ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
Clarence Aldridge et Helen Stenfield adorent ce message
a good neighbor is a blessing from above credit gif tinytowns @Helen Stenfield + Ethel Hartfield
C’était rare que tu sois seule chez Clarence. Tu étais normalement toujours accompagnée au moins d’Emilia et souvent, tu restais quand son père était présent également. Au fil des mois, la relation que tu entretenais avec lui s’était solidifiée. Tu n’arrivais pas à mettre les mots exact sur ce lien qui s’était tissé doucement, mais rapidement en même temps, mais ce que tu savais, c’était que tu avais ce besoin d’être en contact quasi constant avec lui. Que ce soit en étant avec Emilia, en lui envoyant des SMS beaucoup trop souvent si on considérait que tu étais son employée et lui ton patron ou encore en restant chez lui même s’il était présent. Vous aviez cette dynamique bien spéciale à vous et sans que tu t’en rende compte, tu ne t’imaginais plus sans Clarence et Emilia dans ta vie. Cet après-midi-là, Clarence quitta la maison avec la jeune fille pour aller à un rendez-vous de routine chez le pédiatre. Tu avais décidé de rester pour pouvoir faire un peu de ménage. Il ne te l’avait pas demandé, il avait plutôt insisté pour que tu prennes ce temps pour toi-même. Pour être honnête, tu lui avais même dit que tu relaxerais dans la cour arrière avec un livre pour qu’il quitte alors que tu n’en avais pas du tout l’intention. Tu savais bien qu’il aurait continué d’insister pour que tu prennes ton congé alors que ce n’était pas ce que tu avais envie. Aussitôt la porte fermée, aussitôt tu sortis les produits ménagers, aspirateur et vadrouille. Tu mis alors ta meilleure playlist de musique country dans les enceintes aussi fort que tu le désirais, sachant que tu avais autour de deux heures sans avoir peur qu’ils reviennent et qu’ils se moquent tous les deux de tes goûts musicaux. Tu avais toujours procédé de cette manière pour te motiver à faire tes tâches domestiques. Frotter les planchers avec la vadrouille en chantant Man, I feel like a woman contribuant à ce qu’ils soient étincelants. Fidèle à toi-même, tu te mis à danser sans regarder autour de toi au préalable. Ce qui devait arriver arriva : le saut d’eau était derrière toi et tu te pris les pieds dedans, tombant de tout ton long sur le dos, par-dessus le saut. Le souffle te coupa lorsque tes côtes entrèrent en contact avec ce dernier. Lorsque tu réussis à le reprendre, la douleur qui te traversait la cheville gauche était vive. Tu ne t’étais pas vraiment rendue compte qu’elle avait tordue lorsque tu étais tombée. Tu avais des difficultés à te relever par toi-même, mais tu ne voulais pas appeler Clarence. De toute manière, le temps qu’il revienne de l’hôpital, probablement que tout serait rentré dans l’ordre. Quelques minutes passèrent et tu étais toujours assise au sol au milieu de ta flaque d’eau savonneuse, incapable de mettre du poids sur ta cheville. Tu attrapas ton portable dans ta poche et fit ce que tu n’avais jamais fait encore : tu envoyais un sms à la voisine, trop gênée pour l’appeler. Bonjour, c’est Ethel, la nounou d’Emilia. Je suis seule chez Clarence et j’ai tombée au sol, vous croyiez que vous pourriez venir me donner un coup de main ? Je crois que j’ai peut-être une cheville cassée… Clarence t’avait dit lorsque tu avais commencé à travailler pour lui que la voisine était également médecin et que si tu avais besoin d’aide, de ne pas hésiter à l’appeler. Tu lui avais certifiée que tu étais capable de t’en sortir toute seule normalement, mais tu étais forcée d’admettre que cette journée-là, tu ne l’étais pas…
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Dernière édition par Ethel Hartfield le Mer 21 Aoû 2024 - 16:41, édité 1 fois
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement POSTS : 1736 POINTS : 4100
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #11 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10
☆ HELIVE + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
☆ YASMEN #3 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2
Ethel Hartfield et Clarence Aldridge adorent ce message
a good neighbor is a blessing from above mai 2024 - logan city, chez Clarence crédit gifs(elyyxiumgifs) + @Ethel Hartfield
La décision était prise depuis plusieurs jours déjà et elle franchit aussitôt le pas en appelant le coiffeur pour prendre rendez-vous : elle souhaitait revenir au carré court. Au revoir les cheveux longs. Ou plutôt, au revoir son ancienne vie de femme constamment en proie au doute sur les choix effectués ces dernières années. Oui, elle reconnaissait la pression subie par ses parents sur son boulot. Oui, elle reconnaissait qu'ils régissaient sa vie depuis toujours. C'était clair, pendant des années, Helen avait vécu les rêves de ses géniteurs, pas les siens. Cette révélation la soulagea d'un terrible poids, mais pour autant cela n'atténuait pas la douleur qui habitait son cœur depuis des jours maintenant. La tromperie de Sam était difficile à digérer, d'autant plus qu'elle gardait ce secret enfoui en elle, n'osant pas affronter le moment de la révélation à son époux. Plus elle retardait l'échéance, plus elle avait ce sentiment que ce n'était peut-être qu'un rêve qui allait bientôt se terminer. Helen était pourtant certaine de ce qu'elle avait vu, ce soir-là.
En sortant du coiffeur, la jeune femme s'était sentie comme revivre, même si au fond son quotidien ne changeait pas d'un poil... la seule exception étant l'absence d'Izan dans sa vie, mais cela, elle préférait ne pas y penser. Ensuite, Helen était rentrée chez elle pour mettre à profit son jour de repos et avancer dans une des séries que lui avaient conseillé l'homme qui partageait ses draps en secret. En plein milieu d'un épisode, son téléphone se mit à vibrer. Elle venait de recevoir un message d'un numéro non-enregistré dans son répertoire. "Bonjour, c’est Ethel, la nounou d’Emilia. Je suis seule chez Clarence et j’ai tombée au sol, vous croyiez que vous pourriez venir me donner un coup de main ? Je crois que j’ai peut-être une cheville cassée…" Plus d'une fois, Helen avait aperçu la présence de la fameuse nounou chez son collègue et voisin Clarence. Ce dernier lui avait confirmé que les choses se déroulaient à merveille entre Ethel et Emilia, ce qui enchantait grandement la chirurgienne. Pour avoir gardé deux ou trois fois la petite fille, Helen pouvait sans mal assurer qu'elle devait être très agréable à garder au quotidien. Quant à Ethel, la chirurgienne ne la connaissait que de loin. Elle savait qu'il s'agissait de la petite sœur de Ruben, qu'elle avait autrefois croisé durant l'enterrement de Jackson, leur frère aîné à tous les deux. Au vu de l'urgence de la situation, la chirurgienne pressa le bouton pause de la télécommande et se prépara à sortir, en ayant au préalable pris leur trousse de soin, au cas-où. Même si elle se rendait au domicile d'un médecin, Helen ne voulait pas paraître intrusive et fouiller partout pour trouver de quoi soigner la jeune maladroite, qui avançait une cheville cassée. Lorsqu'elle arriva au niveau de la porte d'entrée, la brune toqua trois fois à la porte pour manifester son arrivée, puis se permit d'entrer aussitôt, estimant que la jeune Ethel n'allait probablement pas être en mesure de lui ouvrir. A raison, car elle retrouva la jeune femme sur le plancher du salon, au beau milieu d'une flaque d'eau savonneuse. « Bonjour Ethel, vous avez bien fait de me contacter ! Je suis venue aussi vite que j'ai pu. Tout va bien hormis votre cheville ? » Question importante, car il pouvait y avoir plus important à prendre en charge avant la cheville. Sa tête par exemple ? « Votre tête a-t-elle cogné contre le sol ? » Qu'elle puisse éviter d'envoyer une autre Hartfield à l'hôpital, Ruben semblait déjà la détester suffisamment.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
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Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
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Tu avais croisée Helen plus d’une fois depuis que tu étais nounou chez Clarence. Tu ne lui avais toutefois jamais adressé la parole, ne voulant pas être intrusive envers cette voisine. De toute manière, tu étais souvent accompagnée d’Emilia qui prenait toute ton attention ou encore en direction de quelque part. Tu ne voulais pas la déranger en cette fin d’après-midi, mais tu ne pouvais tout de même pas appeler Clarence alors qu’il avait un rendez-vous avec sa fille et tu ne voulais surtout pas inquiéter Ruben avec quoi que ce soit. Tu avais assez d’une visite à l’hôpital depuis le début de l’année, si tu pouvais te sauver d’une deuxième, tu le ferais sans hésiter. Et puis, tu ne pouvais pas rester assise là, dans la flaque d’eau savonneuse pendant des heures… Ta meilleure alternative restait vraiment la voisine, en ayant bien sûr Ruben comme alternative si elle ne répondait pas. L’absence de réponse à ton SMS pendant quelques minutes commença à te faire douter de sa présence chez elle, jusqu’à ce que tu entendes toquer à la porte. Trois petits coups avant que cette dernière s’ouvre sur la brune. « Bonjour Ethel, vous avez bien fait de me contacter ! Je suis venue aussi vite que j'ai pu. Tout va bien hormis votre cheville ? » Un soulagement prit place dans tes yeux. La nervosité de rester sur le sol plus longtemps que tu ne le désirais avait pris place dans ton esprit lorsque tu avais compris que tu ne serais pas capable de te relever seule. Helen était là maintenant et même si tu ne savais pas si c’était une bonne médecin ni quel était sa spécialité, elle allait très certainement être capable de t’aider à te relever au minimum. « Je suis vraiment désolé du dérangement… C’est Clarence qui m’a laissé votre numéro de portable au cas où j’aurais besoin un jour… » À l’aide de tes bras, tu réussissais à t’asseoir tout en faisant attention que tes mains ne glissent pas dans l’eau savonneuse. Tu pris quelques secondes pour voir si d’autres douleurs apparaissaient pendant que tu bougeais tranquillement. « Je crois que oui. J’ai eût le seau d’eau dans les côtes et le souffle m’a coupé, mais tout me semble correct de ce côté-là maintenant… » Ta cheville était gonflée, légèrement bleutée. Tu avais vraiment l’impression que pour une fois, tu avais bien réussis ton coup et que, comme ta mère te le disait si souvent, tu avais réussi à te casser un membre. C’était étonnant d’ailleurs que ça ne te sois pas déjà arrivé. « Je ne crois pas que ma tête ait cognée où que ce soit. » Et tu étais quasiment certaine qu’il n’aurait pas fallu que ça arrive puisque tu avais fait un léger traumatisme crânien au mois de mars. Tu ne t’y connaissais pas vraiment en matière de médecine, mais tu étais quasiment certaine d’avoir entendu à un endroit où une autre que lorsqu’un trauma de ce genre se produisait, c’était plus risqué d’en faire d’autre facilement et de rester avec des séquelles à plus ou moins long terme. « C’est un plaisir de faire votre connaissance dans un moment aussi glorieux. » Tu laissas laisser échapper un petit rire qui se voulait timide, mais bien présent. Tu ne te souvenais pas d’avoir vu Helen auparavant aux funérailles de Jackson. Et pour être honnête, si tu t’en étais souvenu, tu ne l’aurais probablement pas appelé en renfort. Tu n’aurais pas pris la chance de voir dans ses yeux une quelconque tristesse en te regardant. La journée du dernier aurevoir à l’aîné de votre fratrie, tu étais dans un état absolument lamentable. Tu avais pleuré de ton lever jusqu’à ce que tu tombes de sommeil et tu n’avais pas été capable de regarder qui que ce soit qui s’était présenté pour venir vous souhaiter leurs condoléances. De toute manière, il y avait eu tellement de gens que tous les visages s’étaient emmêlés dans ton esprit.
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Helen Stenfield
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@Ethel Hartfield mai 2024 - logan city, chez Clarence ¤¤¤ crédits gifs (elyyxiumgifs) / code (boté du sud )
Ce n'était pas la première fois qu'Helen mettait les pieds chez son collègue Clarence mais, pour le coup, elle n'était jamais venue ici en son absence. Le médecin urgentiste pouvait avoir son petit caractère grognon et renfrogné, néanmoins Helen et lui s'étaient liés d'amitié au fil des mois, alors elle imaginait qu'il ne dirait rien à l'idée qu'elle soit chez lui, sans que lui n'y soit. De toute façon, la chirurgienne n'imaginait pas abandonner Ethel qui nécessitait son aide avec sa cheville dite cassée, alors elle n'hésita pas l'ombre d'une seconde à franchir le seuil de la porte de son collègue. En voyant la jeune femme à terre, Helen se dit qu'elle avait eu raison de venir à son secours. « Je suis vraiment désolé du dérangement… C’est Clarence qui m’a laissé votre numéro de portable au cas où j’aurais besoin un jour… » « Ne vous excusez pas, vous avez bien fait. » La rassura-t-elle. La première chose qui l'inquiétait, c'était si sa tête avait subi un choc, alors elle lui posa rapidement la question, pour écarter la possibilité d'une commotion cérébrale, ou d'un traumatisme crânien, selon la violence de la chute. « Je crois que oui. J’ai eût le seau d’eau dans les côtes et le souffle m’a coupé, mais tout me semble correct de ce côté-là maintenant… » Donc normalement, à part la cheville, rien de grave. Ouf, c'était rassurant. Pour être honnête, Helen n'avait pas très envie de mettre les pieds à l'hôpital aujourd'hui... mais bon, s'il l'avait fallu, bien évidemment qu'elle l'y aurait tout de même accompagné. « Je ne crois pas que ma tête ait cognée où que ce soit. » La jeune femme avait été capable de se relever seule, et tout ce qui semblait douloureux à l'heure actuelle était sa cheville qui semblait avoir doublé de volume. La jeune femme grimaça néanmoins en constatant que le bleu n'était pas très joli à voir. « C'est une bonne chose, on va dire que vous avez eu de la chance dans votre malheur. » Le résultat final pouvait être pire, très honnêtement. « C’est un plaisir de faire votre connaissance dans un moment aussi glorieux. » Un rire discret s'échappa des lèvres de la chirurgienne, en constatant la timidité avec laquelle Ethel s'adressait à elle. A vrai dire, de son côté, ce n'était pas la première fois qu'elle la voyait. Même si Helen ne lui avait pas adressé la parole durant les funérailles de Jackson, elle l'avait aperçu au loin. Mais, ne voulant pas nécessairement raviver ce douloureux souvenir chez la jeune femme, Helen préféra lui retourner l'honneur également : « Pareil, j'ai eu l'occasion de vous apercevoir plusieurs fois pour vous rendre ici, je suis contente qu'on se rencontre enfin.» Elle ne prononcerait pas l'habituelle réplique de 'Clarence m'a parlé de vous', vu que la nourrice semblait posséder une certaine timidité en elle, Helen ne savait pas si cela lui ferait plaisir ou l'emplirait plutôt d'un sentiment d'inconfort. Elle n'ajouta donc rien à ce propos, et se mit enfin à examiner d'un peu plus près la cheville d'Ethel. « Vous permettez que je la regarde ?» Penchée devant elle, la chirurgienne s'empara très délicatement du pied de la nourrice pour venir le poser en douceur contre sa cuisse relevée. Avec une délicatesse incomparable -c'était quand même son métier, Helen exerça un petit mouvement de rotation sur son pied pour jauger de la douleur et savoir s'il s'agissait d'une fracture, ou plutôt d'une foulure. « Dites-moi si je vous fais trop mal. » Précisa-t-elle, avant de poursuivre son auscultation en silence, faisant preuve de son habituel professionnalisme et sérieux, tout en arborant un sourire rassurant et bienveillant à Ethel. Au bout de deux minutes, le diagnostic était déjà établi. « Ce n'est pas cassé, juste foulé. Je peux me permettre d'aller chercher de la glace dans le congélateur de Clarence ? » La chirurgienne lui demandait cela comme s'il s'agissait également de sa demeure, mais elle ne se voyait pas prétendre être à l'aise avec l'idée de faire comme chez elle alors que la brune ne venait que très occasionnellement ici, contrairement à Ethel qui semblait venir tous les jours...
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Ton plan initial avait été de faire le ménage de la maison de Clarence pendant son absence alors que tu étais supposée être en congé pour te faire pardonner de la manière dont tu étais partie en claquant la porte après l’avoir engueulé quelques jours auparavant. Un froid s’était installé entre eux depuis cette fameuse soirée et bien que tu avais du mal à lui parler puisque ce serait probablement de réinstaller le dialogue autour de ton trouble alimentaire, tu avais décidé de lui retirer ces tâches pour qu’il puisse profiter de son temps libre avec Emilia. Par chance que tu avais pratiquement terminé tout ce que tu voulais faire avant de te blesser. Toutefois, tu ne pourrais probablement pas nettoyer le plancher de l’étage avant quelques jours. « Ne vous excusez pas, vous avez bien fait. » Tu lui fis un petit sourire qui se voulait être reconnaissant. Pour une fois que tu pouvais compter sur quelqu’un d’autre que Ruben pour te venir en aide lors de tes péripéties. Ton frère était trop souvent celui vers qui tu te tournais et tu ne voulais plus le déranger aussi souvent. « C'est une bonne chose, on va dire que vous avez eu de la chance dans votre malheur. » Tu ne pu réprimer un petit ricanement. C’était bien une des rares fois qu’on pouvait dire que tu avais eu de la chance dans la manière de te faire mal, toi qui avait toujours des ecchymoses un peu partout, une coupure sur le bord d’un doigt ou tu ne savais pas quoi encore. « Je crois que Ruben ne s’en serait pas remis que je retourne à l’hôpital après ma commotion cérébrale du mois de mars. » Il aurait probablement décrété que c’était assez, que l’on devait t’acheter un de ces survêtements qui gonflaient lorsqu’il détectait une chute. Rendu au point où tu en étais, on pouvait qualifier ta maladresse de talent pour te blesser. C’était comique et même mignon lorsque tu étais enfant, mais rendu à l’âge que tu avais, c’était plutôt désespérant. « Pareil, j'ai eu l'occasion de vous apercevoir plusieurs fois pour vous rendre ici, je suis contente qu'on se rencontre enfin. » Tu avais également eu l’occasion de la voir quelquefois lorsqu’elle retournait chez elle, parfois même lorsqu’elle était dans sa cour arrière et que tu étais dans celle à Clarence à jouer avec Emilia, mais tu n’avais jamais eu le courage de l’interpeller, ne voulant pas la déranger alors qu’elle était en congé. « Faut dire que depuis mai environ je suis ici aussitôt que Clarence travaille donc plus souvent qu’autrement. » Et ce n’était pas pour te déplaire. La relation que tu avais développée avec Emilia était forte. Fallait aussi t’avouer que celle avec Clarence était également spéciale, même si pour l’instant, vous étiez en froid. « Pareil, j'ai eu l'occasion de vous apercevoir plusieurs fois pour vous rendre ici, je suis contente qu'on se rencontre enfin.» Tu hochas de la tête. De toute manière, c’était pour ça que tu l’avais appelé, tu n’étais quand même pas pour lui dire non. « Dites-moi si je vous fais trop mal. » Certains mouvements étaient plus douloureux, mais rien de trop intolérable. Helen avait cette douceur lorsqu’elle t'évaluait que tu n’avais pas toujours eu la chance d’avoir avec certain médecin. « Ce n'est pas cassé, juste foulé. Je peux me permettre d'aller chercher de la glace dans le congélateur de Clarence ? » Un léger sourire vogua sur tes lèvres. Ça te faisait bizarre qu’elle te demande la permission, quasiment comme si c’était ta maison. « Mais oui. Il a un de ces sacs de gel pour appliquer sur les blessures justement à quelque part dans le congélateur. » Ça te rassurait beaucoup que ta cheville ne soit pas blessée. Tu espérais que ça rendrait ta convalescence moins longue. « Vous croyez que ce sera long avant que je puisses remettre du poids normalement dessus ? »
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Malgré sa chute, Ethel semblait garder toute sa tête, ce qui rassurait déjà beaucoup Helen quant au fait qu'elle n'avait pas besoin de se rendre aux urgences dès maintenant. Ses propos étaient très pertinents, son attitude peu inquiétante, il fallait donc s'intéresser d'un peu plus près à sa cheville alors, puisque tout le reste semblait parfaitement bien fonctionner, et tant mieux. « Je crois que Ruben ne s’en serait pas remis que je retourne à l’hôpital après ma commotion cérébrale du mois de mars. » « C'est dans vos habitudes de vous blesser ? » Parce que ce n'était pas rien, une commotion cérébrale... et le mois de Mars n'était pas si loin que ça, donc elle semblait être du genre plutôt maladroite qui enchaîne les bourdes, non ? « Comment vous vous êtes fait ça ? » L'interrogea-t-elle davantage, assez curieuse de comprendre comment Ethel arrivait à se blesser si facilement. Elle avait en tout cas eu de la chance qu'elle soit aujourd'hui en repos, auquel cas la brune se serait retrouvée face à son répondeur. En tout cas, même si un jour de repos signifiait normalement se reposer et ne pas penser au travail, Helen était contente de pouvoir enfin faire la connaissance de la nounou qui, visiblement, passait beaucoup de temps entre les murs de cette demeure, en compagnie d'Emilia et de Clarence. La chirurgienne n'avait jamais interrogé son collègue à ce sujet, mais elle s'était plusieurs fois demandé s'il existait plus qu'une relation professionnelle entre les deux protagonistes, elle l'admettait... « Faut dire que depuis mai environ je suis ici aussitôt que Clarence travaille donc plus souvent qu’autrement. » « Il m'a dit que vous vous entendiez très bien avec Emilia, c'est super... c'est une petite fille tellement adorable, j'ai eu l'occasion de la garder quelques fois avant votre arrivée, ça a toujours été un plaisir. » Helen adorait les enfants, c'était un fait. Même si sa mère la harcelait presque pour qu'elle en conçoive un rien que pour elle et Sam (chose qui n'était pas du tout envisageable à l'heure actuelle), la chirurgienne préférait plutôt s'occuper de ceux des autres... Elle n'excluait pas la probabilité de devenir mère à l'avenir... mais les choses avaient Sam étant très compliquées, elle ne se voyait pas tomber enceinte demain. Mais bref, Helen n'était pas là pour réfléchir à son existence. Elle ausculta silencieusement la cheville d'Ethel, tout en étant à la fois à l'affût de ses réactions pour s'assurer qu'elle ne lui faisait pas de mal en manipulant son pied. Le verdict tomba plutôt rapidement : ce n'était pas cassé, juste foulé. « Mais oui. Il a un de ces sacs de gel pour appliquer sur les blessures justement quelque part dans le congélateur. » « Parfait, je vais aller le chercher. » Helen acquiesça et se redressa pour se rendre dans la cuisine, dont elle connaissait le chemin. Elle ne perdit pas de temps à s'occuper de ce qui l'entourait et alla directement chercher le sac de gel dont parlait Ethel dans le congélateur. « Vous croyez que ce sera long avant que je puisse remettre du poids normalement dessus ? » En revenant dans le salon, Helen secoua la tête de droite à gauche, avant de préciser sa pensée : « Non, d'ici ce soir vous pourrez déjà vous appuyer dessus si vous respectez cette après-midi de convalescence, la cheville maintenue soulevée. » La foulure semblait tout à fait bénigne, la nourrice allait pouvoir compter de nouveau sur sa cheville très prochainement. « Je vais vous faire un bandage pour bien la compresser, puis on laissera la glace dessus plusieurs minutes pour tenter de la faire dégonfler. » Et elle s'exécutait tout en parlant, s'emparer de la bande dans sa propre trousse de soin qu'elle avait pensé à prendre avant de quitter la maison. Le bandage fut rapidement fait, puis Helen déposa délicatement le sac de gel congelé sur le tissu, afin d'éviter de lui brûler la peau. « Je pense que Clarence ne se formalisera pas si vous gardez votre pied sur la table basse. » Espéra-t-elle alors qu'elle obligeait Ethel à poser son pied dessus, afin de le maintenir surélevé, tandis qu'elle maintenait la poche pour éviter à la jeune femme de trop se pencher en avant. « Clarence et Emilia sont sortis ? » La question était simplement à titre informatif, Helen n'avait pas envie de paraître trop intrusif dans la vie de son collègue médecin... mais finalement, n'était-ce pas étrange qu'Ethel soit seule à la maison, alors qu'elle était juste censée garder Emilia durant l'absence de Clarence ?
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Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
a good neighbor is a blessing from above credit gif tinytowns @Helen Stenfield + Ethel Hartfield
Helen était beaucoup plus avenante avec toi que Ruben lorsque tu t’étais présentée à l'hôpital à la suite de ta chute dans les escaliers. Il fallait quand même que tu avoue que tu n’étais pas en conflit avec cette dernière alors que c’était le cas avec ton cadet à ce moment. Cette chute aura toutefois eu comme avantage de vous réconciliez. Même si ça n’avait pas été simple et que tu avais dût toi-même aborder le sujet, vous en étiez venu à un terrain d’entente. « C'est dans vos habitudes de vous blesser ? » Un rire franc s’échappa à sa question. C’était effectivement une habitude. On ne pouvait même plus parler de maladresse dans ton cas. C’était plutôt un talent pour réussir à te blesser avec autant d’objet de la vie courante que ce que tu faisais. « Dans la famille, on ne comprend plus pourquoi je ne me suis rien cassé pour le moment. Ma mère dit toujours à la blague que mon frère est devenu médecin pour me soigner, que c’était plus pratique que de devoir m’apporter à l’hôpital à toutes les fois. » Tu donnais beaucoup de détails lorsque tu répondais à une question. C’était plus fort que toi, tu étais une vraie pie. Tu faisais confiance aux gens beaucoup trop rapidement et tu leur livrait des informations sur toi qui n'étaient pas nécessairement intéressantes pour eux. « Comment vous vous êtes fait ça ? » Tu haussas les épaules. Ce n’était pas une péripéties bien palpitante. « J’étais en retard à une réunion pour mon ancien boulot, j’ai manqué la première marche du haut en sortant de mon appartement et j’ai déboulé la volée de marche complète, me cognant la tête sur le trottoir en arrivant en bas. » Tu dégageas ton front de tes cheveux avec une main pour montrer la légère cicatrice qui s’y trouvait à Helen. Cette fois-là, tu avais été chanceuse de ne pas avoir plus qu’une simple commotion cérébrale qui avait apporté une courte période d’inconscience ainsi que cette lacération à ton front. Tu avais eu peur d’avoir un saignement intracrânien ou bien quelque chose de beaucoup plus grave et difficile à soigner. Ça avait été la première fois que tu avais passé la nuit dans la chambre d’ami de Clarence d’ailleurs puisqu’il était venu te récupérer à ta sortie de l’hôpital. « Il m'a dit que vous vous entendiez très bien avec Emilia, c'est super... c'est une petite fille tellement adorable, j'ai eu l'occasion de la garder quelques fois avant votre arrivée, ça a toujours été un plaisir. » Tu retiens ton sourire lorsqu’Helen te confia que Clarence lui avait parlé de toi. Probablement qu’il l’avait seulement fait pour lui dire qu’il avait trouvé une nounou, mais selon ce que te disais la voisine, il avait eu des mots positifs pour toi. Les mots incapable et qui peut la mettre en danger n’importe quand dansait encore devant ses yeux lorsqu’elle repensait à leur altercation il y avait de cela deux ou trois jours. « Elle est géniale oui. Elle est un peu têtue et je dois parfois usé de négociation lorsque mes consignes ne sont pas celles qu’elle aimerait, mais je l’adore. Sa curiosité fait tellement plaisir à voir. » Et tu essayais toujours de satisfaire cette soif d’apprendre de nouvelles choses. Elle était très intelligente pour ses six ans bientôt sept et tu t’en voudrais de freiner ses apprentissages. Suite à ces confidences, Helen se leva pour se diriger vers la cuisine et aller chercher la glace à mettre sur ta cheville. Tu en profitas pour t’aider de tes bras et t’asseoir sur le sofa qui était juste à côté de toi. Le mouvement te fit grimacer légèrement, mais tu étais habituée à la douleur et celle-là était bien moins pire que ton mal de crâne lorsque tu avais fait ta commotion. « Non, d'ici ce soir vous pourrez déjà vous appuyer dessus si vous respectez cette après-midi de convalescence, la cheville maintenue soulevée. » Tu frottas ton visage d’une main. C’était difficile pour toi de rester assis pendant aussi longtemps, surtout que tu avais mangé un peu plus ce midi qu’habituellement et que tu avais bien prévu de continuer à t’activer pour dépenser un peu plus de calories. « C’est quand même mieux que ce que j’imaginais au début. Ça aurait été difficile quand même avec Milie et une cheville cassée. » Parce que tu n’aurais pas arrêté de travailler. Tu aurais adapté tes journées, les activités, mais impossible que tu laisse Clarence dans le trouble, sans personne pour rester avec sa fille. « Je vais vous faire un bandage pour bien la compresser, puis on laissera la glace dessus plusieurs minutes pour tenter de la faire dégonfler. » Tu regarda Helen s’activer doucement avec le bandage et ta jambe. Tu avais toujours été curieuse envers les gestes médicaux. Tu demandais souvent à ton frère ce qu’il avait fait dans sa journée, sans qu’il te donne trop de détails puisque tu étais du genre à faire un choc vagal en entendant des descriptifs trop réalistes. « Je pense que Clarence ne se formalisera pas si vous gardez votre pied sur la table basse. » Tu hochas la tête de gauche à droite. « Il sera plutôt décourager que je me sois encore fait mal. » Tu haussa les épaules et laissa échapper un petit ricanement. En même temps, tu savais que ça ne le surprendrait pas tant que ça que tu ailles glisser dans l’eau en nettoyant le plancher. « Clarence et Emilia sont sortis ? » Un petit hochement de tête de gauche à droite. « Un petit rendez-vous de routine chez le pédiatre. Je me suis dis que je profiterais de ce petit moment tranquille pour avancer le ménage ici, mais bon. Le deuxième étage devra attendre, il paraît. Vous étiez en congé aujourd’hui ? »
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Dernière édition par Ethel Hartfield le Mer 21 Aoû 2024 - 16:41, édité 1 fois
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement POSTS : 1736 POINTS : 4100
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« Dans la famille, on ne comprend plus pourquoi je ne me suis rien cassé pour le moment. Ma mère dit toujours à la blague que mon frère est devenu médecin pour me soigner, que c’était plus pratique que de devoir m’apporter à l’hôpital à toutes les fois. » « En effet, on peut voir ça comme une chance que Ruben soit médecin... mais j'espère aussi que vous avez une bonne assurance. » Autrement, si Ruben n'était pas en mesure de la soigner et qu'elle se rendait souvent à l'hôpital, bonjour le montant des factures à régler à l'issue de ses allers-venus réguliers là-bas. En tout cas, Helen songeait sérieusement au fait que son collègue neurochirurgien ne devait que très moyennement apprécier ses passages à l'hôpital, puisqu'il gardait assurément le souvenir de la dernière venue de son frère aîné aux urgences... Personne n'aimait voir l'un des membres de sa famille en mauvaise santé, même simplement pour une foulure. « J’étais en retard à une réunion pour mon ancien boulot, j’ai manqué la première marche du haut en sortant de mon appartement et j’ai déboulé la volée de marche complète, me cognant la tête sur le trottoir en arrivant en bas. » Un petit 'oh' de surprise s'échappa des lèvres de la chirurgienne, en imaginant la douleur qu'elle avait dû ressentir suite à une telle chute. Ethel lui montra alors la cicatrice qu'elle gardait de cet accident sur le front, qui n'était qu'une marque finalement bénigne contrairement à toutes les complications qu'elle aurait pu connaître. « Vous avez eu de la chance de n'avoir qu'une commotion cérébrale, en fait. » Helen était déjà bien impressionnée par sa capacité à se blesser, et cette chance elle se réitérait aujourd'hui, puisqu'un accident domestique pouvait être tout aussi grave (et mortel) qu'un accident de la route, ou de maladresse dans un escalier comme la fois précédente. « Elle est géniale oui. Elle est un peu têtue et je dois parfois usé de négociation lorsque mes consignes ne sont pas celles qu’elle aimerait, mais je l’adore. Sa curiosité fait tellement plaisir à voir. » « Têtue ? je me demande bien de qui elle peut tenir ça. » Le plaisir qu'elle ressentait à garder Emilia était partagé, Clarence pouvait être fier d'avoir une petite fille comme elle : gentille, curieuse, joviale et souvent très drôle aussi, lorsqu'elle terminait de faire sa petite timide. Un large sourire entendu trouva le chemin de ses lèvres lorsqu'elle fit cette remarque, puis elle partit en directement de la cuisine pour aller chercher le sac de gel congelé, pour aider sa cheville à dégonfler un peu plus vite. D'ici ce soir, Ethel serait en mesure de pouvoir se déplacer, tout en veillant à faire attention à ne pas refaire de faux-mouvement, auquel cas elle prendrait le risque d'avoir une fracture. « C’est quand même mieux que ce que j’imaginais au début. Ça aurait été difficile quand même avec Milie et une cheville cassée. » « Vous pourrez travailler, oui, mais faites attention à ne pas sensibiliser de nouveau votre cheville. » Malgré sa maladresse, allait-elle y arriver ? Sinon, Helen allait devoir lui souscrire un peu de repos forcé, le temps d'être sûr que sa cheville se remette complètement. « Il sera plutôt découragé que je me sois encore fait mal. » Alors qu'elle posait son pied sur la table, Helen l'accompagna et lâcha un petit rire en imaginant la tête de son collègue en constatant que la nourrice qu'il employait s'était blessée. « Ne dites pas ça, il va se faire du souci pour vous, c'est certain. Il ne montre pas beaucoup ses sentiments, mais c'est un homme qui se soucie véritablement de ses proches. » Ce dernier mot n'était pas choisi au hasard, puisqu'Helen était persuadée qu'Ethel en faisait désormais partie, puisqu'elle semblait passer son temps ici... Mais ce n'était pas vraiment ses affaires, à Helen, alors elle ne supposait rien trop explicitement, comptant plutôt sur la confidence de la brune pour pouvoir rebondir davantage sur cette petite curiosité qu'elle avait en elle, même si elle se permit de lui poser une question par rapport à l'absence de Clarence et de sa fille. « Un petit rendez-vous de routine chez le pédiatre. Je me suis dis que je profiterais de ce petit moment tranquille pour avancer le ménage ici, mais bon. Le deuxième étage devra attendre, il paraît. Vous étiez en congé aujourd’hui ? » « Il semblerait que Clarence va devoir passer l'aspirateur lui-même. Il sait comment il fonctionne, au moins ? » Sourit-elle, avant de répondre plus sérieusement à sa question : « Oui, c'est ça, j'ai deux jours consécutifs, donc je suis encore tranquille demain, puis je reprendrai le travail. » Elle pourrait donc reprendre sa série Netflix plus tard, sa présence ici ne la dérangeait pas, de toute façon. Helen préférait pouvoir faire connaissance avec Ethel, plutôt que de s'abrutir devant la télévision. « Pas toujours facile le travail de chirurgien, c'est très prenant. D'ailleurs, cela ne vous fait pas un trop gros contrat ? Je veux dire... vous devez passer beaucoup de temps ici, ce n'est pas trop contraignant ? » Elle espérait qu'Ethel ne la trouve pas trop intrusive, ce n'était pas son but non plus, si bien qu'elle ajouta plus légèrement, pour lui prouver sa bonne foi et le fait qu'elle n'était pas en train de chercher les petits secrets de Clarence : « Clignez des yeux trois fois si Clarence vous exploite de trop, j'irai faire le nécessaire après mon départ. » Une petite blague, pour lui prouver qu'elle pouvait largement lui faire confiance. Était-ce suffisant pour qu'elle devine qu'elle n'était pas une personne qui voudrait un jour du mal à Clarence en allant ensuite colporter des ragots à qui voulait les entendre.
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ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
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Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
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« En effet, on peut voir ça comme une chance que Ruben soit médecin... mais j'espère aussi que vous avez une bonne assurance. » Tu ne peux retenir un rire. C’était vrai que des factures d’hôpital, tu en avais accumulé quelques-unes, mais tu réussissais souvent à t’en sortir sans que tes blessures nécessitent une consultation ou encore une hospitalisation. Tu fuyais les hôpitaux et les prises de sang comme la peste, sachant pertinemment que le résultat de ces dernières te vaudrait une prise en charge qui ne te ferait pas plaisir. Elles montreraient certainement un état de sous-alimentation et tu ne voulais pas que Ruben prenne conscience que tu ne faisais pas nécessairement tous les efforts que tu lui disais faire pour manger même si, effectivement, tu tentais de t’améliorer. Du moins, en présence d’Emilia. « J’ai rapidement compris que dans mon cas, une assurance était un investissement non négligeable. Et puis avec un frère neurochirurgien, une belle-soeur chirurgienne pédiatrique, un patron urgentiste… Je peux dire que je suis bien entouré. » Tu reportas ton attention sur Helen. « Vous êtes dans quel département ? » Tu ne savais pas à quel point elle connaissait Ruben et Nina. Bien qu’elle devait travailler avec eux quelques fois, peut-être qu’ils étaient de simples collègues de travail, des connaissances sans avoir un lien de plus avec eux. La surprise dont fit preuve Helen lorsque tu lui expliqua les circonstances de son accident te tira un petit sourire. Pour toi, ce n’était rien de bien différent qu’à l’habitude, mais tu savais que ton accident aurait pu être beaucoup plus grave et que ça avait dû être spectaculaire pour les pauvres passants qui avaient été témoins de tout ça. « Vous avez eu de la chance de n'avoir qu'une commotion cérébrale, en fait. » - « J’ai bien eu peur que ce soit plus grave oui… Mais à part les maux de tête qui ont duré quelques semaines, je pense que je m’en suis bien remise. » Tu haussas les épaules. Tu aurais ressenti un tel sentiment de culpabilité de faire peur à tes parents. Tu n’avais pas tellement peur des conséquences pour toi, mais bien de faire subir à tes parents encore une fois une perte trop difficile à surmonter. Parler d’Emilia et du plaisir de la babysitter lorsque Clarence en avait besoin était un point commun entre toi et la voisine. Tu voyais dans son visage d’Helen qu’elle appréciait effectivement passer du temps avec la jeune fille. « Têtue ? Je me demande bien de qui elle peut tenir ça. » Un éclat de rire spontanée sortit de ta bouche. Tu n’avais pas eu la chance de connaître Emma, mais tu t’étais souvent fait la réflexion qu’Emilia avait bien appris du caractère de son père, que la pomme n’était pas tombée trop loin de l’arbre. Ce moment avec Helen était spontané. Tu avais l’impression de la connaître depuis toujours alors que c’était votre première rencontre. Tu étais à l’aise avec elle, ce qui expliquait le surplus de détails que tu lui donnais lorsque tu répondais à une de ces questions. « Vous pourrez travailler, oui, mais faites attention à ne pas sensibiliser de nouveau votre cheville. » Tu pinçais les lèvres ensemble. Cette tâche était plutôt difficile à accomplir, sachant qu’elle était déjà plus faible, mais tu ferais certainement attention. Le fait d’avoir un bandage dessus t’aiderait à te souvenir de ne pas faire de mouvement trop brusque. « Ne dites pas ça, il va se faire du souci pour vous, c'est certain. Il ne montre pas beaucoup ses sentiments, mais c'est un homme qui se soucie véritablement de ses proches. » Un léger voile plus sombre passa dans tes yeux. Tu revoyais ses mots dans les derniers sms. Tu n’étais pas sûre qu’il voulait qu’il se fasse du souci pour toi encore une fois s’il avait ce genre de parole à toutes les fois. Tu te contenta d’un léger mouvement de tête de bas en haut. Tu n’allais toutefois pas te mettre à raconter cette dispute terriblement difficile à Helen. Ce serait beaucoup trop lourd de conséquence. « Il semblerait que Clarence va devoir passer l'aspirateur lui-même. Il sait comment il fonctionne, au moins ? » Tu chassas tes dernières pensées de ton esprit et fait apparaître un petit sourire malicieux sur ton visage. « Je me ferai un plaisir de lui rappeler et de lui donner des petites ordres ici et là, soyez-en certaine. » Cette dernière parole pouvait laisser penser à Helen que tu resterais chez ton patron même s’il était présent, que tu ne retournerais pas chez toi même s’il n’avait pas besoin pour babysitter Emilia ou faire des tâches quelconques. Pour toi, c’était si naturel de passer ce temps chez les Aldridge que tu ne voyais même plus que ce n’était pas censé être comme ça. « Oui, c'est ça, j'ai deux jours consécutifs, donc je suis encore tranquille demain, puis je reprendrai le travail. » - « Je suis désolé de vous faire travailler pendant votre journée de repos. » En même temps, tu avais été chanceuse qu’elle soit disponible pour venir t’aider. La glace et le bandage avaient contribué à diminuer la douleur. Qui sait Clarence t’aurais retrouver dans quel état à son retour à la maison. « Pas toujours facile le travail de chirurgien, c'est très prenant. D'ailleurs, cela ne vous fait pas un trop gros contrat ? Je veux dire... vous devez passer beaucoup de temps ici, ce n'est pas trop contraignant ? Clignez des yeux trois fois si Clarence vous exploite de trop, j'irai faire le nécessaire après mon départ. » Tu aimais tellement passer du temps avec Emilia, tu te donnais corps et âme à cette jeune fille. À la famille au complet d’ailleurs si on regardait combien de fois tu avais organisé des activités pour elle et son père. Tu faisais souvent des repas à mettre dans le congélateur pour que Clarence ait de quoi de rapide quand tu n’étais pas présente, des collations faites maison pour qu’ils ne mangent pas trop transformé. Vraiment, tu agissais plus souvent qu’autrement comme s’ils étaient ta propre famille. « Emilia a de l’école dans le jour de la semaine. Ça me permet de prendre du temps pour moi. Mais non, j’apprécie vraiment mon boulot. Souvent Clarence doit tenter de me convaincre de prendre des journées de congé. » Un doux sourire planait sur ton visage. « Moi qui ait souvent dit à Ruben que je ne savais pas comment il faisait pour travailler autant. Je n’avais probablement pas encore trouver ma voix. »
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ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement POSTS : 1736 POINTS : 4100
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« J’ai rapidement compris que dans mon cas, une assurance était un investissement non négligeable. Et puis avec un frère neurochirurgien, une belle-soeur chirurgienne pédiatrique, un patron urgentiste… Je peux dire que je suis bien entouré. » « En effet, on peut voir les choses sous cet angle. » Sourit-elle, en accord avec les dires de la jeune nourrice. Ethel était effectivement bien entouré, la plupart de ses proches travaillaient à l'hôpital, et elle pouvait aussi ajouté à cette petite liste la voisine chirurgienne, capable de la sauver en cas de pépin, comme maintenant. « Vous êtes dans quel département ? » « Je suis en orthopédie, et également souvent en traumato. » Généralement, l'un ne va pas sans l'autre, même si Helen s'est surtout spécialisée en orthopédie, elle est régulièrement amenée à assister ses collègues sur des interventions de traumatologie. Parfois, elle participait aussi à des opérations qui nécessitaient aussi la présence de collègues spécialisés dans d'autres domaines, comme la neurochirurgie, la cardiologie, etc ; cela contribuait à la richesse de ce métier. « J’ai bien eu peur que ce soit plus grave oui… Mais à part les maux de tête qui ont duré quelques semaines, je pense que je m’en suis bien remise. » Les maladresses répétées d'Ethel auraient pu avoir plus de séquelles sur son quotidien, heureusement ça ne semblait pas être le cas. Pour autant, ça n'était jamais très agréable d'avoir régulièrement des maux de tête, c'était épuisant, surtout lorsqu'ils ne voulaient pas passer, malgré les médicaments. La chirurgienne acquiesça alors la tête, ravie d'apprendre que la nourrice se sentait mieux du côté de sa tête. « Au tour de la cheville alors. Elle sera peut-être un peu sensible, mais vous vous en remettrez plus vite que la tête, c'est certain. » Helen se voulait rassurante, surtout parce qu'il semblait tenir à cœur à la nourrice de pouvoir travailler et rester aux côtés d'Emilia, qu'elle appréciait énormément, cela ne faisait aucun doute. On sentait, à travers les paroles d'Ethel, qu'un lien fort s'était installé entre elle et la jeune fillette. Elle la décrivait avec beaucoup de justesse, et d'affection, cela se ressentait énormément. Évidemment, lorsqu'Ethel la qualifia de têtue, Helen ne put s'empêcher de sous-entendre que ce trait de caractère, elle le tenait de son père, Clarence, ce qui fit rire la nourrice, qui semblait visiblement TRÈS d'accord avec elle. Un peu de moqueries envers son collègue ne serait pas mal perçu par Ethel, et elle avait raison de le croire, puisqu'elle ne sembla pas vexée ou offusquée à l'idée de rire un peu de son employeur. Par ailleurs, Helen était persuadée que Clarence saurait se montrer inquiet, plutôt que colérique face à ce nouvel accident de sa part. Elle tenta de la rassurer sur ce point, affirmant qu'il se ferait probablement du souci pour elle, même s'il s'évertuait à vouloir cacher ses sentiments tout le temps. Après un hochement de tête de sa part, Helen ne résista pas à l'idée de sortir une nouvelle taquinerie en lui demandant si Clarence savait comment fonctionnait un aspirateur : « Je me ferai un plaisir de lui rappeler et de lui donner des petits ordres ici et là, soyez-en certaine. » Ce fut à son tour de lâcher un petit rire, en imaginant Ethel prendre le rôle de Clarence et de lui exiger de réaliser les petites tâches qu'elle aurait choisi de lui faire faire. Visiblement, les deux protagonistes semblaient vraiment bien s'entendre... « Je suis désolé de vous faire travailler pendant votre journée de repos. » « Mais non, ne vous excusez pas. Je vous en voudrais que si vous l'aviez fait exprès, et je ne pense pas que ce soit le cas. » Lui répondit-elle, d'une voix pleine de bienveillance. Ce n'était vraiment rien. « Et puis je suis ravie de pouvoir apprendre à vous connaître, très sincèrement. Un mal pour un bien, dirons-nous. » Elle lui adressa un clin d'oeil, avant de poursuivre sur le fait que le travail de chirurgien (et de médecin urgentiste) était un métier prenant et que, peut-être que Clarence la faisait énormément travailler. Helen la voyait très régulièrement dans cette demeure, si bien que, parfois, elle avait l'impression qu'elle ne quittait jamais ces murs. « Emilia a de l’école dans le jour de la semaine. Ça me permet de prendre du temps pour moi. Mais non, j’apprécie vraiment mon boulot. Souvent Clarence doit tenter de me convaincre de prendre des journées de congé. Moi qui ait souvent dit à Ruben que je ne savais pas comment il faisait pour travailler autant. Je n’avais probablement pas encore trouver ma voie. » Visiblement, même si c'était beaucoup de travail, Ethel l'appréciait suffisamment pour prendre plaisir à le faire, ce qui fit sourire la chirurgienne avec beaucoup de douceur. « Émilia et Clarence ont beaucoup de chance de vous avoir, vous avez l'air de vous donner corps et âme pour eux. C'est très respectable... ça va, ce n'est pas trop froid la poche contre votre cheville ? » Reprit-elle finalement, en désignant la poche de gel du menton, sans se douter un seul instant de ce qui allait l'attendre d'ici quelques minutes entre Ethel et Clarence.
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Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
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Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
TW IN RP : anorexie, deuil GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle est anorexique depuis son adolescence. :: Elle a une peur bleue que ses deux autres frères décèdent également :: Elle est terriblement maladroite et réussis toujours à se blesser avec les objets les plus anodins de la vie quotidienne. :: Elle possède une voiture, mais la conduit rarement puisqu'elle a peur de faire un accident comme Jackson.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : purple pour fond pâle et salmon fond foncé RPs EN COURS : Penny :: Ruben#8 :: John
Clarence You run in the dark through a firefight and I would explode just to save your life. Let me light up the sky, light it up for you. #1#2#3
Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
a good neighbor is a blessing from above credit gif tinytowns @Helen Stenfield + Ethel Hartfield
« Je suis en orthopédie, et également souvent en traumato. » C’était quand même ironique que tu ais fait appel à une orthopédiste alors que tu croyais avoir la cheville cassée. Tu étais donc sûre que tu étais en bonne main. Pas que tu n’aurais pas fait confiance à un chirurgien cardiaque, mais il fallait reconnaître que c’était plus pratique de faire appel à un spécialiste dans son domaine. Puis, il te passa en tête qu’elle aurait très bien pu être aux premières loges lors de la chirurgie de ton aîné, chirurgie qui s’était mal terminée considérant que Jackson n’était plus parmi vous maintenant. Un éclair de tristesse passa rapidement dans tes yeux au même moment, mais tu tenta de mettre cette pensée au placard. « J’imagine que vous avez déjà dû opérer avec mon cadet, Ruben. » Tu étais loin de t’imaginer qu’elle le connaissait un peu plus que comme simple collègue de travail. Tu te doutais bien qu’elle l’avait côtoyé à St-Vincent, mais pas plus que ça. « Au tour de la cheville alors. Elle sera peut-être un peu sensible, mais vous vous en remettrez plus vite que la tête, c'est certain. » Un sourire prit place sur tes lèvres. C’était rassurant. Bien que tu avais continué à travailler avec les symptômes de ta commotion, tu avais trouvé certaines journées difficiles à terminer, profitant souvent de l’absence d’Emilia et du fait qu’elle avait de l’école pour te recoucher dans l’après-midi et te reposer. « D’ailleurs, si vous pouviez éviter de lui raconter cette péripétie, je vous en serais reconnaissante. Il serait bien capable de débarquer ici ou chez moi pour venir vérifier par lui-même que tout est correct et je ne voudrais pas le déranger avec quelque chose d’aussi banal. » Tu haussas les épaules en même temps que tes paroles. Ruben avait ce côté protecteur avec toi, pire depuis l’accident de Jackson probablement. Tu avais toujours eu l’impression qu’il jouait le rôle d’aîné alors qu’il était le cadet de la fratrie. Tu devais lui rappeler parfois, mais c’était toujours plus fort que lui. Probablement le fait qu’il t’attendait depuis votre adolescence à tenter de t’en sortir avec ton trouble alimentaire… « Il est un peu protecteur, disons. » Est-ce que tu pouvais vraiment lui en vouloir pour ça ? Tu lui donnais la vie plutôt difficile en te blessant constamment. Tu savais très bien qu’il devait redouter chaque fois qu’il voyait apparaître ton nom sur son afficheur. Tu ne l’appelais pas seulement quand tu avais besoin de lui, mais ça arrivait plus souvent qu’autrement, tu devais te l’avouer. Tu t’excusa alors d’avoir dérangé Helen dans sa journée de congé. Le regard qu’elle te jeta était rassurant. « Mais non, ne vous excusez pas. Je vous en voudrais que si vous l'aviez fait exprès, et je ne pense pas que ce soit le cas. Et puis je suis ravie de pouvoir apprendre à vous connaître, très sincèrement. Un mal pour un bien, dirons-nous. » Tu éclata de rire. Tu n’avais pas fait exprès, mais si seulement elle t’avait vu danser avec la serpillère dans les mains sans trop regarder où tu mettais les pieds, tu savais qu’elle aurait pu prédire elle-même la suite qui ne pouvait faire autrement qu’être catastrophique. « Je suis d’accord avec vous. On pourra désormais échanger chacun de notre côté de cour quand on se croisera sans être trop gêné. » Tu avais tendance à parler de la maison de Clarence parfois comme si c’était la tienne. Tu y passais tellement de temps et tu y étais si à l’aise que tu avais l’impression de partager effectivement sa demeur même si ce n’était pas le cas et que tu avais encore ton appartement. « Émilia et Clarence ont beaucoup de chance de vous avoir, vous avez l'air de vous donner corps et âme pour eux. C'est très respectable... ça va, ce n'est pas trop froid la poche contre votre cheville ? » Si seulement Helen savait à quel point tu te donnais effectivement. Ce sentiment d’être beaucoup plus proche de Clarence que d’un patron régulier, cette impression parfois de faire partie de la famille, qu’Emilia n’est pas seulement que la fillette que tu babysitte… Tu avais cette implication émotive maintenant qui faisait que ton couple passait toujours en deuxième, que tu ne te trouvais plus aussi bien ailleurs que chez Clarence en leurs compagnies. Cette implication sentimentale qui faisait en sorte qu’il était capable de te détruire avec ses mots et ses agissements tellement tu portais une grande importance à ce qu’il pensait de toi. Tu allumas l’écran de ton portable pour voir l’heure qu’il était. Tu ne voulais pas être présente lorsqu’il reviendrait du rendez-vous chez le pédiatre. La photo de Jackson apparut alors sur celui-ci. Un Jackson souriant qui te tenait dans ses bras à l’occasion de Noël. Le dernier Noël que vous aviez partagé ensemble. Tu déposa ton téléphone à côté de toi, l’écran encore allumé. « Ça va. C’est un peu froid, mais ça engourdit la douleur en fait donc ce n’est pas mal. Ça fait longtemps que vous travaillez à St-Vincent ? »
se sentir perdue est la prémisse d'une nouvelle aventure. alors au lieu de t'en vouloir, dis-toi simplement que tu prépare le terrain. tu fais de la place parce qu'il en faut toujours pour les nouveaux départs.
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement POSTS : 1736 POINTS : 4100
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@Ethel Hartfield juin 2024 - logan city, chez Clarence ¤¤¤ crédits gifs (elyyxiumgifs) / code (boté du sud )
« J’imagine que vous avez déjà dû opérer avec mon cadet, Ruben. » Helen acquiesça délicatement de la tête, confirmant sa supposition. En effet, elle avait été amené à se retrouver plusieurs fois dans le même bloc opératoire que Ruben. « Oui, je le connais aussi puisqu'il s'agit du mari de ma meilleure amie. » Déclara-t-elle, ne sachant pas vraiment si Ethel était au courant de ce lien qui les unissait donc Ruben et elle. Et puis... même si Nina n'avait pas été le point commun central de cette relation, Helen restait et resterait à jamais la personne ayant prévenu Ruben de l'arrivée de Jackson aux urgences. Pour la première fois, Helen avait du annoncer à l'un de ses confrères l'horrible nouvelle de devoir se rendre au chevet d'un proche. Parfois, les choses allaient pour le mieux et d'autres fois... comme pour la famille Hartfield, la perte de l'être aimé était prononcée. Cette terrible journée resterait à jamais gravé dans sa mémoire, c'était certain. Helen revoyait dans sa tête la réaction de Ruben comme si c'était hier. « D’ailleurs, si vous pouviez éviter de lui raconter cette péripétie, je vous en serais reconnaissante. Il serait bien capable de débarquer ici ou chez moi pour venir vérifier par lui-même que tout est correct et je ne voudrais pas le déranger avec quelque chose d’aussi banal. Il est un peu protecteur, disons. » La chirurgienne acquiesça vivement de la tête en regardant la jeune femme arborer une mine gênée, ce qu'elle comprenait totalement. « Je ne lui dirai rien... vous savez, nous ne sommes pas non plus les meilleurs amis du monde, je suis parfaitement à même de garder le secret de votre chute. » La brune n'avait néanmoins pas le sentiment qu'il s'agissait d'une chute banale, puisque cela semblait être des accidents répétés... pour autant, si Ethel souhaitait que Ruben ne soit pas mis au courant, elle ne lui dirait rien, elle en faisait la promesse. « Je suis d’accord avec vous. On pourra désormais échanger chacun de notre côté de cour quand on se croisera sans être trop gêné. » Elle eut un léger rire, se sentant bête de ne jamais avoir franchi le pas de l'aborder dans une situation moins rocambolesque. « Oui, bien entendu, je n'hésiterai pas. C'est vrai que je vous ai souvent entendu jouer avec Emilia dans la cour arrière... je ne voulais pas vous déranger. » Se justifia-t-elle, pour essayer de lui expliquer qu'elle ne l'évitait pas intentionnellement, et que cela partait d'une bonne intention de ne jamais avoir voulu la déranger en pleine garde de Milie. Par ailleurs, la chirurgienne était intimement persuadée que les choses se déroulaient extrêmement bien entre la petite fille et Ethel. Cette dernière se dévouait corps et âme pour son travail, et c'était une chance que Clarence soit tombé sur elle. Avec son travail à l'hôpital, les horaires atypiques avaient du faire fuir bon nombre de nourrices devant sa petite annonce, pour sûr. Lorsqu'Helen lui demanda si la poche n'était pas trop froide contre l'épiderme de sa peau, la chirurgienne suivit le geste d'Ethel avec son téléphone, et son regard se posa sur la photo de Jackson. Ce visage, elle le reconnaissait si bien, alors qu'elle n'avait jamais eu la chance de discuter avec cet homme. Elle le reconnaissait pour l'avoir vu à l'hôpital après son accident. « Ça va. C’est un peu froid, mais ça engourdit la douleur en fait donc ce n’est pas mal. Ça fait longtemps que vous travaillez à St-Vincent ? » « J'ai assisté au début de l'opération de Jackson, je ne sais pas si Ruben vous l'a dit ? Et c'est moi qui ait prévenu votre frère qu'il était arrivé aux urgences. » Répondit-elle, sans répondre à sa véritable question. Elle parlait sur un ton détaché, laissant le souvenir de cette journée l'envahir à nouveau. Après cela, les deux jeunes femmes s'étaient croisées à l'enterrement du frère Hartfield, mais Helen n'était même pas certaine qu'Ethel s'en souvienne, puisqu'il devait s'agir d'un jour encore plus sombre à ses yeux. « Pardon, heu... ça doit faire presque 10 ans, en comptant mon internat. » Le temps passait à une vitesse folle, dis-donc. Ses jeunes années d'internat lui donnaient aussi l'impression d'être hier.
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Ethel Hartfield
l'équilibre précaire
ÂGE : 34 ans (12.05.1990) SURNOM : Thelou, un surnom qu'elle trouve franchement infantilisant STATUT : Nouvellement célibataire, le coeur pas totalement libre. MÉTIER : Baby-sitter pratiquement à temps plein pour la petite Emilia, fille de Clarence Aldridge LOGEMENT : 372 doggett street à Fortitude Valley, dans un appartement bien pourri, mais passe de plus en plus de temps au 134 third avenue POSTS : 1611 POINTS : 210
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Communications Clarence :: Catarina :: Ruben :: Catarina :: Asher RPs TERMINÉS : Voir fiche de liens.AVATAR : la bella Kristen Stewart CRÉDITS : avatar: ultra-violences :: ub: loonywaltz DC : Faith Palmer :: Hadley Wellington PSEUDO : Dreamy*paranoiac INSCRIT LE : 20/07/2023
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»[/color] Tes yeux revêtirent une expression de surprise. C’était vrai que tu ne connaissais pas beaucoup Nina, mais du peu que tu savais d’elle, tu n’avais pas l’impression qu’elle avait beaucoup de temps à consacrer à des potentiels amis. Toutefois, ça ne te surprenais pas que sa meilleure amie soit en fait médecin également. Ce que tu avais compris, c’était que ces derniers passaient beaucoup de temps à l’hôpital donc aussi bien faire en sorte de bâtir des relations solides avec les collègues de travail. Ta demande de ne pas mentionner à Ruben ta chute et ta blessure était donc encore plus légitime, sachant qu’il y avait un potentiel que ces derniers se parlent à l’extérieur des murs de leur lieu de travail. « Je ne lui dirai rien... vous savez, nous ne sommes pas non plus les meilleurs amis du monde, je suis parfaitement à même de garder le secret de votre chute. » Un sourire reconnaissant prit place sur ton visage. Tu finirais probablement par lui dire toi-même puisque tu ne cachais rien à ton cadet, mais tu préférais lui annoncer toi-même que tu avais dû avoir recours à l’aide de la voisine de ton patron. Tu avais toujours essayé de ne pas inquiéter Ruben plus que le nécessaire. Tu savais qu’avec toi, aussitôt qu’il voyait ton nom apparaître sur son afficheur, il se demandait qu’est-ce qu’il avait bien pu t’arriver et tu essayais de changer ça. « Oui, bien entendu, je n'hésiterai pas. C'est vrai que je vous ai souvent entendu jouer avec Emilia dans la cour arrière... je ne voulais pas vous déranger. » Tu te doutais bien que la voisine devait entendre vos jeux, toi qui essayait de faire dépenser tout l’énergie d’Emilia lorsque la température permettait d’être à l’extérieur. Tu détestais devoir rester enfermé dans la maison avec elle. Tu adorais faire des activités qui stimulaient l’imaginaire et qu’elle ne s’amuse pas seulement avec des jouets qui ont une fonction. « N’hésitez jamais à vous joindre à nous pour un thé infusé au gazon ou bien à une séance de cache-cache endiablée. Je suis sûre que Millie adorerait que vous vous joigniez à nous. » Ça te permettrait d’avoir quelqu’un d’autre en même temps avec toi pour inventer des histoires, découvrir de nouveaux endroits pour vous cacher. Tu adorais ton temps seule avec Emilia, mais tu savais qu’elle avait besoin de contact avec d’autres gens également pour le bien de son développement. Lorsque tu releva tes yeux de sur ton portable, tu vis qu’Helen avait changé d’attitude. Son sourire avait laissé place à une émotion plus sombre que tu ne comprenais pas trop. Lorsqu’elle répondit à ta question, sa voix était détachée, moins enjouée que depuis le début de son arrivé dans le salon de Clarence.« J'ai assisté au début de l'opération de Jackson, je ne sais pas si Ruben vous l'a dit ? Et c'est moi qui ait prévenu votre frère qu'il était arrivé aux urgences. » Un voile de douleur prit place dans tes yeux. C’était au tour de ton sourire de disparaître, de laisser tes traits se tordrent à la prononciation du nom de Jackson. Helen connaissait ton histoire, la fatalité qui avait emporté la vie de ton frère, celui qui réussissait à ramener l’entente entre Rhett et Ruben, celui qui t’encourageait dans tes études, dans ta vie alors que tu avais l’impression que rien de bien t’attendait. La surprise d’entendre Helen parler de lui, du soir de l’accident où sa voiture avait été percutée de plein fouet par une autre t’avait atteint sans avertissement et tu avais l’impression qu’un éléphant était maintenant assis sur ta poitrine. « Je… Je ne savais pas non. » Ta voix s’était fait fluette, un peu étouffée entre ces deux respirations que tu tentais de maîtriser. Tu avais l’impression de revivre cette soirée, ce moment où ta famille avait éclaté en morceaux et où tu avais recommencé les jeûnes, les vomissements, l’incapacité à t’alimenter tellement la douleur te nouait la gorge. « Pardon, heu... ça doit faire presque 10 ans, en comptant mon internat. » Tu relevas tes yeux vers Helen. Tu avais complètement oublié que tu lui avais posé une question sur son travail. Ça te semblait bien futil maintenant que tu savais qu’elle était là à l’opération, qu’elle aurait pu être une de celle qui lui avait sauvé la vie, mais qui n’avait pas réussi. Ton coeur lui en voulait terriblement. Ta tête savait que ce n’était pas sa faute. Que les médecins avaient tout fait pour le sauver, mais qu’il était trop blessé à la suite à son accident. Tu déglutis. « Désolé… Je… J’ai été prise par surprise… Je ne croyais pas que vous étiez… Que vous étiez là... »
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Clarence Aldridge
l'électron libre
ÂGE : 37 ans (05/12/1986) SURNOM : Clay pour ses proches. Charming dans le poste de soins. Le vase pour une autre. STATUT : Veuf. L'or qui orne toujours son doigt malgré les années. Le coeur qui se débat entre deux brunes. MÉTIER : Médecin urgentiste à l'Hôpital St Vincent. Ancien chef de mission pour médecins sans frontières. Rentré au pays pour sa fille, même si un bout de son âme restera à jamais là-bas. L'envie de repartir jamais bien loin. LOGEMENT : Logan City #134 Third Avenue. Une grande maison blanche sur 2 étages. Avec sa fille Emilia et Ethel (trop) souvent. POSTS : 1959 POINTS : 1750
TW IN RP : veuvage - décès - trauma - TCA - mélancolie - abandon - Violence physique et verbale. TW IRL : AucunGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : A toujours un paquet de bonbons sous la main depuis qu'il tente d'arrêter de fumer. ≈ Foutu électron libre qui en fait qu'à sa tête. ≈ Surnommé "Charming" à l'hôpital ≈ Père d'une petite fille de 6 ans prénommée Emilia. ≈ Faux calme, il est façonné dans cette ambivalence qui le rend imprévisible. ≈ A le cœur sur la main, mais peut se comporter comme le pire des connards (surtout avec Wild... Ouais bon avec Ethel aussi. Avec tout le monde en réalité.) ≈ rivière douce, parfois trop calme qui peut facilement se troubler. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #996666 RPs EN COURS : - Ethel (2 -3) - Wild/Chris (1) - Wild/Ethel (1) - Nina (1) - Ruben (1) - Eden (1) - Helen (2) - Alienor (1) - Wild (4)
Ethel
You don't know how lovely you are. I had to find you, tell you I need you. Tell you I set you apart. Tell me your secrets, and ask me your questions. Do no speak as loud as my heart. Oh and I rush to the start.
Wild
It's easy to push me away from you. Easy to say you want to be left on your own. Yet somehow I can't help but see. How your eyes shy away. Your hands seal the entrance and path to your heart. Anger kept fear and the sadness you feel. Under the surface for so long. Locked that room, you keep it inside.
Eden
Parce que je sais qu' tu t' sous-estimes, tu ris trop fort et la pièce s'illumine. Tu fais des concessions sans les souligner, héroïne de tous les dessins animés.
Alienor
UC RPs EN ATTENTE : - Chris (1) - Albane (1) - Landry (1) - Lily (1) RPs TERMINÉS : -Ethel (1) - Wild (1 - 2 - 3) - Wild FB (1) - Helen (1) - Chris Wild (1)AVATAR : Robert Pattinson CRÉDITS : avatar@Mooncalf signature paroles @Yuston XIII icons@M. Gif: @Noiram (Willay) userbar:@mystery-man Header@Girasois DC : Un vase, c'est bien suffisant. PSEUDO : Noiram INSCRIT LE : 12/05/2024
— Ça fait des jours que tu te repasses les images de cette soirée. Tes nuits sont devenues blanches, n’arrivant pas à chasser de tes pensées sa voix brisée par le chagrin. Tu te ressasses chaque moment, l’instant où elle t’a rejeté, tes mots aussi injustes que cruels inscrits sur le clavier. T’étais complètement aveuglé. Aveuglé par cette inquiétude que tu gardais pour toi depuis trop longtemps. De toutes ces fois où tu avais remarqué son combat contre ses propres démons. De ses doigts effleurant le rebord de son assiette avec nervosité, tiraillée par une lutte intérieure dont tu n’étais qu’un simple spectateur impuissant. Ton océan posé sur elle pour seul miroir de ton cœur lourd piégé au silence. Puis il y a eu ce soir où elle est presque tombée dans tes bras. Cette nuit où elle a préféré claquer la porte que de répondre à ces questions qui ont débordées de façon inconsciente. Alors tu as laissé ce tourment se transformer en une colère que tu n’as pas su contenir et toujours plus grandissante devant sa fuite. T’as toujours été comme ça Clarence, cette rivière calme à deux doigts du craquage et du pétage de câble lorsqu’une situation te file entre les doigts. T’aurais dû la rattraper, la protéger au lieu de l’écraser tel le connard que tu sais être. Trois jours sans aucune nouvelle. Trois jours à regarder ton téléphone en espérant voir son prénom s’afficher. Trois putain de jours à tenter de dompter cette impulsivité qui te poussait à débarquer chez elle à l’improviste. À ignorer son envie de prendre de la distance avec toi et tout ce que tu représentes. Puis elle est réapparue aujourd’hui sans prévenir, alors que tu t'apprêtais à partir chez le médecin avec Millie. Vos regards se sont croisés sur le palier et tu y as vu tout ce que tu redoutais. La fêlure que tu as laissée sur elle qui menace de se transformer en fossé entre vous. Aucune parole n'a su percer tes lèvres. Complètement enracinées par la crainte de faire plus de mal que de bien, encore une fois.
Alors voilà, t’as demandé de l'aide à la seule dans ce foutu monde qui te comprenne. La seule qui connaît toutes tes parts d’ombre. T’as déposé Emilia chez Eden avant de repartir en direction de la maison. Les mains crispées contre le volant et le pied pressant l'accélérateur. T’as peur qu’elle puisse déjà s’être envolée. Qu’elle puisse s’être dérobée, craignant une confrontation qui pourrait vous ébranler. Tu regardes la route, mais t’es complètement distrait, trop affairé à chercher les bons mots pour t’excuser. Pour l’obliger à reparler de ce qu’il s’est passé. Tu lui en veux, d’avoir essayé de te mentir. De t’avoir repoussé avant de déferler sur toi une fureur que tu ne lui connaissais pas. Ethel a toujours été à tes yeux cette âme douce baignée de lumière. Cette femme à la fragilité apparente dotée d’une force intérieure dont elle ignore l’existence. Elle a été ton phare dans ton propre chaos Clarence.
Tu te gares devant la maison à toute vitesse. Tu sors de la voiture sans perdre une seconde avant de marcher rapidement vers la porte d’entrée. Tu fais chanter la poignée et t’es rassuré en comprenant que la porte n’est pas fermée à clé. « Ethel ? » Tu ne lui laisses pas le temps de te répondre et tu continues de parler dans une maison trop silencieuse. « J’ai déposé Millie chez Eden. » Sans prendre le temps de retirer ta veste, tu traverses l’entrée en direction du salon. « Écoute, il faut qu’on parle et je ne te laisserai pas filer cette fois. » T’as cette voix à la fois déterminée et grave, feutrée d’une détresse qui te noue la gorge. « On peut plus conti… » Ta détermination s’efface en arrivant devant ce tableau qui te pétrifie violemment. « Helen ? » Elle était pas prévue dans ton équation. Tes opales brodées d’incompréhension croisent son regard avant de se détourner vers Éthel. Et dans un silence de plomb qui dure à la fois une éternité et fraction de seconde, tu fonds dans ses yeux et tu peines à t’en détacher. Une avalanche d’émotions te traverse sans te soucier de ce que pourrait penser ta collègue et amie. Au mieux, elle passera sous silence cette histoire. Ou au pire, elle te chopera dans un couloir de l'hôpital pour te sortir les vers du nez. Tu réussis à te déchirer d’Ethel pour tomber sur cette jambe posée sur la table. « T’es... T'es blessée ? » C’est plus un constat qu’une réelle question. Un affolement palpable étreint ton cœur et déforme ta mâchoire. « Qu'est-ce qu'il s'est passé ? »
design ϟ vocivus // icons ϟ chrysalis
Quand j'brûle, j'deviens meilleur
J'ai des bleus sur tout le cœur. Je crois qu'j'ai grandi, j'crois qu'j'ai des remords. Tout le monde dort mais moi je danse sous la pluie. Je m'enfonce dans la brume. Je deviens nocif, là je me perds dans des ruines. Et je suis loin du monde, loin de tout. Loin de vous, loin de nous. Loin de moi.
Dernière édition par Clarence Aldridge le Sam 28 Sep 2024 - 9:01, édité 2 fois
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement POSTS : 1736 POINTS : 4100
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #11 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10
☆ HELIVE + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
☆ YASMEN #3 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2
« N’hésitez jamais à vous joindre à nous pour un thé infusé au gazon ou bien à une séance de cache-cache endiablée. Je suis sûre que Millie adorerait que vous vous joigniez à nous. » La remarque d'Ethel fit forcément sourire la chirurgienne qui, même si elle n'avait pas d'enfants, savait comme ces derniers pouvaient être imaginatifs. A n'en pas douter, Emilia usait aussi de son imagination lors des jeux effectués avec sa nourrice, et les propos de cette dernière le confirmait bel et bien. Du thé infusé au gazon, quel parfum pour le moins original, n'est-ce pas ? « Avec plaisir, je dois admettre que je n'ai encore jamais goûté le thé infusé au gazon, vous piquez ma curiosité. » Déclara-t-elle, avec cet air amusé qui ne décollait pas de son visage. Son travail était remarquable auprès de la petite fille et, même si elle lui avait attesté plus tôt que Milie avait son petit caractère, ce devait être un plaisir de la voir évoluer et grandir un peu plus chaque jour. Malheureusement, ce côté enjoué de la conversation finit par s'éteindre lorsque la chirurgienne évoqua son implication dans l'accueil de Jackson à l'hôpital, le jour de son accident de voiture. Loin d'elle l'idée de blesser la jeune femme, mais en voyant son visage sur le fond d'écran de son téléphone, le souvenir de cette journée lui était revenu au galop et elle s'était confiée à Ethel, en étant presque persuadée que Ruben l'avait prévenu à ce sujet. Pourquoi ? Alors qu'elle n'était qu'une collègue, et rien de plus ? Pourquoi devrait-elle considérer qu'il puisse s'agir d'une information cruciale, dont Ethel aurait été forcément mise au courant ? « Je… Je ne savais pas non. » Non seulement, elle ne le savait pas et, en plus de cela, le visage d'Ethel était bien plus pâle, comme si elle était à deux doigts de s'évanouir. Quelle bêtise n'avait-elle pas faite là ? Malgré la réponse à sa précédente question, Helen remarqua bien à quel point elle venait de troubler la jeune femme, et elle s'en voulu terriblement. « Désolé… Je… J’ai été prise par surprise… Je ne croyais pas que vous étiez… Que vous étiez là... » Au moment où Helen s'apprêtait à ouvrir la bouche pour s'excuser, un bruit en direction de l'entrée l'en empêcha et attira son attention, l'obligeant à tourner la tête du côté de la porte qui y menait. Très vite, elle reconnut la voix de Clarence qui semblait être revenu de son rendez-vous avec Emilia. « J’ai déposé Millie chez Eden. Écoute, il faut qu’on parle et je ne te laisserai pas filer cette fois. On peut plus conti… » Rapidement, elle se rendit également compte que la petite fille n'était pas avec son père et que sa présence n'était pas celle attendue en compagnie d'Ethel, puisque Clay se figea presque devant la chirurgienne. « Helen ? » Sa présence était même certainement de trop, Clarence donnait le sentiment d'avoir des choses à régler avec Ethel, si bien qu'il avait ressenti le besoin de rentrer sans Emilia. Helen ne savait pas quoi répondre, de toute manière elle n'eut pas vraiment le temps d'y réfléchir puisque son collègue reprenait la parole, pour comprendre ce qui était en train de se passer : « T’es... T'es blessée ? Qu'est-ce qu'il s'est passé ? » L'inquiétude se lisait aisément dans le regard du médecin, et c'était bien une des premières qu'Helen constatait le degré d'inconfort dont il faisait l'objet à ce moment-là, pour une personne autre qu'Emilia. Pour le connaître depuis un petit moment maintenant, Helen avait assisté à quelques moments de frayeur à l'égard d'Emilia, à cause d'une chute, d'un comportement. Jamais rien de grave, mais l'inquiétude pour un parent est toujours légitime. Aujourd'hui, la chirurgienne prenait conscience du fait que Clarence s'inquiétait pour une femme, autre que la sienne décédée, malgré qu'il lui ait toujours dit ne jamais vouloir s'intéresser à qui que ce soit d'autre. Malheureusement, ça n'était pas son rôle de constater une telle chose, en tout cas, pas si directement. La chirurgienne était aux premières loges d'une explication importante, dont elle n'avait pas à prendre part. « Ethel a chuté en passant la serpillère, elle m'a envoyé un SMS pour que je vienne consulter sa cheville. » Se justifia-t-elle, en se levant comme pour inciter Clarence à se concentrer sur elle, et non pas sur Ethel qui semblait encore abasourdie par la précédente bombe qu'elle venait de lâcher à propos de Jackson. « C'est une simple foulure, elle va très vite s'en remettre. » Helen cherchait à le rassurer, mais au fond, elle était persuadée que, tant qu'Ethel ne prenait pas la parole, tout ce qui pouvait sortir de sa bouche n'aurait aucune valeur tant qu'elle ne le rassurait pas elle-même, si bien qu'elle se sentit véritablement de trop et qu'elle prononça tranquillement : « Je vais vous laisser... » Ethel serait entre de bonnes mains, Clarence était à même de prendre soin d'elle, c'était certain. En tout cas, Helen ne voulait pas se retrouver plus longtemps entre les deux protagonistes qui avaient besoin d'une certaine intimité pour se parler, alors elle se faufila doucement vers l'entrée en marmonnant un "à un de ces quatre" à l'un comme à l'autre, tout en espérant que les choses ne tournent pas au vinaigre entre son collègue et la jeune femme, qui semblait quand même confirmer ce qu'elle suspectait depuis un moment : leur relation donnait le sentiment d'avoir pris une tournure bien différente du simple échange employeur et employée.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.