ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; alors qu'elle s'efforce de dire à tout le monde que c'en est fini des histoires d'amour, Helen est tombée sous le charme d'une femme. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a légué son appartement POSTS : 1736 POINTS : 4100
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #11 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10
☆ HELIVE + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
☆ YASMEN #3 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2
Pénélope Danbury et Izan Da Silva adorent ce message
i got something to say now 10 juillet – spring hill, à l'association 'Cœur sans foyer' crédit gifs(elyyxiumgifs) + @Sam Stenfield
Cela faisait presque deux semaines que la chirurgienne avait manifesté son souhait de faire un break avec son époux, suite à son infidélité. Quoi de plus normal, en apprenant qu'on est trompée depuis deux ans, que de vouloir un peu de temps et d'espace pour réfléchir sainement à l'avenir de leur couple. Sauf qu'il lui était bien difficile de le faire, avec tous les messages que lui envoyait Sam chaque jour... dès que la brune se réveillait le matin, ses yeux se posaient sur les textos de son époux qui lui répétait qu'elle lui manquait, que la maison était vide sans elle. Côté estime, la chirurgienne avouait qu'elle se sentait rassurée que Sam essaie de la récupérer, car il lui avait d'abord donné l'impression de s'en foutre complètement de leur séparation. Néanmoins, Helen n'avait pas quitté le domicile conjugale pour le côté dramatique de la situation. Elle ressentait vivement le besoin de s'éloigner de son mari, physiquement, mais aussi par message. La jeune femme finissait par ne plus lui répondre, étouffée par l'omniprésence de ce menteur dans sa vie malgré sa demande d'être tranquille. La brune ne souhaitait pas en arriver au point de le bloquer, puisqu'il restait quand même son mari... sauf qu'à force de recevoir chaque jour un peu plus de messages -ou d'appels manqués, d'ailleurs-, Sam commençait vraiment à jouer avec ses nerfs. Ajouté à cela, le petit mot qu'il lui avait glissé dans son sac d'affaires le jour où sa charmante maîtresse et elle s'étaient rencontrées... A nouveau, Sam lui écrivait à quel point il était désolé, à quel point elle ne le méritait pas. A force, Helen ne savait plus mettre des mots précis sur ce qui l'agaçait le plus : le harcèlement dont il faisait preuve, ou sa position en tant que victime dans cette histoire ? Alors qu'elle pensait être capable de réfléchir à tête reposée sur la possibilité ou non de pardonner à Sam, cette dernière n'avait finalement jamais réussi à calmer sa colère depuis son départ de leur maison. Il fallait que l'enseignant comprenne, qu'il arrête une bonne fois pour toute de vouloir la joindre toutes les heures pour essayer de la convaincre de revenir. A vouloir trop l'attirer de nouveau vers lui, c'était tout l'inverse qui se produisait. Au jour d'aujourd'hui, Helen ne le supportait plus, et elle ne voulait plus entendre parler de lui. Ce fut pour cette raison que la jeune femme se rendit aux bureaux de son association ce jour-là, avec pour motivation première de lui faire comprendre qu'il aggravait son cas de jour en jour. Puisque la méthode douce ne fonctionnait pas en lui demandant gentiment d'arrêter de la contacter, elle utiliserait un moyen plus radical. Depuis deux jours, la chirurgienne lui concoctait une vengeance cuisinée aux petits oignons. Cet état d'esprit n'était pas très sain, mais c'était ce dont elle avait besoin pour se sentir mieux ; le blesser, comme il l'avait blessé. Helen n'avait pas prévenu son époux en amont de sa visite, car elle comptait bien faire naître l'espoir en lui. En le voyant, il se poserait forcément des questions, au point de croire indéniablement à son retour. Que nenni. Tout était calculé pour piétiner son cœur à son tour. Elle la remarqua, cette petite étincelle dans son regard lorsque les billes noires de celui qu'elle avait épousé se posèrent sur elle. Peut-être était-ce aussi la surprise de la revoir avec les cheveux courts, comme elle les avait longtemps eu autrefois ? Mais Helen penchait plutôt pour l'option 'j'ai l'impression que tu vas me pardonner', alors que loin de là. « On peut parler dans ton bureau ? » Malgré ce côté vengeresse, la chirurgienne aurait quand même un peu de respect pour lui et tenait à ce que leur discussion ne leur appartienne qu'à eux. Laver son linge sale en public, ça ne l'intéressait pas vraiment. Lorsque Sam accéda à sa requête, tout en ignorant ses paroles, la jeune femme pénétra dans son bureau en silence. Elle observa les lieux, se rendant compte que cela faisait bien longtemps qu'elle n'y avait pas mis les pieds. Une photo d'elle et lui reposait sur le bureau, ce qui l'incita à attraper le cadre dans un sourire ironique. Elle trouvait ça très drôle de se voir sur cette photographie, alors qu'il la trompait depuis des années. Sans lâcher l'objet, la brune fit face à son mari, en s'asseyant contre le rebord du bureau. Ses prunelles le fixaient durement, pour lui faire bien comprendre qu'elle n'était pas là pour jouer de quelconques retrouvailles. « Izan et moi, on a couché ensemble, deux jours après avoir appris que tu me trompais. » Helen n'y allait pas par quatre chemins, puisqu'elle était consciente que lui demander une nouvelle fois d'arrêter de la harceler ne fonctionnerait pas. Alors autant démarrer les hostilités.
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Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
Helen qui a décidée de récupérer quelque affaire. Dispute entre Liliana et moi. Je ne contrôle plus vraiment grand-chose ces dernier jours. Et la cerise sur le gâteau, ma femme ne répond plus a mes sms ni appel. Il était inconcevable pour moi d’envisager le divorce. Je ne pouvais pas me dire que tout était réellement fini entre Helen et moi. J’ai besoin d’elle, même si ces derniers temps cela était assez chaotique entre nous elle reste ma moitié et je suis vraiment un crétin de pas m’en être aperçu avant,
J’avais pas mal de chose a gérer ses dernier temps a l’asso. Après la venu d’Izan, nous avons eu pas mal de promesse de don ainsi que des cadeaux pour les enfants et notamment des instrument de musique, J’avais rendez vous demain avec un journaliste afin de pouvoir présenter l’asso et expliquer son engagement.
J’étais assis a mon bureau lorsque mon assistante me signal par un appel sur le standard téléphonique la venu d’Helen. J’étais alors étonné de sa présence mais assez pressé de la voir. Je me lève de mon siège puis me dirige vers la porte puis l’ouvre et attend l’arrivé de ma femme. Je l’aperçois enfin, je la trouve belle et très vite elle pris parole, « On peut parler dans ton bureau ? » Je n’écarte puis la laisse entrer « bien sur vas y entre » Je referme la porte derrière nous puis la regarde sans bouger. J’avais pas mal de chose a lui dire mais celle ci prend la parole de nouveau « Izan et moi, on a couché ensemble, deux jours après avoir appris que tu me trompais. » je ne la lâche pas du regard, je reste sans voix. Elle se fou de ma gueule ? … Elle me fait marcher c’est juste pas possible … pas elle. Le silence s’installe je ne savais pas trop quoi lui dire, quoi faire. Izan et elle ? … Il ose venir a l’asso me dire qu’il est désolé pour Helen et moi me dit qu’il espère que ça s’arrange entre nous et en-fait le mec s’est tapé ma femme ??? Je rigole nerveusement … elle pouvait me faire une scène pas possible au final coucher par vengeance c’est encore pire que tout, « Je suis étonné que tu te rabaisse a un tel comportement … en plus avec ton meilleur ami je trouve que tu as choisi un peu la facilité mais bon tu n’avais peut être que ça sous la main pour satisfaire ton envie de baiser…. » Je suis très calme d’apparence mais je bouillonne de l’intérieur jais juste envie de balancer mon alliance par la fenêtre « Donc tu es venu ici pour m’annoncer que tu a baiser avec un homo pour te venger de mon infidélité ...ok … ben écoute si cela te fait du bien alors vas y Helen ...si tu éprouve aussi peu d’estime pour toi alors t’en mieux écoute » Elle cherchait quoi a venir ici me dire une tels chose ? Obtenir mon approbation ? M’anéantir ? Me blesser ? C’était réussi elle venait de me planter un couteau en plein cœur. Je pouvais ressentir a présent ce qu’elle a pu ressentir lorsqu’elle a appris mon infidélité,
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
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L'objectif d'Helen était très simple : blesser Sam, pour le pousser à la laisser tranquille. La manière douce ne fonctionnait pas, et il peinait à comprendre qu'il lui fallait du temps pour réfléchir. La chirurgienne ne voulait pas de lui dans ses pattes pendant ce break, ce n'était pourtant pas bien compliqué à comprendre. Même si, en soi, elle avait conscience de la peur qui envahissait son époux à l'idée de la laisser filer un temps... plus elle s'éloignait, et plus il craignait forcément de la perdre à jamais. Malheureusement, il n'y avait pas d'autres solutions pour que les choses s'arrangent dans le couple. Sam devait la laisser partir, pour qu'elle puisse éventuellement mieux revenir. Alors, elle avait bien conscience que sa visite et ses paroles seraient abruptes, violentes, méchantes. Elle s'apprêtait à prononcer des choses qu'aucun époux n'avait envie d'entendre, pour sûr. Mais il fallait aussi la comprendre ; cette colère et cette tristesse qui l'envahissaient depuis si longtemps ne demandaient qu'à sortir et à provoquer un tsunami entre eux. Ainsi, Helen prononça l'aveu fatidique de son infidélité avec Izan. Sa vengeance, elle allait l'obtenir. Le silence occupa tout l'espace, pendant plusieurs secondes où le couple se toisait du regard. Ce fut finalement Sam qui le rompit, avec un rire qui semblait nerveux. « Je suis étonné que tu te rabaisses à un tel comportement … en plus avec ton meilleur ami je trouve que tu as choisi un peu la facilité mais bon tu n’avais peut-être que ça sous la main pour satisfaire ton envie de baiser… » Si la chirurgienne avait fait des pieds et des mains pour que Asher, l'ex petit ami d'Izan comprenne que ce moment d'égarement ne signifiait rien, et qu'ils n'étaient vraiment que des meilleurs amis, Helen allait se faire un plaisir de jouer avec la jalousie de son époux. La jeune femme savait qu'il n'arrivait pas à accepter leur amitié, surtout en apprenant qu'elle avait eu un jour des sentiments pour Izan. « La facilité ? Pas du tout. Tu sais que j'ai des sentiments pour lui depuis des années, ne te voile pas la face. » Le ton de sa voix était calme, contrairement aux émotions qui la remuaient intérieurement. Elle pensait que lui dire de telles choses seraient plus faciles, mais ça ne l'était pas. Même si elle essayait de ne pas être touché par la situation, cela n'était qu'une façade. Puisqu'évidemment, elle aimait toujours Sam. « Donc tu es venue ici pour m’annoncer que tu as baisé avec un homo pour te venger de mon infidélité ...ok … ben écoute si cela te fait du bien alors vas-y Helen ...si tu éprouves aussi peu d’estime pour toi, alors tant mieux. » La remarque de Sam à propos de la sexualité de son meilleur ami la fit tiquer, puisque c'était vraisemblablement des propos à caractère homophobe qu'il tenait là, et elle ne l'acceptait pas. Que ce soit à propos d'Izan, ou de quelqu'un d'autre, elle ne pouvait pas tolérer ce manque de tolérance envers les êtres humains. Et surtout, on ne touchait pas ainsi à son meilleur ami, voilà tout. « De un, Izan n'est pas gay, mais bisexuel. De deux, tes propos homophobes, si tu continues, je vais te les faire bouffer. » La jeune femme levait un doigt à chaque point qu'elle soulevait, un troisième doigt fit d'ailleurs son apparition, avec un regard bien plus noir et un sourire en coin. « De trois, il m'a faite jouir comme jamais, alors je peux t'assurer que mon estime de moi, il l'a faite grimper bien plus haut que ce que tu n'as jamais su faire. » L'attaquer sur ses performances sexuelles, c'était certes petit, mais bien mérité, au fond. « Rien que d'y repenser, j'en suis toute émoustillée, dis-donc. Il faut dire qu'il a su tenir des heures, c'est pas donné à tout le monde. » La jeune femme l'observait scrupuleusement, elle cherchait ce moment où son visage, étonnamment calme, se transformerait pour laisser place à la colère. A son tour, elle voulait qu'il la déteste, qu'il soit blessé, heurté, qu'il se sente trahi... et qu'ils se déchirent davantage.
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Pourquoi était elle venu aujourd’hui pour me dire qu’elle avait coucher avec Izan. Il était clair qu’elle tenait sa vengeance mais Sam n’éprouvait aucune colère juste énormément de déception. Comment Helen en était arrivé la ? Coucher pour se venger … cela m’étonnais au plus haut point car ça ne lui ressemblait pas vraiment ce genre d’attitude. Je réfléchissais et ne trouvais pas vraiment d’explication, peut être que finalement je ne la connaissais pas vraiment … « La facilité ? Pas du tout. Tu sais que j'ai des sentiments pour lui depuis des années, ne te voile pas la face. » ce n’était donc pas que des sentiments amicaux entre eux, depuis quand cela durait ? … je pouvais alors ressentir en un instant ce qu’elle a pu ressentir lorsqu’elle a appris pour Liliana et moi. « je me disais aussi… tout s’explique !… Pourquoi as tu voulu de ce mariage alors si tu étais amoureuse d’un autre ? » Oui tout s’explique … je comprend mieux pourquoi celle ci a tout remis en question il y a 4 ans bref il fallait que j’arrête de me torturer l’esprit. « De un, Izan n'est pas gay, mais bisexuel. De deux, tes propos homophobes, si tu continues, je vais te les faire bouffer. » A la suite de mon intervention Helen s’enflamme de plus belle et je ne manque pas de lui répondre « je t’arrète tout de suite !! Ne déforme pas mes paroles s’il te plais en aucun cas j’ai eu un manque de respect envers lui donc me faire passer pour un homophobe tu évite ça merci ! » Je n’ai jamais était homophobe et le serait jamais et elle le sait parfaitement mais elle a vraiment décidé de me rendre fou mais elle y parviendra pas.
« De trois, il m'a faite jouir comme jamais, alors je peux t'assurer que mon estime de moi, il l'a faite grimper bien plus haut que ce que tu n'as jamais su faire. » « Rien que d'y repenser, j'en suis toute émoustillée, dis-donc. Il faut dire qu'il a su tenir des heures, c'est pas donné à tout le monde. J’étais a ce moment la blessé. Comment peut on tenir de tels propos envers l’homme qu’on a soit disant aimer plus que tout au monde au point de s’unir avec lui avec des promesses qui vraisemblablement ne signifiait rien pour elle. « Alors c’est ça ? Tu n’a pas trouvais mieux que de m’attaquer et me rabaisser plus bas que terre pour seul et unique raison : te venger ?!! … vous faites la paire tous les deux ! » Izan avait ce dont la aussi de par ses propos blessant, ils étaient peut être fait pour être ensemble ses deux la finalement. Je me dirige vers la fenêtre afin de chercher un échappatoire. Toujours pas de colère en moi mais énormément de dégoût. Si son but aujourd’hui était de venir pour m’anéantir ce fut une réelle réussite. J’étais a présent dos a elle me plongeant dans le silence, un silence meurtrie, un silence qui imageait parfaitement c’est dernière année de vie commune avec « cette femme » que je ne reconnaissait visiblement plus. Si elle espérait que je l’attaque a mon tour elle se trompait, pas ici, pas comme ça. Il était hors de question que je me rabaisse a ça. « tu as autre chose a me dire Hel ? Profite ! » Elle venait de me toucher en plein cœur ce n’était pas uniquement de la trahison mais réellement de la méchanceté pur et dur et mes nombreuses larmes pouvaient parfaitement décrire mon ressenti à ce moment la. Restant dos a elle je n’avais pas l’intention de croiser son regard de nouveau. M’attaquer sur ce genre de propos était minable !
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A l'issue de cette conversation, Helen voulait s'assurer de voir une souffrance semblable à la sienne dans le regard de son mari. Car, il fallait être honnête, si elle s'évertuait à vouloir le blesser, c'est que la jeune femme l'était aussi, très profondément. Son cœur était désormais partagé entre la haine et l'amour qu'elle ressentait pour Sam, et ce qu'elle cherchait par-dessus tout, c'était de faire exploser plutôt la rage que les sentiments d'attachement encore forts pour lui. Evidemment, que l'amour était toujours présent, auquel cas elle ne s'acharnerait pas de la sorte. Mais tout ce qui l'importait, à l'heure actuelle, c'était sa vengeance. La brune ne laisserait apparaître aucune faille, elle arriverait à se montrer piquante et méchante, c'est tout. « Je me disais aussi… tout s’explique !… Pourquoi as-tu voulu de ce mariage alors si tu étais amoureuse d’un autre ? » Un léger s'échappa de ses lèvres fines, tandis qu'elle accorda un nouveau regard à la photo d'elle et Sam qu'elle tenait toujours entre ses mains. Toute cette partie de la conversation là n'était que mensonge, car ses sentiments pour Izan avaient disparu peu de temps avant que Sam et elle ne se rencontrent. Mais pour le blesser, elle n'allait pas se gêner et mentir effrontément, comme il l'avait fait avec elle quelques jours plus tôt. « Pour essayer de l'oublier, tout simplement. » Relation pansement, merci l'inspiration d'Asher et Izan. De son côté, le début de leur histoire avait été sincère, et certainement pas pour oublier son meilleur ami. Au contraire, ça avait été le coup de foudre. Sam était arrivé dans sa vie, sans qu'elle ne l'attende vraiment, puisqu'on ne pouvait pas dire que ses histoires d'amour précédentes avaient été très passionnantes. A ce moment-là de sa vie, ses études passaient en priorité... puis Sam lui avait ouvert les yeux sur son envie d'être aimée, choyée, alors elle lui avait fait une place, pour ensuite ne plus jamais le quitter... jusqu'à aujourd'hui. « je t’arrête tout de suite !! Ne déforme pas mes paroles s’il te plait, en aucun cas j’ai eu un manque de respect envers lui donc me faire passer pour un homophobe, tu évites ça merci ! » « Alors je ne vois pas pourquoi tu trouves ça important de préciser que j'ai pu coucher avec une personne d'une orientation sexuelle différente de la tienne. Il me semble que ça n'a rien à voir. » Elle ne lâcherait pas le morceau, Izan était trop important à ses yeux pour qu'elle laisse passer une seule critique envers lui. Même s'ils ne se parlaient plus à l'heure actuelle, la jeune femme le défendrait toujours, coûte que coûte. « Alors c’est ça ? Tu n’as pas trouvé mieux que de m’attaquer et me rabaisser plus bas que terre pour seule et unique raison : te venger ?!! Vous faites la paire tous les deux ! » Pourquoi parlait-il de la vengeance d'Izan ? L'avait-il vu récemment ? Ou faisait-il seulement référence au fait qu'elle ait couché avec lui, sachant que Sam ne le portait pas dans son cœur ? Malheureusement, Helen ne pouvait pas le questionner à ce propos, car cela lui mettrait la puce à l'oreille quant au fait qu'Izan et elle étaient en froid. A la place, la jeune femme prononça clairement : « J'espère que tu as mal, comme j'ai pu avoir mal en te voyant l'embrasser. Estime-toi heureux, tu n'auras que tes pensées pour imaginer ce qui a pu se passer entre Izan et moi, tandis que moi ce sont de vraies images qui me hante toutes les nuits. » Sam lui tournait le dos, probablement pour cacher sa peine. Son objectif était donc atteint. La jeune femme reposa alors le cadre dans un geste sec, faisant tinter le bois contre le bureau. Elle se redressa, passant derrière lui sans un geste quelconque, bien qu'il lui sembla apercevoir une larme sur sa joue. Le cœur serré, elle se stoppa avant de franchir la porte. « tu as autre chose à me dire Hel ? Profite ! » Des choses, oui elle en avait un paquet de choses à lui dire. Mais elle estimait avoir été suffisamment blessante pour le moment. Néanmoins, avant de partir, une question lui brûlait les lèvres. Une question, qui laisserait la possibilité à son époux de la blesser une nouvelle fois en retour, mais elle tenait à la lui poser. « Tu es tombé amoureux d'elle, toi aussi ? » Liliana lui avait avoué l'aimer, la veille... alors elle se demandait si l'inverse était le cas, bien qu'elle se doutait de la réponse. Une aventure de deux ans, ça ne pouvait pas être qu'une histoire de fesses.
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Si l’idée de me blesser était son objectif on peut dire que c’était parfaitement réussi. Elle était très en colère et c’était logique mais comment pouvait elle avoir de tel propos ? Avait elle envie de me voir craquer, souffrir comme elle a pu souffrir le jour ou elle est venu sur mon lieu de travail ou elle nous a surpris Liliana et moi …. Elle m’attaque alors de plus belle « Pour essayer de l'oublier, tout simplement. » Alors c’est ça ? Notre mariage a jamais rien signifier pour elle ? Elle s’est servi de moi pour oublier ses sentiments envers lui ? Je ne la reconnais pas et je suis incapable d’y croire. C’est pas Helen ça ! Ce n’est pas la femme que j’ai épousé !! « Merci helen ! » Je n’avais rien d’autre a lui dire. J’étais alors plongé dans une tristesse, une colère qui bouillonnait au fond de moi, A ce moment la je voulais qu’une seul chose : qu’elle me laisse, qu’elle parte pour ne pas lui dire des choses que je ne pense pas. Car moi je l’ai vraiment aimé, aimé plus que tout et de savoir que finalement le mariage ne représente absolument rien pour elle cela me démoli encore un peu plus. Je devais contenir ma colère et ma peine mais cela était vraiment devenu insurmontable. J’étais dos a elle et la tristesse pouvait se faire ressentir. J’étais au fond du trou elle venait de me rendre les coups …. elle tenait clairement sa vengeance. « J'espère que tu as mal, comme j'ai pu avoir mal en te voyant l'embrasser. Estime-toi heureux, tu n'auras que tes pensées pour imaginer ce qui a pu se passer entre Izan et moi, tandis que moi ce sont de vraies images qui me hante toutes les nuits. » je me retourne vers elle pour qu’elle découvre que ses mots et ses actes m’avait touché profondément au point de partager avec elle la tristesse que représente la situation dont laquelle nous sommes tombée. « Se déchirer a coup d’atrocité c’était donc devenu comme ça entre nous Helen ? » Je ne lui cachais plus mes larmes, j’avais qu’une seul envie a présent … qu’elle quitte la pièce mais elle avait visiblement une dernière question « Tu es tombé amoureux d'elle, toi aussi ? » Toi aussi ? Pourquoi disait elle cela ? Qu’est ce que Liliana a bien pu lui dire ? « Il est évident que deux ans de relation a créer un attachement particulier entre nous en effet … Elle m’apporte ce que tu ne m’apporte plus depuis bien longtemps » dis-je en serrant le point derrière mon dos.
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Maintenant que son objectif était atteint, la jeune femme n'avait plus aucune raison pour rester ici. Elle se considérait déjà bien gentille de lui donner signe de vie, alors qu'Helen lui avait clairement fait comprendre qu'elle voulait s'éloigner de Sam. Elle espérait vivement qu'après cette entrevue, son époux ne cherche plus à la joindre pendant un petit moment. Il fallait vraiment qu'il se détache d'elle un temps, pour que leur break soit plus sain et qu'ils puissent tous les deux faire le point, c'était primordial. Au fond, peut-être que la chirurgienne allait trop loin dans ses mensonges, mais elle connaissait parfaitement son époux pour savoir qu'il ne lâcherait pas le morceau, à moins d'être déçu à son tour. Et comme elle avait cet esprit de revanche très affirmé depuis plusieurs jours, elle ne se faisait pas prier pour lui lâcher des atrocités. De son côté, Sam pouvait pleurer toutes les larmes de son corps, aujourd'hui ça ne suffisait pas à l'attendrir. « Se déchirer à coup d’atrocités, c’est donc devenu comme ça entre nous, Helen ? » La chirurgienne planta ses billes foncées dans celles humides de son conjoint, sans sourciller. Ses larmes étaient méritées, s'il savait à quel point elle avait pu pleurer elle aussi... elle se souvenait sans mal de ces deux jours passés à l'hôpital, recroquevillée dans les draps de sa chambre de garde. « Il semblerait, Sam. » Elle appuyait son prénom de la même manière, sans les perles d'eau au coin des yeux. Helen lui tourna ensuite le dos, prête à quitter le bureau de son association. Elle avait néanmoins une dernière question, qui déterminerait pas mal de choses dans le futur, elle en était persuadée. « Il est évident que deux ans de relation à créer un attachement particulier entre nous, en effet … Elle m’apporte ce que tu ne m’apportes plus depuis bien longtemps » La jeune femme se passa le bout de la langue sur sa lèvre supérieure, pour s'empêcher de se mettre à rire nerveusement face à la réponse de son époux. Evidemment qu'elle lui apportait bien des choses depuis deux ans, évidemment qu'il avait des sentiments pour elle. « Elle va pouvoir continuer à t'apporter beaucoup alors. » Parce qu'elle ne comptait plus rien lui apporter de son côté pour le moment. « Je ne veux plus entendre parler de toi, arrête de m'envoyer des messages ou d'essayer de m'appeler, dès maintenant. » Le cas échéant, Helen n'hésiterait de toute façon plus à bloquer son numéro de téléphone. La chirurgienne parlait sans prendre la peine de se retourner vers lui, puisque ce n'était plus qu'une question de secondes avant qu'elle ne parte. « Et ne t'étonne pas si tu reçois bientôt un courrier de la part de mon avocat. » Sur cette dernière bombe lancée, Helen précipita le pas vers la sortie du bâtiment, envisageant presque sérieusement le divorce, maintenant qu'elle était fixée sur le fait que son époux en aimait une autre. Comment pourrait-elle un jour lui pardonner d'avoir partager les draps d'une autre femme, mais en plus de cela, qu'il puisse également avoir des sentiments pour elle ? A ce moment précis, la présence de son meilleur ami aurait été plus que nécessaire... mais Izan n'était pas là pour entendre et apaiser ses nouvelles larmes, à son plus grand désarroi.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
Alors tels était notre avenir a présent ? Se déchirer ? Ce sera celui qui fera le plus de mal a l’autre qui va s’en sortir vainqueur de cette bataille ?!! Helen ne se privait pas en tout cas de me balancer tout un tas d’atrocité aussi dure a avaler les unes que les autres. Notre vie s’est construit sur tout un tas de mensonges et je n’arrivait à peine a y croire. J’avais mal ! Terriblement mal … « Il semblerait, Sam. » Et lorsqu’elle confirme les faits j’allais a présent répondre a sa demande…. La laisser s’éloigner. J’en avais pas du tout envie car je l’aime et elle me manque mais si c’est pour devoir recevoir ses attaques quotidiennes alors le choix était vite fait. Avant de partir elle me tend une perche pour moi aussi lui rendre les coups et je ne me prive pas de le faire même si je sais que ça va lui en foutre un coup. « Elle va pouvoir continuer à t'apporter beaucoup alors. » « Je ne veux plus entendre parler de toi, arrête de m'envoyer des messages ou d'essayer de m'appeler, dès maintenant. » J’en avais bien l’intention à présent. J’étais écœuré je n’attendais qu’une seul chose : qu’elle s’en aille pour que je puisse m’effondrer loin de son regard méprisant. « j’en ai plus vraiment envie en effet… tu as gagné » Avant de partir elle fini par des mots que je ne voulais pas entendre « Et ne t'étonne pas si tu reçois bientôt un courrier de la part de mon avocat. » Elle venait de me porter le coup fatal. Après ça il était certain que je ne me relèverais pas. « fait pas ça !!! » Elle ne se retourne pas et quitte mon bureau. Je hurle une seconde fois en jetant mon mug qui se brise en mille morceau contre le mur … un peu comme l’état de mon cœur après avoir entendu son discourt. « FAIT PAS CA PUTIN !!! » les mots résonnent dans la pièce et je m’écroule au sol en pleurant comme un enfants a chaude larme. Je n’arrivais pas a y croire et avait l’intention de divorcer et je ne pouvais pas l’accepter. « pourquoi ? Mais pourquoi ? !!! j’ai tout gaché !!!... » ces dernier mot sorte de ma bouche avant de me recroqueviller sur moi même enlaçant mes genoux et plongeant mon visage entre mes bras,