(mine #32) right back in our rhythm without missing a step

Jo Carter
Jo Carter
la folie des grandeurs
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(mine #32) right back in our rhythm without missing a step MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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POSTS : 10983 POINTS : 2510

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
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CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
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JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

ollie#2midas#35micah#11megan#14cleo#2kendall

RPs EN ATTENTE :
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LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
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DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
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STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptyMar 30 Juil 2024 - 14:03

Midas Sterling adore ce message



right back in our rhythm without missing a step
@Midas Sterling (crédit gif/rampld)

L’événement faisait partie de la liste que Jo avait rédigée lorsqu’elle se trouvait encore à Ibiza, et c’était encore celui qui lui tenait le plus à coeur. Les préparatifs avaient été intenses, mais elle s’était astreinte à les mener jusqu’au bout malgré les répétitions, les enregistrements, les séances de brainstorming, les allers-retours dans les états voisins et les séances de thérapie : difficile de se dire que ça y était, Ava et Richie étaient enfin mariés. Elle avait entendu le souhait de ce dernier de faire dans l’intimiste, nana n’ayant pas insisté pour grand-chose lors des préparatifs, se laissant porter sans que sa petite-fille ne ressente pas un peu de culpabilité quand elle s’était demandée : se rendait-elle compte de ce qui se passait ? Partiellement, parce qu’elle les voyait briller, ses yeux, face aux efforts engagés par cette jeune femme dont elle ne réussissait plus à retenir le prénom, ou encore à mesurer son importance pour elle, de faire les choses selon le souhait de son nouvel époux ; que ce soit la cérémonie ou les célébrations, tout se passait dans le domaine outrageusement luxueux et m’as-tu-vu de Midas qui n’avait pas hésité un instant à accepter d’ouvrir ses portes à la liste d’invités triés sur le volet par Richie et Jo eux-mêmes. Après l’épisode des funérailles de Charlie, ça la rassurait d’être ici, et de pouvoir offrir ce cadeau à sa grand-mère, à ce grand-père rapporté qu’elle aimait sincèrement de tout son coeur, mais aussi de pouvoir offrir un moment digne de ce nom à ceux qui avaient assez d’importance pour les nouveaux mariés pour qu’ils leur concèdent l’honneur d’être témoins de ce mariage célébré sur le tard, qui n’en était pas moins sincère et parfaitement adorable. Le poste de sécurité à l’entrée du domaine, les barricades qui protégeaient l’espace tout entier, ça invitait à se sentir coupé du monde extérieur. L’impression de vivre dans une bulle d’amour, ou tout avait été fait pour accueillir, et peut-être un peu impressionner ceux qui s’étaient joints à la partie, était réelle. Ils étaient peu, à peine une cinquantaine, la majorité faisant partie de la famille de Richie, celle d’Ava se composant uniquement de Jo et des amis et voisins qui étaient chers à son coeur, mais il n’en fallait pas plus pour que chacun se sente à sa place, heureux et comblés par cette union saluée à l’unanimité.

L’esprit champêtre et désuet de l’ensemble ne trompait personne quant à la qualité des prestations, le tout mettant en valeur l’immensité du terrain qui ravissaient les amateurs de grand espace. Il était illuminé par un dôme de guirlandes et de lampions qui ne juraient pas avec l’ensemble, l’odeur des fleurs fraîches du décor, l’atmosphère cosy et pourtant luxueuse, la palette de couleurs, impressionnaient les vieilles dames, toutes subjuguées par la délicatesse des choix appliqués pour que chacun garde un souvenir impérissable de cette journée. La soirée avait débuté depuis quelques instants maintenant, la venue de la cérémonie, aussi émouvante qu’elle avait été charmante, les petites-filles les plus jeunes de Richie préposées au jeté de fleurs, Jo à l’escorte de sa grand-mère le long de l’allée pour rejoindre son époux, avait laissé place à la réception durant laquelle tous s’accordaient à s’émerveiller d’être ici, au milieu de quelque chose qui remplissaient leur coeur d'amour et d’allégresse. C’était le cas de Jo. Elle avait besoin de ça, d'un événement positif pour, si ce n’était lui faire oublier les derniers mois, au moins la remettre sur le chemin d'un avenir meilleur malgré les difficultés qu’elle rencontrait en thérapie, ses insomnies qui persistaient, et l’impression constante d’avoir quelque chose à se faire pardonner auprès de ceux qui avaient compté sur elle à un moment donné. On avait compté sur elle aujourd'hui, et loin de son habitude de se la raconter comme si elle descendait tout droit du Mont Olympe, elle savait qu'elle avait été parfaite. Elle recevait, et ce avec humilité pour une fois, comme quoi tout arrive, les félicitations qu’on lui faisait au sujet de cette journée, se comportait en parfaite hôtesse quand bien même elle n’était pas chez elle, et prenait plus que tout plaisir à présenter Midas à des membres de son entourage qui jusqu’alors, ne l’avait pas rencontré : certains paraissaient impressionnés, mais à part ça, c’était normal, c’était doux, et ça lui faisait du bien, le sourire qui flottait sur ses lèvres l’empêchant de cultiver sa resting bitch face qu’elle n’accordait qu’aux gamins présents et qu’elle menaçait une fois sur deux de les enfermer dans le cachot — imaginaire certes, étant donné la grandeur de la baraque, ce n’était pas bien difficile de faire croire aux plus impressionnables qu’il y avait des passages secrets et des monstres qui se cachaient dans les recoins pour leur bouffer le cerveau, à ces sales bêtes — s'ils continuaient à vouloir regarder sous sa robe.

C’est après en avoir changé, de robe, ayant suivie sa grand-mère pour mieux l’aider elle aussi à changer de tenue, que Jo rejoignit Midas. Posé un peu à l’écart du reste, elle préféra ses genoux à la causeuse du salon extérieur, sublimé par la même décoration que partout ailleurs, et s’y installa en faisant mine de réfléchir quand elle savait très bien par quoi elle allait commencer "J’ai surpris une bonne partie des copines de ma grand-mère se battre entre elles pour savoir qui serait la première à danser avec toi." Elle exagérait à peine "Y a eu des menaces et des insultes, de vraies gamines." Elle coula son bras sur les épaules du jeune homme, croisa les jambes sans juger bon rabattre la fente de sa robe pour les cacher, préférant poser les yeux sur lui "J’ai prétendu que t’étais le plus mauvais danseur que je connaisse pour les dissuader. C’était un cas de force majeure, j’ai été obligé de t’inventer des défauts." Elle opina très sérieusement en faisant rejoindre son autre bras à ses épaules, appuya son front tout contre sa tempe, et puis elle lui donna la sentence comme si elle lui annonçait qu’il allait devoir passer sur la chaise électrique dans moins de 24 heures "Je crois que plus rien ne leur fait peur à cet âge, tu vas devoir y passer quand même." Elle releva la tête, fronça les sourcils et le nez, et maintint un instant cette grimace en approchant finalement sa bouche de la sienne pour lui voler un baiser furtif qui l’aiderait sans aucun à supporter sa malédiction.


    i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.












    :sing::

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Midas Sterling
Midas Sterling
la nuit des temps
la nuit des temps
  
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step IAeu3cF Présent
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.)
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step SA3KN
POSTS : 1924 POINTS : 790

TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
CODE COULEUR : royalblue.
RPs EN COURS :
(05) harleen #2oscar #2jo #35nina #2aaron

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mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829303132333435

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step SOk7g
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step Ld6fmwE
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step SteSR
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

RPs EN ATTENTE : lucas

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.

― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

AVATAR : Leo Woodall
CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie)
DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 17/08/2022
https://www.30yearsstillyoung.com/t45772-midas-hide-away-your-sons-and-daughters
https://www.30yearsstillyoung.com/t45785-midas-there-are-times-when-i-don-t-like-myself
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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptyMar 30 Juil 2024 - 17:50

Jo Carter adore ce message



right back in our rhythm without missing a step
Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveia

Fêter un mariage où la moyenne d’âge se trouve quelque part autour des soixante-dix-ans n’était pas sur ma bingo card de 2024, mais il n’en reste pas moins vrai que j’ai apprécié chaque seconde de cette après-midi et de cette soirée. Le fait de voir Ava Carter en robe de mariée et resplendissante malgré le contexte tout particulier n’a pas grand-chose à voir dans tout ça : c’est le sourire qui n’a pas quitté les lèvres de Jo de toute la journée qui me ravit. Depuis son retour d’Ibiza, ou même depuis que j’ai appris la raison pour laquelle elle s’était rendue sur l’île habituellement préférée aux noceurs, je suis attentif à chaque signe qui pourrait attester qu’elle va de nouveau mal au point d’avoir besoin d’aide. Peut-être suis-je un peu trop présent, un peu trop collant, un peu trop, mais je n’ai pas l’intention de passer à nouveau à côté de ce genre de chose. Je ne raterai plus de signe précurseur, je me le suis promis. Mais ce soir, je suis bien plus détendue : Jo a l’air heureuse, parfaitement heureuse, et j’aime ça plus que tout au monde.

Le moment de la première danse venue, j’ai applaudi poliment en tenant Jo enfermée entre mes bras. Un peu plus tard dans la soirée cependant, j’ai eu à cœur de lui laisser un peu d’intimité avec les siens et, après quelques mots de félicitations à Richie et une tape dans son dos alors qu’il me remerciait pour la cinquième fois de la journée au moins, je me suis éclipsé pour aller m’installer sur l’un des sofa en rotin de l’un des espaces jardin, celui où un bras en métal contient un immense écran blanc me permettant d’organiser des projections nocturnes quand je suis plus d’humeur à regarder un film en plein air que dans le "cinéma" de la résidence.

Lorsque mon regard attrape celui de Jo, je lui adresser un sourire sincère et lui ouvre mes bras pour l’inviter à s’installer sur mes genoux plutôt que partout ailleurs. J’aime cette habitude qu’elle a instauré sans que nous n’ayons besoin de mots. « J’ai surpris une bonne partie des copines de ma grand-mère se battre entre elles pour savoir qui serait la première à danser avec toi. Y a eu des menaces et des insultes, de vraies gamines. » Je laisse échappe un doux rire, avant de lever un sourcil de façon un peu trop théâtrale pour ne pas être parfaitement étudiée. « J’ai prétendu que t’étais le plus mauvais danseur que je connaisse pour les dissuader. C’était un cas de force majeure, j’ai été obligé de t’inventer des défauts. » Si la chose parvenait aux oreilles de mes fans un débat s’ouvrirait certainement sur Reddit, opposant mes plus fervents supporters, ceux qui seraient capable de me trouver des excuses en cas de meurtres, et ceux qui soutiennent que les hommes ont de toute façon bien moins d’efforts à fournir que les femmes dans ce domaine-là. Je suis obligé de donner le point à ces derniers, en toute honnêteté. Toutefois, je ne suis pas si mauvais danseur que cela lorsqu’il est question de danses de salons : disons que je me débrouille en réussissant à ne pas marcher sur les pieds de ma partenaire. Monter à cheval m’a accordé un peu plus de dextérité que la moyenne des hommes, je suppose. « Je crois que plus rien ne leur fait peur à cet âge, tu vas devoir y passer quand même. » - « Tu vas m’obliger à faire ça ? » Je simule une mine outrée, avant de l’embrasser sur le front. « Je ferai danser toutes les vieilles dames que tu veux si j’ai d’abord le droit à une première danse avec toi.  » Ce point-là n’est pas négociable, de toute évidence. « J’ai promis une danse à l’une des petites filles de Richie aussi. » Je fais mine d’avoir peur qu’elle ne me fasse les gros yeux avant d’ajouter. « La plus jeune, promis. » Celle qu’elle ne songerait pas à voir comme une rivale étant donné l’âge de la jeune fille : je suis un homme respectable. « Celle préposée aux fleurs. » J’ai évité les regards gênés de celles qui se rapprochaient de la tranche d’âge dangereuse, celles où j’aurais eu peur d’avoir le droit à une remarque de Jo, c’est promis. Je vole un baiser un peu moins innocent à Jo, avant de la couver d’un regard énamouré. « T’es sublime. Et je veux pas entendre le nombre de fois où je te l’ai déjà dis ce soir. » Un doux sourire étire mes lèvres. « Pas juste… » Je caresse son flanc de la pulple de mes doigts. Sa robe seyante a la douceur de la soie. Pas juste ton corps. « Ton sourire. Je suis heureux de te voir comme ça. »




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LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
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STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)

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@Midas Sterling (crédit gif/rampld)

"Elles vont t’obliger à faire ça." Combien de temps pouvait-elle faire semblant de craindre les copines de sa grand-mère ? Pas longtemps, de toute évidence, son expression d’effroi se craquelant en sentant le baiser de Midas sur son front. Elle l’appuya un instant de plus contre sa bouche, avant de relever la tête pour s’inventer une peur panique, alors qu’elle ne faisait en fait que minauder "Elles vont m’en vouloir à mort de leur ravir la place, mais je suis prête à prendre le risque." Elles danserait la première avec Midas — elle ne donnait pas de durée précise à la danse, qui avait dit qu’elle était idiote ? —, c’était quelque chose à quoi elle avait pensé plusieurs fois au cours de la journée, qui marquerait une sorte d’apothéose qu’elle ne laisserait personne gâcher. Elle adorait les personnes âgées, Jo. Ça jurait avec l’image de garce qu’elle voulait se donner, et c’était évidemment alimenté par l’affection immense qu’elle avait pour sa grand-mère. Toutes ces femmes, sans exception, aux histoires de vie différentes et parfois rocambolesques, elles l’avaient regardée avec fierté aujourd’hui. Midas ne le savait pas, mais chacune d’elles avaient eu un impact significatif sur sa vie au cours des sept dernières années, alors elle pourrait simuler la jalousie pour les faire sourire, elle ne pouvait  toutefois que leur concéder le plaisir de les laisser danser avec un homme comme son petit ami.

Elle desserra l’étreinte de son bras sur les épaules de Midas pour nonchalamment défaire un bouton supplémentaire de sa chemise, et s’autorisa un nouveau rire lorsqu’il la prévint d’avoir accepté de faire danser les petites-filles de Richie "Je compte pas t’empêcher de faire quoi que ce soit. C’est la fête, et t’es chez toi, en plus." lui fit-elle remarquer, levant la tête pour suivre avec des yeux brillants les guirlandes de lumière qui transformaient l’endroit en une vraie bulle dans laquelle elle se sentait particulièrement protégée ce soir. L’empêcher de faire quoi que ce soit, Jo ne l’avait jamais fait, même quand ça la gonflait d’envisager la proximité d’une autre femme qu’elle finirait par traiter copieusement de salope parce qu’elle était comme ça, et qu’à défaut de toutes les voir comme des rivales, consciente de n’avoir rien à craindre au fond, elle admettait qu’elle ne supportait pas de ne pas être le centre d’attention. De son attention, précisément. Ce soir, le centre d’attention, ce n’était pas elle : c’était sa grand-mère, c’était Richie, et ça allait au-delà de ce qu’elle était prête à supporter ou pas. En l’occurence, là, elle supporterait qu’il lui fausse compagnie pour enchanter une gosse qui avait l’habitude de voir sa belle gueule sur un écran. Elle était sereine ce soir, Jo. Elle n’avait pas de raison de chercher les problèmes, s’attardant moins sur ça que sur la manière dont il la regardait et sur le baiser qu’elle lui rendit avec autant d’avidité.

Avec son pouce, elle effaça la trace de son rouge à lèvres sur celles de Midas, en laissa une nouvelle en l’embrassant plus furtivement, et fit rouler ses yeux comme si ça la dérangeait qu’il lui rappelle à quel point elle était belle. Forcément, elle lui désobéit en lui donnant le nombre (pipé) de fois où il l’avait complimentée aujourd’hui "Au moins une centaine. Juré, je tiens pas les comptes." Battant des cils comme elle savait si bien le faire, sa main trouva la sienne, ses doigts comblant l’espace entre ses doigts, quand il la posa sur son flanc pour la caresser du bout des siens. Il fit naître un nouveau sourire sur son visage lorsqu’il nota celui qu’elle avait eu tout au long de la journée. C’était curieux, mais ça la toucha qu’il le lui dise comme ça. Ça lui fit même pudiquement baisser la tête pendant qu’elle lui avouait "Ouais, j’adore les mariages." Une information qui ne finirait pas en gros titres dans les magazines "Ça me rappelle des souvenirs." Pas que des bons. Elle ne s'y attarda pas, seulement elle ferma brièvement les yeux en pensant à son enfance et à son adolescence managées par un père dont la seule ambition était de vendre ses gamins pour récolter de quoi faire tourner son foyer. Le wedding band était un plan merdique à bien des égards, pourtant pendant des années, ça avait bien fonctionné pour les Carter. Elle rouvrit les yeux, marqua l’emphase sur la première partie de sa phrase, reposant son bras sur l'épaule de Midas en même temps "J’ai assisté à tellement de mariages tout au long de ma vie. Je saurais même pas te donner un compte exact, je sais juste que de mes cinq à mes seize ans, c’était tous les weekends sans aucune exception." Autant dire que chez les Carter, tomber malade le weekend était interdit. Ça la fit rire subrepticement d’y songer, même si ça n’avait rien de drôle sous certains aspects. Elle se recentra sur le présent, reléguant ce passé bien loin de ses préoccupations immédiates, son rire s’éteignant graduellement pour qu’elle lui dise, beaucoup plus sérieusement "J’en avais besoin. De quelque chose qui se passe aussi bien, de quelque chose d’aussi positif que ça. C’était parfait, non ?" Elle le lui demanda avec un doute réel dans le ton de sa voix, tenant sincèrement à avoir son avis, cherchant la réponse par anticipation en plongeant ses yeux dans les siens "Ça m’a fait du bien." Et immédiatement, ses sourcils se fronçant, elle lui demanda "C’était pas trop l’enfer pour toi ? Je me moque des copines de nana, mais je sais qu’elles sont collantes." Et qu’il aimait la discrétion. Ça lui fit réaliser qu’elle ne l’avait pas remercié d’avoir accepté de recevoir autant de monde ici, dans son château, perché à l’abri du commun des mortels. Son nez s’approcha du sien, sa main qu’elle avait posé sur son épaule changea da trajectoire pour glisser à nouveau sur sa nuque pendant qu’elle lui murmurait "Merci pour elle d'avoir accepté qu’on organise tout ça ici." Si elle avait été en mesure de se joindre aux préparatifs, Jo était persuadée qu’elle n’aurait pas voulu un meilleur endroit que celui-là.


    i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.












    :sing::

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Midas Sterling
Midas Sterling
la nuit des temps
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(mine #32) right back in our rhythm without missing a step IAeu3cF Présent
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.)
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
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TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
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(05) harleen #2oscar #2jo #35nina #2aaron

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mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829303132333435

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money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

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olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

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missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptyJeu 1 Aoû 2024 - 14:55

Jo Carter adore ce message



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Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveia

« Elles vont m’en vouloir à mort de leur ravir la place, mais je suis prête à prendre le risque. » - « Tu pourras leur dire que c’est ma faute. » J’enroule un peu plus mes bras autour de sa taille. « Que j’arrive pas à garder mes loin de toi trop longtemps. » Loin de moi l’idée de passer pour un obsédé, un garçon lubrique aux yeux du troisième âge. Toutefois, l’excuse serait belle et bien fondée : si trop d’amies d’Ava Carter se succèdent, j’exigerai même de pouvoir alterner entre faire danser ces dames et rejoindre ma petite amie le temps d’une chanson. Je ne suis pas la star de la soirée, mais je n’en reste pas moins capricieux lorsqu’il est question de Joséphine. « Je compte pas t’empêcher de faire quoi que ce soit. C’est la fête, et t’es chez toi, en plus. » Et elle ne m’empêchera pas de danser avec une pré adolescente, ça je n’ai pas le moindre doute à ce sujet. Soucieux de faire les choses bien, attentif à ses sentiments, je me pose souvent les limites qui doivent être posées tout seul, comme un grand garçon, plus par véritable volonté de lui témoigner du respect que par crainte de représailles. Bien sûr, j’ai conscience d’être en couple avec une femme possessive. Toutefois, la peur d’avoir à gérer une crise de jalousie n’est pas la pierre angulaire de ma façon d’aborder les choses.

« Au moins une centaine. Juré, je tiens pas les comptes. » - « Cent ? » Je fronce les sourcils et secoue la tête de droite à gauche vivement. « C’est pas assez cent. Il va falloir que je relève le niveau. » Personne ne tient les comptes pour la simple et bonne raison que cela ne sera jamais trop : Jo mérite tous les compliments que je suis en mesure de faire surtout lorsqu’elle est apprêtée jusqu’au bout des ongles. Bien sûr, je suis un cliché : je la trouve belle quoi qu’elle porte et je la préfère encore sans le moindre bout de tissu sur le dos. Toutefois, j’ai conscience de l’énergie dépensée dans sa mise en beauté, elle plus encore que toutes les femmes.

Ce n’est pas ce point toutefois qui m’hypnotise et me fait esquisser des sourires franchement heureux à chaque fois que je pose les yeux sur elle ce soir. Non, c’est autre chose, cela tient dans sa façon de sourire à Ava, de laisser les émotions emplir son regard lorsqu’elle pense que personne ne la regarde – je la regarde tout le temps pour ma part – sa façon d’être heureuse, un peu plus proche de la Joséphine Carter que j’ai rencontrée que de celle qu’elle était ces derniers mois. Avec le recul, j’aurais dû me rendre compte que quelque chose clochait. Qu’elle n’était plus tout à fait elle-même, même si elle faisait bien semblant. « Ouais, j’adore les mariages. Ça me rappelle des souvenirs. » Sourcils froncés, je penche la tête sur le côté en l’interrogeant d’un regard. « J’ai assisté à tellement de mariages tout au long de ma vie. Je saurais même pas te donner un compte exact, je sais juste que de mes cinq à mes seize ans, c’était tous les weekends sans aucune exception. » J’écoute bien plus lorsqu’elle me parle que lorsque quiconque d’autre s’adresse à moi, si bien que je réalise ce dont elle parle, qu’il ne s’agit pas du mariage de ses parents ou de celui de quelqu’un d’autre parmi les siens. « Quand tu chantais avec tes frères, c’est ça ? » Cette époque-là, elle s’étend moins dessus que sur le reste. Je comprends un peu mieux pourquoi maintenant que je sais de quoi son père est capable. « Ce sont de bons souvenirs ? » La question n’est-elle pas légitime étant donné le tyran qu’était son père ? Etant donné la peur qu’il lui insuflait ? Elle le craint encore aujourd’hui malgré toute la force de caractère qui est la sienne, je n’ose imaginer la façon dont il la terrorisait quand elle n’était qu’une jeune adolescente.

« J’en avais besoin. De quelque chose qui se passe aussi bien, de quelque chose d’aussi positif que ça. C’était parfait, non ? Ça m’a fait du bien. » - « C’était parfait. » Je n’ai pas beaucoup de points de comparaison en termes de mariage. Ils ne sont pas légion dans la famille – même mon cousin s’est marié en secret sans organiser de cérémonie – et je ne fréquente que peu de couples, finalement. « Ava avait l’air heureuse. » N’est-ce pas la seule chose qui importe ? Elle avait l’air un peu perdue, mais heureuse. Et moi, j’ai trouvé qu’il y avait quelque chose de terriblement touchant dans sa façon de regarder Richie avec dans le fond de l’œil la certitude d’être au bon endroit malgré le flou constant que doit être son esprit. J’aime croire que, même si je perdais la tête, je continuerais à regarde Jo comme ça moi aussi. « C’était pas trop l’enfer pour toi ? Je me moque des copines de nana, mais je sais qu’elles sont collantes. » Je secoue la tête, loin de pouvoir qualifier cette journée et cette soirée d’enfer. Être au côtés de Jo pour ce genre d’événement me donne l’impression de faire réellement partie de sa vie, après des années à ne pas trop savoir ce que nous représentions l’un pour l’autre. « Merci pour elle d'avoir accepté qu’on organise tout ça ici. » - « Tu plaisantes ? C’est moi qui devrais te remercier, c’est tellement rare de voir cet endroit rempli. » Ma propriété est bien trop grande pour moi-seul, elle était même bien trop grande lorsqu’Olive vivait ici et elle l’est même pour deux, à mes yeux de garçon simple. Si je m’amusais à dresser la liste des pièces dans lesquelles je n’ai pas foutu les pieds depuis des mois, je crois que je pâlirais. « Ce me fait vraiment du bien de voir un peu de vie dans ma maison. C’est pas vraiment le genre d’endroit auquel on pense quand on pense "chaleureux". » Et c’est pourtant le genre d’environnement dans lequel j’ai grandi et que je voudrais reproduire pour Posy depuis sa naissance et, depuis plus récemment, pour Jo.




:sing: :
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Jo Carter
Jo Carter
la folie des grandeurs
la folie des grandeurs
  
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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POSTS : 10983 POINTS : 2510

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 12b5ed7968518eac018b7422796b283815ad00d9
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 14b0d816f9b97eff952b17c444f189caf7edb646
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

ollie#2midas#35micah#11megan#14cleo#2kendall

RPs EN ATTENTE :
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LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 5kwj
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 2149d88d7c2509e7bb2ac07d09b473de3c9b3308
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptyVen 2 Aoû 2024 - 9:14

Midas Sterling adore ce message



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@Midas Sterling (crédit gif/rampld)

Jo laissa filer un léger rire, pas tellement étonnée de recevoir l’autorisation de se servir de l’excuse que Midas venait de lui donner pour contraindre le club du troisième âge à battre en retraite quand ses membres les plus assidues auraient enfin mis le grappin sur lui. Son expression redevint brièvement sérieuse, mais elle ne se dérobas pas de ses bras, s’accrochant au contraire un peu plus fermement à son cou. Ses yeux sondèrent les siens, et elle lui demanda "Elles vont te mettre en garde. Peut-être même te menacer un peu. T’es prêt ?" Elles feraient ce qu’Ava ne pouvait pas faire, ce que ses frères ne feraient probablement jamais, même s’ils finissaient par rencontrer le petit ami de leur soeur un jour : lui dire que s’il comptait lui briser le coeur, il pouvait s’y risquer si ça lui chantait, mais qu’il prendrait le risque d’être non seulement maudit sur plusieurs générations, victime toute trouvée de l’infortune qui lui serait réservée le cas échéant, mais aussi le centre des discussions jusqu’à ce que mort s’en suive. En somme, elles feraient ce qu’Olive avait tenté de faire avec Jo il y avait des mois de ça en se pointant chez nana pour lui rappeler que dans leur histoire, c’était toujours elle qui était vouée à porter le mauvais rôle parce qu’elle était une garce revendiquée, une emmerdeuse de premier ordre, aussi possessive qu’elle était bornée. C’était (enfin) au tour de Midas, nul doute que ça voulait dire quelque chose, apposant définitivement le sceau de la relation sérieuse sur la leur.

Plus que ne l’étaient leur préoccupation immédiates en tout cas. Elle battit encore une fois des cils pour lui donner son aval sur les compliments qu’il pouvait faire pleuvoir sur elle matin et soir sans qu’elle ne s’en lasse, avant de dériver sur tout autre chose, ce à quoi elle pensait depuis que ce mariage était dans les tuyaux "J’ai l’impression que c’était il y a un million d’années." Elle se demandait comment ses frères allaient parfois, juré. Elle se demandait si Lee allait bien surtout, s'il avait quittait Sydney et s’il savait que leur père avait réussi à la retrouver. Elle se demandait ce que ça lui faisait s’il savait étant donné que, plus que les autres, il savait ce que ça impliquait vraiment de vivre avec la présence de leur père à quelques mètres à peine. Ce n’est pas pour autant qu’elle chercherait à le contacter, mais elle pensait à lui, aujourd’hui assurément plus que les autres jours, comme si elle regrettait qu’il ne soit pas là pour assister à la fête qu’il aurait adoré parce que lui aussi aimait ça, les mariages. Ils auraient peut-être chanté ensemble, ils auraient sans aucun putain de doute épaté la galerie en le faisant. Mais elle n’avait invité personne de sa famille, et c’était une bonne chose ; elle préférait celle de Richie, ses enfants la traitant comme l’une des leurs même si elle ne faisait pas toujours de gros efforts pour se mélanger à eux. Elle revint à son point de départ, se recentrant sur le visage de Midas qui la questionnait. Elle hésita. Ce n’était pas si bizarre que ça compte tenu de ce qu’il savait à propos de tout ça, mais quand on savait à quel point Jo était tranchée dans ses réflexions, qu’elle marque nettement le doute avant de lui répondre, c’était curieux "Ces moments-là étaient pas si pires, c’était même les meilleurs." L’après était souvent plus compliqué à gérer, l’humeur de son père dépendant souvent de ce que ses enfants avaient donné en terme d’énergie sur scène. Elle prit une profonde inspiration, eut un nouveau sourire en se repositionnant un peu mieux sur les genoux de Midas, ses bras en quinconce sur ses épaules pour qu’elle puisse elle-même entourer l’un de ses propres poignets avec ses doigts "Ça me dérange pas de parler de ça. On était vraiment bons en fait, quand j’y pense." Elle, elle était une putain de star. Un court moment encore, elle réfléchit, et puis elle finit par lui dire avec un sourire en biais "Tu voudras voir ? Nana a des vidéos au grenier. Je m’y suis jamais intéressée, mais on peut corriger ça." On parce qu’elle ne regarderait pas tout ça seule. Elle essayait de soigner son déni sur tout un tas de domaines de son existence, mais elle n’ignorait pas que replonger là-dedans sans filet de sécurité, sans Midas pour l’aider à se concentrer sur le positif de cette époque, ça raviverait tout le mauvais et qu’en ce moment, ça ne lui rendrait pas service.

Pas comme aujourd’hui, ou son sourire semblait être le seul accessoire qui s’accordait à merveille à sa robe de satin. Elle ne voulait pas être la seule à ressentir tout ça, s’appliquant à recueillir les impressions de Midas qui la rassura sur le bon déroulé des événements, sur ses observations qui la firent sourire un petit peu plus, surtout quand il pointa le bonheur de sa grand-mère "Elle l’est vraiment. C’est marrant comment ça fonctionne, les sentiments." Elle butait sur tout Ava, distraite par les questions qu’elle se posait perpétuellement dans son esprit malade, mais quand ses yeux se posaient sur Richie ? Jo voyait qu’elle ne se demandait pas si elle l’aimait ou pas, c’était une évidence que sa maladie ne pouvait gommer — et sa petite-fille le comprenait sans aucun effort, l’errance de ses sentiments à l’encontre de celui sur lequel elle était assise ici, maintenant, l’ayant peut-être poussée jusqu’à craindre s’être trompée à une époque donnée, mais pas à ignorer qu’il y avait toujours eu quelque chose, et qu’il y aurait toujours quelque chose "Tu devrais faire ça plus souvent, inviter, faire des fêtes." Pas du genre de celles d’Ibiza — elle ne ferait pas la blague promis, elle apprenait à laisser de côté l’ironie quand ce n’était pas nécessaire. Mais elle ne l’avait jamais entendu raconter des anecdotes sur des fêtes familiales qui s’étaient déroulées ici. Ils étaient plutôt nombreux chez les Sterling-Taylor, la vie serait bien vite insufflée à cet endroit qui paraissait too much au commun des mortels — à Jo elle-même, elle l'avait toujours dit. Elle savait cependant que la famille de Midas était importante pour lui, ça ne tenait qu’à un peu d’organisation de délocaliser les rassemblements familiaux du ranch de son oncle et de sa tante à ici, au moins pour quelques occasions. Elle n’avait pas son mot à dire là-dessus alors elle ne le donna pas, elle se jura toutefois de soulever la question un jour où l'autre, si elle le surprenait encore à regretter l’isolement dans lequel le plongeait son château. En attendant, elle lui assura "Personne s’est plaint du manque de convivialité aujourd’hui. Au contraire, tout le monde va repartir avec des étoiles dans les yeux." Et c’était le but au fond, que ce mariage devienne l’un des plus jolis auxquels less convives n’avaient jamais assistés.

Pour Jo, il le serait, et pas seulement à cause de l’affection qu’elle avait pour les jeunes mariés "OK, maintenant, j’ai deux options à te proposer." Etant donné l’espièglerie dans son regard, il ne fallait pas s’attendre à ce qu’elle reste sur la ligne sérieuse qu’ils avaient prise ces dernières minutes. Ses bras remuant sur ses épaules, ses mains se posant successivement sur la nuque de Midas et sur le côté de son cou, elle reprit à un volume au-dessous de son ton habituel pour préserver le secret de son plan qu’elle partagea avec lui sans délai, ses yeux quittant les siens pour se poser sur sa bouche qu’elle finissait toujours pas convoiter, s’efforçant cependant à ne pas céder cette fois "Soit, on rejoint le reste des invités pour les rendre verts de jalousie grâce à notre charisme et notre sexiness. On en profite pour danser tous les deux avant que les mégères viennent t’accaparer pour le restant de la soirée." Elle ne précisa pas que si elle voyait une seule main aux fesses échapper à l’une d’elles, elle leur pétait le dentier, même si elles les aimaient de tout son coeur — ça ne l’avait jamais arrêté d’en coller une à qui que ce soit, c’était un fait — puisque son expression changea sous l'anticipation de sa deuxième option qu’elle prononça sur un autre ton encore, sa voix devenant velours, ses yeux remontant enfin dans les siens "Ou soit, on trouve un endroit où on pourra faire autre chose que danser, si tu vois ce que je veux dire." Il voyait, pas la peine de lui faire un dessin. Pourtant, elle roula juste un peu des épaules en replaçant ses bras sur les siennes, ses sourcils remuant en même temps, et en perdant son sourire pour lui faire avec un sérieux galvaudé par ses sous-entendus — qui n’en étaient plus vraiment à ce stade, il suffisait de l’écouter lui expliquer "Ça se fait dans tous les mariages, c’est la tradition que le mec et que la nana les plus sexy de la fête s’éclipsent pour faire des cochonneries à l’abri des regards. Hé, tu nous as bien regardés ?" Ils étaient les plus sexy, il fallait être bigleux pour ne pas le voir, franchement "On peut pas faire l’impa —" "Désolé de vous interrompre." Sans délai, les yeux de Jo roulèrent dans leurs orbites en même temps que sa tête retomba mollement sur son épaule, un soupir audible faisant vibrer son décolleté plongeant et frémir ses narines. Elle la tourna vers le chef de la sécurité du domaine qui lui coupait l’herbe sous le pied, l’empêchant de dégainer toutes ses cartes pour continuer de convaincre Midas d’adhérer à son caprice. Elle ne lui demanda pas ce qui se passait à voix haute, pas uniquement parce qu’elle n’était pas sa big boss, mais parce qu’elle se contenta de le faire du regard, attendant qu'il daigne leur dire ce qui se passe. Ce qui ne tarda pas "J’ai préféré m’assurer de la chose avant d’intervenir pour de bon : il y a un homme qui vient de se présenter au poste de sécurité et qui se prétend de votre famille." "De ma famille ?" Il y eut un blanc du côté de Jo, et avant même d’y songer, connaissant déjà la réponse à sa question en vérité, elle se leva brusquement des genoux de Midas "Votre père ?" Merde "Il insiste." Je sais. Je sais, putain, c’est ce que Jo pensa sans le dire, le sourire qui ne l’avait pas quitté de la journée s’évaporant soudain, la légèreté des secondes d’avant fuyant ses épaules pour que ces dernières deviennent lourdes quand elle lui dit avec fébrilité, la tordant assez pour la faire davantage passer pour de l’impatience "Partez devant, je vous suis. Je gère, reste avec les autres, et réfléchis à ma proposition pour qu’on s’y mette dès mon retour, hm ?" C’est pas la peine de me suivre, s’empêcha-t-elle de dire à Midas vers qui elle s’était tournée à nouveau pour confronter ses yeux en essayant de ne pas paraître trop affolée, en essayant aussi de lui faire comprendre qu’elle ne le repoussait pas, même si soudainement, elle se sentait comme en état d’urgence. Quand bien même, elle s’inclina sur lui pour lui voler trois baisers consécutifs, ses deux tenant son visage plus fermement sur le dernier, et lui murmura "Je reviens." avant de quitter leur bulle pour rejoindre le chef de la sécurité qui l’attendait à quelques mètres de là, et qui lui expliqua plus en détails ce qui se passait vraiment.


    i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.












    :sing::

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Midas Sterling
Midas Sterling
la nuit des temps
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(mine #32) right back in our rhythm without missing a step IAeu3cF Présent
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.)
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
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TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
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(05) harleen #2oscar #2jo #35nina #2aaron

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mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829303132333435

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money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

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olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

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missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

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― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

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DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 17/08/2022
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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptyVen 2 Aoû 2024 - 18:03

Jo Carter adore ce message



right back in our rhythm without missing a step
Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveia

« Elles vont te mettre en garde. Peut-être même te menacer un peu. T’es prêt ? » - « Me menacer ? » Je lève un sourcil, un peu long à la détente pour comprendre là où elle veut en venir. « Oh. Me mettre en garde, je vois le genre. » Je n’ai jamais eu ce genre de mise au point avec la famille de qui que ce soit puisque jamais avant Jo je n’avais entretenu une relation si sérieuse, mais j’imagine dans les grandes lignes ce que peuvent dire des proches protecteurs. « Je vais les mettre dans ma poche tu verras. Les mère et les grands-mères m’adorent. » Un autre de crâneur sur les lèvres, je m’appuie un peu plus contre le dossier de mon fauteuil et passe un bras derrière ma nuque, cherchant à adopter la position d’un Apollon. Prétendre être – un peu – prétentieux plaît aux femmes, ça je l’ai appris lorsque j’étais un jeune adolescent qui comprenait qu’il avait enfin passé l’âge ingrat et que, peu à peu, il intéressait les femmes. Adieu les joues rondouillardes, bonjour les regards de tombeurs. Comme tout jeune homme avant moi, j’ai longtemps avancé à tâtons dans les jeux de séduction, sans jamais devenir un vrai Don Juan. Toutefois, dois admettre que je suis gâté et que, la plupart du temps, je n’ai jamais trop d’effort à fournir dans ce registre-là.  

« Ces moments-là étaient pas si pires, c’était même les meilleurs. » A chaque fois que je crois comprendre un peu comment fonctionnaient – et fonctionnent encore – les Carter, Jo me surprend d’une nouvelle déclaration comme celle-là. Que j’aimerais pouvoir remonter le temps et observer toute son adolescence pour pouvoir la comprendre au mieux et, ainsi, devenir exactement l’homme dont elle a besoin. « Ça me dérange pas de parler de ça. On était vraiment bons en fait, quand j’y pense. Tu voudras voir ? Nana a des vidéos au grenier. Je m’y suis jamais intéressée, mais on peut corriger ça. » - « T’auras pas à me le proposer deux fois. » Un sourire sincère étire mes lèvres. J’ai vraiment hâte de découvrir à quoi elle ressemblait, la Jo haute comme trois pommes qui, j’en suis sûre, se comportait déjà sur scène comme une vraie star. « Ils te manquent parfois ? Tes frères. » Si parler de ses parents est un sujet compliqué, je m’aventure aujourd’hui sur une pente entièrement différente. De là à dire qu’elle est plus sûre, je n’en sais fichtrement rien. « Y’en a pas que tu voulais inviter ? » S’est-elle privée de peur que tout cela parvienne aux yeux de ses parents ? Leur en veut-elle à tous sur un pied d’égalité ou les choses sont-elles plus compliquées que ça ? Je n’ai pas envie de la brusquer, mais je veux tout savoir d’elle. Je viens moi aussi d’une fratrie nombreuse, et je suis bien placé pour savoir que les interactions entre les uns et les autres sont souvent compliquées et disparates.

« Elle l’est vraiment. C’est marrant comment ça fonctionne, les sentiments. » - « Je me souviendrais que je t’aime, moi aussi, tu sais. » Si j’étais à la place d’Ava. Si un jour je perds la tête, suis atteint d’une maladie ou devient simplement un peu plus sénile avec les années. J’oublierais peut-être alors le prénom de Jo, l’endroit où nous nous sommes rencontrés, toutes nos disputes et certains de nos instants de bonheur, mais je suis certain que, à la façon d’Ava Carter, mon cœur se souviendra qu’il est épris d’elle. « Tu devrais faire ça plus souvent, inviter, faire des fêtes. » - « Des fêtes, hein ? » En dehors des obligations dues à mon statut de célébrité, je ne suis pas un grand fêtard et Jo le sais. Je me contente de choses bien plus simples, de la compagnie du cercle restreint de personnes que j’aime de tout mon cœur. « Tu parles de soirées avec le gratin du milieu, ou tu penses davantage à organiser Noël ou Pâques ici ? » Les fêtes chrétiennes se fêtent toutes par un repas de famille, chez les Sterling-Taylor. Parfois, la famille de mon père fait le déplacement depuis la Nouvelle-Zélande mais les uns et les autres grandissant et vieillissant, cela devient plus rare. « Peut-être un jour. Mais pas cette année : cette année, je veux te faire découvrir les fêtes comme on les fait traditionnellement chez nous. » Et cela n’implique pas une villa hors de prix. « Personne s’est plaint du manque de convivialité aujourd’hui. Au contraire, tout le monde va repartir avec des étoiles dans les yeux. » - « Merci. » Pour ses compliments. D’avoir mis un peu d’âme chez moi. De m’enchanter comme elle le fait ce soir. En guise de simple explication, je l’embrasse à bouche que veux tu et je la resserre un peu plus fort contre moi.

« OK, maintenant, j’ai deux options à te proposer. » - « Hum ? » Curieux, espiègle, je l’interroge d’un regard et lève un sourcil. « Soit, on rejoint le reste des invités pour les rendre verts de jalousie grâce à notre charisme et notre sexiness. On en profite pour danser tous les deux avant que les mégères viennent t’accaparer pour le restant de la soirée. » Cette option-là, la plus raisonnable à n’en pas douter, et forcément celle qui lui plait le moins. Je le perçois sans mal à sa façon de faire traîner sa phrase, d’installer un peu de suspens avant de me dire ce qu’elle a réellement derrière la tête. « Ou soit, on trouve un endroit où on pourra faire autre chose que danser, si tu vois ce que je veux dire. » - « Non, il va falloir que tu m’expliquer. » Pour prouver que je ne fais que jouer avec elle et que j’ai au contraire très bien compris, je fais courir mes doigts le long de sa colonne vertébrale. « Ça se fait dans tous les mariages, c’est la tradition que le mec et que la nana les plus sexy de la fête s’éclipsent pour faire des cochonneries à l’abri des regards. Hé, tu nous as bien regardés ? On peut pas faire l’impa — » J’étais prêt à l’attirer contre moi pour l’embrasser à nouveau, à faire remonter ma main le long de sa nuque, avant de caresser sa gorge dévoilée. Son corps contre le mien échauffe mes pensées depuis qu’elle s’est assise sur mes genoux et il va sans dire qu’elle ma conquis à sa cause, avec ses deux propositions. « Désolé de vous interrompre. » Mes lèvres sur le point de fondre dans le cou de Jo, je suis interrompu – et elle aussi – par la voix de l’un des deux agents de sécurité en poste ce soir. Je ressens une vraie affection pour ces hommes que j’ai appris à connaître et que je côtoie au quotidien. Mais sur l’instant, je le déteste de tout mon cœur de nous avoir interrompus dans un moment si prometteur. « J’ai préféré m’assurer de la chose avant d’intervenir pour de bon : il y a un homme qui vient de se présenter au poste de sécurité et qui se prétend de votre famille. » Ce n’est pas moi qu’il regarde – me concernant, la chose aurait été une surprise mais pas un problème. De mes cousins, mon oncle ou mon père, il n’y a personne que je n’ai réellement aucune envie de voir. Même Oscar, bien que nos rapports soient compliqués, ne serait pas mal reçu chez moi. Mais il regard Jo et je sens son corps se contracter contre le mien. « De ma famille ? » - « Votre père ? Il insiste. » Muet, j’écoute le bref échange, inquiet pour ma petite amie dès que nous apprenons l’identité du trouble-fête. « Partez devant, je vous suis. Je gère, reste avec les autres, et réfléchis à ma proposition pour qu’on s’y mette dès mon retour, hm ? » Je garde sa nuque prisonnière de mes doigts quelques secondes de plus, le temps de l’interroger rapidement. « Ça va ? » C’est bien peu. Mais comme elle je suis sous le coup du choc et je cherche avant tout à savoir à quel point elle est agitée, à quel point la présence de son géniteur en ces lieux et ce soir la remue et met en péril sa guérison. « Je reviens. » Elle s’enfuit pour échanger quelques mots que je ne capte pas avec l’agent de sécurité et, soucieux, je me redresse et approche d’eux, les mains dans mes poches. « Je viens avec toi. » Ce n’est pas une question. Pas alors que je sais que son père lui a fait du mal, dans tous les sens du terme. Il n’est pas question qu’il terrorise sa fille sur ma propriété, et il est encore plus hors de question qu’il lève la main sur elle ou la brutalise. Je lui démolirai le portrait avant que cela n’arrive. « Je sais que t’es indépendante, que t’as pas besoin de moi et que tu l’as géré pendant plus de vingt ans sans avoir besoin de mon aide et je remets pas ça en question. Mais je viens avec toi. »




:sing: :
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Jo Carter
Jo Carter
la folie des grandeurs
la folie des grandeurs
  
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 5
POSTS : 10983 POINTS : 2510

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 12b5ed7968518eac018b7422796b283815ad00d9
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 14b0d816f9b97eff952b17c444f189caf7edb646
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

ollie#2midas#35micah#11megan#14cleo#2kendall

RPs EN ATTENTE :
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LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 5kwj
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 2149d88d7c2509e7bb2ac07d09b473de3c9b3308
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
https://www.30yearsstillyoung.com/t42752-jo-carter

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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptySam 3 Aoû 2024 - 11:24

Midas Sterling adore ce message



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@Midas Sterling (crédit gif/rampld)

Difficile de ne pas être d’accord avec Midas quand il prétendait que les mères et les grands-mères l’adoraient. La sienne, de grand-m!ère, avait du mal à retenir son prénom, elle parvenait toutefois à le trouver assez charmant pour être ravie de le voir aux côtés de sa petite-fille quand elle le ramenait à la maison. Il ne risquait pas grand-chose avec les autres membres du club du troisième âge qui faisait partie de l’entourage d’Ava à dire vrai, mais ça la faisait sourire de l’imaginer au milieu de certaines d’entre elles, à se défendre de ses bonnes intentions auprès de cette petite-fille de substitution qu’elles avaient gagnée en étant l’amie d’Ava. On prenait très rarement l’initiative d’oeuvrer pour l’amour-propre et la dignité de Jo, c’était une conjoncture qui lui ferait bien plus plaisir que ça ne l’agacerait d’être un peu défendue, pour une fois, même si elle serait inéluctablement la première à toutes les envoyer paître si elles finissaient par se montrer trop insistantes, trop indiscrètes, trop tactiles aussi. Elles connaissaient les mamies et leurs mains baladeuses, elles étaient prêtes à leur croquer les doigts si ça les vaccinaient de les laisser traîner du côté de la caricature d’Apollon — caricature parce qu’il faisait semblant à ce moment-là, pas caricature parce qu’il ne pouvait pas rivaliser, Jo était la première à le trouver beau comme un dieu et ce sans regretter un seul putain d’instant de manquer d'objectivité— sur lequel elle était assise à ce moment-là.

"Pas tous." Elle précisa tout de suite après "Pas les plus vieux." Est-ce que ça faisait d’elle une mauvaise soeur d’oser admettre qu’elle ne plaçait pas tous ses frères sur le même pied d’égalité ? Elle n’avait jamais fait semblant avec eux, elle ne commencerait pas maintenant, même si une petite part d’elle était un peu gênée que sa famille soit tellement dysfonctionnelle qu’elle était obligée de choisir qui était le moins pire pour désigner son préféré "Lee me manque de temps en temps." admit-elle finalement, un semblant de regret dans la voix, mais un semblant seulement. Le moins pire donc, mais pas le meilleur non plus. Parce qu’il ne lui avait jamais pardonné d’être partie alors qu’il était le plus à même de comprendre pourquoi elle l’avait fait, parce qu’il vantait son talent sans pour autant vouloir qu’elle réussisse vraiment, envieux comme on lui avait appris à l’être. Elle lui en voulait moins que les autres, elle avait une tendresse évidente pour lui ; elle l’avait défendu plus que les autres, aussi. D’une légère secousse de sa tête, elle chassa ça de son esprit, tapota ses lèvres l’une contre l’autre en tachant de ne pas se laisser atteindre par tout ça dans l’immédiat, retrouvant vite sa rancune, la portant en bandoulière lorsque Midas lui demanda si elle n’avait pas eu envie d’inviter des membres de sa famille. Elle lâcha un rire par les narines, ses lèvres opérant une sorte de sourire inversé qui témoignait de son amertume à ce sujet "Ils ont voulu la parquer dans une maison de retraite. J’aurais pas supporté de les voir se pavaner à ses côtés en prétendants être heureux pour elle quand la seule solution viable à leurs yeux, c’était de la laisser crever dans son coin." Personne n’aurait jamais été la visiter, personne n’aurait essayé qu’elle garde un semblant d’activité pour rendre la maladie moins pénible sur la durée, même si les miracles n’existaient pas "Je veux pas d’eux près d’elle. Pas tant qu’ils lui présentent pas d’excuses en tout cas. Ils ont jamais pris de ses nouvelles, tu sais ça ?" Il ne savait pas, non. Il savait maintenant. Il lui avait demandé de la transparence, alors elle lui en donnait.

Elle voulait continuer à se concentrer sur le positif. Sur sa grand-mère, sur Richie, sur cet amour arrivé sur le tard qui la rendait béate d’admiration sans trop savoir pourquoi ça la touchait autant si ce n’était parce que ça insufflait quelque chose de sain, de beau et de doux dans le coeur de la femme qui lui avait apporté le plus de choses dans sa vie. Elle s’en étonna d’ailleurs, que malgré la maladie, elle soit capable d’aimer Richie sans même douter de son rôle auprès d’elle, sans le remettre en cause. Ce que Midas apporta à sa réflexion, ça lui fit le regarder un peu plus longtemps, ses yeux brillants un peu plus fort sur l’instant "Me fais pas ça, d’accord ? Perdre la boule, tomber malade ou devenir sénile." L’un des trois arriveraient possiblement, c’était la vie qui voulait ça. Elle n’avait toutefois pas envie de vérifier si ce qu’il lui disait maintenant était la vérité. Si le cas échéant, ses yeux brilleraient toujours de cette façon là quand il la regardait — et inversement, elle était persuadée que son coeur ne l’oublierait pas si sa tête finissait par exploser sous la pression de ce qui y tournait sans cesse depuis des mois maintenant, ou pire que ça encore. Elle ajouta, son bras se resserrant sur ses épaules "Je peux pas te le faire promettre, mais si ça arrive un jour, je veux que tu saches que je te botterais le cul si fort que tu seras obligé de te souvenir de moi quoi qu'il arrive, c’est bien compris ?" Elle n’avait pas envie d’enrober sa déclaration de papillons roses et de petits coeurs cette fois, elle voulait qu’il sache qu’elle mettrait son caractère de cochon au service de la lutte contre une quelconque dégénérescence, une quelconque pathologie, et que si elle devait botter des culs,  dont le sien, elle le ferait sans craindre de perdre. Elle ne pouvait pas lui faire promettre en effet, mais elle pouvait se montrer résolue à soigner son esprit s’il divaguait. Enfin, elle laissa un sourire lui échapper, ses yeux fuyant un instant les siens quand elle les roula pour reprendre sur le sujet des fêtes qu’elle avait mentionné pour donner un peu de vie à sa résidence "Tu sais très bien de quel genre de fêtes je veux parler." De fêtes de famille. Elle n’avait pas envie de le dire à voix haute, comme si ça répandait les graines de quelque chose qu’elle savait trop hors de portée pour elle si ça se mettait à fleurir au milieu de cette histoire qui était la leur, et qui était assurément sérieusement, qui restait tout de même toute jeune, si elle prenait le temps d’y réfléchir. Elle revendiquait la place qu’elle occupait sur cette foutue planète Jo, seulement quand il s’agissait de la famille de Midas, elle avait peur d’être de trop, et ce dans plusieurs sens. Trop névrosée, trop vulgaire, trop exubérante, trop-trop-trop. Ça ne l’empêcha pas d’opiner "L’avantage, c’est que je connais déjà le ranch. Et puis, c’est officiel : l’oncle Bill m’adore, j’ai déjà gagné le gros lot." L’oncle Bill devait adorer quiconque se présentait à lui avec un intérêt certain pour ses bêtes, et comme elle avait joué le jeu Jo, elle avait fait sensation. Elle lui dit juste après "Je veux les découvrir avec toi, vos traditions." Comme si ce n’était pas évident, elle voulait qu’il soit rassuré que, malgré ce que lui inspirait la famille dans sa globalité, n’ayant pas eu le modèle rêvé, elle serait de la partie à n’en pas douter.

Ce sont ses remerciements et son baiser qui la vit pencher vers sa malice habituelle pour mettre en route un plan d’action qu’elle ferait basculer selon son bon plaisir. À savoir qu’ils ne retourneraient pas à la fête avant un bon bout de temps vu comment c’était parti. Elle déchanta très vite en sentant la tension les envelopper et l’air grave de l’agent de sécurité la tirer des bras de Midas qu’elle laissa derrière elle le temps d’un instant. Elle le rejoignit de quelques pas et ne l’entendit que d’une oreille, rien d’autre que concentrée sur Midas qu’elle voyait déjà arriver vers eux, les mains dans les poches. Sauf que sa nonchalance ne la trompait pas, et qu’elle anticipa ses paroles avant même de les entendre, ces dernières s’entrechoquant à son refus qu’elle lui donna en secouant la tête "Non." Immédiatement, elle contourna l’agent de sécurité pour se placer devant lui quand il s’arrêta "Et moi je sais que je t’ai dit que je partagerai mes fardeaux à l’avenir, mais je veux pas partager celui-là, pas ce soir." Est-ce qu’elle avait le choix ? Pas quand un mouvement par-dessus l’épaule de Midas lui fit brusquement relever la tête "C’est un vrai casse-tête pour rentrer dans cette maison. Si on peut vraiment qualifier tout ça de maison." L’envie était palpable dans le ton rauque de la voix de l’homme qui rentra soudain dans son champ de vision "Je croyais que vous lui aviez refusé l’accès à la résidence ?" Jo s’adressa à l’agent de sécurité qui ne sut quoi répondre alors que son père s’avançait sur la terrasse avec le sourire charmeur qui était le sien, sa classe sublimant son entrée qu’il fit avec la discrétion des grands prédateurs. Habillé d’un costume à la hauteur de son charisme, gris comme les reflets qu’il avait dans ses cheveux noir de jais, c’est à pas de loup qu’il s’avança vers le trio, son regard rivé sur sa fille qu’il toisa de bas en haut. La jeune femme en eut la chair de poule, et c’était visible, sa robe ne laissant pas grand place à l’imagination, et sa peau réagissant à l’aura de l’homme qui s’avançait encore plus près "J’ai appris que ce n’était pas toi la star de la soirée, mais comme à ton habitude, tu ne peux pas t’empêcher de briller." Dans ses yeux, Jo pouvait deviner ce qu’il pensait vraiment et le mot salope lui fut transmis quand il insista, la désignant d’une grande ouverture de bras "Pas l’ombre d’une fausse note, ça aussi, c’est une habitude — et bien, enchanté." Il sourit soudain, détournant ses bras de Jo pour les ouvrir en direction de Midas qu’il regarda bien en face, ses yeux noirs s’opposant au bleu clair des siens. Son expression devenant plus détendue, mais pas moins inquiétante aux yeux d’une Jo qui sentait son coeur taper contre ses côtes, le visage bronzé du père Carter se redressant face à celui du petit ami de sa fille à qui il tendit la main pour la lui serrer "Les présentations n’ont jamais été officiellement faites, mais j’ai beaucoup entendu parler de toi, mon garçon." Mon garçon. Jo eut comme un sursaut rentré, sa peau frissonnant pour de bon sous le tissu satiné de sa robe "Pas par Jo, bien sûr. Elle tient à son jardin secret comme moi je tiens à elle. Elle est la prunelle de mes yeux, j’imagine que tu me comprends." Difficile de ne pas y déceler un sous-entendu. Il se stoppa pour, cette fois, prendre un peu de recul et les regarder tous les deux "C’est vrai ce qu’on dit, vous allez encore mieux ensemble en vrai qu’à la télévision." Et ça, ça le fit rire, son pouce et son index venant pincer le bout du nez de sa fille dans un geste qu’elle ne lui connaissait pas : affectueux pour de faux, exécuté pour ingénieusement forcer le contact entre sa peau et la sienne. Ça eut l’effet escompté, et elle se raidit le temps d’une seconde à peine. En vérité, juste le temps de repousser sa main de son visage en se plaçant instinctivement devant Midas sur qui elle posa la sienne pour le faire reculer avec subtilité. Rejoins les autres, je gère, c’est ce qu’elle lui ordonna quand ses yeux se télescopèrent aux siens.


    i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.












    :sing::

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Midas Sterling
Midas Sterling
la nuit des temps
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(mine #32) right back in our rhythm without missing a step IAeu3cF Présent
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.)
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
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TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
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mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829303132333435

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olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptyMar 6 Aoû 2024 - 18:16


right back in our rhythm without missing a step
Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveia

« Pas tous. Pas les plus vieux. Lee me manque de temps en temps » Les moments où elle parle de sa famille sont d’une rareté qui me pousse à me taire pour la laisser parler. Je n’ai pas envie de l’interrompre et, ce faisant, qu’elle réalise qu’elle en a dit plus qu’elle n’est prête à en dire et qu’elle se referme comme une huître. Alors je l’écoute, muet, mes bras passés autour de son corps et mes yeux qui la dévorent du regard. « Ils ont voulu la parquer dans une maison de retraite. J’aurais pas supporté de les voir se pavaner à ses côtés en prétendant être heureux pour elle quand la seule solution viable à leurs yeux, c’était de la laisser crever dans son coin. » Le pardon n’est pas la spécialité de Jo - elle est rancunière, bien plus que je ne le suis - mais, dans le cas présent, comment lui en vouloir ? Comment ne pas considérer qu’elle a raison et que ce serait trop facile de laisser ses frères revenir dans la vie des deux femmes maintenant en se donnant le beau rôle ? En mettant sous le tapis qu’ils n’ont pas été là quand la santé d’Ava Carter a commencé à décliner et que Jo, toute jeune femme, aurait eu besoin d’aide ? De ne pas être la seule à s’occuper de sa grand-mère ? Je ne lui jette pas la pierre, pas plus que je n’essaie de la convaincre de leur accorder le pardon. C’est son état d’esprit à elle que je veux comprendre, duquel je désire tout savoir : eux ne m’importent pas vraiment. « Je veux pas d’eux près d’elle. Pas tant qu’ils lui présentent pas d’excuses en tout cas. Ils ont jamais pris de ses nouvelles, tu sais ça ? » Je hoche la tête, pas parce que je maîtrise les Carter et leur attitude sur le bout des doigts, mais parce que je l’ai deviné ou en tout cas que je ne suis pas vraiment surpris ; la rancoeur de Jo prend forcément sa source dans une multitude de crasses et dans un sentiment d’abandon profondément ancré en elle. « Lee - c’est le plus jeune c’est ça ? - t’as pas envie de le revoir ? » Admettre qu’il lui manque et dire qu’elle est prête à avancer avec lui sont deux choses différentes et je ne tire aucune conclusion de la première. « Tu pourrais le faire, ça veut pas dire que t’es obligée de lui accorder ton pardon pour autant. » J’aurais du mal à pardonner Oscar pour l’attitude qu’il a eu avec moi ces dernières années et, pourtant, si l’occasion de passer un peu plus de temps avec lui pour essayer de recoller les morceaux m’était donnée, je la saisirais.

« Me fais pas ça, d’accord ? Perdre la boule, tomber malade ou devenir sénile. » J’esquisse un sourire avant de déposer un baiser dans sa nuque. « Si on a assez de temps ensemble pour que ça arrive, je serai reconnaissant quoi qu’il en soit. » Si je peux grandir, construire une famille à ses côtés, alors je me moque de ne pas m’en aller paisiblement dans mon sommeil à quatre vingt dix ans. S’il s’agit du prix à payer, je suis prêt à "perdre la boule" en échange de toute une vie avec elle. « Je peux pas te le faire promettre, mais si ça arrive un jour, je veux que tu saches que je te botterais le cul si fort que tu seras obligé de te souvenir de moi quoi qu'il arrive, c’est bien compris ? » Tu n’auras pas besoin. Jo continuera de me faire sourire dès qu’elle entre dans une pièce même si je ne me souviens plus de rien d’autre. Un rire soulève ma poitrine, puis je hoche la tête avant de l’embrasser à nouveau tendrement au creu de son cou.

« L’avantage, c’est que je connais déjà le ranch. Et puis, c’est officiel : l’oncle Bill m’adore, j’ai déjà gagné le gros lot. » - « Je suis pas surpris. Il n’y avait aucune chance pour qu’il ne t’aime pas, tu sais. » Il apprécie la femme de mon cousin et je peux aisemment affirmer qu’entre nos deux compagnes, la mienne n’est pas la plus excentrique et dure à cerner, aussi surprenant que cela puisse être. « Je veux les découvrir avec toi, vos traditions. » - « Alors tu le feras. Mais souviens toi que tu m’as dit ça quand ils se boufferont tous le bec à table à cause d’une remarque de l’un de nos parents. » Bill est exclu de la liste de fauteurs de trouble potentiels, mais mon père ne l’est pas. Oscar pourrait bien être ajouté à la liste si d’aventure il décidait de se joindre à nous. « Tu rencontreras mon frère et mon autre soeur. Des modèles de sympathie, tu verras. » Mon ton est chargé d’une ironie palpable, bien plus dirigée à l’encontre de mon cadet que de Nina, avec laquelle je ne possède toutefois pas énormément d’atomes crochus. « Au moins, s’ils sont là tous les deux, ils compareront entre eux leurs accomplissements, pas avec quelqu’un d’autre autour de la table qui n’aura rien demandé. » Et c’est ce que nous pouvons souhaiter de mieux avec ces deux-là : le fait qu’ils ne ramènent pas leurs réussites respectives sur le devant de la scène est tout bonnement exclu.

La discussion est douce et elle aurait pu devenir un peu plus chargée de sensualité si nous n’avions pas été interrompus par une nouvelle apportée par un oiseau de mauvaise augure : le père de Jo est à l’entrée et veut de toute évidence forcer le passage. Il a insisté, c’est forcément le cas pour qu’on me dérange alors que les consignes étaient claires : on ne laisse entrer personne ce soir, exception faite de ma famille proche qui est toujours sur la liste des gens autorisés à entrer sans qu’un motif ne soit nécessaire. « Non. Et moi je sais que je t’ai dit que je partagerai mes fardeaux à l’avenir, mais je veux pas partager celui-là, pas ce soir. » Je secoue la tête, peu décidé à bouger de là. « J’ai pas l’intention de te laisser seule avec lui. » Pas alors qu’elle a peur de lui, c’est une évidence à présent, et que j’ai peur de ce qu’il pourrait faire pour lui faire payer l’affront d’avoir organisé le mariage d’Ava sans les prévenir. Pas alors que j’ignore de quoi son père est capable mais que je le soupçonne de l’être du pire. Elle n’a pas le temps de protester puisque, de toute évidence, l’homme s’est frayé un chemin. « C’est un vrai casse-tête pour rentrer dans cette maison. Si on peut vraiment qualifier tout ça de maison. » Je me retourne pour observer le quinquagénaire. Il ne me faut pas plus d’une minute pour comprendre l’emprise que cet homme charismatique a pu avoir sur une jeune adolescente, l’emprise qu’il continue d’avoir aujourd’hui encore puisque je jette un coup d’oeil à la brune et que je ne la reconnais pas tant son visage s’est fermé et ses traits se sont crispés. « Je croyais que vous lui aviez refusé l’accès à la résidence ? » J’échange un regard avec l’agent de sécurité, un qui lui dit que nous discuterons de tout ça plus tard pour que je comprenne ce que ce type fout là, un qui lui dit aussi qu’il n’est pas autorisé à disposer : si les choses tournent au vinaigre, nous serons content qu’il soit là. « J’ai appris que ce n’était pas toi la star de la soirée, mais comme à ton habitude, tu ne peux pas t’empêcher de briller. Pas l’ombre d’une fausse note, ça aussi, c’est une habitude — et bien, enchanté. » Le père et ancien manager de Jo se tourne vers moi et tend une main dans ma direction. La réciproque n’est pas vraie - je ne le suis pas, enchanté de le voir ici ce soir - et ma mâchoire se carre sans que je ne puisse contrôler cette réaction épidermique. Il me fait froid dans le dos et, pourtant, je suis en mesure de me défendre. Jo ne l’est pas, pas physiquement du moins et ce sentiment qu’il pourrait s’en prendre à elle achève de me convaincre de ne pas la laisser seule avec son père. « Les présentations n’ont jamais été officiellement faites, mais j’ai beaucoup entendu parler de toi, mon garçon. » J’hésite un instant, avant de tendre ma main à l’homme et de lui rendre sa poignée de main. Elle est ferme, sans que je ne sache s’il s’agit d’une technique d’intimidation ou simplement de ses habitudes - les deux peuvent aussi bien être liés - mais je ne cille pas. Je reste muet : je ne désire pas entrer dans son jeu. « Pas par Jo, bien sûr. Elle tient à son jardin secret comme moi je tiens à elle. Elle est la prunelle de mes yeux, j’imagine que tu me comprends. » Je me demande s’il convainc son monde habituellement, si je ne suis réfractaire à sa tentative de charme que parce que je sais de quoi il est capable grâce. Je l’ignore mais, quoi qu’il en soit, cela ne prend pas sur moi. « C’est vrai ce qu’on dit, vous allez encore mieux ensemble en vrai qu’à la télévision. » Jo se positionne entre moi et son père, face à moi, et la subtile pression de ses doigts contre mon torse m’intime à reculer et à les laisser tous les deux, je le comprends. Sauf que je n’ai pas l’intention de m’exécuter. Si elle me demande des comptes après tout ça, je pourrais toujours lui dire que je suis chez moi, bien que ce ne soit pas la pierre angulaire de ma façon d’agir. « C’est la prunelle des mes yeux. » Ce n’est pas une compétition. Je ne ressens pas le besoin malsain de devoir me battre face au père de la brune pour son attention. Je lui fais simplement comprendre que je suis prêt à toute extrémité pour prendre sa défense. « Les circonstances sont mal choisies. Vous auriez dû me contacter via mes équipes de communication si vous souhaitiez me rencontrer. » Nul doute qu’un homme bouffi d'orgueil comme il a l’air de l’être vivra mal le fait d’être rangé au rang de quidam. « C’est une soirée privée. Je vais devoir vous demander de partir. Soyez sûr que j’en suis désolé. » Mes manières m’ont jusque-là toujours sorti de situations compliquées. A nouveau je m’emploie à rester courtois - bien que ferme - sans grande conviction que cela fonctionnera.




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Jo Carter
Jo Carter
la folie des grandeurs
la folie des grandeurs
  
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 5
POSTS : 10983 POINTS : 2510

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 12b5ed7968518eac018b7422796b283815ad00d9
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 14b0d816f9b97eff952b17c444f189caf7edb646
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

ollie#2midas#35micah#11megan#14cleo#2kendall

RPs EN ATTENTE :
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step Eb5602d06ee5f3b382f45b87b6feb42d85162dcb
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 5kwj
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 2149d88d7c2509e7bb2ac07d09b473de3c9b3308
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptyMer 7 Aoû 2024 - 10:52

Midas Sterling adore ce message



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@Midas Sterling (crédit gif/rampld)

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 1f6a9 tw: violence physique

"Le dernier garçon." Après, il y avait eu elle, et la dynamique des Carter avait évoluée. Difficile de ne pas ressentir un peu de culpabilité à ce sujet, d’ailleurs. L’attention s’était dirigée sur elle dès sa naissance, et presque sur elle uniquement. Elle ajouta "Il est que trois ans plus vieux, c’est pour ça qu’on était plutôt proches étant petits. Je crois que tu l’apprécierais, c’est pas un mauvais gars et c’est un vrai bon musicien." Non, Leroy n’était pas un mauvais bougre, il avait juste la même particularité que ses frères et sa soeur, et c’était d’avoir été élevé par les mêmes parents tout simplement. C’était ça qui laissait des traces, et elles étaient indélébiles. Du reste, aucun d’eux n’étaient profondément mauvais, pas même Jo qui se donnait des grands airs pour se protéger. Les garçons, ils avaient été traité bien plus comme des employés par leur père qu’elle ne l’avait jamais été, c’était en partie ce qui avait poussé Jo à se rebeller de son côté, à faire son possible pour qu’une certaine forme d’égalité soit rétablie au sein de la maison. Elle l’avait été, puisqu’elle avait fini par en recevoir autant qu’eux tous, des gifles. Elle prit une légère inspiration, ne méditant pas trop longtemps sur ses retrouvailles hypothétiques avec son frère "Je sais pas si ça serait une bonne chose." Elle ne répondait pas tellement à la question de Midas cela dit, elle ne lui disait pas si oui ou non elle avait envie de le voir. Elle avait envie d’avoir de ses nouvelles, ça c’était une certitude, elle n’était cependant pas certaine que lui voulait en avoir d’elle, et ça la faisait reculer. Elle se mordit l’intérieur de la joue, puis estimant qu’elle avait assez parlé de ça ce soir, elle préféra ne pas s’y attarder trop longtemps. La notion de pardon était soulevée par Midas, Jo en avait déjà suffisamment sur son assiette en ce moment pour l’ajouter au reste. Elle avait besoin de faire des efforts pour aller mieux, grandir et évoluer, elle n’était cependant pas obligée d’être la seule à en faire, et dans l’histoire avec ses frères, elle n’était assurément pas celle qui avait des choses à se faire pardonner, c’était clair.

Si on a assez de temps ensemble. L’utilisation du conditionnel fit tiquer Jo par la suite, et elle se demanda brièvement où étaient passées les certitudes de Midas les concernant tous les deux. Entre son retour d’Espagne et aujourd’hui, il ne s’était rien passé qui l’invite à émettre des doutes sur l’avenir qu’il avait en tête pour eux et qu’il avait partagé avec elle pour entendre dire en retour qu’elle aspirait aux mêmes choses, mais que rien ne pressait. Elle sonda ses yeux pendant trop longtemps, elle ne lui demanda cependant pas d’où ça lui venait, si elle avait fait ou dit quelque chose qui le rendait soudainement aussi prudent. Elle n’en eut pas tellement envie par peur d’entendre le réponse, mais aussi parce que la conversation continuait au fil de l’eau, aussi paisible que, très bientôt, elle oublierait à quel point elle s’était sentie sereine et heureuse à ce moment-là. Pour l’heure, la famille de Midas s’invita dans la conversation, elle eut un très léger rire, sa tête se penchant légèrement sur le côté en même temps qu’elle se rasseyait plus confortablement sur les genoux du jeune homme, un bras autour de son cou, une main glissée dans l’embrasure laissée par le col ouvert de sa chemise "Hm, ça c’est toi qui le dis, mais combien de fois t’as pensé que j’étais difficile à aimer au cours des douze derniers mois ?" Elle lui posait la question sur le ton de l’humour, il n’était même pas tenu de répondre ; à des moments donnés, elle avait surpris cette pensée lui traverser le regard, alors elle était plus que prompte à accepter tout ce qu’il lui disait pour mieux ronronner sous ses caresses dans le sens du poil, mais parfois, elle avait tout de même la sensation, pas qu’il lui mentait, mais qu’il s’appliquait avec soin à manquer d’objectivité parce qu’il jugeait que c’était plus simple comme ça. Elle secoua la tête, ne quittant pas son sourire en imaginant les membres de la famille de Midas se chamailler à table. Le murmure qu’elle laissa filer près de son visage, il était espiègle "Je resterai dans le coin avec mon pop-corn et je compterai les points. J’ai toujours voulu m’essayer à l’arbitrage, ce sera l’occasion." Ce n’était pas des disputes familiales qui lui feraient peur, elle en avait connu d’autres qui se terminaient par des chaises qui volent et des mains qui tombent "Lequel des deux est le moins pire ?" Entre la soeur et le frère que Jo ne connaissait pas encore ? C’était sûr qu’elle se ferait une idée rapide sur la question, mais elle préférait avoir le ressenti de Midas avant toute chose, surtout qu’elle sentait une pointe d’amertume accompagner ses paroles suivantes, celles qui concernaient les accomplissements "Pas avec toi, tu veux dire ?" Ou avec Olive ? Ça pouvait même être avec eux deux, pour ce qu’elle en savait.

Cette discussion lui parut soudainement bien loin. Elle soupira fort par le nez lorsque Midas refusa de retourner à la fête, mais elle n’eut pas le temps de parlementer pour le faire céder d’une quelconque manière. Son père était entré malgré tout, et il se trouvait là désormais, à quelques pas d’eux à peine, se rapprochant de plus en plus du duo qu’ils formaient, l’ombre de l’agent de sécurité posté derrière eux leur offrant une forme d’impunité qui ne rassura pas Jo pour autant. Elle connaissait son père, elle connaissait sa faculté à ne se laisser impressionner par rien ni personne. Elle tenait ça de lui, c’était aussi sûr que tous les traits de caractère négatifs qu’elle traînait avec elle, elle les lui devait. Sur l’instant, elle ne réussit à faire rien d’autre que le regarder, son esprit focalisé sur les différents scénarios qui se jouèrent dans sa tête lorsqu’elle rassembla tous les détails qu’elle avait donné à Midas au sujet de son père, de ce qu’il faisait à ses enfants, et de cette peur qui animait sa dernière née quand elle se trouvait à sa proximité. Elle le savait calme, elle le savait doux, Midas. Elle savait aussi, et non sans que ça ne lui procure une satisfaction réelle au demeurant, que lorsqu’elle était concernée, il avait tendance à foncer tête baissée. Ça ne serait pas la bonne stratégie aujourd’hui, et c’est surtout pour cette raison qu’à nouveau, sans ouvrir la bouche cette fois, elle lui demanda de rejoindre les autres. Échec cuisant à nouveau, mais elle lui en voulait moins qu’elle en voulait à son père d’être là.

Elle l’entendit rire aux premiers mots de Midas. Il le pointa du doigt en inclinant si légèrement la tête que c’était imperceptible "C’est le rêve de tous pères, non ? Qu’un homme aime assez sa fille pour dire ce genre de choses sans rougir. C’est bien, je suis content qu’elle soit tombée sur un gentil garçon." Ça, c’était une insulte, Jo le devinait sans avoir besoin d’analyser ses paroles, le rictus qui perdura sur son visage buriné donnant à son allure quelque chose d’inquiétant, de presque malsain, qui la rendait profondément honteuse sur l'instant. Surtout quand il se remit à rire, prenant en compte les paroles de Midas à qui il finit par donner une bourrasque dans l’épaule, le tenant contre lui le temps de quelques secondes seulement en disant avec une bonhommie surjouée "On se détend les enfants, d’accord ? On va s’asseoir et discuter un moment. Il faut payer qui ici pour qu’on nous serve quelque chose à boire ?" Il posa son regard sur l’agent de sécurité, et comme s’il n’était nulle part d'autre ailleurs que chez lui, il n’attendit aucune autorisation : il défit le bouton de sa veste, remonta du bout des doigts les pinces de son pantalon de costume avant de s’asseoir là où sa fille et son petit ami étaient assis il y avait quelques instants encore. Enfin, il ouvrit les bras pour les poser sur le dossier du fauteuil en osier en attendant sagement que tous les deux daignent s’installer, croisant les jambes avec une classe qu’on ne pouvait pas lui enlever, se mettant aussi à l’aise que si absolument tout ici lui appartenait. Jo ne le fit pas, s’installer, et elle était persuadée que Midas ne le ferait pas non plus alors que lui, il était bel et bien chez lui, surtout que s’accordant à sa bonne parole, elle ouvrit enfin la bouche pour dire à son père "Il t'a dit que tu pouvais pas rester, et je suis d'accord avec lui. Je vous ai pas invités pour une raison, je compte pas changer d’avis parce que t’es venu faire ton petit numéro." Toute l’attention d’Isaiah se dirigea brusquement vers elle. L’index qu’il leva dans sa direction, il était résolument menaçant, même s’il gardait un sourire de façade qui lui fit froid dans le dos. Elle savait ce qui suivrait, entendant sa voix avant même qu’il n’ouvre la bouche, mais elle resta bien droite sur ses appuis, et ce malgré le tambour dans sa poitrine et ses jambes en coton "Fais attention, Jo." Sinon, quoi ? Elle retint la question pour une fois. Elle la retint parce que Midas était là, et qu’elle ne voulait pas un instant qu’il s’imagine qu’elle le provoquait une manière ou d’une autre, qu’elle ne voulait pas un instant qu’il s’imagine qu’elle avait toujours cherché ce qui arrivait souvent après ce fameux sinon quoi ? Son père fut frappé par l’Eurêka "Tiens, tiens." Il baissa son doigt, posa sa main sur sa propre cuisse, toisant sa fille de bas en haut en donnant l’air de remarquer quelque chose pour la toute première fois "C’est d’être en couple qui t’a rendu si docile ?" Sans délai, il applaudit "Félicitations Midas, tu as réussi à la rendre plus obéissante. Il va falloir que tu me donnes ton secret parce que moi, j’ai tout essayé, rien n’a jamais vraiment fonctionné." Pas même l’intimidation, les gifles et les insultes, et ça il préféra le taire.

Ses dents brillèrent quand son sourire s’élargit, cessant enfin d’applaudir pour que le silence retombe graduellement, lourd et pesant. Jo déglutit, mais elle releva le menton tout de même, déterminée à ne pas démontrer le moindre signe de faiblesse. Il avait noté l’absence de ce qui devait faire fi de signal pour lui, et ça le frustrait. Jo le voyait, mais Jo ne ploya pas donc, jetant un regard par-dessus son épaule en direction de Midas comme pour s’assurer que ce qu’elle allait dire ne dépassait pas la limite qu’elle pouvait s’autoriser en n’étant pas chez elle. Elle lui pardonnerait de prendre des libertés ce soir, elle en était persuadée. Elle redirigea son regard sur son père, prenant une inspiration salutaire pour lui dire avec résolution, les sourcils plus haussés que froncés, illustrant sa détermination "J’ai pas envie d’en arriver là, tu sais. Mais si tu t’amuses à ça, je vais devoir insister pour qu’on t’escorte et ce sera humiliant pour toi." "Tu sais ce qui est humiliant, Jo ?" Il se leva d’une poussée, et si Jo ne bougea pas de là où elle se trouvait, se sommant de ne pas flancher, elle ne put faire qu'une seule chose et c’est lever la tête pour garder à l’oeil le moindre de ses mouvements dans le but d’anticiper ce qu'il serait susceptible de faire. Il continua, s’approchant juste un peu plus d’elle pour que, même à cette distance, elle sente déjà l’odeur de son after-shave — le même, depuis toujours "C’est d’apprendre le mariage de sa propre mère, organisé par sa propre fille sans que cette dernière ne daigne ne serait-ce que prévenir sa propre famille. Elle est à peine capable de se souvenir de son prénom, bon sang, et tu autorises un mariage ? Avec ta mère, on s'imaginait que tu avais pris un peu de plomb dans la tête, mais comme toujours, tu nous imposes rien d’autre que de la déception." Jo ne put s’empêcher de rire face à la mine qu’il lui offrit soudain : triste, les yeux plissés par son interrogation. Elle vit que ça le déstabilisa qu’elle riait, d’autant qu’elle lui rétorqua en roulant des yeux "Ouais, la bonne excuse. C’est maintenant que ça t’intéresses, qu’elle se souvienne même pas de son prénom." "Qu’est-ce que tu insinues ?" Le dialogue se jouait en duo. C’est peut-être pour ça que l’enchaînement filait comme des balles sur un cour de tennis ; ou sur un champ de bataille, l’analogie s'accordait aux deux situations. Jo cessa de rire, trouva le regard de son père pour de bon. Oubliant presque qu'ils n’étaient pas seuls, elle savait qu’elle regretterait cette réplique, mais elle la lui cracha tout de même au visage, pas encline à se laisser marcher dessus ce soir. Elle avait peur, bien sûr, mais ça ne l’avait jamais arrêtée de se battre un minimum pour faire entendre sa voix, ce n’était pas ce soir que ça commencerait "Que t’en as jamais rien eu à foutre avant aujourd’hui, et que t’es juste frustré de pas avoir pu fourrer ton nez dans cette cérémonie histoire d’en récolter tout le mérite, exactement comme tu l’as toujours fait, pour tout et n’importe quoi." Lui aussi, il avait oublié qu'ils n’étaient pas seuls. Elle s’en rendit compte beaucoup trop tard quand, pas encore arrivé pour de bon devant elle, il projeta tout de même son bras pour l’atteindre à distance et l’attraper par la mâchoire. Jo tendit son bras en arrière en espérant trouver la main de Midas, sauf que son père la fit basculer si fort en avant qu’elle décolla littéralement de l’endroit où elle se trouvait pour être forcée de se retrouver le nez presque collé au sien. L’un de ses talons se coinça dans une rainure de la terrasse, elle le perdit dans la manoeuvre, se retrouvant déséquilibrée, un pied nu, l’autre pas, face à son père qui ne la lâcha pas, resserrant au contraire la pression de ses doigts refermés des deux côtés de sa mâchoires, ses ongles courts s’enfonçant dans ses joues qu’elle sentait s’agglomérer à toutes ses dents, réduite au silence pendant qu’il lui répétait en carrant la sienne, de mâchoire "Je t'ai dit de faire attention, Jo."


    i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.












    :sing::



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Midas Sterling
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la nuit des temps
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ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.)
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step SA3KN
POSTS : 1924 POINTS : 790

TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
CODE COULEUR : royalblue.
RPs EN COURS :
(05) harleen #2oscar #2jo #35nina #2aaron

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 0e52d1ebe0b1dcceb8f357e7305d9fecfb3e38c7
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829303132333435

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step SOk7g
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step Ld6fmwE
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step SteSR
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

RPs EN ATTENTE : lucas

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.

― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

AVATAR : Leo Woodall
CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie)
DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 17/08/2022
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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptySam 10 Aoû 2024 - 11:59

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right back in our rhythm without missing a step
Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveia

« Le dernier garçon. Il est que trois ans plus vieux, c’est pour ça qu’on était plutôt proches étant petits. Je crois que tu l’apprécierais, c’est pas un mauvais gars et c’est un vrai bon musicien. » Je hoche la tête, attentif aux informations qu’elle me donne et qui sont bien plus que tout ce qu’elle peut me dire de ses frères – et de sa famille de façon plus générale – habituellement. Ce que j’en dis, c’est que j’apprécierai le dit Lee s’il me prouvait qu’il respectait sa sœur et que je la sentait encline à le laisser revenir dans sa vie. Le fais qu’il soit un type sympathique et un bon musicien n’entre pas le moins du monde en ligne de compte : ce qui importe à mes yeux c’est Jo, uniquement Jo. « Je sais pas si ça serait une bonne chose. » - « Y’a que toi qui peut le savoir. » Et je n’ai pas l’intention de tenter d’influencer son jugement de la moindre façon : je ne connais pas ces hommes, je ne sais pas grand-chose non plus de la relation qu’entretenait Jo avec chacun d’entre eux. Tout ce que je sais, je l’ai appris de sa bouche et elle n’est pas avare en information à ce sujet.

« Hm, ça c’est toi qui le dis, mais combien de fois t’as pensé que j’étais difficile à aimer au cours des douze derniers mois ? » - « J’ai le goût du challenge, faut croire. » Plaisantant, loin de me douter que le sujet est plus sérieux qu’il n’en a l’air, je ressers ma prise autour de sa taille avant de l’embrasser dans la nuque. « Je resterai dans le coin avec mon pop-corn et je compterai les points. J’ai toujours voulu m’essayer à l’arbitrage, ce sera l’occasion. Lequel des deux est le moins pire ? » Je n’ai pas besoin de réfléchir pour répondre à celle question-là. Si je ne partage avec aucun de mes ainés le même genre de relation que celle qui existe entre Olive et moi, je ne considère que les liens ne sont véritablement brisés qu’avec l’un d’entre eux. Nina et moi sommes simplement trop différents, mais j’aime penser qu’elle ne nourrit pas plus de grief contre moi que je n’en ai à son encontre. « Ma soeur, Nina. » C’est d’elle dont je suis le plus proche en âge mais, étrangement, on ne peut pas en dire autant de façon générale. Toutefois, la famille reste à mes yeux la famille : si elle m’appelait au beau milieu de la nuit en lui demandant de l’aider, je m’exécuterais. « Elle est moins insupportable qu’Oscar, moins froide aussi. » Bien qu’elle ne soit pas un modèle de chaleur non plus. « Pas avec toi, tu veux dire ? » - « Avec moi, avec Olive, avec mes cousins, avec tout le monde autour de la table et j’en rajoute pas, je te le promets. » Là où l’un pèche, l’autre trouve un autre domaine pour compenser.

Je crois que j’aurais aimé ça, continuer à parler de nos familles respectives avec Jo. Je crois que, lentement, le sujet aurait pu dériver sur celle que nous nous voyons fonder dans le futur et que ça aussi, j’aurais adoré. Ce que je n’avais pas envisagé, c’est qu’une partie de la dite famille vienne troubler notre moment à deux, et que les choses deviennent aussi rapidement aussi tendues. Je n’ai pas confiance en l’homme que j’ai en face de moi. Je ne ressens pour lui qu’une certain hostilité, fondée sur les confidences faites par ma petite amie. « C’est le rêve de tous pères, non ? Qu’un homme aime assez sa fille pour dire ce genre de choses sans rougir. C’est bien, je suis content qu’elle soit tombée sur un gentil garçon. » Dans la bouche d’un autre, d’un homme comme Bill Taylor ou même comme mon père, le phrase sonnerait comme un compliment. Etrangement, dans cette du père de Jo, je soupçonne que ça n’en soit pas un. Mais je n’ai pas l’intention d’entrer dans son jeu, je ferai pas du fait d’être gentil, tendre et doux un assortiment de défaut, pas même si Isaiah Carter le pense. « Elle mérite le meilleur. » Et j’ai bien l’intention de le lui offrir, avec ou sans la bénédiction de son père. Elle mérite mieux que ce que vous lui avez offert pendant des années. « On se détend les enfants, d’accord ? On va s’asseoir et discuter un moment. Il faut payer qui ici pour qu’on nous serve quelque chose à boire ? » J’ai beau être un gentil garçon, je ne cèderais pas face à ses tentatives d’intimidation. Je ne m’adoucirai pas, je ne changerai pas d’avis non plus quant au fait que le quinquagénaire n’est pas le bienvenu ici. « Il t'a dit que tu pouvais pas rester, et je suis d'accord avec lui. Je vous ai pas invités pour une raison, je compte pas changer d’avis parce que t’es venu faire ton petit numéro. » Je ne possède pas la fierté et le tempérament d’un homme de Cro-Magnon. Je me moque bien que Jo prenne la parole pour réaffirmer les miennes, et tant pis si un homme comme le patriarche Carter pense que cela fait de moi un homme moins accompli et respectable. « Fais attention, Jo. » Tous les muscles de mon corps se tendent alors qu’il prononce ces mots : il la menace et je ne suis pas dupe. « Tiens, tiens. C’est d’être en couple qui t’a rendu si docile ? Félicitations Midas, tu as réussi à la rendre plus obéissante. Il va falloir que tu me donnes ton secret parce que moi, j’ai tout essayé, rien n’a jamais vraiment fonctionné. » - « Attention à ce que vous dites. Vous êtes chez moi, et chez moi vous vous adresserez différemment à votre fille. » Je suis un utopiste : je suis persuadé que la voie des mots suffit à désamorcer la plupart des situations. Toutefois, je reste sur mes gardes : je suis conscient d’avoir une ordure de la pire espèce face à moi. Comment qualifier autrement un homme capable de lever la main sur sa propre fille ? Doucement, ma main s’enroule autour du bras de Jo, dans un geste qui se veut protecteur. Toutefois, pendant l’échange entre ma petite amie et son père, je reste en retrait, spectateur du résultat d’année de relations compliquées et des blessures surinfectées. La brune est virulente, loin de moi toutefois l’idée de le lui reprocher. Au contraire, j’admire la force qui se dégage d’elle alors qu’elle tient tête à son père et refuse de s’écraser devant lui. Je me dit que la chose nécessite un courage dont je suis dépourvu, et que je suis heureux de songer une famille avec une femme comme elle, que j’en suis fier.

Isaiah Carter me prend de court. En réaction aux derniers mots de ma petite amie, il fond sur elle et l’attrape par la mâchoire pour la secouer et la soumettre. « Je t'ai dit de faire attention, Jo. » En le voyant la brutaliser, je vois rouge. L’agent de sécurité réagit, mais je suis plus rapide que lui, mu par un instinct de protection. De deux grands pas, je suis sur eux je j’attrape l’avant-bras de l’homme que je repousse violemment, avant de poser mes deux mains sur son torse pour le bousculer sans mesurer la force de mon geste. La carrure du père de la chanteuse est bien plus impressionnante que la mienne, mais j’ai pour moi la force quasi surnaturelle de ceux qui protègent ceux qu’ils aiment. Je le pousse assez fort pour qu’il bascule en arrière et ne soit rattrapé par l’agent de sécurité qui le ceint en enroulant ses bras autour de ses épaules pour l’immobiliser et l’empêcher de répliquer. Il me protège, mais je sais que c’est un homme assez bon pour protéger aussi Jo, qu’elle soit sa cliente ou pas. Comme moi, il ne tolère certainement pas que l’on lève la main sur une femme. « Vous ne la touchez pas. » La colère qui alourdit mon ton est inhabituelle pour un homme comme moi. Elle est sourde et, de mémoire d’homme, je crois ne m’être jamais autant mis hors de moi. « Vous ne la regardez pas. Vous ne l’appelez pas. » Je continue sans me soucier d’être interrompu. « Vous ne lui envoyez pas de message, vous ne cherchez à entre en contact d’aucune manière. » Je me rapproche de l’homme dont les gestes sont entravés par mon employé qui, lui, le surpasse largement en forces. Je ne lève pas la main sur lui : j’ai trop d’honneur frapper un homme qui ne peut pas se défendre. Je pointe toutefois mon index dans sa direction avant de continuer. « Et vous ne l’approchez pas. Je suis un gentil garçon, mais je suis un gentil garçon capable de déchainer une armée composées des meilleurs avocats du pays pour vous faire regretter d’avoir un jour ne serait-ce que levé le ton sur elle. » Mon regard brûle d’une haine que je n’avais jamais ressentie jusque-là. « Si je vous revois un jour trainer autour de ma propriété j’appelle les flics. Si je vous vois un jour trainer autour de Jo ou tenter de lui faire d’une mal d’une quelconque façon, je vous jure que vous le regretterez. » Essoufflé, enragé, je fais signe à mon employé et ami de raccompagner le père de Jo à l’entrée manu militari.




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Jo Carter
Jo Carter
la folie des grandeurs
la folie des grandeurs
  
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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POSTS : 10983 POINTS : 2510

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 12b5ed7968518eac018b7422796b283815ad00d9
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 14b0d816f9b97eff952b17c444f189caf7edb646
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

ollie#2midas#35micah#11megan#14cleo#2kendall

RPs EN ATTENTE :
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step Eb5602d06ee5f3b382f45b87b6feb42d85162dcb
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 5kwj
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 2149d88d7c2509e7bb2ac07d09b473de3c9b3308
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptyDim 11 Aoû 2024 - 13:31

Midas Sterling adore ce message



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@Midas Sterling (crédit gif/rampld)

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 1f6a9 tw: violence physique

Dans l’immédiat, reprendre contact avec ses frères ne faisait pas partie des projets de Jo. En revanche, rencontrer toute la famille de Midas en était un. Ça revenait trop souvent sur la table pour que ça ne devienne pas imminent. Elle savait à quoi s’attendre tout en l’ignorant complètement, et c’était terrifiant d’un côté, seulement elle couvait la volonté réelle de ne pas faire de vagues, c’était encore tout ce qui comptait. Elle savait dans tous les cas qu’elle ne plairait pas aux femmes de la famille, c’était un fait récurrent, et à ce stade, elle le prenait davantage comme un compliment que comme un affront, pas du genre à chercher l’aval d’une maman, d’une tante ou d’une soeur. Midas en avait deux, elle en connaissait déjà une qui la voyait comme la méchante sorcière de l’Ouest parce qu’elle avait le malheur de ne pas la dorloter. Elle ne se demandait pas si la seconde l’aimerait, il y avait de grandes chances que non, elle se demandait quand même comment elle était, si elle ressemblait plus à Midas qu’à Olive, ou si, comme elle croyait le comprendre en l’entendant lui répondre, elle était plus proche de l’autre homme de la fratrie dont elle entendait parler à chaque fois de façon plus ou moins péjorative. Elle hocha la tête en apprenant qu’elle était moins froide que son aîné cela dit, et si elle se retint de lui dire qu’elle ne craignait pas les coups de froid, bien décidée à ne pas se laisser impressionner par l’un ni par l’autre, c’est seulement pour lui dire avec sa malice habituelle "Je suis trop pressée qu’ils comparent leurs accomplissements avec les miens. Je suis plutôt bonne dans l’action de m’auto-glorifier, ce sera un beau match." Qu’elle ferait tout pour rempoter, ça c’était le petit sourire en biais qu’elle laissa filer qui le disait, sa plaisanterie n’en étant une que parce qu’elle avait trop à coeur de ne pas faire honte à Midas en se comportant comme une sale gamine, que prouver à qui que ce soit autour de la table qu’elle valait autant qu’Oscar ou Nina.

Elle aurait aimé que son propre père soit rempli de la même volonté de ne pas lui faire honte. Sauf qu’en plus de la contraindre à la surprise s’ajoutait une forme d’humiliation qu’elle avait subi tout au long de son enfance et de son adolescence, derrière les portes closes du cocon familial qui, au fur et à mesure, avait pris des allures de réelle prison. Le temps avait passé, elle était allée chercher sa liberté sans rien demander à personne : ils ne se trouvaient plus entre les murs de chez eux, et elle était une adulte désormais. Sur le papier en tout cas, elle avait tout d’une adulte, et pourtant elle eut le sentiment de redevenir une gamine à l’instant où elle sentit sa mâchoire enserrée par les doigts de son père. Elle n’avait jamais flanchée face à la détermination de ce dernier à lui faire du mal, mais elle était une tête-brûlée qui n’avait pas grand-chose à perdre à l’époque. Elle était une gosse turbulente, assoiffée d’attention, qui testait les limites avec une insolence alarmante, provoquant et tenant tête comme si elle le défiait de faire pire que ce qu’il lui faisait déjà subir. Aujourd’hui, c’était différent. Elle n’était pas moins turbulente et provocatrice, elle avait toutefois eu le temps de mesurer le danger que représentait cette conjoncture dans laquelle elle s’était retrouvée bien trop de fois. Elle avait réalisé qu’elle ne pouvait absolument rien contre sa force et que capituler était encore la meilleure tactique pour s’en sortir plus ou moins sans dommage. Sans ça, il pouvait tout bonnement la démolir, et ce n’était pas qu’une image. Elle n’eut pas le temps de se demander si elle était lâche ou pas sur l’instant, mais là, elle se laissa faire à cause de ça, du danger qu’elle encourait si elle résistait, et ses yeux se fermèrent fort pour ne pas avoir à affronter ce qui devait y avoir dans les siens lorsqu’elle se retrouva le nez contre celui de son père. Elle n’avait jamais eu le choix de l’affronter seule jusqu’à présent : personne, jamais, n’était venu à sa rescousse pour que ce soit lui qui soit contraint à quelque chose, si bien qu’oubliant qu’ils n’étaient pas seuls à ce moment-là, elle eut l’impression de le découvrir quand elle sentit deux ombres fondre sur eux, plus sur son père que sur elle, à la seconde même où il l’avait fait basculer vers elle.

Il ne la lâcha pas tout de suite quand Midas lui attrapa l’avant-bras pour le repousser et Jo fut projetée à nouveau en avant. Ça lui fit rouvrir les yeux d’un coup, et alarmée, elle voulut lui interdire de faire quelque chose, lui ordonner de reculer, sauf qu’elle avait la bouche scellée par les doigts de son père. Lui, il se satisfaisait de maintenir la tension contre ses mâchoires tandis que le petit ami de sa fille essayait de lui faire lâcher prise. Dans son esprit tordu, il était en train de jubiler grâce à l’idée qu’indirectement, c’était Midas qui lui faisait davantage de mal simplement parce qu’il n’avait pas pris le temps de la libérer de son emprise avant de le faire reculer — ce qu’il réitéra, le poussant cette fois si fort qu’il fût bien obligé de lâcher la jeune femme. Déséquilibrée à cause de sa chaussure manquante, Jo tomba violemment à genoux dans l’espace qui la séparait de son père et de l’agent de sécurité qui venait à la rescousse pour le ceinturer et l’empêcher de riposter. Elle ne se laissa pas le temps d’avoir mal, que ce soit au visage, aux genoux, écorchés par sa chute, ou aux paumes de ses mains sur lesquelles elle poussa pour se relever d’un bond. Elle enleva sa seconde chaussure pour retrouver son équilibre dans la foulée, et se dressa entre Midas et son père qui ricanait sans se débattre, les yeux posés sur le jeune homme plus que sur sa fille. Elle se tourna d’abord vers son petit ami "C’est pas la peine d’accord ? On le laisse partir, ça vaut pas le coup de discuter." A ce moment-là, elle le sentait, elle aurait pu vomir de peur. La pression sur ses mâchoires n’arrangeait par cette certitude. Elle se rendit compte qu’elle avait mal, mais pas assez pour se laisser abattre. Elle plongea ses yeux écarquillés dans ceux de Midas en tachant de le retenir d’avancer d’une simple main sur sa poitrine, mais comme ça n’avait pas fonctionné tout à l’heure, elle savait déjà que ça aurait encore moins de chance de fonctionner maintenant qu'il avait vu que ce qu’elle lui avait raconté était réel, qu’elle ne s’était pas cachée derrière des histoires pour justifier qu’elle ne voulait pas parler de son père. Il continuait de ricaner d’ailleurs, même quand, sans surprise, Midas finit par lui dérouler la liste des choses qu’il lui interdisait de faire pour préserver Jo. Elle était impressionnée par l’intention dans la voix de Midas, elle ne lui avait jamais connu une détermination pareille depuis le premier jour où ils s’étaient rencontrés, mais elle savait aussi que, malheureusement, ce ne serait pas suffisant, et qu’il risquait de se casser les dents face à cet homme qui, maintenu par la force d’un autre, riait comme un dément tant il se complaisait dans le chaos et la violence. En même temps, Jo réalisait, et ce sans mal, que Midas était réellement la première personne autour d’elle à se dresser entre elle et son père sans aucune forme d’hésitation, et au travers de l'état d'urgence dans lequel elle se trouvait sur l’instant, tous ses sens en alerte, ça la fit l’aimer encore plus.

Tellement que, se souciant moins d’elle que de lui, elle continua de faire barrage entre les deux hommes. Elle se retrouva au milieu, mais son corps, son regard, son inquiétude, tout n’était dirigé que sur Midas qui s’apprêtait à bénéficier du discours du patriarche Carter sans l’avoir demandé. Avant qu’il n’ouvre la bouche pour rétorquer à chaque parole qu’il avait prononcé sans sourciller, essoufflé et enragé, Jo fit remonter sa main jusqu’au cou de Midas pour l’apaiser et lui glisser "C’est pas grave, il va s’en aller maintenant." Et ils n’en parleraient plus jamais. C’est ce qu’elle lui demanderait plus tard, qu’ils n’en parlent plus jamais. Sur le moment, elle se contenta de garder ses yeux dans les siens pendant que l’homme derrière elle avait trop de choses à dire pour la fermer. Toujours maintenu par l’agent de sécurité, il choisit une autre forme de violence pour arriver à ses fins "Et c’est quoi ta légitimité à me donner ce type d’ordres ? Tu fais que la sauter pour ce que j’en sais." Jo ferma brièvement les yeux en l’entendant parler de cette façon, et à nouveau, elle eut honte. Elle sentit toutefois le genou de son père l’atteindre juste derrière les siens pour attirer son attention "Ou alors, j’ai raté un épisode ? Vu que t’es pas foutue de m’inviter au mariage de ma mère, ça m’étonnerait pas que tu le sois pas non plus de m’inviter au tien." À l’époque, elle aurait rétorqué qu’elle ne comptait l’inviter à aucun événement qui impliquait son putain de bonheur, mais ce soir, elle choisissait de se taire, se rapprochant davantage de Midas pour qu’il recule un peu plus histoire qu’il soit hors de portée de son père qui n’avait jamais autant aimé le son de sa propre voix que maintenant "Qu’elle le veuille ou pas, que tu le veuilles ou pas, je reste son père dans tous les cas. J’ai plus de droits sur elle que t’en auras jamais en tant que… qu’importe ce que t’es exactement à ses yeux." Le signe du menton qu’il fit en direction de Midas était franchement insultant, la mine de dégoût qu’il lui accorda, c’était tant mieux que Jo ne la voit pas, préférant lui tourner le dos que de lui donner l’attention qu’il avait quémandé en l’effleurant avec son genou. Soudainement, il demanda à l’agent de sécurité de le lâcher en promettant de rester sage. L’homme lui laissa du lest, mais se positionna entre lui et le couple qu’il protégeait pour faire bonne mesure pendant que l’autre continuait sa tirade avec plus de véhémence, faisant ressortir sa vraie personnalité, celle qu'il avait tenté de cacher en se pointant ici "Je l’ai élevée, moi. Ce qu’elle est aujourd’hui, le talent que tu vantes partout comme celui qui t’a fait tomber sous son charme, elle le doit qu’à une seule personne, et je suis persuadé que c’est pas à toi, alors redescends de ta tour d’ivoire et ouvre les yeux, mon garçon." Il ne s’adressait plus qu’exclusivement à Midas que Jo regardait en secouant la tête pour l’inciter à ne pas l’écouter, surtout à ne pas prendre en compte ce qu'il débitait au rythme de la rage qu'il ressentait envers une seule personne : sa propre fille "T’en trouveras pas une autre comme elle, c’est une évidence qu’on peut pas lui retirer, et tu veux que je te dise ? C’est peut-être pas plus mal pour toi." La caresse puis la gifle, c’était la base de l'éducation qu'il avait donné à ses enfants, Jo reconnaissait bien sa patte "Elle va te détruire." Ça le fit rire à nouveau, mais pas Jo. Lentement, elle se retourna dans sa direction, lâchant Midas du regard, mais restant juste devant lui en se demandant comment un père pouvait avoir ces paroles envers son propre enfant.

Elle ne croisa pas ses yeux étant donné que les siens étaient fichés en direction de Midas qu'il n’avait pas fini de mettre en garde "Vu comme c’est parti, elle va te pourrir l’existence jusqu’à ce que tu puisses plus la voir en peinture, elle va drainer toute ton énergie jusqu’à la dernière goutte. C’est pas un gentil garçon qu'il lui faut, c’est un type qui sache la remettre à sa place quand elle dépasse les bornes, et j’ai pas besoin de te connaître pour savoir que t’es pas ce type-là. Ça crève les yeux, putain." "Tais-toi." Elle s’autorisa à le lui demander presque poliment, ne supportant pas ses insinuations. Ça ne l’arrêta pas évidemment "Tu te planques derrière tes avocats pour quoi, défendre son honneur ? Alors que je suis juste là, devant toi, prêt à en découdre sans aucun intermédiaire ? C’est ça qui te plaît Jo ? Laisse-moi rire." Et il rit, l'éclat qui s’échappa de sa gorge résonnant en écho sur le mobilier qui les entourait. Brusquement, tout s’arrêta et il renchaina, plus venimeux encore "T’es qu’un petit garçon Midas. T’es pas un homme, tu vas te faire bouffer. Elle va te bouffer." Elle s’était laissée faire tout à l’heure, elle n’avait consenti qu’à lui répondre avec virulence, et ça avait entraîné la violence d’Isaiah. Il avait ses déclencheurs, et elle avait les siens, elle aussi — la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre, comme on dit —, et il venait de taper dedans en choisissant de s’adresser à Midas comme il était en train de le faire. Immédiatement, sans se poser aucune question, elle amorça un mouvement vers son père, mais l’agent de sécurité se positionna plus résolument devant elle en lui disant avec douceur et délicatesse doucement, mademoiselle tout en lui prenant tout aussi délicatement le poignet. Il le pressa trois petites fois entre ses doigts pour qu’elle sache qu’il était de son côté, mais qu’il pensait à la suite et que ça ne serait pas dans son intérêt de rentrer dans son jeu. Il avait raison, alors elle obéit, mais sa gentillesse la frustra et elle eut envie de pleurer. Elle carra les mâchoires, réalisa combien elle avait mal à cet endroit en vérité, et se somma de ne pas pleurer, la voix de son père continuant tout de même de tonner sur cette terrasse qu’elle avait trouvé si paisible il y avait quelques minutes à peine de ça "C’est un putain de poison lent, tu me feras pas croire que tu t’en es pas aperçu depuis le temps que vous vous tournez autour." Il remua, et que ce soit Jo ou l’agent de sécurité, tous les deux eurent un mouvement en retour. La jeune femme recula de quelques pas pour revenir vers Midas sur qui elle s’appuya, dos contre son torse, son bras se contorsionnant par l’arrière pour entourer sa taille avec, dans un geste de protection instinctif, et l’agent de sécurité se dressa devant lui à nouveau pour qu’il n’approche pas plus près tandis qu’il faisait savoir à Midas "J’ai pas peur de toi. J’ai pas peur de ce que tu représentes, et tu veux que je te dise autre chose ? Peut-être que je regretterais un jour où l’autre de pas lâcher l’affaire pour récupérer mon dû —" De la pointe de son menton, il désigna Jo sans aucune forme de respect à son encontre, l’expression de dégoût qu'il avait réservé à Midas tout à l’heure lui étant soudainement retournée "— mais je suis convaincu que je serais pas la seul à avoir des regrets. Elle est bonne qu’à ça, donner des regrets." Et d’un coup, il leva les mains comme un fraudeur qui se défend d'avoir quelque chose à faire là-dedans. La tête inclinée légèrement sur le côté, la malice se dessina au travers de sa haine, et la voix rieuse, il ajouta comme pré-conclusion "Tu pourras pas dire que je t’ai pas prévenu." Là, l’agent de sécurité perdit patience. Se montrant bien moins délicat avec Isaiah qu’il ne l’avait été avec Jo, il le saisit par le bras pour le faire se retourner et avancer en direction de la sortie pendant qu’il ajoutait en se faisant escorter de force, provocateur "J’ai pas dit mon dernier mot, Jo." Déterminé à asseoir sa dominance malgré l’opprobre qui lui était imposé en se faisant chasser des lieux de la fête, il trouva le moyen d’asséner un coup de pied violent à une chaise en partant, la faisant voler de l’autre côté de la terrasse que, subitement, Jo trouvait bien moins paisible et chaleureuse "Regarde-moi, est-ce que ça va ?" Elle se retourna immédiatement vers Midas, se redressant enfin, s’étant appuyée sur lui pendant un moment, et saisit son visage à deux mains pour s’assurer qu’il ne détourne pas les yeux, ou lui cache quoi que ce soit de son état d’esprit.


    i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.












    :sing::

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Midas Sterling
Midas Sterling
la nuit des temps
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(mine #32) right back in our rhythm without missing a step IAeu3cF Présent
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.)
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step SA3KN
POSTS : 1924 POINTS : 790

TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
CODE COULEUR : royalblue.
RPs EN COURS :
(05) harleen #2oscar #2jo #35nina #2aaron

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mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829303132333435

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step SOk7g
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step Ld6fmwE
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step SteSR
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

RPs EN ATTENTE : lucas

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.

― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

AVATAR : Leo Woodall
CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie)
DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 17/08/2022
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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptySam 17 Aoû 2024 - 0:31

Jo Carter adore ce message



right back in our rhythm without missing a step
Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveia

Je ne lui dis pas à Jo, que Nina et Oscar regarderont tous les deux d’un air hautain ce que nous considérons tous les deux comme des accomplissements. Ils se moquent des fans, ils se moquent de la foule qui se réuni pour scander notre nom et mes récompenses, même les plus prestigieuses, n’ont pas une énorme valeur à leurs yeux. Ce qui compte chez les Sterling c’est la réussite académique, l’excellence dans un domaine respectable comme ceux qu’ils ont tous les deux choisis. Je ne lui dis pas parce que cela n’a pas la moindre importance à mes yeux, qu’ils la considèrent ou pas. Aux miens, elle est la huitième merveille du monde.

Je ne le lui dis pas parce que l’intrusion de son père ne m’en laisse pas le temps. Si je reste d’abord en retrait parce que j’estime à tort que la situation est sous contrôle, je déborde lorsque le père de Jo lève la main sur elle pour la brutaliser. Certes, il ne la frappe pas. Mais la façon dont il saisit sa mâchoire entre ses doigts a quelque chose de bien plus brutal qu’une main qui aurait giflé sa joue. Je n’en aurais pas été moins courroucé, mais dans l’immédiat, je suis plus inquiet. Il lui fait mal, il tente de la briser et de la rendre docile comme une agnelle, et j’interviens sans réfléchir. Je ne réalise pas que, avant de réussir à lui faire lâcher prise, je risque de faire mal à Jo. Je ne réalise pas plus que, emportée par son élan, elle risque de chuter au sol lorsque ses doigts n’enserreront plus son minois. Je vois rouge parce qu’il la blesse et j’oublie d’anticiper ce genre de choses qui ne sont pourtant pas des détails insignifiants. « C’est pas la peine d’accord ? On le laisse partir, ça vaut pas le coup de discuter. » J’entends à peine Jo qui tente de me raisonner. Suis-je en train de lui faire peur ? Ma colère – elle n’est pas dirigée contre elle pourtant – l’effraye-t-elle ? Se dit-elle que je ne suis pas bien différent de lui, au fond ? Je crois que, malgré mon emportement, c’est cette pensée là qui me retient de lui coller mon poing au milieu de la figure. Inconsciemment, je sais que Jo aurait mal au cœur, pas pour lui, mais à propos de ce que cela dit de moi, et il s’agit de l’unique chose qui parvient à contenir ma colère. Dépassé, j’explose. Cette fois, ce que je ressens va bien au-delà de ça, tout comme ma réaction est au-delà de l’entendement. Lorsque je finis l’agressive tirade que je lui destine, mes joues me brûlent et mon cœur bat la chamade. La fraicheur de la main de Jo dans ma nuque est salvatrice, cadenasser mon regard au sien me permet d’éviter un débordement que j’aurais regretté : j’ai beau être ici chez moi et loin des caméras, je n’ai pas le luxe de me dire que mon geste serait resté secret. Si j’avais levé la main sur Isaiah Carter, toute la presse aurait fini par l’apprendre et par me dépeindre comme le monstre qu’il est le seul de nous deux à être. « C’est pas grave, il va s’en aller maintenant. » Je hoche la tête, rassurant ainsi Jo – je suis autant redescendu que possible – et autorisant ainsi Shane à disparaître avec le patriarche Carter qu’il tient toujours fermement. Si cela n’avait pas été le cas, nul doute qu’il m’aurait cogné ; je vois une veine s’agiter de colère dans son cou.

« Et c’est quoi ta légitimité à me donner ce type d’ordres ? Tu fais que la sauter pour ce que j’en sais. » Jeune et naïf – l’être et un luxe que ne peuvent posséder que ceux qui n’ont pas vécu ce que Jo a vécu – je suis choqué d’entendre des propos de cette teneur dans la bouche d’un homme de l’âge et au vécu d’Isaiah. Il est certainement considéré comme une bel homme mais, à mes yeux, il devient laid dès lorsque que pour se défendre et accabler sa fille il s’autorise ce genre de bassesses et vulgarité. Ma mâchoire se carre et, si je tente de ne pas lui accorder un regard et de rester concentré sur Jo, je sens à mon tour la veine dans mon cou s’emballer. Il ne m’atteint pas là où cela fait mal, je ne crains pas de n’être que ça aux yeux de Jo et dans sa vie. En revanche, il me met hors de moi dès lors qu’il parle d’elle en ces termes. « Ou alors, j’ai raté un épisode ? Vu que t’es pas foutue de m’inviter au mariage de ma mère, ça m’étonnerait pas que tu le sois pas non plus de m’inviter au tien. » Une chose est certaine : le jour où je passerai bel et bien la corde autour du coup de Jo, il ne sera assurément pas convié aux noces. « Qu’elle le veuille ou pas, que tu le veuilles ou pas, je reste son père dans tous les cas. J’ai plus de droits sur elle que t’en auras jamais en tant que… qu’importe ce que t’es exactement à ses yeux. » - « J’ai aucun droit sur elle, pas plus que vous. » L’entendre désigner la brune comme un objet, une possession, me hérisse les cheveux sur le crâne. J’estime avoir droit au respect de ma partenaire, à être consulté pour des décisions importantes et à être inclus dans sa vie autant que je l’inclus dans la mienne. En revanche, des droits, je n’en ai aucun sur elle et tant que je serai dans le paysage, je ferai en sorte qu’il en soit de même pour lui. « Je l’ai élevée, moi. Ce qu’elle est aujourd’hui, le talent que tu vantes partout comme celui qui t’a fait tomber sous son charme, elle le doit qu’à une seule personne, et je suis persuadé que c’est pas à toi, alors redescends de ta tour d’ivoire et ouvre les yeux, mon garçon. » Nous sommes d’accord sur un point : la chanteuse ne me doit pas son talent, pas plus qu’elle ne me doit le succès qu’elle rencontre enfin. En revanche, elle ne doit tout ça à mes yeux qu’à elle-même, certainement pas à ce père tyran qui a fait de ses premières années de vie le genre d’enfer qu’aucun enfant ne devrait connaître.

Je sais ce qu’il fait. Je suis conscient qu’il s’agit de la façon qu’Isaiah a trouvé pour tenter de me mettre hors de moi. Sauf qu’il ne me poussera pas au-delà de mon système de valeur : le cogner pour lui faire regretter ses mots serait indigne de moi. Il a raison, je suis un gentil garçon sans que cela n’ait rien d’une insulte à mes yeux, au contraire, je m’escrime à le rester. Pour être tout à fait honnête, il rend la chose plutôt difficile. « T’en trouveras pas une autre comme elle, c’est une évidence qu’on peut pas lui retirer, et tu veux que je te dise ? C’est peut-être pas plus mal pour toi. Elle va te détruire. » Repenserai-je à ses mots plus tard dans mes moments de doute ? Peut-être, mais sur l’instant je n’ai qu’une seule idée en tête : je fulmine en silence à cause du mal qu’il est en train de faire à Jo. C’est dans ma tête qu’il désire mettre des doutes, mais c’est certainement à elle qu’il fait le plus de mal de nous deux. Et en cet instant, j’ai envie de le tuer de mes mains pour ce crime. « Vu comme c’est parti, elle va te pourrir l’existence jusqu’à ce que tu puisses plus la voir en peinture, elle va drainer toute ton énergie jusqu’à la dernière goutte. C’est pas un gentil garçon qu'il lui faut, c’est un type qui sache la remettre à sa place quand elle dépasse les bornes, et j’ai pas besoin de te connaître pour savoir que t’es pas ce type-là. Ça crève les yeux, putain. » Je n’ai pas la prétention de savoir ce dont Jo a besoin. Putain, je n’ai même pas la prétention d’être ce dont Jo a besoin et j’en doute souvent, mais je sais en revanche une chose. « La dernière chose dont elle a besoin c’est d’un pauvre type dans votre genre. » Je ne le traite pas de tyran. Il l’est assurément, mais je suis presque certain que le qualificatif lui aurait fait plaisir. Non, lui rappeler qu’il n’est rien, qu’il n’a rien réussi par lui-même au point de vouloir s’approprier le succès de sa fille est une attaque bien plus basse, à son niveau. « Tais-toi. » Jo fulmine et je crains presque de poser mes yeux sur elle. Isaiah Carter a raison sur un point ; je ne suis pas un homme courageux. Peut-être sa fille se lassera-t-elle un jour de fréquenter un gentil garçon mais tant qu’elle voudra bien de moi à ses côté, je la défendrai corps et âme. « Tu te planques derrière tes avocats pour quoi, défendre son honneur ? Alors que je suis juste là, devant toi, prêt à en découdre sans aucun intermédiaire ? C’est ça qui te plaît Jo ? Laisse-moi rire. » Le coup est bas. Il est le premier à m’atteindre réellement. « T’es qu’un petit garçon Midas. T’es pas un homme, tu vas te faire bouffer. Elle va te bouffer. » Si je pouvais lui coller mon poing dans la gueule et rester capable de me regarder dans un miroir, je le ferai sans hésiter. Je cille, pas parce que je crains de me faire avaler tout cru par Jo, mais parce qu’à force de frapper au hasard il finit bel et bien par toucher un point douloureux : la graine du doute que j’ai plantée tout seul comme un grand – ou bien que Jo a planté en fréquentant avant moi des types du genre de Tomlinson. Celle qui me dit qu’en effet, je suis trop garçon et pas assez male dominant pour garder les faveurs de la femme que j’aime plus de quelques mois ou quelques temps. Jo a du caractère. Je ne commente pas beaucoup mais j’observe : les relations qu’elle entretient avec la plupart des gens sont basées sur des piques régulières et de l’amour vache. Ce n’est pas ce que j’ai à offrir. Ce n’est pas comme ça que nous évoluons l’un avec l’autre non plus. A plusieurs reprises j’ai pensé être une agréable parenthèse, le genre de chaussure hors de prix que l’on essaie parce que l’on voudrait être capable de porter ce genre de chose avant de se rabattre sur ce qui nous convient mieux, ce qui nous a toujours mieux convenu. Jo se convainc-t-elle qu’elle est bien avec moi ? Que notre relation la stimule assez ? Que je ne suis pas trop passif ou doux pour garder son intérêt. « C’est un putain de poison lent, tu me feras pas croire que tu t’en es pas aperçu depuis le temps que vous vous tournez autour. » - « Fermez-là. » Mon ton est un peu moins assuré. Ma voix un peu plus rauque, aussi. Toutefois, présence d’un doute ou pas, je n’ai pas l’intention de le laisser parler de sa fille ne ces termes et certainement pas chez moi. « J’ai pas peur de toi. J’ai pas peur de ce que tu représentes, et tu veux que je te dise autre chose ? Peut-être que je regretterais un jour où l’autre de pas lâcher l’affaire pour récupérer mon dû, mais je suis convaincu que je serais pas la seul à avoir des regrets. Elle est bonne qu’à ça, donner des regrets. Tu pourras pas dire que je t’ai pas prévenu. » Le vague à l’âme, je ne pose pas mon regard sur lui. Je ne regarde pas Jo non plus. Je me contente de fixer obstinément un point dans le vide, avant de reporter mon attention sur mon employé. « Shane, escorte Isaiah Carter jusqu’à la sortie et inscrit le sur la liste rouge. Merci. » Je suis plus sec que d’ordinaire. Lorsque l’agent de sécurité disparaît finalement avec ce fils de pute, je reste d’un calme inquiétant, me baissant même pour redresser cette chaise que, dans sa hargne, il a envoyée valdinguer. Je la réinstalle à son emplacement initial quand Jo m’approche, saisit mon visage en coupe et me ramène à elle d’une voix plus douce qu’à l’accoutumée. « Regarde-moi, est-ce que ça va ? » Doucement, je couvre l’une des mains de la brune de ma paume cailleuse. J’y exerce une légère pression pour l’appuyer un peu plus contre ma joue, avant de récupérer ses doigts entre les miens pour la décoller de ma peau. « Ça va. » Mon regard reste fuyant un instant de plus, avant que je ne me décide finalement à affronter son regard. « Ça va. » que je répète. « C’est pas ta faute tout ça. » Je la connais assez pour craindre qu’elle ne s’excuse pour lui alors qu’elle n’a pas à le faire. « Je veux plus jamais qu’il te touche. » Il peut me faire du mal à moi autant qu’il veut avec ses paroles dures, tant qu’il ne porte plus jamais la main sur ma petite amie. « Tu devrais venir t’installer ici. » Je le voulais déjà avant pour toutes les bonnes raisons associées à ce genre de décision, vient s’ajouter à elles le besoin de la protéger. « Tu sais déjà que je passer le plus de temps possible avec toi, et ici il pourra pas te faire de mal. »




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Jo Carter
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la folie des grandeurs
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ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
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CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
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JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

ollie#2midas#35micah#11megan#14cleo#2kendall

RPs EN ATTENTE :
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LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
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DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
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STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
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(mine #32) right back in our rhythm without missing a step Empty
Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptyMar 20 Aoû 2024 - 8:41

Midas Sterling adore ce message



right back in our rhythm without missing a step
@Midas Sterling (crédit gif/rampld)

Jo connaissait dans les grandes lignes la dynamique de Midas avec sa famille, elle était persuadée que ça n’avait rien à voir avec ce qu’il venait d’observer. Ça la mettait mal à l’aise, entaillant un morceau de sa confiance en elle sans parvenir à l’expliquer, lucide quant à la tare que c’était d’avoir été élevée de cette façon. Elle ne parlait pas de son père pour une chose : ça lui était insupportable, d’une part, et de l’autre, édulcorer la réalité de ce qui se passait à la maison, c’était faire offense à ceux qui s’inquiétaient pour elle. Elle préférait la boucler, pas sûre d’être capable de décrire tout ça autrement qu’en ironisant et en s’attribuant des torts, pas sûre d’être capable de mentir non plus. Elle avait réussi à expliquer à Midas ce qui se passait chez elle, sauf qu’elle n’était pas débile au point de croire qu’il s’était réellement imaginé ce que ça voulait dire, lui qui avait été préservé de ce genre de choses, et dieu que ce n’était pas une critique. Sur l’instant, le choc devait être rude pour lui. Il avait des valeurs familiales marquées, il considérait chaque membre de sa famille malgré les désaccords et les petites conflits. Il avait des parents exigeants, elle l’avait compris via Olive plus particulièrement, restait qu’ils les aimaient, lui, ses soeurs et son frère, et ce sans que ça ne fasse aucun doute aux yeux de Jo qui les enviaient, tous les quatre. Quel regard portait-il sur tout ce qui venait de se passer ? Revenant immédiatement vers lui, le suivant des yeux d’abord, elle le voyait droit comme la justice, ramassant cette chaise qui avait valdingué, soumise à la dernière provocation de son père ; elle entendait le son de sa voix, sèche, presque dure, tout accent de douceur ayant disparu au profit d’un ton sans nuances, et plus que n’importe quoi, elle remarquait que son regard fuyait le sien. C’était ça qui lui faisait le plus mal, le contact rompu de leurs yeux, cette distance soudaine qu’il prenait avec elle pour accuser le coup. Elle s’imagina sans délai qu’il lui en voulait. C’était son havre de paix qui, trop brusquement, était devenu le théâtre d’un déchainement de haine insoutenable, il avait le droit de mal le gérer, de la tenir responsable aussi parce qu’après tout, c’était de son père dont il s'agissait, et qu’à un certain moment de sa vie, on finissait toujours par devenir responsable de ses parents, non ? Elle ne se mit à penser qu’à ça, au fait que la journée avait été gâchée, surtout à cette nouvelle différence qui les séparait, à leur expérience différente de la famille, et au contre-coup qu'il devrait accuser maintenant, aux petites conséquences que ça aurait peut-être sur eux, sur les promesses qu'ils s’étaient faites. La peur faisait flageoler ses jambes aux genoux devenus douloureux à cause de sa chute, le stress étouffait sa voix, l’urgence faisait battre son coeur brisé par la manière dont tout s’était enchaîné tellement vite qu’elle n’avait rien compris, rien vu de ce qui s’était passé en l’espace d’un claquement de doigts. A l’exception une chose, et c’était à ça qu’elle voulait se raccrocher pour se rassurer. La détermination de Midas à ne pas la laisser tomber alors que son père avait tout fait pour semer le doute dans son esprit. Il avait été parfait, si tant était qu’on pouvait l’être dans une situation pareille, et dans son coeur, en plus de l’amour, elle éprouvait une gratitude immense à son égard d’avoir su contenir sa colère pour ne pas céder à la violence. Il la connaissait, il avait bien répondu à Isaiah lorsqu'il avait prétendu que ce n’était pas un homme doux qui lui fallait. C’était lui qui se trompait, c’était absolument tout ce que Jo voulait, tout ce dont elle avait besoin pour grandir et évoluer dans le bon sens, refusant de tomber dans le cliché de l’enfant maltraité qui recherche chez tous les hommes la copie parfaite de son père violent. Alors il ne pouvait pas lui en vouloir, si ? Pas en s’étant autant appliqué à la défendre, à la protéger et à faire entendre qu’elle avait le droit d’être traitée autrement qu’un vulgaire prix remporté à la loterie.

Elle avait besoin de s’en assurer pour de vrai, tout n’étant pas aussi clair que ça sur le moment présent, son regard continuant de fuir le sien. C’est pour ça qu’elle lui pris le visage entre les mains, cherchant avidement ses yeux qu’il n’avait pas besoin de détourner. C’était elle qui aurait dû les détourner, sentant l’humiliation se frayer un chemin dans son cheminement de pensées pendant qu’il appuyait sur son irresponsabilité dans tout ce qui venait de se passer. Ça la rasséréna au moins un peu "C’est pas grave." Mais au fond, elle aurait pu les inviter, non, ses parents ? Juste pour une heure ou deux, même si ça aurait été une torture, ça aurait été plus supportable que ce qui venait de se passer. Elle ravala sa réplique, secoua la tête à la négative en faisant doucement glisser ses mains du visage aux épaules de Midas qui avait une exigence à partager avec elle et à laquelle elle adhéra, se hissant sur la pointe de ses pieds nus pour ne pas manquer son regard qu’elle était déterminée à affronter malgré son embarras "Je le laisserai plus faire. Je vais reprendre mes recherches au sujet de l’injonction d’éloignement et prendre de vraies mesures. Il mettra plus jamais les pieds ici, il nous approchera plus." Elle avait commencé à tâter le terrain auprès de Charlie à ce sujet, elle lui avait promis qu’elle l’aiderait. Autant dire que sur l’instant, elle ne pouvait pas encore plus regretter que son amie ne soit plus là.

Elle repoussa ça de son esprit, prit une courte respiration à la suite de la proposition de Midas qui tombait presque trop soudainement à son goût, mais qu’elle prenait au sérieux. Ce n’était pas une décision à prendre sur un coup de tête, elle avait peur que du côté de Midas, elle soit soulevée dans l’urgence du moment, même si c’était vrai qu’il lui avait déjà parlé de son envie de la voir s’installer durablement avec lui. L’idée ne la rebutait pas, au contraire. Elle lui demanderait de l’organisation, suite au mariage de sa grand-mère, ça lui paraissait bien moins insurmontable cependant, d’autant que depuis son retour d’Espagne, c’était ici qu’elle passait son temps. Doucement, ses yeux quittèrent les siens pour mieux observer son visage dans son ensemble "Tu le penses vraiment, ou c’est parce que t’as eu peur que tu me le proposes maintenant ? C’est pas une question piège." ajouta-t-elle, ne lui reprochant pas d’agir sur le coup de l’émotion, ne lui reprochant pas d’avoir eu peur non plus, il suffisait de la regarder pour savoir qu’elle aussi, elle avait eu la trouille de sa vie. D’ailleurs, ressentant tout à coup le besoin de s’asseoir, la totalité des muscles de son corps douloureux après sa descente brutale d’adrénaline, elle lâcha prudemment Midas, et puis elle se laissa asseoir sur le mobilier en rotin. Elle attrapa son propre visage dans ses mains, ses paumes posées sur ses mâchoires qu’elle sentait comme bloquées, retint un léger gémissement en les sentant douloureuses, et frictionna avec ses doigts ses genoux rougis après avoir légèrement écarté la fente de sa robe pour se rendre compte que, demain, ils auraient changés de couleur, écorchés par la terrasse sur laquelle elle était tombée à quatre pattes, manipulée par son père comme une poupée de chiffon. En repensant à cette scène en particulier, elle laissa échapper dans un murmure douloureux pour sa gorge "Je me suis jamais sentie autant humiliée de toute ma vie." Et venant de Jo qui n’avait absolument honte de rien, ça voulait dire quelque chose de l’entendre partager ce genre de ressenti. Elle le sentit, le sanglot dans le fond de sa gorge, essayer de gagner du terrain tandis qu’elle poursuivait, levant les yeux vers Midas en même temps "Je sais que c’est pas ma faute, mais je suis tellement désolée de ce qui vient de se passer et de tout ce qu’il t’a dit." Elle abandonna le massage de ses genoux en même temps qu’elle abandonna l’idée de lui demander s’il l’avait cru quand il avait dépeint sa fille comme il l'avait fait. Elle devait l’admettre, elle avait peur de la réponse. Pire, elle s’en voulait de redouter que Midas puisse être sensible à l'influence d’un homme aussi charismatique que son père, capable de faire croire au premier nigaud que le ciel est vert, pas bleu. Elle s’en souciait, elle se souciait plus de l’impact des paroles qui le concernaient lui sur son amour propre, alors elle lui fit signe de s’approcher, de s’accroupir devant elle pour, qu’une fois à hauteur, elle puisse lui dire sans aucune espèce de doute, même si sa voix restait fragile. Ses yeux, eux, ne l’étaient pas, elle restait déterminée dans toutes les situations, Jo "Il te connait pas. Tout ce qu’il a dit à ton sujet, c’est des conneries, c’est clair ?" En s’inclinant pour le prendre dans ses bras, elle se mordit l’intérieur de la joue si fort que ça lui fit monter les larmes aux yeux. Elle n’avait pas besoin de ça pour avoir les larmes aux yeux, c’était juste une bonne excuse, se sentant percée à jour, ce qu’elle avait toujours voulu cacher soudainement exposé dans sa forme la moins violente, ça l’était tout de même trop pour que ça ne la bouleverse pas. Elle le serra contre elle, posa son menton sur son épaule et lui murmura, sa main trouvant l’arrière de sa tête dans le même temps "Je voulais pas que t’assistes à ça." Ils s’étaient promis de tout partager, seulement la limite de la chanteuse s’arrêtait là. Elle aurait voulu continuer de préserver Midas de ce que ça voulait vraiment dire d’être la fille d’un homme comme son père.


    i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.












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Midas Sterling
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la nuit des temps
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(mine #32) right back in our rhythm without missing a step IAeu3cF Présent
ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.)
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step SA3KN
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TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
CODE COULEUR : royalblue.
RPs EN COURS :
(05) harleen #2oscar #2jo #35nina #2aaron

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mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829303132333435

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step SOk7g
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step Ld6fmwE
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

(mine #32) right back in our rhythm without missing a step SteSR
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

RPs EN ATTENTE : lucas

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.

― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

AVATAR : Leo Woodall
CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie)
DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 17/08/2022
https://www.30yearsstillyoung.com/t45772-midas-hide-away-your-sons-and-daughters
https://www.30yearsstillyoung.com/t45785-midas-there-are-times-when-i-don-t-like-myself
https://www.30yearsstillyoung.com/t46660-midas-sterling

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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptyDim 25 Aoû 2024 - 14:33

Jo Carter adore ce message



right back in our rhythm without missing a step
Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveia

Lorsque les doigts de Jo se posent de part et d’autre de mon visage, je me bats contre l’envie de lutter contre leur étreinte pour détourner les yeux malgré tout. Je n’ai pas envie de repousser Jo mais je crois qu’il aurait malgré tout fallu que je sois seul pour que la colère retombe, afin que je puisse mettre la tête sous un jet d’eau froide pour me reprendre en main et éviter de ressasser plus longtemps les idées dangereuses que le père de Jo a tenté de m'enfoncer dans le crâne. Sauf que je n’ai ni la force de lui demander de me laisser, ni l’envie qu’elle s’en aille. Je ne veux d’elle nulle part ailleurs qu’à mes côtés, même lorsque que tenter d’esquisser un sourire rassurant me fait mal. Je suis ça pour elle, rassurant, et après ce soir, je comprends bien mieux pourquoi. Mais est-ce seulement assez ? « Je le laisserai plus faire. Je vais reprendre mes recherches au sujet de l’injonction d’éloignement et prendre de vraies mesures. Il mettra plus jamais les pieds ici, il nous approchera plus. » - « Il entrera plus ici, de toute façon. » S’il y a bien un avantage à mon statut de célébrité, c’est celui d’avoir les moyens d’employer un service de sécurité de qualité. Je me renseignerai plus tard sur la façon dont Isaiah Carter est parvenu à les mener en bateau pour les convaincre de le laisser passer. Il a déjà conduit Jo ici : sans doute ont-ils cru que le père de ma petite-amie possédait un genre de laisser-passer. « Je demanderai des comptes à Shane demain matin. Mais ce sera clair pour eux : il mettra plus les pieds ici. » Une fois qu’il sera sur liste rouge, plus aucune méprise ne sera possible.

« Tu le penses vraiment, ou c’est parce que t’as eu peur que tu me le proposes maintenant ? C’est pas une question piège. » Si j’avais été en pleine possession de mes moyens, j’aurais anticipé cette questions. J’aurais présenté les choses autrement, j’aurais attendu quelques jours mais, ce soir, j’agis sous le coup de l’urgence. Ma démarche est-elle malhonnête pour autant ? Non, je voulais vivre avec Jo avant tout ça et pas pour pouvoir la protéger de son père. Je lui ai déclaré que j’achèterai un château si c’est de ça dont elle avait besoin. Aujourd’hui, je suis certes motivé par le besoin de la protéger, mais cela ne change rien à la pureté de mes sentiments et au bienfondé de ma proposition. « Tu sais que la réponse c’est les deux. » Je n’aime pas mentir à Jo et je ne le fais pas ; j’espère qu’elle saura juger ma conduite à sa juste valeur. « Bien sûr que j’ai eu peur. » Et je suis le genre d’homme capable de l’admettre. « Et bien sûr que c’est ce qui fait que je te le propose ce soir et pas demain ou dans une semaine. Mais ça change rien au fait que j’en ai envie depuis un moment déjà et que je comptais t’en parler de toute façon juste après le mariage de ta grand-mère. » Puisque maintenant, je suppose que Richie et elle vont habiter ensemble et que la vieille dame ne dépendra plus uniquement de Jo pour veiller sur sa sécurité et son bien-être. « J’attendais le bon moment. » Son père nous l’a volé, ce bon moment, mais il ne m’a en rien forcé la main.

« Je me suis jamais sentie autant humiliée de toute ma vie. » - « T’es pas responsable de la façon dont il se conduit, et encore moins de la façon dont il te traite. » Jo s’est détachée de moi et a mis de la distance entre nous. Assise sur l’un des fauteuils en rotin, elle frotte ses genoux contusionné de la paume de ses mains et me fait l’impression d’un oiseau blessé. Immédiatement, je m’en veut d’avoir laissé son père m’atteindre, je m’en veux de mon détachement. Je m’approche d’elle d’un pas, puis de deux, lui laissant malgré tout le choix avant de me positionner trop près d’elle ou pire, de la toucher. Elle n’a aucune raison d’avoir peur de moi, mais elle a toutes celles du monde d’avoir besoin d’un peu de temps avant de sentir les mains d’un homme se poser sur sa peau délicate. « Je sais que c’est pas ma faute, mais je suis tellement désolée de ce qui vient de se passer et de tout ce qu’il t’a dit. » - « C’est pas grave. Je peux encaisser. » Peut-être que si je le répète assez de fois, cela deviendra vrai. Peut-être que si j’y crois assez fort, les mots d’Isaiah Carter me glisseront bel et bien dessus sans m’atteindre et sans me faire douter d’être l’homme que Jo veut, à défaut d’être celui dont elle a besoin. Ça, je sais que je le suis, sans prétention aucune. Elle me fait signe d’approche et je laisse échapper un soupir de soulagement avant de m’accroupir à son niveau et de timidement laisser ma main glisser sur sa cuisse et la caresser. « Il te connait pas. Tout ce qu’il a dit à ton sujet, c’est des conneries, c’est clair ? » - « C’était pas que des conneries. Mais c’est pas grave, et ça change rien. J’ai pas honte de qui je suis. » J’ai été élevé pour être un gentil garçon, et ma mère se serait félicitée en entendant les mots que ce fieffé manipulateur pensait être des insultes. Ce qui me terrifie en revanche, c’est qu’être celui que je suis finisse par me coûter Jo et qu’au bout du compte, nous fassions le triste constat que nous ne sommes pas aussi compatibles que nous le pensions. Après les Fidjis puis son départ pour Ibiza, je ne sais pas si je peux encaisser plus de complications et de déchirements. J’aspire à de la simplicité, et c’est ce que j’ai envie de lui offrir, mais parce qu’Isaiah m’a retourné le cerveau, je me dis que peut-être que ce n’est pas ce dont elle a envie pour l’instant. Peut-être n’est-elle pas prête pour ça, pas encore. Quoi qu’il en soit, je garde tout ça enfoui en moi. Je prie le ciel d’être en train de faire erreur. « Je voulais pas que t’assistes à ça. » - « C’est mieux que j’ai été là. » Qui sait quel autre geste de violence il aurait pu avoir envers elle si cela n’avait pas été le cas. « Et si ça se reproduit, t’auras beau me demander à nouveau de te laisser gérer, je le ferai pas. » Elle ne pourra pas m’en tenir rigueur après ce dont je viens d’être témoin. Je sais que Jo est une grande fille, je sais qu’elle est même une femme indépendante et capable de prendre soin d’elle. Mais même en sachant tout ça, je reste un homme élevé dans la conviction que mon rôle d’homme est de prendre soin d’elle, qu’elle soit capable de le faire toute seule ou pas.




:sing: :
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Jo Carter
Jo Carter
la folie des grandeurs
la folie des grandeurs
  
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ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 5
POSTS : 10983 POINTS : 2510

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 00601d87c32792795f8915bda2faa82f67610c28
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 12b5ed7968518eac018b7422796b283815ad00d9
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 14b0d816f9b97eff952b17c444f189caf7edb646
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

ollie#2midas#35micah#11megan#14cleo#2kendall

RPs EN ATTENTE :
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step Eb5602d06ee5f3b382f45b87b6feb42d85162dcb
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 5kwj
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
(mine #32) right back in our rhythm without missing a step 2149d88d7c2509e7bb2ac07d09b473de3c9b3308
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
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https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
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Message(#)(mine #32) right back in our rhythm without missing a step EmptyDim 25 Aoû 2024 - 19:12

Midas Sterling adore ce message



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@Midas Sterling (crédit gif/rampld)

Elle comprenait, ça lui tordait tout de même les entrailles de sentir Midas sur ses gardes. Presque trop froid pour qu’elle réussisse à se dire qu’elle ne risquait rien, leur relation, après ça, elle n’abandonna pas l’idée d’affronter son regard, espérant y trouver quelque chose. Seulement, la distance était réelle, et elle détesta son père de tout son être d’avoir réussi à injecter une goutte de son venin dans le sang de la seule personne qu’elle pensait avoir de son côté. Pour combien de temps encore ? Elle l’ignorait, constatant que le sourire rassurant qu’il tentait de lui donner était faux. Elle en avait suffisamment profité pour savoir reconnaître les moments où il se sentait contraint de le lui offrir en pensant que c’était ce qu’elle attendait de lui… et elle le reconnaissait là. Ça lui donna des frissons, l’assurance qu’il lui offrit juste après en appuyant sur sa volonté de ne plus jamais laisser le père Carter les approcher ne réussissant pas à les calmer. Sa proposition de s’installer avec lui ici parvint quand même à faire percer un soupçon d’espoir dans le doute qui s’emparait de Jo, son coeur malmené par l’anticipation au désastre qu’elle sentait poindre. C’était déstabilisant, de voir une forme de dualité prendre possession des certitudes de Midas qu’elle savait sincère dans sa démarche de vouloir l’accueillir sous son toit, l’idée ayant déjà fait son chemin chez elle par le biais de discussions et d’habitudes qui étaient devenues naturelles avec le temps. En même temps, le timing était malheureux, et la distance qu’il lui imposait ne cadrait pas avec sa demande. Bien sûr, elle connaissait déjà la réponse à la question qu’elle venait de lui poser, mais il ne lui en voudrait pas de vouloir s’assurer qu’il soulevait l’idée pour les bonnes raisons, pas par obligation, n’est-ce pas ? En secouant la tête à la négative, elle lui rétorqua "Je sais que tu me veux ici depuis longtemps. Je me souviens du château, je sais que t’étais sérieux." le rassura-t-elle, ne voulant juste pas que ce soir devienne l’excuse parfaite pour précipiter les choses alors qu’ils s’étaient promis qu’ils feraient tout au fil de l’eau, aussi doucement qu’ils ne n’hésitaient plus un instant que leur avenir ensemble était assuré. Est-ce que ce serait toujours le cas après ce soir ? À la vue de la réaction de Midas, Jo se sentait bousculée par quelque chose qu’elle ne réussissait pas à identifier et qui n’était pas grand-chose comparée à l’impression qu’elle avait que refuser sa proposition finirait d’installer les propos de son père dans son esprit. Finalement, elle qui redoutait que sa démarche soit soufflée par la peur se laissait dicter sa réponse par celle-ci — elle tendit les bras pour les poser sur les épaules de Midas, recréant une proximité à tâtons, pas certaine que c’était ce dont il avait envie sur l’instant compte tenu du recul qu’il prenait, de la distance qu’il lui imposait "C’est le bon moment." lui confirma-t-elle, et elle pinça les lèvres pour réfléchir inutilement, le temps d’une seconde à peine "Pour la postérité, on prétendra que tu me l’as proposé tout à l’heure, bien avant qui se passe… tout ça." Pour la postérité, quand ce serait le moment de raconter l’histoire, de faire comme Richie en inventant des détails pour amuser nana qui ne pouvait décemment plus le contredire, ses souvenirs effacés. Ses yeux se verrouillèrent à ceux de Midas, comme une invitation à oublier ce qui venait de se passer et à se focaliser sur la réponse qu’elle lui donna "Je veux plus bouger d’ici. Je veux pouvoir dire que je rentre chez moi quand je me prépare à te rejoindre." précisa-t-elle, comme si ce n’était pas assez clair, cherchant à insuffler un peu de douceur à l’instant régit par la peur et l’urgence.

Enfin, elle s’assit, et espéra que Midas la rejoigne, surtout quand elle le lui demanda ; elle sembla un peu mieux respirer alors qu’il ne refusa pas de s’accroupir face à elle. Ils avaient déjà statué qu’elle n’y pouvait rien des agissements de son père, l’idée qu’elle aurait pu les éviter était bien présente dans son esprit toutefois. Elle les étouffa, préféra se concentrer sur la plaie qu’il avait infligé à l’homme qu’elle aimait dont elle voulait panser les blessures plus qu’elle ne voulait panser les siennes, habituée à les lécher dans son coin, en différé. Elle délaissa ses genoux douloureux pour poser une main sur la mâchoire du jeune homme, l’autre s’accrochant à celle qu'il avait posé sur sa cuisse, ses doigts glissant sous sa paume chaude. Il essayait de se convaincre qu’il pouvait gérer les retombées de tout ça. Elle le savait capable, Jo, mais elle ne voulait pas qu’il encaisse ça seul, sans son soutien. L’antidote au venin de son père, c’était l’amour, celui qui lui portait ne faisant aucun doute pour elle. Il fallait qu’il l’entende, alors elle lâcha sa main, la fit rejoindre l’autre côté de sa mâchoire lorsqu’il objecta à ce qu’elle venait de lui dire, refusant qu’il croit aux propos d’Isaiah. L’espace d’un battement de cils, elle faillit lui demander à quoi il faisait référence quand il lui disait que ce n’était pas que des conneries — à son côté gentil garçon, ou au tableau qu’il avait dépeint de sa propre fille ? Elle occulta, lui affirma sans aucune espèce d’hésitation, ses doigts plus fermes contre sa peau "Et t’as pas à avoir honte. C’est cet homme là que j’aime." Elle précisa, sentant que la tension nerveuse dans sa gorge prenait du terrain, sa voix, réceptacle de toutes ses émotions, souffrant de ces dernières qu’elle n’avait pas envie de faire éclater, mais qui était bel et bien présentes, au bord de ses lèvres autant qu’au bord de ses yeux "Il me connait pas non plus, tu sais. Il a aucune idée de ce que je veux et de ce dont j’ai besoin : et c’est de toi, juste de toi." Elle ne bradait pas ses convictions, Jo. Elle y croyait sincèrement, accompagnant sa déclaration d’une étreinte qu’elle lui fit en restant assise, ses bras le serrant par les épaules pour que son menton s’enclenche parfaitement dans le creux de son épaule, son nez s’enfonçant doucement dans son cou qu’elle embrassa en fermant les yeux tout en regrettant infiniment que la scène dans laquelle ils s’étaient retrouvés soit rattachée à cet événement qui comptait tant pour elle ; ce serait difficile à oublier, putain. A cette pensée, elle le serra un peu plus fort contre elle, prit une profonde inspiration quand elle se somma de se reculer pour entendre la suite de ce qu’il avait à dire et fronça les sourcils en essayant de se convaincre à son tour "Ça se reproduira plus, je te le promets." Une voix dans sa tête lui sifflait cependant que, en dehors d’ici, Isaiah était un homme libre de ses mouvements. À nouveau, elle occulta, considérant avoir plus important à faire qu’avoir peur à nouveau "Merci. D’avoir pris ma défense et d’être intervenu sans même hésiter quand ça a commencé à devenir dangereux. Tu te rends pas compte de ce que ça veut dire pour moi." Devait-elle lui avouer que c’était la première fois de sa vie que quelqu’un le faisait ? Même sa grand-mère qu’elle tenait en haute estime n’était jamais intervenue, bien qu’elle savait ce qui se passait sous le toit de son fils. Elle n’exagérait pas quand elle définissait l’attitude de Midas tout à l’heure comme la seule ayant jamais tournée à son avantage dans ce genre de situation : c’était la stricte, et triste, vérité. Soudainement, mais doucement, elle s’agita, faisant glisser ses mains de Midas pour passer sur le tissu de sa robe, la moiteur de ses paumes la gênant sur l’instant "Est-ce qu’on peut aller vérifier sur les caméras de vidéosurveillance qu'il est bien parti ?" finit-t-elle par lui demander, sentant toutes ses émotions prendre de plus en plus d’ampleur. Elle ne comptait pas s’y apitoyer, résolue à ne plus en parler pour se concentrer sur le positif. Au moins, personne à la fête ne s’était rendu compte de quoi que ce soit, c’était déjà ça.

rp terminé.


    i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.












    :sing::

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