belett #07 ♤ we show off our different scarlet letters
Scarlett Bridgers
le masque de verre
ÂGE : 31 ans | 12.01.93 SURNOM : Au travail, la plupart des gens l'appellent Bridgers. Sa mère l'appelerait Arabella, son prénom de naissance, si elles étaient encore en contact. STATUT : Célibataire et peu intéressée à l'idée d'investir une relation. Coucher 1548 fois avec sa collègue qu'elle a traitée d'incompétente 2471 fois, ça, par contre, elle sait faire. MÉTIER : Fondatrice de Tried & True, une agence de relations publiques, qui lui a valu un profil dans le prestigieux Forbes 30 under 30. LOGEMENT : Une villa au 212 Beachcrest Road. La porte du jardin arrière mène directement à la plage où Scarlett va surfer quasiment tous les matins. Ruben, colocataire imprévu, occupe régulièrement l'une des chambres - parfois celle de Scarlett aussi mais promis, ils ne font que dormir (oui, oui, vraiment). POSTS : 644 POINTS : 320
TW IN RP : Manipulation, addiction (d'un parent), précarité, abus sexuels sur mineure, sexe, parentification, homophobie, ptsd, soufflage de chaud froid à la limite de l'illégal. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : (fake) red hair don't care ♤ self-made woman, alumni du Forbes 30 under 30 ♤ accepte toutes les affaires sauf les scandales de violences sexuelles ♤ observatrice, manipulatrice, rusée, solitaire ♤ n'a jamais été ivre et ne consomme aucune drogue ♤ a quitté son Londres natal à 18 ans et n'y a jamais remis les pieds ♤ éthique de travail en béton, éthique de vie très flexible ♤ a un petit tatouage d'un cœur en barbelé sur le bras, vestige de ses 18 ans, qu'elle adore critiquer mais n'a jamais fait effacer ♤ collectionneuse d'art et d'aventures sans lendemainDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Scarlett s'impose en #9933ff RPs EN COURS : (06)Sloane 14 › Ruben 11 › Swann 06 › Lincoln 01 › Ambrose 03 › Lena 01
SLOSCAR ♤ 'cause i'm no good at givin' up control, are you worried that i might find something wrong? 'cause i'm worried that i won't, but if control is my religion, then i'm headin' for collision
BRIDE ♤ now it's getting quiet here, now it's getting blue, and this, baby, ain't no fair, taking up my youth, you've been telling me some lies, I be thinking it's the truth, but I see it in your eyes, the things that you do
BELETT ♤ you say that we'll just screw it up in these trying times, we're not trying, so cut the headlights, summer's a knife, i'm always waiting for you just to cut to the bone
Ruben Hartfield et Sloane Jarecki adorent ce message
Scarlett a décidé qu’il vaut mieux ne pas se poser trop de questions, ces derniers temps. Sinon, elle serait obligée de trouver des réponses (probablement désobligeante) à ses interrogations telles que pourquoi est-ce qu’elle ne reconnaît pas son visage dans le miroir, parfois, ou bien comment est-ce qu’elle est arrivée à vivre en colocation habituelle avec quelqu’un qu’elle s’était jurée rayer de sa vie quelques semaines auparavant.
Elle n’a pas du tout envie de se pencher sur le fait que même après que Ruben soit resté plusieurs semaines chez elle, il revient de temps en temps, dort encore chez elle, dort parfois avec elle (!!), mais surtout, pire encore, qu’elle est contente (?!) de le retrouver après une longue journée de travail, ou qu’il l’a fait rire, le matin, quand elle rentre de sa session de surf et qu’il est en train de préparer un café en maugréant sur une énième histoire avec Nina. Parfois, elle observe Ruben, son air mesquin, ses yeux clairs, son sourire en coin pendant qu’il déblatère une histoire de sa nuit à l’hôpital, et elle se demande avec horreur si elle est attiré par lui, ou quelque chose du genre : comment expliquer sinon qu’elle semble apprécier autant sa présence ? Non, sérieusement, mieux qu’elle n’y pense pas. Elle installe de confortable oeillères et décide qu’elle s’occupera de ça plus tard.
Elle observe Ruben installé sur son canapé, le nez dans l’un de ses dossiers. C’est un samedi après-midi au temps grisâtre, et Ruben est passé chez elle, officiellement pour récupérer des affaires qu’il aurait oublié chez elle, officieusement pour probablement rester dîner avec elle et ne pas passer la soirée seule à ruminer sa situation. Assise sur la table de sa salle à manger, Scarlett a son portable coincée entre son oreille et son épaule, et ses doigts pianotent sur son ordinateur pendant qu’elle écoute, sourcils froncés, son assistante Julia lui déblatérer des informations sur le film où Hayley, l’une des actrices dont elle gère l’image, va jouer. Le tournage va commencer, les dernières informations sont en train d’être peaufinées, des informations sur les contrats, des détails à la fois importants et fatigants. « Non, il faut demander à Sloane vérifier la mention dans son nouveau contrat », s’agace Scarlett, « avant que les execs communiquent dessus publiquement. » La conversation s’attarde, une nouvelle réunion se calle, et Scarlett finit par raccrocher dans un soupir.
Elle se verse à nouveau du thé dans sa tasse, et s’appuie sur sa chaise, concentrée sur les notes qu’elle vient de prendre, mais sentant un regard vers elle - elle redresse la tête, jette un coup d’oeil en la direction de Ruben qui l’observe. « Quoi ? » Elle commence, et il a son stupide sourire narquois au coin des lèvres. « Ben, ne commence ça », elle proteste, parce qu’elle devine facilement où il va vouloir en venir.
we're from a long line of people we'd describe as inconsolable we don't know how to be helped, yeah, we're from a whole huddle of households, full of beds where nobody cuddled, we don't know how to be held
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
Il ne savait pas si Scarlett se rendait compte à quoi point elle lui évitait une énorme épine dans le pied en le laissant aller et venir à sa guise chez elle, en lui laissant utiliser la chambre supplémentaire de sa maison lorsqu’il en ressentait le besoin, lorsqu’elle ne le mettait pas à la porte s’il se glissait finalement dans son lit à elle le soir parce-que son moral lui jouait des coups. Il ne savait pas si elle s’en rendait compte, mais Ruben savait que cette période là aurait été d’autant plus compliquée pour lui si elle n’avait pas répondu présent au moment où il en avait eu besoin. Il était de ceux qui avaient du mal à admettre lorsqu’ils avaient besoin d’aide, surtout lorsque c’était suite à une erreur commise de leur part, mais face à elle il avait réussi à laisser tomber les barrières et même si elle se permettait certaines remarques de temps à autres, il les savait dénuées de jugement; et malgré tout, c’était ce dont il avait besoin ces derniers temps.
A force de passer du temps chez elle et en sa compagnie, il avait également pu remarquer certains détails. Certains qu’il avait mentalement noté mais mis de côté et qu’il n’abordait pas, parce-qu’il avait parfaitement compris dès le premier soir où il avait débarqué ici qu’il ne pouvait se permettre d’aborder ce sujet s’il voulait non seulement avoir un endroit où se réfugier, mais surtout toujours une amie à ses côtés au bout du compte. Alors il ne disait rien, mais aurait assez d’éléments entre les mains le jour où elle serait prête à aborder le sujet.
Il existait un autre sujet qui portait sur les observations qu’il faisait presque quotidiennement ces dernières semaines, mais ce dernier était bien plus simple à aborder - Scarlett ne s’en rendait même pas compte qu’elle tendait le bâton pour se faire battre si facilement qu’il serait presque hypocrite de la part de Ruben de ne pas le saisir. Alors qu’il tentait de se concentrer sur les notes que les internes avaient rédigé dans le dossier qu’il avait sous les yeux, il était témoin d’une autre scène qui lui tira systématiquement un sourire. « Non, il faut demander à Sloane vérifier la mention dans son nouveau contrat avant que les execs communiquent dessus publiquement. » De ce qu’il avait saisi, c’était son assistante qu’elle avait au téléphone; mais ce n’était pas la question puisque ce n’était pas sur cette partie là de la conversation qu’il haussa un sourcil, gardant son regard rivé sur la jeune femme alors qu’elle s’affairait comme si de rien n’était à quelques mètres de lui. Son regard finit par se relever - elle avait du sentir qu’il l’observait avec insistance. « Quoi ? » Il se mit à sourire et n’eut même pas le temps d’ajouter le moindre commentaire. « Ben, ne commence ça » Il leva les mains devant lui pour clamer son innocence. « J’ai rien dit. » Sauf que son regard et son comportement parlaient pour lui, il le savait - il fit fi de ce détail. « J’écoute juste la façon dont tu travailles. Et sur quoi tu vas prochainement travailler. Et avec qui. » Son sourire s’était agrandi au fil des mots qu’il ajoutait, comme un enfant fier de sa bêtise - c’était ce qu’il était. « Sloane, ta collègue absolument insupportable c’est ça ? » Il se pencha sur le côté pour attraper sa tasse de café posée sur la table basse du salon.
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Scarlett Bridgers
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TW IN RP : Manipulation, addiction (d'un parent), précarité, abus sexuels sur mineure, sexe, parentification, homophobie, ptsd, soufflage de chaud froid à la limite de l'illégal. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : (fake) red hair don't care ♤ self-made woman, alumni du Forbes 30 under 30 ♤ accepte toutes les affaires sauf les scandales de violences sexuelles ♤ observatrice, manipulatrice, rusée, solitaire ♤ n'a jamais été ivre et ne consomme aucune drogue ♤ a quitté son Londres natal à 18 ans et n'y a jamais remis les pieds ♤ éthique de travail en béton, éthique de vie très flexible ♤ a un petit tatouage d'un cœur en barbelé sur le bras, vestige de ses 18 ans, qu'elle adore critiquer mais n'a jamais fait effacer ♤ collectionneuse d'art et d'aventures sans lendemainDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Scarlett s'impose en #9933ff RPs EN COURS : (06)Sloane 14 › Ruben 11 › Swann 06 › Lincoln 01 › Ambrose 03 › Lena 01
SLOSCAR ♤ 'cause i'm no good at givin' up control, are you worried that i might find something wrong? 'cause i'm worried that i won't, but if control is my religion, then i'm headin' for collision
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Ruben Hartfield, Pénélope Danbury et Sloane Jarecki adorent ce message
Si Scarlett aime la solitude, c’est surtout pour la liberté qu’elle lui offre, ce sentiment que personne ne met le nez dans ses affaires, sa vie, ses secrets ; c’est probablement une déformation après avoir été elevé par une mère si désintéressée. Scarlett a appris à chérir la pudeur, sa tranquillité, à n’avoir besoin de personne, surtout pas de quelqu’un qui pourrait commenter les choix qu’elle fait. Elle se fait confiance, elle seule, et ne demande que rarement son avis aux autres - ce n’est pas pour rien qu’elle a sa propre boîte, et elle n’est pas réputée pour être une boss qui demande l’avis de ses employés. Seul un petit cercle restreint de privilégiés, au travail, ont sa confiance quand il s’agit d’analyser une situation, mais son opinion à elle tranchera toujours, au fond. Et dans sa vie personnelle, elle prend soin de ne devoir rien à personne, et de ne surtout jamais demander d’aide (elle a appris sa leçon avec l’épisode de l’hôpital) ou de commentaires. Sauf qu’apparemment, voilà, Ruben n’a pas besoin qu’on lui demande de faire un commentaire pour qu’il en offre.
« J’ai rien dit. » Elle lève les yeux au ciel, commence à réorganiser l’un de ses dossiers papiers pour faire mine d’avoir les mains occuper, et ne pas prêter attention au regard mutin de Ruben qui se croyait malin à jouer les faux innocents. « J’écoute juste la façon dont tu travailles. Et sur quoi tu vas prochainement travailler. Et avec qui. » « Et ça ne te regar- » regarde pas, mais Ruben est dans sa lancée, narquois. « Sloane, ta collègue absolument insupportable c’est ça ? » Elle serre la machoire, retient un soupir agacé, parce qu’elle ne veut pas lui donner du grain à moudre en se montrant trop sensible sur la question. « Oui, on va encore travailler sur un même tournage », elle admet d’un ton dégagé. « Travailler, Ben. C’est ce que les gens font avec leurs collègues, généralement », elle ajoute, une pique à peine déguisée. Elle boit une gorgée de thé, le liquide un peu trop chaude chatouille son palais. « Vraiment, je ne sais pas ce que tu t’es mis en tête à son propos et d’où tu tires ça », elle bougeonne, de mauvaise humeur. Elle s’est principalement plaint de Sloane, et si elle commence enfin à… l’apprécier (?), la tolérer (hm) ?, elle ne s’en est pas vantée auprès de Ruben. Elle lui a encore moins raconté leur première rencontre, bien avant le tournage, qui a eu lieu dans une soirée où elles ont failli rentrer ensemble (!) et vraiment encore moins que cela a failli arriver il y a deux semaines quand elles se sont croisées dans une soirée libertine, et vraiment, vraiment encore moins qu’elle fréquente ces endroits, Ruben n’en finirait pas de ressortir l’anecdote jusqu’à la fin de sa vie, qui serait courte, car Scarlett finirait par l’étrangler. Bref, plutôt s’arracher la langue que d’avouer quoi que ce soit à haute voix, alors Scarlett opte pour la fausse incompréhension, comme pour semer la confusion auprès de Ruben.
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Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
Elle aura beau prétendre du mieux qu’elle le pouvait qu’elle était occupée et que le commentaire que Ruben donnait - ou plutôt l’absence de commentaire dont il faisait preuve dans un premier temps - ne perturbait pas son activité initiale, mais il savait pertinemment que c’était le cas. Plusieurs semaines qu’il passait un peu trop de temps dans le coin, il commençait à savoir quels étaient les commentaires et comportements qu’elle relevait et ceux qui lui passaient effectivement au dessus. « Et ça ne te regar- » Oh, ça ne le regardait pas ? Elle devrait quand même se douter qu’il allait mettre son nez dans une histoire qui, justement effectivement, ne le regardait initialement pas. Surtout si cela mettait en avant une autre partie de cette même histoire dont elle lui avait déjà fait part - ici en l’occurence, le fait qu’elle trouvait d’après ses propres dires cette dite-collègue insupportable. Alors bien sur qu’il allait relever cette étrangeté. « Oui, on va encore travailler sur un même tournage » Il haussa un sourcil. « Travailler, Ben. C’est ce que les gens font avec leurs collègues, généralement » Le sourcil autant que le sourire retomba, tirant les traits du visage de Ruben vers le bas désormais; c’était amusant sauf quand elle utilisait ses propres armes contre lui - en l’occurence, cela fonctionnait même mieux dans ce sens là, c’était ce qui le faisait rager. « C’est comme ça que tu veux jouer ? » Parce-qu’en plus, avec elle il n’avait pas besoin de jouer la carte de l’innocence, ni de feinter ne pas savoir de quoi elle référait - elle était même peut-être la seule personne face à qui il pouvait se le permettre. Alors bien sur qu’avec une telle réflexion, il allait prendre la mouche et réagir de la façon dont elle s’attendait à ce qu’il le fasse.
Et même si Scarlett savait appuyer là où ça faisait mal chez lui, du côté de Ruben il savait qu’il visait juste également: il n’y avait qu’à voir la façon dont elle réagissait et les paroles qu’elle lui adressait - ainsi que la manière avec laquelle elle lui offrait ces dernières. « Vraiment, je ne sais pas ce que tu t’es mis en tête à son propos et d’où tu tires ça » Toujours à distance sur le canapé, Ben posa la tablette qu’il tenait dans les mains pour croiser les bras sur son torse; pinçant les yeux autant que les lèvres, il laissa un instant de silence quelque peu dramatique s’installer entre eux avant de reprendre la parole, en commençant par un soupir. « De ce que tu m’en dis. C’est de là que je tire tout ce que j’ai en tête. » Peut-être poussait-il un brin de trop le bouchon, qu’il jouait de certaines paroles là où ce n’était pas nécessaire, mais ce n’était pas non plus comme si elle ne lui donnait rien pour alimenter ses théories. « Combien de personnes ont commencé par se détester avant de s’apprécier, dis moi ? » Beaucoup, c’était la réponse; c’était même le début parfait pour plein de romans, deux personnes ne s’appréciant pas - pour finir par s’aimer, meilleure recette jamais inventée. « J’en abuse un peu, d’accord, mais étrangement ça fait quelques temps que t’en as pas parlé… alors qu’avant tu trouvais la moindre excuse pour t’en plaindre. » Il pencha quelque peu sa tête sur le côté, haussant un sourcil un brin provocateur. « Ose me dire que j’ai tort. » Ben savait qu’il avait raison, et il savait aussi que ça n’allait pas lui plaire - mais c’était justement ça qu’il le faisait jubiler lui, de son côté.
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Scarlett Bridgers
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ÂGE : 31 ans | 12.01.93 SURNOM : Au travail, la plupart des gens l'appellent Bridgers. Sa mère l'appelerait Arabella, son prénom de naissance, si elles étaient encore en contact. STATUT : Célibataire et peu intéressée à l'idée d'investir une relation. Coucher 1548 fois avec sa collègue qu'elle a traitée d'incompétente 2471 fois, ça, par contre, elle sait faire. MÉTIER : Fondatrice de Tried & True, une agence de relations publiques, qui lui a valu un profil dans le prestigieux Forbes 30 under 30. LOGEMENT : Une villa au 212 Beachcrest Road. La porte du jardin arrière mène directement à la plage où Scarlett va surfer quasiment tous les matins. Ruben, colocataire imprévu, occupe régulièrement l'une des chambres - parfois celle de Scarlett aussi mais promis, ils ne font que dormir (oui, oui, vraiment). POSTS : 644 POINTS : 320
TW IN RP : Manipulation, addiction (d'un parent), précarité, abus sexuels sur mineure, sexe, parentification, homophobie, ptsd, soufflage de chaud froid à la limite de l'illégal. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : (fake) red hair don't care ♤ self-made woman, alumni du Forbes 30 under 30 ♤ accepte toutes les affaires sauf les scandales de violences sexuelles ♤ observatrice, manipulatrice, rusée, solitaire ♤ n'a jamais été ivre et ne consomme aucune drogue ♤ a quitté son Londres natal à 18 ans et n'y a jamais remis les pieds ♤ éthique de travail en béton, éthique de vie très flexible ♤ a un petit tatouage d'un cœur en barbelé sur le bras, vestige de ses 18 ans, qu'elle adore critiquer mais n'a jamais fait effacer ♤ collectionneuse d'art et d'aventures sans lendemainDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Scarlett s'impose en #9933ff RPs EN COURS : (06)Sloane 14 › Ruben 11 › Swann 06 › Lincoln 01 › Ambrose 03 › Lena 01
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BRIDE ♤ now it's getting quiet here, now it's getting blue, and this, baby, ain't no fair, taking up my youth, you've been telling me some lies, I be thinking it's the truth, but I see it in your eyes, the things that you do
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Ruben Hartfield et Sloane Jarecki adorent ce message
Une pique de plus, et le visage de Ruben se fronce, la mine de celui qui n’aime pas qu’on le mette devant ses contradictions. Dommage, it takes two to tango, et Scarlett n’est pas du genre à se laisser faire. « C’est comme ça que tu veux jouer ? » Scarlett lève les yeux au ciel. « Tu me cherches, tu me trouves », elle réplique. Elle ne sait pas pourquoi Ruben fait ressortir en elle ce sentiment de gamine taquine - peut-être parce qu’il se comporte comme un enfant, lui aussi - mais elle ne peut pas s’en empêcher. Elle sait quel bouton pousser pour l’agacer, mais malheureusement, la réciproque est aussi vraie. Et évidemment, le sujet de Sloane mis sur le tapis est trop amusant pour que Ruben ne s’en saississe pas. Scarlett mentirait si elle disait qu’elle était surprise, parce qu’elle a bien vu la façon dont Ruben fronce les sourcils quand elle mentionne la jeune femme, comme s’il calcule quelque chose dans sa tête, glane des informations. Il croit peut-être être discret, mais elle a bien compris qu’il était curieux, qu’il l’observait, parfois - sur Sloane mais surtout sur d’autres sujets qui lui plaisent encore moins. « De ce que tu m’en dis. C’est de là que je tire tout ce que j’ai en tête. » Scarlett agite la main pour chasser le commentaire qui ne l’intéresse pas. Elle ne sait pas ce que Ruben se construit dans sa tête, mais elle aimerait bien lui dire d’aller se mêler de ses affaires, qui sont déjà assez casse-gueule comme ça. Mais si elle n’est pas tendre, Scarlett n’est pas non plus (trop) cruelle et n’a pas le coeur à frapper si bas, alors que Ruben est déjà dans un piteux état. Mais elle garde l’arme, s’il tente d’aller trop loin sur Sloane.
« Combien de personnes ont commencé par se détester avant de s’apprécier, dis moi ? » Scarlett a un rire jaune. « J’ai plutôt tendance à détester les gens sur le long terme », elle commente. « Méfie-toi », elle rajoute, amusée - ce n’est pourtant pas une plaisanterie, Scarlett n’est pas du genre à pardonner les gens qui la trahissent, encore moins à changer d’avis lorsqu’elle a décidé qu’elle n’aimait pas quelqu’un. Et pourtant… Pourtant. Sloane. « J’en abuse un peu, d’accord, mais étrangement ça fait quelques temps que t’en as pas parlé… alors qu’avant tu trouvais la moindre excuse pour t’en plaindre. » La mâchoire de Scarlett se serre, parce que Ruben a vu juste, ce qui l’agace au plus au point. « Ose me dire que j’ai tort. » En cet instant, Scarlett a sincèrement envie de se tourner vers Ruben et de lui répliquer un nanananaaaaa, en substance, comme une gamine boudeuse. Mais elle garde la tête haute, boit son thé, prétend être détachée, puis pivote sur sa chaise pour faire face à Ruben. « Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Oui, sur la fin du précédent tournage, j’ai appris à la tolérer. Je n’avais pas à me plaindre d’elle récemment puis qu’on ne travaillait plus ensemble. T’inquiète, ça reviendra », elle commence, d’un ton presque cérémonieux. « Voilà, t’es content ? Qu’est-ce que ça peut te faire que je m’entende bien ou non avec ma collègue ? Tu veux jouer les entremetteur ? » Elle soupire. « Je pense que tu sais que je n’ai pas besoin d’un wingman, encore moins avec elle. » Parce qu’elles se débrouillent déjà comme des grandes pour manquer de coucher ensemble, mais elle ne va pas le préciser, ça.
we're from a long line of people we'd describe as inconsolable we don't know how to be helped, yeah, we're from a whole huddle of households, full of beds where nobody cuddled, we don't know how to be held
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
« Tu me cherches, tu me trouves » Il se contenta de lever les yeux au ciel, n’ayant aucune réplique à ajouter ici parce-qu’elles seraient toutes malvenues. Il savait parfaitement que malgré lui, Scarlett appuyait au bon endroit et qu’elle saurait le refaire s’il continuait sur ce chemin là.
Surtout qu’il avait d’autres points à prouver et qu’insister sur le premier n’était peut-être pas utile pour le moment: mieux valait garder son énergie pour la suite de la discussion. « J’ai plutôt tendance à détester les gens sur le long terme. Méfie-toi » Ce fut au tour de Ruben d’avoir un petit rire, bien plus amusé que celui qu’elle avait eu l’instant d’avant. « J’ai pas trop peur de ça, t’en fais pas. » Il savait qu’elle ne plaisantait pas, ce n’était pas cette partie là qu’il remettait en question, plus le fait qu’elle l’appréciait déjà malgré son sale caractère et ses manies qui ne plaisaient pas à tous, alors si c’était le cas pour le temps présent il n’avait pas trop peur de celui qui s’en viendrait par la suite. Surtout qu’il y avait une différence entre détester les gens pour qui nous allions éprouver de l’amour ou avions éprouver de l’amour, et ceux qui n’étaient finalement que des personnages secondaires de notre quotidien mais des piliers lorsque la première catégorie devenait décevante.
Alors bien sur que Ruben allait davantage appuyer là où il savait qu’il avait raison, parce-que les preuves parlaient d’elles-même et allaient dans le sens contraire de celui dans lequel Scarlett essayait d’avancer. La pause dramatique qu’elle prit avant de se tourner de nouveau vers lui pour lui répondre souligner d’autant plus tout ce qu’il mettait en avant - s’en rendait-elle compte ou pensait-elle qu’elle le bernerait aussi facilement ? « Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Oui, sur la fin du précédent tournage, j’ai appris à la tolérer. Je n’avais pas à me plaindre d’elle récemment puis qu’on ne travaillait plus ensemble. T’inquiète, ça reviendra » Oh, il ne s’inquiétait pas. « Voilà, t’es content ? Qu’est-ce que ça peut te faire que je m’entende bien ou non avec ma collègue ? Tu veux jouer les entremetteur ? » A cette remarque là, il échappa un petit rire, secouant quelque peu sa tête de gauche à droite et ne se défaisant pas du petit sourire qui avait pris place sur ses lèvres. « Je pense que tu sais que je n’ai pas besoin d’un wingman, encore moins avec elle. » - « Oh, je remets pas en doute tes capacités, t’en fais pas. Et j’ai pas l’intention de servir d’entremetteur non plus. » Son regard se releva de nouveau pour accrocher celui de la jeune femme, un brin provocateur - parce-qu’il s’amusait beaucoup de la situation et qu’il ne comptait pas le cacher. « Je pointe juste du doigt l’évidence que toi tu vois pas. » Il haussa les épaules avant de se lever du canapé et de s’approcher de Scarlett, ne lâchant pas ses yeux des siens. « Je sais que ça t’énerve, mais je m’en fiche. Et je sais que tu me détesteras pas vraiment alors bon, j’ai de la marge. » Il fit un petit sourire avant de la contourner pour se diriger vers la cuisine pour aller se chercher un nouveau café. « Et pour que ça te soit plus facile à comprendre: ça me fait rien à moi que tu t’entendes bien avec elle ou pas. Mais c’est évident que cette bonne entente est pas que pour le boulot, profites en. »
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Scarlett Bridgers
le masque de verre
ÂGE : 31 ans | 12.01.93 SURNOM : Au travail, la plupart des gens l'appellent Bridgers. Sa mère l'appelerait Arabella, son prénom de naissance, si elles étaient encore en contact. STATUT : Célibataire et peu intéressée à l'idée d'investir une relation. Coucher 1548 fois avec sa collègue qu'elle a traitée d'incompétente 2471 fois, ça, par contre, elle sait faire. MÉTIER : Fondatrice de Tried & True, une agence de relations publiques, qui lui a valu un profil dans le prestigieux Forbes 30 under 30. LOGEMENT : Une villa au 212 Beachcrest Road. La porte du jardin arrière mène directement à la plage où Scarlett va surfer quasiment tous les matins. Ruben, colocataire imprévu, occupe régulièrement l'une des chambres - parfois celle de Scarlett aussi mais promis, ils ne font que dormir (oui, oui, vraiment). POSTS : 644 POINTS : 320
TW IN RP : Manipulation, addiction (d'un parent), précarité, abus sexuels sur mineure, sexe, parentification, homophobie, ptsd, soufflage de chaud froid à la limite de l'illégal. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : (fake) red hair don't care ♤ self-made woman, alumni du Forbes 30 under 30 ♤ accepte toutes les affaires sauf les scandales de violences sexuelles ♤ observatrice, manipulatrice, rusée, solitaire ♤ n'a jamais été ivre et ne consomme aucune drogue ♤ a quitté son Londres natal à 18 ans et n'y a jamais remis les pieds ♤ éthique de travail en béton, éthique de vie très flexible ♤ a un petit tatouage d'un cœur en barbelé sur le bras, vestige de ses 18 ans, qu'elle adore critiquer mais n'a jamais fait effacer ♤ collectionneuse d'art et d'aventures sans lendemainDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Scarlett s'impose en #9933ff RPs EN COURS : (06)Sloane 14 › Ruben 11 › Swann 06 › Lincoln 01 › Ambrose 03 › Lena 01
SLOSCAR ♤ 'cause i'm no good at givin' up control, are you worried that i might find something wrong? 'cause i'm worried that i won't, but if control is my religion, then i'm headin' for collision
BRIDE ♤ now it's getting quiet here, now it's getting blue, and this, baby, ain't no fair, taking up my youth, you've been telling me some lies, I be thinking it's the truth, but I see it in your eyes, the things that you do
BELETT ♤ you say that we'll just screw it up in these trying times, we're not trying, so cut the headlights, summer's a knife, i'm always waiting for you just to cut to the bone
Ruben Hartfield et Sloane Jarecki adorent ce message
La défensive n’est pas une position que Scarlett prend souvent, au contraire : elle a organisé sa vie pour ne jamais se retrouver dans une position d’inconfort où elle n’aurait pas le dessus. Elle ne se cache pas de cette ambition, de ce désir de pouvoir et de sécurité que lui offre son métier, son salaire, sa façon de gérer les relations humaines. Tout est une machine plutôt bien huilée. Mais voilà, bien sûr, il y a quelques erreurs dans la matrice, parfois, un caillou dans une chaussure que l’on ne remarque que lorsque l’on se remet à marcher. Sloane est un bug, oui. Ruben aussi, en quelque sorte. Et Ruben qui parle de Sloane est définitivement quelque chose qui échappe au contrôle bien rodé de Scarlett. « Oh, je remets pas en doute tes capacités, t’en fais pas. Et j’ai pas l’intention de servir d’entremetteur non plus. » Scarlett lève un sourcil, l’air de dire ah oui, vraiment ? parce que l’attitude de Ruben semble plutôt lui indiquer l’inverse, ce qui agace doublement Scarlett : son attitude, déjà énervante, est encore plus insupportable dans l’incapacité de Ruben à l’assumer. « Tu voudrais pas avoir l’intention de ne pas te mêler de ma vie, par exemple ? » Elle suggère séchement.
Mais plus elle se crispe, et plus Ruben semble amusé par la situation. Elle se demande vaguement si elle devrait tout simplement quitter la pièce, couper court à la conversation, mais elle a la désagréable impression que cela ne ferait que nourrir le sourire goguenard de Ruben, et qu’il remettrait le sujet sur le tapis une prochaine fois. Il restait ultimement la possibilité de l’ôter de sa vie - Scarlett aimait se targuer de pouvoir couper le cordon avec n’importe qui - mais après avoir essayé une première fois, Scarlett doit admettre que Ruben est étonnement résistant à la distance et au silence. « Je pointe juste du doigt l’évidence que toi tu vois pas. » Elle lève les yeux au ciel à cette remarque, observe Ruben qui s’approche d’elle. « Je sais que ça t’énerve, mais je m’en fiche. Et je sais que tu me détesteras pas vraiment alors bon, j’ai de la marge. » « C’est un défi ? » Elle réplique, acide, parce qu’elle pourrait bien finir par détester Ruben s’il continuait comme ça. Il reste là, sourire amusé aux lèvres, avant de partir vers la cuisine, avec une aisance de celui qui vit là on and off depuis un peu trop longtemps au goût de la maîtresse de maison. « Et pour que ça te soit plus facile à comprendre: ça me fait rien à moi que tu t’entendes bien avec elle ou pas. Mais c’est évident que cette bonne entente est pas que pour le boulot, profites en. » Scarlett serre la mâchoire, laisse Ruben s’éloigner, reste immobile, ne le suis pas, ne le suis pas, laisse la discussion mourir, ne le suis pas, ne le - « Si ça te fait rien, pourquoi tu me soules avec ça ? » Elle s’est levée et le suit vers la cuisine, bien décidée à en découdre. « Et pour ton information Ruben, tu ne m’apprends rien, je ne suis pas débile, oui, il y a eu une certaine tension entre moi et Sloane », elle explique, agacée. « Même le Sloane le sait. On en a parlé quand on a recommencé à bosser ensemble, et on a conclu que ça serait un conflit d’intérêt qu’on couche ensemble au vu de nos métiers et responsabilités respectives. » Les grands mots sont de sortie, et pourvu qu’ils suffisent à Ruben, qui, s’il est un minimum sympa, peut faire semblant d’oublier toutes les autres fois où Scarlett a contourné les règles sans que cela la gêne.
we're from a long line of people we'd describe as inconsolable we don't know how to be helped, yeah, we're from a whole huddle of households, full of beds where nobody cuddled, we don't know how to be held
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
« Tu voudrais pas avoir l’intention de ne pas te mêler de ma vie, par exemple ? » Il sentait la manière sèche avec laquelle elle lui adressait la parole, et cela eut surement l’effet inverse de ce qu’elle attendait réellement: le petit sourire déjà accroché aux lèvres de Ben s’étira un brin davantage. « Ce serait terriblement ennuyeux, tu crois pas ? » Il n’existait pas une seule version de la réalité où il ne se penchait pas un minimum sur la vie, surtout privée, de Scarlett. Qu’elle se rende compte aussi: il ne se passait pas grand chose dans la sienne ces derniers temps, tant elle s’effondrait de part et d’autre, alors c’était d’autant plus intéressant de s’intéresser à celle de la jeune femme.
« C’est un défi ? » Il plissa quelque peu les yeux en laissant son regard s’accrocher encore un instant à celui de la jeune femme - avant que les traits de son visage ne retrouvent également l’air rieur qui était le leur depuis le début de cette conversation. « Non, mais tu peux le prendre comme tel si ça te fait plaisir. » Le simple fait d’être persuadé qu’elle ne pourrait réellement le détester lui suffisait; et qui plus était les derniers événements parlaient d’eux-mêmes: elle avait prévu de ne plus lui adresser la parole, et pourtant il était là aujourd’hui à débattre face à elle sur des sujets qui ne le regardaient absolument pas. Il était donc évident à ses yeux, et cela aurait l’être aux siens aussi, qu’elle ne saurait réellement le détester.
Mais ce n’était pas la seule chose dont elle n’arrivait pas à se rendre compte, alors bien sur qu’il continuerait d’insister sur la question. L’autre raison était qu’il était si facile de la faire monter au créneau tant qu’il n’avait qu’à se dire dans sa tête dans cinq, quatre, trois, deux, un… « Si ça te fait rien, pourquoi tu me soules avec ça ? » Il était encore dos à elle quand son sourire s’étira pour manger la moitié de son visage, ses mains s’attelant à se préparer un café comme si Scarlett ne venait pas de lui poser une question. « Et pour ton information Ruben, tu ne m’apprends rien, je ne suis pas débile, oui, il y a eu une certaine tension entre moi et Sloane » Ses gestes ralentirent un instant, un de ses sourcils se haussa sur son visage, mais il ne se tourna pas de suite vers elle. « Même Sloane le sait. On en a parlé quand on a recommencé à bosser ensemble, et on a conclu que ça serait un conflit d’intérêt qu’on couche ensemble au vu de nos métiers et responsabilités respectives. » Oh, c’était devenu réellement intéressant désormais: là où il continuait d'insister parce-qu’il existait toujours une possibilité que cela ne soit pas vrai, venait de se transformer en une vérité qu’il n’était pas prêt de mettre de côté comme si elle n’était rien. Tournant seule sa tête vers elle, il devait se mordre l’intérieur de la joue pour ne pas commencer par un commentaire qui lui donnerait envie de lui arracher les yeux - parce-qu’il savait que c’était déjà le cas. « Pour commencer, je sais que t’es pas débile: j’ai vu ton cerveau je te rappelle. » Réflexion faite: il venait peut-être de commencer par la réflexion qui allait exactement lui donner envie de lui arracher les yeux. Tant pis. « C’est pas la question: t’as dit à Sloane que tu voulais coucher avec elle alors ? Donc c’est encore pire que tout ce que tu m’en disais jusque là, tu t’en rends compte ? » Mettant la machine en fonctionnement, il la laissa faire son affaire pour se tourner vers elle et croiser les bras sur son torse. « La tension dont tu parles, et dont tu me parles depuis tout ce temps; j’avais raison: c’est une tension sexuelle. » Et bien sur qu’il était jaloux - pas que ce soit le cas et que Scarlett soit impliquée dans cette situation et pas lui, mais plutôt de pouvoir le formuler ainsi librement comme elle le faisait là où dès qu’il avançait sur ce terrain là de son côté, il ne faisait que rajouter une couche d’ennui à sa propre personne. « Et pourquoi t’en profites pas et tu couches pas avec elle ? Pour de vrai ? » L’amusement était moins de mise dans sa façon de prononcer sa question désormais, parce-que l’interrogation était sérieuse.
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Scarlett Bridgers
le masque de verre
ÂGE : 31 ans | 12.01.93 SURNOM : Au travail, la plupart des gens l'appellent Bridgers. Sa mère l'appelerait Arabella, son prénom de naissance, si elles étaient encore en contact. STATUT : Célibataire et peu intéressée à l'idée d'investir une relation. Coucher 1548 fois avec sa collègue qu'elle a traitée d'incompétente 2471 fois, ça, par contre, elle sait faire. MÉTIER : Fondatrice de Tried & True, une agence de relations publiques, qui lui a valu un profil dans le prestigieux Forbes 30 under 30. LOGEMENT : Une villa au 212 Beachcrest Road. La porte du jardin arrière mène directement à la plage où Scarlett va surfer quasiment tous les matins. Ruben, colocataire imprévu, occupe régulièrement l'une des chambres - parfois celle de Scarlett aussi mais promis, ils ne font que dormir (oui, oui, vraiment). POSTS : 644 POINTS : 320
TW IN RP : Manipulation, addiction (d'un parent), précarité, abus sexuels sur mineure, sexe, parentification, homophobie, ptsd, soufflage de chaud froid à la limite de l'illégal. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : (fake) red hair don't care ♤ self-made woman, alumni du Forbes 30 under 30 ♤ accepte toutes les affaires sauf les scandales de violences sexuelles ♤ observatrice, manipulatrice, rusée, solitaire ♤ n'a jamais été ivre et ne consomme aucune drogue ♤ a quitté son Londres natal à 18 ans et n'y a jamais remis les pieds ♤ éthique de travail en béton, éthique de vie très flexible ♤ a un petit tatouage d'un cœur en barbelé sur le bras, vestige de ses 18 ans, qu'elle adore critiquer mais n'a jamais fait effacer ♤ collectionneuse d'art et d'aventures sans lendemainDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Scarlett s'impose en #9933ff RPs EN COURS : (06)Sloane 14 › Ruben 11 › Swann 06 › Lincoln 01 › Ambrose 03 › Lena 01
SLOSCAR ♤ 'cause i'm no good at givin' up control, are you worried that i might find something wrong? 'cause i'm worried that i won't, but if control is my religion, then i'm headin' for collision
BRIDE ♤ now it's getting quiet here, now it's getting blue, and this, baby, ain't no fair, taking up my youth, you've been telling me some lies, I be thinking it's the truth, but I see it in your eyes, the things that you do
BELETT ♤ you say that we'll just screw it up in these trying times, we're not trying, so cut the headlights, summer's a knife, i'm always waiting for you just to cut to the bone
Ruben Hartfield et Sloane Jarecki adorent ce message
Plus Scarlett le repousse et plus Ruben s’accroche, amusée par son agacement. Elle voudrait s’en plaindre, mais elle sait qu’elle serait de mauvaise foi, acide et taquine comme elle peut l’être face au jeune homme. Mais elle préfère quand elle est en position de force, évidemment, à juger facilement ses choix médiocres de vie, plutôt que lorsqu’il fait des commentaires sur sa vie à elle. « Ce serait terriblement ennuyeux, tu crois pas ? » Il se défend, lorsqu’elle lui demande de se mêler de ce qui le regarde - pour être polie. « Non, ça me ferait des vacances », elle peste. Enorme ironie dans sa bouche, elle qui ramène son ordinateur partout où elle voyage, ne coupe jamais ses mails de boulot, un peu comme Ruben, en fait, leurs ambitions respectives à peu près aussi immenses que le sourire moqueur vissé sur les lèvres de Dr Hartfield.
Ce sourire n’est pas prêt de disparaître, alors qu’elle se lance à sa suite pendant qu’il prétend aller tranquillement se faire un café, comme si de rien était. Scarlett a un flash désagréable quand elle constate que ce mec qu’elle a rencontré il y a des années à des cours du soir à l’université est à présent dans sa cuisine, connait par coeur où sont rangés les choses dans chaque placard, et que pire encore, il la connait assez pour la faire sortir de ses gonds en l’interrogant sur sa vie privée. Comment en est-elle arrivée là, elle qui cloisonne si bien sa vie ?! « Pour commencer, je sais que t’es pas débile: j’ai vu ton cerveau je te rappelle. » Mauvaise pioche : Scarlett se raidit instantanément. « Et tu penses que je suis folle, apparemment, super », elle ironise, énervée. Elle a dit à Ruben qu’elle ne voulait plus en parler, pourquoi est-ce qu’elle rebondit ?
Mais quelle est l’alternative ? Parler de Sloane à la place ? Super ! « C’est pas la question: t’as dit à Sloane que tu voulais coucher avec elle alors ? Donc c’est encore pire que tout ce que tu m’en disais jusque là, tu t’en rends compte ? » « Je lui ai pas dit que je voulais coucher avec elle, je lui ai dit que c’était évident qu’on avait de… l’attirance physique l’une pour l’autre, oui », elle admet entre ses dents qui grincent. La machine à café vrombit, et Ruben appuie son dos contre le plan de travail, tout à son aise. « La tension dont tu parles, et dont tu me parles depuis tout ce temps; j’avais raison: c’est une tension sexuelle. » Scarlett lève les yeux au ciel. « Elle peut être incompétente, agaçante, et attirante, ça n’enlève pas la validité de mes conflits avec elle », proteste Scarlett, qui supporte très mal qu’on lui prête des intentions fausses ou que l’on ne comprenne pas le fond de sa pensée. « Et pourquoi t’en profites pas et tu couches pas avec elle ? Pour de vrai ? » Scarlett agite ses mains, pour chasser le commentaire, et se tourne vers la bouilloire qu’elle remet en marche pour refaire une théière de thé, décidée à s’occuper les mains - et non ! elle ne bat pas en retraite ! elle veut juste du thé ! « Je vais dire un truc qui risque de révolutionner ta vie, Ruben, mais on est pas obligé de coucher avec ses collègues. C’est même plutôt une mauvaise idée. » Elle lui adresse un sourire entendu et mesquin. « En fait c’est quoi ton plan, tu t’ennuies de plus te taper tes 26 amants, alors tu essaies de mettre du piment dans ma vie ? » Elle demande. « Ou parce que j’ai refusé de te parler de mon cerveau tu veux que je couche avec une psy pour me faire psychanalyser ? » Elle balance, à peine consciente qu’elle avoue accidentellement à voix haute ce qui la terrifie dans s’approcher un peu trop près de Sloane.
we're from a long line of people we'd describe as inconsolable we don't know how to be helped, yeah, we're from a whole huddle of households, full of beds where nobody cuddled, we don't know how to be held
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
« Non, ça me ferait des vacances » C’était bien trop demander, et elle le savait si bien qu’il n’avait pas besoin de le formuler à haute voix: ce n’était pas quelque-chose qui arriverait ici. Ben appréciait que de trop mettre son nez là où il n’était pas invité, et surtout lorsque cela pouvait l’agacer de la sorte - dommage pour Scarlett, elle allait devoir prendre de plus grandes inspirations et le supporter comme elle trouvait cela possible puisqu’il ne comptait pas partir de si tôt de son entourage. Autant parce-qu’il l’appréciait réellement en tant qu’amie maintenant, que parce-qu’ils savaient tous deux qu’une situation n’était pas résolue et qu’il ne lâchaient pas l’affaire tant que ce serait le cas. Elle avait beau le repousser, il reviendrait à la charge tant qu’il n’aurait pas réglé ce problème là - étant l’état de santé de la jeune femme. « Et tu penses que je suis folle, apparemment, super » Elle était énervée qu’il glisse sur ce terrain là, et c’était exactement la réaction à laquelle il s’attendait alors il n’était en rien ni étonné, ni agacé que ce soit le cas; il se tenait de rectifier quelque-chose cependant. « Tu te qualifies toute seule de folle, je t’ai dit que c’était pas ce que je pensais moi. » Et il maintiendrait le discours autant que cela serait nécessaire - elle était traumatisée, pas folle; et même si elle avait été folle selon les critères qu’elle avait elle-même érigés, il n’aurait pas lâché l’affaire pour autant.
Les gestes de Ruben n’étaient pas du tout en adéquation avec la discussion qu’ils avaient, ajoutant là une touche de banalité censée alléger l’affaire. L’agacement de Scarlett face aux paroles qu’il se permettait de faire entendre n’était pas gage de réussite malheureusement. « Je lui ai pas dit que je voulais coucher avec elle, je lui ai dit que c’était évident qu’on avait de… l’attirance physique l’une pour l’autre, oui » - « C’est déjà pas mal. » Après tout, à part en dire du mal jusque là, il n’avait pas entendu d’autre discours. « Elle peut être incompétente, agaçante, et attirante, ça n’enlève pas la validité de mes conflits avec elle » - « Ca rend la situation jusque plus intéressante. » - « Je vais dire un truc qui risque de révolutionner ta vie, Ruben, mais on est pas obligé de coucher avec ses collègues. C’est même plutôt une mauvaise idée. » Il lui rendit un sourire bien moins amusé d’un coup, à la mine qu’elle lui offrit - elle tapait au bon endroit et elle le savait pertinemment. « Aoutch, c’est petit. » Mais c’était mérité et même: il s’était attendu à ce que ce soit le genre de répliques qu’elle lui accorde tant elles faisaient partie de sa joute verbale habituelle. « En fait c’est quoi ton plan, tu t’ennuies de plus te taper tes 26 amants, alors tu essaies de mettre du piment dans ma vie ? » Ben plissa quelque peu les yeux, hésitant sur la réponse qu'il pouvait là lui donner - celle où il se montrait vexé, celle où il s’amusait de sa remarque… ou celle où il faisait preuve d’honnêteté. Ce n’était pas qu’il n’était pas amusé de cette situation, mais c’était effectivement le cas. « C’est exactement ça oui. » Il haussa brièvement les épaules. « Au cas où t’es pas remarqué, je me fais un peu jeter de partout en ce moment alors me raccrocher à tes aventures ça m’occupe et j’ai presque pas l’impression que ma situation est si catastrophique que ça. » Elle n’aurait pas pitié, mais il ne pourrait pas faire plus authentique que ça.
« Ou parce que j’ai refusé de te parler de mon cerveau tu veux que je couche avec une psy pour me faire psychanalyser ? » A cette réponse là de sa part à elle, il écarquilla les yeux en revanche: il ne s’y attendait pas, à ça. « T’es sérieuse ? » Et bien sur qu’un petit rire s’en suivit, alors qu’il se mettait à secouer la tête quelque peu de gauche à droite et finalement par se retourner pour se servir une nouvelle tasse de café. « Scarlett, t’es la meilleure, et de loin. » Il fit face à elle de nouveau, s’arrêta à sa hauteur avant de déposer une bise sur sa joue - elle allait détester ça. « T’as pas besoin de coucher avec elle pour qu’elle t’analyse, tu sais. Ca peut aider à s’ouvrir aux autres, mais c’est pas obligatoire. » Elle se moquait de lui, il se moquerait d’elle, donnant-donnant. « Et si c’est pour ça que tu veux coucher avec, préviens la: c’est jamais amusant d’être utilisé. » Et il repartit en direction du salon. « Mais si tu préfères parler de ton cerveau avec elle plutôt qu’avec moi, je serai jaloux mais promis je me contiendrai. J’essayerai, en tous cas. »
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Scarlett Bridgers
le masque de verre
ÂGE : 31 ans | 12.01.93 SURNOM : Au travail, la plupart des gens l'appellent Bridgers. Sa mère l'appelerait Arabella, son prénom de naissance, si elles étaient encore en contact. STATUT : Célibataire et peu intéressée à l'idée d'investir une relation. Coucher 1548 fois avec sa collègue qu'elle a traitée d'incompétente 2471 fois, ça, par contre, elle sait faire. MÉTIER : Fondatrice de Tried & True, une agence de relations publiques, qui lui a valu un profil dans le prestigieux Forbes 30 under 30. LOGEMENT : Une villa au 212 Beachcrest Road. La porte du jardin arrière mène directement à la plage où Scarlett va surfer quasiment tous les matins. Ruben, colocataire imprévu, occupe régulièrement l'une des chambres - parfois celle de Scarlett aussi mais promis, ils ne font que dormir (oui, oui, vraiment). POSTS : 644 POINTS : 320
TW IN RP : Manipulation, addiction (d'un parent), précarité, abus sexuels sur mineure, sexe, parentification, homophobie, ptsd, soufflage de chaud froid à la limite de l'illégal. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : (fake) red hair don't care ♤ self-made woman, alumni du Forbes 30 under 30 ♤ accepte toutes les affaires sauf les scandales de violences sexuelles ♤ observatrice, manipulatrice, rusée, solitaire ♤ n'a jamais été ivre et ne consomme aucune drogue ♤ a quitté son Londres natal à 18 ans et n'y a jamais remis les pieds ♤ éthique de travail en béton, éthique de vie très flexible ♤ a un petit tatouage d'un cœur en barbelé sur le bras, vestige de ses 18 ans, qu'elle adore critiquer mais n'a jamais fait effacer ♤ collectionneuse d'art et d'aventures sans lendemainDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Scarlett s'impose en #9933ff RPs EN COURS : (06)Sloane 14 › Ruben 11 › Swann 06 › Lincoln 01 › Ambrose 03 › Lena 01
SLOSCAR ♤ 'cause i'm no good at givin' up control, are you worried that i might find something wrong? 'cause i'm worried that i won't, but if control is my religion, then i'm headin' for collision
BRIDE ♤ now it's getting quiet here, now it's getting blue, and this, baby, ain't no fair, taking up my youth, you've been telling me some lies, I be thinking it's the truth, but I see it in your eyes, the things that you do
BELETT ♤ you say that we'll just screw it up in these trying times, we're not trying, so cut the headlights, summer's a knife, i'm always waiting for you just to cut to the bone
Ruben Hartfield et Sloane Jarecki adorent ce message
Scarlett a pourtant posé ses règles, quand Ruben a débarqué ici : la discussion à l’hôpital n’a pas à être évoquée. Elle ne demande pas la lune, se dit-elle, elle accepte littéralement qu’ils dorment parfois ensemble, ce qui n’est vraiment, mais vraiment pas le genre de Scarlett. Elle ne sait pas pourquoi elle se comporte avec Ruben comme s’il était un petit labrador mignon qu’on doit recueillir, et cette empathie (?) la dégoûte presque, et elle en vient à se demander si elle n’en pince tout simplement pas pour le neurologue, parce qu’il faudrait bien une explication à ses actions qui n’ont aucun sens. « Tu te qualifies toute seule de folle, je t’ai dit que c’était pas ce que je pensais moi. » Elle agite la main pour chasser la remarque. Il a insinué qu’elle était traumatisée, c’est pire, à vrai dire, et elle n’a pas du tout envie de remettre le sujet sur le tapis.
Scarlett a beau s’expliquer, Ruben continue de sourire, de rebondir à la moindre de ses phrases, se déléctant très clairement de la situation et du débat. Elle ne sait même pas ce qu’elle essaie de lui prouver, qu’elle n’a pas d’attirance pour Sloane ; enfin, qu’elle en a mais que là n’est pas la question, parce qu’il ne se passera rien, un point c’est tout. Elle n’est pas comme Ruben, à risquer une relation compliquée sur son lieu de travail. « Aoutch, c’est petit. » Elle lui adresse un sourire absolument pas désolé. Il sait le risque qu’il prend en la cherchant de la sorte, elle sait être tout aussi piquante que lui. Et elle commence à croire que tout ce drama ne l’intéresse que poru l’occuper. « C’est exactement ça oui. » Ruben l’admet avec une étrange honnêteté. « Au cas où t’es pas remarqué, je me fais un peu jeter de partout en ce moment alors me raccrocher à tes aventures ça m’occupe et j’ai presque pas l’impression que ma situation est si catastrophique que ça. » Scarlett a un petit rire, tout à coup un peu ragaillardie par la fameuse situation de Ruben qui, malgré son air dépité, et par moment légèrement cocasse. « Vraiment, Ben, si tu voulais du drame dans ta vie pour t’amuser, pourquoi tu t’es marié ? » Elle demande, sincère malgré sa taquinerie. Elle qui n’est pas intéressée par le mariage ou la monogamie, elle comprend encore moins le choix venant de quelqu’un qui semble vouloir s’amuser et séduire le plus possible. « Et si tu veux des aventures, je peux te raconter que la dernière fois j’ai ramené deux filles ici pendant que t’étais de garde à l’hosto, si tu veux », elle réplique en croisant les bras sur sa poitrine, sourire en coin. C’est une histoire vraie, mais elle se gardera bien de raconter les détails à Ruben. Ce n’est pas son genre, pudique comme elle est.
Est-ce que c’est cette pudeur qui amène Ruben à la pousser dans les bras d’une psy ? Il veut qu’elle parle à quelqu’un ou quoi ? « T’es sérieuse ? » Elle hausse les épaules. Pourquoi pas, après tout ? « Scarlett, t’es la meilleure, et de loin. » Elle lève déjà les yeux au ciel, et Ruben en rajoute une couche en lui faisant un baiser sur la joue, et elle a un mouvement d’épaule pour s’écarter, agacée. « T’as pas besoin de coucher avec elle pour qu’elle t’analyse, tu sais. Ca peut aider à s’ouvrir aux autres, mais c’est pas obligatoire. » Elle grince un tsssss entre ses dents. « Et si c’est pour ça que tu veux coucher avec, préviens la: c’est jamais amusant d’être utilisé. » Une nouvelle fois, elle songe à rester dans la pièce que Ruben quitte, pour stopper la discussion. Mais c’est plus fort qu’elle : elle revient dans le salon, la mine froncée. « Mais si tu préfères parler de ton cerveau avec elle plutôt qu’avec moi, je serai jaloux mais promis je me contiendrai. J’essayerai, en tous cas. » Elle soupire. « J’ai pas envie de parler de mon cerveau, ni avec toi ni avec elle ni avec personne, ok ? » Elle affirme un peu froidement. « Et je n’ai aucune envie qu’elle m’analyse. Raison de plus pour me tenir loin d’elle. » Elle fait presque un aveu, mais fait mine de ne pas le remarquer. Elle s’asseoit derrière son ordinateur et décide de retourner à son travail, un sujet qu’elle maîtrise, où elle est en contrôle, bien plus que cette conversation ou la situation avec Sloane.
we're from a long line of people we'd describe as inconsolable we don't know how to be helped, yeah, we're from a whole huddle of households, full of beds where nobody cuddled, we don't know how to be held
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13372 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
Le rire qui échappa à Scarlett lorsqu’il lui avoua sans détour que c’était exactement parce-qu’il était frustré dans sa propre vie qu’il s’intéressait à la sienne eut au moins le don de tirer un petit sourire chez Ruben. Certes, il aurait préféré qu’elle n’en vienne pas à se moquer indirectement de lui de cette manière, mais là n’était pas tant la question: elle le faisait déjà même quand il ne tentait pas la moindre perdre, alors si cela pouvait dénouer une conversation qu’il ne désirait pas voir sinueuse de cette sorte initialement, il prenait. « Vraiment, Ben, si tu voulais du drame dans ta vie pour t’amuser, pourquoi tu t’es marié ? » Il haussa quelque peu un sourcil, pencha sa tête sur le côté d’autant, inspira longuement en bloquant quelque peu ses épaules lorsque ses poumons furent remplis. « Il faut croire que j’aime uniquement le drame qu’est pas amusant ? Et qui fait le plus mal possible ? » Parce-que même s’il ne le disait pas, bien sur que c’était le cas: Ruben souffrait. Mais en considérant la position dans laquelle lui se trouvait, et celle dans laquelle il avait mis d’autres personnes de manière forcée, il n’avait pas vraiment le droit de se plaindre de quoi que ce soit. « Et si tu veux des aventures, je peux te raconter que la dernière fois j’ai ramené deux filles ici pendant que t’étais de garde à l’hosto, si tu veux » Cette partie à de la réponse de Scarlett, il ne s’y attendait en rien - alors bien sur que l’expression de surprise qui le fit écarquiller quelque peu les yeux était authentique, et le fait qu’il en reste sans voix autant parlant que ce qui était possible de voir de lui en cet instant. Oh, l’information ne passait pas à la trappe pour autant.
Mais le fait qu’elle enchaina dans cette conversation sur un autre sujet qu’il tentait de remettre au centre de leur échange de paroles aspira toute son attention pour le moment. Sloane n’était peut-être pas la collègue idéale - les mots de la jeune femme, pas les siens, il ne la connaissait pas -, mais elle était en revanche de celle qui marquait les esprits et stimulait ces derniers. « J’ai pas envie de parler de mon cerveau, ni avec toi ni avec elle ni avec personne, ok ? » Elle se montrait catégorique, il se contentait de marmonner dans sa moustache inexistante de manière inaudible si bien que personne ne serait réellement capable de savoir ce qu’il avait commenté ici. « Et je n’ai aucune envie qu’elle m’analyse. Raison de plus pour me tenir loin d’elle. » Elle l’avait suivi jusque dans le salon - elle ne voulait pas en discuter mais ne savait le laisser seul lorsqu’il lançait le sujet, intéressant -, pour reprendre sa place devant son ordinateur. Ayant fait demi-tour sur lui-même pour regarder dans sa direction, Ruben resta silencieux un instant avant de reprendre la parole. « Tu peux en profiter sans qu’elle le fasse, tu sais. » Il se laissa retomber dans le canapé, passa ses jambes par dessus l’accoudoir de ce dernier, relevé sur ses coudes pour garder son regard en direction de Scarlett. « T’as l’occasion d’en profiter sans avoir tous les autres problèmes qui viennent avec, contrairement à moi. Alors mon conseil serait d’en profiter. » Il ne le disait pas avec fierté, mais son discours était juste: quand lui couchait avec ses collègues, et surtout avec l’une d’eux en particulier, cela lui apportait des complications. Ce ne serait pas le cas de Bridgers, si elle décidait que ce n’était pas le cas - qu’elle en profite. « Et après t’auras qu’à me dire que j’avais raison et que j’ai de bons conseils à donner. » Il haussa un brin l’un de ses sourcils, laissa un petit sourire en coin se glisser sur ses lèvres. « Ou sinon tu peux me raconter ta soirée avec les deux filles que t’as ramené ici, mais je crois que tu préfèrerais encore me dire douze fois que Sloane est vraiment insupportable. » Et dans un petit rire, il attrapa de nouveau sa tablette pour se laisser tomber complètement dans le canapé et reprendre la lecture de son dossier là où il l’avait laissé plus tôt, avant leur conversation.