we'll find out what we're made of (ashan#10 / aubrey#3)
Asher Thornhill
les accords vagabonds
ÂGE : trente ans (04.05.94). SURNOM : ash pour tous les autres, ashou pour sa petite soeur. STATUT : célibataire, ne lui parler plus jamais d'amour. MÉTIER : chanteur, guitariste & claviériste du groupe de rock Hollow Shout. il donne également des cours de guitare au conservatoire. LOGEMENT : il habite au #24 Sherwood Road, Toowong avec sa petite soeur pour le moment en attendant de rebondir. POSTS : 1971 POINTS : 1010
TW IN RP : crise d'angoisse, dépression, mention de perte d'appétit importante. TW IRL : politique, cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : déficit d’attention et possède quelques tocs comme le fait de bouger sa jambe de manière incontrôlée et de replacer sans arrêt des objets lorsqu’il est nerveux › doté d’un sourire solaire (se cache derrière celui-ci désormais telle une carapace face à sa douleur) › grand romantique, il ne cache pas son amour pour les films à l’eau de rose › s’adonne à la course depuis plusieurs mois pour s’aérer l’esprit › a le vertige › il possède plusieurs tatouages › il a gardé son accent anglais malgré ses 18 années sur le sol Australien › eclipse est comme son enfant (petit chat noir hyperactif)DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #666699 RPs EN COURS : because i need you like the flowers need the rain i need you like the sun when the clouds turn grey oh you're like the blood runnin through my veins(aubrey)
hey brother, if the sky comes falling down, for you there's nothing in this world I wouldn't do(akira)
L’ainé des Thornhill n’avait eu des sentiments que pour trois personnes au courant de son existence, mais il n’y en avait qu’une seule qui avait assez importante pour qu’il puisse la présenter à ses parents. En fait, l’anglais n’avait jamais ramené qui que ce soit à la maison familiale qui avait eu le titre d’amoureux ou d’amoureuse. Ses parents savaient très bien que depuis l’adolescence, il se qualifiait comme pansexuelle, un mot qui ressemblait à la bisexualité, mais qui était bien plus spirituel. Ash tombait amoureux d’une âme, plutôt que d’un genre, du moins, c’était la définition qu’il avait fait de sa sexualité. Ses parents n’avaient jamais rien dit de particulier par rapport à cela et ils étaient simplement heureux pour lui qu’il ait réussi à s’accepter aussi facilement. Le premier pas des présentations avec sa famille avait été fait lorsqu’il avait présenté sa petite sœur à l’homme qu’il affectionnait tant depuis plusieurs semaines. Le courant était très bien passé et Aubrey et Izan se voyaient même lorsque Ash n’était pas présent. Il n’y avait aucune raison pour que ses parents n’apprécient pas le pianiste à leur tour. Et comme de fait, Emerie et Noam Thornhill étaient tombés sous le charme de l’homme qui faisait battre son coeur avec une vitesse folle. Son paternel avait même pris Ash à part à la fin du repas pour lui offrir les anneaux jumeaux qu’il portait toujours à ses doigts pour qu’un jour, il puisse les offrire à son tour à la personne qui allait partager sa vie pour toujours. Il avait donc été tout naturel pour l’anglais d’offrir un des deux anneaux à Izan lorsqu’ils avaient décidé de se réconcilier. Bien évidemment, il y a avait de nombreuses conversations à avoir et d’anciennes blessures à rouvrir, mais aujourd’hui, il n’en était pas encore question. Ils allaient visiter les Thornhill en compagnie de la petite sœur. « N’oublie pas d’aller chercher Aubrey! » Il avait souri lorsque Izan s’était trompé dans le nom de la rue de cette dernière. Aubrey habitait Redcliffe, mais la maison de leurs parents était située à Logan City en banlieue sud de Brisbane. Après s’être finalement garé au bon endroit, Ash sortit pour aller ouvrir la porte à la blondinette. « ça te va tellement bien tes cheveux, petite punaise! » dit-il avec le ton affectueux qu’il réservait à la cadette des Thornhill. L’anglais avait bien sûr tout raconté à sa petite sœur concernant les rebondissements de son histoire avec Izan. Aubrey avait toujours été leur fan numéro un et, bien sûr, elle avait été heureuse pour eux. « tu penses que c’est maman qui a cuisiné aujourd’hui?» demanda Ash à Aubrey lorsque cette dernière prit place sur la banquette arrière. Emerie était une excellente cuisinière et son père aussi. Ils avaient tous les deux leur spécialité. La dernière fois, ils avaient mangé celle de Noam. « Direction Logan City! » Ash mit la main sur le bras d’Izan et l’autre s’accrocha au banc. Comme d’habitude, il l’avait laissé conduire. Il n'apprendra décidément jamais. Son sourire s’appauvrit un peu (non à cause de la conduite d’Izan) parce qu’il n’avait pas revu sa mère depuis que cette dernière était venue par elle-même au petit studio de Ash au pire moment de sa rupture d’avec son homme. Il ne lui avait pas tout dit, il ne lui avait pas révélé pour Helen, juste que c’était lui qui avait tout fait foiré. Il avait fait promettre à Emerie de ne rien dire à son père de toute cette histoire. Mais sa mère aimait tellement Ash et Izan que elle aussi avait été heureuse qu’ils se remettent ensemble. Elle lui avait même dit qu’elle pensait d’eux qu’ils étaient des âmes sœurs et que tout pouvait s’arranger. Après tout, elle était bien romantique la maman Thornhill. Elle avait eu raison. Arrivés devant la petite maison à un étage que ses parents avaient acheté à leur arrivée à Brisbane, Ash avait souri, parce que cet endroit lui avait manqué. Il prit la main d’Izan, caressant la paume de son ouce et lui sourit. « ils ont hâte de te revoir. » lui dit-il, surtout son père. Parce que Izan lui avait promis de jouer une partie d’échec avec lui la dernière fois.
(code by exordium / crédit gif simpleisthehardest & dylan sur tumblr)
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
« N’oublie pas d’aller chercher Aubrey! »oh merde le coup de volant qu’il donne pour tourner dans la rue, au dernier moment, laisse clairement entendre qu’il allait poursuivre son trajet en laissant la nouvelle blonde derrière eux, même si c’est un ’’J’vais pas oublier ta soeur.’’ qui s’extirpe de ses lèvres, sans qu’il ne tourne son menton vers son compagnon puisqu’il se doute que celui-ci ne va pas le croire — on se demande bien pourquoi ! Pas le temps de lancer le débat sur la véracité de son allégation, parce qu’ils sont en bas du logement d’Aubrey et que l’aîné est déjà en train de l’accueillir, par un surnom qui fait lentement cligner des cils le pianiste resté derrière le volant… Est-ce que Asher vient d’appeler sa soeur petite punaise ? Vraiment, une punaise, c’est moche, même petite, et assurément Aubrey ne mérite pas d’être qualifiée ainsi mais, même s’il grimace en tournant un regard curieux en leur direction, il ne manifeste pas sa perplexité et préfère garder ses questionnements pour lui car, ses adelphes aussi lui donnaient des surnoms loufoques parfois. « tu penses que c’est maman qui a cuisiné aujourd’hui? »ne pas faire de commentaire sur la nourriture anglaise, ne pas faire de commentaire sur la nourriture anglaise’’Salut, Aubrey.’’ lui octroyant un sourire en même temps qu’un bref haussement de sourcils, il tente de ne pas se laisser envahir par la rancoeur puisque la jeune femme est complice de la trahison et des mensonges de son frère ; et comme il a pardonné à ce dernier (ou du moins le processus est enclenché), il fait la même chose pour sa cadette. Le Da Silva n’est pas égoïste au point de ne pas comprendre que la loyauté d’Aubrey allait naturellement à son frère mais, dans les faits, ce n’est jamais agréable de se rendre compte qu’on a été berné par deux personnes à la fois. Et dans le concret des sentiments qu’il éprouve en cet instant, au moment même où elle s’installe sur la banquette arrière de leur voiture, c’est une toile de malaise qui se tisse dans ses veines, si bien qu’il se retrouve soulagé d’être derrière le volant : il peut les laisser discuter à loisir sans avoir à participer à la conversation, gardant les yeux rivés sur la route pendant que ses oreilles adoucissent ses pensées sous la musique qu’il a choisi pour résonner dans l’habitacle, à une mesure qui n’est guère suffisante pour empêcher la conversation entre les deux anglais. S’il n’est plus trop capable de jouer du piano sans éprouver de l’écoeurement, il est toujours en capacité de s’apaiser sous La Valse Minute exécuté avec brio, et ce n’est pas seulement parce que ce sont ses mains qui en font l’éloge qu’il le pense. Il s’écoute lui-même, oui, on est jamais mieux servi que par soi-même, qu’il dirait.
Immobilisant sa voiture devant la maison des parents Thornhill, il mordille le coin de sa lèvre avant de défaire sa ceinture, laissant ensuite son compagnon se saisir de sa main pour lui rendre son sourire, même s’il appréhende un peu de se retrouver de nouveau au milieu de sa belle-famille, puisque ces moments ont tendance à lui rappeler que la sienne, de famille, ne veut plus le voir, et le torpille plutôt chaque fois qu'ils en ont l'occasion « ils ont hâte de te revoir. » - ’’Ton père espère une revanche, c’est ça ?’’ qu’il soupçonne avec amusement en fronçant le milieu de son nez, même si, dans les faits, ils enchaînent autant les victoires que les défaites l’un et l’autre. ’’Tu ne joues pas aux échecs, toi ?’’ il pose la question à Aubrey pour lui prouver qu’il n’est pas en colère après elle, même si ce n’est pas loin de la vérité ; la déception est plus proche de ce qu’il ressent mais il ne doute pas du fait que le temps saura remédier à cette sensation désagréable. ’’On y va ?’’
crédits/rwrbmovie
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Une visite chez tes parents est prévue aujourd'hui et pour cette occasion, tu ne seras pas seule. Tu y vas en compagnie d'Asher et d'Izan, bien contente qu'ils aient finalement réussis à discuter ensemble et à se donner une seconde chance. Il faut dire que tu n'es pas totalement étrangère à cette réconciliation. Ton plan machiavélique de les enfermer dans une pièce de ta galerie avait finalement porté ses fruits, t'avais de quoi être fière de ça. Sans ce petit coup de pouce, tu ne sais pas si tu serais en train de les attendre devant ton immeuble en ce moment même. Non, ils auraient été beaucoup trop têtus pour avoir une conversation sans que tu y mettes ton grain de sel, c'est certain.
Lorsque la voiture se gare devant chez toi, un sourire s'affiche automatiquement sur ton visage lorsque tu vois ton frère sortir de l'habitacle pour venir t'ouvrir la portière. « ça te va tellement bien tes cheveux, petite punaise! » Sourire qui s’élargit un peu plus à cette remarque, toujours ravie de savoir que t'as fait le bon choix avec ta couleur de cheveux, bien que t'as faillit perdre tes cheveux à force de décoloration mais le résultat en vaut la peine, tu supposes. " Avoue, j'suis canon comme ça. " Que tu réponds en glissant une main dans tes cheveux, avant de te mettre à rire et de monter dans le véhicule, regard qui se tourne vers Izan. " Salut, toi. " Tu ne sais pas trop comment réagir avec lui, est-ce qu'il t'en veut de ne pas lui avoir dis toi-même pour Asher et Nate ? Tu n'en sais trop rien, t'as pas eu vraiment le temps d'avoir cette conversation là avec lui, mais pour toi, ce n'était pas à toi de le faire, il était préférable que ce soit sorti de la bouche de ton frère plutôt que de la tienne. La voiture qui redémarre ensuite, t'es ravie de te rendre chez tes parents en si bonne compagnie, même si tu remarques rapidement qu'Izan ne parle pas trop, essaye de ne pas y porter attention pour le moment, peut-être qu'il va falloir que tu ai une discussion avec lui, mais pas maintenant, pas aujourd'hui non plus. « tu penses que c’est maman qui a cuisiné aujourd’hui?» Tu lèves les yeux au ciel, la fameuse question de savoir qui aura cuisiné aujourd'hui. Faut dire que vos parents cuisinent tous les deux divinement bien, difficile de dire quelle cuisine tu préfères. " J'en sais trop rien mais j'espère surtout qu'on aura le droit à son crumble aux pommes. " Parce que t'en raffoles plus que tout, il est fondant et croustillant à la fois, t'as déjà essayé de le refaire à plusieurs reprises mais il n'était jamais aussi bon que le sien, même avec la même recette. Elle doit avoir un ingrédient secret qu'elle ne donnera que sur son lit de mort, c'est certain. " En tout cas, j'tiens à dire que j'suis contente d'avoir contribué à vos retrouvailles. C'est tellement mieux de vous voir comme ça. " Tu savais qu'il avait été tous les deux hyper touchés par leur rupture, pas étonnant quand on sait à quel point ils tiennent l'un à l'autre.
Voiture qui s'immobilise devant la maison des Thornhill, toujours heureuse de revenir ici malgré que tu sois aussi contente d'avoir ton propre appartement maintenant et de pouvoir te débrouiller par tes propres moyens. Tu regardes les tourtereaux se prendre la main, ils sont tellement mignons ensemble, t'espères vraiment qu'ils réussiront à faire table rase du passé pour avancer tous les deux, leur histoire mérite qu'ils réussissent. ’’Tu ne joues pas aux échecs, toi ?’’ Tu secoues la tête, ton nez qui se retrousse. " Non, j'ai jamais aimé ça, au grand désespoir de mon père. " Tu ris légèrement. Les échecs c'est vraiment pas ton truc. " J'suis contente que vous soyez là, ça va peut-être m'aider à passer à côté de la fameuse question sur mes relations amoureuses. " Tu roules des yeux. Tu détestes quand tes parents te posent ce genre de questions parce que c'est le calme complet de ce côté là, faut croire que trouver son âme soeur semble plus compliqué que ce que tu pensais. " On y va ! " Que tu réponds à la question d'Izan, avance déjà vers la maison des parents en sautillant, fini par appuyer sur la sonnette une fois arrivée devant la porte.
(code by exordium / crédit gif katebeckets et renateharris)
Asher Thornhill
les accords vagabonds
ÂGE : trente ans (04.05.94). SURNOM : ash pour tous les autres, ashou pour sa petite soeur. STATUT : célibataire, ne lui parler plus jamais d'amour. MÉTIER : chanteur, guitariste & claviériste du groupe de rock Hollow Shout. il donne également des cours de guitare au conservatoire. LOGEMENT : il habite au #24 Sherwood Road, Toowong avec sa petite soeur pour le moment en attendant de rebondir. POSTS : 1971 POINTS : 1010
TW IN RP : crise d'angoisse, dépression, mention de perte d'appétit importante. TW IRL : politique, cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : déficit d’attention et possède quelques tocs comme le fait de bouger sa jambe de manière incontrôlée et de replacer sans arrêt des objets lorsqu’il est nerveux › doté d’un sourire solaire (se cache derrière celui-ci désormais telle une carapace face à sa douleur) › grand romantique, il ne cache pas son amour pour les films à l’eau de rose › s’adonne à la course depuis plusieurs mois pour s’aérer l’esprit › a le vertige › il possède plusieurs tatouages › il a gardé son accent anglais malgré ses 18 années sur le sol Australien › eclipse est comme son enfant (petit chat noir hyperactif)DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #666699 RPs EN COURS : because i need you like the flowers need the rain i need you like the sun when the clouds turn grey oh you're like the blood runnin through my veins(aubrey)
hey brother, if the sky comes falling down, for you there's nothing in this world I wouldn't do(akira)
Le sourire sur les lèvres d’Ash était réel, le bonheur qu’il ressentait d’être en présence de son compagnon de vie et de sa petite sœur le comblait réellement de bonheur. Ce qui était une illusion, c’était de croire que tout était réglé entre Izan et lui. Il ne se voilait pas la face, l’anglais savait qu’à un moment ou à un autre, il faudrait avoir les discussions appropriées. Pour l'instant, il essayait tant bien que mal de se raccrocher à ces petits bonheurs telle une bouée de sauvetage qui l’empêchait de couler. Il n’avait aucune envie pour le moment de se retrouver de nouveau plongé dans les ténèbres qui l’avaient accompagné durant les deux derniers mois. Lorsque le guitariste avait vu sa petite sœur, grand sourire aux lèvres, il en avait fait de même, bien que l’exercice lui était encore quelque peu pénible. « Avoue, j'suis canon comme ça. » mentionna Aubrey en passant une main dans ses cheveux. « je dirais pas canon quand même parce que tu es ma sœur, mais oui, tu es très jolie! » acquiesça l’anglais en la laissant prendre place à l’arrière de la voiture d’Izan. Ce dernier la salua, mais Ash ne vit pas la toile de malaise qui se tissait entre les deux. Il n’était pas conscient du fait que son amoureux nourrissait une certaine rancœur envers sa petite sœur, puisqu’elle ne lui avait rien dit de son secret qu’il avait porté trop longtemps sur ses épaules. Ce n’avait pas été à elle de lui dire. Elle aurait trahi de ce fait la confiance de son grand frère et elle lui avait promis de ne rien dire. Cela ne l’avait aucunement empêché de ne pas avoir été d’accord avec Ash sur plusieurs points, l’ayant même encouragé depuis plusieurs mois à tout dire à Izan. Elle avait toujours été dans le camp de ce dernier, même s’il n’y en avait pas réellement. Il y avait juste deux êtres qui s’étaient blessés à un tel point qu’il ne restait que les ruines de leur histoire.
« J'en sais trop rien mais j'espère surtout qu'on aura le droit à son crumble aux pommes. » L’idée de manger ce merveilleux dessert le sortit de ses pensées et il retrouva pied dans la réalité. D'ailleurs, il commençait déjà à avoir faim. « En tout cas, j'tiens à dire que j'suis contente d'avoir contribué à vos retrouvailles. C'est tellement mieux de vous voir comme ça. » leur dit-elle à tous les deux. Ash eut un grand sourire qui cachait son propre malaise face à la situation, mais il préféra continuer de jouer le jeu devant Aubrey. Aujourd’hui, ils allaient passer une belle journée, non? Il acquiesça donc, s’accrochant davantage au bras d’Izan pour y retrouver un peu de réconfort. Il avait l’impression que s’il le lâchait plus qu’une seconde, il allait disparaître, comme s’il n’était jamais revenu dans sa vie.
Arrivés devant la maison des Thornhill, Ash s’empressa de prendre la main d’Izan dans la sienne et il fut tout de même heureux de constater qu'il ne le repoussait pas. «Tu ne joues pas aux échecs, toi ?» demanda l’australien à la blonde qui s’empressa de lui répondre par la négative. Ash eut un petit sourire en voyant Aubrey avoir un petit rire. « je pense que des trois d’entre nous tu es le seul qui peut vraiment lui tenir tête. » répliqua Ash en haussant les épaules. « J'suis contente que vous soyez là, ça va peut-être m'aider à passer à côté de la fameuse question sur mes relations amoureuses. » mentionna Aubrey en roulant des yeux. L’anglais en profita pour passer sa seule main libre sur l’épaule de la jeune femme pour la rassurer. Il ne comprenait pas comment il était possible que cette dernière soit encore célibataire, mais valait mieux être seul que mal accompagné. Ash ne s’était jamais formalisé de rester seul un long lapse de temps. Il préférait avoir des histoires qui comptaient à la place d’ajouter des noms à un tableau de chasse qui ne menait strictement à rien. « oui, allons-y! » Aubrey fut celle qui appuya sur la sonnette et ils entendirent des pas se précipiter sur la porte. Une femme de petit gabarit, cheveux bruns leur ouvrit et un sourire semblable à celui qu’affichait déjà Ash se dessina sur ses lèvres. « Oh je suis ravie que vous soyez là! » leur dit Emerie qui leur fit signe d'entrer. Elle prit tour à tour dans ses bras Aubrey, puis Ash qu'elle serra un peu trop longtemps contre elle et s'empressa de prendre dans ses bras Izan qui était définitivement beaucoup trop grand pour elle, puisque même en se mettant sur la pointe des pieds elle avait quand même du mal à l'atteindre. « ça sent bon maman. » mentionna Ash qui s'empressa d'aller directement à la cuisine. Cette dernière était à l'effigie de tout le reste, très simple, mais chaleureuse. L'anglais ne laissa pas longtemps Izan et Aubrey seule avec sa mère parce qu'il revenait déjà avec un morceau de dessert pour que ces derniers puissent y goûter. Il fit un clin d'oeil à sa petite soeur pour lui montrer qu'elle avait eu raison. « Ash! c'était pour tantôt! tu n'auras plus faim pour le reste! » lui dit-elle ne perdant pas son sourire. Elle se tourna vers Izan pour lui mentionner que son conjoint était dans le salon et qu'il aimerait bien commencer d'hors et déjà une partie d'échec avec lui. Même si Ash savait qu'Izan connaissait déjà le chemin, il se dit qu'il allait l'accompagner pour saluer du même fait son père. Il était tout de même soulagé que sa mère ne l'ait pas pris à part pour savoir comment il allait.
Malheureusement quelques instants plus tard, Izan reçu un appel qui fit en sorte qu'il devait partir, ce qui laissa Aubrey et Ash seuls avec les parents. Ils eurent tout de même une belle soirée, rempli de bonne nourriture et de rire. Ses parents lui avaient manqué.
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Dernière édition par Asher Thornhill le Sam 14 Sep 2024 - 12:43, édité 1 fois
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
" En tout cas, j'tiens à dire que j'suis contente d'avoir contribué à vos retrouvailles. C'est tellement mieux de vous voir comme ça." c’est un discours qu’il ne peut décrier comme mensonger, Izan, puisqu’ils ne seraient certainement pas tous les trois dans cette voiture si Aubrey n’avait pas joué la carte de l’audace en les enfermant dans un placard pour les obliger à se parler, même s’il ne sait pas encore que les efforts fournis ne trouveront malheureusement pas une issue aussi favorable qu’ils l’espèrent tous. Et comme il se berce encore suffisamment d’illusions pour croire que l’ombre de la trahison ne les recouvre plus, lorsqu’il sent la main de son compagnon qui se referme sur son bras, de la même façon que s’il voulait le retenir auprès de lui, Izan tourne son menton vers lui pour le rassurer d’un sourire suave, avant que sa main se libère pour entrelacer brièvement ses doigts aux siens, dans un geste qui semble vouloir dire je reste avec toi, avec une cruauté que le destin n’a pas envisagé. Puisqu’ils sont amoureux, les deux musiciens, et que l’évidence même de leurs sentiments est presque palpable lorsqu’ils se regardent et lorsque leurs doigts s’effleurent, même sans rien dire, s’accordant une affection qu’ils ne partagent avec personne d’autre ; mais est-ce suffisant ?
Arrivant devant la maison des parents de ses deux comparses sans provoquer le moindre accident - un vrai miracle dirons les mauvaises langues, il défait sa ceinture de sécurité avant de sortir de la voiture, rejoignant son conjoint pour lui offrir la main que celui-ci vient chercher, mélangeant de nouveau leurs phalanges en l’observant quelques secondes avec un sourire de tendresse, même s’il comprend rapidement qu’il va devoir se battre bec et ongles sur un échiquier dans peu de temps. « je pense que des trois d’entre nous tu es le seul qui peut vraiment lui tenir tête. » - ’’Je t’apprendrai dans l’avion, comme ça tu pourras le battre aussi. Mais pas moi, bien sûr.’’ parce que le compétiteur ne peut décemment pas admettre la moindre défaite, même s’il tâche d’apprendre (c’est loin d’être acquis) ’’J'suis contente que vous soyez là, ça va peut-être m'aider à passer à côté de la fameuse question sur mes relations amoureuses.’’ haussant ses sourcils avec une moue à la fois amusée et hésitante, il ne tarde pas à retrouver ses élans taquins lorsqu’il répond, en regardant Aubrey ’’Et si c’est nous qui te posons la question ? Au milieu du repas, de préférence.’’ est-ce qu’il compte réellement le faire ? Heureusement pour Aubrey, elle n’aura jamais la réponse à cette question. Puisque le pianiste a tout juste le temps de profiter de l’étreinte de sa belle-mère, dont l’humeur constamment joviale et la tendresse paisible lui rappelle vaguement sa abuela, avant de prendre la direction du salon, comme indiqué par Emerie. ’’Je prends les blancs !’’ pas idiot, l’hispanique, puisque ce sont les blancs qui ouvrent chaque partie d’échecs : si cela ne constitue pas réellement un avantage, cela détermine le début du jeu : il donne le ton. Retirant sa veste avant de s’installer devant son beau-père, il mordille l’intérieur de sa joue en arborant presque aussitôt cet air sérieux qui est propre à ceux qui pratiquent ce sport bien que, pour Izan, ce soit également un art et une science à la fois. Il n’approche pas de la ligne g8-h7, puisque c’est trop dangereux ; en deux coups cela lui couterait un pion, mais la lutte serait pion libre contre pion libre, et même si la défense est solide, la partie sera nulle. Impossible pour les deux joueurs qui s’accrochent à la victoire qu’ils entrevoient chacun, Izan n’écoutant même plus les discussions autour de lui, de la même façon que si toutes les personnes rassemblées parlaient une langue dont il ignorait les secrets. Il mordille le coin de sa lèvre en fixant l’échiquier qui s’est effeuillé, passant l’une de ses mains sur sa bouche en froissant la peau de sa joue, pendant qu’il établie des schémas multiples, étudiant toutes les possibilités qui pourraient se dessiner sur les cases noires et blanches. Il pare avec sa tour et c8-c4, les pions se déplacent pour prendre la forme de cette potentielle stratégie qui tend à se réaliser, puisque son beau-père tombe dans le piège, zugzwang’’Échec et mat.’’ il recule son torse en redressant ses épaules, n’ayant pas suffisamment la victoire discrète pour ne pas se fendre d’un sourire de fierté, tandis qu’il lève le menton pour narguer son petit-ami. ’’J’sais pas si t’as entendu mais j’ai gagné…’’ mais la victoire et la joie simple sont de courte durée puisque, très vite, son téléphone résonne dans la poche de sa veste et, devant le message de Lynda, il est forcé d’écourter sa visite chez ses beaux-parents, puisque les siens, de parents, ont décidé de faire une autre déclaration dans la presse. Réunion de crise oblige, donc, il perd son sourire aussi vite que les traits de son visage se froissent sous le poids de la tristesse, bien qu’il tâche de le camoufler au mieux, n’ayant même pas le courage de lire les nouvelles paroles incriminantes et dénigrantes portées à son encontre. Qu’importe, il est prêt à se battre pour défendre ce qu’on tente de lui arracher et, heureusement, parce que bientôt il ne lui restera que ça.
crédits/rwrbmovie
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.