ÂGE : vingt-neuf ans (avril 1995) SURNOM : depuis toujours, on t'appelle "mo". plus court, plus facile à retenir que Mokare. STATUT : célibataire, tu n'arrives pas à t'engager longtemps. tu ne vis que des aventures, par-ci par-là. MÉTIER : désormais en formation en tant que garagiste au garage d'Ezra, nouveau guitariste du groupe Hollow Shout auprès d'Asher, Raileigh et Blaize, et tu donnes des cours de danse à Maeve, un peu gratuitement quand même LOGEMENT : tu as squatté chez Lewis tout le mois de Juillet, tu as trouvé une nouvelle colocation avec Charlie, à logan city POSTS : 176 POINTS : 320
TW IN RP : abandon de sa sœur jumelle à la naissance ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : MOKARINA #2 › you missed to my life and i found you back (#1) MOMEÏ #1 › #2 ~ you can't see, but i can see the true you
@Maeve Wang - west end – juillet 2024 ¤¤¤ crédits gifs (livelovecaliforniadreams) / code (boté du sud )
Tu envisages la suite du cours sereinement, déjà bien rassuré par ce premier quart d'heure en compagnie de Maeve. Ton appréhension est toute envolée, tu prends même beaucoup de plaisir à lui enseigner et c'était quelque chose qui t'a beaucoup fait douter avant d'arriver aujourd'hui devant le bâtiment de danse. Maeve est si sérieuse et impliquée que ses efforts paient forcément, et rapidement. Vous êtes donc prêts pour poursuivre, maintenant qu'une certaine dose de confiance existe entre vous. Tu sais qu'elle aura probablement des mouvements de recul, ou des petites frayeurs à certaines reprises, et c'est normal, mais tu as le sentiment qu'elle se sent suffisamment à l'aise avec toi pour pouvoir lui faire vivre pleinement la danse en toute sécurité. Tu lui demandes d'écarter ses jambes de la largeur de son bassin et de relâcher ses bras le long de son corps, tu la vois alors s'exécuter avec cette douceur et cette légèreté qui lui est propre. « Comme ça ? » « Parfait » Tu lui indiques que tu vas être amené à la toucher, à plusieurs reprises, notamment aux hanches pour la guider dans ses mouvements. Il te semble important de la prévenir, pour ne pas l'étonner. Ce genre de questions intervient régulièrement dans tes cours, tu ne poses jamais tes mains sur le corps de l'autre sans son approbation, même visuel. « Ça ne me dérange pas. Mais c’est gentil de demander… » Tu esquisses un nouveau sourire, bien heureux qu'elle te donne son autorisation pour venir poser ta main droite contre sa hanche droite, ton corps se trouvant de nouveau derrière elle. « Le pas que je vais t'apprendre s'appelle le pas en carré. On l'appelle comme ça parce qu'on va se déplacer sur une petite surface uniquement, en suivant la forme d'un carré. » Afin qu'elle ne s'emmêle pas de trop les pinceaux, tu espères que Maeve comprend l'image du carré et qu'elle sera capable de la visualiser pour le reproduire. « Tu vas avancer ta jambe droite d'un pas et poser ton pied en douceur. » Tu l'accompagnes en initiant le mouvement, puis ta main gauche trouve sa place sur sa hanche gauche : « Presque aussitôt tu dois avancer ton pied gauche d'un pas également, à environ 30 centimètres du droit, puis tu vas le faire glisser jusqu'au gauche sans le toucher. » Ta main effleure légèrement le haut de sa cuisse droite pour l'inviter à rapprocher sa jambe droite de la gauche, tout doucement, sans précipitation. La toucher ne te dérange pas, car tu le fais de manière purement professionnelle... néanmoins, tes pensées se baladent de plus en plus quant à la finesse de sa taille, que tu manipules sans grande difficulté. « On a effectué la moitié du carré. Maintenant on va revenir sur nos pas pour le terminer. » Ainsi, tu lui expliques qu'il faut désormais reculer sa jambe gauche d'un pas, puis la droite d'un pas également en la maintenant à 30 centimètres du gauche, avant qu'il ne le rejoigne sans le toucher, tout en l'effleurant de ci et là pour la guider dans son mouvement. Évidemment, ces derniers sont hachés puisque c'est la première fois que tu lui montres le pas et tu sens alors que Maeve se retrouve face à une certaine gêne. « Voilà le pas en carré, ça ne te semble pas trop difficile ? On le refait une deuxième fois ? Si ça peut t'aider, on peut compter jusqu'à trois pour rythmer et fluidifier ton mouvement. » Une deuxième fois, tu lui montres le pas de base, comptant 1 pour l'avant droit, 2 pour l'avant gauche et 3 pour le droit vers le gauche. Tu reprends, comptant 1 pour le derrière gauche, 2 pour l'arrière droit et 3 pour le gauche vers le droit. Une fois que ce mouvement sera acquis, tu sais que Maeve se sentira de nouveau confiante, et tu veux balayer ses craintes : « C'est normal d'être tendue car au début on a tendance à beaucoup réfléchir sur l'ordre des pas. A force de t'entraîner, le mouvement va devenir presque un réflexe. Tu verras, il n'y a aucune raison pour que tu n'y arrives pas. » Et tu ne dis pas cela uniquement pour lui faire plaisir, tu le penses vraiment.
ஃ Days, gone by, Come back as the morning light. A colourless demise rises and the only shelter I used to know, is gone lost out of sight. ஃ
Spoiler:
Maeve Mayers
la danse des ombres
ÂGE : vingt-six ans (16.04) STATUT : le coeur semblable à un pissenlit sur lequel des lèvres impitoyables auraient soufflé ; ses sentiments fugaces courent dans le vent, effleurent parfois les autres sans jamais s’attarder sur leurs peaux, insaisissables pétales qui s’évaporent sitôt qu’on essaye de les attraper MÉTIER : des effusions de couleurs et de matières, l’art comme exutoire, le dessin comme façon de représenter le (son) monde, artiste peintre qui commence à se faire un petit nom dans le pays LOGEMENT : vient de quitter la coloc de lincoln, vit désormais dans son atelier le temps de trouver autre chose POSTS : 218 POINTS : 1100
TW IN RP : désamour parental, violences verbales et physiques, empoisonnement, peine de prison, maltraitances, relation toxique, violences conjugales. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : malvoyante sévère : perçoit la lumière mais trop peu les formes et les contours avec précision ¤ se déplace à l’aide d’une canne, n’hésite pas à taper les gens avec lorsque c’est nécessaire ¤ pratique la poterie, le crochet et la fabrication de bijoux ¤ tête dans les nuages malgré son 1m57 ¤ chaussettes dépareillées vibes ¤ grande sensibilité aux odeurs chimiques et aux bruits trop forts ¤ accroc aux papouilles dans les cheveux ¤ une passion pour le thé matcha et les milkshakes à la framboise ¤ pot-de-colle professionnelleDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #a15f99 RPs EN COURS : LANEÏ ¤ long live the walls we crashed through, how the kingdom lights shined just for me and you, i was screaming long live all the magic we made and bring on all the pretenders, one day we will be remembered
BRYAVE#3 ¤ now and then i think of when we were together, like when you said you felt so happy you could die, told myself that you were right for me but felt so lonely in your company, but that was love and it's an ache i still remember
« Parfait » donner satisfaction à son professeur lui concède une fierté qui fait naître un sourire jovial sur ses lèvres, puisque la novice prend davantage confiance et se sent, petit à petit, moins gauche dans ses mouvements. Il serait aisé de croire que Mokare se montre simplement encourageant en exagérant la façon dont il qualifie son élève mais, elle a bien l’impression qu’il est sincère et, faute de pouvoir juger l’expression de ses yeux pour démasquer les possibles faux compliments, elle décide de prendre ce compliment comme véridique. ’’Merci…’’ qu’elle souffle avec calme en tournant son menton par-dessus son épaule pour suivre le déplacement du corps qui, dans son dos, reprend sa place initiale. C’est toujours particulier, comme contact rapproché, pour celle qui ne peut pas voir mais, elle se surprend à ressentir sa présence comme un signal d’alarme ; même lorsqu’il pose sa main sur sa hanche marquée, elle ne se désole pas de sentir ses doigts qui surpassent aisément sa taille tant elle est menue, Meï. « Le pas que je vais t'apprendre s'appelle le pas en carré. On l'appelle comme ça parce qu'on va se déplacer sur une petite surface uniquement, en suivant la forme d'un carré. » il y a bien longtemps que la cécité l’a frappée mais elle n’a pas oublié les formes géométriques de base ; elle voit très bien la forme d’un carré alors elle hoche son menton de haut en bas pour signifier qu’elle entrevoit fort bien ce qu’il va lui demander, même si elle ne s’attendait pas à cela concernant la valse. Mais pour ainsi dire, elle ne s’attendait pas à grand-chose sinon ce que sa mémoire à sauvegardé des films qu’elle a pu regardé quand elle était petite… Elle se souvenait de mouvements amples et légers avec les bras tendus, mais peut-être a-t-elle été induite en erreur ? « Tu vas avancer ta jambe droite d'un pas et poser ton pied en douceur. » le choix des mots est important, à défaut de pouvoir s’attacher aux gestes qu’il peut faire, et comme il a employé le mot « poser » elle suppose qu’elle ne doit pas faire glisser son pied sur le parquet ciré mais le relever alors, c’est ce qu’elle s’applique à faire, sans grande certitude dans le geste, même si elle s’applique tout de même pour ne pas le décevoir. « Presque aussitôt tu dois avancer ton pied gauche d'un pas également, à environ 30 centimètres du droit, puis tu vas le faire glisser jusqu'au gauche sans le toucher. » elle suit l’instruction à la lettre, ou presque, sans se préoccuper de savoir si les mains masculines posées sur ses hanches vont la suivre, puisqu’elle se doute que oui, et cela ne la dérange pas vraiment : elle est totalement absorbée par le pas de danse qu’elle doit effectuer, et elle tente de se représenter ses propres mouvements pour savoir si elle dessine bien un carré (ou non) avec ses pieds. ’’Je crois que je me suis emmêlée…’’ avoue-t-elle finalement dans un petit rire gêné, mais elle n’est pas vraiment au bout de son malaise intérieur puisqu’il lui faut achever la forme du carré, et elle prend une fine inspiration nasale en relevant machinalement ses mains, bras pliés et coudes appliqués contre son buste féminin, pendant qu’elle effectue le mouvement demandé par Mokare, suivant davantage l’initiative de ses mains qui la guide que par une quelconque aisance naturelle. ’’Désolée…’’ elle le brandit en profitant d’avoir ses petites mains près de son visage pour repousser ses cheveux en arrière, en espérant ne pas le décourager ou l’agacer puisque, il faut bien le croire, elle fait de son mieux, Maeve. « Voilà le pas en carré, ça ne te semble pas trop difficile ? On le refait une deuxième fois ? Si ça peut t'aider, on peut compter jusqu'à trois pour rythmer et fluidifier ton mouvement. » si, ça lui paraît difficile, mais elle a bien conscience qu’il s’agit d’un pas rudimentaire et qu’elle ne peut décemment pas admettre sa défaite aussi vite alors ’’Je veux bien, oui…’’ ce deuxième essai est plus prometteur que le premier et, même si ce n’est évidemment pas parfait, l’on sent qu’il y a une nette amélioration. ’’C’était mieux ?’’ parce qu’elle a bien évidemment besoin qu’il valide ses efforts, qu’il ait conscience que, malgré son handicap, elle est de bonne volonté. « C'est normal d'être tendue car au début on a tendance à beaucoup réfléchir sur l'ordre des pas. A force de t'entraîner, le mouvement va devenir presque un réflexe. Tu verras, il n'y a aucune raison pour que tu n'y arrives pas. » elle le sent sincère mais, c’est surtout la compréhension dont il fait preuve qui la touche : assurément, il est un bon pédagogue. ’’J’espère être à la hauteur, alors.’’ elle pivote légèrement sur ses pieds pour se tourner de profil, ses mains retombant le long de son corps en même temps pour frôler ses bras musclés ’’Ce sera encore toi, la prochaine fois ?’’ et elle ne le demande pas parce qu’elle espère que oui, promis.
crédits/idk
clipped wings, i was a broken thing, had a voice, had a voice but i could not sing. but there's a scream inside that we all try to hide, we hold on so tight, we cannot deny, eats us alive, oh it eats us alive. there's a scream inside that we all try to hide, we hold on so tight, but i don't wanna die, i don't wanna die.
Mokare Unaipon
le gré du vent
ÂGE : vingt-neuf ans (avril 1995) SURNOM : depuis toujours, on t'appelle "mo". plus court, plus facile à retenir que Mokare. STATUT : célibataire, tu n'arrives pas à t'engager longtemps. tu ne vis que des aventures, par-ci par-là. MÉTIER : désormais en formation en tant que garagiste au garage d'Ezra, nouveau guitariste du groupe Hollow Shout auprès d'Asher, Raileigh et Blaize, et tu donnes des cours de danse à Maeve, un peu gratuitement quand même LOGEMENT : tu as squatté chez Lewis tout le mois de Juillet, tu as trouvé une nouvelle colocation avec Charlie, à logan city POSTS : 176 POINTS : 320
TW IN RP : abandon de sa sœur jumelle à la naissance ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : MOKARINA #2 › you missed to my life and i found you back (#1) MOMEÏ #1 › #2 ~ you can't see, but i can see the true you
@Maeve Wang - west end – juillet 2024 ¤¤¤ crédits gifs (livelovecaliforniadreams) / code (boté du sud )
Le pas en carré est en soi un pas plutôt simple à réaliser, surtout lorsque cela fait longtemps que tu pratiques la danse. Le mouvement en forme de carré parle généralement à une majorité de personne, ce qui explique que la valse est régulièrement la danse la plus apprise par des danseurs et danseurs novices. Tu espères que Maeve est ravie de ce premier cours, parce que tu t'es vraiment donné à fond pour faire en sorte que tout lui semble accessible et qu'elle ne veuille pas baisser les bras trop rapidement face à la difficulté. Car c'était là aussi, le souci de beaucoup de gens : dès qu'une chose dépassait la facilité, il y avait abandon de leur part pour l'activité. La danse nécessitait de la rigueur, de la motivation et de l'assiduité. On ne pouvait pas apprendre à danser en une seule séance... Même avec la meilleure des volontés, personne n'était capable d'être une danseur expérimenté dès les premières heures d'entraînement. Alors, tu tentes donc de rassurer Maeve quant au fait c'est normal d'être un peu tendue, de réfléchir un peu trop. Ce n'est que le début de son apprentissage, s'emmêler les pinceaux c'est tout à fait normal. « J’espère être à la hauteur, alors. » « Bien sûr, tu t'es bien mieux débrouillée par rapport à d'autres élèves que j'ai vu avoir jusqu'à maintenant. » Et tu évoques là des élèves voyants, alors Maeve peut être fière d'elle-même. Tu avais ce pressentiment que les choses allaient bien se dérouler avec elle, parce que depuis le début, elle s'est montrée à l'écoute et consciencieuse à l'égard de chaque remarque, chaque conseil que tu as pu lui prodiguer. « Ce sera encore toi, la prochaine fois ? » « Oui, si tu as envie de continuer, ce sera encore moi. » Puisque Maeve pose la question, tu imagines que c'est ce qu'elle a prévu. « ça t'a plu comme premier cours ? est-ce que tu l'as trouvé suffisamment compréhensible ? n'hésite pas si tu vois quelque chose qui n'a pas fonctionné, j'essaierai d'adapter d'une autre manière au prochain cours. » Tu ne parles pas là de ton apprentissage du pas en lui-même, mais de ton approche dirigé essentiellement vers la communication, pour ne pas la surprendre en la touchant sans qu'elle ne s'y attende ou autre. « Tu es disponible mardi prochain pour le cours suivant ? » Tu as envie de quitter les lieux en ayant fixé votre prochain 'rendez-vous', mais aussi pour faire traîner davantage le moment entre elle et toi, puisque tu as beaucoup apprécié partager ce moment de danse avec Maeve. « Je te raccompagne jusque devant le bâtiment, ça te va ? » Tu t'éloignes pour aller rechercher ton sac à main et ton sac à dos, dans lequel tu as rangé vos deux bouteilles d'eau. Tu lui tends, délicatement, pour que le bout de ses doigts rencontre l'objet et le récupère sans surprise. Inconsciemment, tu es devenu très attentif à ce genre de détail, comme si cela était inné en toi et que tu avais l'habitude de cotoyer une personne malvoyante. Maeve te croche une nouvelle fois le bras et vous vous rendez jusqu'à l'extérieur du bâtiment, là où vous vous êtes rencontrés pour la première fois trois quarts d'heure plus tôt. « N'oublie pas ta bouteille d'eau la prochaine fois... et si c'est le cas, j'aurai toujours une deuxième pour toi, au cas-où. » Tu souris largement, car tu te demandes si Maeve est de nature tête en l'air pour ce genre de choses, étant donné qu'elle ne l'a déjà pas emporté une première fois. « Tu passeras le bonjour à Keh de ma part ? » Tu hésites à lui demander si elle a besoin d'aide pour rentrer, mais tu te rends compte qu'elle a été capable de venir seule jusqu'ici, c'est donc qu'elle est parfaitement capable de se déplacer de manière automone jusque chez elle. Alors tu t'apprêtes à la quitter, avec ce sourire aux lèvres d'avoir vécu un moment agréable en sa présence. Tu es ravi de l'avoir rencontré, Maeve. « A mardi, alors. Rentre prudemment. »
Terminé
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« Parfait » donner satisfaction à son professeur lui concède une fierté qui fait naître un sourire jovial sur ses lèvres, puisque la novice prend davantage confiance et se sent, petit à petit, moins gauche dans ses mouvements. Il serait aisé de croire que Mokare se montre simplement encourageant en exagérant la façon dont il qualifie son élève mais, elle a bien l’impression qu’il est sincère et, faute de pouvoir juger l’expression de ses yeux pour démasquer les possibles faux compliments, elle décide de prendre ce compliment comme véridique. 
