(pris) BRIANNE HOWEY

Cecilia 'CeCe' Barker

wondering if i'd get there quicker if i was a man

PIÈCE D’IDENTITÉ

NOM ≈ Barker PRÉNOM(S) ≈ Cecilia. Mais tout le monde l’appelle CeCe depuis des années maintenant ÂGE ≈ En fonction de l’avatar choisi, il devra respecter la règle des trois ans de différence d’âge. Dans l’idéal, si tu choisis Brianne, ce sera entre 33 ans et 36 ans LIEU DE NAISSANCE ≈ Brisbane, Australie STATUT SOCIAL ≈ Mariée à Joel Barker, le petit génie qu’elle a modelé selon ses propres besoins MÉTIER ≈ Certains diraient femme trophée quand vraiment, elle est l’âme et l’esprit de la société de son mari. Elle sait les erreurs qu’elle a commises en se perdant corps et âme dans le bon maintien des rêves de ce dernier, et maintenant qu’elle avance dans l’âge et que le succès du nom qu’elle porte lui assure confort et félicité, à l’abri de tout jusqu’à la fin de sa vie (merci le contrat de mariage, ça aussi c’est elle qui l’a négocié), il germe en elle des envies d’enfin faire quelque chose pour elle qui ne part pas d’un constat d’assurer ses arrières financiers, mais aussi pour toutes ces femmes comme elle qui ont un jour où l’autre oubliées qu’elles pouvaient réussir autrement qu’en restant dans l’ombre de leur bien-aimé. ORIENTATION SEXUELLE ≈ Hétérosexuelle ou bisexuelle GROUPE ≈ 30 ans, sinon rien AVATAR CHOISI ≈ Brianne Howey (33) CREDITS GIFS ≈ ariesrain/tumblr & ssoveiagifs/tumblr

les points clés de son histoire

L’ascension sociale, c’est ce qui caractérise le parcours de Cecilia. C’est aussi ce qui deviendra rapidement une obsession tant elle a manqué de tout durant son enfance. Loin d’être bien lotie en matière de famille, elle a tout connu, et plus précisément la pauvreté dans laquelle elle a évolué jusqu’à ce qu’elle apprenne à bien s’entourer et à vouloir se défaire de l’image de pauvre petite-fille qu’elle renvoyait. Le foyer dans lequel elle a vécu n’a jamais été accueillant, ses parents n’ont jamais été aimants, ses frères et soeurs n’ont jamais été solidaires ; et sa vie de sa naissance à sa majorité a été une succession de prises de conscience qu’elle a étouffé sous les sourires radieux qu’elle renvoyait et qui lui permettait de se faire des amis à tour de bras. Intelligente, sûrement beaucoup trop pour son propre bien, elle a très tôt rencontré les bonnes personnes, elle a très tôt su tirer son épingle du jeu en jouant parfois sur la corde sensible quand c’était nécessaire sans pour autant tomber dans le cliché — encore que, ça ne la gêne pas tant que ça de jouer avec les apparences. Attendrir son auditoire, ça lui a été vital pour survivre et évoluer, et c’est de cette manière qu’elle a réussi à s’attirer les faveurs de ceux qui ont su l’élever à un niveau social qu’elle sait qu’elle a mérité tant dès les premiers instants de sa vie, rien n’était gagné.
Un tantinet manipulatrice quand elle juge ça utile de l’être, un tantinet venimeuse pour les mêmes raisons, prise pour la charmante petite idiote qu’elle aime jouer pour surprendre et mieux garder le contrôle de son univers, elle a jeté son dévolu sur son richissime époux, Joel Barker, sans se cacher que c’était les possibilités pécuniaires induites par son statut de grande fortune qui l’a avant tout attiré chez lui, petit-fille n’ayant jamais eu droit au confort matériel. Rassurée par l’idée de ne manquer de rien grâce à lui, personne ne sait vraiment si elle l’aime ou non. Pour autant, elle a fini par oeuvrer pour en faire un homme redoutable, le faisant passer du geek dont personne ne semblait vraiment se méfier, à un ponte qu’elle a porté au rang de sommité qui n’a plus grand-chose à prouver. Elle est le cerveau derrière toutes les stratégies marketing de sa société, elle est la valeur ajoutée aux projets qu’il lance pour révolutionner le monde des hautes technologies, et les fêtes qu’elle organise font légion dans la haute-société qu’ils côtoient à grande échelle, animal social qui marque et qui attire. Et c’est là que le bât blesse, puisqu’agir dans l’ombre pour porter cet homme à son apogée, elle a l’impression que ça les a éteintes, elle et toutes les possibilités d’évolution qu’auraient pu lui apporter la création d’une société dont elle aurait été la seule propriétaire, mais qu’elle a laissé de côté pour soutenir Joel dans tout ce qu’il entreprenait. A quelques années de la quarantaine, elle a la sensation de s’être laissée berner par son appât du gain et de la notoriété et par rien d’autre que ça finalement. Elle a tout, elle qu’on appelle désormais CeCe, c’est une certitude qu’elle ne renie pas tant elle a sué sang et eau pour avoir le droit de vivre une vie comme la sienne, mais il lui manque la reconnaissance réelle d’un monde qui aurait tout pu lui prendre si elle n’avait pas cherché à s’en sortir par elle-même, jouant avec les codes pour mieux les déjouer.
Elle sait qu’elle a les capacités pour se défaire de l’image de petites mains qui lui colle à la peau, elle sait qu’elle a l’argent pour mettre en oeuvre tout ce qui lui permettre d’éclore enfin pour de bon, seulement elle ne sait pas par où commencer sans pour autant ignorer que dans le monde actuel, où la parole des femmes et de plus en plus écoutées, elle part avec un avantage considérable pour enfin porter sa voix et la faire-valoir sur des plateformes qui rendront son expérience inspirante pour des milliers de femmes qui, comme elles, sont restées dans l’ombre trop longtemps tout en couvant une intelligence qui est nécessaire au bon maintien de l’ordre cosmique.

@EVELYN PEARSON FT. MEGHAN MARKLE

l’acolyte de rébellion ◦ CeCe connaît les Pearson, bien sûr qu’elle les connait, en bonne mécène qu’elle est, à distribuer la fortune de son mari comme d’autres distribue le pain aux plus démunis. Le clan majoritairement composé de femmes l’a toujours inspiré tant il se dégage d’elles toutes une aura de pouvoir qu’elle envie d’une manière assez saine pour faire de la matriarche un modèle à suivre et à respecter. Simplement, avec les années et les scandales l’entourant, c’est la moins médiatique d’entre elles qui a fini par retenir réellement son attention — enfin moins médiatique, entendons nous, puisque depuis quelques mois maintenant, Evelyn fait vendre du papier, et pas pour les bonnes raisons, entre vie privée houleuse et mauvaise réputation qu’elle ne mérite certainement pas. C’est en apprenant l’extinction imminente de son business de wedding planning qu’elle s’est davantage intéressée à elle en vérité, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’au-delà de leur vie différente, il se dégage de leur parcours des similarités qui poussent Cecilia à envisager de la rencontrer pour de vrai pour lui éviter de se laisser avaler par l’ombre qu’elle semble tant apprécier d’habitude.
Elle est persuadée qu’Evelyn a des choses à dire, des histoires à raconter, et des conseils à partager à la jeune générations de femmes à en devenir autant qu’elle en a de son côté, et parce qu’il est évident que la jeune femme, maintenant défaite de sa principale activité, cherche quelque chose à faire de son temps pour repousser son anxiété et avancer dans la bonne direction, c’est avec une idée de podcast à mettre sur pied et à animer qu’elle tentera de l’appâter ; et puis quelque part, ne voulant pas qu’elle reproduise ses propres erreurs et s’enferme dans le même schéma qu’elle en s’investissant davantage pour le bien-être de l’homme qu’elle côtoie que pour le sien, elle veut lui faire entendre qu’elle reste un modèle d’indépendance, et qu’elle a encore la vie devant elle pour prouver de quel bois elle se chauffe vraiment sans avoir besoin de s’enfermer dans le schéma des années 50 qu’on attend que des femmes comme elles suivent jusqu’à leur mort.

› si tu es intéressé par un lien avec ce scénario, contacte-moi juste ici :l:

- the ties were black, the lies were white, in shades of gray, in candlelight, i wanted to leave him, i needed a reason. x marks the spot where we fell apart, he poisoned the well, i was lying to myself. i knew it from the first old fashioned we were cursed, we never had a shotgun shot in the dark -

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mes petites exigences

parce que je suis un peu chiant(e)

AVATAR ≈ J’ai imaginé ce scénario sous les traits de Brianne Howey à la base, j'y tiens de fait (pris) BRIANNE HOWEY 2954228499

Ceci étant, je suis ouverte à la suggestion si une idée lumineuse te vient et que tu imagines CeCe sous d’autres traits.

PSEUDO ≈ Je ne vois aucune bonne raison d’en changer. Cela dit, si tu veux te l’approprier entièrement et la nommer à ta guise, on réussira sans doute à s’entendre.

ACTIVITÉ/PRÉSENCE ≈ C'est le sujet qui fâche. Je ne vais pas tomber dans l'éternel refrain qui commence par "nous avons tous une vie en dehors", je pense que c'est inutile : évidemment que l'IRL prime. En vérité, je m’inquiéterais un peu pour toi si tu passais ta vie devant l'écran de ton ordinateur (pris) BRIANNE HOWEY 371680844

Cependant, prendre le scénario d'un membre bien installé, c'est passer un petit accord pour, de ton côté, te donner les moyens de t’intégrer. A côté de ça, je vais être claire tout de suite : il s’agit d’un scénario que j’ai pris le temps de penser et de peaufiner et qui a (qui aura) une importance évidente dans l’évolution de mon personnage avec qui les interactions seront nombreuses pour faire avancer les choses dans le bon ordre.

Les liens rédigés dans sa fiche ne sont PAS anecdotiques, bien que leur importance varie selon leur description, c’est à toi d’établir ton ordre de priorité, et de rester respectueux dans ta façon de les envisager. Qu’on se le dise, le rp est aussi une question de feeling, et c’est important de se sentir à l’aise avec la personne qui se trouve derrière l’écran d’en face. Je ne forcerai jamais personne à rp avec quelqu'un et je mise sur la communication, alors n'hésite vraiment pas à me faire part de quoi que ce soit si tu te sens acculé ou heurté par quelque chose (pris) BRIANNE HOWEY 1949770018

Je n'exige pas grand-chose en termes d'activité : un ou deux rps par semaine, tout partenaire confondu, me semble une moyenne raisonnable pour faire évoluer un personnage doucement, sans tomber dans l’excès et la lassitude qui suit parfois. Il faut que tu saches que, même si tout le monde est très accueillant et enthousiaste dans le coin, aller vers les autres est indispensable pour perdurer. Il faut faire un petit effort, et encore une fois, je t’y encourages vraiment : si tu attends que tout te tombe dans le bec, ça te pénalisera. Pour l’heure, renseigne-toi à propos de ce qui est possible ou non au niveau des liens (sache qu'il y a beaucoup de personnages qui gravitent dans le milieu de la musique ici, tu trouveras ton bonheur), je me ferais évidemment un plaisir de te donner quelques petits noms à aller embêter si besoin.
N'aie pas peur d'aller trouver toi-même les anciens pour t’en trouver une flopée en plus, ça facilitera ton intégration, boostera ta motivation, et on ne va pas se mentir, ça me rendra service de te voir au taquet. Ça voudra dire que tu resteras longtemps et que notre lien aura de l'avenir (pris) BRIANNE HOWEY 763064237

PETIT PLUS ≈ Ce qu'il faut savoir sur moi et ma façon de fonctionner : j'ai quatre comptes sur le forum, je suis donc installée et bien décidée à rester quelques années de plus, je réponds dans des délais raisonnables que ce soit pour les MPs ou pour les RPs. J'ai beaucoup d'idées, et sans tout prévoir à l'avance, j'aime tout de même savoir où je vais. J'ai tendance à m'enthousiasmer un peu trop quand je suis inspirée, alors ne prends pas peur (pris) BRIANNE HOWEY 763064237

J’essaye d'être la plus disponible possible et de répondre rapidement, je le redis, ce qui est très souvent le cas quand l'inspiration est là. Je suis persuadée qu'avec toi derrière ce personnage, ça le sera ! Il ne faut en aucun cas hésiter à venir me trouver par MP, bien au contraire (pris) BRIANNE HOWEY 1949770018

Je vais m'arrêter-là pour l'instant, je sens que tu attends de terminer ta lecture pour t'inscrire, alors (pris) BRIANNE HOWEY 763064237

A BIENTÔT

- the ties were black, the lies were white, in shades of gray, in candlelight, i wanted to leave him, i needed a reason. x marks the spot where we fell apart, he poisoned the well, i was lying to myself. i knew it from the first old fashioned we were cursed, we never had a shotgun shot in the dark -

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