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 #271 - Panique à bord !

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Message(#)#271 - Panique à bord ! EmptyJeu 12 Nov 2015 - 20:12

Remind yourself that nothing will ever change. I would always be there, present for you no matter what. You're like a brother to me, I would never let down.
#271 - Panique à bord !
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En ce moment je travaille de nuit, des nuits qui je pense que ça ne pourrait que me faire du bien ! Le burn out que j’ai eu il y a maintenant presque un mois ne m’a pas fait réellement du bien. Puis partir comme ça avec un « ami », ami, mais bien sur avoue-toi que ce n’est qu’un ami de toute façon. Vue le comportement qu’il entreprend avec moi je ne sais même plus qui il est réellement. Aller, maintenant, tu dois oublies cet homme, tu es avec les enfants, les enfants qui ont totalement oubliés le comportement que tu as eu en vers eux. Certain enfant on comprit que j’avais besoin de soufflé un peut, de me libéré l’esprit. Je ne savais pas avec qui passer ses quelques jours, je savais que tu étais partie en Europe. Je n’avais pas plus insisté car, je te connais aussi. Tu avais aussi se besoin de se libéré et de penser un peut un toi. Je sais que dans la famille vous êtes un peut tous comme ça, Samuel m’a fait le coup il y a quelques jours a peine. Mais bon, il est revenu différent, qu’est-ce qui c’est passer là-bas ? Je ne sais pas du tout, mais au moins il met revenu en forme, différent et il a su se faire rattraper… Bref, c’est ainsi et je dois me remettre à travailler et ne pas y penser. Pas maintenant. Je finis alors rapidement mes papiers en étant assise au bureau je joue doucement avec mon stylo entre mes doigts en fixant le papier. Une de mes collègues vient me voir pour me dire qu’elle prend le relais. Je lui souris en la remerciant. Je viens m’archer vers la pièce pour me changer. Je m’assois en soufflant doucement sur une chaise. Je passe ma main dans mes cheveux pour les lâcher. Jusqu’à se que je ne m’attende pas a se que mon téléphone sonne. Je m’avance vers mon casier puis j’ouvre mon sac. Je grogne doucement en n’arrivant pas à prendre mon téléphone a temps. Quand je viens regarder l’écran je reste surprise à voir tout t’es appels, je plisse doucement les sourcils en me demandant se qu’il se passe. Je viens alors écouter t’es messages que tu m’as laissé, je ne peux m’empêcher de sourire, sourire en entendant la panique que tu as. C’est vrai que tu es revenu de ton voyage avec ce petit bout de chou entre les bras. Père, célibataire, ce n’est pas simple tout les jours. Je viens alors te passer un message « Chouchou, tien encore vingt bonnes minutes et je débarque chez toi ! » Je rigole doucement puis je viens alors me changer rapidement. Bon, oui c’est une motivation pour me bouger les fesses déjà, parce que je vais te voir, c’est important. Très important même. Depuis ton retour on n’a pas vraiment eu le temps de se parler, de se retrouver. Je n’ai pas encore eu le temps de t’avouer tout se qui met arriver. Mais, après tout quand je débarque chez toi c’est aussi que ce petit bout, ce bonhomme dont t’en ai père me rend tellement… tellement remplis de bonheur ? Oui quand même, je suis tellement heureuse que tu sois père mais surtout que tu ais pu en avoir la garde. Tu ne m’as jamais trop dis se qui c’était passer là-bas, comment, pourquoi, je voulais tout savoir mais je ne veux pas te brusquer a chaque fois… Je finis alors de m’habiller puis je prends rapidement la route. Une fois arriver devant chez toi, je me gare puis je sors de la voiture pour me diriger vers chez toi. Mon sac sur mon épaule je viens alors frapper a ta porte, c’est vrai qu’à travers celle-ci j’entends les pleures du mino. Je me permets alors de tourné la poignet de la porte pour entré chez toi. Tu n’allais trop rien me dire vue que tu as besoin de moi à ce moment présent. Tu sais aussi que je sais y faire avec les enfants, c’est peut-être mon métier, mais là tu as besoin de moi ta meilleure amie. Quand je te vois alors marcher dans tout les sens en essayant de le calmer, je viens, déposer mon sac sur le canapé et m’approcher de toi. Je dépose doucement ma main sur ton épaule « Chouchou, c’est bon je suis là, repose toi. Aller, laisse moi faire. » je viens alors me mettre face à toi pour passer doucement mes mains sur ce petit bonhomme en pleure. Quand tu me laisse le prendre je viens le prendre d’une façon allongé sur le dos allongé sur mon bras gauche, ma main droite de place dans l’arrière de son dos en lui tapotant doucement et le berce contre moi. Tu t’en occupes super bien et je ne pourrais pas dire le contraire mais des fois il faut que tu te repose un peut. Je fais alors quelques pas en le berçant contre moi, je pouvais voir ses grandes prunelles me regardé intensément. Je ne peux que lui sourire, un large et doux sourire. Quand ses pleures commencent à se calmer je m’approche de toi. « Tu as pensés a lui faire son biberon ? C’est aussi pour ça qu’il pleure. » Je garde ce même sourire sur mes lèvres en te regardant, je pouvais voir que tu es totalement épuisé, épuisé surement parce que tu n’arrivais pas a trouver la raison de ses pleurs. Bien sur il ne tarde pas à se remettre a pleuré car, en effet il avait fait.

© Grey WIND.
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Message(#)#271 - Panique à bord ! EmptySam 14 Nov 2015 - 16:20


Je n’en peux plus, je vais lâcher je le sens. Je tiens Mathis dans mes bras le changeant de position pour faire stopper ces pleures mais rien à faire. « Je t’en pris Mathis… Je t’en pris calme toi. » J’ai l’impression que ça fait des heures qu’il pleure et qu’il est impossible de le stopper. J’ai bien tenté d’appeler Taylor ça baby-sitter mais aussi la personne la plus à même de faire stopper ces pleures en quelques secondes mais je n’ai fait que de tomber sur le répondeur et c’est en plein désespoir de cause que je finis par capituler et appeler Liv bien que je sache pertinemment qu’elle a du travail. Je sais aussi que c’est une période un peu compliqué pour elle mais là j’ai vraiment – vraiment besoin d’elle puis un fois que le petit sera calmé on pourra se poser et parler. On c’est si peu vu ces derniers mois que je peux presque compter nos échanges sur les doigts d’une main. Sa réponse ne se fait pas attendre me donnant une dead line. Dans une vingtaine de minutes elle va venir à mon secours. En attendant je continue de bercer mon petit garçon tentant de rester le plus calme possible ce qui n’est pas une mince affaire. J’ai l’impression de ne pas avoir pu dormir depuis des jours et tout mon organisme est en éveille à cause des pleurs de Mathis. J’ai beau tenter de chasser les mauvaises pensées de mon esprit je ne peux m’empêcher de me dire  qu’il va manquer d’une mère. Qu’elle lui manque déjà. Je pense aussi à se lait que je lui donne, à l’allaitement maternelle qu’il devrait recevoir et je sens mes forces me lâcher. J’ai envie de chialer – comme un gosse. D’aller me mettre son mon  draps et rester seul au fond de mon lit sans aucune responsabilité mais la réalité est tout autre. J’ai des responsabilités et pas des moindres depuis quelques semaines. Alors que je suis au bord de la crise de nerf j’entends enfin Liv – elle rentre et vient nous rejoindre et quand je la vois je sens enfin mon corps se détendre un peu. Le constat et fracassant – j’ai besoin d’aide – je ne peux pas gérer tout seul. « Chouchou, c’est bon je suis là, repose toi. Aller, laisse moi faire. » Je ne me fais pas prier, le contact de sa peau me fait du bien et me rassure un peu et elle attrape mon fils me délestant d’un poids. Je la regarde faire – Ca a l’air tellement instinctif – tellement plus facile qu’avec moi. Et enfin il se calme – c’est aussi frustrant que ça en est bon. Le silence presque total qui règne enfin dans la maison. « Tu as pensés a lui faire son biberon ? C’est aussi pour ça qu’il pleure. » Mon regard se fait un peu moins gentil cette fois. J’ai l’impression d’être un incapable à ces yeux. « Bien sûr que je lui ai fait son biberon… Il y a même pas deux heures mais il y a rien voulu manger… » Puis ça me frappe. Justement il n’a rien voulu manger, il a faim… Il a sans doute faim et je suis tellement à côté de la plaque que je n’ai même pas pensé à cette éventualité. Je me dirige alors vers la cuisine pour faire réchauffer son lait testant sa température avant de le tendre à Liv… « Désolé Liv je voulais pas être agressif je suis juste… Je suis un peu perdu et toi… » Merde je sens que je lâche un peu – je passe un main son mon visage pour tenter de canaliser mes émotions et ne pas tout lâcher. « Pourquoi c’est si compliqué pour moi ? » Mon amie donne maintenant le biberon au petit et il ne bronche plus du tout. « Merci d’être venue Liv… Tu est ma sauveuse… Tu veux boire quelque chose ? » Je vais déjà en direction de la cuisine. J’ai besoin de faire quelque chose de ne pas rester les bras croisés sinon je risque de tomber de sommeil.
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Message(#)#271 - Panique à bord ! EmptyVen 27 Nov 2015 - 18:39

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#271 - Panique à bord !
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Déjà en entendant ta voix au téléphone je comprends rapidement que tu es totalement perdu et que tu appel presque à l’aide. J’ai fais mon possible pour pouvoir venir rapidement chez toi et venir a ton aider. J’entre sans ta permission puis je prends le petit dans mes bras. C’est peut-être devenu une habitude chez moi, a force de travailler avec des enfants mais aussi des bébés je commence à avoir l’habitude. Habitude qui est instinctif et que me fait clairement penser que j’aimerais avoir des enfants, un jour peut-être… Bon je ne dois pas pensé à ça maintenant. Je suis là pour toi, pour le petit mais aussi pour te soulager d’un poids que tu dois porter depuis quelques jours et ça se voit clairement sur ton visage. Un enfant, c’est compliquer, très compliquer et quand on pas l’habitude on pète vite les plombs mais surtout, on a l’impression de tout faire de travers. C’est pour ça que je préfère te demande gentillment si tu lui as donné son biberon mais en entendant le ton de tas voix je comprends vite que tu l’as mal pris mais, en retour je ne vais pas me brusque ni même répondre mal, je préfère te laisse mal me parler mais aussi partir faire chauffer le biberon. En t’attendant je marche un peut dans la pièce avec le petit. Quand tu reviens je le prends dans mes mains en souriant. Je lui apporte a ses lèvres et rapidement il tète le contenu, à son rythme. « T’en fait, je ne t’en veux pas. Je préfère que tu passes t’es nerfs sur ma personne que sur la sienne. » Je m’approche de ta personne en souriant puis je reprends juste derrière « Et tu sais, même si tu penses qu’avec moi c’est si facile je peux te juré qu’avec toi ça le seras aussi. Je suis là pour t’aider non ? Laisser vous un peut de temps pour mieux vous connaitre l’un et l’autre chouchou ! » Je pouvais voir que ça n’allait pas super fort pour toi, mais, je peux le comprendre. Le manque de fatigue nous chamboule des tas d’émotions. Je baisse doucement le regard sur le petit en souriant doucement, il a t’es yeux c’était si flagrant que je ne peux pas m’empêcher de l’observer en souriant. Quand tu m’adresse la parole je relève rapidement le visage « Je serais toujours ta sauveuse James. On est pas Bonnie et Clyde, mais, tu sais qu’on pourra toujours compté sur moi pour tout et n’importe quoi ! » Et je hoche la tête a ta question en ajoutant « Si tu as du thé c’est avec plaisir. » Je te demande en souriant, et oui je n’ai pas changer mes habitudes. Je bois toujours autant de thé, surtout pour resté éveiller et ne pas m’écrouler en plein milieu de la pièce, mais je garde mon regard sur ta personne. « Sinon, tu veux m’en dire un peut plus, me raconté un peut plus de tout les petits secrets que tu me caches ? » Bien sûr j’ai un sourire aux lèvres, mais je prends aussi les devants pour que tu ne me pose pas la question, pour le moment je préfère que tu me parles de toi. Moi ça attendra un moment, je pense que tu as besoin d’extériorisé un peut tout se qui t’arrives. Maintenant que c’est plus calme mais surtout que le petit et bien plus calme et qu’il est entrain de boire son lait, tu peux être tranquille et parler. Je t’écouterais dans tout les cas. Bien sur, je m’approche de la cuisine avec le petit dans les bras qui s’endors à moitié, mais qui dans des moments il se réveille pour téter de nouveau le biberon. C’était assez amusant à voir. Mais j’étais entrain de te regarder, j’avais l’habitude de voir ça. Je viens alors doucement m’appuyer sur le plan de travail et je te regarde t’agité pour que tu ne t’endormes pas se qui me fait doucement sourire. « Ne t’endors pas debout chouchou, si t’a besoin va te poser. Je ne pourrait pas te porter pour aller te mettre au lit ! » Je ris doucement en te regardant. Un peut d’humour ne fait pas de mal. Puis une fois que tu es prêt de moi, je tends doucement la joue pour que tu me fasses un bisou, le bisou oublier, le bisou qu’on oublie jamais quand on se voit.  

© Grey WIND.
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Message(#)#271 - Panique à bord ! EmptyDim 6 Déc 2015 - 22:48


Je crois que la fatigue a raison de moi. Je me sens beaucoup plus sur la défensive et de toute évidence je deviens aussi plus facilement irritable. Ce n’est pourtant pas mon genre de m’emporter, je suis quelqu’un de plutôt calme à l’ordinaire mais c’est comme si je lâchais de l’intérieur. C’est donc ça que ça fait de devenir parent ? J’ai la nette impression que ça ne le devrait pas – peut-être parce qu’on est supposé être deux pour supporter les difficultés du quotidien. Que quand j’ai fini ma journée et que je rentre je n’ai pas de femme à qui parler – il me manque quelque chose et pire que tout j’ai peur que cette présence manque à mon fils. Je ne comprends toujours pas comment Savannah a pu faire ça – comment elle a pu abandonner son propre enfant. C’est tellement ignoble que cette simple pensé me donne la nausée.   « T’en fait, je ne t’en veux pas. Je préfère que tu passes t’es nerfs sur ma personne que sur la sienne. » Je regarde mon fils si calme dans les bras de sa tante et je ne peux m’empêcher d’être un peu attendrit par la situation. « Je pourrais pas m’emporter contre lui… Regarde le… » C’est bien ça le problème mon fils est bien trop mignon pour que je lui en veuille de quoi que ce soit et pourtant il semble qu’il me faille un coupable de cette situation pour déverser un peu de ma frustration. C’était malheureusement pour elle tombé sur Liv mais ça aurait tout aussi bien pu être le facteur. « Et tu sais, même si tu penses qu’avec moi c’est si facile je peux te juré qu’avec toi ça le seras aussi. Je suis là pour t’aider non ? Laisser vous un peut de temps pour mieux vous connaitre l’un et l’autre chouchou ! » Du temps on va en avoir – des années devant nous pour apprendre à nous connaître pour qu’il me déteste comme tout adolescent qui se respecte, pour qu’il revienne plus tard pour me dire qu’il avait tord comme je l’avais moi même fait avec mon père. J’étais prêt à tout ça, mais ce que je vivais maintenant était une autre histoire. « Je sais que tu as raison Liv… C’est juste que c’est difficile parfois… » J’aimerai connaître cet instinct maternel qui me dirait automatiquement de quoi mon fils a besoin. Bien sur parfois je le sais, parfois je le vois ou je le pressent mais c’est assez rare pour ne pas me permettre de me sentir à la hauteur. « Je serais toujours ta sauveuse James. On est pas Bonnie et Clyde, mais, tu sais qu’on pourra toujours compté sur moi pour tout et n’importe quoi ! » Je laisse un léger sourire s’afficher sur mon visage alors que je hoche la tête. « Je le sais. Et tu sais que ça va dans les deux sens ? » Je ne suis pas assez débordé pour ne pas voir que c’est aussi une période difficile pour mon amie et si elle semble ne pas vouloir en parler pour le moment je voudrais être sur qu’elle sait que je suis toujours là pour elle. Même quand ma propre vie semble être un chantier je peux toujours l’accueillir et faire les travaux avec elle. Même si nous bossons sur des pièces bien différentes sans doute. Et que sa pièce à elle n’est sans doute autre que mon cher frère. L’homme qui sait si bien lui briser le cœur et si mal en recoller les morceaux.

« Si tu as du thé c’est avec plaisir. » Je m’active aussi vite qu’elle le demande pour aller faire chauffer un peu de thé.   « Sinon, tu veux m’en dire un peut plus, me raconté un peut plus de tout les petits secrets que tu me caches ? » Je laisse une légère grimace se faire sur mon visage alors que je reste à côté de l’eau chauffante. « Tu sais bien que je n’ai aucun secret pour toi ma Livouille. » Evidement c’est un mensonge et je lui adresse un sourire un peu stupide qui lui permet de savoir que le sujet est délicat. « Si on attendait de se poser tranquillement avant d’aborder les gros sujets ? » Tout pour reculer ce moment que je ne suis pas sur d’avoir envie de voir arriver. De plus je suis tellement fatigué que j’ai l’impression que malgré mon activité exagéré je n’arrive pas à donner le change et c’est ce que Liv me confirme quelques secondes après. « Ne t’endors pas debout chouchou, si t’a besoin va te poser. Je ne pourrait pas te porter pour aller te mettre au lit ! » Je rigole un peu en imaginant la scène. Elle aurait sans doute de quoi être comique avec une petite crevette comme elle entrain de me porter et quand je me retourne pour la regarder elle semble attendre quelque chose de moi. Je mets quelques secondes à comprendre. « Le bisou ! » Je me penche vers elle pour lui déposer un bisous sur la joue, un vieux rituel. « Tu vois je suis tellement à côté de mes pompes que même ça… » Je soupire un peu me passant la main devant le visage puis j’enlève l’eau du feu pour nous servir deux tasses. « Vient la choupette on va s’asseoir tranquillement comme ça au pire je m’assoupis dans le canapé et tu n’as pas la lourde tache de devoir me tirer jusque dans mon lit. » Je vais me poser sur le canapé et elle me rejoint avec Mathis dans les bras. Sans qu’elle ne me repose la question je me décide à aborder par moi même le sujet qui me tracasse. « Tu crois que je peux le faire Liv ? L’élever sans mère ? Et si il me détestait ? Il aurait personne vers qui se tourner… Je trouve ça tellement injuste. » C’est marrant que ces mots viennent de moi alors que j’ai moi-même manqué d’une mère dans ma vie mais j’avais toute cette famille pour m’aimer. Mathis n’a que moi… Et évidement quelques oncles et tantes prêt à lui donner beaucoup d’amour mais ça n’est pas la même chose. J’évite soigneusement de parler de Savannah… J’ai depuis mon retour prétendu qu’elle était morte et quand le sujet vient sur le tapis je dois feindre cette tristesse qui en réalité ressemble plus à une colère en moi.
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Message(#)#271 - Panique à bord ! EmptyMer 9 Déc 2015 - 23:29

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Bien sur que j’ai vue le comportement que tu as, bien sur que j’ai remarqué que tu ne veux pas lui faire le moindre mal. Mais ce qui est sur c’est que lui dans quelques années n’hésitera pas a t’en faire sans s’en rendre compte en réalité. C’est la que je serais là, près de toi quoi qu’il arrive, prête à t’épauler a te conseiller. Après tout je ne sais pas trop dans quel état d’esprit ce petit sera quand il rentrera des cours et qu’il verra qui lui manque un parent près de lui. Après tout, beaucoup d’enfant s’en sorte et réussis à vivre ainsi. Je sais que pour toi c’était ton cas mais tu avais t’es frères et ta sœur autour de toi pour t’aider, te soutenir. Peut importe, on trouve toujours une solution a un problème et là, je sais que tu seras totalement capable de faire face à ça. Quand tu regardes ton fils qui se trouve dans mes bras, je t’observe doucement. Je pouvais voir dans ton regard que tu es tout attendri mais aussi que tu as une certaine peur. J’espère de tout cœur que je vais réussir à te faire ôter une grande partie de cette peur. Mais je ne promets rien, je ne suis pas magicienne malheureusement… Alors que le moment était venu qu’il te fallait un coupable et que j’étais sur ton chemin je ne l’ai pas mal pris bien au contraire. Combien de fois j’ai vu ou bien entendus des parents me hurlé dessus en exprimant le fait qu’ils savent très bien s’occuper d’un enfant ? Combien de fois ils m’ont limites insultés en me disant que je ne suis qu’une pauvre infirmière qui croit s’y connaitre. Après tout ce n’est peut-être que le cas ? Est-ce que je serais meilleure que toi ou les autres le jour ou j’aurais mon propre enfant ? Enfin si j’en ai un, un jour. Je t’écoute attentivement, comme toujours. Tu as besoin de vidé ton sac et je suis là pour t’écouter et t’écouté si j’ai les mots et les moyens. « Tout est difficile James. Mais, ses épreuves sont des étapes a passé avec tranquillité mais aussi sagesse tu sais ? Sa ne viendra pas en un claquement de doigt. Il te faudra surement de l’aide, il te faudra surement que toi aussi tu souffles que tu puisses respirer un peut te dépensé, te reposer. Mais tout ça tu trouvera un rythme au fur et a mesure. » J’avais envie de te rassuré malgré tout. Je t’offre un petit sourire après ses quelques mots. Puis quand le tien apparaît enfin, difficilement certes, mais il apparaît et ça me fait plus que plaisir. Tu me rétorque que ça va dans les deux sens et ça je le sais. Je hoche doucement la tête positivement pour te faire comprendre que je le sais déjà. Combien de fois tu m’as accueillit chez toi quand ça n’allait pas avec ton très cher grand frère mais surtout mon mari. Combien de fois tu as pris mes appels alors que j’étais limite en pleure parce que je ne supportais plus rien au tour de moi que je voulais repartir en Écosse tout plaquer mais que tu as trouvé les mots pour me retenir. Bref je sais qu’à nous deux ont réussira à se soutenir a monté tout les épreuves de la vie qui se montrera a nous. On est un peut comme les cinq doigts d’une main, comme un couple des plus soudés. Mais on est tout simple des amis attaché l’un a l’autre qui ne veut que leur propre bien. Notre propre bonheur et je sais que je trouverais du réconfort a t’es côté comme tu le fais a présent avec moi.

A ma demande du thé, je te vois bouger dans tout les sens te laisse tout préparé. Mais ma question a se que tu m’en dises plus me bouffait les lèvres alors je me permets de te la dire. Bien sur je remarque ta grimace je comprends que c’est difficile. Même si tu ne m’aurais pas demandé que tu m’en dises plus plu tard j’aurais tout à fait compris avec les traits de ton visage. Je hoche doucement la tête de haut en bas. Après, tu as aussi le droit de ne pas tout me raconté ni même de tout me dire. « Je sais que tu n’as aucun secret pour moi Jamesouille. Mais après tout, tu as le droit d’avoir tes petits secrets que tu ne veux pas me dire. » Je souris a nouveau, oui tu as le droit, même moi j’en ais a ce moment là. Moment où je me trouve a t’es coter. Je dépose doucement mon regard sur ton fils, j’avais juste besoin d’observe un être remplis de douceur, de pureté j’ai envie de dire mais surtout un être qui pour le moment ne comprends pas se qui peut l’entouré. Je suis a présent entrain de te cacher une chose qui commence a me bouffé de l’intérieur, une chose que je ne t’ai pas dis mais qui viendra surement au fur et a mesure. Ce n’est pas moi ni mes problèmes qui sont le principales aujourd’hui mais toi et l’énorme poids que tu portes sur t’es épaules. Mais je relève mon regard sur ta personne j’avais envie de plaisanté un peut. Mais c’est aussi que j’ai remarqué que ton fils commence à s’endormir dans mes bras. J’exprime le fais que tu ne dois pas a ton tour le faire. Ca pourrait être tellement drôle mais, moi et ma petite force de mouche je te laisserais plutôt là par terre à dormir qu’à essayer de te trainer. Je te donnerais une couverture bien sur mais c’est tout. Après cette plaisanterie je t’ai regardé en tendant un peut ma joue en avant quand tu dis « le bisou ! » Je souris en sentant t’es lèvres sur ma joue, mais je ne t’en veux pas. Je sais que tu allais me le faire tôt ou tard mais j’aimais bien aussi en réclamé a tout va. Je te laisse passer le premier pour quitté la cuisine avec les tasses en main, quand tu t’assois sur le canapé en répliquant ses mots un petit rire m’échappe en venant a t’es coté. « Oh que c’est gentil ! Je veillerais sur deux bébés durant leur sommeil alors ! » C’est vrai que même si tu t’assoupis pendant que je suis là a t’es coter je ne vais pas t’en vouloir je veillerais sur Mathis durant ton sommeil pour que tu le rattrape au maximum. Je dépose ensuite le biberon vide sur la table et laisse le petit dans la position allonger contre moi. Je dépose mon regard sur ta personne en plissant doucement mes sourcils « Bien sur que oui tu en ais capable chouchou ! Tu ne pourra pas jouer deux rôles en même temps mais tu peux essayer de faire en sortes que. » De ma main libre je la passe doucement dans la tienne pour la serré doucement. « Un enfant, quand il est adolescent il déteste le monde entier et je sais de quoi je parles. » a mon adolescence je détestais tout le monde même mes propres parents, qui est surement un peut le cas maintenant. Mais je t’avais raconté toutes les conneries que j’ai pu faire pour les faires rallé. Puis je reprends « Tu ne peux pas le niés ça. Mais il aura toujours quelques vers qui aller, se retourner. Tu ne le verras pas forcément, mais, un ami, l’un de t’es frères, t’es neveux et nièces seront là. Donc tout le monde pourra l’aider et, il grandira avec les enfants des tes frères t’en fait pas pour ça ! » Puis le mot injuste est prononcé, je me pince doucement les lèvres resserrant l’étreinte de ta main dans la mienne. « Non James… Ce n’est pas injuste il a la joie d’être avec toi, d’être avec l’un de ses deux parents. Ses vrais parents ! » Tout a coup je pense a ma sœur jumelle, Asla, elle qui a grandit dans un famille différente de la mienne. Certes elle a trouve le bonheur d’avoir des parents qu’il l’aime mais, d’autre on perdu leurs deux parents mais ce n’est pas la joie. Je n’ose pas entamé la conversation sur Savannah sachant que tu m’as dis qu’elle n’est plus de se monde et se qui me désole fortement.

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Message(#)#271 - Panique à bord ! EmptyDim 20 Déc 2015 - 23:19


Je crois que j’avais simplement besoin de me livrer à quelqu’un de laisse sortir un peu de ce qui me ronge de l’intérieur. Toute cette inquiétude que je me fais sans cesse pour Mathis. « Tout est difficile James. Mais, ses épreuves sont des étapes a passé avec tranquillité mais aussi sagesse tu sais ? » Je le savais mais je n’étais pas sûr d’avoir la sagesse nécessaire pour le faire.  « Sa ne viendra pas en un claquement de doigt. Il te faudra surement de l’aide, il te faudra surement que toi aussi tu souffles que tu puisses respirer un peut te dépensé, te reposer. Mais tout ça tu trouvera un rythme au fur et a mesure. » [/color] Je n’avais pas envie de me reposer, j’avais juste envie d’être à la hauteur, j’avais envie de tout donner à mon fils parce qu’il le méritait mais aussi parce que jusqu’ici il n’avait pas été gâté. J’aurais voulu pourvoir le protéger de tout même si je sais au fond de moi que c’est impossible et que c’est aussi nos erreurs qui forgent notre caractère.

Le thé prêt je finis pas aller me poser à côté de Liv. La voir ici me détend d’un coup et je sens un peu plus la fatigue venir. Mais je n’ai pas envie d’y céder je veux profiter de ce moment privilégier avec ma meilleure amie. Et j’ai besoin de me lâcher un peu et de lui parler, parce que je sais qu’elle est là pour moi. Que c’est une des femmes les plus importantes de ma vie et qu’il en serra probablement de même pour Mathis. « Bien sur que oui tu en ais capable chouchou ! Tu ne pourra pas jouer deux rôles en même temps mais tu peux essayer de faire en sortes que. » Je hoche la tête me mordant nerveusement la lèvre du bas. Le sujet est sensible pour moi – assez pour que je peine à lui en parler d’ailleurs. Sa main vient trouver la mien et je la serre un peu plus fort heureux qu’elle soit là avec moi. « Un enfant, quand il est adolescent il déteste le monde entier et je sais de quoi je parles. » Je rigole un peu. Qui n’a pas mené la vie dure à ces parents de toute  façon, je m’y attends moi aussi. « Tu ne peux pas le niés ça. Mais il aura toujours quelques vers qui aller, se retourner. Tu ne le verras pas forcément, mais, un ami, l’un de t’es frères, t’es neveux et nièces seront là. Donc tout le monde pourra l’aider et, il grandira avec les enfants des tes frères t’en fait pas pour ça ! » Ces mots me rassurent, je sais déjà que tout le monde est là  pour moi – pour lui. Mais parfois j’ai peur que la vie soit trop dur pour ce petit bout de chou et de ne pas pouvoir tout lui donner.

« Non James… Ce n’est pas injuste il a la joie d’être avec toi, d’être avec l’un de ses deux parents. Ses vrais parents ! » Je sourie un peu et je vais déposer un baiser sur la joue de mon amie. « Merci Liv… Pour tes mots et ta présence. Tu es la meilleure. » Je suis heureux d’avoir ce bout de femme dans ma vie. Je retourne me poser au fond du canapé et cette fois je tourne mon regard vers elle. « Et toi Liv comment tu vas ? Réellement ? » Je sais qu’on est tout les deux habitués à se dire que tout va bien même si ça n’est pas le cas mais que ce soir c’est le moment parfait pour se  parler vraiment.
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Message(#)#271 - Panique à bord ! EmptyMar 22 Déc 2015 - 14:27

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#271 - Panique à bord !
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Malgré tout se qui peut se passer dans ma propre vie, je serais toujours très présente pour mon meilleur ami. Je sais qu'il a besoin de moi en ce moment et, je ne vais pas lâcher l'affaire. Bien sur que non, je ne lâcherais jamais l'affaire avec lui quoi qu'il arrive, quoi qu'il se passe. Il est tellement important pour moi que, je ne pourrais pas m'imaginer ne pas être a ses coter. Quand tu m'as appeler en catastrophe pour que je vienne t'aider que tu ne t'en sortais pas je trouvais ça totalement normal que je sois là près de toi. C'est une épreuve assez difficile que tu vas surmonté et je veux t'aider que tu le veuille ou non, de toute façon je serais là a t'es coter pour t'aider mais aussi pour t'épauler. Comme on l'a toujours fait de toute façon, ça ne changera pas d'aussi tôt. Comme nous l'avons toujours fait. Je fais de mon mieux pour te rassuré sur les événements a venir mais surtout je fais tout pour que tu ne t'inquiète pas trop quand il va grandir. Certes il n'a plus que toi, mais il aurait des tas d'autres personnes qui va l'entouré mais aussi on sera beaucoup a t'entourer pour t'encourager dont moi la première.  

J'ai remarque que, quand on c'est assis sur le canapé tu semblais être plus serin, plus détendu que quand je suis arriver. Sûrement parce que mes paroles soulages tes inquiétudes, ma présence qui te fais un bien fou tout simplement. Tout en te parlant je te regarde, je ne suis peut-être pas la meilleure dans ce domaine mais, étant en contact avec des enfants toutes la journée, écoutés leurs histoires, leurs problèmes j'arrive a conseiller, puis après tout il y a aussi une certaines expériences qui est là malgré nous. On c'est tous qu'adolescent ont étaient pas des enfants modèles donc, c'est bon de s'en rappeler a nouveau. Je souris a ce moment là, amuser vue ton petit rire comme si ce n'était pas anodin ce que je viens de dire. Prendre ta main dans la mienne, continuer de te parler pour te rassuré. J'ai l'envie que tu t'en sorte. Puis quand tu déposes un baiser sur ma joue accompagner de ses mots je ne peux m'empêcher de sourire. « Ne me remercie pas James, c'est normal je serais toujours là pour toi. » Je garde mon regard déposer sur ta personne en te disant ça. Même si mutuellement nous le savons on aime bien ce le dire encore qu'on est là l'un pour l'autre n'importe quand. Et on ne c'est jamais déçu sur ce point là. Je te laisse prendre place au fond du canapé, pivoté un peut pour pouvoir te regarder. Puis cette question, la question que j'aurais aimé évité. « Ca va. » Mais je baisse rapidement mon sur ton fils pour évité le tien, mon sourire s'efface petit à petit, j'en ais marre de mentir à tout le monde la dessus. Je laisse un petit blanc puis je reprends d'un voix un peut moins rassurante, entraînante que j'avais quand je te rassurais. C'est une voix un petit plus faible et triste. « Ca va pas en faite... Plus rien ne va en réalité... » Je soupire doucement en fermant un instant les yeux puis les rouvres pour venir te regarder « Sam et moi c'est... J'ai plus envie de continuer a faire des efforts vue qu'il n'en fait pas. A cause de toute ça, de lui, de son comportement en vers moi j'ai littéralement péter un plomb le mois dernier à l'hôpital... » Je secoue doucement la tête, j'ai eu des vacances forcés a ce moment là mais c'est qu'un détail. « J'arrive pas a savoir se qu'il lui arrive. En plus de ça c'est où il est adorable et veut faire des efforts et le lendemain j'ai l'impression qu'il a tout oublier... » Je passe doucement une de mes mains dans mes cheveux pour les mettre en arrière. Ca me pèse cette situation, j'ai vraiment l'impression qu'il ne veut faire aucun effort pour que ça dure nous deux...

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Message(#)#271 - Panique à bord ! EmptySam 26 Déc 2015 - 19:24


Grace à Liv je me sens apaisé, comme si le simple fait de lu parler ou de l’avoir près de moi était un soutien. Sans doute parce que c’est le cas et parce que je sais qu’elle ne m’abandonnera jamais. Qu’elle sera toujours là pour mon fils et moi. Maintenant que j’ai vidé mon sac je me sens vraiment plus apaisé, de plus Mathis semble vraiment bien installé dans les bras de sa tante, si c’était un chat il ronronnerait sans doute mais là il se contente de fermer les yeux affichant un léger sourire de satisfaction sur ces lèvres. « Ne me remercie pas James, c'est normal je serais toujours là pour toi. » Je le sais déjà mais entendre ces mots sortir de la bouche de ma meilleure amie me fait un bien fou. Maintenant que je me sens mieux je peux m’intéresser un peu plus à elle. « Ca va. »Le ton de sa voix a changé, et je n’ai pas besoin de la regarder longtemps pour voir qu’elle est entrain de me mentir. Il est évident que quelque chose la tracasse et ce depuis quelques semaines maintenant. Je m’en veux presque de ne pas avoir été plus présent pour elle, plus à l’écoute mais ce soir je suis tout à elle et beaucoup plus détendue maintenant. « Ca va pas en faite... Plus rien ne va en réalité... » J’hoche la tête plongeant mon regard dans le sien, je suis heureux qu’elle puisse se confier à moi. « Qu’est ce qui se passe mon chat ? » Je ne quitte pas son regard comme pour tenter de lui donner la force de me parler, qu’elle sache que je suis là tout pour elle si elle en a besoin. « Sam et moi c'est... J'ai plus envie de continuer a faire des efforts vue qu'il n'en fait pas. A cause de toute ça, de lui, de son comportement en vers moi j'ai littéralement péter un plomb le mois dernier à l'hôpital... » Ca fait tellement longtemps que ça dure maintenant que j’ai oublié la période où ils étaient heureux, celle où je regardais mon frère et ma meilleure amie en me disant qu’ils s’apportaient l’un à l’autre quelque chose. Aujourd’hui ils sont comme deux inconnus qui partagent la même vie. Les voir sombrer de cette façon me fait du mal mais encore plus quand Liv semble tout faire pour tenir leur couple à flot alors que Sam n’en rame pas une. Je me suis toujours tenu éloigné de leur soucis de couple, jugeant que ça n’était pas mon devoir de tenter de les régler. Liv et ma meilleure amie et Sam mon frère je suis donc la personne la plus mal placée pour prendre position entre eux. Je me contente d’écouter Liv, de tenter de savoir ce qu’elle veut et non pas ce que j’aimerais pour eux même si évidement parfois mon propre intérêt doit se faire ressentir. « J'arrive pas a savoir se qu'il lui arrive. En plus de ça c'est où il est adorable et veut faire des efforts et le lendemain j'ai l'impression qu'il a tout oublier... »

« Tu… tu veux le quitter ? » Les mots sortent difficilement de ma bouche tant je pressens le drame que ces mots instaurent. Sam et Liv ont souvent eu des problèmes mais jamais je ne l’ai vu baisser les bras et c’est ce qu’elle semble vouloir faire aujourd’hui. Je ne pourrais jamais lui en vouloir pour ça elle a tenu bien plus longtemps que quiconque n’aurait su le faire. Sans doute parce qu’en mariant Sam elle savait à quoi s’attendre, jamais il ne lui a caché sa vrai nature d’homme torturé mais, ces dernières temps ça semble de plus en plus difficile à vivre pour Liv. « Tu sais bien que quand ça concerne Sam je n’ai aucun conseil à te donner, tu es la seule personne que je connaisse qui soit capable de le comprendre… Juste un peu… » J’aurais voulu faire plus. Partager avec mon frère assez pour être une aide pour leur couple mais ça n’est pas le cas. Ca ne l’a jamais été. Au lieu de ça je me rapproche de Liv pour passer mon bras sur ces épaules et déposer un baiser sur sa tempe. « Tu l’aimes encore ? » Je pense que la réponse est évidente sinon elle aurait sans doute cessé de se battre. Mais pour moi elle a bien plus d’importance que tout le reste.
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Message(#)#271 - Panique à bord ! EmptyDim 27 Déc 2015 - 20:57

Remind yourself that nothing will ever change. I would always be there, present for you no matter what. You're like a brother to me, I would never let down.
#271 - Panique à bord !
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Lorsque je dépose mon regard sur ton fils je peux le voir, ainsi les yeux clos avec son petit sourire d'enfant totalement innocent, de bébé qui ne comprend pas tout se qui se passe autour de lui. Je ne préfère pas le toucher par peur de le réveiller ni même de vraiment bouger. J'aime aussi l'avoir dans les bras, il est tellement sage que par moment je n'ai pas l'impression de l'avoir contre moi. Mais en même temps que je, que j'ai réussi, a clamé Mathis je réussi aussi a te rassuré. Sa ce voit alors sur ton visage, plus détendus. Mais la conversation tourne rapidement sur moi, mon état. Au début j'essaye de te mentir mais ça ne fonctionne pas. C'était comme si mon corps avait envie de me pousser a tout exprimer, tout dire, tout sortir. Il c'est tellement passer de chose en un rien de temps que je pense en avoir un peut a porte sur mes épaules. Après t'avoir dit qu'en réalité ça ne va pas, je dépose un instant mon regard dans le tien, puis je déballe tout d'un coup. La triste est belle et bien présente dans mon regard. Te parler de Sam je ne sais pas si c'est la meilleur des choses mais j'en ai besoin, j'ai besoin de m'exprimer enfin sur cette relation qui, à présent n'est plus se qu'elle était. Je sais que tu allais directement être partager la dessus, mai au moins tu sais de quoi il en tient depuis quelque temps. Je sais que même pour toi ça doit te faire quelque chose, c'est quand même grâce a toi qu'on c'est rencontré puis les choses banales sont venus en suivant. Je sais que tu étais le plus heureux pour nous deux quand on t'annoncer la nouvelle. Bref, a présent je suis entrain de t'expliquer que plus rien ne va dans notre couple mais surtout que ton frère ne fait plus aucun effort requis pour. Je sais que, en me mettant avec lui ça allait être difficile mais nous avions appris a se connaître a vivre ensemble. Mais je laisse un petit soupire m'échapper, un soupire triste. Comme si j'étais totalement entrain de lâcher prise et, ça doit être le cas. Après avoir passer ses quelques jours de vacances avec Daniel, après qu'il soit partie a Sydney, j'ai pas l'impression que ça ait changer quelques choses bien au contraire, j'ai l'impression que sa soit dégradé, encore plus.

« Non, non pas du tout ! Je ne le souhaite pas du tout. » Je pouvais sentir que ça t'affecte aussi, mais, je n'ai vraiment plus la fois de me battre pour ça. Même le jour ou j'ai essayer de parler a Sam d'enfant je n'ai pas baisser les bras comme ça. « Je ne le veux pas surtout... » le quitter, comme je pourrais faire ça. Je l'aime bien trop pour que ça puisse arriver, que je puisse le faire. Je suis un capable de lui briser le cœur mais est-ce que lui il est entrain de briser le mien ? Je ne sais pas... Malheureusement je commence a sentir mes larmes me monté, je les retiens au maximum puis quand tu me dis que je suis la seule capable de le comprendre un minimum je hoche doucement la tête. « Je sais bien, j'arrive aussi a le raisonner mais là... Je n'y arrive pas. Il le veut sûrement pas, ne veut plus être raisonner... » Je soupire a nouveau baissant un peut mon visage puis de ma main libre je la passe doucement dans mes cheveux pour les mettre en arrière. Je te laisse te rapprocher de moi, m'enlacer et embrasser ma tempe. Je dépose alors mon visage contre ton épaule en me resserrant un peut contre ta personne. Un peut de tendresse, de réconfort, d'amour, oui tout ça me fait du bien. Comme a chaque fois que je me retrouve dans tes bras, ça me fait un bien fou. Par moment il nous faut qu'une simple étreinte pour nous réchauffer le cœur, comme a présent.. A ta question je hoche a nouveau la tête puis mes paroles ne se fait tardé « Oui je l'aime. Oui je l'aime malgré qu'il soit comme ça. Oui je l'aime plus que tout et non je ne sais pas s'il se rend vraiment compte a quel point je l'aime... » Malgré qu'il soit ainsi je l'aime, j'ai eu un coup de foudre pour lui et, si je ne l'aimerais pas ça ferait un moment qu'on aurait tout arrêter et même je ne pense pas qu'on se serait marié. Mais ça me fait du bien de le dire, je n'ai pas souvent l'occasion de lui exprimer. Puis je rajoute d'un petite voix « Je sais que tu ne peux rien me conseiller pour ton frangin mais... Ca me fait du bien de t'en parler. » Je pense que si je n'aurais pas a mes coté je ne sais pas se que je ferais. Je sais que je peux me laisser aller sans jugement. Rien que de te savoir a mon écoute me réconforte.

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Message(#)#271 - Panique à bord ! EmptyDim 10 Jan 2016 - 16:49


Evidement le sujet me touche. C’est de mon frère qu’on parle de ma famille. Cette famille dont Liv fait parti et que j’ai peur de voir exploser à tout moment. Et en même temps je ne pourrais jamais lui en vouloir de partir – d’abandonner Max parce que si je l’aime sans aucune retenu comme on aime les gens de sa famille je sais que tout le monde ne peut pas l’accepter aussi facilement. Et que Max est un homme à part. « Non, non pas du tout ! Je ne le souhaite pas du tout. » Je ne sais pas si ces mots me rassurent ou m’inquiètent encore plus. Cette façon dont Liv se donne corps et âme dans cette relation qui lui fait du mal. « Je ne le veux pas surtout... » Je déteste voir ces larmes perler au coin de l’œil de Liv, je voudrais la protéger de la douleur mais j’en suis incapable. Ce qui se passe entre Max et elle est quelque chose de privé sur lequel je n’ai aucune portée. «Je sais bien, j'arrive aussi a le raisonner mais là... Je n'y arrive pas. Il le veut sûrement pas, ne veut plus être raisonner... » Je ne sais quoi lui répondre. En vérité je pense qu’elle n’attend pas de réponse de ma part, juste du soutiens et c’est pour ça que je me rapproche d’elle pour l’enlacer. Je lui laisse le temps pour la parole, pour décider de ce qu’elle veut ou pas me dire. « Oui je l'aime. Oui je l'aime malgré qu'il soit comme ça. Oui je l'aime plus que tout et non je ne sais pas s'il se rend vraiment compte a quel point je l'aime... » En tout cas une chose est sûr, il ne la traite pas comme elle le mérite. J’aurais voulu que mon frère lui apporte plus, ou en tout cas plus longtemps. Parce qu’au début tout le monde y avait cru à cet amour naissant et beau. Puis il avait semblé partir en vrille sans que personne ne comprenne pourquoi – pas même Liv. « Je sais que tu ne peux rien me conseiller pour ton frangin mais... Ca me fait du bien de t'en parler. » Je me rassure en entendant ces mots. Parce que  je ne peux rien faire de plus. « Unis comme les doigts de la main. » Je vais, pour illustrer mes propos, attraper sa main pour unir nos doigts et je referme mon emprise un peu plus fortement. « Tu peux venir ici quand tu le vieux Liv, ma porte te sera toujours ouverte et la chambre d’amie t’es réservée si tu as besoin de prendre un peu d’espace un soir. » Je ne savais pas encore à quel point elle aurait besoin de cette chambre. Après cette discussion je sens que la fatigue se fait plus grande. Je quitte Liv en lui disant qu’elle peut rester si elle le veut ou partir, j’ai juste besoin de dormir un peu avant que Mathis ne me réveille une nouvelle fois. Les nuits sont courtes avec lui, il faut profiter de chaque seconde.
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