas et ceux qu’ils entretenaient gaiement à cause de la caution pas le choix qu’il dégainait comme une carte joker pour expliquer chaque décision qu’il prenait au sujet de la mère de sa fille, ça ne la regardait pas et qu’à ce stade, Ollie pouvait se faire peindre les couilles en or et poser des pierres précieuses pour qu’elles brillent dans le noir sur le compte de Midas et de ses royalties, que ça lui en toucherait une sans faire bouger l’autre.

"T’as pas d’imagination, c’est ça que t’es en train de me dire ?" réagit-elle dans un léger rire, prenant conscience qu’elle n’était en fait pas la seule à subir les lubies de la petite Posy. Elle s’intéressait davantage au rôle qu’il tenait dans la vie de la gamine qu’au reste, et ça l’interpellait, surement parce qu’elle se retrouvait dans une position similaire et putain, c’était vraiment pas facile. Pas seulement parce qu’elle était la pièce rapportée de quelque chose dont elle voulait à peine faire partie, loin d’être aussi maternante qu’on imaginait qu’une femme le soit, surtout à son âge, aussi parce qu’elle n’avait le droit d’en parler à personne, de la petite, et que ce n’était pas toujours évident sur une base quotidienne. Elle s’y tenait cependant, elle savait à quel point ça pèserait lourd dans la balance si elle n’était pas capable de tenir sa langue à ce sujet, et fort heureusement, elle savait garder les secrets. Mais là, l’occasion lui était enfin offerte de discuter un peu de tout ça avec quelqu’un devant qui elle ne risquait pas de faire de gaffe, et franchement, ça avait quelque chose de soulageant, même si Ollie semblait autant ravie qu’elle d’être contraint à côtoyer une enfant. Sur ça, elle n’apportait aucun jugement, elle dirait même qu’elle réussissait à le comprendre. Pas ouvertement, elle préférait jouer à la dure "Je dois me retenir de la traiter de salope une fois sur deux." Peppa, bien sûr "Midas m’a dit que c’était pas si grave si je lui apprenais des gros mots, sauf que je compte rester sur la liste des enfants sages à Noël, alors j’essaye de bien me tenir." Information : elle n’avait jamais été sur la liste des enfants sages, donc Peppa se faisait insulter dans tous les cas. Elle hocha la tête, la conversation suivant son cours sur le même sujet, Jo s’accordant à l’avis d’Ollie qui s’installa à ses côtés "Y a au moins deux des chiens pompiers qui sont baisables. Si on te demande, tu prétendras que je t’ai jamais dit ça." Sous peine de perdre un membre, et oui, c’est à celui-là auquel elle pensait, elle aussi.

Posant un peu mieux son talon contre le mur, elle marqua un temps de réflexion avant de poser la question qui lui traversa l’esprit, et puis elle fronça les sourcils en entendant la réponse donnée par Ollie "C’est mignon." L’amour de jeunesse, tout ça, c’était une source inépuisable pour écrire de bonnes chansons, et elle était encline à le reconnaître, bien que dans la présente, ce qui la fit tiquer, c’est la temporalité qu’elle essaya de resituer sur la frise chronologique de sa propre histoire avec Midas et qui souffrait d’un creux de six ans qui avait vu naître une petite fille. Ça lui fit froncer les sourcils encore plus fort puisque toujours, ça voulait bien dire ce que ça voulait dire, non ? Elle lui demanda à nouveau "Du coup, t’étais avec elle quand ils ont planté la graine ?" Tiens, tiens… elle inclina la tête sur le côté, sembla se perdre un instant dans ses souvenirs — très clairs, elle n’oubliait rien, ne vous fiez pas à son expression concentrée — des explications que Midas lui avait déjà donné à ce sujet pour se rappeler si oui ou non, il avait soulevé l’éventualité d’avoir chapardé la place d'un autre le temps d’une baise ou deux ou quinze avec Harleen. Elle n’attendit pas d’avoir sa réponse avant de dire, plus pour elle-même que pour lui "Hm, intéressant." Elle ne savait pas pourquoi ça l’était, mais sûr qu’elle s’en servirait d’argument à un moment où un autre. Sur l’instant, elle se contenta de rompre le contact de son esprit avec ses réflexions immédiates pour hocher la tête, et dire à Oliver qui la questionnait en retour "Ouais. Ça serait trop long à expliquer." Et quelque chose lui disait qu’il s’en cognait pas mal de savoir comment ils s’étaient rencontrés, elle et Midas "Mais j’ai pas eu le privilège d’être mise tout de suite dans la confidence à propos de la gosse. T’es un petit chanceux, toi." Quoi, de l’amertume dans le ton de Josephine ? Mais non.

"Brr, je tremble de peur, Oliver." Jo avait un instinct de survie, c’est juré. Cela dit, elle en avait maté des plus baraqués qu’Ollie (coucou Micah), s’il croyait lui faire peur avec ses yeux globuleux et sa gueule de travers, il se foutait le doigt dans l’oeil, et jusqu’au coude. Elle détourna les yeux en les roulant à nouveau, réflexe de sale gamine qu’elle avait gardé, et médita à peine sur ce qu’il était en train de lui dire, argumentant sur les raisons qui le faisait bien traiter Posy. En résumé : elle n’avait rien demandé à personne, et elle était d’accord avec lui à ce sujet "T’es le beau-père de l’année en vrai. Te vexe pas, mais c’est pas évident quand on te croise pour la première fois." L’arrière de son crâne se posa contre le mur derrière elle lorsqu’elle retourna la tête dans sa direction. Elle le regarda fumer sans rien dire pendant quelques secondes, et puis elle lui répondit, ne ravalant pas le sourire qui se dessina sur ses lèvres quand il la pris à son propre jeu en retournant ses propos contre elle d’une façon plutôt bienveillante, finalement "Je mets plus de barrettes depuis 2002, mais ouais. On en est au stade où je la laisse s’entraîner à me faire des tresses et des traits d’eye-liner de toutes les couleurs. On peut pas dire qu’elle soit douée, mais elle vient de rentrer au cours préparatoire, c’est peut-être trop lui en demander. Au moins, elle adore les paillettes, ça nous fait un gros point commun." En prenant une inspiration, elle ajouta avec plus de sérieux, plus de douceur aussi "Elle ressemble à Midas, ça a tendance à m’attendrir. Ça non plus, tu prétendras que je te l’ai jamais dit." C’était encore moins pire que d’avouer que des chiens de dessin-animé sont baisables, mais chacun sa vision des choses en terme de trucs à dire — à ne pas dire, en l’occurence. Elle finit par lui demander à nouveau, ayant marqué une courte pause avant toute chose "T’as des conseils ?" Elle affina, se décollant très légèrement du mur en même temps "Pour pas trop déconner avec elle ? T’as l’air de bien maîtriser le sujet." Il était là depuis toujours après tout.


    - i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more. i was grinning like i'm winning, i was hitting my marks, cause i can do it with a broken heart -












    :sing::
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Ollie Gallagher
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la fureur de vivre
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ÂGE : vingt-sept ans (04.08)
STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours.
MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères.
LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs
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TW IN RP : suicide, dépression, violence
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
RPs EN COURS : (03) harleen #1oliveandrew › cleo #2 › harleen #2

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olliwood #1it's coming

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INSCRIT LE : 29/05/2024
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Message(#)(ollie #1) invisible string EmptyLun 12 Aoû 2024 - 21:34

Jo Carter adore ce message



(c) ssoveia
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@JO CARTER & OLLIE

« T’as pas d’imagination, c’est ça que t’es en train de me dire ? » Il s’amuse de son éclat de rire, tirant sur sa cigarette, sans déloger son regard de la jeune femme. « Avoue que ça te porte sur les nerfs un moment quand les ‘pourquoi’ s’enchaînent. » Posy est une petite fille curieuse, il n’y a rien de mal à cela, bien au contraire, mais Ollie ne possède pas la patience nécessaire pour sans cesse renouveler son stock de réponses. Il se cantonne souvent aux basiques, avant de simplement hausser des épaules, pour finir par user de la stratégie qui consiste à renvoyer la fillette vers sa mère, ou plus drôle encore, vers son père. La discussion se voulait assez inédite pour capter son intérêt. C’est comme si Jo trouvait enfin son égal, non pas dans la vie, mais au sein de ce rôle un peu étrange. Celui de la pièce rapportée qui n’a rien demandé, mais qui se doit de coexister avec une enfant loin de passer inaperçue. Autant par ses questions, sa curiosité ou son attrait pour les dessins animés mettant en scène des cochons au rire gras. « Je dois me retenir de la traiter de salope une fois sur deux. » Elle allait lui plaire si elle continuait ainsi. Une jolie fille qui n’a pas peur de jurer comme un charretier et qui n’a, clairement, pas sa langue dans sa poche. « Midas m’a dit que c’était pas si grave si je lui apprenais des gros mots, sauf que je compte rester sur la liste des enfants sages à Noël, alors j’essaye de bien me tenir. » L’un de ses sourcils se relève sous l’effet de la surprise. « C’est parce que vous baisez que t’as un passe-droit ? » Il se souvient encore de l’échange musclé avec le chanteur, parce qu’Ollie n’avait pas su retenir une insulte et que Posy l’avait automatiquement enregistré dans son vocabulaire. « Tu veux pas user de ton charme pour m’en négocier un ? » Il joue la carte des yeux doux alors qu’en réalité il n’attend aucune autorisation de la part de Midas. Son petit plaisir ? Se pointe pour récupérer la petite et voir la colère passer sur le visage du brun. Encore plus lorsque Posy paraissait heureuse de le voir. Un Jackpot sans égal. Bien plus haut que n’importe quel fou rire devant un dessin animé pour enfants. « Y a au moins deux des chiens pompiers qui sont baisables. Si on te demande, tu prétendras que je t’ai jamais dit ça. » De sa main libre, il mime le fait de verrouiller ses lèvres à clé, jetant cette dernière au-dessus de son épaule. « Bizarre, mais ton secret sera bien gardé. » La seule chose qui l’amusait réellement se cantonne à l’imagination des créateurs pour toujours renouveler les idées d’aventures que peut traverser une bande de sacs à puces.

Elle mène la danse, la brunette. Elle dirige la conversation et c’est elle qui pose les questions. Il s’étonne de sa curiosité, comme si Midas ne s’est jamais empressé de lui raconter l’horrible mec qui gravite dans la vie d’Harleen depuis toujours. « C’est mignon. » Il n’arrive pas à savoir si elle est sérieuse ou si une fois encore, elle cherche à se moquer. Il préfère ne pas répondre. Il n’y a rien de mignon dans leur histoire, ce n’en est pas l’essence, en tout cas. « Du coup, t’étais avec elle quand ils ont planté la graine ? » L’idée même d’imaginer Harleen avec l’autre abruti lui provoque un frisson de dégoût. D’un geste, il laisse tomber son mégot au sol avant de l’écraser du bout de sa chaussure. Son manque de tac au tac semble donner du grain à moudre à la chanteuse. « Hm, intéressant. » - « Tu t’emballes. » Est-ce qu’elle comptait jouer de cela ? Est-ce que cela change quelque chose si soudainement Midas devenait responsable d’un adultère. « Tu m’as demandé depuis combien de temps je suis là, pas le reste. » Il a toujours été dans la vie d’Harleen, c’est un fait. Le reste se veut bien trop chaotique pour être conté dans une allée en arrière de scène. « Version courte : on n’était plus ensemble à ce moment-là. » Pour la millième fois et depuis, le nombre n’avait eu cesse de grandir, encore et encore. Un yo-yo sans fin dirigé par les envies changeantes d’Harleen et ses propres coups de sang. « Ouais. Ça serait trop long à expliquer. » Est-ce qu’elle aussi gravitait autour de Midas avant ? Une fois encore, il lève un sourcil interrogateur, mais il est conscient que Joséphine ne lui en dira pas plus. « Mais j’ai pas eu le privilège d’être mise tout de suite dans la confidence à propos de la gosse. T’es un petit chanceux, toi. » Il eut un rire amusé avant de se tourner légèrement pour faire face à la brune sans se déloger de son appui contre le mur. « Ouais, je me suis senti vachement chanceux quand un beau jour elle a débarqué chez moi avec son petit habitant sous le nombril. » Il a voulu tenter le sarcasme, mais tout cela puait une vérité qu’il n’a avouée nulle part ailleurs. « Tu prétendras que je t’ai jamais dit ça. » Qu’il ajoute, reprenant les mots de la jeune femme. Est-ce qu’ils peuvent s’autoriser un donnant-donnant qui ne sortira pas de cette allée ?

En réalité, leur conversation ne pouvait se résumer qu’à une seule chose : Posy n’a rien demandé à personne. Que ce soit lui ou elle, ils ont pris la décision de rester dans cette relation en connaissant l’existence de la gamine, qu’importe le timing. Alors, il n’est pas question de lui faire payer la décision des adultes autour d’elle. « T’es le beau-père de l’année, en vrai. Te vexe pas, mais c’est pas évident quand on te croise pour la première fois. » À son tour, de rouler des yeux de manière effrontée, comme elle venait tout juste de le faire. Vraiment, ils font la paire, aussi indépendants et têtus l’un que l’autre. Ce n’est pas sa pique qui l’agace, mais plutôt l’emploi du terme commençant par beau. « Je préfère ne pas recevoir le titre. » Il n’est pas un beau-père, il n’en prendra jamais la responsabilité, pas alors qu’il se barre pendant des jours la plupart du temps. Et il ne veut pas de ça surtout, pas de ce titre qu’il a toujours détesté chez quelqu’un d’autre. Non merci. « Je mets plus de barrettes depuis 2002, mais ouais. On en est au stade où je la laisse s’entraîner à me faire des tresses et des traits d’eye-liner de toutes les couleurs. On peut pas dire qu’elle soit douée, mais elle vient de rentrer au cours préparatoire, c’est peut-être trop lui en demander. Au moins, elle adore les paillettes, ça nous fait un gros point commun. » Il imagine sans mal les deux filles assises en tailleur discutant paillettes et couleur rose. Pour sûr, que Posy doit être comme une petite folle à voir Jo enfiler ses tenues de scène. « Tu fais une heureuse. » Elle n’a pas besoin de bien plus que ça la gamine. Un paquet de gâteau et une poche de fruit ajoutés dans le lot et elle est heureuse pendant des heures. « Elle ressemble à Midas, ça a tendance à m’attendrir. Ça non plus, tu prétendras que je te l’ai jamais dit. » Il baisse le regard quand elle souligne le simple fait qui, quand il se perd un peu, lui rappelle qu’elle ne sera jamais sa fille. « Chacun son camp, j’dirais qu’elle ressemble à Harls. » Juste pour la blague, pour ne pas divulguer l’apparente affection que la brune semble avoir pour Posy.

« T’as des conseils ? » - « Ne jamais la nourrir après minuit ? » Il pourrait rire de sa propre référence, mais Jo semble bien sérieuse. Alors Ollie oublie les blagues et cherche à comprendre ce qu’elle demande sous ses airs innocents. « Pour pas trop déconner avec elle ? T’as l’air de bien maîtriser le sujet. » L’envie de déconner s’éloigne un peu, la conversation se veut plus sérieuse. Elle lui demande sincèrement des conseils quand il a l’impression de survivre au jour le jour dès que Posy est avec eux. « Y’a pas de recette miracle. » Ou si elle existe, il ne la connaît pas et n’a clairement pas envie de s’attarder sur cela. « J’ai eu un de ces trucs-là, une belle-mère. » L’autre connasse. « Elle a choisi de me faire vivre un enfer dès le jour où elle n’a pas eu d’autre choix que de m’accueillir sous son toit de manière permanente. » Il ne donnera pas dans l’histoire larmoyante, elle n’aura le droit qu’à cela. Et il va s'en dire que si elle s'amuse à répéter quoi que ce soit, il niera tout en bloc et lui fera payer. Très cher. « Quand Harls m’a fait comprendre que si je voulais rester dans sa vie, je devais aussi accepter sa môme, je me suis mis en tête de faire exactement l’inverse de tout ce que l’autre connasse aigrie avait fait avec moi. » Autant dire que la barre était haute, mais qu’il était assez aisé de ne pas reproduire les mêmes actions. « Je voulais pas de gamin, mais on a déjà établi qu’elle n’a rien demandé à personne, donc je lui gueule pas dessus sans raison, j’essaye d’être patient même si c’est clairement pas mon fort et même si très clairement tout le monde sait que ton copain, je peux pas le saquer, je ne dirais jamais rien de mal sur lui devant la petite. » Il essaye en tout cas, même lorsqu’il se dispute avec Harleen et qu’ils sont tous les trois dans le van. Il fait comme il peut, à sa manière, avec ses excès de colère et son tempérament de feu. « Elle a six ans, tant que t’es okay pour passer la matinée à regarder Peppa Pig et à manger des céréales, elle sera contente. » Il hausse les épaules comme si cela s’avérait aussi simple et qu’il n’avait pas galéré pendant plusieurs années avant d’en arriver à ce constat là. « Et lui fais jamais de promesse que tu pourras pas tenir. » Un jour Posy lui a demandé s’il allait se marier avec Harls. Ollie a détourné l’attention avec une de ses idées stupides, mais qui la faisait rire. Il ne lui promettra jamais qu’il sera toujours présent dans sa vie. C’est quelque chose qu’il refuse encore aujourd’hui.




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Jo Carter
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la folie des grandeurs
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ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
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CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
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JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

mabel#8 ◦ isabel (fb 2018)midas#34megan#14cleo#2pennyninamicah#10harleenkendall

RPs EN ATTENTE :
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LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
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DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
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JERRY ◦ my boy only breaks his favorite toys i'm queen of sand castles he destroys 'cause it fit too right puzzle pieces in the dead of night i should've known it was a matter of time oh oh my boy only breaks his favorite toys (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©lomapacks (gif jerry) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
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Message(#)(ollie #1) invisible string EmptyMar 13 Aoû 2024 - 14:19

Ollie Gallagher adore ce message



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@Ollie Gallagher (crédit gif/kreacher)

"Y a peut-être des moments où je me dis qu’un gosse, c’est un peu con-con quand même." Ce n’était pas propre à Posy ceci étant, loin d’elle l’intention de l’insulter, surtout que du plus profond de son petit coeur, Jo lui réservait une affection sincère et graduelle, la trouvant beaucoup trop adorable pour lui vouloir du mal. Elle finit toutefois par admettre qu’en effet, répondre aux questions d’une gamine en bas âge, ce n’était pas ce qu’elle préférait. Elle s’y efforçait puisque, pour reprendre les paroles de Midas, elle n’avait pas le choix, mais bien souvent, elle devait retravailler la version brute des réponses qu’elle était tentée de lui donner lorsqu’elle devenait une sorte d’oracle aux yeux de la petite fille qui la regardait avec ses grands yeux bleus bordés de longs cils en pattes d’araignées en espérant qu’elle trouve des réponses à ses interrogations les plus farfelues. C’était pour ça aussi que c’était difficile, d’être à proximité d’une enfant. Jo n’avait pas la personnalité adaptée pour être dans leur sillage au sujet de plein de choses. Elle était impulsive, agressive, sa parole s’expulsant elle-même de sa grande gueule qu’elle avait bien du mal à fermer, pas foutue de penser droit avant de la mettre en marche, surtout quand la colère la possédait. À ça s’ajoutaient son absence de patience, sa vulgarité, son humour grivois et son sarcasme… en vérité, rien ne jouait en sa faveur, et elle le savait, l’avouant à Ollie qui réagissait au sujet du passe-droit qu’elle avait gagné, sa marge d’erreur concernant les saloperies qu’elle débitait comme un barde déclamant des quatrains sous les balcons des pucelles du village. Elle eut un sourire en coin, du genre qui annonçait une connerie bien plus grosse qu’elle tandis qu’il lui demandait comment elle avait gagné sa faveur. Autant dire qu’il se trompait à peine sur la méthode, et que pas gênée de rebondir dessus, Jo lui dit "Dans le mille. Tu sais ce qu’il te reste à faire, Oliver." A ça de lui dire que le lubrifiant ne coûtait plus grand-chose de nos jours et qu’il pouvait aller se la chercher lui-même, son passe-droit, qu’il n’aurait qu’à respirer profondément et serrer les dents, elle préféra lui offrir un sourire éclatant, ses petites dents fendues sur le devant brillant sous la malice qui creusa des fossettes dans ses joues.

Elle sourit un peu moins lorsqu’elle s’intéressa au temps qu’il avait passé aux côtés de la mère de Posy. Rapidement, Jo s’imagina que le silence qui accompagnait la fin de ses réponses étaient un aveu de quelque chose que personne n’avait jugé bon de lui dire, mais il remit vite les choses à leur place et elle opina du chef, peut-être un peu déçue de perdre une occasion de faire la maline un de ses quatre, elle l’avouait "Coup dur." Une ponctuation à ce qu’elle venait d’apprendre de la bouche d’Oliver dont la séparation avec Harleen avait servi sa rencontre avec Midas. Rien que d’y penser, ça lui donnait envie de péter des chicots, mais concrètement, elle ne pouvait pas retourner en arrière, même si ça l’emmerdait royalement d’imaginer les choses. En fait, elle l’avait assez fait, elle n’avait même plus besoin de se concentrer pour voir la scène se jouer dans son esprit, et autant dire qu’à choisir entre deux formes de tortures, elle préférait encore se coltiner cette pute de Peppa Pig pendant une semaine non-stop que de se dire que Midas avait eu une vie pendant qu’elle, elle devenait aigrie en ressassant les prémices d’une histoire qui avait toujours eu de l’avenir. Pause. Elle prit une profonde inspiration, en ayant besoin sur l’instant, et profita pour prétexter que ce soupir lui était inspiré par ce qu’Ollie était en train de lui dire et qui lui fit lui répondre "Je suis pas sûre de vouloir tous les détails de toute façon, garde ça pour un autre jour." C’était évident qu’ils se reverraient dans le futur, il aurait tout le temps de lui raconter son histoire avec l’autre si ça lui faisait plaisir — à Jo, ça ne lui en procurerait aucun, mais sa curiosité, elle la faisait pencher vers le masochisme à quelques moments donnés, c’était certain qu’elle serait bien capable de se laisser conter la genèse de tout ça pour alimenter sa dépréciation de Harleen, ne comptant pas devenir plus mature de sitôt à ce sujet. Pourtant là, elle fit preuve d'un tantinet de sagesse quand, définissant Oliver comme étant un chanceux d’avoir su tout de suite pour Posy, sa réponse laconique la fit froncer les sourcils "Putain, ça craint." De voir sa meuf débarquer avec un truc sous son t-shirt. Jo se mettait à la place d’Oliver sur l’instant, le regardant de côté pour voir le sarcasme dans sa voix atteindre les traits de son visage. Certes Midas n’avait rien d’autre sous son t-shirt que des abdos plutôt bien entretenus au demeurant, mais elle se souvenait du moment où elle avait réalisé que Posy n’était pas sa nièce, et comme à chaque fois qu’elle y pensait, ça lui serra le coeur avec une pointe de culpabilité, une autre de dépit pénible à surmonter "Vous vous êtes remis ensemble, c’est que t’as pas considéré que c’était si pire comme cadeau de retrouvailles, si ?" commenta-t-elle, sans sarcasme, de son côté, cherchant peut-être à justifier ce qu’elle, elle ressentait à propos de tout ça et remettre en perspective ce qu’elle était capable d’accepter par amour. Elle ne s’appesantit pas cependant, elle lui emprunta le geste qu'il avait fait tout à l’heure de son côté, quand elle avait parlé du niveau de baisabilité des héros de La Pat’Patrouille : elle scella ses lèvres avec une clef invisible, la jeta par-dessus son épaule, et sans rien dire, elle lui promis qu’elle avalerait son secret sans aucune intention de le dégueuler sur le premier qui passerait.

Elle le vit rouler des yeux quand elle l’appela beau-père de l’année, trouva le tableau assez amusant pour s’y attarder et lui demander, presque en minaudant comme elle savait si bien le faire, la malice fusionnant avec l’insolence qui caractérisaient ses sorties les moins politiquement correctes "Tu la laisses pas t’appeler papa alors ?" Ça, c’était définitivement de la provocation étant donné qu’elle n’en avait qu’un, de papa, et qu’elle était plutôt bien au fait de qui il s’agissait pour savoir que ce dernier serait incapable d’accepter sans broncher qu’un autre s’attribue le titre sous le prétexte qu’il partageait la vie de celle qu’il avait mise enceinte à l’époque. Elle garda son sourire un petit moment, y ajouta un léger rire au milieu quand Ollie se ravit que la petite s’était trouvée une alliée dans sa passion pour les paillettes et passa complètement au-dessus de ce qu’il ajouta au sujet de la ressemblance qu’il lui trouvait avec Harls — elle ne supportait plus d’entendre qui que ce soit utiliser ce surnom, alors au lieu d’en faire une excuse pour se tirer et le laisser en plan, le beau-papa-qui-n’en-était-pas-un, elle en profita pour gratter des conseils parce que pourquoi pas, après tout ? Ils étaient dans la même galère, et même s’ils ne deviendraient jamais potes pour des raisons évidentes, ils pouvaient toujours se donner des tips pour ne pas trop merder avec la gosse qu’ils devraient pratiquer jusqu’à ce qu’elle devienne assez grande pour arrêter de leur casser les pieds avec ses questions sorties de nulle part.

Attentive, Jo rit de nouveau à l’entame d’Oliver, la référence l’atteignant dans ses souvenirs d’enfance tandis que lui partageait les siens avec elle. Elle n’en demandait pas tant, elle trouva même ça un peu gênant, merde "Hm je comprends mieux pourquoi tu veux pas qu’on te colle le titre de beau-père sur le dos." Comme elle-même aurait du mal à se faire à l’idée qu’être maman pourrait devenir un vrai désir dans le futur simplement parce que la sienne n’était pas celle du siècle, que ça la privait d’une certaine légitimité sans savoir pourquoi elle s’obstinait à penser de cette façon-là, n’ayant pas moins de chance d’assurer qu’une autre à cause de ça— elle ne parlait même pas de son père, ça se passait de commentaires. Elle pinça les lèvres, inclinant la tête doucement pour l’appuyer sur le mur, s’étant décollée de ce dernier pour s’y accoter par la hanche et mieux regarder le jeune homme posé non loin d’elle "Ça veut dire que tu t’es juré de jamais lever la main sur elle non plus, ou je surinterprète ?" Elle ne savait pas pourquoi, mais les enfants avec des parents stricts, ils se reconnaissaient entre eux. Elle n’avait pas le moyen de savoir si lui aussi s’était pris des trempes, mais Jo était certaine que son préambule était tenté d’une promesse plus solennelle encore que reste calme, sois patient, comporte-toi en adulte. Elle affronta son regard un instant de trop surement, le détourna dans un léger ricanement pour donner le change et lui dit selon la même volonté "Je vais te faire une confidence : je peux pas saquer ta meuf, moi non plus." Et aussi curieux que ça paraissait sans doute, elle s’appliquait pourtant à rester neutre lorsqu’elles se retrouvaient dans la même pièce et que Posy se retrouvaient entre elles. C’était moins le cas quand elle donnait son avis à Midas sur le sujet, mais elle estimait faire suffisamment d’efforts pour devoir en plus faire semblant de vouloir être copine avec une femme qu’elle méprisait par défaut : elle vivante, ça n’arriverait jamais, et tant pis si elle récoltait la palme de la gamine de service. Elle reprit comme si elle ne s’était pas arrêtée "Est-ce que, comme toi tu l’aimes pas lui, que moi je l’aime pas elle, ça nous oblige forcément à devenir des ennemis mortels, ou on est plus matures que ça ?" chuchota-t-elle en exagérant, des sourires dans la voix — finalement, elle se mordit l’intérieur de la joue, reposa ses yeux sur le jeune homme après s’être assurée que plus rien de trop personnel n’était susceptible de passer dans le sien et hocha inlassablement la tête en entendant ses derniers avis "Tu sais déjà que personne me bat aux Peppathons." C’est avec sérieux qu’elle le lui dit "Pour notre bien à tous les deux, je songe sérieusement à la caler devant les premières saisons de Hannah Montana, t’as quelque chose à redire sur ça, ou ça va, tu vas supporter ?" Qu’il ne soit pas surpris que les intérêts de la gosse changent au cours des prochaines semaines. Et sur ça aussi, elle était sérieuse, mais bien moins qu’Ollie avec son dernier conseil. Elle croisa les chevilles, se recala un peu mieux contre le mur, son regard dirigé bien fixement sur lui "Des promesses du genre tu pourras ramener les bagues quand on se mariera, t’auras droit à un petit frère quand tu seras plus grande, ou je serai toujours là pour soigner tes bobos avec des bisous magiques quand t’auras dix-huit ans ?" lui fit-elle avant de froncer le nez et de secouer la tête, voyant parfaitement où il voulait en venir au fond, mais ne préférant pas alourdir l’atmosphère avec des propos trop cérémonieux.


    - i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more. i was grinning like i'm winning, i was hitting my marks, cause i can do it with a broken heart -












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Ollie Gallagher
Ollie Gallagher
la fureur de vivre
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ÂGE : vingt-sept ans (04.08)
STATUT : cette semaine ils se supportent, faudra checker à nouveau dans trois jours.
MÉTIER : vendeur dans un record shop, il passe ses journées a ranger des vinyls et à enrichir sa culture musicale. y'a toujours pire selon ses critères.
LOGEMENT : dans le van d'Harleen, sur le canapé d'un pote, dans l'arrière boutique du shop, il vadrouille selon ses humeurs
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TW IN RP : suicide, dépression, violence
GENRE : Je suis un homme
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RPs EN COURS : (03) harleen #1oliveandrew › cleo #2 › harleen #2

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RPs TERMINÉS : (2024) jo #1cleo #1
AVATAR : paul mescal
CRÉDITS : harley (avatar), conjuringgifs (gif signa & profil), loonywaltz (ub)
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PSEUDO : paindep
INSCRIT LE : 29/05/2024
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Message(#)(ollie #1) invisible string EmptyMar 27 Aoû 2024 - 22:05

Jo Carter adore ce message



(c) ssoveia
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@JO CARTER & OLLIE

Si on lui avait dit qu’il passerait un bout de sa soirée dans une allée à discuter avec la brune, Ollie aurait probablement éclaté de rire. Rien de plus improbable après tout, et pourtant il prend un certain plaisir à échanger avec elle. Le sujet n’est pas véritablement léger, mais possède le seul dénominateur qu’ils ont en commun, c’est-à-dire Posy. « Je suis pas sûre de vouloir tous les détails de toute façon, garde ça pour un autre jour. » Il lève un sourcil amusé par la formulation de la jeune femme. « T’osera m’adresser la parole ailleurs qu’ici ? » Sur le papier, ils sont pressentis pour être des ennemis jurés, deux opposés à un extrême l’un de l’autre. Ils arrivent néanmoins à s’entendre, qu’importe si leur expérience respective se veut bien différente. Ollie ne cherche pas sa sympathie, mais préfère lui livrer une version sans filtre de ce qui a été la vérité pour lui. « Putain, ça craint. » Harleen n’avait pas pris la peine de lui annoncer quoi que ce soit, elle s’était simplement pointée comme ça. Avec son ventre rond et ses yeux emplis de larmes, le suppliant de bien vouloir d’elle. Il ne racontera pas cette version de l’histoire, question de dignité ou un truc comme ça. « Vous vous êtes remis ensemble, c’est que t’as pas considéré que c’était si pire comme cadeau de retrouvailles, si ? » Il note l’absence de sarcasme, mais s’interroge sur la confession nécessaire. Allait-il parler d’amour quand le concept lui paraît encore parfois si abstrait ? Il y a bien des choses qui l’ont retenu, aucune qu’il n’a réellement envie de partager avec la chanteuse. « T’es bien resté, toi aussi. » Et vu les sous-entendus, elle ne l’a clairement pas appris comme lui. Posy était déjà née et, s’il est diablement curieux, Ollie s’abstient de demander quel mensonge Midas avait bien pu lui servir avant qu’elle ne découvre le pot aux roses.

Le lien qu’il entretient avec la petite fille se veut inévitable pour bien des raisons, Ollie ne se considère guère comme son beau-père. Et il tient à la distinction qu’importe si cela amuse l’autre camp. « Tu la laisses pas t’appeler papa alors ? » Est-ce qu’elle cherche la petite bête ou bien est-elle missionnée par Midas pour sonder ce qui se passe réellement lorsque ce dernier n’est pas là ? Ce n’est pas comme s’il pouvait tomber dans le moindre piège. Ollie est souvent fourbe, mais pas au point de demander à une gamine de l’appeler ainsi, par pure jalousie ou désir de vengeance. « Je dois vraiment répondre à ça ou tu m’accordes un peu de crédit ? » Lui retourner la question serait un affront non nécessaire. L’idée est tentante, mais pour une fois Ollie choisit la raison, préférant s’efforcer de peindre un contexte clair. Il s’épanche peut-être trop, il n’en sait trop rien. Il n’a jamais eu l’occasion de parler de sa relation avec Posy auparavant. Tout du moins, pas auprès de quelqu’un qui peut sincèrement comprendre. « Hm je comprends mieux pourquoi tu veux pas qu’on te colle le titre de beau-père sur le dos. » À l’image de la société actuelle, tout le monde voudrait le qualifier ainsi, mais pour lui, ce n’est qu’un titre présomptueux qui ne fait aucun sens. « Et belle-mère, ça sonne un peu trop marâtre ? » Ce n’est pas ce qu’ils sont, pas besoin de connaître Jo depuis des années pour le comprendre. Ils sont là, pas par simple choix, mais pour des motivations diverses qui ont toutes un lien avec l’un ou l’autre des géniteurs de la gamine. L’histoire est simple, alors pourquoi chercher à la complexifier avec des titres honorifiques ? « Ça veut dire que tu t’es juré de jamais lever la main sur elle non plus, ou je surinterprète ? » Pour d’autres, il se serait contenté de hausser les épaules, employant la nonchalance comme élément de réponse. Mais puisque chacun des propos qu’il tient ce soir pourra être rapporté, il privilégie la réponse qui ne pourra être mal interprétée. « Tu vise plutôt juste. » Il n’est pas nécessaire d’épiloguer. Ollie ne touchera jamais un cheveu de Posy qu’importe s’il est énervé, si la situation avec Harleen tend à le rendre dingue. « Je suppose que c'est censé couler de sens pour tout le monde. » Il se répétera à chaque fois que la gamine n’a jamais demandé à être là et qu’elle ne doit en rien subir la situation de ses parents. 

« Je vais te faire une confidence : je peux pas saquer ta meuf, moi non plus. » Il ne peut que rire franchement face à cela, une vérité tout ce qu’il y a de plus nue. La confidence n’en est absolument pas une, mais quitte à être honnête l’un envers l’autre, c’est ce qu’il préfère. Il ne fait pas semblant d’apprécier Midas et Jo ne s’excuse pas d’avoir Harleen en horreur. Fair is fair. Ils ne feront jamais des sorties à quatre, même si Posy les suppliait à genoux, et personne ne s’excusera pour cela. « Est-ce que, comme toi tu l’aimes pas lui, que moi je l’aime pas elle, ça nous oblige forcément à devenir des ennemis mortels, ou on est plus matures que ça ? » Il prend le temps de la réflexion, abuse de son expression pour laisser planer le doute, avant que sa nonchalance ne reprenne le dessus dans un haussement d’épaule. « On admet deux secondes qu’on n’est pas des enfants ? » N’avait-elle pas avoué qu’elle les trouvait con-con la plupart du temps ? Ils peuvent au moins se donner le crédit d’être plus intelligents que cela. « T’es pas aussi terrible que t’en as l’air, Josephine. » Il lui adresse un clin d’œil qui ne s’apparente en rien à une drague de mauvais goût, le simple rappel qu’elle aussi préfère que l’on écourte son prénom. Et que, peut-être, au milieu de tout cela, ils seront capables de s’entendre. « Je te ferais jamais des tresses et comptes pas sur moi pour t’amener des paillettes, mais bon… » Elle est supportable et la soirée paraît moins pire depuis qu’il a entamé une conversation avec elle. Même s’il faut discuter des dessins animés tout en y mêlant l’avenir. « Tu sais déjà que personne me bat aux Peppathons. » - « Tu veux un pin’s ? » Une célébration à son nom ? Est-ce qu’il existe même une durée avant que quelqu’un ne pète réellement un plomb devant des dessins animés pour enfants ? « Pour notre bien à tous les deux, je songe sérieusement à la caler avant les premières saisons de Hannah Montana, t’as quelque chose à redire sur ça, ou ça va, tu vas supporter ? » Il n’a pas su retenir son soupir, c’est ce qu’il venait droit du cœur. « Ma demie sœur regardait ça. » Autrement dit, il a déjà fait sa part avec cette série et il n’a pas franchement l’intention de recommencer. « Me dit pas que c’est ce genre de truc cucul qui t’a donné envie d’être chanteuse. » Est-ce que la petite Jo jouait à l’apprentie chanteuse devant sa télévision avec une brosse à cheveux en guise de micro ? Il aurait donné cher pour en avoir des preuves si c’est le cas, mais quelque chose lui dit qu’elle n’était pas assez idiote pour laisser traîner ce genre de chose.

Au contraire, sous ses apparences de midinettes, Jo laisse entrevoir un caractère pas comme les autres. Et même si la conversation a vocation à rester légère, ils arrivent à se comprendre sur des points qui le sont bien moins. « Des promesses du genre tu pourras ramener les bagues quand on se mariera, t’auras droit à un petit frère quand tu seras plus grande, ou je serai toujours là pour soigner tes bobos avec des bisous magiques quand t’auras dix-huit ans ? » Elle a compris où il voulait en venir. Des promesses de ce genre ou d’un autre. « Je pensais aussi à le Père Noël existe, ton père est un vrai artiste, je te prêterai ma robe des Grammys pour ton bal de promo. » Il lui adresse un sourire amusé. « Fin je pense que t’as capté l’idée. » Ne sachant réellement tenir en place, il fouille à nouveau ses poches pour en tirer son paquet de cigarettes. Harleen ne semble pas le chercher et il préfère largement se cacher loin de l’agitation. Enfin, c’est ce qu’il pensait avant que la porte qu’ils avaient laissé entrouverte ne laisse s’échapper des cris hystériques. Midas vient probablement de respirer dans un micro et voilà que les gamines en chaleur s’agitent. « Vraiment ça te fait kiffer cette hystérie collective ? » Elle est artiste également, est-ce qu’elle a aussi le droit au groupie prépubère qui scande son nom dans un cri assourdissant ?




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Jo Carter
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la folie des grandeurs
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ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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POSTS : 10245 POINTS : 810

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
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CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
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JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

mabel#8 ◦ isabel (fb 2018)midas#34megan#14cleo#2pennyninamicah#10harleenkendall

RPs EN ATTENTE :
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LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
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DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
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JERRY ◦ my boy only breaks his favorite toys i'm queen of sand castles he destroys 'cause it fit too right puzzle pieces in the dead of night i should've known it was a matter of time oh oh my boy only breaks his favorite toys (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©lomapacks (gif jerry) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
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Message(#)(ollie #1) invisible string EmptySam 31 Aoû 2024 - 12:23


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@Ollie Gallagher (crédit gif/kreacher)

Le sourcil en accent circonflexe, la réplique était presque trop facile anticiper "J’ai une gueule à avoir peur de parler à qui que ce soit ?" Qu’il soit le mec de l’autre, ou qu’il ne le soit pas. Il n’était pas désagréable, Oliver, il avait au moins la qualité de parler son langage ; et ce n’était pas grand-chose, mais ça lui faisait du bien de s’adresser à quelqu’un qui ne voyait pas le mal sous ses sarcasmes. Elle l’observa de bas en haut, pencha un peu plus la tête sur le côté pour mettre un point à l’analyse silencieuse qu’elle faisait de la personne qu’elle pensait qu’il était, et se demanda : est-ce que c’était son genre, à lui, de se laisser dicter à qui parler ? Elle lui posa la question sans trop de délai, la forme de sa pommette se dessinant sous l’impulsion du sourire graduel qui fendit sa bouche brillante de gloss pendant qu’elle redressait la tête, son menton pointant dans sa direction dans un petit coup adressé à la dérobée "Toi ?" Simple, économique, elle n’avait pas besoin d’expliciter. Exactement comme elle n’eut pas besoin d’expliciter pourquoi elle était restée même après avoir appris pour Posy. C’était ça aussi qui lui faisait dire qu’Ollie était quelqu’un qu’elle voulait garder dans son sillage, malgré tout : il comprenait ce que ça impliquait de mettre de côté son amour propre pour accepter une situation qui était pourtant profondément offensante, douloureuse encore plus. Elle aimait Midas à crever, sans mentir, mais à propos de sa paternité, il manquait clairement de compassion en la jugeant surement trop immature. C’était probablement le cas en surface, elle ne considérerait jamais être assez mûre pour ne pas mal supporter tout ça, mais à côté de ça, s’était-il seulement demandé si une autre aurait accepté son mensonge de l’époque, si une autre aurait accepté tout ça avec zèle et philosophie ? Son manque d’objectivité lui faisait passer l’éponge sur ces questions, mais une part d’elle savait que non, Midas ne se glissait pas dans ses chaussures, qu’il préférait acter la réaction de Jo à ce sujet sur sa mauvaise foi plutôt que sur autre chose.

Elle n’en parlerait pas avec Oliver — elle n’en parlerait, et n’en parlait déjà, avec personne, dans tous les cas. Elle préférait rire de sa réaction à la suite de leur conversation, comprenant que finalement, il restait à sa place malgré sa proximité avec Posy, ayant à coeur ses intérêts plus que la situation dans son ensemble. Elle saisissait la nuance, même si elle n’était pas connue pour sa subtilité, et haussa les sourcils à la questionna qu’il lui retourna "Je te propose qu’on se cantonne au rôle d’oncle et tante cool, OK ? Ça me donne des sueurs froides, ces conneries." En effet, belle-mère, ça donnait un peu trop comme marâtre. Elle serait sublime dans ce rôle, les belles-mères de dessin-animés par exemple étant des clichés de magnifiques garces dont elle saurait se montrer dignes, beaux vêtements et maquillage prononcé en prime, mais ce n’était pas le rôle qu’elle voulait jouer auprès de Posy, c’était évident. Tout comme les interdictions qu’Oliver s’était données étaient évidentes, Jo se demandant s’il avait poussé plus loin sa liste personnelle pour l’étendre à des choses plus graves que des promesses du petit doigt pas tenues "C’est censé couler de source." De ne pas lever la main sur un enfant, ou sur une enfant. L’épaule doucement relevée, le regard dérivé juste un peu pour regarder sortir des roadies qui s’agitaient tandis que le tic-tac du début du concert résonnait dans leurs casque, elle continua en pensant à tout et rien à la fois — surtout à tout à dire vrai, des images de sa propre enfance se soumettant brièvement à elle "Je suppose que c’est pas toujours aussi simple que ça. Mais c’est bien que tu vois les choses de cette façon-là." confirma-t-elle en retournant finalement la tête dans sa direction pour lui offrir un léger sourire qui ne voulait rien dire de particulier, qui était juste là comme doux témoignage de son approbation.

Elle était prête à approuver quoi que ce soit au sujet d’Harleen, ne se cachant pas auprès de son gars de ne pas la voir en peinture. C’était de bonne guerre, il venait de faire la même chose. Est-ce que ça les plaçait automatiquement dans le camp ennemi ? Jo rit à la phrase d’Ollie, mais retrouva vite son sérieux lorsque, se décollant du mur contre lequel elle avait appuyé la hanche, elle lui fit dans un murmure mi-mystérieux mi-moqueur "Ouais, mais dis-le pas à n’importe qui, hmm ? Ma réputation de salope sans coeur va en prendre un coup, et personne n’est prêt pour ça." Vite, elle ajouta "Et y a que ma grand-mère qui m’appelle Josephine. Si j’étais toi, je prendrais pas ce droit là si tu veux pas te prendre mon gauche dans la gueule." Là encore, c’était de bonne guerre étant donné qu’elle l’asticotait avec son prénom depuis tout à l’heure, et évidemment que c’était du sarcasme, il l’entendrait sans qu’elle n’en doute une seconde, n’en finissant plus d’en entendre des accents prononcés dans sa propre façon de s’exprimer. Ça la réconfortait. Elle ne se serait jamais attendue à partager un moment comme celui-ci avec le jeune homme. Sa loyauté était légendaire, à Jo. Elle s’était mise à dos certains de ses rares amis parce qu’ils méprisaient Midas, alors son réflexe premier, ça avait été de considérer Oliver comme le moins que rien dépeint pas le père de Posy. Peut-être avait-il tort, et peut-être que le sentiment latent de jalousie qu’elle lui soupçonnait de ressentir  à son égard était le responsable de son animosité et de ses propos durs. Seulement, il n’était pas si pire, lui non plus, considéra-t-elle sans le dire pourtant, n’étant pas suffisamment portée sur la complaisance pour le gracier de son tampon de validation après seulement une conversation.

Elle roula des yeux, ses paupières frémissant comme celles d’une poupée cassée  pendant qu’elle voyait à l’arrière de sa propre tête "Putain, 2024, et les mecs dans ton genre font encore semblant de pas aimer les trucs de meufs ?" Insulter Peppa Pig, OK. Mais Hannah Montana ? No fucking way "T’as peur de quoi ? Qu’elle rapetisse si tu regardes un épisode de vingt minutes ?" Elle ne parlait pas de sa barbe, de toute évidence "T’as aussi peu confiance en ta virilité que ça ?" Elle accentua le roulement de ses yeux, retrouvant bien rapidement son attitude de peste sans donner l’air de se forcer puisque, attaquée sur sa destinée, il lui demandait comment elle en était venue à vouloir devenir chanteuse. Pour ne pas lui dire à nouveau que c’était une longue histoire, ne voulant pas s’appesantir sur l’histoire en vérité, elle lui rétorqua "Ma bio est à jour sur Wikipédia. Si t’as envie d’en savoir plus, c’est peut-être le moment d’apprendre à utiliser un ordinateur et à faire tes devoirs, mon grand." Elle aussi, elle lui renvoya un clin d'oeil dépourvu du moindre élan lubrique. Retirant son chewing-gum de sa bouche, elle le colla contre le mur dont elle se détacha pour de bon, leur conversation sérieuse se tarissant pour laisser place à des questionnements plus légers ; elle avait capté l’idée de ce qu’il lui renvoya en miroir à ses propres mots et préféra ne pas revenir dessus parce que tout ça devenait trop personnel. Surtout parce que la pique qu’il lança à l’égard de Midas, elle la braqua suffisamment pour qu’elle ne veuille pas en rajouter — elle appréciait d’avoir trouvé quelqu’un qui comprenait ce qu’elle ressentait, moins d’entendre ce genre de mépris dans la voix d’un type qui vivait sur la fortune de l’artiste, le vrai, qu’était Midas — putain d’ingrat, voilà ce qu’elle pensa avec une petite grimace de dégoût. Elle rongea son frein toutefois, fut interpellée par le bruit qui s’échappa en vague sonore de la porte coupe-feu qui s’ouvrit soudain et qui lui fit dire avec un soupçon d’empressement "Le concert a commencé." Immédiatement, cette constatation la fit redistribuer son attention et ça n’allait pas en faveur de Oliver. Elle avait vu Midas sur scène plus souvent qu’à son tour, ça n’empêchait pas qu’elle voulait être aux premières loges dès le début pour ne pas en rater une seule miette. Elle se foutait qu’on la raille à ce propos, elle se foutait que ça lui donne des allures de groupie, elle se foutait que personne ne comprenne — lui comprenait, c’était tout ce qui lui importait. Elle remua pour se préparer à rejoindre l’intérieur, fut arrêtée dans ses mouvements par la question d’Ollie à qui elle rit au nez sans vraiment lui apporter de réponse, se contentant de lui taper plusieurs fois sur l'épaule avec une mine de profond (et de fausse) compassion tandis qu’elle lui faisait, moqueuse et sérieuse à la fois "T’as jamais personne entendu gueuler ton nom au milieu d’un parterre de gens qui sont venus rien que pour toi, alors c’est clair que tu peux pas comprendre." Midas et elle, ils faisaient partis de quelque chose de plus grand que la misérable vie d’Oliver. Elle avait vécu les deux vies, Jo, et elle avait choisi de ne plus se référer à la sensation d’être pas grand-chose. C’était ça qu’elle avait ressenti quand, trop brusquement, elle était tombée du mont Olympe pour réapprendre à vivre avec les simples mortels : elle était autre chose aujourd’hui, bien sûr que ça la faisait kiffer. Une dernière tape sur l’épaule du jeune homme, et elle conclut en s’éloignant de lui, reprenant sa marche à reculons avec une malice visible sur les traits de son visage "C’est pas grave, tout le monde peut pas avoir le meilleur des deux mondes, Oliver."


    - i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more. i was grinning like i'm winning, i was hitting my marks, cause i can do it with a broken heart -












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