(reese) people say i'm jealous but my kink is karma

REESE MCLEAN

EVERYTHING GOOD HAPPENS AFTER MIDNIGHT

Pièce d'identité

NOM ≈ McLean. PRÉNOM(S) ≈ Reese. ÂGE ≈ 33 ans. LIEU DE NAISSANCE ≈ Oxford, Angleterre. STATUT SOCIAL ≈ Célibataire. MÉTIER ≈ Psychiatre à Saint-Vincent, et auprès de l'association MANZILI ORIENTATION SEXUELLE ≈ Pansexuel. GROUPE ≈ AU SECOURS, J'AI TRENTE ANS. AVATAR CHOISI ≈ Emma D'Arcy. CREDITS GIFS ≈ @ewans-mitchell

Les informations en vrac

1. Reese* est né le 12 décembre 1991 à Oxford (Angleterre). Sa mère, Claire, est infirmière libérale tandis que son père, Jamie, est psychiatre clinicien. Il a un frère plus âgé, Oliver, et deux cadets, Jack et Henry. Il a la double nationalité britannique (par sa mère) et australienne (par son père). 2. Quatre ans après la naissance de Reese*, ils quittent l’Angleterre pour l’Île Bribie située à 70 kilomètres au Nord de Brisbane. Jamie y ouvre sa clinique et cumule des heures dans les centres hospitaliers avoisinants tant qu’il le peut. Pour être honnête, ils n’ont jamais été financièrement ‘dans le besoin’ et ont rapidement pu acheter une maison avec plusieurs chambres, sachant que leur projet familial continuerait d’évoluer. 3. Oliver et Reese* sont très proches durant leur enfance. L’écart d’âge est mince et le climat britannique leur manque autant à l’un qu’à l’autre. Dans une petite localité comme celle-ci, leur accent se fait particulièrement remarquer et les deux enfants du couple McLean se démarquent comme ‘les petits bourges du quartier’ – une étiquette assez pénible à porter. Ils ont longtemps souhaité être scolarisés à la maison, mais leur mère a toujours été inflexible à ce sujet. 4. Reese* n’a jamais eu besoin de faire le moindre ‘coming-out’ auprès de ses proches – du moins, pas dans le sens traditionnel du terme. C’était un adolescent réservé – il passait son temps à jouer au cricket ou à dévorer le rayon science-fiction/fantasy du CDI de son école. Il n’aimait ni rencontrer de nouvelles personnes, ni faire partie d’un groupe. On le qualifiait facilement de ‘garçon manqué’ (il venait trois jours sur cinq avec une chemise, une cravate ou un t-shirt issu du placard de son père ou d’Oliver). Il a quitté l’Île à l’obtention de son diplôme et a presque aussitôt déménagé à Brisbane. Il a obtenu une bourse auprès de la faculté de médecine de Queensland, aspirant à échapper aux filets financiers de ses parents et à prendre son indépendance au plus vite. Il a mis plusieurs années à faire aboutir les démarches pour changer son prénom, son état civil et à commencer les hormones masculinisantes qu’il souhaitait prendre à ce moment-là (il arrêtera de les prendre au bout d’un an). Avec la plus grande nonchalance, juste avant de rentrer pour Noël, il avait informé sa famille de ces nouvelles informations le concernant dans un message groupé. Les évolutions avaient été constatées – sa voix avait commencé à descendre et à craquer comme celles de ses frères, des années plus tôt – sans être commentées. S’ils en avaient pensé quelque chose, en bien ou en mal, chacun avait eu le tact de taire tout commentaire. Spécifier qu’il sortait parfois avec des femmes n’avait pas été nécessaire tant la porte à enfoncer était grande ouverte depuis des années. En réfléchissant à ses propres expériences, Reese se sent souvent illégitime à s’exprimer auprès des adolescents qu’il accompagne auprès de l’association MANZILI et a souvent eu besoin qu’on lui dise qu’il n’avait pas besoin d’avoir vécu les traumatismes de leur communauté pour pouvoir aider les autres à les dépasser. 5. Il a obtenu son diplôme (Bachelor of Medecine) au terme de six années d’études. Il a enchaîné avec une année d’internat aux urgences psychiatriques – une année qui se révéla particulièrement difficile au vu des profils rencontrés. Il a ensuite poursuivi avec deux années de résidence à l’hôpital Saint-Vincent et s’est spécialisé sur deux ans en psychiatrie hospitalière (i.e. troubles anxieux et de stress post-traumatique, troubles de la personnalité, troubles de l’alimentation, trouble de l’usage de substances, ect.) et en psychiatrie de l’enfance et de l’adolescent. Il a terminé officiellement ses études en 2023 et a été embauché directement dans le service où il pratiquait sa spécialisation. 6. Comme beaucoup d’autres élèves de médecine, Reese a rencontré beaucoup de monde et a participé à de nombreuses soirées étudiantes. Il a eu plusieurs aventures à l’université – on lui a d’ailleurs rapidement prêté une réputation de ‘fuck boy’ assez peu méritée. 7. L’intégralité de la famille McLean s’est tournée vers une carrière médicale. Son père est psychiatre, sa mère infirmière, son frère Henry s’est tourné vers la chirurgie – il a pris un peu de melon – tandis que Jack est allé en pharmacologie. Seul Oliver a décidé de briser le moule et de se concentrer sur des projets loin de tout ça. Quoi qu’il en soit, le nom McLean n’est pas entièrement inconnu dans les revues médicales, et surtout dans le milieu de la psychanalyse. Reese a lui-même rédigé plusieurs études et essais, et tâche de se démarquer un maximum des points de vue de son père qui ne sont pas toujours en alignement avec ses propres intuitions. 8. Reese est végétarien. Il habite dans le West End où il sort souvent soutenir les performances artistiques de ses proches. Il se déplace à vélo ou via les transports en commun. Il a eu une brève carrière de drag king qui chante durant ses premières années de fac, mais se contente désormais de gratter une guitare aux soirées karaoké. 9. La famille de l’une de ses patientes a porté plainte contre lui pour « négligence médicale » suite à la tentative de suicide de leur fille. Reese a été suspendu pendant quelques semaines avant d’être ré-instauré dans les effectifs de l’hôpital – à conditions d’être supervisé par un-e collègue. Depuis, sa confiance professionnelle est pour le peu ébranlée – on pourrait l’accuser d’être plus précautionneux et trop investi avec ses patients qu'auparavant.

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle pas :OO:

, mais appelez-moi Maz. J'ai 29 ans, et je viens de Paris. J'ai découvert 30YSY grâce à Ssoveia, et j'ai cédé à m'inscrire parce que j'avais envie de me remettre au RP, et j'ai une obsession à faire passer avec Emma d'Arcy (oops). Pour me faire ma place, j'ai PAS BESOIN d'un parrain ou d'une marraine. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) au moins quatre jours dans la semaine. Mon personnage est un inventé, mais j'ai pioché des places dans la foire aux liens. Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et Another day, another slay (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 3518815507

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Pour recenser votre avatar

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à remplir si vous refusez le doublon de prénom

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Il était une fois, mon histoire

xxx

1.

2009 - WEST END, BRISBANE

La dernière salle du Brisbaneers Pulse était plongée dans l’obscurité et les basses vibraient du sol au plafond. Trois soirs par semaine, de dix-huit heures à six heures du matin, on y jouait de la techno sans interruption. Reese peinait à imaginer la réaction de ses parents s’ils le voyaient ici (et en même temps, est-ce que ça importait réellement ?) On lui avait reproché de vouloir vivre une vie plus ‘alternative’ que nécessaire. On l’avait aussi accusé d’hypocrisie parce qu’il venait d’une famille aisée, n’avait pas connu la précarité que ses pairs pouvaient rencontrer à son âge et parce que sa famille entière avait obtenu un diplôme de médecine. Contrairement à ce qu’on pouvait en dire, Reese avait bien conscience de ses privilèges – tout comme de ceux qu’il avait perdu au fil du temps, ce qui semblait échapper à la majorité des personnes qui prenaient le temps de lui donner des leçons de vie non-sollicitées. Il avait emménagé à Brisbane depuis quelques mois seulement et se sentait encore le « cul entre deux chaises », mais il savait (espérait) que ce ne serait qu’une question de temps avant qu'il se sente chez lui dans la communauté queer brisbanaise. Quoi qu’il en soit, quelque chose l’avait toujours attiré dans ces foules marginales et il n’aurait troqué son vendredi soir au BP pour rien au monde.

Jules lui attrapa la main. Elle avait un sourire plein de dents, comme d’habitude et son cœur fit un bond dans sa poitrine. Les dortoirs n’étaient pas mixtes, mais l’administration ignorait tout de sa situation et les avait assignés à la même chambre, avec deux autres filles.

« Si cette soirée pouvait ne pas finir… » soupira-t-elle, en glissant ses mains autour du cou de Reese. Il lui retourna son sourire – il avait mis des bouchons en mousse dans ses oreilles par confort, mais il n’avait pas besoin d’entendre distinctement ce que disait Jules pour comprendre. Ils ressentaient la même chose depuis un moment – mais étaient sans doute trop jeunes et lui trop craintif pour se l’avouer explicitement. « Si cette soirée ne pouvait pas finir… » répéta-t-il, son sourire s’élargissant jusqu’à ses yeux. Ils n’ajoutèrent rien.
Jules l’enlaça, et ils dissimulèrent leur visage l’un dans l’épaule de l’autre. Jules aimait les filles – depuis toujours. Mais en inspirant le parfum de Reese et en y trouvant un sentiment de sérénité si puissant, elle se demanda pourquoi tout devait être si compliqué, et pourquoi ils accordaient tous et toutes autant d’importance aux étiquettes. Elle était mortifiée à l’idée de le blesser – et en même temps, avait l’impression de ne pas pouvoir l’épargner. Inconscient du trouble qui agitait son amie, Reese déposa un baiser sur sa joue, et les doutes de Jules s’évaporèrent pour le moment.

2.

2022 - TOOWONG, BRISBANE

« Je suis le docteur McLean, mais tu peux m’appeler Reese, d’accord ? » Il chercha le regard de son nouveau patient, les yeux débordants de sollicitude. Reese avait commencé à travailler auprès de l’association MANZILI en 2022. Il avait eu besoin de s’éloigner du rythme effréné des urgences psychiatriques et avait cherché une expérience supplémentaire hors des murs de l’hôpital. L’occasion de répondre à un besoin professionnel et à une envie de prendre soin de sa communauté était assez rare pour qu’il saute dessus sans attendre. « Comment est-ce que je peux t’appeler ? » Il se souvenait du malaise qu’il avait éprouvé la première fois qu’on lui avait posé la question. Il était devenu rouge pivoine, avait bafouillé pendant de longues secondes avant qu’une âme charitable lui vienne en aide. C’était un exercice pénible – c’était comme admettre quelque chose à voix haute avant d’avoir osé se l’avouer à voix basse – mais tout aussi empouvoirant, à ses yeux.

« Est-ce que vous êtes un garçon ? » L’enfant avait plié un genou sous ses fesses et s’était enfoncé au plus profond de son siège. S’iel avait pu disparaître entre deux coussins, Reese ne doutait pas qu’iel l’aurait fait. Sans échappatoire disponible, iel avait choisi de poser ses questions avant de répondre à celles qu’on lui posait. Reese ne s’en offusqua pas. Ce n’était pas rare qu’on lui pose des questions personnelles – non pas parce qu’il avait une présentation qui sortait de la norme, mais parce que certains patients préféraient parler des autres avant de réussir à parler d’eux-mêmes. Il prit le temps de réfléchir. Ce n’était pas comme si on lui avait donné beaucoup de directives lorsqu’il avait commencé à travailler ici sur ce qu'il était OK de révéler ou non. À vrai dire, Maria et Sarah lui avaient laissé carte blanche sur beaucoup de choses pour le moment – à conditions de les tenir au courant du déroulement des opérations, bien entendu, et de solliciter le reste de l’équipe en cas de besoin.

Il soupesa sa réponse, avant de répondre très simplement : « Disons que je ne suis pas une femme, est-ce que ça te convient pour le moment ? » L’enfant marqua une pause avant d’acquiescer : « Moi non plus » répondit-il d’une voix plus assurée que ne l’aurait espéré Reese. « Je m’appelle Lou ».

3.

2024 - SAINT-VINCENT HOSPITAL (TW - mention de tentative de suicide)

Les collègues qui savaient le suivaient d’un regard mêlant compassion et inconfort. Comme beaucoup, ils peinaient à naviguer la situation et Reese ne faisait pas exception à la règle. Il marchait d’un bout à l’autre de l’hôpital avec l’impression d’avoir une loupe braquée sur la nuque. Si bien qu’il passait son temps libre sur le toit du bâtiment C – le moins exposé au soleil, le moins pris d’assaut. Il prit une profonde inspiration et ouvrit la porte du bureau de Rhonda Rudkin – l’une des directrices des ressources humaines de Saint-Vincent. Le bureau était de taille moyenne et débordait de boîtes d’archives. C’était sans doute cette période de l’année où tous se réveillaient pour trier ce qu’ils avaient sur leurs étagères.

« Je peux revenir plus tard si ce n’est pas le bon moment ». Rhonda se leva de sa chaise en balayant ses mots d’un geste de la main. « Mais non, entrez voyons ! » C’était une femme de petite taille au visage rond et affable. Reese se dit qu’elle était sans doute trop sympathique pour travailler dans ce service de requins. Reese referma la porte derrière lui et s’installa dans une chaise en face d’elle. « Comment allez-vous ? » Il baissa les yeux sur la paume de ses mains. Les ‘small talks’ le mettaient toujours mal à l’aise – surtout quand elles cachaient des conversations plus importantes qu’on le laissait paraître. Rhonda savait pourquoi ils étaient là – et lui aussi. « Je vais bien. Je m’inquiète pour ma patiente. » éluda-t-il. Ses cernes et son teint plus pâle que d’ordinaire lui donnaient tort. À vrai dire, il dormait mal, mangeait peu, sa routine était mise en difficulté et l’attente devenait insupportable. Quelques semaines plus tôt, Eleanor Anderson, l’une de ses patientes, avait fait une tentative de suicide. La nouvelle lui avait fait l’effet d’un coup de poing dans le ventre. La jeune femme avait été admise aux urgences de Saint-Vincent et y était restée plusieurs jours. On lui avait demandé de ne pas passer la voir et de confier son dossier à l’un de ses confrères. Il avait été mis à pied pendant quelques jours et certains collègues lui avaient laissé des messages de soutien, tandis que d’autres avait perdu patience : Ce sont des choses qui arrivent, passe à autre chose nom de Dieu. Ils travaillaient dans le milieu hospitalier depuis si longtemps que beaucoup perdaient la notion de ce qui était choquant ou non. Ou peut-être était-il trop sensible et devrait se murer davantage pour le futur. La famille Anderson avait attaqué l’hôpital pour négligence médicale. « Ce n’est pas pour parler de mademoiselle Anderson que je vous ai demandé de venir » contourna, à son tour, Rhonda. Et Reese se dit que finalement, Rhonda avait bien sa place dans le service où elle travaillait. Un visage affable pour faire passer de mauvaises nouvelles, c’était peut-être mieux. « J’ai reçu la notification vous concernant, vous me permettez de vous la lire ? » Reese hocha de la tête, sans souffler un mot. Rhonda déplia le courrier entre ses mains, et reprit la parole : « Suite à l’examen des récents évènements, nous avons décidé d’appliquer des mesures disciplinaires conformément au Code de conduite de l’hôpital. Pour vous soutenir dans cette période de réajustement et s’assurer que vous adoptez les comportements attendus, vous serez chapeauté pendant les prochaines semaines par l’un de vos collègues. Ce soutien durera le temps nécessaire pour observer une amélioration significative de vos performances. Vous pourrez revenir à compter de lundi. Est-ce que vous avez des questions ? ».

Le rouge lui monta aux joues et il s’efforça de ravaler un profond sentiment d’injustice. Il travaillait à Saint-Vincent depuis sa première année d’internat. Il s’était investi aux urgences psychiatriques dès ses premiers mois de spécialisation. Il avait pris les shifts dont personne ne voulait et avait souvent manqué de supervision en raison du manque d’effectifs dont souffrait leur service. Il avait sans doute commis des erreurs – personne n’était infaillible – mais cette fois-ci, il se sentait piqué au vif. Reese n’était même pas certain que la plainte des Anderson soit fondée : on ne lui avait communiqué aucun détail. L’affaire avait été traitée par le service juridique de l’hôpital. Il ne pouvait s’empêcher de percevoir la mesure comme une punition qu’il ne méritait pas. Il marqua une pause pour traiter l’information : ne surréagissait-il pas ? Les protestations qui bouillonnaient sous son crâne lui semblaient très proches de son égo ; après tout, une jeune fille avait failli y rester. S’il devait reprendre le travail, avoir une retenue sur salaire et être supervisé pendant quelques semaines, n’était-ce finalement pas peu cher payé ? Comme souvent, sous l’effet du stress, il peina à traiter ses émotions dans l’ordre et se contenta de hocher la tête de gauche à droite : « Très bien. Qui me supervisera ? »

Citation :: J'AI UNE OBSESSION À FAIRE PASSER AVEC EMMA D'ARCY (oops)

DON'T WE ALL (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 3217047551

Bienvenue à la maison, trop trop contente de voir Emma pris.e, c'est pas humain d'être aussi bg :drama:

Reese a l'air tout aussi bg avec ce début de fiche (puis le nom de famille ??? Sign me up), hâte d'en lire davantage et de le découvrir en rp (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 2891754501

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hésite pas si besoin I love you

all out times have come; here, but now they're gone, seasons don't fear the ripper, nor do the wind, the sun or the rain - we can be like they are, baby, don't fear the reaper (c)flotsam.

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Dernière édition par Eden Veliz le Jeu 25 Juil 2024 - 13:11, édité 1 fois

Quel excellent choix de FC (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 206649278

Bienvenue parmi nous et bon courage pour la rédaction de ta fiche (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 1949770018

Si tu as la moindre question n'hésite surtout pas :l:

take me far from streets and roads. lead me out in the night, don't show me the way back home. because i'm craving, craving, craving something i can feel. where do i go, what do i need, is it ecstasy or is it fear? am i on my own, am i even close? because i'm still craving something i can feel

MON DIEU JE SUIS TROP CONTENTE DE VOIR EMMA IEL EST ZINZIN. (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 1484806105

J’allais dire que ce que tu nous prépares a l’air zinzin, mais quand je vois qui t’as conseillé le forum je suis pas étonnée. (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 3922047296

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J’ai hâte d’en lire plus sur Reese. (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 206649278

Bienvenue parmi nous, n’hésite pas à nous contacter si tu as la moindre question. :l:

:

J'en connais une qui t'a montré le bon chemin (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 4251317097

Bienvenue parmi nous ! Bon courage pour rédiger ta fiche ! (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 662981832

Bienvenue ici ! J'adore le FC ! Hâte d'en savoir plus ! À très vite dans les rues de la ville ! :l:

Que la chasse commence

Zorya

(reese) people say i'm jealous but my kink is karma Duni6bp

(reese) people say i'm jealous but my kink is karma PXe5CWF

(reese) people say i'm jealous but my kink is karma CWRZ1Ra

:

Bienvenue parmi nous :l:

« Autumn carnival on the edge of town
We walk down the midway arm-in-arm
One minute you're here
Next minute you're gone »

Oh trop content de te revoir par ici (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 674657830

j’étais déjà hypé par ce que je lisais et quelle bonne surprise de voir ton nom (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 199959295

bon retour parmi nous :l:

I'm done hating myself for feeling

(reese) people say i'm jealous but my kink is karma NiqjIvU

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(reese) people say i'm jealous but my kink is karma CLXdwZW

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(reese) people say i'm jealous but my kink is karma DzC5bJl

(reese) people say i'm jealous but my kink is karma Ibl3CaJ

Invité Invité

Rolala, je répète les autres mais ce choix de FC quoi. (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 674657830

Tu vas devenir le meilleur argument pour rejoindre l'association je crois. :gla:

(en tout cas Sia signe et fait son coming-out pan direct (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 1290498195

)

Bienvenue parmi nous, j'ai très hâte d'en savoir plus sur Reese, je viendrais sûrement te gratter l'amitié en fiche/rp parce que je suis déjà fan de ton perso !

BAAAAAAAAH quelle beauté (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 4041738186

Bienvenue à la maison :l:

i'm stronger now

Pretending now that we don't care but tension cuts, cuts the air we're more than scared so lost inside our eyes. We're terrified. Letting my fears show 'til I can face 'em. Letting my tears go 'til I can taste them hell, what do I know where you and I go? Damn it, I hope you come back home..

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Bienvenue par ici et bon courage pour le reste de ta fiche ! :l:

☾☾ Crucio
The only way that I can identify with anyone is through a similar painful experience.

Ce magnifique pseudo (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 2523491165

Bienvenuuue par ici, bonne rédaction (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 763064237

When I look at you

[...]I see the truth.
You love me for who I am, like the stars hold the moon, right there where they belong and I know I'm not alone.

:

Welcome et bon courage à toi Razz

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Je vois que nous sommes beaucoup à avoir cette obsession pour Emma et c'est génial. (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 3290930861

J'aime déjà beaucoup ce personnage et tu lui as donné ma date de naissance, c'est un signe. Je vais venir quémander un lien très vite. :brows:

Trop contente de voir sa bouille par ici, je te souhaite la bienvenue ! (reese) people say i'm jealous but my kink is karma 224775235

Quand j'brûle, j'deviens meilleur

J'ai des bleus sur tout le cœur. Je crois qu'j'ai grandi, j'crois qu'j'ai des remords. Tout le monde dort mais moi je danse sous la pluie. Je m'enfonce dans la brume. Je deviens nocif, là je me perds dans des ruines. Et je suis loin du monde, loin de tout. Loin de vous, loin de nous. Loin de moi.

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