ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : Once upon a time, the planets and the fates and all the stars aligned MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2862 POINTS : 1680
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
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Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2
a friend in need is a friend indeed feat. @Izan Da Silva
Izan Salut, je suis désolé de te prendre au dépourvu, mais j’ai besoin de parler et mon frère est occupé à enquêter sur un incendie. Ma sœur est injoignable, elle est dans un monastère au Népal. Et pour le sujet que je veux aborder, je pense que tu es le mieux placé. Apporte ton maillot si tu veux profiter de la piscine, elle est chauffée… L’océan me tente peu, l’eau est froide.
Il observa son écran, sans le voir après avoir envoyé le sms, à côté de lui sur le canapé, un pavé de feuilles blanches. Et ce pavé, c’était bien le problème. Il avait corné quelques pages, les causes de son trouble. Le nouveau film dont il devait être la vedette, il avait su les grandes lignes, mais là… Il n’était pas certain de pouvoir le faire. Pour calmer ses tremblements et les battements fous de son cœur, il se redressa pour chercher son paquet de cigarette. Vide. Il pesta entre ses dents. Il avait invité Izan et le temps d’aller acheter des cigarettes, il ne serait pas là pour accueillir son ami. Il monta à l’étage, dans sa chambre. Avant de se souvenir que ce qu’il cherchait était dans la salle de bain. Ce n’était pas la solution, mais il n’avait pas mieux. Il ouvrit sa boite à pharmacie et attrapa un petit flacon en plastique. Il avala un cachet blanc qu’il fit passer avec un peu d’eau directement au robinet. Pourquoi l’eau de la salle de bain n’avait pas le même gout que celui de la cuisine ? Il respira un peu, se redressant d’un coup quand la voix de sa femme de ménage le surprit. -”Monsieur Holmes ? Vous ne vous sentez pas bien ? J’ai terminé vos repas pour la semaine. J’ai tout étiqueté et mis dans des boites au réfrigérateur. Mangez-les s’il vous plait ! J’ai fait des lasagnes, je sais que vous aimez ça et même de la mousse au chocolat. Vous êtes sûr que tout va bien ? Vous savez, je peux rester un peu plus longtemps avec vous. Vous pourriez continuer à m’apprendre les règles du poker.”
Bran remit en place son masque et afficha un petit sourire. -”Rien de grave, une migraine. Non non, rentrez chez vous. J’attends un ami. Mais c’est gentil.” La femme de ménage l’observa encore quelques secondes, soupira et battit en retraite. Jay lui sentait que le cachet l’aidait. C’était sa psy qui lui avait prescrit. Il n’aimait pas les prendre, parce qu’il se sentait somnolant après, mais c’était une crise et il ne pouvait pas recevoir Izar dans cet état. Il revient dans la cuisine et se fit un café bien fort pour combattre le tout et il se remit à la lecture du scénario en attendant. Enfin, il prit bien soins de sauter quelques pages. Enfin, il entendit la porte sonner et il ouvrit à Izan. -”Salut. Merci de t’être déplacé si vite…”Il ne tenta même pas de cacher son état. Izan faisait partie des rares qui savaient presque tout. -”Tu veux boire un truc ? J’ai des bières, pour mon frère quand il passe. Sinon j’ai du jus d’orange avec des pailles que j’achète pour ma nièce. Moi, je suis au café.” Il le guida jusqu’à la salle à manger. -”J’ai vérifié, l’eau de la piscine est bonne si tu veux en profiter.”
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
a friend in need is a friend indeed @Jayden Holmes - ♬ - crédit/friendsgifs
Si Izan fronce les sourcils en lisant le message de Jayden, c’est uniquement parce que son ami ne l’appelle jamais à l’aide pour une raison futile et, quelque chose, dans son message, lui donne l’impression que l’artiste est présentement la proie de terribles angoisses — un monstre de cruauté qu’il ne connait que trop bien, le pianiste, surtout depuis sa rupture avec Asher. Mais c’était nécessaire - du moins, il tente de s’en convaincre, alors il considère cet appel au secours comme une façon plus ou moins intelligente de nier que, depuis son retour à Brisbane, il a l’impression d’étouffer à l’intérieur de son propre corps. Les dérives émotionnelles n’ont pas franchement quelque chose de surprenant de la part de Jayden mais, le musicien n’est pas de ceux qui se lassent d’être l’épaule rassurante sur laquelle on déverse ses plaies, et il n’hésite guère longtemps avant d’abandonner son activité pour rassembler ses affaires et prendre la route sans délai, ne prenant même pas la peine de répondre au sms reçu puisque, dans le fond, l’acteur doit savoir que son ami est déjà en chemin. Ils n’habitent guère loin l’un de l’autre alors le trajet ne dure que quelques minutes et, une fois sur place, l’australien s’extirpe de son véhicule en prenant une fine inspiration nasale, non pas pour se donner du courage mais parce qu’il ignore à quel point le stress a gangréné l’esprit de son ami, et qu’il ne sait pas s’il est suffisamment solide pour encaisser le mal-être d’autrui, en plus du sien. Glissant une main dans ses boucles brunes pour les repousser en arrière - ou du moins essayer, il remonte ensuite ses lunettes de soleil sur son nez avant de s’avancer dans la grande propriété de l’acteur, qui se dévoile dans un état que le pianiste juge préoccupant ; à peine la porte s’est-elle entrouverte que les longs cils du mexicain l’ont jaugé de la tête aux pieds, sans que cette vision déchirante ne puisse le rassurer. Qu’est-ce qui a pu se passer ? ”Salut. Merci de t’être déplacé si vite…” s’il esquisse un faible sourire complice, il tâche de ne pas communiquer l’inquiétude qui est pourtant visible sur ses traits et c’est la seule réponse qu’il lui accorde en passant le seuil de la demeure, dans laquelle il retire aussitôt ses lunettes pour les glisser dans la poche de sa veste. ”Tu veux boire un truc ? J’ai des bières, pour mon frère quand il passe. Sinon j’ai du jus d’orange avec des pailles que j’achète pour ma nièce. Moi, je suis au café.” toujours mieux que l’alcool pense-t-il en hochant brièvement son menton de haut en bas, le suivant à travers l’intérieur de la villa tout en lui répondant d’une voix calme et mesurée, qu’il tente de rendre apaisante malgré le peu d’énergie qu’il a en stock ’’Café, c’est très bien.’’ retirant sa veste pour l’abandonner au hasard sur l’une des chaises, il passe la pointe de sa langue sur le coeur de sa lèvre inférieure avant de se tourner vers son ami, qui cherche visiblement à gagner du temps ou éluder les vraies raisons de son mal-être. ”J’ai vérifié, l’eau de la piscine est bonne si tu veux en profiter.” - ’’Tu veux qu’on aille se baigner, toi ?’’ sous-entendu je suis là pour toi, on fera ce que tu veux, mais la proposition est accompagnée d’un sourire suffisamment complice pour que Jayden soit libre de refuser, pour le moment. ’’Si tu me disais plutôt ce qui te donne cette mine affreuse…’’ appuyant ses deux mains sur le dossier d’une chaise, il penche légèrement son menton sur le côté en affichant - du mieux qu’il peut, une posture d’écoute. Jayden sait qu’il peut tout lui dire et, même si Izan n’est pas la meilleure personne pour réconforter les autres, il fait toujours de son mieux, pour lui.
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : Once upon a time, the planets and the fates and all the stars aligned MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2862 POINTS : 1680
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
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Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2
a friend in need is a friend indeed feat. @Izan Da Silva
Il s’en voulait l’acteur. Debout, dans la cuisine, il s’en voulait d’avoir demandé à Izan de venir, alors que le pianiste, lui aussi, était triste et allait mal. Jay se trouvait cruellement égoïste en ce moment même. Il regarda le café couler paresseusement dans sa tasse, l’odeur venant s’engouffrer dans ses narines. Mais heureusement, il n’eut pas le temps de trop réfléchir, parce que son ami arriva rapidement à la porte. Il l’aurait bien réclamé une embrassade, mais il ne voulait pas non plus avoir l’air trop mal. Son regard bleu scanna le visage de son ami, son meilleur ami, et il le trouva triste, normal. Il venait de quitter l’homme qu’il aimait. Jay ne pouvait qu’imaginer et en tant qu’acteur, il y arrivait vraiment et son cœur saignait pour celui d’Izan. Il lui fit couler un autre café, avec des grains importé de Bolivie, un café noir, avec une mousse fine… Il lui tendit sa tasse et prit la sienne avant de sauter pour grimper sur son plan de travail. Les pieds ballant dans le vide, sa tasse entre ses mains et les feux fixant le carrelage du sol, il ne dit rien pendant un petit moment, malgré le fait qu’il avait entendu la question de son ami. Mais en réalité, il ne savait pas quoi répondre. Il haussa les épaules. Est-ce qu’il avait envie ? De monter à l’étage ? De se changer, de revenir, d’aller jusqu’à l’eau ? Il était épuisé, mais ce n’était pas qu’une fatigue physique, non il se sentait vide, intérieurement. Un vide que même le cacher ne pouvait pas combler. Il sentait la boule d’angoisse lui monter dans la gorge, lui bloquer la respiration. Il ferma à demi les yeux avant d’enfin réussir à parler sans vomir. -”On peut aller au bord de l’océan… Si tu veux.” L’air marin lui ferait peut-être du bien. Mais il voulait terminer son café avant. Il releva son regard bleu saphir vers son ami. -”J’ai de la mousse au chocolat si tu veux… C’est ma femme de ménage qui l’a faite… Elle est au frais.” Lui n’avait pas faim. Il bâilla et termina son café d’une traite avant de sauter du plan de travail et de faire rouler les muscles de sa nuque et de ses épaules. Il était épuisé, il était vide, il voulait… Non, il valait mieux ne pas mettre de mots sur ce qu’il voulait.
Il sourit un peu et lava sa tasse de café avant de la poser à l’envers sur la droite de l’évier pour le laissé égoutter avant de soupirer et de passer une main lasse sur son visage fatigué. Il lui fit un petit signe de la tête, pour qu’il regarde sur le canapé. Un tas de feuille blanche, avec des annotations et des post-it. -”Jette un coup d’œil sur les pages marqué de post-it rouge… Tu comprendras..” Il lui tourna le dos et se mordit la lèvre inférieure. -”Je vais aller mettre un maillot, au cas où…” Il soupira et partit vers l’étage, il ne voulait pas être quand Izan lirait ce… Qu'il avait à lire. Il revient sur ses pas cependant et enlaça son ami par-derrière, son front contre son épaule. -”Je suis désolé… Pour… Enfin, tu sais… Asher et toi…” Oui, il était nul pour ça. Mais il essayait très fort. Il resta accroché à lui un moment, comme un koala à son pied d’eucalyptus avant de finir par se détacher et de finir par grimper les marches deux à deux, laissant Izan à sa lecture.
Il prit son temps, il resta même un moment à fumer sur le balcon de sa chambre. Il ne savait pas s’il voulait faire face à Izan maintenant qu’il savait pour le film. Enfin, il n’allait pas rester là alors qu’il lui avait demandé de venir. Il revient lentement à l’étage inférieur. Et il s’alluma une autre cigarette avant de faire signe à son ami de le suivre sans un mot. Il ouvrit la grande baie vitrée du salon et sortie sur la plage avant de se diriger vers les vagues de l’océan.
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
a friend in need is a friend indeed @Jayden Holmes - ♬ - crédit/friendsgifs
Être lui-même dans un état émotionnel particulièrement précaire ne l’empêche pas de constater la détresse sur le visage de son meilleur ami, et encore moins d’en éprouver une peine vivace qui vient creuser quelque chose de particulièrement douloureux dans sa gorge. Jayden n’est que l’ombre de lui-même aujourd’hui, et ce n’est pas faute de s’y être préparé durant le trajet en voiture mais, l’observer se mouvoir, parler et lutter pour respirer correctement est une vision tragique, qui heurte profondément celui qui se sent impuissant face au mal-être d’une personne qu’il aime infiniment. Que peut-il faire pour l’aider ? S’il le savait, Izan, il le ferait sans hésiter mais, puisqu’il n’est pas franchement doué dans le rôle de celui qui console, il se contente de graviter dans son environnement en espérant que sa présence soit suffisamment rassurante pour l’apaiser ne serait-ce qu’un peu. ”On peut aller au bord de l’océan… Si tu veux.” les trois derniers mots signent que ce n’est pas tellement la volonté de l’acteur, mais qu’il n’a pas l’énergie nécessaire pour lutter et imposer la sienne, mais le pianiste ne sait pas s’il doit le traîner dehors pour prendre l’air ou s’il doit le ménager en le gardant à l’intérieur pour lui épargner une sortie qui achèverait de le dépouiller de ses dernières forces ’’Qu’est-ce que tu as envie de faire, toi ? C’est ça qui m’intéresse.’’ parce que c’est bien la raison de sa venue, soulager son ami et tenter de l’apaiser autant qu’il le peut, et que même s’il n’a pas le luxe de pouvoir laisser ses propres peines de coeur à l’entrée de la villa, il n’est pas égoïste au point de se focaliser sur ses propres démons, trouvant même un échappatoire plutôt salutaire dans le combat à mener contre ceux de Jayden, puisque cela le détourne des siens ”J’ai de la mousse au chocolat si tu veux… C’est ma femme de ménage qui l’a faite… Elle est au frais.” il sent bien, Izan, que son meilleur ami joue le rôle de la normalité pour se raccrocher à quelque chose de tangible, jouant même l’hôte parfait en se pourvoyant aux possibles besoins de son invité mais, celui-ci n’étant pas dupe, il fait rouler ses lèvres l’une contre l’autre en soupirant discrètement, passant la pulpe de ses doigts sur son front plissé par la contrariété, avant qu’il ne réponde, simplement ’’Je n’ai pas faim, ça va.’’ qui est un état constant depuis quelques semaines et, sur papiers, l’on dira que c’est le stress lié à la sortie de son album ; sauf que deux mois après et un succès presque unanime, il commence à ne plus pouvoir se cacher derrière cette excuse qui l’arrangeait bien. La vraie raison est bien moins avouable selon lui, et nul doute qu’il se foutrait des claques s’il se voyait : la preuve qu’il est moins bien tolérant et compatissant avec lui-même qu’avec les autres, parce que ce n’est pas le traitement qu’il appliquerait à son meilleur ami.
L’ayant suivi du regard, Izan enlace ses propres bras en ravalant difficilement sa salive, se sentant totalement démuni et inutile qu’il est possible de l’être dans pareille situation ; assurément, Jayden aurait mieux fait d’appeler quelqu’un d’autre. ’’Tu vas me dire ce qu’il se passe ?’’ comme entrée en matière, il y a mieux, certes, mais il ne brille pas par sa grande délicatesse, le pianiste, et c’est peut-être ce qu’il fallait pour que l’acteur daigne enfin lui donner un début d’explication, même si c’est en froissant son visage fatigué de sa main ”Jette un coup d’œil sur les pages marqué de post-it rouge… Tu comprendras..” les sourcils froncés, il tourne son menton vers le canapé désigné par Jayden, hochant simplement son menton avant de s’y diriger en maintenant cette posture de méfiance et de curiosité mêlées, la gardant imprimée sur ses traits jusqu’à ce qu’il sente le corps de son meilleur ami l’enlacer, en lui donnant l’impression d’alléger le fardeau invisible qu’il porte sur son coeur meurtri car, peut-être, Jayden accepte de le partager avec lui pendant quelques secondes ”Je suis désolé… Pour… Enfin, tu sais… Asher et toi…” il presse ses lèvres l’une contre l’autre d’un air attristé en guidant l’une de ses mains sur le bras qui traverse son torse, caressant distraitement sa peau pour le remercier silencieusement de cette étreinte qui le soulage, l’apaise et le cajole ’’Ça va aller, ne t’inquiète pas.’’ il n’en pense pas un mot, Izan, mais hors de question d’inquiéter et d’accabler davantage celui qui est déjà désarmé par les angoisses. ’’Allez, va mettre ton maillot, on va aller se baigner.’’ dit-il d’un ton presque jovial en pivotant sur son buste pour enlacer la nuque de son meilleur ami, dont il embrasse le front avant de l’expédier se changer pendant qu’il s’adonne à la lecture des fameux post-it, qui lui font rapidement comprendre pourquoi son complice est tant tiraillé. Sauf que s’il comprend pourquoi, cela ne l’aide pas forcément à mettre mentalement en place une stratégie pour le détourner de ses afflictions ; heureusement, le principal concerné passe suffisamment de temps à l’étage pour lui permettre de réfléchir. Empilant correctement les feuilles blanches en un tas uniforme, il darde la pointe de sa langue derrière ses dents du haut avant de racler sa gorge, faisant les cent pas dans la salle-à-manger en attendant que son meilleur ami daigne redescendre. Son idée, qui est peut-être mauvaise à souhait, est d’essayer de lui changer les idées avant d’aborder le sujet qui fâche ; peut-être que Jayden sera plus enclin à se laisser guider vers l’optimisme s’il réussit l’exploit de l’extirper de l’obscurité de ses propres pensées ? ’’Tu sais que tu vas finir par choper une merde, avec ces conneries ?’’ la connerie en question, personnifiée par la clope qui brille entre ses doigts, est considéré d’un oeil mauvais par celui qui juge l’odeur comme étant infecte, mais qui suit quand même la silhouette du fumeur en tâchant d’adoucir ses traits, puisque lui-même n’est pas franchement détendu dans cette histoire ; entre sa rupture et son incapacité à être un ami digne de ce nom, il a vraiment l’impression de tout foirer. ’’On s’installe ou tu veux un deuxième cours de surf ?’’ qu’il prononce avec malice en essayant de détendre l’atmosphère même si, vu les frasques de la première session, il ne sait pas si c’est judicieux d’aborder ce sujet ’’Ou on peut simplement marcher au bord de l’eau.’’ crochetant son bras au sien, il use de sa main libre pour repositionner ses lunettes de soleil sur son nez, sans se préoccuper de l’astre brûlant qui caresse sa peau naturellement hâlée, ce qui est loin d’être le cas du cachet d’aspirine qui marche à côté de lui ’’Tu devrais mettre de la crème solaire, non ?’’ essayer de le faire parler de tout et n’importe quoi, c’est la première étape d’un plan qui est sans doute peu efficace, mais c’est tout ce qu’il a en stock pour l’instant.
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : Once upon a time, the planets and the fates and all the stars aligned MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2862 POINTS : 1680
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
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Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2
a friend in need is a friend indeed feat. @Izan Da Silva
Qu'avait-il envie de faire ? Non, ce n'était pas une question à lui poser. Il voulait se perdre, s'oublier dans l'abîme qui l'appelait, répondre aux sirènes morbides qui lui chantaient dans la tête à longueur de temps. Jour et nuit, elles lui susurraient des mots doux à l'oreille, d'une douceur aussi sucrée qu'assassine. Il luttait si fort contre ses envies, ces idées sombres qui ne cherchaient qu'à l'engloutir. Mais cela, il ne pouvait pas le dire à Izan. Rien ne se passait dans sa vie sans que le pianiste ne soit au courant, mais pas ça. Cette partie-là de lui, seuls son frère et sa sœur la connaissaient. Comme pour sa sexualité et sa peur de la révéler au monde, Jay redoutait la réaction de ses amis... ou plutôt de son ami, s'il se dévoilait. Que dirait Izan ? Que penserait-il ? De sa faiblesse ? De son manque de combativité ? Il savait le mal qu'il faisait à ses adelphes, et il ne voulait pas infliger la même chose à son meilleur ami. Jayden en avait assez de faire souffrir les autres et de souffrir lui aussi. À croire que même la douce délivrance d'un sommeil éternel lui était interdite. Heureusement, grâce au cachet qu'il avait avalé avant la venue de son ami, les sirènes avaient moins de voix, et il put presque reconstituer son sourire devant Izan. "Peu importe ce qu'on fait. J'ai juste besoin… de me changer les idées. J'ai besoin… d'oublier ce rôle et ce mauvais tour que m'a joué mon agent." Car oui, elle lui avait joué un sacré mauvais tour. Elle ne lui avait pas parlé de la relation homosexuelle qu'il devrait jouer. Il lui aurait bien fait un scandale, mais il en avait assez de se battre contre elle. De toute façon, il était piégé. Il avait apposé sa signature en bas du contrat, et le rompre, même pour lui avec sa notoriété, ça lui coûterait bien trop cher. Surtout qu'il faudrait qu'il se justifie, et qu'il n'était pas certain de trouver des arguments valables pour son désistement. Alors, il ne dirait rien et jouerait le rôle pour lequel on allait le payer, même s'il n'était pas certain d'en être capable. Il reprit donc la parole pour ne pas trop inquiéter Izan par son mutisme. "Et puis… Tu sais bien que même quand on prévoit quelque chose… On finit toujours dans des situations pas possibles ?" Il passa une main dans ses boucles, ses doigts s'emmêlant dans sa coiffure qui ne ressemblait à rien. Il était peut-être malheureux, au fond du gouffre, mais il n'était pas aveugle, et le voile de dépression qui lui brouillait l'esprit n'était pas encore assez épais pour qu'il ne se rende pas compte qu'Izan n'allait pas bien non plus. Cependant, il n'était pas toujours très doué pour consoler. Il n'insista donc pas. Il aurait horreur qu'on insiste s'il était à la place de son ami. Il finit par lui montrer le script et lui dit de lire les pages marquées d'un post-it rouge. Il soupira et, alors qu'il avait amorcé le mouvement pour aller se changer, il revint pour enlacer son meilleur ami par-derrière. Il se disait qu'un geste valait mille mots et qu'une accolade leur ferait du bien à tous les deux. Et c'était le cas. Déjà, Jay adorait l'odeur d'Izan, elle le rassurait. Ensuite, il avait rarement d'autres êtres humains contre lui. La chaleur humaine, il n'y avait que ça de vrai finalement. "Non, ça ne va pas aller… Pas tout de suite du moins et j'aimerais être un bon ami. Faire plus pour toi… Si tu veux me parler de lui ou de… Enfin de la séparation… Tu sais que je suis là, hein ? Certes, j'ai une tête qui fait peur à voir, mais mes oreilles fonctionnent encore très bien." Il le serra un peu plus fort contre lui. "Tu veux qu’on le déteste ensemble ? Ou qu’on fabrique une poupée vaudou ?" Il défait un peu son étreinte quand il sent l’autre homme bouger et le laisse lui embrasser le front avant de sourire un peu. "Oui… J’y vais." Puis il fila sans attendre pour se changer. Alors qu’il revenait au rez-de-chaussée avec une cigarette entre les doigts, il lança un regard en biais à son ami. "Je sais… Et j’espère bien que ça va me tuer… Pourquoi je fume autant à ton avis…" Dit-il entre sincérité et blague. À Izan de savoir comment il devait le prendre. Il tira sur son tube de tabac alors qu’ils avançaient sur le sable, plutôt chaud pour la période de l’année. Enfin, c'était l’Australie, il faisait toujours plus ou moins bon. Il laissa ses orteils s’enfoncer entre les grains de sable et il s’étira, laissant l’air marin venir le percuter de plein fouet. "Pas de surf non… Enfin pas tout de suite du moins. Je n'ai pas envie de m’humilier davantage devant toi… Comment tu peux réussir à me faire oublier mes bases de surf ? Ne donne jamais de cours de musique." Il grimaça un peu à la suite des mots de son ami. "Oui maman… Je vais en chercher… Tu fais chier…" En vrai, ça l'arrangeait, ça lui permettrait de jeter sa cigarette dans un cendrier plutôt que dans le sable. Il partit aussi vite que le lui permettait le cachet qu’il avait avalé plus tôt. À son retour, il avait de la crème dans les mains. "Je hais cette peau blanche…. J’ai l’air d’un mort-vivant… Enfin plus que d’habitude quoi…" Il grimaça. C’était assez étrange, parce que Jay n’avait aucune confiance en lui ou en son physique. Ce qui pouvait prêter à rire quand on savait qu’il vivait de son apparence. Parfois, il se demandait vraiment ce que les fans lui trouvaient. Il commença dont à se mettre un peu de crème avant de tendre le tube à son ami. -”Tu m’aides ? Pour le dos… Tu en veux toi ?” Il reprit le tube avant qu’Izan ne puisse l’attraper. -”Tu ne fais pas n’importe quoi hein ? Je vais avoir un photo shoot à faire… Alors, j'aimerais éviter d’avoir des formes idiotes dans le dos.” Oui, il préférait mettre les choses au clair, il connaissait trop bien Izan.
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
a friend in need is a friend indeed @Jayden Holmes - ♬ - crédit/friendsgifs
”Peu importe ce qu'on fait. J'ai juste besoin… de me changer les idées. J'ai besoin… d'oublier ce rôle et ce mauvais tour que m'a joué mon agent.” Izan l’aurait qualifiée en des termes moins respectueux, l’agent, mais comme il a la présence d’esprit de réaliser que ce serait jeter de l’huile sur le feu sans aucun réconfort appliqué aux tourments de son meilleur ami, il s’abstient. Il a, en revanche, envie de lui demander s’il ne peut pas échapper à ce tournage même en inventant une excuse de toutes pièces mais, gardant l’idée à la faveur d’un moment plus apaisé, il se contente d’observer le sourire plus ou moins factice qu’il lui livre, dans une performance visant à le rassurer. S’il ne connaissait pas aussi bien, peut-être se laisserait-il berner par ce rictus forcé dont il ne relève pas la nature trompeuse, ayant bien conscience que son meilleur ami tente courageusement de se maintenir en équilibre au bord de la falaise ”Et puis… Tu sais bien que même quand on prévoit quelque chose… On finit toujours dans des situations pas possibles ?” c’est suffisamment vrai pour tromper son inquiétude l’espace de quelques secondes, durant lesquelles il partage son sourire, avec un peu plus de sincérité ’’C’est vrai que tu as un don pour t’attirer des problèmes.’’ qu’il prononce d’un ton espiègle qui se veut sérieux, lui remettant sciemment la faute dessus pour deux raisons : la première est la tentative de lui arracher un élan de rébellion suffisamment enfantin pour le faire sourire réellement, et la deuxième est qu’il ne lui fera pas l’affront de se comporter autrement que d’ordinaire, ne voulant pas lui donner l’impression qu’il est une petite chose fragile dont il faut ménager la sensibilité à tout prix. Être l’ami qu’il connait et qu’il aime, n’est-ce pas la meilleure façon de l’aider, de lui prouver qu’il l’aime en retour et qu’il sera là, toujours, avec lui ? ’’Heureusement que je suis là pour te sauver la mise à chaque fois.’’ qu’il accompagne d’un haussement de sourcils taquin, avant qu’il ne s’éloigne sur ces (non) sages paroles, découvrant ainsi les raisons du bouleversement émotionnel de son meilleur ami. Évidemment. C’est un peu le sujet récurent chez Jay, et même si Izan tend à croire que tout serait plus simple s’il se permettait simplement d’être lui-même, il n’en est pas à amenuiser ce que son âme-jumelle ressent, et il ne le fera jamais.
Mais s’il comprend mieux la détresse dans laquelle son ami est plongé, il n’est pas franchement avancé dans la façon dont il doit et peut l’aider, mais ses réflexions sont interrompues quand le contact de Jayden effiloche considérablement le fil de ses pensées. Se pencher sur les déboires de son meilleur ami l’empêche de trop songer aux siens mais, Jayden n’est pas aveugle, lui, et l’accolade qu’il lui offre est plus que la bienvenue, même s’il fait une invulnérabilité qu’il n’est pas sûr de pouvoir maintenir sur le long terme ”Non, ça ne va pas aller… Pas tout de suite du moins et j'aimerais être un bon ami. Faire plus pour toi… Si tu veux me parler de lui ou de… Enfin de la séparation… Tu sais que je suis là, hein ? Certes, j'ai une tête qui fait peur à voir, mais mes oreilles fonctionnent encore très bien.” la formulation employée prête à sourire, et il resserre ses doigts autour du poignet de Jayden, comme pour le retenir contre lui pendant quelques secondes supplémentaires, ayant désespérément besoin de sentir que lui, la personne qui ne l’a jamais trahie, ne le laissera pas tomber ”Tu veux qu’on le déteste ensemble ? Ou qu’on fabrique une poupée vaudou ?” l’idée est franchement tentante, si bien qu’elle lui permet de laisser échapper un petit rire qui cristallise l’émotion contenue au fond de sa gorge, avant qu’il ne pivote sur ses pieds pour lui faire face, et l’enlacer à son tour de ses bras qui s’enroulent autour de sa taille. ’’Ça,’’ énonce-t-il en parlant de l’étreinte qu’ils partagent ’’C’est tout ce dont j’ai besoin.’’ il maintient sa posture durant quelques secondes, Izan, profitant simplement de la présence de son meilleur ami contre lui, en ayant l’impression que Jayden parvient à réparer, un peu, ce qui a été brisé par autrui. Puis il le laisse s’échapper, non sans avoir déposé un baiser sur son front comme pour le remercier de ce moment hautement paisible, presque comme une bulle salvatrice au milieu du chaos, en se replongeant dans la suite de la journée : est-ce qu’il est capable de l’aider ? Izan n’a jamais été franchement doué dans ce rôle, même s’il essaye de toutes ses forces d’être l’ami dont les autres ont besoin. Il n’a jamais été versé dans la délicatesse, et ce n’est pas franchement un pan de sa personnalité qu’il tente de corriger même si, en de rares instants comme celui-ci, il aimerait être moins médiocre quand il s’agit des sentiments. La preuve en est : quand son ami revient, la première chose qu’il trouve à formuler est une remarque concernant la cigarette, alors qu’il aurait pu trouver autre chose de moins accablant, c’est clair ”Je sais… Et j’espère bien que ça va me tuer… Pourquoi je fume autant à ton avis…” bien que le ton soit celui de la plaisanterie, Izan ne trouve pas de quoi en rire ; entendre son meilleur ami admettre qu’il attend que la mort vienne le quérir n’a rien d’agréable, et il est obligé de détourner le regard en plissant légèrement ses paupières, puisque lui n’imagine pas un monde où il n’existe pas. C’est ça, qu’il devrait lui dire, mais les mots s’éparpillent sur sa langue et il se retrouve tout bonnement incapable de le dire en ces termes, comme si le fil était rompu entre son coeur et sa langue ’’Moi, j’aimerais mieux que tu arrêtes, dans ce cas.’’ qu’il répond enfin pendant que Jayden s’étire, faisant ainsi entendre - il l’espère, que la perspective d’assister à ses funérailles ne lui plaît guère. ’’Crois pas que tu vas me laisser dans ce monde de merde solo.’’ monde de merde où le plus blanc des deux fait machine arrière pour aller chercher la crème solaire, pendant que le pianiste s’installe dans le sable en se contentant simplement de remonter ses lunettes de soleil sur son nez. ”Je hais cette peau blanche…. J’ai l’air d’un mort-vivant… Enfin plus que d’habitude quoi…” - ’’Ben tu ne veux pas tous les privilèges, non plus ? Laisse en aux autres.’’ qu’il rétorque avec amusement en roulant son menton sur le côté pour pouvoir le regarder s’appliquer de la crème solaire, ses coudes enfoncés dans le sable et l’un de ses genoux plié. ”Tu m’aides ? Pour le dos… Tu en veux toi ?” tandis qu’il commence à se redresser en frottant ses mains l’une contre l’autre pour se débarrasser des grains de sable, prêt à attraper le tube de crème solaire mais… ”Tu ne fais pas n’importe quoi hein ? Je vais avoir un photo shoot à faire… Alors, j'aimerais éviter d’avoir des formes idiotes dans le dos.” l’interdit rend l’idée encore plus attrayante et, comprimant ses lèvres dans un sourire amusé, il hausse simplement ses épaules avant de tendre sa main, affichant un air parfaitement innocent ’’Je ne vois pas de quoi tu veux parler.’’ sans souffrir du soleil sur sa peau, il attrape le bras de son meilleur ami afin de l’attirer près de lui, l’obligeant à s’asseoir dans le sable juste à ses côtés tout en se saisissant, de force, du tube. ’’Tu me fais pas confiance, c’est dingue ça !’’ alors qu’il n’a aucune raison de se méfier, Jayden, puisque les mains du pianiste passent dans son dos en répartissant simplement la crème solaire, en déposant également sur ses épaules sa nuque, à la manière d’un père envers son enfant ’’Bon, avant qu’on décide d’aller se noyer en duo…’’ essuyant machinalement les restes de crème solaire sur son torse musclé, il lance un regard en direction des vagues qui viennent s’échouer à leurs pieds, se risquant à demander, vraiment pas sûr de lui mais emplit de bonne volonté quelque peu maladroite ’’T’as aucun moyen de refuser ce rôle ?’’
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : Once upon a time, the planets and the fates and all the stars aligned MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2862 POINTS : 1680
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
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Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2
a friend in need is a friend indeed feat. @Izan Da Silva
Jayden eut la force de soulever un sourcil tout en penchant légèrement la tête sur le côté. C'était un geste qu'il faisait très souvent, que ce soit par gêne, inquiétude ou surprise... En fait, il le faisait tout le temps. Ce mouvement était devenu une sorte de tic, que ses fans adoraient, même si lui-même n'en était pas toujours conscient. C'était devenu un trait distinctif, une de ses marques de fabrique. « Pardon ? Tu peux me répéter ça sans trembler des genoux ? » lança-t-il, un sourire en coin. Lui ? Il avait le don de se mettre dans les ennuis ? Il ne voyait absolument pas de quoi parlait son ami hispanique. Certes, il avait tendance à se retrouver dans des situations délicates, mais les véritables problèmes survenaient souvent en compagnie de son meilleur ami. Ensemble, ils avaient un talent particulier pour se lancer dans des aventures improbables qui tournaient rapidement au désastre. Cependant, cette conversation avait au moins le mérite de distraire Jayden de ses pensées sombres qui menaçaient de l'engloutir. Izan, par sa présence et ses remarques, parvenait à lui offrir une échappatoire, ne serait-ce que pour quelques secondes. Izan avait ce talent rare de ramener Jayden à la réalité, de l'ancrer dans le moment présent quand ses pensées devenaient trop lourdes à porter. Après un soupir à fendre l’âme, Jayden, à contrecœur, ajouta quelques mots : « Bon, peut-être que tu as raison, je suis un peu une machine à problèmes », admit-il avec un sourire, acceptant enfin ce trait de sa personnalité. « Mais si je ne le faisais pas… tu ne pourrais plus prendre soin de moi, et tu me manquerais cruellement. » Il savait que c’était faux et que leur amitié avait dépassé ce stade. Le lien entre eux, le fil rouge, était trop puissant pour se briser si facilement. Jayden et Izan étaient des âmes sœurs. Des âmes sœurs amicales, et il faudrait bien plus que ça pour qu’ils s’éloignent.
Jayden se mit à réfléchir à des idées pour remonter le moral d'Izan, qui semblait avoir besoin d'une distraction autant que lui. La proposition de faire une poupée vaudou n'était pas une promesse en l'air. Il était tout à fait capable d'aller chercher tout ce qu'il fallait pour le faire durant la soirée. « Et puis on mangera de la glace en même temps et on écoutera la BO de Barbie... » Il savait que cette idée était un moyen d'alléger l'atmosphère et de faire sourire Izan, même si ce dernier avait le cœur lourd à cause de sa récente rupture avec Asher. Jayden se souvenait de son propre serment de ne jamais rejeter un ami simplement parce qu'il avait brisé le cœur d'un autre. Cependant, il ne pouvait s'empêcher de ressentir une pointe de colère envers Asher pour avoir blessé Izan. Pas seulement pour l’avoir blessé, mais pour avoir brisé son cœur. Jayden aurait tellement aimé que sa présence puisse recoller les morceaux. Il avait vu la façon dont les deux s’aimaient et il avait toujours pensé que s’aimer autant était forcément une preuve que c’était pour toujours. Jayden se pencha et posa un baiser amical sur l'épaule d'Izan à travers son tee-shirt, un geste réconfortant et plein d'affection. C'était sa manière de montrer son soutien inconditionnel. Au moins, cela avait eu le don de changer les pensées de Jayden pendant quelques minutes. Il voulait seulement être là pour Izan.
En revenant, il fit une remarque sur la cigarette. Il observa le tube blanc encore fumant entre ses doigts, puis son meilleur ami avant de répondre. Il pinça les lèvres après ses mots et détourna le regard. Ses pensées avaient été trop visibles. « Moi, j’aimerais mieux que tu arrêtes, dans ce cas. Crois pas que tu vas me laisser dans ce monde de merde tout seul. » L’acteur ne répondit rien. Il n’avait jamais parlé de ses tentatives de s’ôter la vie à Izan. Peut-être que le musicien l’avait su par le biais de Troy. Mais en tout cas, ils n’en avaient jamais discuté ensemble. Et c’était pour le mieux. Izan souffrait assez. Pas la peine d’en ajouter plus. Quand il sentit le musicien lui mettre de la crème solaire, Jay ferma légèrement les yeux, profitant du contact humain qui lui manquait tant. Il avait horreur de mettre de la crème, mais sa peau d’anglais ne bronzait pas… elle devenait rouge. Ce qui était pire que d’être blanc comme une cuvette de toilette. Il observa son bras en soupirant un peu. « Et quels privilèges j’ai ? Je veux dire physiquement. Tu es bien plus beau que moi. Regarde-moi cette peau… » Il colla son bras contre celui doré comme un petit pain de son ami. La question de son ami lui tira un soupir, et il posa son menton sur ses genoux. Il observa l’horizon et l’océan qui, par son chaos, semblait calmer celui qui faisait rage en Jayden. Il resta un moment silencieux, s’amusant à enfouir ses orteils sous le sable doux de la plage, le vent lui fouettant le visage et emmêlant ses boucles brunes. « Non, j’ai déjà signé le contrat. Et rompre un contrat de cette ampleur… Ce serait non seulement un gouffre financier, mais aussi me tirer une balle dans le pied. » Il finit par se laisser tomber dans le sable, allongeant les bras en étoile de mer. « Et puis, il faudrait que j’explique et je ne peux pas dire que c’est à cause de la relation avec un homme. On m’accuserait d’homophobie, ce qui est faux et tu le sais. Mais les journalistes et les fans, eux, ne le savent pas. Et ce serait la fin. La fin de ma carrière… Plus personne ne m’appellerait pour des projets... » Jayden aimait être acteur malgré toutes les difficultés. Malgré tous les soucis que cela engendrait pour lui. C'était une passion qui faisait partie intégrante de son identité. Et même si parfois il se sentait submergé, il savait qu'il ne pourrait jamais renoncer à ce qu'il aimait vraiment.
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
a friend in need is a friend indeed @Jayden Holmes - ♬ - crédit/friendsgifs
« Pardon ? Tu peux me répéter ça sans trembler des genoux ? » voir une expression aussi familière sur le visage de Jayden rassure son meilleur ami : de toute évidence, il y a encore une lueur qui brille dans la pénombre de son esprit, et il n’a pas totalement déserté son enveloppe charnelle malgré le poids de la douleur qui pèse sur ses épaules ; si seulement le pianiste pouvait partager son fardeau, ou l’en délester totalement… ’’Les miens ne tremblent pas. Ils ont quoi, tes genoux ?’’ il le demande en buvant une petite gorgée de son café, ne quittant pas des yeux son interlocuteur par-dessus sa tasse, et sans perdre le petit sourire réjoui qui orne ses lèvres, un sourire qui camoufle toute la peine et l’inquiétude à voir Jayden aussi accablé. ’’T’es déjà vieux au point d’avoir des problèmes d’articulations ?’’ haussant ses sourcils avec un air taquin, il traverse la pièce pour abandonner sa tasse vide dans la cuisine, non sans se féliciter de la victoire offerte par l’acteur qui recouvre peut-être un peu de son air jovial, celui que Izan aime tant voir sur son beau visage. « Mais si je ne le faisais pas… tu ne pourrais plus prendre soin de moi, et tu me manquerais cruellement. » il n’y a nulle vérité en ces mots, puisque certaines de ses anciennes conquêtes trouvaient même qu’il passait trop de temps aux côtés de son meilleur ami et que celui-ci passait toujours en priorité ; un crime dont il reconnaissait sans mal être coupable, répondant toujours aux appels de Jayden lorsque celui-ci présente le besoin de sa présence. ’’J’vais finir par déménager dans ton quartier tellement j’passe du temps avec toi.’’ ce qui est présenté comme une plaisanterie est en réalité une idée qu’il nourrit depuis quelques semaines - en réalité, depuis sa rupture avec Asher, puisqu’il ressent le besoin, viscéral, instinctif et furieux, de se rapprocher de la personne qui ne l’a jamais laissé tomber, qui ne s’est jamais éloigné de lui, qui ne lui a jamais menti. Si Izan devait mettre un visage sur le mot « famille », en cet instant, ce serait celui de son meilleur ami.
Assis dans le sable en attendant le retour de Jayden, Izan contemple l’horizon derrière ses lunettes de soleil, tâchant de s’apaiser lui-même maintenant qu’il est seul, même si le chagrin muet lui tient toujours compagnie. Il tente de se convaincre que la tristesse et la colère ne sont que passagères, et que toutes deux finiront par se lasser de l’importuner : elles ne peuvent pas rester indéfiniment avec lui, n’est-ce pas ? Retrouvant la présence de son meilleur ami avec bonheur, c’est également de bonnes grâces qu’il lui applique la crème solaire, soucieux de ne pas voir sa peau rougir sous les assauts brûlants du soleil. « Et quels privilèges j’ai ? Je veux dire physiquement. Tu es bien plus beau que moi. Regarde-moi cette peau… » tout en massant très brièvement les épaules de l’acteur, Izan prend une fine inspiration en mordillant le coeur de sa lèvre, ne sachant pas très bien s’il veut mettre un pied sur ce terrain ’’J’compte plus les fois où on m’a dit qu’on voyait à ma gueule d’où je venais, où on s’est moqué de l’accent mexicain, avec le nombre de clichés que ça implique.’’ il survole le propos parce qu’il sait que Jayden n’est pas concerné par tous les éléments racistes qu’il a pu entendre au cours de sa vie, tout comme il sait que l’anglais n’est pas vraiment conscient des privilèges qui sont les siens. ’’Oui, t’es plus pâle que moi’’ il n’a pas besoin de baisser les yeux sur leurs bras accolés pour le savoir, mais il l’admet avec un soupir ’’Dans quel monde ce serait un désavantage, dis-moi ? Quand on me voit, on s’attend à ce que je joue des maracas, pas du piano.’’ et s’il le sait, c’est parce qu’on lui a dit plusieurs fois lorsqu’il était au conservatoire, même s’il se doute que cette attaque acerbe était portée par la jalousie de sa réputation déjà glorieuse pour son jeune âge. Mais décidant peut-être que le racisme rencontré n’est pas le meilleur moyen de changer les idées de son meilleur ami, il décide finalement de crever l’abcès en posant une question plus frontale concernant les problèmes rencontrés par Jayden et, loin de le presser pour une réponse, il lui accorde volontiers ce moment de calme et de silence, durant lequel il partage le paysage de l’horizon, derrière lequel le soleil dégringole paisiblement, envahissant le ciel d’une infinité de nuances colorées. Le silence, avec Jayden, n’est jamais gênant pour Izan ; il est au contraire doux, paisible et réconfortant, et le musicien dont le coeur est froissé se rassure de cette constance : au moins, il n’a pas perdu son amitié avec lui. « Non, j’ai déjà signé le contrat. Et rompre un contrat de cette ampleur… Ce serait non seulement un gouffre financier, mais aussi me tirer une balle dans le pied. » il s’y attendait, Izan, mais entendre le couperet l’oblige à soupirer longuement en s’allongeant dans le sable, un bras croisé sous sa nuque. « Et puis, il faudrait que j’explique et je ne peux pas dire que c’est à cause de la relation avec un homme. On m’accuserait d’homophobie, ce qui est faux et tu le sais. Mais les journalistes et les fans, eux, ne le savent pas. Et ce serait la fin. La fin de ma carrière… Plus personne ne m’appellerait pour des projets... » en somme, Jayden est piégé ’’Je comprends.’’ qu’il dit après quelques secondes de pause, en enfonçant la pulpe de ses doigts dans le sable tiède, s’amusant à l’égrener lentement en mordillant l’intérieur de sa joue. ’’Il va durer combien de temps, ton tournage ?’’ avec l’espoir que celui-ci ne s’éternise pas, peut-être que le calvaire de son meilleur ami ne va pas durer trop longtemps. ’’On partira en weekend après, tous les deux. On ira flamber à Las Vegas, tu veux ?’’ ce n’est pas vraiment son genre mais, si cela peut aider Jayden à décharger tout son stress, il le fera. De toute façon, il n’y a pas grand-chose qu’il lui refuserait. Sauf peut-être le concert d’un certain chanteur.
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : Once upon a time, the planets and the fates and all the stars aligned MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2862 POINTS : 1680
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
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Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2
a friend in need is a friend indeed feat. @Izan Da Silva
L’Anglais leva les yeux au ciel, une habitude qu’il avait souvent lorsqu’il était en compagnie de son ami. Pourquoi l’aimait-il tant ? Cette question lui était continuellement posée par son frère. Il est vrai que le musicien passait son temps à manier le cynisme, l’ironie et la moquerie avec l’acteur. Mais c'était précisément ce que Jayden appréciait. Il savait qu'Izan l’aimait, et malgré son franc-parler, il n’hésitait jamais à lui dire les choses telles qu'elles étaient. Parfois, le bouclé ne comprenait pas les sous-entendus sexuels de son ami. Peut-être faisait-il exprès de ne pas les comprendre, choisissant d’ignorer ce qu’il ne voulait pas entendre. Pourtant, il aimait la manière dont l’Hispanique s’adressait à lui, même dans les moments les plus sombres. Le musicien avait une façon bien à lui de secouer Jayden pour l’empêcher de sombrer totalement. Quand l’acteur était perdu dans ses pensées, Izan le ramenait à la réalité avec une pointe d'humour. Le musicien n’était jamais méchant. Il se contentait de donner à Jayden les coups de pied au cul qui lui manquaient parfois cruellement. Cependant, il savait où se trouvait la limite et ne forçait jamais Jayden à faire ou dire des choses qui auraient pu le mettre mal à l’aise. Leur amitié était bâtie sur l'honnêteté et le respect mutuel. Izan avait cette capacité rare de bousculer Jayden, de le pousser à réfléchir tout en lui offrant un soutien indéfectible. Cette dynamique créait un lien unique entre eux, un lien indéfectible qui reposait sur des vertus telles que la loyauté et la confiance. « Non, mes genoux vont très bien. Seule ma tête a un souci. Mais ça, on ne peut rien y faire. C’est d’ailleurs ce qui fait que je suis ami avec toi, » ajouta-t-il dans une petite pique pleine d’humour. Il ne savait pas comment le remercier d’être toujours là et de réussir à le faire rire et à lui faire oublier ses soucis. Jayden pencha la tête sur le côté. « Tu sais que je serais ravi de t’avoir en voisin. On pourrait construire un tunnel secret entre nos deux maisons et se voir quand on veut sans que personne le sache… » Ses yeux bleus brillaient d’une lueur amusée qui avait le don de faire s’envoler la fatigue de son visage au moins quelques secondes. L’acteur avait ce côté enfantin qu’il ne montrait qu’à son entourage le plus proche. Les cabanes, les pièces secrètes et les jeux idiots étaient les moments qu’il préférait quand il était avec sa nièce. « Et puis j’aurais moins de marche à faire pour venir me jeter dans tes bras quand tu me manqueras trop. Et je pourrais être plus vite là pour toi quand tu auras besoin de moi… Même si… je n'ai pas été très présent pour toi. Je suis désolé. » Était-il un mauvais ami ? En tout cas, le pianiste ne lui avait jamais dit ni fait comprendre. Mais Jayden se sentait tellement toujours au-dessous de tout qu’il n’avait pas vraiment l’impression d’être un bon ami.
Après avoir jeté son mégot et râlé contre l’idiot qui avait mélangé tous ses produits dans sa salle de bain – sûrement lui, au passage, puisqu’il vivait seul, ou sa nièce en voulant jouer à l’apprentie sorcière après avoir utilisé sa crème à cinquante dollars pour s’en servir dans sa potion ultra-secrète – il trouva enfin la crème solaire et repartit rejoindre son ami sur la plage. Après les mises en garde d’usage, Jayden connaissait bien trop Izan pour lui laisser faire n’importe quoi sur son dos. Il savoura le contact des mains de son ami sur sa peau. Puis, il se sentit con, terriblement con, et il baissa un peu les épaules. « Désolé. Que tu aies eu à subir ça. Ce monde craint. » Il tourna la tête vers son ami et déposa son nez sur sa main dans un geste tendre. « Ce sont des idiots, et ils étaient juste jaloux de toi. Comme ils n’avaient pas le quart de ton talent, ils ont préféré t’attaquer sur tes origines. » Jayden était un homme trop sensible et naïf pour le monde dans lequel il vivait. Il savait pourtant que le monde était horrible, mais il avait du mal à accepter qu’il le soit avec les gens qu’il aimait. « Tu vaux mieux qu’eux. Et tu le prouves tous les jours. » Il haussa les épaules et mit de côté le racisme parce qu’il ne voulait plus que son ami pense à ça. « Alors… Je suis certain que tu serais aussi très bon pour jouer des maracas… Mais je ne disais pas ça pour tes origines, je dis juste que ta peau caramel te rend bien plus beau que moi. On dirait que je suis malade, et je ne bronze pas… Je deviens rouge comme une écrevisse, ce qui fait que je suis encore moins attirant. » Il posa sa tête sur l’épaule de son ami. « Et ce n'est pas toi que les Français surnomment rosbif… Ce n'est pas moi qui mange des escargots… » Il grimaça un peu. « Je sais que ce n'est pas facile, mais ne laisse pas ces connards pourrir ta vie. Et s'il y a besoin, je peux aller leur casser les genoux. Donne-moi des noms. Tu es magnifique et talentueux, tu n’as rien à prouver à personne. » Après s’être allongé dans le sable, il resta un long moment, les lèvres closes. Puis il expliqua la situation à son ami, à ce frère qui ne partageait pas son sang. Il glissa ses longs doigts blancs dans les grains de sable frais. Le soleil ne chauffait pas assez pour réchauffer le sol en profondeur, et il secoua la tête, emmêlant le sable à ses cheveux. « Pour être tout à fait honnête, je ne sais pas. C’est un gros projet… Alors, je pense qu’il faut bien compter un an et après il y aura les plateaux télé, les avant-premières dans le monde… Je ne vais pas avoir tant de temps libre que ça avant un moment…. » Il releva doucement la tête avec un sourire tendre. « Mais je trouverai un moment pour t’accompagner à Las Vegas et pour que tu ne te retrouves pas marié avec un Elvis de seconde zone. Je me dépatouillerai avec mon emploi du temps pour toi. » Sous ses doigts, il sentit quelque chose de gluant et releva sa main avec une expression de dégoût. « Tu vas me parler d’Asher ? Ou je dois faire semblant que tu n’as pas le cœur brisé et que tu vas bien ? »
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
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« Non, mes genoux vont très bien. Seule ma tête a un souci. Mais ça, on ne peut rien y faire. C’est d’ailleurs ce qui fait que je suis ami avec toi, » la petite flèche taquine atteint sa cible en dessinant un sourire mutin sur ses lèvres, et il lève légèrement le menton en déposant une main sur son coeur, de la même façon que s’il avait été blessé par la rebuffade de son meilleur ami ’’Alors ça, c’est moche. Jayden contre-attaque, je ne l’avais pas vu venir…’’ mimant d’être choqué par cette rébellion qu’il n’avait véritablement pas anticipé, il laisse échapper un petit rire qui n’enlève rien au caractère sérieux de son projet immobilier, puisqu’il entrevoit de plus en plus l’idée de vivre aux côtés de son meilleur comme la solution ultime à tous leurs problèmes ; puisqu’ils sont le refuge l’un de l’autre, autant que le refuge soit tout près n’est-ce pas. Sans le formuler à voix haute, Izan observe attentivement le visage de l’anglais, se rassurant dans chacune des petites étoiles joyeuses qu’il voit s’éclairer sur sa peau faite de tristesse et de secrets, en espérant, qu’un jour, elles puissent briller comme elles le méritent. ”Tu sais que je serais ravi de t’avoir en voisin. On pourrait construire un tunnel secret entre nos deux maisons et se voir quand on veut sans que personne le sache…” - ’’Comme si on était des agents secrets ?’’ qu’il demande en soutenant le regard pétillant de son meilleur ami, se confortant dans l’idée qu’il parvient, sans savoir comment, à l’apaiser d’une façon ou d’une autre. ’’J’en connais une qui serait ravie, aussi…’’ faisant bien sûr référence à la nièce de Jayden, il se rallonge dans le sable en croisant finalement ses deux bras sous sa nuque, sans voir arriver l’élan de culpabilité qui fleurit sur la langue de l’acteur. ”Et puis j’aurais moins de marche à faire pour venir me jeter dans tes bras quand tu me manqueras trop. Et je pourrais être plus vite là pour toi quand tu auras besoin de moi… Même si… je n'ai pas été très présent pour toi. Je suis désolé.” - ’’T’as aucune raison de t’excuser.’’ rétablir cette vérité lui semble primordiale, et c’est sans même le regarder qu’il poursuit ’’Je vais bien, ne t’inquiète pas pour moi.’’ parce que s’il y a plus important que ses peines de coeur et ses dilemmes familiaux, ça lui donne une bonne excuse pour ne pas ramener le sujet sur le tapis ; même si les ignorer et les balancer dans un coin de sa tête en espérant les voir disparaître n’est pas franchement une solution pérenne, et il le sait. Mais que peut-il faire d’autres ? Déballer tout ce qui chahutent dans sa tête en espérant que Jayden vienne apaiser la tempête ? Le bouclé est suffisamment occupé avec ses propres tornades. « Désolé. Que tu aies eu à subir ça. Ce monde craint. » il hausse de nouveau ses épaules en continuant d’étaler la crème solaire dans le dos de son meilleur ami, n’omettant ni les épaules ni la nuque — faudrait pas qu’il chope un coup de soleil en plus du reste « Ce sont des idiots, et ils étaient juste jaloux de toi. Comme ils n’avaient pas le quart de ton talent, ils ont préféré t’attaquer sur tes origines. Tu vaux mieux qu’eux. Et tu le prouves tous les jours. » il ne sait pas vraiment si c’est la vérité, Izan, mais c’est suffisamment tendre pour lui octroyer un sourire tout aussi sauve, qu’il tente de cacher en appuyant son front contre l’épaule de son meilleur pendant quelques secondes, profitant du contact rassurant de ce dernier pour apaiser la brûlure de ses chagrins. Se redressant, il écoute les paroles réconfortantes qui lui sont accordées, en sentant que son coeur écorché s’émeut un peu trop de l’affection qui lui est donné, lui qui n’a pas l’habitude de se laisser si aisément corrompre, voilà qu’il flanche sous le regard bienveillant et caressant de celui qui ne l’a jamais abandonné, et jamais trahi. ’’Tu es magnifique et talentueux, tu n’as rien à prouver à personne. Je le répète parce que ça te concerne aussi, tu sais ?’’ non, il ne le sait pas, Jayden, et c’est bien tout le problème de sa vie : son manque de confiance en lui est son plus grand fardeau. ’’Je ne sais pas ce que je ferais sans toi, pour de vrai.’’ un regard et un sourire complices partagés, et ils s’allongent l’un à côté de l’autre au milieu des minuscules dunes formées par les grains de sable, qui glissent entre les doigts de Jayden pendant qu’ils profitent du soleil qui vient effleurer leurs visages. Avec Jayden, même les silences sont confortables et rassurants. « Pour être tout à fait honnête, je ne sais pas. C’est un gros projet… Alors, je pense qu’il faut bien compter un an et après il y aura les plateaux télé, les avant-premières dans le monde… Je ne vais pas avoir tant de temps libre que ça avant un moment…. » il soupire en comprenant le caractère intransigeant et inévitable de toute cette histoire, et il lui semble, alors, que le piège s’est refermé sur Jayden sans lui laisser la moindre chance d’en réchapper. « Mais je trouverai un moment pour t’accompagner à Las Vegas et pour que tu ne te retrouves pas marié avec un Elvis de seconde zone. Je me dépatouillerai avec mon emploi du temps pour toi. » dépliant l’un de ses bras pour aplatir sa main dans le sable, il lui lance un rictus amusé tout en demandant, l’air espiègle ’’Tu me trouveras un Elvis digne de ce nom, du coup ?’’ il ne lui fera pas l’affront de lui demander s’il s’en trouvera un également, redoutant de voir disparaître la légèreté de leurs échanges, même si Jayden se charge de les torpiller en abordant, frontalement, un sujet qu’il n’a pas vraiment envie de décortiquer. « Tu vas me parler d’Asher ? Ou je dois faire semblant que tu n’as pas le cœur brisé et que tu vas bien ? » qu’on le mette si brutalement en face de sa comédie lui déplaît fortement, au pianiste, mais il s’efforce de ne pas se laisser envahir par la boule qui s’est formée dans son ventre sitôt que le prénom de son ex a été prononcé - putain qu’il se sent ridicule, comme ça. ’’Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? J’ai été con et aveugle, voilà, on peut passer à autre chose ?’’ il aimerait passer à autre chose, d’ailleurs, mais il n’arrive pas à défaire le guitariste de ses pensées et de son coeur. ’’J’aurais dû le voir, c’est tout.’’
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : Once upon a time, the planets and the fates and all the stars aligned MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2862 POINTS : 1680
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
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Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2
a friend in need is a friend indeed feat. @Izan Da Silva
Jay rigola légèrement en voyant l'expression faussement blessée de son meilleur ami. Il lui envoya un baiser suivi d’un clin d'œil. Dès qu'il était avec le pianiste, toutes les mauvaises choses semblaient s’éclipser, comme des cauchemars qu’Izan faisait disparaître d’un simple sourire. C’était un superpouvoir que Jayden lui enviait. Il aurait aimé pouvoir faire la même chose pour lui. La conversation dériva ensuite sur la possibilité de déménager dans le quartier , une idée qui emplissait Jayden de joie. Savoir qu’Izan serait à quelques pas de chez lui, tout proche, même quand les ténèbres menaçaient de l’engloutir, le réconfortait profondément. Un petit rire s’échappa de sa gorge. "Alors là, si elle apprend qu’un tunnel secret lui permettrait de te voir quand elle le souhaite… Attends-toi à ce qu’elle passe sa vie chez toi… Cela dit, je pense que mon frère ne va pas apprécier…"
Son instinct lui murmurait que Troy verrait ce rapprochement d’un très mauvais œil. Jayden n’avait jamais demandé à son frère pourquoi il était si tendu en présence du musicien, mais il avait une théorie. Troy était probablement jaloux d’Izan, jaloux que ce soit vers lui que son petit frère se tourne quand il allait mal. Mais comme il ne lui avait jamais posé la question, ce n’était qu’une hypothèse. Et il ne voulait pas s’en mêler ; c'était leur problème à ces deux grands idiots, et Jayden n'était pas fou. On ne s’interpose jamais entre deux taureaux qui chargent. C’était bien plus amusant de les regarder se chamailler en dehors de l’arène. Quant aux mensonges, Izan ne lui mentait pas souvent. Il ne pouvait pas dire "jamais", car lui-même n’était pas totalement honnête. Disons qu’il omettait parfois de dire certaines choses, ce qui s’apparentait à un mensonge par omission… Mais là, Izan lui mentait, les yeux dans les yeux. Cependant, Jayden ne répondit que par un petit "ploc" produit par sa langue en claquant son palais. Il profita du massage à la crème solaire que lui offrait son âme sœur et soupira en entendant ce qu'Izan avait à dire. "Le racisme, c'est l’arme des idiots face au talent," dit-il, encore plus convaincu en regardant son ami. Il secoua la tête et appuya son doigt sur le nez de son meilleur ami en riant légèrement. "Tu dis ça parce que tu es mon ami. Tu n’es donc pas objectif, et je ne suis donc pas obligé de te croire ! 'Magnifique'… C’est une question de goût. Il y a des hommes bien plus beaux que moi. Rien que dans cette ville. Rien que sur cette plage." Il désigna son ami d’un geste du doigt. "Et talentueux… N’importe qui peut faire l’idiot devant une caméra. Toi, tu as un vrai talent. Tu as étudié, travaillé. Moi, on peut me remplacer n’importe quand, il y a 100 types comme moi qui attendent derrière la porte." C’était vrai, il le savait. Le monde du cinéma était cruel. À la première déviation du moule, à la première ride, au premier kilo en trop, il serait remplacé comme on change un filtre à air trop usé. "Quand je serai remplacé par un homme plus jeune et plus beau, je pourrai dormir sur ton canapé ?" demanda-t-il avec un sourire en coin.
Le vent sifflait, l’océan s’agitait, et pourtant les deux hommes étaient dans leur bulle. "Je ne sais pas ce que je ferais sans toi, pour de vrai." Jayden pencha la tête sur le côté, touché par les mots de son ami. "Tu serais peinard, en train de vivre ta meilleure vie sur une plage quelque part à Bali…" Il marqua une petite pause avant de prendre un air plus sérieux. "Je ne serais pas là sans toi, Iz…" Et il ne parlait pas forcément de la plage. "Je ne sais pas ce que j’ai fait dans une autre vie pour mériter d’avoir attiré ton regard et gagné ton amitié… Mais je suis chaque jour heureux de vivre dans un monde où je te connais." Un peu mélodramatique tout ça… Mais il fallait le dire. La vie était courte et on ne savait pas quand tout pouvait prendre fin, que ce soit involontairement ou pas.
Il fronça le nez d’amusement à la réplique de son ami sur Elvis et secoua la tête. "Non, je trouverai le plus moche, le plus vieux, sans dents. Comme ça, je resterai le plus beau dans ta vie, et tu n’aimeras que moi." Il éclata de rire et se tourna vers Izan en déplaçant un peu de sable collé à sa peau à cause de la crème. "Tu n’es pas con. Et pas aveugle. C’est l’amour, je suppose… Quoique… Je crois que l’amour rend con et aveugle…" Il tendit la main pour la poser sur la joue de son ami et l’obligea à le regarder. "Tu es amoureux, et quand on aime, on fait confiance. Parce que c’est tout le principe d’aimer quelqu’un. Lui offrir l’opportunité de nous briser le cœur…" À cet instant, Jayden ressentait une colère sans bornes envers Asher, il avait envie de l’enterrer dans le sable. Mais Izan était têtu, et il se braquerait si la conversation continuait dans cette direction. Alors, Jayden enfouit de nouveau sa main dans le sable, attrapa l’algue qu’il avait trouvée plus tôt et la laissa tomber sur le torse de son ami. "Tu feras attention, je crois que tu as un truc là…" Dit-il avant de se lever et de s’élancer en courant, mort de rire. Si cela ne parvenait pas à distraire son ami, alors il ne savait plus quoi faire.
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
a friend in need is a friend indeed @Jayden Holmes - ♬ - crédit/friendsgifs
L’idée d’emménager tout près de Jayden n’a pas été murement réfléchie, mais le pianiste ne pense pas avoir besoin de se pencher outre mesure sur le bien fondé de ce rapprochement géographique : son meilleur ami est la personne vers qui il se tourne quand il est la proie de terribles angoisses, le seul capable d’accueillir ses maux sans le faire sentir ingérable ou insupportable. Dans le monde d’apparats dans lequel ils évoluent tous deux, c’est un luxe inestimable que de pouvoir se relever tel que nous sommes, sans masque, sans fioriture, sans gomme lissante pour effacer nos défauts ; à ses côtés, sous l’oeil bienveillant de l’amitié sincère qu’ils partagent, Izan sait qu’il peut être lui-même, tout comme il accueille Jayden comme il est, réellement. ”Alors là, si elle apprend qu’un tunnel secret lui permettrait de te voir quand elle le souhaite… Attends-toi à ce qu’elle passe sa vie chez toi… Cela dit, je pense que mon frère ne va pas apprécier…” il laisse échapper un petit rire silencieux en secouant légèrement son menton de gauche à droite, n’étant point dérangé par la perspective d’une Joe intrusive qui déambule dans sa maison comme si c’était la sienne. ’’Il n’y a pas grand-chose que ton frère apprécie, je trouve.’’ il sait qu’il n’est pas dans la liste, Izan, et il ne comprend pas bien pourquoi mais il ne peut s’empêcher d’éprouver la même chose à l’égard de Troy, en ayant totalement le ressenti inverse pour sa fille. Joe, c’est une petite lumière qui répand sa joie de vivre par sa simple présence, et lorsqu’ils se retrouvent, difficile de savoir lequel des deux est l’enfant du duo. ’’Joe sera toujours la bienvenue chez moi, tu le sais. On n’a aucun lien de parenté mais je l’aime comme si c’était ma propre nièce.’’ et elle le lui rend bien, Joe, si bien qu’il laisse un tendre sourire se dessiner sur ses lèvres sous l’évocation de la petite fille au sourire solaire. Izan sait que sa soeur a eu des enfants, elle aussi, mais il ne sait même pas à quoi ils ressemblent ni comment ils s’appellent ; d’aucun dirait qu’il fait un transfert avec la nièce de Jayden mais, même si c’est le cas, l’affection qu’il lui porte n’en est pas moins sincère, qu’importe la méfiance établie avec son père.
”Tu dis ça parce que tu es mon ami. Tu n’es donc pas objectif, et je ne suis donc pas obligé de te croire ! 'Magnifique'… C’est une question de goût. Il y a des hommes bien plus beaux que moi. Rien que dans cette ville. Rien que sur cette plage.” le pianiste roule des yeux en soupirant, se désolant intérieurement de ne pas réussir à endiguer les élans dépréciateurs dont Jayden s’accuse ; l’acteur est prompt à reconnaître mille qualités aux autres mais aucune quand il s’agit de lui-même. ”"Et talentueux… N’importe qui peut faire l’idiot devant une caméra. Toi, tu as un vrai talent. Tu as étudié, travaillé. Moi, on peut me remplacer n’importe quand, il y a 100 types comme moi qui attendent derrière la porte.” - ’’Faire l’idiot devant une caméra ? Tu plaisantes, j’espère… Je serais incapable de faire ce métier, il faut un vrai talent pour ça. Et tu as travaillé aussi, tu travailles chacun de tes rôles pour être à la hauteur et, j’ai un scoop pour toi : tu l’es.’’ pensant chaque mot et chaque syllabe, il le caresse presque du regard pendant quelques secondes avant de presser ses lèvres l’une contre l’autre, véritablement dépassé par la piètre opinion que son meilleur ami a de lui-même. Comment lui faire entendre raison ? Comment lui démontrer qu’il est l’une des personnes les plus incroyables qu’il connaisse ? ”Quand je serai remplacé par un homme plus jeune et plus beau, je pourrai dormir sur ton canapé ?” quel idiot qu’il pense en lui lançant un regard néanmoins amusé, ne tardant pas à répondre un ’’Bien sûr que non. Je te donnerais une chambre, quand même.’’ penchant sa joue vers son épaule, il maintient son regard quelques secondes avant de tenter un ’’Tu as toujours du succès, même si tu es le seul à ne pas le reconnaître… Je doute qu’on puisse te remplacer, cela dit.’’ tout comme il ne peut être remplacé dans le coeur du pianiste, depuis que leur rencontre à New-York en 2018 ; la preuve que les coups de foudre amicaux existent, puisqu’ils ne se sont plus jamais quittés ensuite. ”Tu serais peinard, en train de vivre ta meilleure vie sur une plage quelque part à Bali…” s’il ne peut s’empêcher de sourire avec malice, il hausse rapidement ses épaules en précisant que ’’Je peux le faire avec toi, ça.’’ d’ailleurs, il faudrait vraiment qu’ils le fassent : les deux amis ont l’air d’avoir cruellement besoin de s’évader loin de tout. ”Je ne serais pas là sans toi, Iz… Je ne sais pas ce que j’ai fait dans une autre vie pour mériter d’avoir attiré ton regard et gagné ton amitié… Mais je suis chaque jour heureux de vivre dans un monde où je te connais.” les sonorités viennent effleurer son coeur en le faisant vibrer d’une émotion toute particulière, et il la savoure en venant appuyer le coin de sa mâchoire contre l’omoplate de son ami, restant quelques secondes ainsi, juste à profiter de sa présence et de son odeur familière et rassurante, avant de délier sa langue — un exercice d’ordinaire compliqué mais, avec Jayden, c’est toujours un peu plus facile d’avouer ce qu’il ressent. ’’Et tu ne te débarrasseras jamais de moi, tu le sais ça ? Parce que j’ai trop besoin de toi pour ne plus t’avoir dans ma vie. Tu ne perdras jamais mon amitié, je te le promets. Je serais toujours là pour toi, et je rappliquerais toujours quand tu m’appelleras. Même quand on sera vieux dans nos maisons de retraite…’’ se redressant pour lui lancer un sourire amusé, en espérant qu’il porte le même, il poursuit : ’’Bon, au pire, on demandera des chambres voisines, okay ? Comme ça on fera chier les infirmières ensemble et je viendrais te voler tes biscuits.’’ il lui promet en fronçant le milieu de son nez, le narguant quelques secondes avant de constater que Jayden le suit dans ses élans malicieux, preuve, peut-être, que le feu de la tristesse est en train de s’apaiser. ”Non, je trouverai le plus moche, le plus vieux, sans dents. Comme ça, je resterai le plus beau dans ta vie, et tu n’aimeras que moi.” - ’’C’est déjà le cas.’’ mais le sourire joueur s’éteint progressivement lorsque Jayden lance les hostilités en abordant le sujet de Ash, si bien que le pianiste baisse le menton quelques secondes en mordillant l’intérieur de sa joue, expédiant les circonstances de sa rupture en espérant ne pas s’y attarder outre mesure, puisque raviver la douleur de sa séparation et des trahisons révélées ne l’aide pas à maintenir son indifférence de façade ”Tu n’es pas con. Et pas aveugle. C’est l’amour, je suppose… Quoique… Je crois que l’amour rend con et aveugle…” s’il hausse ses sourcils en gardant le menton baissé, il est forcé de lever les yeux vers Jayden lorsque la main de ce dernier glisse sur sa joue ”Tu es amoureux, et quand on aime, on fait confiance. Parce que c’est tout le principe d’aimer quelqu’un. Lui offrir l’opportunité de nous briser le cœur…” - ’’J’étais amoureux.’’ qu’il corrige en mentant presque malgré lui, puisque sa fierté ne peut décemment pas admettre aimer un homme qui l’a autant blessé. Mais il n’a pas vraiment le temps de s’enfoncer dans son mensonge confortable puisque, grimaçant en sentant une chose visqueuse et froide sur sa peau, il se crispe avant de voir Jayden s’élancer à toute vitesse en soulevant des nuages de sable dans sa course. ’’Tu vas le regretter !’’ retirant l’algue gélatineuse en la balançant sur le côté, il rattrape rapidement son ami en mêlant son rire au sien, ne tardant pas à entourer sa taille de ses bras pour commencer à le traîner vers l’eau, leurs pieds étant recouverts par les vagues froides qui viennent s’échouer sur le sable humide. ’’Tu vas côtoyer les algues de très près !’’ son rire entrecoupant ses syllabes, il s’efforce d’avancer dans l’eau en entraînant son meilleur ami dans son sillage mais, ils risquent fort de tomber tous les deux, en réalité…
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : Once upon a time, the planets and the fates and all the stars aligned MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2862 POINTS : 1680
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS :
⍣⋆⍣
Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2
a friend in need is a friend indeed feat. @Izan Da Silva
« Là, tu es de mauvaise foi. Troy aime beaucoup de choses, mais comme tu n’en fais pas partie, tu pars du principe qu’il n’aime rien. Ce n’est pas parce que tu n’es pas son genre que tu dois bouder, » lança Jayden en passant un doigt mutin sur le menton de son ami. Le geste était léger, taquin, destiné à détendre l’atmosphère. Un sourire espiègle éclairait son visage, illuminant ses yeux d’une lueur malicieuse, dissipant les ombres de fatigue et d’inquiétude qui marquaient le visage d’Izan avant cette conversation. « Tu n’as pas assez de poitrine pour Troy. Par contre, tu es tout à fait le genre de Mary. Tu vois, sur les trois Holmes, deux t’aiment passionnément. » Iz n’avait encore jamais rencontré Mary. Elle était un oiseau rare, libre et insaisissable, qui ne restait jamais sur la même branche bien longtemps. Mais Jayden lui avait souvent parlé de cet ami, de ce coup de foudre amical qu’il avait ressenti dès leur première rencontre, de leurs conversations profondes et complices. Mary s’était attachée à cet homme qui rendait son frère heureux, sans même l’avoir rencontré. Pour elle, il faisait déjà partie de la famille. « J’oubliais Joe. Trois Holmes sur quatre. Franchement… Et puis, je pense qu’au fond, Troy t’aime bien. C’est juste qu’avant, il prenait soin de moi plus ou moins seul, alors il doit juste… être jaloux. Mais ça lui passera, » ajouta Jayden, espérant sincèrement que cette tension entre Iz et Troy finirait par disparaître. L’idée que deux des personnes les plus importantes de sa vie ne puissent s’entendre lui faisait mal au cœur. Il pencha la tête sur le côté, son regard se perdant un instant dans ses pensées avant de revenir sur son ami, ses yeux soudain plus sérieux. « Tu sais, tu es un Holmes. Enfin, adoptif, dans ma tête. Alors, quelque part… Joe est vraiment ta nièce. Même si être un Holmes n’est peut-être pas un si grand cadeau que ça… Mon père t’aurait détesté… » dit-il en riant légèrement, un rire teinté d’une douce amertume. Avec le temps, la menace d’un père violent s’était estompée, laissant place à une sorte de cynisme, presque amusé, bien que la douleur sous-jacente soit encore palpable. « Joe voudra refaire la décoration chez toi comme si c’était chez elle. Elle m’a déjà convaincu de remplacer ma machine à jus par une machine à barbe à papa, » dit-il en secouant la tête, mi-amusé, mi-résigné. Ses yeux brillaient d’affection en parlant de sa nièce, cette petite tornade qui avait le don de bouleverser son monde avec ses idées fantasques. Bien sûr, c’était un peu exagéré, mais Joe avait un don pour trouver les bons arguments. Même si Jayden était l’oncle le plus faible de l’univers devant elle, il avait réussi à résister… pour l’instant. Il tenait toutefois à garder une hygiène de vie relativement saine, et il était hors de question qu’une telle machine entre chez lui, encore moins en libre-service pour sa nièce. Tonton faible, certes, mais tonton qui prenait soin du bien-être de sa nièce. « Et puis tu sais, Troy ne te hait pas à ce point, » continua-t-il, son ton devenant plus grave. « Il te fait quand même confiance avec sa fille. Il te laisse jouer avec elle sans passer son temps à te surveiller. » Les paroles étaient réconfortantes, mais Jayden savait que cela ne suffirait pas à apaiser entièrement les doutes d’Izan. Jayden leva les yeux au ciel, un sourire ironique se dessinant sur ses lèvres avant de changer de visage, adoptant une expression dramatique. « Hum… Jayden Holmes, dans son rôle d’amoureux transi, en fait trop et nous offre une bien piètre scène dans ce film qui n’a pour qualité que d’être signé par un réalisateur fils de… » Il haussa les épaules, comme si ces mots glissaient sur lui. Les critiques, il en avait l’habitude, mais elles ne faisaient que confirmer ce qu’il pensait déjà de lui-même. « C’était la critique d’un journaliste spécialiste du cinéma pour mon avant-dernier film, » ajouta-t-il en souriant en coin, une lueur de défi dans le regard, comme pour dire « échec et mat ». « L’amour que tu as pour moi me fait vraiment plaisir, Iz. Mais il faut savoir reconnaître les défauts de ceux qu’on aime. » Il n’était pas du genre à passer son temps à lire les critiques, bien souvent, il les ignorait même. Mais celle-ci avait beaucoup circulé sur internet, et il n’avait pas pu y échapper. Jayden pencha la tête de côté, un sourire espiègle étirant ses lèvres. « Toute une chambre pour moi ? Je suis vraiment gâté, hein. » Il se rapprocha un peu, plongeant ses yeux dans ceux d’Izan, cherchant une connexion plus profonde, un moment de sincérité entre eux, une de ces conversations qui n’avaient pas besoin de mots pour être comprises. « Du succès auprès de toi ? Bon alors, je suppose que je peux m’en contenter. » De l’extérieur, ce moment pouvait sembler plus ambigu qu’il ne l’était en réalité. Et bien que Jayden soit habituellement très attentif à la manière dont il se montrait en public, il ne prenait jamais de mesures particulières quand il était avec Izan. Pour lui, c’était son meilleur ami, son frère, sans rien d’ambigu. Il se recula un peu, levant les yeux vers le ciel d’un bleu éclatant. « Bali… On ferait quoi ? On passerait notre temps sur la plage ? Il va me falloir un plus gros tube de crème que ça, » dit-il en riant doucement, l’imaginaire déjà envolé vers les plages ensoleillées. Mais une émotion plus profonde vint soudain le clouer sur place. Ses yeux bleus devinrent humides, mais il avait appris très tôt à retenir ses larmes. Un sourire touché étira ses lèvres alors qu’il imaginait la scène décrite par Izan. « Voilà une image qui donne presque envie d’être vieux. Ils seraient à quoi, les biscuits ? Au chocolat ? On demandera à Joe de nous en apporter quand elle ne sera pas occupée à être ninja artiste… » Jayden savait qu’Izan venait de sortir un mensonge aussi énorme que ceux qu’il sortait lui-même lorsqu’il prétendait avoir des relations amoureuses non sérieuses en public et que c’était pour ça qu’il préférait rester discret tant qu’il n’aurait pas trouvé LA perle rare. Mais il choisit de ne pas pousser son ami dans ses retranchements, décidant que le meilleur moyen de changer les idées d’Izan serait de s’amuser. Jayden laissa échapper une expression entre la peur et le rire quand son ami le rattrapa sur la plage.« N’abîme pas mon visage… C’est mon outil de travail… » plaisanta-t-il en se débattant légèrement. Mais Izan était déterminé. Jay glissa sur un galet, son pied perdant l’équilibre, mais il ne tomba pas seul. Dans un petit cri de surprise, lorsque l’eau froide entra en contact avec sa peau, il tira sur le bras de son ami, l’entraînant avec lui dans les vagues. Entre deux vagues, il remonta à la surface, reprenant son souffle. « Elle est froiiiide ! » s’exclama-t-il en riant, ses yeux pétillants d’une joie enfantine retrouvée.
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
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JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
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SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
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Mauvaise foi ou non, il grimace sans honte lorsque Jayden tente de voler au secours de son frère pour le défendre, sans parvenir à convaincre celui qui, perché sur ses coudes dans le sable, contemple l’horizon en se réjouissant secrètement de l’attitude de l’acteur, redevenu bavard, joueur, amusant et taquin ; si Izan l’aime sous toutes ses facettes, que son humeur soit ensoleillée ou pluvieuse, c’est définitivement avec cet éclat mutin dans les yeux qu’il préfère son meilleur ami. « Tu n’as pas assez de poitrine pour Troy. Par contre, tu es tout à fait le genre de Mary. Tu vois, sur les trois Holmes, deux t’aiment passionnément. » à l’évocation de la fameuse, Izan effectue une petite moue en balançant son menton sur le côté, n’attendant pas bien longtemps avant de demander, avec une curiosité impatiente et presque enfantine : ’’Quand est-ce que je la rencontre, Mary ? J’en entends toujours parler mais je ne l’ai pas encore vu.’’ même s’il a l’impression de la connaître à travers les récits et les nouvelles que lui donnent Jay, il est bien intrigué de rencontrer cette demoiselle en personne, ne doutant pas de bien s’entendre avec celle-ci - pour ainsi dire, le grand voyageur sait déjà quels sujets ils pourront aborder durant des heures, échangeant leurs points de vues sur leurs périples respectifs. « J’oubliais Joe. Trois Holmes sur quatre. Franchement… Et puis, je pense qu’au fond, Troy t’aime bien. C’est juste qu’avant, il prenait soin de moi plus ou moins seul, alors il doit juste… être jaloux. Mais ça lui passera. » il hausse mollement les épaules en baissant un instant les yeux vers le sable qui s’est accroché dans la fine pilosité de ses bras, en ne sachant pas tellement quoi en penser ; celui lui semble être franchement bizarre comme façon de raisonner, Troy ne devrait-il pas être rassuré qu’une autre personne veille sur son frère de la même façon que lui ? Ne devrait-il pas se réjouir de savoir que quelqu’un prend soin de Jayden autant qu’il le fait lui-même ? Il ne compte pas changer sa façon d’être aux côtés de son meilleur ami, alors les désagréments de Troy ne l’inquiètent pas vraiment : tant pis pour lui ! « Tu sais, tu es un Holmes. Enfin, adoptif, dans ma tête. Alors, quelque part… Joe est vraiment ta nièce. Même si être un Holmes n’est peut-être pas un si grand cadeau que ça… Mon père t’aurait détesté… » - ’’Mes parents me détestent aussi, ça n’aurait pas changé grand-chose tu sais.’’ sa mère, surtout, mais comme son père n’a jamais rien fait pour endiguer cette haine presque innée, inutile de l’épargner ’’Mais ça me touche beaucoup, tu sais…’’ il le reconnaît en baissant le menton en même temps que les paupières, comme à chaque fois que l’émotion qui vient cogner à la porte de son coeur se fait trop pressante, étant paradoxalement partagé entre la douceur de la considération offerte par Jayden, et la douleur convoquée par l’évocation de ses parents défaillants. ’’J’aimerais avoir une fratrie aussi soudée que la tienne. Enfin, ils le sont. Sans moi.’’ il émet un petit rire grave pour dédramatiser la cruelle vérité qui s’impose, pas bien longtemps puisqu’il lui faut remédier à ce ton tragique avant que Jayden puisse s’y attarder ’’Heureusement, je t’ai. Et Joe aussi.’’ Joe qui est une négociatrice hors paire, il le sait ; Izan n’a jamais pu lui refuser quoique ce soit. ’’Prochaine étape : une piscine à boules dans ta baraque.’’ et comme le pianiste est aussi bon enfant que Joe, il s’empresse de préciser : ’’Tu n’oublieras pas de m’inviter, hein ?’’ qui est dit sur le ton de la plaisanterie tout en étant néanmoins une demande sérieuse, et son sourire mutin s’étiole sur ses lèvres lorsque Jayden précise que Troy ne le déteste pas ; revenir sur le sujet du frangin mécontent lui arrache un soupir, et il se rallonge en croisant finalement ses bras sous sa nuque. ”« Il te fait quand même confiance avec sa fille. Il te laisse jouer avec elle sans passer son temps à te surveiller. »” s’il ne dit rien, il tourne son menton pour hausser ses sourcils, ayant l’air de dire « encore heureux » puisque, dans les faits, il n’a jamais mis la sécurité de Joe en péril, et il préfère perdre ses deux mains dans d’atroces souffrances plutôt que d’occasionner le moindre mal à la petite fille, et il espère que Troy n’en doute pas. « Hum… Jayden Holmes, dans son rôle d’amoureux transi, en fait trop et nous offre une bien piètre scène dans ce film qui n’a pour qualité que d’être signé par un réalisateur fils de… C’était la critique d’un journaliste spécialiste du cinéma pour mon avant-dernier film. » le regard de Jayden est victorieux mais, en l’observant, Izan ne se sent pas vraiment réfuté dans ses précédentes paroles ; les critiques négatives, on peut aussi en trouver à la pelle le concernant. ’’Et alors ? Tu ne peux pas faire l’unanimité, c’est normal.’’ il n’a pas suffisamment de connaissances dans le monde du cinéma pour oser demander le nom de l’homme ayant formulé ces quelques mots, mais il peut user de sa propre expérience pour tenter de relativiser les choses : ’’On ne peut pas plaire à tout le monde, peu importe le domaine. Certains critiques me trouvent trop exubérants, parce que j’suis pas ennuyeux comme tous les vieux rigides dans ce métier.’’ il hausse les épaules, visiblement peu effleuré par l’idée d’être une figure certes reconnue, mais aussi contestée par certains ’’Je reconnais que tu as des défauts, comme tout le monde : personne n’est parfait.’’ ne résistant pas à l’envie malicieuse qui pointe instinctivement, il rajoute : ’’Sauf moi, bien sûr.’’ qui n’étire un sourire mutin sur ses lèvres que pendant quelques secondes puisque, bien vite, il retrouve son sérieux pour poursuivre sa mission première : redonner le sourire à son meilleur ami, tout en oeuvrant à l’apaiser. Puisque ce dernier finit par être un sale gosse qui lui jette une algue gluante sur la peau avant de filer comme un enfant fier d’avoir accompli une bêtise, on peut considérer que c’est le cas : n’ayant plus aucune raison de le ménager, il le traîne de force vers les vagues salées, dont il ne questionne pas vraiment la froideur, porté par la seule envie de mettre son meilleur ami à l’eau. ’’Je vais pas abîmer ton vi…’’ emporté par la chute de Jayden, Izan tombe à l’eau en même temps que lui et, remontant à la surface dans un éclat de rire, il repousse ses cheveux en arrière tout en effectuant quelques brasses. « Elle est froiiiide ! » - ’’Faut bouger !’’ trop généreux pour laisser son meilleur ami souffrir, il appuie sur ses épaules pour le faire couler, sans se retenir de rire suite à leurs enfantillages. Difficile de dire qui aide plus qui, dans cette histoire, mais toujours est-il que Jayden à le pouvoir de lui rappeler que, même quand le ciel devient noir, il y a des petites étoiles qui brillent.
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.