ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement POSTS : 1736 POINTS : 4100
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #11 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10
☆ HELIVE + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
☆ YASMEN #3 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2
fetish 6 juillet 2024 – gallery of broken hearts crédit gifs(purplespoiler) + @Marceline Griffiths
Cela faisait déjà plusieurs jours qu'Helen n'avait pas mis les pieds dans sa propre maison. La dispute entre Sam et elle marquait la fin de leur histoire... pour le moment, puisqu'Helen avait manifesté le besoin de se séparer de lui. Quelle autre issue possible, après deux ans d'infidélité de la part de son époux ? Une réconciliation paraissait inenvisageable pour le moment, la chirurgienne était bien trop blessée pour ça. Cette confiance aveugle qu'elle avait eu de longues années à l'égard de son époux n'existait plus aujourd'hui. Car, même si elle savait reconnaître ses torts dans leur relation depuis plusieurs années, elle ne pardonnerait jamais à son homme d'avoir été fuis leurs problèmes en se réfugiant dans les bras d'une autre. C'était trop facile de dire qu'elle ne le touchait plus, qu'elle remettait tout en doute depuis très longtemps... La tromper n'était pas la solution pour qu'Helen le touche davantage, ou pour qu'elle cesse de moins douter de ses choix de vie. Quoique, aujourd'hui, la jeune femme avait plus ou moins ouvert les yeux. Elle vivait au jour le jour sa relation avec son amant, sans se poser plus de questions sur où ça allait les mener. Ce qu'elle désirait le plus fort, c'était profiter de cette liberté dont elle avait repris pleinement le contrôle. Libre comme l'air, ce fut avec l'envie de profiter du nouvel événement organisé par la ville de Brisbane en l'honneur de l'arrivée du mois de Juillet. N'habitant plus chez elle, Helen envisageait parfois l'idée de se louer un appartement, le temps d'y voir plus clair avec Sam, afin d'arrêter de squatter entre plusieurs lieux, même si ses ami(e)s et son amant ne semblaient pas dérangés par sa présence chez eux. Elle se rendit néanmoins à la galerie où les habitants de Brisbane avaient l'occasion de vendre des objets, un peu à l'image d'une brocante. Helen y allait sans pression aucune de se trouver des meubles ou de la décoration pour un éventuel futur chez elle, et même si elle n'y trouvait rien, cela était l'occasion de se balader seule. Rapidement, un des stands présent attira son œil car, en bonne collectionneuse de tasses qu'elle rapportait au travail -puisqu'elle se faisait régulièrement voler les siennes à chaque fois, la chirurgienne eut un véritable coup de cœur pour l'une d'entre elle. Il n'existait peut-être rien de plus kitsch que l'objet qui lui faisait face, avec ces cœurs et ce petit chat roux, mais elle sentait qu'il lui fallait absolument. La chirurgienne leva alors les yeux vers la détentrice du stand, tout en pointant la tasse du doigt : « Bonjour. A combien faites-vous la tasse ? Celle avec le petit chat roux. » Puis, elle ne put s'empêcher d'ajouter : « Elle vient de me taper dans l'œil, j'adore son côté kitsch. » Peut-être que beaucoup de personnes ne serait pas de son avis, mais tant pis. Elle espérait juste que son prix ne soit pas trop exorbitant, car au fond ça restait une tasse à la forme basique.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
son équipement:
Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Dès que j’avais entendu parler de l’évènement organisé par la ville, je m’étais précipitée pour réserver un stand, le plus grand possible, parce que franchement, un vide-grenier pour vendre les affaires de ses exs en tout genre ?! N’en dites pas plus : c’est fait pour moi.
Je ne comptais même plus le nombre de relations ratées (faux, je comptais très bien, 12 exs en 12 ans, sans parler des relations qui n’avaient pas eu le temps d’avoir des étiquettes) et le nombre de souvenirs que j’avais accumulé, sentimentale comme j’étais. J’avais du mal à m’en séparer, pour une raison que j’avais du mal à identifier ; ma colère qui se dirigeait souvent vers les autres, pendant mes relations amoureuses, auraient pu se diriger sur les objets, que j’aurais pu (ou du) bruler, jeter, exploser avec une batte de baseball, peut-être. Mais non, ils étaient tous là, à présent disposés joliement sur mon stand.
Le vinyle de Charli XCX que m’avait offert Leah, qui adorait l’éléctro et avait décrété que je devais m’y mettre aussi (pas de chance pour elle, aujourd’hui encore, le Glee Cast était mon top artist spotify). Le collier avec un pendentif de lavande, que m’avait offert Mary. La tasse kitsch que Callie m’avait trouvée dans une brocante, à notre troisième date. La robe verte emeraude d’un grand couturier que Celia avait laissé dans mon appartement, un lendemain de soirées mondaine, et qu’elle n’a jamais repris, me fuyant comme la peste et me ghostant malgré mes lettres incessantes. La collection de livres de poésie qu’Elizabeth m’avait offert en prétextant faire mon éducation (nos vingt ans d’écart lui confortait cette place de professeure) malgré mon insistance à propos de mon désintérêt pour ce genre littéraire. Le porte-clef avec la flamme à paillette, la moitié d’un ensemble de deux porte-clefs que j’avais achetés, un pour moi, un pour Gina. La scrunchie noir en satin que Mac avait laissé dans ma salle de bain, un matin. Cette liste non-exhaustive n’était qu’un bout de la montagne d’affaires. J’avais hésité, en partant, à prendre avec moi la bague de fiancailles que Mona m’avait offerte mais je n’avais pas pu, étrangement, même si on avait été fiancé 2 mois il y a 10 ans de ça.
Je n’étais pas installée depuis bien longtemps - car en retard, comme à mon habitude - qu’une brune s’approcha du stand, observant les affaires. Je la laissais faire son tour, ne voulant pas être présente. Je portais un bob violet, et mon stand était tout au fond du vide grenier, pour ne pas trop attirer l’attention sur moi, mais j’avais déjà remarqué quelques regards. « Bonjour. A combien faites-vous la tasse ? Celle avec le petit chat roux. » Je me rapprochai de l’objet, sourire aux lèvres, un flash du rire de Callie teintant dans mes oreilles. « Elle vient de me taper dans l'œil, j'adore son côté kitsch. » C’était ça qui nous avait fait rire, aussi, quand on l’avait trouvée ensemble. « Je vais passer pour une mauvaise négociante, mais je n’avais même pas réfléchi au prix », avouai-je avec un rire presque désolé. « Voyons voir, hm… Si je veux rembourser le préjudice émotionnel et moral que m’a infligé la fille qui m’a offerte cette tasse, je dirais 100 000 AUD », dis-je d’un ton faussement sérieux. « Mais vous avez l’air sympa, je vous la fais pour 5 AUD. » 3 euros, pour une tasse, c’était une bonne affaire. « C’est drôle, mon ex me l’avait trouvée dans une brocante aussi, c’est un peu le cercle de la vie qui se passe là ! »
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
:
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement POSTS : 1736 POINTS : 4100
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Si Sam avait été présent à ses côtés, la chirurgienne était persuadée qu'il se serait moqué du choix de sa tasse. En fait, n'importe qui l'aurait fait, car l'objet, dans son jus, devait dater de plusieurs dizaines d'années. A moins que le chat en question sur cette tasse s'avère être l'animal de compagnie de la propriétaire du stand, auquel cas elle s'en fichait totalement, puisqu'elle ne le connaissait pas. Le félin était si mignon, avec son petit regard larmoyant. La brune s'imaginait déjà dans les couloirs de l'hôpital en train de boire son café, avec sa petite lichette de lait d'amande. C'était Nina qui allait être jalouse, c'était certain. Enfin, à condition que son prix ne soit pas trop exorbitant. Quel était la probabilité pour que cette tasse soit un ultime objet d'une collection qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam ? Vous savez, comme ces anciennes cartes Pokémon qui se vendaient apparemment à prix d'or aujourd'hui. « Je vais passer pour une mauvaise négociante, mais je n’avais même pas réfléchi au prix » Exit la possibilité de l'objet de collection ayant une grande valeur, si c'était le cas, la jeune femme se serait probablement informée au préalable de son prix. « Voyons voir, hm… Si je veux rembourser le préjudice émotionnel et moral que m’a infligé la fille qui m’a offerte cette tasse, je dirais 100 000 AUD » Aïe, ça sentait la rupture amoureuse pour sûr. Mais qu'elle la rassure, elle allait quand même baisser son prix, n'est-ce pas ? « Mais vous avez l’air sympa, je vous la fais pour 5 AUD. » « Ca me va parfaitement. » Voilà qui était préférable, de très loin. Pas besoin de négocier, ce nouveau prix était plus que respectable, la chirurgienne amorça alors un mouvement pour sortir son porte-feuille de son sac à main. « C’est drôle, mon ex me l’avait trouvée dans une brocante aussi, c’est un peu le cercle de la vie qui se passe là ! » Le côté pipelette de la blonde fit largement sourire Helen, qui sentait une certaine curiosité la piquer à propos de cette fameuse ex. La chirurgienne avait le sentiment qu'il était facile de parler avec la propriétaire de ce stand, à qui elle ne tendit pas aussitôt l'argent. « Est-ce que la tasse ne risque pas de m'attirer un mauvais sort s'il y a eu tel préjudice moral et émotionnel ? Quoique, je viens d'apprendre que mon époux me trompe depuis deux ans, alors je ne sais pas ce qui pourrait m'arriver de pire, vous me direz. » Ah ouais, c'était vraiment super facile de se confier à elle en tout cas. C'était bien la première fois que la chirurgienne se confiait ainsi à une parfaite inconnue. Comme quoi, la liberté ça n'avait que du bon. « Infidélité également ?» Quel était donc ce secret autour de cette tasse kitsch ? Helen avait bien envie de le découvrir. « En tout cas, vous avez beaucoup d'objets sympas.» Dit-elle, avant de remarquer la sublime robe verte qui venait, à son tour, de lui taper dans l'œil. Le tissu avait l'air de super qualité, ça c'était pas une robe Shein. « Elle a du vous coûter un bras.» Supposa-t-elle, en désignant le vêtement d'un mouvement avant du menton, pendant qu'elle réfléchissait à une potentielle occasion pour la mettre, et donc justifier cet achat.
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Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
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MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Je commençais à être connue depuis assez longtemps pour capter lorsque l’on me reconnaissait, et la brune qui se tenait en face de moi n’avait aucune idée de qui j’étais - aucun sourcil froncé, yeux écarquillés, sourire factice, non, juste une expression normale, habituelle d’une personne qui discute avec une inconnue. Forcément, je me sentais plus à l’aise pour lui raconter des choses sur ma vie, en me disant que ça ne finirait pas sur TMZ la semaine suivante - ça, et le fait que je ne savais malheureusement jamais me taire. Mes capacités de négociante semblait pas mal, puisque la jeune femme accepta mon offre. A vrai dire, je n’avais absolument pas besoin d’argent, c’était juste vraiment pour jouer le jeu du vide grenier. « Est-ce que la tasse ne risque pas de m'attirer un mauvais sort s'il y a eu tel préjudice moral et émotionnel ? Quoique, je viens d'apprendre que mon époux me trompe depuis deux ans, alors je ne sais pas ce qui pourrait m'arriver de pire, vous me direz. » Ma bouche s’ouvrit en un o dramatique sous la surprise de la confession, et la candeur avec laquelle elle avait été partagé. « Oh wow », lâchai-je avec une grimace. « Je vous offre la tasse », dis-je immédiatement, agitant mes mains, « à défaut de pouvoir vous offrir un mari décent », ajoutai-je avec un rire jaune. « Je suis désolée. Franchement, ça devrait être criminel de tromper une femme aussi belle que vous ! » Ce n’était pas du flirt mais vraiment une pensée sincère, parce que j’avais de l’empathie pour elle, vraiment, et qu’en plus elle était sincèrement jolie, et qu’un peu de boost pour son ego ne lui ferait pas de mal vu la situation.
« Infidélité également ?» Demanda la brune, en pointant la tasse. Je secouais la tête. « Non, je croyais, mais non. C’est une histoire drôle, en fait », commençai-je avec un sourire, décidée à changer les idées de cette inconnue. « J’étais persuadée qu’elle me trompait avec sa collègue, elle a rompu avec moi parce que j’étais trop jalouse, et comme j’étais jeune et conne, j’ai crevé le pneu de sa voiture. Résultat, sa collègue l’a conduite au boulot pendant deux semaines, et elles ont fini par vraiment se mettre ensemble », racontai-je en riant, parce que je me rendais bien compte de l’ironie de la situation. J’attrapais le porte-clef avec la flamme à paillette, le scrunchie noir en satin, et un bougeoir en forme de fraise, et les montrais à l’inconnue. « Par contre, ça, trois exs, trois histoires de tromperie. Donc vraiment, je compatis avec votre situation », lui dis-je avec un petit sourire.
« En tout cas, vous avez beaucoup d'objets sympas. » Elle s’approcha de la robe verte de Celia. « Elle a du vous coûter un bras. » Je secouai la tête. « Ce n’est pas la mienne, mais oui, elle a dû coûter un bras à sa propriétaire. Mais elle l’a laissée chez moi et ne l’a jamais récupérée, elle était trop occupée à me ghoster », dis-je avec un soupire. « Elle préférait les robes aux sentiments », analysais-je. « C’est quoi, vous, votre pire histoire de rupture ? »
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:
Helen Stenfield
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ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement POSTS : 1736 POINTS : 4100
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Helen fut la première surprise en constatant à quel point elle s'était si rapidement confiée à la propriétaire du stand à propos de sa vie privée. Ce n'était pas dans ses habitudes de raconter sa vie à de parfaites inconnues, mais l'idée de pouvoir décharger sa colère, sa peine et ce fardeau à quelqu'un qui la jugerait probablement moins que certains de ses amis, ou pire encore, moins que sa propre famille, lui plaisait beaucoup, au final. Et puis, quelles étaient les probabilités pour que cette personne connaisse Sam ? De son côté, Helen était sûre et certaine de ne pas connaître son identité, auquel cas elle l'aurait directement reconnue -et peut-être évitée, vu les circonstances catastrophiques de sa vie sentimentale et personnelle. « Oh wow. Je vous offre la tasse, à défaut de pouvoir vous offrir un mari décent. » La vendeuse semblait si confuse, qu'Helen en finit bouche bée, elle aussi. « Je suis désolée. Franchement, ça devrait être criminel de tromper une femme aussi belle que vous ! » Le compliment lui fit presque rosir les joues, puisqu'il n'était pas attendu. Du tout, même. « Merci c'est gentil... je ne disais pas ça pour me faire offrir la tasse ou pour recevoir un compliment aussi adorable... merci » Souffla-t-elle une dernière fois, avant de préciser : « Je tiens à vous payer la tasse, pour amortir un tant soit peu les dégâts causés par votre ex. » Le porte-monnaie dégainé et le billet de 5AUD déjà sorti, la blonde n'avait pas vraiment le choix que de l'accepter, tandis qu'Helen la questionnait sur le fait qu'il s'agisse éventuellement d'une infidélité aussi qui ait mis fin à sa relation avec son ex. « Non, je croyais, mais non. C’est une histoire drôle, en fait » Helen était déjà toute ouïe. « J’étais persuadée qu’elle me trompait avec sa collègue, elle a rompu avec moi parce que j’étais trop jalouse, et comme j’étais jeune et conne, j’ai crevé le pneu de sa voiture. Résultat, sa collègue l’a conduite au boulot pendant deux semaines, et elles ont fini par vraiment se mettre ensemble » « Oh mince alors » Helen écarquilla les yeux, à la fois de surprise et d'amusement. En soi, ce n'était pas drôle puisque la jeune femme évoquait une rupture, et elle avait forcément ressenti de la peine à ce propos. Mais l'histoire était plutôt cocasse, elle prêtait malgré tout à sourire... et la blonde en face en riait même. Cette dernière s'était d'ailleurs emparé de trois objets posés sur sa table, et reprit à nouveau la parole : « Par contre, ça, trois exs, trois histoires de tromperie. Donc vraiment, je compatis avec votre situation » A quel moment pouvait-on avoir si peu de chance en amour ? 3 infidélités ? Mais comment avait-elle fait pour remonter la pente après tout ça ? « Je préfère vous les laisser alors » Sourit-elle, même si le mal avait déjà été fait et qu'il était peu envisageable que pire lui tombe sur la tête, même en achetant des bibelots offerts par des personnes infidèles. A la place, Helen préféra s'intéresser à la sublime robe verte qui lui tapait tout d'un coup dans l'œil. « Ce n’est pas la mienne, mais oui, elle a dû coûter un bras à sa propriétaire. Mais elle l’a laissée chez moi et ne l’a jamais récupérée, elle était trop occupée à me ghoster. Elle préférait les robes aux sentiments. » Encore un objet ayant appartenu à une ex ? Son stand était en fait le cimetière de ses relations passées, non ? « En fait, vous revendez tout ce qui est en lien avec vos précédentes relations amoureuses ? » La questionna-t-elle, toujours partagée entre l'amusement de la situation, mais aussi l'empathie d'avoir en face d'elle une personne si peu chanceuse en amour. « C’est quoi, vous, votre pire histoire de rupture ? » N'ayant pas du tout anticipé la question, la chirurgienne laissa échapper un 'ola' soufflé qui l'invita ensuite à la réflexion. Des aventures amoureuses, la jeune femme n'en avait pas connu des tonnes. Alors la pire histoire de rupture de sa vie, ce n'était pas quelque chose de grandiose. « Heu, et ben... un de mes ex m'a plaqué par SMS. Il m'avait écrit : 'Je t'aime tu sais, mais là j'ai rencontré quelqu'un et je pense qu'il y a moyen que ça fonctionne avec elle, alors bon, j'ai envie de tenter...' » Cette histoire datait de bon nombre d'années maintenant, Helen devait à peine avoir 18 ans lorsque son ex petit ami lui avait envoyé ça. Mais bon, en le racontant à nouveau à voix haute, elle se rendait compte que c'était assez pépite quand même. « On avait 18 ans, alors à cet âge-là... mais qu'il était con. » Dit-elle sérieusement, avant de se mettre à rire à son tour. Ah, l'adolescence.
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TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
J’avais instinctivement de la compassion pour la jeune femme, parce que j’étais aussi dans le club des cocus, un badge d’honneur que j’aurais préféré éviter de porter mais que j’essayais d’assumer. Après tout, j’étais une victime de l’histoire, et ce n’était pas ma faute. La preuve en était avec la brune devant moi, qui était clairement sublime - si elle-même se faisait tromper, que nous restait-il ? Si les Jay-Z de ce monde trompaient les Beyoncé, où allait-on, en tant que société ?! « Merci c'est gentil... je ne disais pas ça pour me faire offrir la tasse ou pour recevoir un compliment aussi adorable... merci », elle murmura, les joues rosies, et je secouai ma main pour chasser sa gêne et appuyer que le compliment venait du coeur, et ma proposition pour la tasse gratuite aussi.« Je tiens à vous payer la tasse, pour amortir un tant soit peu les dégâts causés par votre ex. » Je souriais, un peu attendrie. « Bon, d’accord, ça me paiera un gin tonic pour oublier un peu » , plaisantai-je. En réalité, l’histoire datait d’une dizaine d’années, ça faisait longtemps que je n’y pensais plus trop, surtout que j’avais eu bien d’autres echecs amoureux pour me préoccuper. Comme le prouvait tous les objets accumulés sur mon stand ; j’en montrais quelqu’un à l’inconnue pour lui raconter que j’avais été aussi trompée, et qu’elle était en présence de quelqu’un qui pouvait compatir. « Je préfère vous les laisser alors », plaisanta la brune, et j’hochai la tête d’un air entendu. « Ne tentons pas le destin, oui », décrétai-je avec beaucoup de sérieux.
De toute façon, il y avait mieux sur mon stand qu’un porte-clef ou un scrunchie ayant appartenue à des infidèles. Il y avait notamment cette robe verte émeraude. « En fait, vous revendez tout ce qui est en lien avec vos précédentes relations amoureuses ? » J’étais partagée entre la grimace et le rire, parce qu’il fallait mieux plaisanter de la situation. « Je n’ai pas beaucoup de chance en amour, non », avouai-je. « Alors quand j’ai entendu parler de cet event, je me suis dit que c’était le moment de vider mon garage, vu le nombre d’exs que j’ai. Vous avez… vous êtes… euh, votre mariage, ça fait longtemps ? » Demandai-je, m’embrouillant un peu, pas sûre de devoir utiliser le passé ou le présent pour décrire cette histoire.
A vrai dire, j’étais assez curieuse de la vie de l’inconnue ; c’était aussi le but de l’évenement, non ? Créer des discussions autour de nos peines de coeur mutuelles. « Heu, et ben... un de mes ex m'a plaqué par SMS. Il m'avait écrit : 'Je t'aime tu sais, mais là j'ai rencontré quelqu'un et je pense qu'il y a moyen que ça fonctionne avec elle, alors bon, j'ai envie de tenter...' » « Oh my fuckin god », m’exclamai-je en agitant les mains dans un geste théâtrale. « On avait 18 ans, alors à cet âge-là... mais qu'il était con. » On se mit à rire toutes les deux, il y avait prescription et l’histoire était quand même assez cocasse. « Wow, j’avoue que c’est dur. J’ai une ex qui m’a plaquée en me laissant un message vocal de 17 secondes. On était ensemble depuis presque un an ! » J’étais encore outrée, à ce jour. Je m’approchais de la brune, prenant la robe verte qu’elle convoitait, et portait le cintre près d’elle, pour jauger un peu de si elle pourrait lui aller. « Elle vous irait hyper bien. En même temps, le vert, sur les brunes, c’est toujours un combo gagnant. Faudra peut-être juste un peu réajuster la taille, mais avec une couturière, ça se fait en une heure et 20 AUSD », dis-je en réfléchissant à voix haute. « Votre mari, il vous voit débarquer avec ça, je peux vous dire qu’il va regretter sa connerie. »
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
:
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement POSTS : 1736 POINTS : 4100
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #11 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10
☆ HELIVE + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
☆ YASMEN #3 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2
@Marceline Griffiths 6 juillet 2024 – gallery of broken hearts ¤¤¤ crédits gifs (purplespoiler) / code (boté du sud )
L'histoire de l'ancienne propriétaire de la tasse amusa la chirurgienne, tout comme elle se sentit véritablement désolée pour les dégâts amoureux que cela avaient causé. C'était terrible de croire à l'infidélité de sa partenaire, pour qu'au final elle existe vraiment, et avec le sentiment d'avoir été celle qui l'ait poussé dans les bras de l'autre. Visiblement, la blonde n'était pas très chanceuse en amour, et le nombre d'objets ayant été offert ou ayant appartenu à toutes ses ex le démontrait bien. Cet événement de brocante mettait en effet en avant la possibilité de vendre des objets emplis de souvenirs ; familiaux, amoureux, amicaux... et finalement, pour ce stand là en particulier, il ne s'agissait que d'objets ayant un passé et une séparation incongrue, Helen le sentait. « Je n’ai pas beaucoup de chance en amour, non. Alors quand j’ai entendu parler de cet event, je me suis dit que c’était le moment de vider mon garage, vu le nombre d’exs que j’ai. Vous avez… vous êtes… euh, votre mariage, ça fait longtemps ? » Le nombre d'ex d'Helen se comptait sur les doigts d'une main de son côté, néanmoins elle aurait pu participer à ce vide grenier rien que pour vendre tous les objets offerts par Sam, car son infidélité ne méritait que cela. « Je peux oser vous demander combien d'exs vous avez ? Vous me rendez curieuse, c'est peut-être déplacé. » Souffla-t-elle, bien que la brune avait cet agréable sentiment que le courant passait suffisamment entre les deux femmes pour que la blonde accepte de lui avouer le nombre de relations amoureuses qu'elle avait connu. Elle ne semblait pas bien vieille, au mieux elles devaient avoir le même âge. « On était ensemble depuis 7 ans, et mariés depuis 5 ans. Quel gâchis... » Quelle perte de temps, surtout, non ? Même si ces quatre dernières années, les choses n'étaient plus si simples dans le couple Stenfield, Helen aimait profondément Sam, c'était indéniable. Elle l'avait toujours aimé, alors cette nouvelle était comme un coup de massue qui la laissait croire qu'elle avait bel et bien fait fausse route depuis toutes ces années et qu'il lui faudrait se reconstruire auprès de quelqu'un d'autre. « Oh my fuckin god. Wow, j’avoue que c’est dur. J’ai une ex qui m’a plaquée en me laissant un message vocal de 17 secondes. On était ensemble depuis presque un an ! » Helen roula des yeux, ahurie par un tel comportement de la part de cette inconnue au bout d'un an de relation. « Ces lâches qui n'osent même pas nous quitter en face à face... Ces personnes-là ne nous méritent pas. » A l'époque, le SMS de son ex avait été difficile à avaler, puisqu'Helen n'était qu'innocence et jeunesse. Si cela arrivait aujourd'hui, la chirurgienne était suffisamment mature pour comprendre qu'un tel comportement la décevrait au point de ne pas chercher davantage à se battre pour une personne qui n'en vaut pas la peine. « Elle vous irait hyper bien. En même temps, le vert, sur les brunes, c’est toujours un combo gagnant. Faudra peut-être juste un peu réajuster la taille, mais avec une couturière, ça se fait en une heure et 20 AUSD » Helen laissa la propriétaire du stand approcher la robe de son corps, et acquiesça au rythme de ses mots pour montrer son approbation. Il était vrai qu'elle portait bien la couleur verte, surtout la nuance émeraude, alors la robe lui semblait faite pour elle à chaque seconde supplémentaire près d'elle. « Votre mari, il vous voit débarquer avec ça, je peux vous dire qu’il va regretter sa connerie. » Un léger rire s'échappa de ses lèvres, tandis qu'elle caressait du bout des doigts le tissu du vêtement. « Vu comme il me harcèle de message pour me dire que je lui manque, il doit déjà bien la regretter... » C'en était d'ailleurs très fatiguant, elle qui ne demandait qu'un peu de temps et d'espace pour savoir véritablement où se positionner suite à cette séparation... « En tout cas, vous savez comment convaincre les gens. Vous êtes dans le commerce ? Ou non, peut-être avocate ? » Helen se faisait déjà des films sur cette dernière activité qui irait finalement comme un gant à la blonde, c'était presque même une évidence maintenant qu'elle le disait. « Je vous prends la robe, et ensuite j'élaborerai un plan pour qu'il me voit dedans. Je ne sais pas quand, ni comment, mais je veux qu'il s'en morde les doigts jusqu'à la fin de sa vie. » Ah, ce désir de vengeance, c'était quelque chose quand même.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
son équipement:
Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
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MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
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LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Moins la brune semblait me remettre, et plus je me sentais à l’aise dans la conversation, prête à étaler mes déboires amoureux, paniquant probablement au loin mon agente pr qui préférerait que je n’abîme pas mon image en risquant une confession avec une inconnue. Mais c’était plus fort que moi, j’avais toujours été horriblement bavarde, et j’adorais les discussions comme ça, les mêmes qu’on pouvait avoir dans le coin fumeur d’un bar ou la cuisine durant une soirée, où l’on croise les inconnus, on s’avoue des secrets stupides, on rigole comme si on se connaissait depuis qu’on était gamin. « Je peux oser vous demander combien d'exs vous avez ? Vous me rendez curieuse, c'est peut-être déplacé. » J’eus un rire, ne m’attendant pas une question si franche, mais trop moi-même pour être capable de mentir. Je poussais un soupir un peu dramatique, toujours prête à romancer ma vie et mes échecs amoureux - comment les supporter autrement, si je ne m’en amusais pas ? « Oh, si je compte que les vraies relations, je… Douze », avouai-je avec une grimace. « Ma plus longue relation a duré un an et demi, mais souvent ça n’a duré que quelques mois. Le genre de relations où c’est vite intense mais ça explose en cours de route », ma confession m’arrache une nouvelle grimace. « J’ai pas très bon goût en matière de filles non plus. » C’était bien mon genre, ça, de rejeter la faute sur les autres - parce que si c’était ma faute, qu’est-ce qu’il me restait, hein ? Non, j’avais besoin de cette identité de victime et de malchanceuse. « J’ai jamais été mariée, par contre. Mais j’ai été fiancée deux fois. » J’espérais vraiment que l’adage jamais deux sans trois soit faux, car je ne tenais pas à revivre une énième rupture de fiançailles.
Un divorce n’avait pas l’air plus amusant non plus, même si je n’osais pas demander frontalement à la jeune femme si c’était ça dont il était question - peut-être voulait-elle pardonner la tromperie ? Je ne la jugeais pas, je l’avais moi-même déjà fait. « On était ensemble depuis 7 ans, et mariés depuis 5 ans. Quel gâchis... » Je lui fis un sourire compatissant. « Vraiment, j’ose pas imaginer votre peine. Bon, j’imagine que vous êtes pas encore dans ce mood-là, mais vous êtes jeune et magnifique, vous allez clairement retrouver quelqu’un en un rien de temps ! » M’exclamai-je avec enthousiasme, parce que je n’en doutais pas une seule seconde.
On méritait mieux que les abrutis qui nous avaient déçues, c’était sûr. Une robe émeraude, un joli brushing, et l’inconnue ferait regretter à son mari d’avoir osé ne pas la traiter à sa juste valeur. « Vu comme il me harcèle de message pour me dire que je lui manque, il doit déjà bien la regretter... » Evidemment, il devait regretter, maintenant ! Ils faisaient toujours ça, les gens qui trompaient. Je secouai la tête, un peu agacée. « C’est toujours comme ça, évidemment », je sifflais entre mes lèvres. « Vous pensez que vous pourrez lui pardonner ? » Lui demandai-je sans aucun jugement aucun.
« En tout cas, vous savez comment convaincre les gens. Vous êtes dans le commerce ? Ou non, peut-être avocate ? » J’eus un petit rire. Ce n’était pas le moment où je pouvais lâcher : ah oui, je suis actrice mondialement connue, no big deal. « Non, mais j’ai fait beaucoup de théâtre, ça doit aider », rébondissai-je en déviant un peu de la question de base. « Je vous prends la robe, et ensuite j'élaborerai un plan pour qu'il me voit dedans. Je ne sais pas quand, ni comment, mais je veux qu'il s'en morde les doigts jusqu'à la fin de sa vie. » Je poussai une exclamation de joie - et tellement peu douée en commerce, j’en oubliais complètement de lui proposer un prix pour la robe. « Oh, il faudrait un événement publique, genre, une soirée, un gala, un endroit où y a du monde pour vous regarder et flirter avec vous, et que votre mari s’en morde les doigts ! Ah, vraiment, je suis ravie que cette robe soit votre revenge dress ! » Je n’étais clairement pas du genre à choisir la maturité quand il s’agissait de se venger de tout le monde.
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La chirurgienne n'avait pas pour habitude de se montrer aussi curieuse quant à la vie amoureuse d'une inconnue, à vrai dire, dans un autre contexte et si la question lui était adressée, Helen s'offusquerait peut-être qu'on puisse vouloir être si intrusif dans la vie d'une personne qu'on ne connait ni d'Eve ni d'Adam. Avec la propriétaire du stand (dont elle ne connaissait même pas le prénom, d'ailleurs), la conversation était fluide, les aveux faciles à faire et la curiosité finalement pas si déplacée que cela. « Oh, si je compte que les vraies relations, je… Douze. Ma plus longue relation a duré un an et demi, mais souvent ça n’a duré que quelques mois. Le genre de relations où c’est vite intense mais ça explose en cours de route. » Douze ? Wow... la chirurgienne faisait pâle figure avec ses relations sérieuses qu'on pouvait compter sur les doigts d'une seule main. Mais, surtout, comment trouvait-elle le temps d'avoir eu douze vraies relations, même si ça ne durait que quelques mois ? Wow, la jeune femme était impressionnée par sa persévérance, en tout cas. « J’ai pas très bon goût en matière de filles non plus. J’ai jamais été mariée, par contre. Mais j’ai été fiancée deux fois. » « C'est quel type, votre type de filles ? Ma meilleure amie est célibataire et archi canon, si jamais. » Si Sloane pouvait fréquenter quelqu'un de décent en la personne de cette blonde, Helen n'en serait que ravie, vraiment. Cela lui permettrait d'oublier son ex-femme, Yara la désertrice... et Scarlett, elle répétait qu'il ne se passerait rien avec, alors... ça faisait d'elle une femme disponible pour vivre le grand amour. « Aujourd'hui, j'ai bien envie de vous dire de ne jamais vous marier, quelle belle erreur de vie ça. » Contradictoire avec le fait qu'elle avait toujours rêvé d'organiser les mariages des autres, plutôt que de devenir chirurgienne. Si elle incitait les femmes à ne pas se marier, elle ne risquait jamais de franchir le pas de démissionner et de se lancer dans cette voie qui l'avait toujours animée.
« Vraiment, j’ose pas imaginer votre peine. Bon, j’imagine que vous êtes pas encore dans ce mood-là, mais vous êtes jeune et magnifique, vous allez clairement retrouver quelqu’un en un rien de temps ! » Les joues d'Helen tournèrent discrètement au rose, si bien qu'elle se confia très rapidement à ce sujet : « J'ai rencontré quelqu'un, justement. ça m'est tombé dessus, comme ça » Elle fit claquer ses doigts, comme pour dire "comme magie". « En fait, je me suis même mise à le fréquenter avant de me séparer de mon mari... mais je n'ai pas su résister à l'appel de la jeunesse et de son corps. » Il fallait être honnête un instant et admettre bel et bien que Winston était bien bâti, et elle avait été la première étonnée de le penser, après leur passé chaotique. « C’est toujours comme ça, évidemment. Vous pensez que vous pourrez lui pardonner ? » « ça me paraît très difficile... » Avoua-t-elle honnêtement, puisque dans sa tête, si elle avait pu signer les papiers du divorce de suite, Helen les aurait déjà signé et envoyé à Sam.
« Non, mais j’ai fait beaucoup de théâtre, ça doit aider. » La chirurgienne acquiesça de la tête, très loin d'imaginer qu'elle faisait face (encore une fois) à une célébrité. Helen était tellement éloignée du monde de strass et de paillettes qu'elle venait de rencontrer une star pour la deuxième fois, sans s'en rendre compte. Comme quoi, la brune était avenante envers les autres à cause de leur gentillesse et non leur popularité dont elle n'avait honnêtement que faire. « Oh, il faudrait un événement publique, genre, une soirée, un gala, un endroit où y a du monde pour vous regarder et flirter avec vous, et que votre mari s’en morde les doigts ! Ah, vraiment, je suis ravie que cette robe soit votre revenge dress ! » Helen était très emballée par cette idée mais... les événements publics se faisaient rares dans son quotidien. « Il y a parfois des galas organisés par l'hôpital, peut-être que ce serait une bonne occasion, oui... » Mais encore fallait-il que Sam s'y rende ? ENFIN, les modalités de cette vengeance, elle les peaufinerait plus tard. « Vous m'avez dit combien pour la robe ? »
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Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
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Plus jeune, j’avais porté mes déboires amoureux comme un badge d’honneur : ça me donnait des histoires drôles à raconter en soirée, ça attirait la sympathie, c’était une blague récurrente, Marcel l’éternelle malchanceuse. Puis j’avais grandi, passé la trentaine, et les gens autour de moi avaient commencé à se caser dans des relations stables, à avoir des enfants, déménager de grandes villes pour avoir une maison à la campagne et un potager. Et finalement, mon statut de fille qui ne savait pas tenir une relation longue n’était plus si amusant. Je me demandais même comment j’arrivais à en parler si facilement à cette inconnue, car dans un autre contexte, j’aurais peut-être été un peu gênée d’avouer la pile de relations foireuses que j’avais accumulées. Mais là, j’étais en couple, avec Andy, qui ne ressemblait à aucune de mes exs, et ça suffisait pour me raccrocher à quelque chose et me dire que cette fois-ci serait résolument différente - sans m’attarder sur le fait que je disais ça quasiment à chaque fois. « C'est quel type, votre type de filles ? Ma meilleure amie est célibataire et archi canon, si jamais. » Par réflexe, je plissais un peu les yeux, comme si j’écoutais plus attentivement - je ne comptais plus le nombre de fois où des amis m’avaient présenté des gens, avec plus ou moins de succès. « En temps normal, j’aurais demandé une photo, mais, hm, je suis en couple. Avec l’une de mes meilleures amies. C’est récent, mais j’espère vraiment que ça va tenir, parce qu’elle ne ressemble pas à mes exs, donc… On va dire que cette fois-ci c’est la bonne ? » (Je n’avais aucune idée, en cet instant, de ce qui m’attendait) « En tout cas, vous êtes sympas, parce que je viens de vous raconter que j’ai 12 exs, et vous étiez quand même prête à me présenter votre ex. Soit vous laissez facilement le bénéfice du doute aux gens, soit votre meilleure amie doit être désespérée », plaisantai-je, parce que vraiment, je n’étais plus l’offre la plus alléchante de l’étalage.
« Aujourd'hui, j'ai bien envie de vous dire de ne jamais vous marier, quelle belle erreur de vie ça. » J’eus un petit rire, parce que je comprenais tout à fait comment la jeune femme en était arrivé là. Mais apparemment, elle ne se laissait pas abattre, car elle me confia avec des yeux pétillants : «J'ai rencontré quelqu'un, justement. ça m'est tombé dessus, comme ça. En fait, je me suis même mise à le fréquenter avant de me séparer de mon mari... mais je n'ai pas su résister à l'appel de la jeunesse et de son corps. » J’ouvrai la bouche en un petit o dramatique, et éclatai de rire, ravie de la confession qui me donnait l’impression d’être à une pyjama party. « Good for you, girl ! » M’exclamai-je en tapant dans mes mains, comme si je l’applaudissais. « Pourquoi se morfondre si vous trouvez un petit jeune pour vous changer les idées ! Oh, je suis sûre qu’il serait ravie de vous voir dans cette robe aussi. Et de vous l’ôter », ajoutai-je d’un air entendu, parce que j’avais l’impression qu’on avait dépassé le small talk et qu’on pouvait même se faire des blagues un peu grasses. C’était drôle, parce que je ne savais toujours pas le prénom de la jeune femme - c’était peut-être pour ça que je me permettais plus de choses aussi.
J’évoquais à voix haute l’idée qu’elle retrouve son ex-mari, par accident, avec cette jolie robe, et la brune sembla réfléchir à l’idée avec sérieux. « Il y a parfois des galas organisés par l'hôpital, peut-être que ce serait une bonne occasion, oui... » J’hochai la tête avec enthousiasme - j’en concluais qu’elle devait travailler à l’hôpital, ou son mari, ou les deux, mais qu’importe, le plus important, c’était la robe. « Vous m'avez dit combien pour la robe ? » Un rire m’échappa. « Je crois que je n’ai rien dit », avouai-je. Cette robe était d’une marque chic, d’excellente qualité, elle avait dû honnêtement coûter plusieurs centaines d’euros, voire plus. « Ecoutez, je sais pas si l’histoire sur votre ex-mari était une technique de cliente pour m’amadouer, mais franchement, j’suis investie maintenant, j’ai juste envie que vous le fassiez rager avec cette robe. » Sous entendu : je n’allais pas en demander beaucoup. « Et pour honnête, je n’ai pas spécialement besoin d’agrent, je comptais donner les recettes du stand d’aujourd’hui à une association queer pour laquelle je suis bénévole. Avec un ami, on monte un spectacle avec des gamins là-bas, du coup l’argent servira sûrement aux costumes, aux décors, ce genre de choses. » Mon visage s’illuminait malgré moi quand je parlais de ça. « Du coup, hm, donnez ce que vous voulez, en vous disant que ça va à une bonne cause ? » Proposai-je avec un sourire.
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
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Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement POSTS : 1736 POINTS : 4100
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #11 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10
☆ HELIVE + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
☆ YASMEN #3 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2
@Marceline Griffiths 6 juillet 2024 – gallery of broken hearts ¤¤¤ crédits gifs (purplespoiler) / code (boté du sud )
Même pas un poil effrayée par le nombre plutôt exubérant de relations chez la blonde, Helen lui proposait la compagnie de sa meilleure amie Sloane, qui avait bien besoin d'une partenaire sérieuse. Parce que oui, aux yeux de la chirurgienne, toutes ses ruptures n'étaient pas de la faute de la propriétaire du stand. Non, elle était bien trop gentille et drôle pour être à l'origine des difficultés dans son couple à chaque fois, c'était certain. En tout cas, si elle lui avouait le contraire, Helen aurait beaucoup de mal à le croire. « En temps normal, j’aurais demandé une photo, mais, hm, je suis en couple. Avec l’une de mes meilleures amies. C’est récent, mais j’espère vraiment que ça va tenir, parce qu’elle ne ressemble pas à mes exs, donc… On va dire que cette fois-ci c’est la bonne ? » Un petit oh de surprise (mais aussi de joie) s'échappa de ses lèvres. Décidément, c'était un bon plan de se mettre avec son ou sa meilleur(e) ami(e) ? Devait-elle envisager de se mettre avec Izan pour espérer connaître le vrai bonheur amoureux ? ça, elle n'en était pas vraiment certaine, par contre. « En tout cas, vous êtes sympas, parce que je viens de vous raconter que j’ai 12 exs, et vous étiez quand même prête à me présenter votre ex. Soit vous laissez facilement le bénéfice du doute aux gens, soit votre meilleure amie doit être désespérée » « C'est moi qui désespère de lui trouver la femme parfaite, je me suis dis que vous feriez un joli couple. Mais, je suis ravie pour vous, j'espère que votre partenaire ne gâchera pas une énième histoire, vous méritez vraiment le bonheur, je le pense sincèrement. » Vraiment, Helen serait triste d'entendre que la blonde augmentait son compteur à 13 exs...
La personne en face d'elle la rendait si confiante, qu'Helen n'hésita pas à se confier à elle vis-à-vis de sa relation avec Winston, alors qu'elle cherchait justement à ne pas trop l'ébruiter, pour éviter que Sam ne l'apprenne. Avec sa chance dernièrement, elle pouvait finalement tomber sur une de ses connaissances qui lui répèterait absolument tout ce qu'elle disait. Mais, elle n'imaginait pas son ex-époux et la blonde se connaître, alors le moulin à paroles était lancé. « Good for you, girl ! Pourquoi se morfondre si vous trouvez un petit jeune pour vous changer les idées ! Oh, je suis sûre qu’il serait ravie de vous voir dans cette robe aussi. Et de vous l’ôter ! » « Alors là, il peut me l'ôter sans souci, je ne manifesterai aucun désaccord là-dessus. » Répondit-elle en haussant les sourcils, avec un air un peu coquine. Elle ne disait jamais non lorsqu'il s'agissait d'être déshabillée par Winston, ça... Et dans le coup, les sous-entendus de la jeune femme lui donnèrent vraiment envie d'acheter la robe, en plus d'élaborer tout un stratagème pour qu'elle soit sa revenge dress auprès de Sam. « Je crois que je n’ai rien dit... Ecoutez, je sais pas si l’histoire sur votre ex-mari était une technique de cliente pour m’amadouer, mais franchement, j’suis investie maintenant, j’ai juste envie que vous le fassiez rager avec cette robe. » « Je vous promets que je n'avais absolument pas prévu de me confier ainsi aujourd'hui. » Le rire d'Helen accompagna celui de la blonde. C'était drôle, comme elle avait l'impression d'être en train de parler à une amie, alors que les deux jeunes femmes ne se connaissaient pas un quart d'heure plus tôt. Comme quoi, le Destin faisait bien les choses. « Et pour honnête, je n’ai pas spécialement besoin d’argent, je comptais donner les recettes du stand d’aujourd’hui à une association queer pour laquelle je suis bénévole. Avec un ami, on monte un spectacle avec des gamins là-bas, du coup l’argent servira sûrement aux costumes, aux décors, ce genre de choses. » Helen l'écoutait attentivement, sa tête se balançant de haut en bas, admirative de la démarche de la femme qui lui faisait face. Elle trouvait l'idée super, et très généreuse. Vraiment, à quel moment cette jeune personne pouvait être la cause de l'échec de chacune de ses relations ? Jamais, hein. « Du coup, hm, donnez ce que vous voulez, en vous disant que ça va à une bonne cause ? » « Je trouve votre geste hyper respectable et bienveillant, alors je vais vous donner tout le liquide qu'il me reste. » La chirurgienne fouilla une dernière fois dans son porte-feuille et en tira deux billets de 100 AUD, qu'elle tendit alors à la blonde. « Je suis bien curieuse de voir ce fameux spectacle, vous auriez la gentillesse de me tenir au courant lorsqu'il sera possible de les voir sur scène ? Je suis certaine que Delilah, ma filleule, appréciera m'y accompagner. C'est la fille de ma meilleure amie, au cas-où. » Ajouta-t-elle avec un clin d'œil. Il allait bientôt lui falloir partir, mais sa compagnie était si agréable qu'elle laissait durer encore un instant ce moment. Et puis, le spectacle l'intéressait sérieusement, même si l'idée de la revoir et de pouvoir échanger de nouveau sur leur vie respective lui plairait aussi.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
son équipement:
Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 889 POINTS : 330
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Je comprenais tout à fait l’attitude de la jeune femme, qui me rappelait celle de mes propres amis : motivés pour me trouver quelqu’un, espérant que je trouve un jour la perle rare qui me sortirait de ma malchance. J’avais trouvé Andy toute seule, et j’espérais de tout mon coeur que cette fois-ci était la bonne. « C'est moi qui désespère de lui trouver la femme parfaite, je me suis dis que vous feriez un joli couple. Mais, je suis ravie pour vous, j'espère que votre partenaire ne gâchera pas une énième histoire, vous méritez vraiment le bonheur, je le pense sincèrement. » Je me sentis sourire un peu bêtement - la gentillesse des inconnus était toujours un cadeau à la saveur particulière. « Oh, vous êtes adorable, j’espère que vous allez me porter chance ! » A ce stade de ma vie amoureuse, j’avais besoin de tous les signes et toute la chance que je pouvais trouver. Parfois, mes amis et moi, on plaisantait en disant que j’avais été maudite à ma naissance. Ou que mes parents avaient pris tout l’amour possible de la famille et avaient décidé de se le donner à eux, et que j’étais condamnée à ne jamais être aimée comme je le souhaitais.
La conversation allait de bon train, et les confidences étaient faciles, les clins d’oeils échangés, les sourires taquins accrochés au coin des lèvres. J’aimais bien cette inconnue, la facilité que j’avais à lui parler, et elle semblait ressentir la même chose. Pendant un instant, elle m’offrait une parenthèse de normalité, à ne pas être reconnue, à discuter sans être la Marceline Griffiths. « Je trouve votre geste hyper respectable et bienveillant, alors je vais vous donner tout le liquide qu'il me reste. » Mon visage s’illumina devant le billet qu’elle me tendit. « Oh, c’est super, merci, les gamins vont être ravis, on va pouvoir acheter un sacré stock de paillettes avec ça », dis-je avec un rire. «Je suis bien curieuse de voir ce fameux spectacle, vous auriez la gentillesse de me tenir au courant lorsqu'il sera possible de les voir sur scène ? Je suis certaine que Delilah, ma filleule, appréciera m'y accompagner. C'est la fille de ma meilleure amie, au cas-où. » J’éclatai une nouvelle fois de rire. Elle était douée ! « Je suis vraiment étonnée que vous n’ayiez toujours pas réussi à caser votre meilleure amie, parce que vous êtes vraiment douée », avouai-je avec un sourire. « Donnez-moi votre mail, je vais vous rajouter à la newsletter du centre, et à la liste d’invités pour la première avec deux +1 pour votre amie et votre filleule. On a encore aucune date, mais on espère que ça sera un évènement caritatif avec quelques invités select, un truc très glamour. L’occasion de porter votre robe », ajoutai-je avec un clin d’oeil, contente à l’idée de revoir un jour la brune. Je pris de quoi noter dans la notes app de mon téléphone. « C’est quoi votre prénom ? » Demandai-je. « Moi c’est Marceline », ajoutai-je en tendant ma main pour la serrer avec un rire.
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Aux dernières nouvelles, Sloane était de nouveau en contact avec Yara. De l'autre côté, il semblait se tramer quelque chose avec l'une de ses collègues, Scarlett, sans que la brune ne l'admette vraiment. Au moins, le spectre de son ex-femme, Natalia, ne planait pour le moment plus au dessus de sa tête. Dans tous les cas, cela faisait un petit moment que sa meilleure amie ne lui avait pas affirmé avoir retombé dans ses bras, mais ça ne voulait pas nécessairement dire qu'elle ne lui omettait pas cette information. En bref, Helen désespérait véritablement que Sloane trouve enfin le bonheur, même si ce n'était pas son rôle de lui trouver chaussure à son pied non plus. Mais, si elle pouvait donner un petit coup de main, tout comme Nina lui avait autrefois permis de rencontrer Sam à une de ses soirées, pourquoi pas, non ? Sloane, tout comme la propriétaire du stand d'ailleurs, méritait de vivre une belle histoire d'amour, sans embûche et merveilleuse. Bien qu'elle soit encore à cet instant une inconnue, la chirurgienne ressentait un certain attachement à son égard. Converser avec elle était plaisant, et si facile. Cette rencontre ne lui faisait absolument pas regretter son déplacement et cette motivation qu'elle avait eu bien du mal à avoir pour sortir seule aujourd'hui. En prenant connaissance de la cause que défendait la blonde et de son implication dans la conception d'un spectacle avec des enfants, la brune se sentit encore davantage touchée par sa personne et décida de lui donner le dernier billet qu'il lui restait dans son portefeuille, ce qui égaya encore davantage son visage. « Oh, c’est super, merci, les gamins vont être ravis, on va pouvoir acheter un sacré stock de paillettes avec ça. » Un sourire prit possession de ses lèvres, encore une fois, heureuse que son geste puisse réellement bénéficier à des enfants qui auraient à cœur de créer. Evidemment, la chirurgienne en rajouta une petite couche à propos de Sloane en précisant que sa filleule n'était autre que la fille de sa meilleure amie, ce qui amusa encore la blonde. « Je suis vraiment étonnée que vous n’ayez toujours pas réussi à caser votre meilleure amie, parce que vous êtes vraiment douée. Donnez-moi votre mail, je vais vous rajouter à la newsletter du centre, et à la liste d’invités pour la première avec deux +1 pour votre amie et votre filleule. On a encore aucune date, mais on espère que ça sera un évènement caritatif avec quelques invités select, un truc très glamour. L’occasion de porter votre robe » « Pour sûr, je la porterai. » Souligna-t-elle d'un clin d'œil, avant de se présenter à son tour en lui serrant délicatement la main : « Helen. » Les deux femmes s'échangeaient leurs prénoms alors qu'elles étaient sur le point de prendre congé. Comme quoi, cette rencontre qui, d'un regard extérieur, n'avait ni queue ni tête, serait pourtant l'une des plus marquantes de sa vie. Impossible d'oublier toutes les histoires d'amour de Marceline. Helen lui fournit alors son adresse email, ravie de pouvoir prochainement participer au spectacle auquel elle aurait financièrement participé. Il lui suffirait juste de convaincre Sloane de l'accompagner, ce qui ne serait pas si difficile puisque Delilah aurait elle aussi sa propre place de VIP.
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